La Gazzetta Dello Sport s’est penchée sur l’Interview de Luciano Spalletti qui était présent hier à Pérouse pour un débat sur le calcio.
Icardi ?
"Je suis un entraîneur qui, chaque soir, s’entretient avec son Directeur sportif, Piero Ausilio. Ce dernier me fait part du déroulement de la situation, s’il y a des choses qui peuvent se concrétiser et s’il y a des choses qui ne dépendent pas de nous. Quand nous nous sommes quitté, nous nous sommes concentré sur le Futur de Mauro et de son numéro 9."
"La saison prochaine, il peut inscrire encore plus de buts et devoir lui trouver un remplaçant ne serait pas une chose aisée. Mais si quelqu’un vient, te paye la clause libératoire et que le joueur souhaite partir, tout ce que tu peux penser devient superflu."
La victoire de l’Olimpico ?
"Mes garçons m’ont fait voir qu’ils disposaient d’une certaine maturité, ils m’ont surpris. Je me sens bien avec eux, j’ai aussi appris beaucoup de choses avec mes joueurs. J’ai proposé une idée pour avancer et eux m’on suivit, ils ont répondu à mes demandes positivement après une longue période difficile et compliquée. J’étais ferme et je ne leur permettais pas de reculer, ne fut-ce que d’un centimètre."
Le Scudetto ?
"C’est un sujet qui sert de trampoline pour la presse, c’est un fait qu’elle se comporte d’une façon verticale, mais il y a la nécessité d’être correct. Nous avons encore eu pas mal de distance dans les points sur les équipes qui étaient au sommet : la Juve et le Napoli. Notre mérite a été de se rapprocher et d’accrocher un peu la Roma, mais la Juve et le Napoli sont deux équipes extrêmement fortes."
"Ils l’ont prouvés en Ligue des Champions. Lorsque tu joues des rencontres européennes, à un moment tu ressens que ces joueurs ont le mental, et qu’ils ont l’envie, jusqu’à un certain point, d’être les plus fort. La Roma a d’ailleurs prouvé être une équipe talentueuse et son entraîneur est très bon."
La prochaine saison en Série A ?
"Je m’attends à un championnat disputé, comme celui de cette saison, car les forces en présences s’équivalents. Je vois bien un retour de l’Atalanta, de la Lazio et du Milan, même si cette année, il était hors-sujet. De plus, c’est aussi aux entraineurs à organiser leurs équipes sur leurs façon de jouer et de parvenir à poser des problèmes face à des adversaires plus forts. Il suffit de prendre comme exemple Marco Giampaolo et sa Sampdoria."
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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