Aller au contenu
  • Actualités de l'Inter

    Stephano Pioli et Sandro Tonali "victime" d’un journaliste peu scrupuleux

    En effet, au cours de l’interview d'avant-match, un journaliste, le même qui avait interrogé Simone Inzaghi sur la désignation arbitrale de la rencontre, a tenu à tourner la situation à son avantage
     
     
    Selon le journaliste Simone Inzaghi aurait tenu des propos irrévérencieux sur la situation relative au fait que l’arbitre soit français et que le Milan dispose de joueurs français en insistant : "Ce sont les mots d’Inzaghi." 
    Toutefois, il s’agit d’un pure mensonge au point même que même l'attaché de presse du Milan a corrigé l'imprudent journaliste : "Inzaghi a dit quelque chose de différent, alors passons à autre chose", en faisant référence à Inzaghi. Suivi d’un Stefano Pioli auteur d’un "Pas de commentaire" et d’un Sandro Tonali invitant à trouver un arbitre sans nationalité
     

    En fait, Inzaghi a dit quelque chose de complètement différent : "Je ne parle pas beaucoup des arbitres, même si parfois je ne peux pas me retenir. Au match aller, il y a eu un épisode qui aurait dû être évalué différemment, je parle de la faute de Krunic sur Bastoni, qui aurait donné un résultat différent et très important. Cela n'a pas été le cas et il n'y a pas de problème avec cela. J'ai beaucoup d'amis et de connaissances dans le football qui, lorsqu'ils ont vu la désignation d'un arbitre français avec les quatre joueurs français de l'équipe de Milan se sont interloqués... mais il n'y a pas de problème, j'ai la plus grande confiance".
     
     
    ®Antony Gilles – Internazionale.fr

    • Victor "Antony" Newman
    3 commentaires

    Aleksander Ceferin, hôte de l’Inter

    En effet, si 12,5 millions d’euros seront à priori récoltés, le Stade Giuseppe Meazza accueillera également tout l’état-major de l’UEFA sans bien sur oublier son numéro Un
     
     
     
    En effet, dans la Skybox Nerazzurra on retrouvera aux côtés du Présent Steven Zhang,  le Président Aleksander Ceferin et ses hommes.
     
    Le saviez-vous ?
    Avant le match, des cadeaux seront échangés entre les deux clubs, comme le veut la tradition, mais il n'y aura pas le déjeuner que les Nerazzurri offrent habituellement aux clubs qui arrivent à Milan.
     
    Les milanistes ont l’Arbitre, l’Inter le Président de la Fédé européenne, what else ?!
     
    ®Antony Gilles – Internazionale.fr

    • Victor "Antony" Newman
    3 commentaires

    Gel glacial entre Steven Zhang et Gerry Cardinale

    En effet, depuis le 31 aout dernier et l’arrivée en qualité de nouveau propriétaire de l’Ac Milan, Gerry Cardinale, on a appris que l’américain n’a jamais parlé , du moins publiquement et vraisemblablement par téléphone, avec Steven Zhang
     
     
     
     
    Mais d’où vient ce froid polaire ?
    Outre les possibles raisons liées à la situation internationale entre les Etats-Unis et la Chine, il y aurait plutôt une explication dans la décision du changement de cap de Cardinale dans la thématique du stade, en "ruinant" tout le travail qui était déjà réalisé entre Steven Zhang et l'ancien propriétaire des Rossoneri, Elliott.
     
    Est-ce que cela sera également visible ce soir sur le terrain ?
     
    ®Antony Gilles - Internazionale.fr
    Source: Tuttosport

    • Victor "Antony" Newman
    2 commentaires

    Alessandro Bastoni : "Un Honneur pour moi d’endosser ce maillot!"

    Notre numéro 95 Champion d’Europe s’est livré dans les colonnes du MatchDay Programme à quelques heures du Derby Della Madonnina
     

     
     
    Comment se déroulera le voyage d’Appiano Gentile au Meazza ?
    "Comme celui de toutes les autres fois, comme je l’avais déjà dit avant Benfica, c’est un match de football et il doit être vu comme tel, avec de la joie et de l’amour qui émane de ce sport. Ce sera important de rester équilibre car ce sera une vraie bagarre : Ils vont devoir se montrer agressif car ils devront renverser le résultat tandis que nous devront rester concentré et jouer comme nous avons l’habitude de le faire."
    "L'Union fait la force de notre Groupe, nous sommes conscient de notre force et nous savons que c’est en étant uni que nous pourrons récolter de très nombreuses satisfaction: L’ensemble de notre chemin a été important : En phase de groupe, nombreux étaient ceux qui nous avaient déjà condamné mais nous sommes parvenu à nous qualifier."
     
     
    Quelle a été la plus belle partie ?
    "Celle face à Benfica en termes d’ambiance car elle était incroyable et l'avoir gagné l’a rendu encore plus belle : J’ai toujours dit que c’était un Honneur pour moi d’endosser ce maillot : Chaque fois que je monte sur le terrain, je cherche toujours à tout donner pour honorer nos couleurs, que ce soit à l’entrainement, qu’en match."
     
    ®Antony Gilles - Internazionale.fr

    • Victor "Antony" Newman
    4 commentaires

    Inter et Milan : 130 millions de recettes déjà atteintes en C1

    Le Corriere dello Sport dévoile aujourd'hui tous les chiffres récoltés jusqu'à présent par l'Inter et Milan en Ligue des Champions.
     
    Steven Zhang et Gerry Cardinale sourient à l'approche du match retour de l'Euroderby. Le résultat du match aller n'y est pour rien même s'il voit les Nerazzurri mener 2-0. En effet, le Corriere dello Sport dévoile aujourd'hui les chiffres récoltés jusqu'à présent par l'Inter et Milan via la Ligue des champions. Des chiffres totalement inattendus en début de saison qui peuvent encore augmenter en cas de finale à Istanbul. L'entrée à la finale vaut un autre bonus de 15,5 millions.
     
    Entre les prix de l'UEFA et l'argent du stade, les deux clubs milanais ont obtenu environ 125 à 130 millions chacun. Depuis des mois, on entend dire que la qualification pour la Ligue des champions par le biais du championnat a été déterminante pour régler les bilans et sorts d'Inzaghi et Pioli. Les deux entraîneurs, atteignant la demi-finale, ont déjà fait gagner aux clubs environ trois fois l'argent garanti avec l'entrée dans les groupes. Les comptes sont bientôt faits. La participation initiale s'élevait à 15,6 millions auxquels il faut ajouter les primes de résultats dans le groupe (9,3 chacun avec 3 victoires et 1 nul), le lot d'entrée en huitièmes de finale (9,6 millions), les quarts de finale (10,6) et en les demi-finales (12,5). Il faut ajouter le quota minimum du market pool (environ 12 millions pour l'Inter et 14 pour Milan, à recalculer à la fin du tournoi), le classement historique (15,9 pour l'Inter et 14,7 pour Milan), plus le stade.
     
    Ce soir, le Meazza établira un nouveau record dans l'histoire du football italien : environ 12 millions d'euros. L'Inter avait gagné 8,2 en accueillant Benfica et 6,7 en huitièmes de finale contre Porto. Dans le groupe (avec le Bayern, Barcelone et le Viktoria Plzen) les revenus n'ont pas été divulgués. Mais avec plus de 70 000 spectateurs pour deux matches sur trois, nous disons 12 millions avec des billets abordables. Le total, avec les prix, porte le chiffre total à environ 125,5 millions. L'AC Milan a communiqué les recettes suivantes avec le Dinamo Zagreb (3 millions), Chelsea (6,8), Salzbourg (4,6), Tottenham (9,1), Naples (8,5) et Milan (10,4). Le total est de 42,6. En comptant les prix de l'UEFA, nous sommes à un revenu total d'environ 129 millions. Les fans des Rossoneri et des Nerazzurri ont contribué globalement à verser environ 80 millions dans les caisses des clubs.
     
    Traduction alex_j via FCInter1908.

    • alex_j
    5 commentaires

    Marco Materazzi et Goran Pandev donnent leurs conseils

    Marco Materazzi et Goran Pandev s'expriment sur le retour de l'Euroderby aux micros de Sky Sport.
     

    Marco Materazzi
     
    A propos de Goran Pandev.
    "On s'entendait très bien avec Goran, on avait la fraterie tzigane avec Chivu, Stankovic, on était comme des frères. On s'aimait. Cette année (2010, ndlr), il est est arrivé en Janvier et a fait la différence. Ce n'est pas donné à tout le monde."
     
    L'Inter peut perdre ?
    "Oui. C'est vrai. Quand tu joues sans plus rien à perdre, tu es plus calme comme eux maintenant. Voyons comment ça se passe. On joue à domicile, il va falloir commencer fort. Nous devons les mettre sous pression immédiatement."
     
    Avez-vous bien dormi avant le Camp Nou ?
    "Non avant le Camp Nou mais avant le match aller oui. On savait qu'aller là-bas pour défendre la victoire 3-1 n'était pas facile, il y avait le but à l'extérieur. Puis Thiago Motta a été expulsé et l'obstacle semblait insurmontable. Mais nous voulions vraiment cette finale et nous l'avons atteinte."
     
    L'Inter n'aura pas à gérer.
    "En tant que fan, c'est la seule peur, si vous le maintenez à 0-0, une étincelle ou un but audacieux suffit pour relancer le match. Je pense que les garçons montrent qu'ils sont en excellente condition physique et ils essaieront d'en faire une formalité. Quand on joue 7 matchs de Ligue des Champions sans encaisser de but, ça veut dire qu'on a fait quelque chose. Ils voudront prouver qu'ils méritent la finale."
     
