C’est une information en provenance de Calcio&Finanza, l’Inter qui a été dans l’obligation de se passer des services d’Achraf Hakimi face au Borussia Mönchengladbach à la suite d’un faux positif, étudie la possibilité d’attaquer l’Union Européenne de Football Association en justice.
Selon la Gazzetta Dello Sport, le test d’Hakimi représente une forme d’avertissement, entre résultat à la limite et les retards de communications. La conséquence a été immédiate avec la non-sélection d’Achraf lors de la confrontation face au Borussia Mönchengladbach, un match où l’international marocain se serait avéré utile pour Antonio Conte.
Fureur Nerazzurra
Comme le souligne la Rosea, l’Inter est prête à se faire entendre au siège européen : "Le Club est furieux pour le cirque occasionné en Ligue des Champions et à la lumière de la situation, il considère comme un dommage, le fait de ne pas avoir pu aligner son numéro 2." Giuseppe Marotta, avait d'ailleurs fait part de son amerthume, en avant-match d’Inter Genoa
Hakimi s’est révélé négatif vendredi au test réalisé jeudi, la confirmation définitive a eu lieu samedi avec un autre examen.
"Hakimi a été bloqué mercredi, 4 heures avant le début du match suite à un court-circuit de communication. Le matin, son test était considéré comme négatif avant de faire l’objet d’une réévaluation comme "faiblement positif" par la Synlab, Le laboratoire utilisé par l’Uefa pour les tests qui avait confirmé une charge virale minimale pour Achraf. Minimale, mais suffisante pour un isolement.
Le futur
"Il reste un mélange d’amertume et de colère sur cette étrange et confuse journée de mercredi. La présumée positivité d’Hakimi serait arrivée très tardivement, en modifiant le précédent verdict de cet examen. L’Inter considère cette façon de faire à la limite. Si elle avait été prévenue immédiatement, elle aurait eu le temps d’organiser un nouveau test et la présence du joueur face aux allemands n’aurait pas été impossible. Qui plus est, l’Inter n’aurait pas consenti au joueur de s’entraîner avec ces équipiers."
Si Synlab revendique le respect du protocole, l’Inter exclu une attaque en justice contre celle-ci. Elle présentera en revanche ses "propres remontrances" à l’UEFA.
Rien n’est à exclure, même pas une action en justice : "L’Histoire enseigne qu’en Ligue des champions, chaque point se joue sur un détail"
Cautionneriez-vous une action en justice Nerazzurra ou celle-ci serait-elle disproportionnée ?
®Antony Gilles – Internazionale.fr
Commentaires recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez commenter maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous possédez un compte, connectez-vous.