Le nouveau logo fait réagir. Un tel changement n'est pas anodin. En direct sur Instagram en duplex avec le compte GQ italien, Marco Materazzi a commenté cet évènement :
"C'est très innovant. Ça va vers les gens et vers ceux qui doivent faire en sorte que l'Inter soit toujours plus grand. Il se rapproche de ce qu'est le monde idéal aujourd'hui. Nous devons rappeler aux jeunes notre histoire. Je pense à Jordan, il s'est arrêté il y a quelque temps mais il est toujours présent. Le logo peut changer facilement mais il faut être habile pour transmettre ces valeurs. C'est un langage universel. Ce nouveau logo peut être repéré dans tous les pays du monde. C'est la direction de l'entreprise, la continuité d'un chemin entrepris depuis un certain temps avec le 'Not For Everyone'. Cela peut donner de la visibilité aux couleurs nerazzurri partout dans le monde. C'est très intuitif et c'est l'esprit qu'il faut à l'équipe numéro un de Milan. C'est comme ça qu'ils nous appellent à l'étranger, l'Inter Milan. Milan a beaucoup gagné mais en dehors de l'Italie, Milan est l'Inter. Un symbole de guerre ? Nous avons beaucoup souffert. San Siro est le plus beau stade au monde. Quand vous y entrez il vous transmet la force d'un gladiateur et vous permet de gagner des matchs."
Le temps passe mais l'Inter reste, et évolue :
"Pour moi, avant nous étions une famille et maintenant avec le changement de génération, nous le sommes restés mais nous essayons de rester en phase avec le temps. Moratti était le père de tous les tifosi de l'Inter. Maintenant Steven Zhang est là à Milan, pour y vivre. Cela ne s'est pas produit avec d'autres propriétaires et ça doit nous donner espoir. Moratti était très proche de Steven et il l'a endoctriné sur ce qu'est la famille Inter."
Un mot sur le classement ?
"La position est enviable et notre destin ne dépend que de nous. Nous avons des rencontres difficiles et importantes qui arrivent. Il faut continuer à pousser comme ils le font et nous espérons qu'il n'y aura pas de problèmes d'ici la fin du championnat."
Il termine sur la situation que traverse le football actuellement :
"Les stades vides ? Nous devons applaudir les joueurs. J'aurais certainement arrêté. Les fans vous soutiennent pendant quatre-vingt-dix minutes dans une enceinte pleine et font pression sur les adversaires. Sortir indemne de certains endroits est vraiment incroyable. Je me souviens quand je suis venu ici jouer l'Inter quand j'étais à Pérouse, j'avais le souffle coupé."
®gladis32 - internazionale.fr
Commentaires recommandés
Il n’y a aucun commentaire à afficher.
Rejoindre la conversation
Vous pouvez commenter maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous possédez un compte, connectez-vous.