    Une comparaison avec votre Inter ?
    "Je n'aime jamais faire de comparaisons. Je préfère la mienne, mais j'aimerais que celle-ci gagne à nouveau, surtout parce que cette année ce serait vraiment inattendu. Ils peuvent nous faire rêver, je l'espère. Ce serait merveilleux comme fan, nous serions les premiers Italiens après tant d'années."
     

    Goran Pandev
     
    Ses souvenirs du derby.
    "Je me souviens quand je venais d'arriver de la Lazio en Janvier, on avait gagné 2-0 avec un but sur coup franc. Nous étions dix parce que Sneijder a été expulsé. Ce sont toujours des matches passionnants."
     
    Aimé partout ?
    "J'ai essayé, là où j'étais, de donner le meilleur de moi-même. Parfois tu réussis et parfois non. J'ai toujours tout donné sur le terrain. Materazzi m'a tellement donné. Il était comme un père, il m'a aussi donné des coups mais pour moi c'était fondamental."
     
    Un conseil aux joueurs ?
    "Dans les deux soirées avant Barcelone, je n'ai pas dormi. Mais après 5 minutes, dès que le match commence, tout semblait normal. Il y a beaucoup de gens expérimentés à l'Inter, physiquement ils vont bien, mais il va falloir oublier le match aller. Je pense qu'ils peuvent passer le tour, ils ont aussi récupéré des joueurs sur le banc, ils marquent tous des buts et en encaissent peu. On sait que Leao est de retour mais ils le connaissent bien et je pense ils joueront un grand match. Cette Inter est forte mais la nôtre a certainement eu des gens comme Eto'o qui a gagné des matchs tout seul. Ce sont deux Inters très différentes."
     
    Inzaghi ?
    "Il a beaucoup changé, nous avons passé cinq ans ensemble à la Lazio. Il a montré qu'il savait souffrir, il a eu des difficultés mais s'il atteint la finale de la Ligue des champions, il aura fait une grande chose. J'espère qu'il pourra le gagner car un club comme l'Inter le mérite."
     
    Comment jugez-vous la saison de l'Inter ?
    "L'Inter a deux grands directeurs sportifs à Marotta et Ausilio, je sais ce qu'ils peuvent faire. À mon avis, cette saison pour l'Inter est positive si au final ils terminent à la deuxième place, vont en finale de la Ligue des champions et remportent la Coupe d'Italie. Ils ont quatre grands attaquants, à mon avis. Vous ne pouvez pas vous planter maintenant parce que tout le monde va bien. Correa a eu quelques problèmes mais ce sont les attaquants qui font la différence."
     
    Traduction alex_j via FCInterNews

    • alex_j
    0 commentaire

    Même à 7 et avec la Primavera l'Inter passe !

    Tout le monde s'exprime sur le retour de l'Euroderby, y compris Antonio Cassano lors de son émission FantAntonio sur 'Bobo TV'.
     
    "Il est pratiquement impossible pour que le Milan revienne de deux buts face à l'Inter lors du match retour de l'Euroderby. L'Inter doit jouer à 7, avec les garçons de la Primavera pour être éliminée. Et encore, il y a le risque que Milan ne puisse pas les battre! Avec ou sans Leao, ça ne change rien! Milan est inférieur à l'Inter. Le Portugais n'est pas Kakà ou Ronaldinho, je ne le vois pas ce niveau. Pour moi, seule une catastrophe doit arriver pour que l'Inter sorte. Après le match aller, la performance du mois dernier et les deux buts d'avance, à mon avis, il n'y a plus aucune chance pour les Rossoneri. Alors peut-être que pour la énième fois je me tromperai dans ma prédiction..."
     
    Sacré Cassano... Est-il fou ? Est-il génie ? Seul Dieu le sait 
     
    Traduction alex_j via FCInterNews

    • alex_j
    10 commentaires

    Skriniar une marionnette parmi des marionnettes au PSG ?

    Dans son discours à 'La politique dans le football' sur Gr Parlamento, Paolo Bonolis a abordé des sujets liés à son Inter.
     
    Concernant Milan Skriniar destiné à partir gratuitement en fin de saison après tant d'années passées à l'Inter :
    "C'est un ingrat! Si on veut donner une définition précise. S'il avait voulu faire ce changement de trajectoire de carrière, il suffisait de le dire et au lieu de cela, il ne voulait pas le faire pour partir en transfert gratuit et prendre un salaire plus élevé. Là, il sera une marionnette parmi les marionnettes et ici à Milan, au lieu de cela, il était une idole."
     
    Un commentaire sur le mercato et sur l'éventuelle confirmation de Romelu Lukaku :
    "Il faut voir. C'est difficile de le dire. Dans les conditions actuelles ça ne ferait pas de mal de le garder mais comme le dit justement Marotta, ce qui va se passer reste à voir. Une signature possible? Marotta est un seigneur du marché, un grand manager qui comprend le football. Un joueur que je verrais bien à l'Inter est Kvaratskhelia, un grand footballeur, ou Dybala. Nous devons remplacer Correa et un joueur de ce type serait parfait, un joueur qui peut passer l'adversaire."
     
    Moralité : Et voila ce qui arrive quand on fait le Jacques, Martin 
     
    Traduction alex_j via FCInterNews

    • alex_j
    8 commentaires

    Ligue des Champions Inter - Milan : Conférence de presse

    Nous y sommes! Simone Inzaghi s’est livré à quelques heures de la seconde manche de l’EuroDerby Della Madonnina: "Lors du tirage au sort de la phase de groupe, nous étions un peu déçu, nous n’avions pas été énormément chanceux : Je me suis limité à dire au Staff et aux joueurs que Barcelone et le Bayern Munich n’étaient pas heureux d’avoir tiré l’Inter dans le troisième chapeau : Il y avait tellement de confiance: A présent,  nous sommes ici et nous savons que nous avons passé une étape très importante."
     
    Pour une meilleure lisibilité, l'interview de Francesco Acerbi est publiée dans un autre article :
     
     
    Qu’attendez-vous du public ? Vous attendez-vous à voir une Inter que va se donner à plus de 100% ?
    "Je l’avais déjà dit avant Benfica et je suisi répétitif mais demain, nous aurons les Tifosi avec nous, je n’ai aucun doute: Ils ont toujours été proche de nous, même lorsque nous étions en difficulté : Pour nous tous, nous devrons garder la tête froide et avoir le cœur chaud, c’est la seule route à emprunter pour bien interpréter la partie."
     
    Comment vont Lautaro et Correa ?
    "Joaquin a demandé lui-même à sortir, je ne l’aurais pas fait moi car il me séduisait face à Sassuolo, c'était une douleur musculaire: Les sensations sont bonnes et  nous évaluerons la situation aujourd’hui. Nous verrons demain s’il sera disponible, mais je n’ai aucune certitude en ce moment : Lautaro traverse une très belle période et il s’entend avec les autres attaquants de la meilleure façon"
     
    Etes-vous plus serein maintenant qu’au match aller ?
    "En tant qu’entraineur, je vis les matchs quasiment de la même façon, demain c’est l’une des rencontres parmi les plus importantes de l’Histoire de l’Inter, nous connaissons tous ce qu’elle représente pour tout le monde, nous devrons l’aborder de la meilleure des façons en sachant que nous disposons d’un avantage mérité, mais nous savons que nous devrons réaliser un mach Da Inter sans chercher à le gérer, nous couvrirons le terrain car Milan, face à nous, a énormément de qualité."
     
    Quel est l’état de forme de Lukaku ? A-t-il retrouvé enfin le niveau de son premier biennal ?
    "Vous le connaissez, vous savez de quoi est capable Romelu : Moi comme entraineur, j’ai cherché à permettre à Lukaku de revenir avec de l’enthousiasme celui de ce dernier mois, qui  est celui que j’aurais voulu avoir toute l’année : Lui et Brozovic ont connu des stops imprévus, ils étaient indisponibles pour nous et nous avons soufferts sans eux même si nous avons été très bons pour nous en passer."
    "Lukaku à énormément travaillé et il est arrivé dans ce dernier mois dans la meilleure des condition possible : Je ne sais pas s’il pourrait être capable d’enchainer trois matchs de suite, mais son physique est incroyable : Nous avons tous vu ce qu’il est capable de nous apporter aussi bien à l’Olimpico qu’a Sassuolo."
     
     
     
    Comment gérer Milan …et L’arbitre de demain ?
    "Je ne parle pas beaucoup des arbitres. Au match aller, il y a eu un épisode qui aurait dû être évalué d'une autre manière, je fais référence à la faute de Krunic sur Bastoni qui aurait pu nous donner quelque chose de très important en termes de résultat et de  qualification. Mais il n'y a pas de problème."
    "Beaucoup ont associé la désignation de l'arbitre français avec quatre Français au Milan... mais il n'y a pas de problème, la confiance est maximale. Nous n’allons pas rentrer dans un mode de gestion du match, demain face au Milan, nous aurons besoin de disputer un match Da Inter car il y aura des embuches sur notre route et nous allons essayer de de nous en sortir de la meilleure façon possible".
     
