Ashley Young, latéral de l'Inter a accordé une longue interview à Sky Sports UK.
Dans un premier temps, l'anglais a abordé le racisme et le trash-talking sur les réseaux sociaux: "L'abus sur les réseaux sociaux est vraiment dégoûtant. Ca choque tout le monde, personne ne veut voir cela. J'espère que le boycott permettra à ses sociétés de réseaux sociaux de se réveiller et de faire quelque chose pour y remédier. Il faut faire disparaître tous ces trolls et les empêcher de nuir. On en parle tout le temps, après chaque match. Nous ne voulons plus voir ce genre de chose, c'est dégoûtant de le lire, c'est dégoûtant de l'entendre, il faut sévir. Les joueurs continuent à subir des actes de racisme et personne ne réagit, que ce soit la FA, l'UEFA ou la FIFA. Il faut que ces instances parlent avec les sociétés de réseaux sociaux. Ces sociétés doivent prendre la situation en main et faire quelque chose".
Le scudetto
Young a ensuite parlé des sensations après la victoire de l'Inter en Serie A: "Ca paraît incroyable, honnêtement. Remporter la Premier League, s'exporter dans un autre championnat et y gagner le titre aussi, c'est incroyable. Ce n'est pas facile de quitter son club en Janvier mais quand j'y repense, j'ai vraiment fait le bon choix. J'ai toujours voulu tenter ma chance ailleurs et remporter des titres".
"La première saison, nous sommes allé jusqu'en finale d'Europa League et nous avons malheureusement perdu. Nous avons aussi raté le titre d'un point et je pense que cela nous a peut-être poussé à nous dépasser cette saison et à pousser pour remporter la Serie A. Je n'aurai pas pu prendre une meilleure décision que de rejoindre l'Inter".
La Superligue
Young est catégorique: "Nous n'en voulions pas en tant que joueurs, c'est clair"
"Pour moi, elle était vouée à l'échec. Après notre travail en tant que footballeurs c'était de se concentrer sur nos matches. Nous devions continuer à enchaîner les matches, nous avions quand même un championnat à remporter. Quoi qu'il se soit passé, que ce soit avec les dirigeants, les propriétaires ou autre, nous avons laissé ceux qui étaient habilités s'en occuper. C'est le terrain qui nous importait".
© Samus - Internazionale.fr
Commentaires recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez commenter maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous possédez un compte, connectez-vous.