Les débuts de l'Inter en Ligue des champions approchant, lors du Nerazzurri Match Day, Nicolò Barella s'exprimait ainsi en vue du match.
"Les personnes qui m'entourent sont très importantes car elles me donnent le bon coup de pouce, de la force : mes parents, ma femme et mes filles."
Et si vous deviez choisir trois légendes Nerazzurri ?
- Partenaire au milieu : "Stankovic"
- Joueur à défier à l'entraînement : "Adriano, j'aurais aimé le voir s'entraîner"
- Colocataire : "Ronaldo, c'était le plus fort de tous"
Chemin
"Dans ma carrière, la détermination a été fondamentale, elle m'a permis de croire en moi, de progresser et de surmonter les obstacles. Le travail et surtout le sacrifice étaient les bases quotidiennes. Mes racines sont à Cagliari, c'est ma ville, où je suis né. À Côme, j'ai vécu ma première expérience loin de chez moi, loin de mes proches et cela m'a beaucoup aidé, tant sur le plan professionnel que privé, à grandir et à mûrir, tandis que Milan est le présent, c'est l'endroit où je voulais être et dans quoi je suis."
Stankovic comme modèle
"J'ai beaucoup de souvenirs de mon enfance, partagée entre le football, les amis et la famille. Des après-midi passés à jouer avec mes cousins à Torre delle Stelle, aux terrains de football mon endroit préféré. J'ai joué, je me suis amusé, j'ai appris. A 14, 15 ans j'ai réalisé que je pouvais avoir quelque chose de plus, de la détermination ou du talent. J'ai commencé à y croire et avec un peu de sacrifice je me suis retrouvé à faire ce dont j'ai toujours rêvé. J'ai toujours dit que Stankovic était le prototype du joueur que j'aimais, Daniele Conti a également influencé mon parcours avec son humilité, son exemple et son amour pour son Cagliari."
Souvenirs
"C'est difficile de choisir un but, le premier avec le maillot des Nerazzurri était contre le Slavia Prague mais je garde un merveilleux souvenir du second, celui contre Vérone car à sept minutes de la fin on était à 1-1 et ce but nous a permis de gagner. J'ai pris le ballon à De Vrij, revient pour un position plus centrale et l'ai mis sous la barre grâce à une frape enveloppée. Je me souviens du rugissement du stade bondé, de l'exultation, de l'étreinte de mes coéquipiers, je frissonne encore quand je pense à ça."
Traduction alex_j via FCInter1908.
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