    Tactiquement, sans anticiper la rencontre, pourriez-vous envisager de baisser un peu votre centre de gravité ?
    "Je vous remercie pour vos mots à mon égard. Pour ce type de choix, je lis et j'écoute peu heureusement… mais je sais tout. Ma grande chance, c'est de peu écouter et de lire peu : Je connais mes choix et c’est toujours plus facile après une rencontre. Nous, les entraîneurs, ,nous  devons faire des choix tous les jours, parfois on a plus de chance, parfois non : C’est le métier qui nous l'impose."
    "Je pourrais très bien avoir des choses en tête pour demain, mais on ne sait pas à l'avance comment ça va se passer. Il faudra parfois savoir se montrer agressif comme il faudra parfois savoir défendre tous ensemble. Indépendamment de Leao, Milan a de la qualité et il est en demi-finale, il faut faire très attention."
     
    Comment vivez-vous cette situation à titre personnelle ? Vous êtes déjà comparés aux autres entraineurs finalistes italiens....
    "Nous sommes à 90', plus des arrêts de jeu, d’atteindre un merveilleux rêve avec ces merveilleux garçons que j'ai la chance d'entraîner. Nous sommes également en Finale de la Coppa Italia. Après coup, on pense tous que nous aurions pu faire mieux: Lors de la trêve, j’ai très bien travaillé avec Lautaro, Dumfries, Lukaku, Brozovic.  A présent, nous avons devant nous des matchs rapprochés qui sont tous important et c’est une chance car cela ne nous laisse pas de temps pour cogiter"
    "Il y a cinq matches de cela, nous étions encore loin d’être en Ligue des Champions, maintenant il ne reste plus qu’à franchir la dernière marche : Nous abordons la rencontre de demain en ayant conscience de notre avantage: Nous sommes très proche d’un rêve et nous aurons besoin de disputer un match vrai: Da Inter."
     
    Comment avez-vous fait pour faire en sorte que Çalhanoğlu devienne un maître à jouer, un Regista ?
    "C'était un choix, une intuition, il nous manquait Brozovic qui est très important pour nous et à ce moment-là, j'ai pensé qu'il pouvait être la solution la plus importante. Il a été très bon à ce poste. Je pense aussi à Darmian qui, en tant que troisième défenseur, réalise de très grandes choses, dans un rôle qu'il n'avait jamais occupé. Il avait toujours joué dans le milieu à cinq, par le passé, voir même dans une défense à quatre : Il est très bon. J'ai des joueurs de grande qualité qui s'adaptent aux situations, je pense aussi à Luis Alberto à la Lazio qui est devenu l'un des meilleurs Mezzala d’Europe".
     
     
     
    On parle beaucoup de Milan. Avez-vous aussi cette sensation que la qualification ne dépend que de vous ?
    "Absolument oui, nous savons qui nous allons affronter et nous savons que nous sommes dans une très belle période : Nous sommes prêts à disputer un match de cette importance, nous avons déjà répondu présent face à une équipe très forte qu’était Benfica, nous disposons exactement du même avantage : Ce sera un match, comme celui contre Sassuolo, qui sera composé d’e embûches. Nous devrons être bons pour les surmonter lorsqu’elles se présenterons."
     
    Est-ce plus dangereux de se sentir déjà en finale ou de la jouer petit bras ? 
    "Mon équipe est mature et sérieuse, qui sait qu'elle a mérité son avance. Il ne faut plus reculer. Je vous le dis à vous aussi, nous ne devons rien spéculer, nous devons jouer un match Da Inter tous ensemble: Et nous pouvons l'affronter avec beaucoup de confiance. Il ne faut pas vouloir la jouer petit bras: J’ai des joueurs importants, j'ai la chance d'avoir des joueurs qui connaissent la valeur de la rencontre : Nous devrons jouer ce match comme nous l'avons toujours fait lors de nos derniers derbys."
     
    Est-ce qu’il s’agira d’un Derby de Spartiates comme l’a déclaré Acerbi ?
    "J'avais déjà répondu à l'un de ses équipiers que c’était déjà le cas au match aller : C'est très important et nous en avons tous connaissance : Nous sommes ici et nous voulons arriver là où il était très difficile de penser à arriver. Nous connaissons le chemin et la montée que nous avons empruntés pour y parvenir : Nous connaissons les critiques qui, si elles ne sont pas présomptueuses comme c'est souvent le cas, nous aident et nous conseillent, nous avons à quel point la rencontre de demain est importante : Inutile de tourner autour du pot."
     
     
     
    Comment êtes-vous parvenu à créer cet environnement au sein du Vestiaire ?
    "C'est, tout d'abord, un travail quotidien, la façon dont l'ensemble d'un groupe travaille. Nous ne sommes pas une équipe composé d’un un nombre de joueurs si élevé, comme d'autres équipes, nous sommes une équipe de 20 joueurs avec des doublures à chaque poste. Zanotti, Carboni et Fontanarosa ont un avenir assuré, mais ces matches seraient compliqués pour eux."
    "Je m'arrête donc à 20 joueurs, avec quelques blessures jusqu’à récemment, mais après la Coupe du monde, grâce aux garçons, quelque chose s'est créé et maintenant nous sommes en Finale de la Coupe d’Italie et nous avons devant nous cette demi-finale retour. Le calendrier n'est devenu gérable que de cette manière, avec un turnover important de joueurs, avec l’engagement de tous : C'est la seule façon dont je pouvais gérer la situation, en demandant à tout le monde d'apporter une contribution des plus importante."
     
    ®Antony Gilles – Internazionale.fr

    • Victor "Antony" Newman
    4 commentaires

    Francesco Acerbi : "Si on ne passe pas demain c'est une catastrophe !"

    Francesco Acerbi parle lors de la conférence de presse rituelle à la veille du retour de l'Euroderby. Voici ses déclarations, celui qui est désormais devenu un pilier essentiel de l'équipe.
     
    La même approche vue avec Benfica sera-t-elle nécessaire ?
    "En plus, c'est une demi-finale contre un Milan qui voudra renverser la vapeur. Cela dépend de nous, de notre approche et de notre détermination. Milan voudra faire quelque chose d'extraordinaire mais nous serons prêts."
     
    Êtes-vous prêt pour ce genre de défi ?
    "Oui, parce que c'est un match merveilleux à jouer et cela donne la bonne adrénaline et le stress d'affronter Milan lors d'un retour en Ligue des champions. Ce sera plus difficile mais nous voulons faire quelque chose qui était impensable en début de saison."
     
    Comment vivre un match incroyable même pour l'histoire d'un footballeur ?
    "Ce sont des angoisses, des pensées positives et négatives. Il faut être positif, avoir confiance en soi et dans le groupe. Nous affrontons une équipe solide mais nous aussi, avec enthousiasme et attention à vouloir jouer le jeu. Si nous pensons déjà que nous sommes même à 1% de passer, nous ferons une énorme erreur. Mais nous ne sommes pas comme ça, ce sera un match encore plus difficile mais nous ferons tout pour passer."
     
    Qu'est-ce qui a changé en défense ?
    "Si vous ne vous entraidez pas avec toute l'équipe, vous perdez. Toute l'équipe a changé de braquet et voici les résultats. Mais sans la cohésion de chacun, vous ne gagnerez pas."
     
    Y a-t-il des similitudes entre l'Inter Milan et l'Italie championne d'Europe ?
    "Ce sont deux compétitions différentes, un groupe extraordinaire s'est immédiatement formé là-bas. Aujourd'hui, nous devons faire quelque chose d'encore mieux qu'au match aller."
     
    Comment ne pas être trop sûr à 2-0 ?
    "On n'est pas sûr du tout, on a été très calmes mais sans trop d'acclamations à la fin car il y a une remontée. On n'a rien fait, ce serait une erreur de penser qu'on a des chances de passer plus élevés que Milan. Nous savons que nous pouvons faire quelque chose d'important. Nous devons avoir un équilibre, avoir la bonne approche. Ce n'est pas facile d'apaiser la tension à la veille."
     
    Vous avez joué à tous les matchs, quel est votre secret ?
    "Je me repose bien, j'essaie toujours de me tenir prêt. J'essaie toujours de récupérer mon énergie physique pour toujours penser au prochain match. Ensuite, c'est à l'entraîneur de décider s'il me laisse jouer mais mon approche doit toujours être élevée."
     
    Beaucoup d'Italiens sur le terrain, est-ce bon signe ?
    "Oui, les Italiens sont en déficit en ce moment donc c'est toujours agréable d'avoir beaucoup d'Italiens sur le terrain. Ensuite, le reste ne me concerne pas."
     
    Comment la prise de conscience d'accepter cela a-t-elle été créée ?
    "Vous êtes à l'Inter, vous savez toujours que n'importe quel joueur peut venir à votre place. Il y a toujours un temps libre parce que vous avez des coéquipiers aussi bons que vous et il est donc normal que vous vous reposiez. Ensuite, tout le monde doit être conscient qu'il peut aider. Savoir que tu as des coéquipiers qui peuvent faire aussi bien que toi est un signe de maturité."
     
    Vous avez eu une expérience à Milan qui ne s'est pas déroulée comme prévu.
    "C'était un passage de ma vie que je devais faire, j'étais un peu con. J'ai eu cette maladie qui m'a fait reprendre mes esprits sinon je n'aurais plus joué. Mais il n'y a pas de revanche, je m'intéresse à demain."
     
