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🚴🏻‍♂️ Cyclisme


Nathy

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  • 3 semaines plus tard...

Tour de Lombardie : Succès de Bettini

 

Il a franchi la ligne d'arrivée en pleurant et en désignant le ciel du doigt. Car cette victoire dans le Tour de Lombardie, samedi, Paolo Bettini a tenu à la dédier à son frère aîné décédé le 2 octobre dans un accident de la route. «Aujourd'hui, je ne pédalais pas seul, a-t-il déclaré après la course. Je n'oublierai jamais cette journée».

 

Pour s'imposer, comme l'an dernier, dans cette 100e édition de la dernière classique de la saison, en 5h15'28", le champion du monde a devancé de 13" l'Espagnol Samuel Sanchez (Euskatel-Euskadi) et l'Allemand Fabian Wegmann (Gerolsteiner). Le Toscan avait porté son attaque dans le Civiglio, avant-dernière difficulté de l'épreuve (2,5 km à 7,2 %), à seize kilomètres de l'arrivée sur les bords du Lac de Côme. Un temps rejoint par Wegmann à l'entame de l'ultime montée, celle du San Fermo della Battaglia (2,8 km à 6,8 %), Bettini se dégageait définitivement à huit kilomètres de l'arrivée, laissant Wegmann se faire rejoindre par Samuel Sanchez.

 

Paolo Bettini, qui avait avoué avoir sérieusement pensé à arrêter sa carrière après la mort de son frère, a ainsi enlevé sa neuvième classique, la première de la saison. Il est par la même occasion devenu le premier champion du monde en titre à remporter la course lombarde depuis le Suisse Oscar Camenzind en 1998, et le septième de l'histoire. Le premier Français, Stéphane Goubert (AG2R), termine 31e, devant Cédric Vasseur (Quick Step).

 

A noter que la traditionnelle cérémonie protocolaire a été boycottée par les équipes pour protester contre le refus de l'organisateur du Tour de Lombardie de faire remettre sur le podium le maillot du vainqueur du ProTour à Alejandro Valverde qui, assuré avant le départ de la victoire finale, a disputé la course dans l'anonymat.

 

Source : L'équipe

 

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  • 3 semaines plus tard...

On regarde donc l'étape qui passe à Cognac pour voir ta tête :laugh:

Je te parie qu'elle vas faire un truc pour se faire demarquer :bigrin:

 

Par contre ils vont faire comment pour passer par dessus la manche puise que le tour commence à Londres :bigrin:

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Invité el Figo

On regarde donc l'étape qui passe à Cognac pour voir ta tête :laugh:

Je te parie qu'elle vas faire un truc pour se faire demarquer :bigrin:

Oui mais j'habite plus a Cognac :( Si c'est pas un week end, je pourrais pas y aller :cry: Et vous pourrez pas me voir :bigrin:

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  • 3 mois plus tard...

Aujourd'hui le cyclisme italien se commémore la disparition d'"Il Pirato" Marco Pantani, décédé il y a 3 ans jour pour jour. On retiendra son année 1998 en remportant le Giro d'Italie et le Tour de France. Puis sa descente en enfer pour finir mort sur son lit, SEUL, dans un hôtel de Rimini des suites d’un œdème cérébral et pulmonaire.

Après l'autopsie on y découvrira des traces en surdosage de cocaïne.

 

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  • 1 mois plus tard...

Tour de Flandres 2007

 

Superbe victoire d'Alessandro Ballan (Lampre) (d'autant plus fier vu qu'il est de ma région italienne d'origine :bigrin: )

 

Il a tout d'abord planté les plus forts au mur de Gramont (le point culminant de cette course, c'est ce mur qui détermine casiment le vainqueur). Il est rejoins par le belge Leif Hoste (Lotto), qui finira 2ème à la suite du sprint qu'il a lancé à 300 m de la ligne d'arrivée. Mais Ballan a tenu et la doublé juste sur la ligne avec à peine une roue d'avance. Pour terminer le podium, c'est l'Italien Luca Paolini (Liquigas) qui prend donc la 3ème place.

 

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  • 5 semaines plus tard...

Cyclisme - Dopage - Basso admet son implication

 

Coup de théâtre dans l'affaire Puerto. Selon un communiqué publié lundi par le comité national olympique italien (Coni), Ivan Basso a reconnu son implication dans l'affaire et a décidé de collaborer avec le procureur antidopage du Coni.

