Le monde a changé, du moins pour La Stampa qui analyse comment les forces se sont inversées à Milan en seulement 40 jours.
64 journées de Championnat
C’est le temps passé par le Milan derrière l’Inter. Une période révolue à présent avec un nouveau samedi noir qui correspond à la meilleure phase de la saison du cousin Rossonero : 4 victoires de suite et la défense la plus hermétique de 2019, et qui coïncide avec la pire période des Nerazzurri avec l’Icardigate et la menace de voir la Ligue des Champions hors de portée.
Cette situation est d’autant plus perturbante étant donné qu’il fut un temps où Milan se trouvait exclu de l’Europa League avant d’y être réintégré par le Tas, à cette même période, l’Inter disputait la sixième journée de la Champion’s League. Gattuso était déjà "fini" depuis quelques temps et Spalletti signait 7 victoires consécutives.
Par la suite, l’hibernation interiste a fait le reste : Une balle dans le pied avec les cas Nainggolan, Perisic et Icardi. Ajoutez à cela une évolution d’un fond de jeu plus qu'embarrassante et les limites qualitatives et de personnalité de Spalletti en personne. C’est bel est bien lui qui aurait d’abord dû vaincre ses propres démons. Il n’y est pas parvenu et depuis quelques temps, il est plus que jamais sur la sellette. A tel point que son destin semble déjà acté avec ou sans une place essentielle en Ligue des Champions à obtenir.
La Symbolique
Si l’on se base sur le match aller, Donnarumma ne commet plus de faute, plus rien. Icardi lui ne marque plus depuis la mi-janvier et son dernier but inscrit en Coupe d’Italie face à Benevento.
Depuis lors, il est devenu de fait un ex joueur de l’Inter.
®Antony Gilles - Internazionale.fr
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