    Combien l'Inter vous a-t-elle donné pour venir de la Lazio ?
    "Ce sont des choses du passé. Je suis honnête, je dois remercier l'entraîneur, car sans lui je ne serais pas là. Il me connaît mais je le répète, j'essaie toujours de faire de mon mieux pour moi et pour mes coéquipiers. Cependant, j'ai des objectifs et tant que je jouerai au football, je passerai toujours mon chemin si ça ne va pas. Je sais ce que je veux et je sais ce que je ferai, grâce à l'entraîneur et aux coéquipiers qui m'ont donné un coup de main pour arriver ici. Ensuite, c'est au joueur de décider."
     
    17 matchs en deux mois peuvent-ils vous pousser à être le professionnel que vous étiez ?
    "Si on ne passe pas demain c'est une catastrophe, une saison de merde. Ou plutôt : un match suffit pour transformer une belle saison, entre guillemets, en une je ne dis pas faillite mais où tu dis que tu as perdu après avoir gagné 2-0... Tout dépend de demain. C'est une très bonne saison jusqu'à présent, alors nous verrons comment ça se passe."
     
    Qu'est-ce qui change au niveau tactique avec Leao ? Et la confrontation avec les supporters va-t-elle choquer ?
    "Nous verrons. Ils viennent d'une période pas aussi merveilleuse que celle que nous avons connue. Demain sera un test de fierté, nous devons nous attendre au meilleur de Milan. Leao est leur meilleur joueur, le plus décisif. Nous l'arrêterons avec le équipe entière."
     
    Traduction alex_j via FCInterNews.
     
     

    • alex_j
    4 commentaires

    Gianluca Pagliuca : "L'Inter quasiment en finale et le Milan dans le top 4"

    S'exprimant  aujourd'hui sur Radio Anch'io Lo Sport, notre ancienne légende Gianluca Pagliuca s'est exprimé sur les divers sujets brulants de l'Inter.
     
    L'Inter passant le Milan pour la finale de la  Ligue des Champions ?
    "L'Inter commencera comme favorite avec son 2-0 mais je ne vois pas le Milan 'battu' d'avance. Je suis convaincu que l'Inter a d'excellentes chances et j'espère qu'ils atteindront la finale mais les Rossoneri vendront chèrement leur peau. En championnat, je pense que le Milan sera dans le top 4 car les quatre plus forts y iront : Naples, l'Inter, la Juventus et Milan... La Roma aurait quelques points de plus s'il n'y avait pas eu les coupes."
     
    Onana vs Maignan
    "Ils sont tous les deux très forts. Pour l'instant je suis du côté de Maignan mais Onana connaît une saison incroyable en Serie A. Je ne pensais pas qu'il éclorait si tôt car je pensais qu'Handanovic avait plus de 'touché'. Mais Maignan est l'un des trois plus forts du monde."
     
    Plus peur d'affronter le duo Lukaku-Martinez ou Dzeko-Martinez ?
    "Lukaku est vraiment en forme, il redevient le joueur décisif qu'il était. J'aurais plus peur d'affronter Lukaku-Lautaro que Dzeko-Lautaro. Ils s'entendent bien, ils ont remporté le championnat avec Conte et cette année ils étaient à leur paroxysme. Je pense qu'ils finiront la saison sur une bonne note."
     
    Les jeunes gardiens italiens
    "J'aime vraiment Vicario , il a eu un championnat incroyable et il est déjà prêt pour des clubs plus importants. Carnesecchi est bon mais je le laisserais faire une autre année dans une équipe moyenne pour ensuite sauter le pas aussi."
     
    La confrontation joueurs-fans qui a eu lieu à la Spezia  après la défaite du Milan
    "Je ne comprends pas comment les joueurs de Milan qui ont fait une belle saison doivent s'excuser d'avoir perdu. Je peux comprendre si vous êtes relégués. Milan a perdu mais parce qu'ils sont probablement déjà concentrés sur le derby. Quiconque a fait ce travail pendant tant d'années peuvent comprendre cela. Certains fans ne le comprennent pas. Ils pensent que Milan devrait aller à La Spezia et gagner 3-0 et ce n'est pas le cas."
     
    Traduction alex_j via FCInterNews.

    • alex_j
    7 commentaires

    Stéphane Dalmat: "Je serai à Milan mardi"

    Stéphane Dalmat s’est livré, ce dimanche, suite à la victoire de l’Inter sur Sassuolo
     
    https://www.instagram.com/p/CsN0xlrIHVl/
     
     
    "Bonjour à tous,
    Encore une victoire et cette période me fait très plaisir, c’est super beau de voir l’Inter remporter toute ses rencontres, je me souviens des très mauvaises périodes où nous étions tous enragés et cela me semble loin, si loin comme période. Il ne faut pas l’oublier bien évidemment, au présent, à maintenant, et au futur. Hier j’ai vu une très belle rencontre très ouverte car Sassuolo n’avait rien à perdre et il a joué son match.
    Je suis encore content pour Lukaku et oui je vous en parle encore car je vous aviez dit que j’avais énormément confiance en lui : Un joueur comme lui, lorsqu’il est en forme et qu’il a de nouveau confiance en lui : C’est un Très grandissime joueur. Ensuite, les autres joueurs aussi bien au milieu, qu’en défense, sont tous en forme et je pense que l’équipe aujourd’hui, a tout compris qu’elle est en forme en pleine confiance et elle sera prête pour mardi.
    Et mardi il faut le faire : Aller en Finale et  je serai moi aussi au Stade: Cela fait quasiment 20 ans que je n’étais plus venu au Meazza et pour moi c’est un plaisir et j’attends avec impatience dimanche, lundi et mardi j’arrive à Milan et j’espère que nous passerons et que nous fêterons cette qualification pour la Finale. Mais ce ne sera pas facile, je ne vais pas vous dire qu’on va aller sur le terrain et qu’elle est faite, non car Milan est Milan, même s'il a perdu hier contre la Spezia et qu'il n’est pas dans une bonne période: Sur un match tout peut arriver mais je ne le pense pas, je ne pense pas à cette éventualité.
    Je n’ai pas peur comme j’avais en revanche un peu peur, je vous dis la vérité, lorsque nous avions gagné à Benfica et ensuite perdu à domicile, j’avais une toute petite crainte : Ici, non, je suis confiant, serein, heureux, très fier de venir au Stade en plus et de supporter l’équipe et de revoir ce stade magnifique avec une ambiance extraordinaire: Pour moi c’est un rêve, quelque chose que je tenais à faire et je ne savais pas venir plus tôt, mais j’ai enfin trouvé le temps pour venir et, c’est, en plus, pour voir en plus la plus belle partie de la saison et qui sait ensuite, à Istanbul…Je ne le sais pas encore.
    Je vous souhaite une très bonne journée, je pense que vous êtes tous fier et que vous attendez le plus vite possible la demi-finale  retour de ce mardi
    Comme je le dis toujours : Eh Oui ! Forza Inter!
     
    Ciao !"
     
    ®Antony Gilles – Internazionale.fr

    • Victor "Antony" Newman
    2 commentaires

    Route vers Istanbul - homo faber fortunae suae

    Egle Patanè, éditorialiste à FCInterNews, a écrit un beau texte concernant le match retour de l'Euroderby.
     
    Un, deux, trois, soleil ! La situation n'a jamais autant collé à ce jeu d'enfants. Et pour l'Inter, il faut viser l'étoile puis revenir sur terre et y rester. Là, à la 3e place du classement, et là, en route vers Istanbul même s'il reste encore un laissez-passer à gagner pour la métropole turque, du moins définitivement. Reste là, Inter. Reste là.
    Au plus fort d'une saison colorée, fluctuante, folle et borderline, faite de hauts et de bas, et enfin, après tant de bas (onze pour être exact), un pic au sommet qui fait presque peur au vu des dix jours à venir. Car telle est la nature de l'Interista, faite de peurs, d'appréhensions et d'angoisses toutes dirigées et concentrées sur elles-mêmes plutôt que de regarder les autres. Oui, il faut bien le dire, on est tous un peu André Onana lors de l'avant-match Milan-Inter de Mercredi dernier quand il a dit qu'il n'avait pas peur du Milan mais de l'Inter. Et avec tant de foi dans les moyens de ce sacré Simone Inzaghi, aujourd'hui à un pas de la revanche après tant de critiques, toute réserve envers l'enthousiasme inconditionnel a raison d'être et ce "+2" à l'aube du retour d'un Euroderby vaut même plus que le rêve du 10 juin et l'angoisse de se prononcer n'est pas sacro-sainte mais plus.
     
    Réserves, sacro-saintes (on le répète), mises à part, avouons-le, chuter maintenant serait impardonnable. Pourtant, quel vrai fan de l'Inter, logique mise à part, peut dire qu'il est calme ? Pas même les optimistes les plus téméraires, les plus fous. Alors baissez la tête et pédalez. Le 4-2 contre Sassuolo est thèse et antithèse, preuve et contre-preuve à la fois et nous voilà dans le même dilemme qu'il y a une semaine : tête ou coeur? Raison ou sentiment ? Tout et rien, selon le scénario. Et s'il est vrai que la raison apporte une bouffée de sérénité qui, Dimanche dernier, avait moins de force. L'histoire nous enseigne de ne jamais baisser son armure, même pour souffler, ne jamais baisser sa garde… Frattesi l'a enseigné. Ce n'est pas un hasard si face aux neroverdi, adversaires coriaces par excellence, après un 3-0, la chute de tension a conduit à un sursaut collectif qui a ouvert la voie aux vieux démons que les 71 000 présents au Meazza avaient presque oubliés. Mais heureusement il arrive, lui, le bon géant mis en cause pendant les trois quarts de la saison, où Big Rom, qui après un 3-0 devenu 3-2, a mis les choses au clair. Je suis en charge ici, c'est ma maison. Et ce 4-2 était complet avec une ovation finale. Mais Sassuolo, avec tout le respect que je vous dois, reste le Sassuolo. Et trois points en Serie A ne sont certainement pas comparables à la route d'Istanbul pour "écrire l'histoire" et les deux buts marqués par l'équipe de Dionisi devraient faire réfléchir le onze (plus les remplaçants) qui doit terminer le match.
     