 

 

«Le bureau du procureur antidopage a de nouveau entendu aujourd'hui (...) Ivan Basso. Celui-ci a largement reconnu ses responsabilités concernant l'opération Puerto», peut-on lire dans le communiqué, qui précise également que le vainqueur du Giro 2006 s'est présenté spontanément et qu'il a fourni «la collaboration maximum pour éclaircir les faits concernant son implication».

 

 

La teneur exacte de cette «collaboration» n'a pas encore été révélée, mais il se murmure déjà que, fort de cette aide à la bonne marche de la justice, Basso pourrait bénéficier d'une remise de peine et serait ainsi en mesure de participer au Giro en 2008. L'entrevue entre Ivan Basso, accompagné de son avocat, et les membres du Coni a duré environ deux heures. S'il n'a fait aucune déclaration à l'issue de cette rencontre, le coureur italien poirrait en revanche s'exprimer devant la presse mardi.

 

 

«Ivan a fait exactement ce que tout le monde avait attendu en vain de Pantani, a commenté le président de la Fédération italienne de cyclisme Renato Di Rocco. Désormais, je vous le demande au nom du cyclisme: ne laissez pas Ivan Basso seul.» Une cinquantaine de noms a déjà été citée dans l'affaire Puerto, mais jusqu'ici seul Jan Ullrich a été identifié par le biais de son ADN.

 

 

 

En vous rappelant que ce week end, on a découvert que 49 autres coureurs étaient dans les petites magouilles du Docteur Fuentes (dont des leaders)... Les noms n'ont pas encore été dévoilé. Ce qui porterait le nombre de coureurs impliqué dans cette affaire à 108. Désolant...

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En vous rappelant que ce week end, on a découvert que 49 autres coureurs étaient dans les petites magouilles du Docteur Fuentes (dont des leaders)... Les noms n'ont pas encore été dévoilé. Ce qui porterait le nombre de coureurs impliqué dans cette affaire à 108. Désolant...

Si si y'a des noms qui circulent... Et pas des moindres, le plus gros poisson étant Alejandro Valverde, considéré comme le plus gros espoir/confirmé du cyclisme mondial.

Dans les poches de sang retrouvées chez le Dr Fuentes, certains seraient marquées "Piti", le nom du chien de Valverde. Ca parait dérisoire, mais certaines poches étaient marquées de "Birillo", le chien de... Basso. On connait la suite. Pire, les poches "Piti" contiendraient des traces d'EPO.

 

Basso ayant décidé de collaborer avec la justice, certains doivent commencer à trembler... Que ka justice fasse son boulot jusqu'au bout, ils ont les échantillons de sang du Dr Fuentes, donc l'ADN des tricheurs. Un petit prélèvement chez chaque coureur du peloton permettra d'identifier et de radier définitivement ceux qui font honte au sport.

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Le tour de Romandie vient de se terminer il y a quelque jour et il est passer dans mon modeste village de 3'700 habitants mais d'habitude 1 année sur 2 on reçoit une étape!!! je vous sonnerai quand il s'aretera chez moi :D

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Et moi il est passé dans la rue où je travaille et en revenant de ma pause de midi j'avais vu les 4 coureurs échappés passer :tongue:

moi j'avais l'école ;):nazz::nazz::nazz:

Je me réjoui de l'année prochaine voir si ils s'aretent à Fleurier même si je suis pas fan de cyclisme j'aime trop l'ambiance et la médiatisation du blède aussi :nikel:

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  • 2 semaines plus tard...

Le scandale du dopage chez Telekom s'étend ! - Eurosport.fr

 

Lors d'une conférence de presse, Bjarne Riis, vainqueur du Tour de France 1996, a avoué vendredi qu'il s'était dopé à l'EPO lors de sa carrière, entre 1993 et 1998. Le Danois adopte donc la même attitude que plusieurs de ses anciens équipiers chez Telekom, notamment Erik Zabel.

