Samir Handanovic s’est livré à quelques heures de la confrontation entre l’Inter et le Bayern Leverkusen. Voici ses déclarations délivrées, ce dimanche 9 août à Inter TV.
Avant Getafe vous parliez d’être égoïste. Et malgré les 20 minutes de difficulté en début de rencontre, vous avez finalement pris le meilleur. Qu’est-ce qui vous a séduit de la part de l’équipe ?
"J’ai aimé le fait de ne pas avoir pris de buts, c’est un aspect fondamental. Ne pas prendre de but est toujours un bon point de départ. Face aux espagnol, nous avons débuté en faisant preuve de compacité. Ils nous ont pressé durant 20-25 minutes, mais nous avons tenu bon."
L’Inter, dernièrement, semble avoir trouvé un équilibre en défense : 5 matchs sans encaisser. Qu’est-ce qui a changé ?
"Chaque match où tu ne prends pas de but fait augmenter ta confiance et ton auto-estime, tu es motivé et tu deviens plus fort. Cela dépend du travail de l’équipe et de l’équilibre sur le terrain, mais aussi des moments. Dans d’autres partie nous faisions aussi bien, mais sur la première action cadrée, l’adversaire marquait. Dans le football, l’instant compte."
Quel type de match sera la confrontation face au Bayer Leverkusen?
"Leverkusen est une équipe jeune avec des qualités, elle a démontré sa valeur en Bundesliga. Je pense qu’il s’agira d’un match ouvert où les deux équipes se battront pour l’emporter. Ils se créent de nombreuses possibilités, ils ont des qualités et sont très rapides devant, mais ils concèdent aussi beaucoup derrière."
Comment vous préparez-vous à aborder ce match ? Entre l’objectif d’atteindre la demi-finale et l’envie de soulever la Coupe ?
"Nous sommes ici pour donner notre maximum et aller le plus loin possible, pour remporter un Trophée qui nous manque à tous. Tout le monde rêve de cette victoire, mais il faut d'abord disputer le prochain match. La demi-finale vaut tout pour nous, c’est une étape importante, chaque match qui se présente devant nous devient toujours plus important. Nous sommes prêts et nous sommes impatient de défier Leverkusen ."
Les favoris ?
"Non, il n’y en a pas."
®Antony Gilles - Internazionale.fr
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