    Dans la manche de l'Inter, il y a la bonne carte du double avantage inscrit dans le premier acte mercredi dernier. Cependant, le ballon est rond et le football est imprévisible et étrange. Ainsi, dans l'étrangeté et l'imprévisibilité de l'affaire, l'équipe d'Inzaghi a beaucoup à dire, surtout pour manifester et s'il y a un jour où elle peut le faire, ce jour-là, c'est mardi prochain, c'est demain. Mais qui ose signer aujourd'hui ? Seul le plus fou des interprètes, et n'en déplaise à l'ancien commandant de ce groupe qui a jeté les armes, il y a beaucoup de fous, y compris des génies, et le fait logique qu'eux, les interprètes de cette saison schizophrénique, devront signer l'épilogue. Être ou ne pas être? 
    Être… espérons-le. Alors croyons que le rêve… (au moins le prélude) est faisable mais seulement si avec l'intention de… car s'il est vrai que tout est destin, il est également vrai que "homo faber fortunae suae", (l'homme fabrique sa destinée, ndlr). Alors Interisti, soyez les architectes de votre propre destin.
     
    Traduction alex_j via FCInterNews, texte Egle Patanè.

    • alex_j
    9 commentaires

    Christian Vieri : "L'Inter ? Un grand amour !"

    Christian Vieri a rappelé son passage chez nous et évoqué l'élan de forme de l'équipe de Simone Inzaghi lors de la Milan Football Week organisée par La Gazzetta dello Sport.
     
    Le maillot des Nerazzurri
    "C'est certainement celui que j'ai porté le plus longtemps. C'était un grand amour. Je suis arrivé avec Ronaldo, je voulais jouer avec lui, former le duo d'attaquants le plus fort du monde. Puis après on a eu beaucoup de blessures. Ce furent dix années importantes."
     
    Lukaku
    "Lukaku va plutôt bien. J'attends de plus en plus de lui.  Avec Conte il a été dévastateur et je m'attendais à au moins 25-30 buts. Peut-être que j'exagère mais je le voyais clairement. Si vous me demandez s'il m'a déçu, je dis oui. Mais maintenant il va plutôt bien. Pas comme lorsqu'il jouait avec Conte car à l'époque il semblait parfait au niveau physique."
     
    Lautaro
    "Oui, il est une certitude mais il est parmi les meilleurs attaquants du monde depuis quelques années maintenant. Il ne me l'a pas fait savoir à cette Coupe du Monde de folie. A mon avis, il n'a pas joué de grands matchs mais il fait de grandes choses avec l'Inter."
     
    Traduction alex_j via FCInterNews.

    • alex_j
    10 commentaires

    Un club anglais sur Simone !

    Indiscrétion FCInterNews, un grand club anglais sur notre Simone Inzahgi.
     
    En lice pour les 4 premières places de Serie A, remporte le match aller de la Ligue des Champions (avec un certain optimisme en vue du match retour) et atteint la finale de la Coupe d'Italie. Cela semble faire une éternité depuis que Simone Inzaghi a été donné pour mort, avec le risque d'être disculpé cette saison. Les résultats du moment lui donnent raison et l'indiscrétion d'un intérêt pour lui venant de la Premier League est vraie. Concrètement, c'est Tottenham qui a fait une enquête auprès de l'agent Tullio Tinti en vue de la saison prochaine.
    Mais au-delà de la démonstration de satisfaction, résultat de l'excellente carrière européenne qui a exalté son travail chez les Nerazzurri, Inzaghi ne pense pas à sur avenir dans l'immédiat mais est totalement concentré sur le présent, avec encore 6 matchs, espérons-le 7, à jouer pour jusqu'à atteindre les buts ultimes. L'entraîneur de Piacenza a connu une période très difficile où, malgré les performances positives de l'Inter, les défaites sont arrivées, alors qu'il ne restait plus que Tinti et son père Giancarlo pour le soutenir. Aujourd'hui, ils sont tous de son côté car au final seuls les résultats comptent. 
    Cependant, Inzaghi a toujours cru qu'il pouvait terminer dans le top quatre de la Serie A et atteindre la finale de la Ligue des champions, sur laquelle très peu auraient parié ne serait-ce qu'un euro. Maintenant, il veut profiter du moment en appuyant sur l'accélérateur pour essayer d'écrire l'histoire de l'Inter. Il y a du temps pour l'avenir et malgré une nouvelle année de contrat en fin de saison, avec encore les boules, il discutera avec la direction des Nerazzurri pour comprendre si et comment continuer ensemble.
     
    Traduction alex_j via FCInterNews.

    • alex_j
    14 commentaires

    Big Rom muet pendant 40 minutes et puis un doublé

    Daniele Alfieri éditorialiste pour FCInterNews fait une analyse du doublé de Big Rom contre Sassuolo.
     
    L'Inter a déjà en tête le deuxième des deux Euroderbys, ou pourquoi pas la finale à Istanbul ? La réponse tombe sur le terrain avec la cinquième victoire d'affilée en championnat, la septième compte tenu également les succès en demi-finale des deux coupes contre la Juventus et le Milan. Un résultat encore plus lourd, étant donné que Sassuolo, bien qu'il n'ait pas grand chose à demander dans ce championnat, n'est pas arrivé au Meazza avec les meilleures intentions envers l'équipe d'Inzaghi. Tout autre, si l'on s'en souvient, l'esprit de l'équipe de Dionisi le 22 Mai dernier au Mapei lors de la dernière journée contre nos cousins. Justement Milan avait évidemment plus d'une pensée pour l'Euroderby, comme en témoigne la deuxième débâcle en quatre jours contre la Spezia, avec le même résultat que Mercredi, 0-2.
     
    Le tabou noir et vert de l'Inter a été donc lui aussi déboulonné. Une seule victoire des Nerazzurri lors des matches disputés au Meazza ces sept dernières années, celle du 7 avril 2021, avec un 2-1 et un doublé de la LuLa, mettant une autre brique vers le 19ème Scudetto, celui de Conte. 
     
     
     
    Ce pire, pour Sassuolo, a un nom, un prénom et un surnom : Lautaro Martinez rebaptisé il Toro depuis qu'il a 17 ans (Conte a essayé de l'adoucir en l'appelant Lauti mais avec de mauvais résultats). L'entrée du Diezà la place de Correa, remplacé à la mi-temps pour lui épargner les huées de tout le Meazza, il a provoqué les premières secousses en contaminant ses coéquipiers de sa combativité, puis en mettant définitivement l'arrière-garde verts et noirs dans les cordes, Tressoldi exagérant avec un but contre son camp. Dionisi s'est mis à l'abri en remplaçant le défenseur et Sassuolo (le hasard) est revenu dans le match, alors que l'Inter a peut-être vraiment fait l'erreur de penser déjà à Milan. Brozovic et Lukaku n'y pensent pas tellement sachant qu'ils partiront probablement du banc, donc le Belge a encore le souffle pour sprinter dans la surface de réparation et clôturer le match avec un doublé, le même jour où il avait déjà soufflé la 30e bougie. Le chiffre d'affaires qui gagne ne change pas, pas même Mardi prochain lorsque les as de la coupe Calhanoglu et Dzeko seront de retour. 
    Maintenant, nous pouvons y penser au retour de l'Euroderby. Road to Istanbul!
     
    Traduction alex_j via FCInterNews - texte de Daniele Alfieri
     
     

    • alex_j
    3 commentaires

    Inter 4-2 Sassuolo : 3e place confortée

    Après une première mi-temps un peu compliquée où l'Inter s'en était bien sortie en rentrant au vestiaire sur le score de 1-0, les nerazzurri se sont vite mis à l'abri au retour des vestiaires et menaient 3-0 à la 60e.
    On pensait le match fini mais Sassuolo est revenu à 3-2 en l'espace d'un quart d'heure. On commençait à revoir nos démons surgir mais heureusement pour nous les hommes d'Inzaghi ont réussi de nouveau à faire le break sur contre notamment, grâce à une superbe finition de Lukaku qui s'offre un doublé magnifique.
    Une victoire tellement importante après les faux pas de la Lazio, l'Atalanta et le Milan !
    Il reste 3 matchs dont Naples et l'Atalanta donc rien n'est encore fait, mais c'est une belle option pour la qualification en Champions League (on attend aussi le verdict concernant le retrait de points pour la Juve qui pourrait également nous faciliter la tâche).
    Rendez-vous mardi pour le retour tant attendu en demi finale de Ligue des Champions, contre le Milan ! Il faudra finir le travail et aller décrocher cette finale de C1 même si ce ne sera pas facile.
    Bravo les gars de n'avoir rien lâché et d'avoir pris ces 3 points malgré une compo complètement remaniée.
     
    FORZAAAAAAA 🖤💙
     

    • Damien
    16 commentaires

    Romelu Lukaku : "L'Inter est la plus importante !"

