A quelques heures de la rencontre opposant le Fc Barcelone à l’Inter, Hakan Çalhanoğlu s’est livré à Amazon Prime : "Nous étions déjà prêt mentalement avant de rencontrer Barcelone, nous savions qu’ils étaient forts, avec des joueurs de renom, ils sont vraiment fort avec la balle, mais si tu sais que tu es prêt mentalement, en montant sur le terrain, tu sais déjà que tu donneras le maximum. Inzaghi voulait que nous travaillions en tant qu’équipe sur le terrain et non en homme contre homme, et mardi nous avions travaillé tous l’un pour l’autre, nous avons réalisé plus de course, avec de l’envie, du courage, du cœur, tout ce qui nous manquait, selon moi, lors des derniers matchs. A présent, nous voulons seulement pédaler, pédaler et travailler."
C’est justement face à Barcelone que vous avez réalisé le meilleur match de votre saison, en tant que Vice-Brozo, est-ce un poste que vous considérez comme le vôtre ?
"Je n’ai pas l’habitude de jouer à ce poste, je me sens mieux avec un autre milieu proche de moi. Mais je joue toujours comme ça en équipe nationale et ici, même si j’étais esseulé, j’avais tout de même Bare et Mkhitaryan qui me donnait un grand coup de main, nous avons réalisé un grand boulot."
"J'ai demandé à Rom de forcer un peu et de revenir plus vite, c’est normal qu’on ressente le manque d’un joueur tel que lui, mais même lui travaille vraiment bien quotidiennement, il fait de son mieux pour revenir dans l’équipe, c’est un joueur qui sait conserver le ballon avec son physique, ry cela t’aide pour ressortir au mieux de l’arrière. Nous avons tous des qualités différentes, mais avec un comme lui qui tient bien mieux le ballon, tu te sens plus serein."
Racontez-nous cette histoire d’Onana et Lukaku qui vous ont conseillé comment tirer pour battre Ter Stegen…
"Avant la rencontre, Romelu est venu me voir et m’a dit : Lorsque tu pourras tirer au but, tente de frapper du côté droit de Ter Stegen, c’est là qu’il est le plus faible et André qui le connait mieux que moi, me l’a dit aussi. Avant de tirer, j’ai immédiatement pensé à leurs mots et tout est allé très vite, je n’ai pas eu le temps de tergiverser et j’ai très bien tiré."
"Barcelone est furieux et a le feu au cul, nous savons que ce sera difficile là-bas, mais nous donnerons notre maximum, nous travaillerons de cette façon sur le terrain, pour 90 minutes et pour toutes les dernières secondes, car je ne crois pas qu’énormément d’équipes ont la possibilité de l’emporter face à nous."
®Antony Gilles – Internazionale.fr
Commentaires recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez commenter maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous possédez un compte, connectez-vous.