Voici la réflexion de la Repubblica suite au Derby d’Italie : L’Inter a des torts, dont celui de ne pas avoir gagné ce match. Elle l’a abordée dans des conditions idéales. Spalletti était libre de ses choix et il a préféré Icardi à Lautaro.
Qui plus est, elle a commencé de la meilleure des façons en surfant sur la vague du fantastique but de Nainggolan, une reprise du droit tellement belle qu’elle a fait passer au second plan l’incertitude de Szczesny et les deux autres actions qu’on sut se procurer De Vrij et Icardi.
Pourtant, par la suite, l’équipe a abdiquée, probablement à cause d’un incroyable manque de personnalité, elle qui aurait pu conserver l’espoir d’accéder à la seconde place, il y aurait eu lieu de ne plus parler du discours relatif à la Ligue des Champions.
Mais les Nerazzurri n’ont pas eu le courage de prétendre à leurs pensées les plus ardues. Il n’y a même pas besoin de le dire, cela s’est vu après l’égalisation avec Spalletti qui s’est réfugié en remplaçant Nainggolan par Borja Valero.
Cela lui suffisait, comme s'il n’était pas utile d’en vouloir plus.
Êtes-vous d'accord avec cette analyse ?
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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