    Romelu Lukaku aux micros de SkySport après son doublé lors du 4-2 contre Sassuolo.
     
    Un cadeau d'anniversaire?
    "Heureux d'avoir gagné un match important, étant donné que Sassuolo nous plombe toujours ici, au Meazza. L'entraîneur nous a expliqué l'importance de ce match. Nous jouons bien et nous devons continue comme ça."
     
    Êtes-vous à votre top ?
    "Pour moi, on peut toujours s'améliorer. On va bien, oui, tout le monde apporte sa contribution mais il faut continuer comme ça. On peut encore gagner deux trophées. On a un match difficile Mardi mais on joue à à la maison et nous nous préparerons."
     
    Sept buts et quatre passes décisives : ô combien aimeriez-vous jouer Mardi ?
    "Autant que n'importe qui. Mais l'Inter est la plus importante et quand l'entraîneur a besoin de moi, je suis là."
     
    Super de revoir Big Rom comme ça!
     
    Traduction alex_j via FCInterNews.
     
     

    • alex_j
    7 commentaires

    L'Inter racontée par Beppe Marotta

    L'Inter racontée par notre Beppe Marotta fraîchement nommé Chevalier de la République italienne. Il est la star de l'espace "Je vous parle de l'Inter" dans le cadre de la "Milan Football Week" qui se déroule actuellement au cinéma Anteo de Milan. Voici son histoireracontée aux journalistes de la Gazzetta dello Sport.
     
    Le titre de chevalier
    "Immense satisfaction mais ces titres vont généralement à ceux qui sont plus âgés. J'ai 47 ans de carrière, je pense que l'heure du repos arrive."
     
    Comment allez-vous après le 0-2 de l'Euroderby ?
    "Généralement bien car on est à mi-parcours. On a un avantage mais il faut bien lire l'instant et être humble, motivé, convaincu qu'on peut le faire et réaliser quelque chose d'important. Mais il ne faut pas se complaire dans ce résultat, l'expérience m'apprend qu'il y a des cas où ça peut tourner."
     
    Partagez-vous les réflexions d'Ancelotti sur la pression générée par ce challenge ?
    "C'est l'entraîneur italien le plus titré de tous les temps, pour moi c'est LE entraîneur. Mais quand vous êtes sur le point de vivre un tel acte d'une compétition importante à ce moment de la saison, votre cœur bat plus vite. Ce soir, il y a un match que nous ne sous-estimerons pas mais l'esprit est à Mardi."
     
    Y a-t-il des regrets de ne pas avoir marqué le troisième but ?
    "Le plus important est la performance qui a convaincu tout le monde. Ce sont les meilleures conditions pour affronter un excellent adversaire au match retour. Ensuite, le 2-0 est différent du 3-0 mais ensuite le poteau de Tonali est également arrivé. Personne n'aurait jamais imaginé le 2-0."
     
    Quels seraient les mérites d'Inzaghi en cas de finale ?
    "Beaucoup, comme dans le cas négatif, l'entraîneur est visé par les critiques. Ensuite, il faut aussi parler des acteurs hors des projecteurs, comme les magasiniers. A l'Inter, il y a une grande culture qui est celle de toujours donner le maximum. L'expression maximale est Inzaghi qui a su surmonter des moments de forte pression et peut-être de critiques exagérées mais ceux qui vivent dans le sport doivent vivre avec cette réalité."
     
    Pourquoi une performance aussi poussive en championnat ?
    "C'est une saison atypique, avec une Coupe du monde à mi-parcours. Nous étudions d'un point de vue performance car je peux témoigner que les acteurs directs de l'événement ont montré qu'ils sont conditionnés tout au long de la saison. Sans préjudice du fait que Napoli méritait le Scudetto, nous devons réfléchir à l'importance de la relation esprit-corps. Ce sont des aspects qui doivent être pris en compte dans le monde du sport aujourd'hui; l'esprit, le mental est un aspect fondamental pour obtenir résultats."
     
    En fin de saison, les performances très positives en Ligue des Champions vont-elles peser ou le Championnat sera-t-il encore décevant ?
    "A ce jour, le bilan ne peut être que positif : être dans trois compétitions, dont deux où nous sommes protagonistes, vous donne une note de sept, si nous avions été plus avancés en championnat, cela aurait été 9-10. Le bilan de l'entraîneur doit devenir l'évaluation de nous-mêmes : quand nous avons perdu des points avec des équipes inférieures, avec tout le respect que je leurs dois, quelque chose n'a pas fonctionné et ce n'est pas juste de tout facturer à l'entraîneur. Les responsabilités doivent être partagées avec la direction et le club. Inzaghi va bien, il s'est remis de ce mauvais moment. A ce moment-là, c'était juste pour moi de mettre la pression parce que nous sommes l'Inter et nous devons toujours l'être."
     
    Inzaghi sait donc ce qu'il doit évaluer
    "Oui, alors à côté de lui, il y a des gens comme Zanetti et Ausilio avec qui discuter et analyser et qui parviennent à lui transmettre des préoccupations qu'il transformera ensuite en stimuli importants."
     
    La finale avec l'Inter comme revanche après celles perdues contre la Juve ?
    "Je suis très satisfait des résultats obtenus dans ma carrière. Gagner la Ligue des champions serait un rêve."
     
    Si vous devez identifier le point de basculement, quel est-il ?
    "Peut-être quand nous avons battu Porto en Ligue des champions. C'est là que nous avons trouvé la motivation pour changer de cap. Je pense que l'équipe est composée de bons professionnels et donc tout était plus facile et plus mérité. Nous avons gagné à juste titre contre des équipes fortes. Ce soir un un rendez-vous délicat arrive mais il faut faire en sorte que ces raisons soient trouvées car l'adversaire est très insidieux."
     
    Le retour de Leao est-il à craindre ?
    "C'est juste de donner du crédit à l'entraîneur et aux joueurs. Ensuite, quand l'adversaire manque de joueurs importants, vous risquez d'avoir un avantage mais la force d'une équipe est dans son ensemble. Je respecte Leao mais les autres sont bons aussi."
     
    Skriniar a-t-il regretté son choix ?
    "J'aimerais en parler après la saison. Cela aurait certainement pu être mieux résolu mais je veux en parler plus tard pour protéger le club. S'il peut récupérer pour la finale, alors l'entraîneur décidera. La valeur n'est pas discutée mais il ne s'est pas entraîné depuis deux mois, donc il est en difficulté sur le plan compétitif. L'entraîneur décidera de toute façon."
     
    Mais vous reprochez-vous quelque chose en tant que société ?
    "Je le répète, j'ai envie d'en parler en fin de saison. Il y a encore beaucoup d'amertume."
     
    Vous sentez-vous responsable des rêves des fans ?
    "Il y a aussi certaines émotions à vivre l'Inter. Le sport est beau en général, j'ai de la chance. Ensuite, je prends la responsabilité quand les supporters vous font confiance et je la transmets aux joueurs et aux managers. Le sens des responsabilités est fort et là ça donne motivation. Alors le football est imprévisible."
     
    De quels derbies êtes-vous le plus proche ?
    "Mon premier derby a eu lieu en 1970-1971, le jour de l'anniversaire de mon frère, c'était début mars et c'était Milan-Inter. L'Inter a remporté le Scudetto alors qu'elle avait six points de retard à ce moment-là, Invernizzi prenant le relais de Heriberto Herrera. L'Inter a gagné 2- 0 avec des buts de Mazzola et Corso, avec son coup franc feuille morte. C'était excitant, puis ça a coïncidé avec le Scudetto des Nerazzurri."
     
    En 2003, vous imaginiez-vous poursuivre cette carrière ?
    "Non mais les ambitions d'être un professionnel incluent toujours la vision et l'ambition de pouvoir grandir. Il va sans dire que lorsque j'étais à la Sampdoria, je voulais arriver dans un grand club, j'en ai traversé deux et ça a été une grande chance. La Sampdoria a été un âge d'or avec lequel j'ai sauté le pas, j'ai vécu ce derby de la Ligue des champions 2003 en tant que spectateur."
     
    Quel est le derby qui vous a le plus marqué en Italie parmi ceux que vous avez vécus ?
    "Ils sont tous différents et c'est un spot pour la ville. Celui de Gênes est plus romantique. Il y a beaucoup de motos là-bas et donc on peut trouver deux fiancés, l'un Genoa et l'autre Sampdoria. À Milan, il y a cette majesté du San Siro et les émotions chorégraphiques sont inoubliables; voir 80 à 85 000 spectateurs porter les couleurs vous excite, encore plus en Ligue des Champions."
     
    Est-il possible de faire une grande équipe avec peu de ressources comme vous l'avez fait ?
    "Je suis le directeur du domaine sportif et à l'Inter, nous avons créé une équipe au sein de l'équipe. Le mérite revient à Ausilio, Baccin, Zanetti qui ont construit cette équipe. Quand vous faites ce travail, il y a toujours une activité de scoutisme derrière. Le football est souvent perçu comme un phénomène improvisé, il faut plutôt des compétences pour faire mieux que dans d'autres clubs. Ce modèle est le fruit du travail de personnes compétentes qui ont agi avec un propriétaire fort qui nous a soutenus. Il faut aussi tenir compte des salaires et de la coût du travail mais nous avons remporté des victoires comme le Scudetto et la Coupe d'Italie. Maintenant nous terminons cette saison mais nous sommes toujours heureux."
     
