Robin Gosens, qui est impatient de débuter sous la vareuse Nerazzurra de l’Inter, s’est livré à Dazn:
Comment dire.... Epic Fail!
Blessure
"Avec la blessure que j’ai connu, je ne peux pas donner de délais, le plus important est que j’aille bien. Je reprends confiance, je m’entraîne bien et selon moi, cela ne devrait tarder. J’ai déjà fait certaines choses sur le terrain et j’espère revenir au plus vite, mais sans me mettre de pression, cela ne sert à rien. Je suis resté marqué par la Grandeur du Club. L’Atalanta est sans aucun doute un club important, mais l’Inter est un Club Historique."
Vous serez indisponible à Naples, mais vous apprenez à découvrir vos équipiers. Qu’est-ce qui pourrait faire la différence ?
"La clé selon moi est de pouvoir pratiquer notre football, si nous parvenons à le faire à Naples, nous aurons une bonne chance de l’emporter. C’est sans aucun doute une rencontre fondamentale, face à un concurrent direct, et nous tenons à l’emporter."
A quel point êtes-vous fier du parcours réalisé ?
"Je le suis énormément, j’ai fait tant sur le côté pour arriver à ce niveau, même si je sis moins talentueux que les autres, ma force a toujours été dans la mentalité et la discipline. Cela m’a porté loin, c’est pour cette raison que je suis fier d’être arrivé à l’Inter. J’ai passé tellement d’heures sur les terrains et dans les gymnases avec l'objectif de m’améliorer."
Qu’est-ce qui vous a marqué chez Zhang ?
"Il m’a raconté être le premier Tifoso de l’Inter. Il m’a objectivement dit, qu’à présent, j’évolue pour un club prestigieux et cela m’a apporté une confiance énorme, il m’a dit que nous allions jouer à des niveaux très élevés et qu’il avait toute confiance en moi."
Même Angela Merkel a parlé de vous lors d’un sommets entre Chefs d’Etats......
"Elle a été fondamentale en Allemagne ces dernières années, si elle parle bien de moi, cela ne peut me faire qu’énormément plaisir."
Est-ce vrai que vous seriez devenu policier si vous n’aviez pas pratiqué le football ?
"Oui, j’aurais été sans aucun doute rugueux, c’est le bon adjectif. Jusqu’à mes 18 ans, je ne jouais qu’avec mes amis, sans passé par les classes de jeunes. Lorsque mes proches me questionnaient, je leur disais toujours vouloir faire le policier comme mon grand-père. Puis je suis parti aux Pays-Bas et tout a changé."
Est-ce à ce moment-là que vous aviez pris conscience de vouloir devenir footballeur ?
"A peine arrivé aux Pays-Bas, j’ai compris que je pouvais devenir pro, c’était mon rêve."
Vous avez écrit aussi un livre…
"Oui, en allemand et il a connu son succès en Allemagne, j’ai voulu y livrer mon histoire car elle est différente de tant d’autres. J’aime bien écrire et j’ai voulu le faire car je me suis dit qu’il y avait tant en mois, que cela pourrait être une source d’inspiration."
A quoi rêves-tu à présent ?
"A remonter sur le terrain au plus tôt et à devenir un grand joueur de l’Inter. J’ai le rêve de donner le maximum pour l’Inter mais aussi pour ma sélection, il y a une Coupe du Monde qui se profile et je tiens à y participer. Pour y parvenir, je dois être bon en club."
Vous n’avez jamais parlé du Scudetto......
"En effet, je veux devenir un joueur important, le reste arrivera par la suite."
Quel est le plus beau stade dans lequel vous avez évolué ?
"Le Giuseppe Meazza."
La chanson qui vous motive ?
"Eminem, ‘Lose Yourself'"
La défaite la plus douloureuse ?
"Face au Paris-Saint-Germain, nous avions perdu dans les dernières secondes en Ligue des Champions."
Votre plat préféré ?
"Risotto alla milanese"
L’équipier qui cuisine le mieux dans l’équipe ?
"Je n’en connais même pas un, il sourit."
Votre idole étant enfant ?
"Alaba, car il a toujours fait de très belles prestations à plusieurs postes différents."
L’adversaire le plus redoutable ?
"Douglas Costa. Quand il était dans une forme étincelante, avec son explosibilité et ses dribbles, il était imprenable."
®Antony Gilles – Internazionale.fr
Commentaires recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez commenter maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous possédez un compte, connectez-vous.