 

Lorsque Bjarne Riis a annoncé qu'il tiendrait une conférence de presse vendredi après-midi, chacun s'est demandé si le Danois allait livrer une confession forcément éprouvante pour lui, ou s'il se rangerait sur la ligne Jan Ullrich, celle de la dénégation. Après les aveux de Dietz, Henn Bölts, Aldag, Zabel, Riis et Ullrich étaient en effet les deux dernières grandes figures de l'équipe Telekom des années 90 à ne pas avoir admis leur consommation d'EPO au coeur des années 90. En l'espace de 48 heures, l'omerta s'est brisée. Et Bjarne Riis, à son tour, a choisi de dire la vérité. Oui, il s'est bien dopé à l'EPO au cours de sa carrière, entre 1993 et 1998, chez Telekom.

 

Dans une déclaration, Riis n'a laissé planer aucune ambigüité, assumant pleinement ses responsabilités. "J'ai pris des substances prohibées, j'ai pris de l'EPO. Je les ai achetées moi-même et je les ai prises seul." On ne peut être plus clair. "Quand j'étais coureur dans les années 90 , a-t-il confié, j'ai beaucoup travaillé pour obtenir ces résultats. Tous les jours. Et j'ai aussi fait beaucoup de sacrifices pour faire partie des meilleurs. A cette époque, se doper n'était pas la bonne solution. Cela veut dire aussi que j'ai fais des choses que je n'aurais pas dû faire et que j'ai toujours regretté depuis. Ce sont des erreurs dont je prends l'entière responsabilité et je ne blâme personne d'autre que moi pour ça."

 

"Je ne suis pas digne de cette victoire"

 

Une vraie bombe. Plus encore que celle de Zabel, la confession de Bjarne Riis fait l'effet d'une bombe, parce que le Scandinave possède un statut d'ancien vainqueur du Tour de France. C'est lui qui avait mis un terme au règne du grand Miguel Indurain, lors de la Grande Boucle 1996, qu'il avait littéralement écrasée. "Je ne suis pas digne de cette victoire", a-t-il admis. Comme beaucoup, il estime avoir été trop faible pour résister à la tentation: "Nous avons tous fait des erreurs et je pense que ma plus grande erreur est d'avoir laissé mon ambition prendre le meilleur sur moi-même ."

 

Bjarne Riis est aujourd'hui à la tête d'une des équipes les plus titrées de ces dernières années. Fabian Cancellara, Frank Schleck ou Stuart O'Grady ont apporté à la formation CSC des succès majeurs. C'est aussi Bjarne Riis qui a propulsé au sommet un certain Ivan Basso, deuxième du Tour de France en 2005 et vainqueur du Giro l'année suivante, avant d'être pris dans les mailles de l'affaire Puerto. Les aveux de la star italienne auront donc précédé de quelques semaines ceux de son ancien manager. Difficile de ne pas y voir un clin d'oeil.

 

Peut-il vraiment rester?

 

Désormais, on comprend que la priorité de Riis soit de ne pas compromettre l'avenir de son équipe. Il a tenu à dissocier les erreurs passées du champion du comportement actuel du patron. "Je fais cela pour mettre un terme aux discussions sans fin sur ce qui s'est vraiment passé et que j'ai depuis longtemps mis derrière moi , explique-t-il. Je ne veux pas que mon passé fasse de l'ombre au travail et aux efforts que la CSC fait aujourd'hui. Nous somme l'équipe n°1 au monde et je veux que mes coureurs et mes sponsors soient fiers d'eux." Mais ses aveux vont forcément porter un voile sur l'image de l'équipe CSC, déjà écornée par l'affaire Basso.

 

Riis l'assure, il a tiré les leçons du passé. "J'ai dû vivre avec ça longtemps et je suis heureux de dire que je suis plus sage maintenant. Aussi bien dans ma vie personnelle, que professionnelle", confesse-t-il. Cela suffira-t-il à convaincre CSC de poursuivre sa collaboration avec l'ancien maillot jaune? La position sera difficilement tenable. Riis trainait déjà derrière lui une réputation sulfureuse et beaucoup de doutes. Les doutes étant aujourd'hui confirmés par l'intéressé lui-même, peut-il vraiment rester? A CSC de répondre. Pendant ce temps, Jan Ullrich se retrouve plus seul que jamais...

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Et oui les grosses têtes tombent ENFIN :bigrin: Tout le monde le savait mais personne disait rien. C'est maintenant chose faites.

 

Sinon au GIRO, Di Luca est au dessous de tout le monde et risque fort d'être indétronable sur la dernière semaine qu'il reste.

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  • Damien a changé le titre pour 🚴🏻‍♂️ Cyclisme

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