    L'Inter avait cinq titulaires italiens dans le derby, quelle est l'importance du noyau italien ?
    "Fondamental. Tout comme Barcelone, le Real Madrid, le Bayern Munich, des clubs qui gagnent parce qu'ils ont un noyau dur de joueurs qui représentent la nation. Les Italiens comprennent ce que signifie aller jouer avec l'Inter, c'est fondamental."
     
    Lautaro s'est très bien intégré à l'Inter, sera-t-il le futur capitaine ?
    "Il progresse, il a 25 ans aujourd'hui. A cet âge, être capitaine, c'est quelque chose de fort. C'est un très bon joueur mais aussi un homme qui a des valeurs, les prémisses sont là."
     
    Traduction alex_j via FCInterNews.

    • alex_j
    4 commentaires

    Inzaghi change l'Inter et son avenir

    Simone Inzaghi a bouleversé la saison de l'Inter et peut-être aussi son avenir qui semblait scellé. La Gazzetta dello Sport nous dit tout!
     
    Avant la double confrontation contre Benfica, les nerazzurri étaient englués au classement et n'imaginaient pas arriver à 90 minutes de la finale de la Ligue des Champions. Ce basculement a donné le tournant, surtout émotionnel, à tout le groupe. Et les résultats sont là pour tous.
    Et maintenant, non seulement le banc ne vacille plus mais il est également juste de penser à un prolongement. Ce qui semblait certainement être un adieu à la fin de la saison est maintenant un scénario complètement changé. Est-il vraiment en train de 'faire' le jeu, Simone ? C'est lui qui tient son destin entre ses mains, c'est lui qui a réécrit son histoire, c'est lui qui mise aujourd'hui sur sa permanence.

    Mais quels ont été les facteurs décisifs autres que psychologiques ? 
    De toute évidence, récupérer des gens comme Lukaku et Brozovic au sommet a son pesant d'or, notamment en termes de rotations. Et justement, le turnover avec presque toute l'équipe disponible a été parfaitement géré, élevant globalement le niveau psycho-physique de chacun. Et maintenant, personne ne veut s'arrêter. La deuxième place du championnat est tout aussi possible que de gagner la Coupe d'Italie et de conquérir une finale de la Ligue des Champions. Ce serait sensationnel. Et dire qu'il y avait ceux, comme Max Allegri, qui imaginaient il y a seulement 17 jours la sixième place pour l'Inter...
    Max Allegri, il n'a toujours pas compris que "Juventus, un club honnête" est un oxymore 
     
    Traduction alex_j via FCInterNews.

    • alex_j
    7 commentaires

    Inter - Sassuolo, le match plus important de la saison !

    Raffaele Caruso, journaliste à FCInterNews, explique pourquoi cet Inter - Sassuolo est une finale. Son analyse est supportée par les statistiques.
     
    Plus que Barcelone-Inter, plus que Inter-Viktoria Plzen, plus que Porto-Inter, plus que Inter-Benfica. Plus qu'un derby, plus qu'un derby italien, plus qu'un Euroderby. Cet Inter-Sassuolo est le match le plus important de la saison des Nerazzurri, et ce, pour mille raisons. Gagner aide à gagner. L'Inter nous le rappèle depuis un mois et demi. L'équipe Nerazzurra a pris confiance et pris conscience de ses capacités et a commencé à gagner. Malheur à briser la magie, l'enthousiasme.
    Inter-Sassuolo se place entre les deux Euroderbys. Un examen de maturité avec l'équipe des Nerazzurri qui devra savoir bien s'isoler et solder les comptes, même en championnat, car cet Inter-Sassuolo est une sorte de finale. Le premier de la saison, après la Super Coupe, en attendant celui de la Coppa Italia et peut-être avec une autre à Istanbul. Et ce surtout après le match nul de la Lazio contre Lecce. 

    L'histoire que l'Inter de Simone Inzaghi essaie d'écrire dit que Sassuolo est aussi une bête noire qui ruine souvent les plans et les fêtes de l'Inter, voir les stats qui suivent. C'est pourquoi, ce soir au Meazza est une finale. Et celui qui prendra le terrain devra y faire face de cette manière. Selon toute vraisemblance, Inzaghi s'appuiera aussi sur ceux qui ont moins joué. Dans une finale les motivations viennent toutes seules. Le Meazza s'occupera du reste. Alors ramenons à la maison la deuxième finale de la saison et continuons à rêver.
     
    Les chiffres
    Sassuolo et l'Inter se sont affrontés 20 fois depuis le 22/09/2013 : 19 fois en Serie A et 1 fois en amical. Sans le match amical, l'Inter a gagné 9 fois et fait 2 nuls; Sassuolo ayant gagné 8 fois. Avec le match amical, l'Inter a gagné 10 fois. Nous voyons donc que Inter - Sassuolo se résume à 9-8 en ne prenant que les matchs de Serie A.
    Les sites de paris en ligne montrent que l'Inter est favorite : 1,42 sur Stanleybet.it, 1,43 sur 888sport.it, une victoire de Sassuolo se situant entre 6,6 et 7,5. Notons également que Edin Dzeko et Lautaro Martinez sont attendus comme buteurs.
     
    Traduction alex_j via FCInterNews texte Raffaele Caruso

    • alex_j
    11 commentaires

    Samuel Eto'o : "Je devais aller à City, j'ai choisi l'Inter à bord d'un avion"

    A San Siro mercredi dernier pour le match aller de l'Euroderby, Samuel Eto'o est aujourd'hui l'un des invités de marque du 'Milan Football Week', un événement organisé par la Gazzetta dello Sport à l'Anteo Palazzo del Cinema. Le Roi Lion monte sur scène accueilli par les applaudissements des personnes présentes et commence à évoquer le sens du derby milanais.
     
    "Dans mon top dix, il est en deuxième position derrière le Clasico, Barça-Madrid, dans des conditions normales. Mais ça va à la première place s'il s'agit d'une demi-finale de Ligue des champions. En Italie, j'ai eu des matchs exceptionnels mais quelque chose comme ça est unique."
     
    Quel match c'était Mercredi ?
    "Un très bon match pour nous car on prévoyait tous un match nul la veille, pensez à gagner 2-0... Il reste encore un match retour, mais c'est un bel avantage." 
     
    Quel était le secret ?
    "L'Inter est entré sur le terrain avec la bonne mentalité. Milan a mis plus de temps à entrer dans le match et a fait mieux en deuxième mi-temps. J'espère que, Mardi, elle pourra rentrer sur le terrain comme dans les premières minutes de la première mi-temps." 
     
    Moratti est-il le président dont vous êtes le plus proche ?
    "Moratti n'est pas un président mais le père de tout le monde, joueurs et entraîneurs. Il se comporte comme un père, c'est la première chose. Je ne peux pas le comparer à d'autres présidents car il m'a donné l'opportunité de jouer dans l'un des meilleurs équipes du monde. Quelles années nous avons vécues, quels compagnons j'ai eus. Tout s'est parfaitement déroulé."
     
    Materazzi t'a dit 'viens à Milan, avec toi on va tout gagner' : une histoire incroyable.
    "Des histoires comme ça n'arrivent pas souvent dans le football. Tout d'abord, je suis fier d'avoir joué avec lui, c'est le partenaire que tout joueur rêve d'avoir à ses côtés. Quand j'ai reçu ce message, je ne l'ai pas bien compris. Comment est-il possible qu'un joueur m'écrive comme ça ? Albertini m'a confirmé que c'était le numéro de Materazzi. La négociation a été rapide car il y avait une forte volonté des deux côtés, la parole de Materazzi comptait plus que l'argent."
    Message de Materazzi de Naples : 'Je ne le remercierai jamais assez car il m'a aidé à gagner la Ligue des champions, ce que je n'aurais fait avec personne d'autre. Il sait qui.' (Zlatan Ibrahimovic, ndlr)
    "Je t'aime aussi. Félicitations à Napoli et Anguissa, un joueur unique." 
    La fête avec les sacs à la Coupe du monde des clubs.
    "Seuls Materazzi et moi le savons."
     
    Vous êtes lié à trois entraîneurs : Mourinho, Capello et Aragones. 
    "Tout le monde m'a appris à vivre, pas seulement le football. A 15 ans, à Madrid, Capello m'a appris à utiliser le corps sur le terrain. Le deuxième, Aragones, m'a aidé à être un homme discipliné. Le troisième est Mourinho, nous tous joué l'un pour l'autre grâce à lui."
     
    Vous avez remporté le Triplete et trois Ligue des champions, mais peut-être que la Copa del Rey avec Majorque contre le Real est dans votre cœur avant tout. Vous vouliez y terminer votre carrière mais vous ne l'avez pas fait : est-ce un regret ?
    "J'essaie de ne pas avoir de regrets parce que quand tu le fais, tu regardes en arrière. J'ai tout donné au football, c'est Majorque qui m'a ouvert les portes de l'Europe, me permettant de jouer au football et d'être père. Je suis tellement attaché à la Copa del Rey, puis est venue la Ligue des champions avec l'Inter battant Barcelone qui, selon certains, aurait dû nous battre 4-0. J'ai dit à Materazzi 'nous allons gagner'. Je me souviens de n'avoir jamais couru aussi vite que dans ce match."
     
    Quel joueur est Lukaku ?
    "Il n'a pas exprimé son potentiel, il est physique et intelligent. Il marque beaucoup de buts. A Everton, j'acceptais d'être sur le banc s'il était là. Je pense que le retour à Chelsea l'a freiné mais avec la confiance et la qualité qu'il a, il peut être parmi les meilleurs attaquants du monde avec Benzema, Haaland et les autres."
     
    Vous avez toujours défini Onana comme un fils, reviendra-t-il en équipe nationale du Cameroun ?
    "Triste épisode à la Coupe du monde. Ils me posent toujours des questions à ce sujet et me mettent dans une position délicate. Vous connaissez le Onana d'aujourd'hui ou de l'année dernière, mais en 2017, Onana était déjà parmi les cinq meilleurs gardiens du monde. André a joué pour l'Ajax mais il a souvent fini sur le banc : celui qui m'accuse d'avoir des problèmes avec lui aujourd'hui, c'est le même qui a dit à l'époque qu'il ne méritait pas de jouer. Pour moi, c'est le meilleur gardien du monde mais je suis le président d'une fédération, de millions de joueurs camerounais, je ne suis pas le genre de manager qui impose quoi que ce soit à son entraîneur, je n'ai jamais vu Moratti dire à Mourinho qui doit jouer et qui ne doit pas jouer. C'est juste une affaire entre le joueur et son entraîneur. Quand ce dernier me dira qu'il est content d'Onana, il n'aura pas de problèmes. Je dois être une solution pour le technicien, pas un problème."
     
    Maignan et Onana sont-ils deux des meilleurs gardiens du monde ?
    "Pour moi, Onana est meilleur que Maignan dans le jeu de jambes, il ressemble à un joueur de champ. Il n'y avait pas de conviction à l'Inter avant de le signer mais je leur ai assuré qu'ils feraient de grands progrès avec lui. Aujourd'hui, je suis heureux parce que c'est extraordinaire de jouer une finale de Ligue des champions. S'il n'avait pas eu cette trajectoire à l'Inter, on m'aurait reproché de l'avoir encensé (rires, ndlr)."
     
    Qui va en finale entre l'Inter et Milan rencontre le Real ou City ?
    "J'espère qu'il y a l'Inter, bien sûr. Une finale est un match en soi, pensez à l'Inter-Barcelone, seul Mourinho et moi étions convaincus de gagner ce match. Je pense que l'idée de pouvoir affronter des équipes comme Le Real ou City doit être une motivation supplémentaire pour l'Inter."
     
    Est-il vrai que vous alliez à City avant de venir à l'Inter ?
    "Oui, j'ai pris la décision dans l'avion. Materazzi m'a envoyé le message Jeudi, puis j'ai dû parler à Moratti le lendemain alors que la proposition était déjà arrivée. Mourinho m'a appelé sept fois mais j'étais en contact avec City. A bord de cet avion, j'ai dit à mon avocat que j'aurais dû aller en Italie. Il m'a répondu que c'était un pays raciste mais je lui ai dit que je voulais le voir de mes propres yeux. La société italienne n'est pas raciste, il y a 2- 3 salopards ici qui font des putains de chants de merde. Je suis content du choix, je suis en paix avec moi-même : regardez ce que j'ai gagné en un an, alors que tout le monde me recommande l'Angleterre."
     
    Le sujet de la lutte contre le racisme vous tient beaucoup à cœur.
    "Mon combat a commencé après que des fans m'aient scandé en m'appelant 'noir'. Je me suis demandé : 'mais comment est-il possible que tu aies payé un billet pour voir un noir, tu es stupide ?'. A partir de là, j'ai changé en tant que personne, je prends des positions que les autres ne comprennent parfois pas parce qu'ils n'ont pas mon expérience."
     
    La situation dans le football s'est-elle améliorée sur cette question ?
    "Oui, beaucoup, mais malheureusement dans certains stades on voit encore des choses désagréables."
     
    Traduction alex_j via FCInterNews.

    • alex_j
    6 commentaires

    Dzeko et Mkhitaryan, de paramètres 0 euro à piliers de l'Inter

    Une jeunesse 2.0 à l'Inter après une expérience à la Roma. Les nerazzurri profitent pleinement de Dzeko et Mkhitaryan, les deux moteurs de la demi-finale aller de l'Euroderby. Mots du Corriere dello Sport.
     
    Les deux ont vécu des années importantes en jaune et rouge avant de passer sous la protection de la Madonnina pour s'imposer. Le Bosnien, qui avait déjà gagné dans sa carrière, était resté au sec en six saisons dans la capitale, alors qu'à l'Inter en moins de deux ans, une Coupe d'Italie et deux Super Coupes sont arrivées. Et très bientôt, il y a une finale de Coupe d'Italie et une éventuelle finale de Ligue des champions. Mkhitaryan, quant à lui, a remporté la Conference League Europa la saison dernière lors de la finale à Tirana, au cours de laquelle il a été contraint de lever le drapeau blanc pendant le match en raison d'un problème musculaire.
    C'était censé être un enrichissement pour l'effectif, un ajout de qualité dans l'entrejeu, sans plus. Bien au contraire Mkhitaryan est devenu un moteur, presque indispensable pour Inzaghi. Deux hits de niveau absolu sont arrivés pour un total de 1,5 million d'euros. Celles des primes de qualification pour la dernière Ligue des Champions incluses dans l'accord de Dzeko, tandis que Mkhitaryan est arrivé gratuitement. Coup double pour l'Inter, qui profite de ses piliers.
     
    Traduction alex_j via FCInter1908.

    • alex_j
    4 commentaires
  • Derniers commentaires dans l'actualités de l'Inter

  • En ce moment sur le forum

  • A voir également

    • L'Inter sera au Japon cet été
      La saison de l'Inter se terminera le samedi 10 juin avec la finale de l'UEFA Champions League contre Manchester City au stade Atatürk d'Istanbul. Le dernier rendez-vous d'un parcours incroyable qui a déjà permis aux Nerazzurri de soulever la Supercoupe d'Italie et la Coupe d'Italie, en attendant de vivre une autre grande soirée de football.
      • 4 commentaires
    • De l'oxygène pour les caisses de l'Inter : 41 millions d'euros d'Oaktree
      Après les 10 millions déjà récoltés en février, 41 millions d'euros supplémentaires arriveront dans les caisses de l'Inter, entre mars et avril, en provenance du Suning via le prêt du fonds californien Oaktree. C'est ce qu'il ressort des comptes au 31 mars 2023 d'Inter Média et Communication, la société dans laquelle convergent les revenus médias et sponsors de l'Inter Milan.
      • 10 commentaires
    • Le point sur l'avenir de Simone Inzaghi à l'Inter
      De nouveaux changements de cap, arrivés à ce point, seraient surprenants, avec le renouvellement du contrat expirant en 2024 parmi les priorités marquées à l'ordre du jour. Peu importe comment la saison se terminera, la direction et l'entraîneur devront s'asseoir à une table pour comprendre non pas si, mais comment aller de l'avant. En effet, malentendus et turbulences n'ont pas manqué durant ces mois et il s'agit d'aplanir d'éventuelles divergences, pour commencer la nouvelle année sans gaspillage et avec l'idée de ne pas revivre le même type de situation.
      • 14 commentaires
    • Fin de saison pour Joaquin Correa
      Joaquin Correa a effectué, aujourd'hui, des examens médicaux après avoir été victime d'une élongation dans les dernières minutes de la finale de la Coppa Italia. Il souffre d'un claquage au niveau du soléaire de la jambe droite. Son état sera évalué au jour le jour.
      • 29 commentaires
    • Pep Guardiola : "L’Inter peut nous battre"
      13 ans après la double confrontation historique entre son Fc Barcelone et l’Inter de José Mourinho, Pep Guardiola est prêt à retrouver sa "maudite" Bien-aimée.
      • 23 commentaires
    • Alex Teklak : "L'Inter n’est pas arrivée en Finale de Ligue des Champions par hasard"
      Ancien footballeur pro devenu consultant, Alexandre Teklak s’est livré à une interview exclusive pour Internazionale.fr, lui qui est devenu consultant sportif à Eleven Sport et à la RTBF où il fait part de ses excellentes analyses dans le cadre des matchs d’Europa et de Conférence League.
      • 6 commentaires
    • Une montagne chinoise nommée "Inter Milan Peak"
      Deux tifosi Nerazzurri ont gravi pour la première fois un sommet non escaladé à 5 500 mètres d'altitude dans les montagnes de Daxueshan (Chine) le 5 mai dernier, et l'ont nommé "Inter Milan Peak".
      • 3 commentaires
    • Serie A 2022/2023 : -10 points pour la Juventus
      La Cour d'appel fédérale, présidée par Ida Raiola, a décidé d'imposer une pénalité de 10 points à la Juventus dans l'affaire des plus-values.
      • 23 commentaires
    • L'Inter remporte la Coupe d'Italie 2022/2023
      Ce mercredi 24 mai 2023, l'Inter et la Fiorentina s'étaient donné rendez-vous à Rome pour la finale de la Coupe d'Italie. Une finale que l'Inter a été chercher dès les 8e de finale face à Parme.
      • 7 commentaires
    • Simone Inzaghi est et restera l'entraîneur de l'Inter
      Interviewé dans l'émission "Casa Italia" de la Rai Italia dirigée par Piercarlo Presutti et Simona Cantoni, Giuseppe Marotta a été des plus directs!
      • 8 commentaires
×
×
  • Créer...

Information importante

En naviguant sur ce site, vous acceptez l'utilisation des cookies. Nous ajoutons des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer votre expérience sur notre site. Consultez notre Politique de confidentialité. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer...