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📘 L'Histoire de l'Inter


Damien

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‱ Ça ne change pas mon amour pour toi !
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‱-" ChĂ©rie ! J ' ai un peu changĂ©..."
-" Tout change mon cƓur, sauf mon amour pour toi !"
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  • 1 mois plus tard...
  • 11 mois plus tard...

Article trÚs intéressant de Gad lerner un grand tifoso de l'inter depuis la grande inter!! Il revient sur la façon qu'on les italiens de voir le football !! le racisme l'antisémitisme chez les ultra !! Berlusconi Agnelli Moratti... Vraiment intéressant!!! Bref je ne savais pas ou le mettre !!

https://www.cahiersdufootball.net/article/gad-lerner-inter-est-un-des-premiers-choix-de-ma-vie-7544

Faudrait un topic pour les articles dénichés par ci par là!!

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Il y a 5 heures, dmass95 a dit :

Article trÚs intéressant de Gad lerner un grand tifoso de l'inter depuis la grande inter!! Il revient sur la façon qu'on les italiens de voir le football !! le racisme l'antisémitisme chez les ultra !! Berlusconi Agnelli Moratti... Vraiment intéressant!!! Bref je ne savais pas ou le mettre !!

https://www.cahiersdufootball.net/article/gad-lerner-inter-est-un-des-premiers-choix-de-ma-vie-7544

Faudrait un topic pour les articles dénichés par ci par là!!

Effectivement, trÚs bel article, bien renseigné et bien argumenté. Merci pour l'avoir déniché :nikel:

Sur le transfert d'Anastasi, il y aurait beaucoup Ă  dire (parti Ă  la Juve pour une histoire de compresseurs de frigo, merci Fiat).

Sur le mariage politique et foot, il y aurait du grain à moudre. Quand tu penses que le Milan, à la base, était un club de gauche avant l'arrivée de Silvio.

Tu as aussi une palanquée d'article en anglais traitant de l'Inter, du Calcio, du Foot, de l'Histoire...

@Victor "Antony" Newman, @dmass95 a raison, on pourrait faire un topic dĂ©diĂ© aux articles de ce genre. Ce serait possible? MĂȘme pour des articles en anglais? :thinking-20060614:

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Il y a 1 heure, alex_j a dit :

Quand tu penses que le Milan, à la base, était un club de gauche avant l'arrivée de Silvio.

Pour l'inter c'est sur avec cette histoire d'accepter les étrangers !!! Ensuite il dit que la gauche n'a jamais eu sa place dans les stades!! c'est la ou j'ai bugué un peu!!! je pense qu'il voulait dire chez les ultra!!!

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Racisme, antisémitisme, religion et politique: Non ferme et définitif

Citation

Tu as aussi une palanquée d'article en anglais traitant de l'Inter, du Calcio, du Foot, de l'Histoire...

Si des articles se penche que sur l'aspect sportif (historique & cie) : Oui.

Par contre, ils seront diffusés par ici ou via une sous-rubrique (je dois voir avec @Damien et non en article à la Une

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Il y a 4 heures, dmass95 a dit :

Ensuite il dit que la gauche n'a jamais eu sa place dans les stades!! c'est la ou j'ai bugué un peu!!!

Ouais... j'avoue que je ne comprends pas trop... il faudra que je relise cela Ă  tĂȘte reposĂ©e... Mais, Ă  premiĂšre vue, il parlai en gĂ©nĂ©ral. Mais mĂȘme lĂ , je ne comprends pas car ce n'est pas complĂštement vrai.

Il y a 4 heures, Victor "Antony" Newman a dit :

ils seront diffusés par ici ou via une sous-rubrique

Super.

Il y a 4 heures, Victor "Antony" Newman a dit :

non en article Ă  la Une

MĂȘme ceux se focalisant sur l'Inter?

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  • 2 semaines plus tard...

Mercredi, 7 des plus grands Inter Clubs de Lombardie - Varese, Voghera, Cremona-Lodi, Como, Bergame, Brescia, Lecco - ont été invités au siÚge de l'Inter pour rencontrer la légende des Nerazzurri, Adriano.

AprĂšs un tour de la salle des trophĂ©es et une visite du siĂšge du club, les participants se sont rendus sur la terrasse panoramique avec vue sur la ville, oĂč ils ont pu faire connaissance avec l'empereur en personne.

https://twitter.com/Inter_Beneamata/status/1517459002959007745?t=lRaz73KeO4yBVHnSYxuSHg&s=19

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  • Damien a changĂ© le titre pour 📘 L'Histoire de l'Inter
  • 2 semaines plus tard...

Comment un mec comme Milito, double buteur en final de UCL, meilleur attaquant et meilleur joueur de UCL a pu finir en dehors des 30 nominés pour le ballon d'or 2010...

Comment accordi du crédit à ce trophé sérieusement.

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Le 08/08/2005 à 01:27, Damien a dit :
L'HISTOIRE DE L'INTER

 

 


9 MARS 1908 : LE FOOTBALL CLUB INTERNAZIONALE MILANO EST CREE

Nous sommes en 1908, dans les rues de Milan, quelques jeunes, dissidents du Milan Cricket and Football Club, (le Milan actuel), décident de créer leur propre club. Leurs différends avec les dirigeants du MCFC:

 

 

  • Ils veulent un club 100% foot, contrairement au MCFC qui pratiquait aussi le cricket
  • Et ce club accueillera aussi bien les Italiens que les Ă©trangers, ce qui serait une premiĂšre en Italie

Le "Football Club Internazionale Milano" est crĂ©Ă© la mĂȘme annĂ©e, le lundi 9 mars plus exactement. Et il remplissait toutes les exigences de ces "rebelles", Ă  savoir que c'Ă©tait un club exclusivement footbalistique et ouvert Ă  tous, pas seulement aux italiens. Cette derniĂšre Ă©tait symbolisĂ©e par le mot "Internazionale". Les couleurs de l'Ă©quipe Ă©taient, comme aujourd'hui, l'or, le bleu et le noir. Ainsi, un quatriĂšme club est venu s'ajouter aux 3 Ă©quipes milanaises : l'AC Milan, l'US Milanese et l'Ausonia. Pour la petite histoire, sachez aussi que le 1er prĂ©sident s'appelait Giovanni Paramithiotti et le 1er capitaine Hernst Manktl.


1914 : DEBUTS TONITRUANTS

Ça, c'est le moins que l'on puisse dire. En effet, dĂšs sa premiĂšre participation au championnat de Lombardie, l'Ă©quipe se classe 3Ăšme, et l'annĂ©e suivante, sous la prĂ©sidence de Carlo De Medici et le capitanat de Virgilo Fossati, l'Inter conquit son 1er championnat, le scudetto. Les annĂ©es suivantes seront consacrĂ©es au championnat Lombardo-piemontain. L'Inter y fera bonne figure avec des 6Ăšme, 4Ăšme, 3Ăšme ou mĂȘme 1er en 1914. A l'annĂ©e suivante, il n'y aura pas de championnat Ă  cause de la 1Ăšre guerre mondiale. Leur capitaine Fossati y trouvera la mort.


1929 : L'APRES GUERRE

DĂšs la 1Ăšre Ă©dition du championnat de l'aprĂšs guerre, en 1920, l'Inter gagne son second scudetto. Le prĂ©sident Ă©tait alors Giorgio Hulss. La saison suivante, il gagne le championnat lombard et se classe 3Ăšme dans le groupe D des interrĂ©gionaux. Il continuera sur cette lancĂ©e les annĂ©es suivantes, sans gagner le championnat, mais se maintenant quand mĂȘme en haut du classement, sous le coaching de l'Hongrois et ancien du club Arpad Veisz.


1945 : L'AMBROSIANA-INTER

En 1929, avec l'avĂšnement du fascisme, le club est obligĂ© de fusionner avec le Milanese Unione Sportiva, l'US Milanese, pour former l'Ambrosiana Inter. Et c'est sous ce nom qu'il conquiert son troisiĂšme titre national en 1930, toujours sous la direction d'Arpad, et avec l'aide du jeune Meazza (qui marque les 3 buts lors du match dĂ©cisif contre GĂȘnes). Mais le club connaĂźt une petite baisse de rĂ©gime durant les annĂ©es qui suivent, se classant 5Ăšme, 6Ăšme et deux fois second.

Mais l'Inter ne s'est pas seulement fait remarquer par sa régularité en championnat. En effet, il se caractérise par le succÚs de ses internationaux.

Effectivement en 1934, notamment Allemandi, Castellazzi, Demaria ou encore le légendaire Giusseppe Meazza ont en grande partie contribué à la victoire de la Squaddra Azzurra à la Coupe du Monde de Rome. De plus, en 1936, les Nerazzurri Fresi et Locatelli gagnent la médaille d'or aux Jeux Olympiques de Berlin.

Durant ces trois annĂ©es (1934-35-36), l'Inter se maintient, en championnat, dans les cinq premiers du classement; en 1937, il Ă©tait 7Ăšme, et en 1938, Champion, c'est le 4Ăšme titre. En cette mĂȘme annĂ©e, Ferraris II, Ferrari, Locatelli et Meazza, meilleur buteur du championnat avec 20 buts, seront champions du monde avec l'Ă©quipe nationale, et vainqueurs de la Coupe d'Italie en 1939 pour la premiĂšre fois de l'histoire du club. Le 5Ăšme scudetto est gagnĂ© en 1940.

En 1945, avec la chute du régime du Mussolini, le club abandonne l'Ambrosiana et redevient INTER.


1955 : PREMICES DU "CATENACCIO"

Redevenu Inter en 1945, le club fĂȘte son baptĂȘme par une cinquiĂšme place dans le championnat lombard. En 1947, Giusseppe Meazza, aprĂšs 408 matchs officiels pour 287 buts, quitte le club. Ainsi orphelin de son meilleur buteur, l'Inter se classe 10Ăšme cette saison et 12Ăšme celle d'aprĂšs. Mais il sut se ressaisir Ă  partir de 1949 pour n'ĂȘtre que 2Ăšme et 3Ăšme jusqu'en 1952, avec l'intronisation d'Alfredo Foni.

Il arrive cette annĂ©e dans un contexte plutĂŽt lourd: l'Inter n'a plus remportĂ© le titre depuis 13 ans et le prĂ©sident Masseroni s'est un peu lassĂ© de voir son Ă©quipe rĂ©galer le public sans jamais rien concrĂ©tiser. Cela tombe bien: Foni privilĂ©gie un certain rĂ©alisme et se met en tĂȘte de faire jouer l'Inter avec un dĂ©fenseur dĂ©crochĂ© (Blason, prĂ©curseur du libero moderne). Cette tactique, prĂ©mices du Catenaccio, repose sur une dĂ©fense de fer, un milieu chargĂ© de geler le ballon et des offensives menĂ©es sur des contres vifs et soudains, avec son trident en attaque composĂ© de Lorenzi, Nyers et Skoglund. L'Inter remporte ainsi le Scudetto avec 46 buts pour et seulement 24 contre; 19 victoires, 9 nuls et 6 dĂ©faites (47 points). Il en sera de mĂȘme pour l'annĂ©e 1954 oĂč le club gagne son septiĂšme titre de fort belle maniĂšre avec, Ă  la fin de la saison, un bilan de 20 victoires, 11 nuls pour seulement 3 dĂ©faites.

Malheureusement, Foni ne finira pas sa troisiĂšme saison et Masseroni, Ă  cause de problĂšmes d'ordre personnelles, doit aussi quitter le club.


1955 : LES DEBUT D'ANGELO MORATTI

Il prit la prĂ©sidence du club en 1955, en remplacement de Carlo Masseroni, juste aprĂšs le 7Ăšme titre. Pour sa premiĂšre annĂ©e, le club n'obtint qu'une pitoyable 8Ăšme place. Mais les saisons suivantes se passeront un peu mieux, variant entre la seconde et la 5Ăšme place (avec une petite parenthĂšse en 1958 oĂč il n'Ă©tait que 9Ăšme).


1962 : LE 12 HOMME D'ANGELO ET LE CATENACCIO : "LE GRAND INTER"

En 1962, Moratti engage son 12Úme entraßneur qu'il fait venir du Barça: Helenio Herrera. Celui-ci, qui a transformé son ancien club en une véritable machine à gagner, en fin tacticien, va former un Inter hermétique, basé sur un systÚme de sa création: le "Catenaccio", avec une defense de fer capable de maintenir son avance au score contre n'importe quelle equipe et un onze de base emmené par Mazzola, l'ancien milieu qui deviendra attaquant, "Le héros moderne d'une tragédie aussi antique qu'éternelle".

Le Grand Inter, avec Sarti dans les buts, Burgnich, Guarneri, Picchi, Facchetti et Bedin en dĂ©fense, Jair, Mazzola et Milani (Domenghini) en milieu dĂ©fensif, et enfin Suarez et Corso en attaque remporte brillamment 3 scudetti presque consĂ©cutivement en 1963, 65 et 66, le club ayant perdu le titre en 1964 qu'en match d'appui contre Bologne. En cette mĂȘme annĂ©e, il remporte aussi sa premiĂšre coupe europĂ©enne: la Coupe d'Europe des Clubs Champions, contre le Real de Madrid 3-1( avec 2 buts de Mazzola et un autre de Milani) et la Coupe Intercontinentale contre les argentains de l'Independiente. En 1965, c'est la mĂȘme chose: la Coupe d'Europe des Clubs Champions en battant en finale le Benfica Lisbonne par 1-0, un but de Jair Ă  la 42Ăšme minute, la Coupe Intercontinentale contre, encore une fois, l'Independiente, la Toyota Cup et une finale perdue en Coupe d'Italie. En 66, en plus du 10Ăšme scudetto, le club conquiert aussi sa deuxiĂšme Toyota Cup, mais il perd son titre europĂ©en contre le Real Madrid.

L'année suivante, l'Inter est détrÎné de son titre de Champion d'Italie par la Juventus, il se classe second; et de celui de Champion d'Europe car battu par le Celtic Glasgow. Le Catenaccio ne marchant plus, Herrera s'en va aprÚs 8 saisons passés au club; Moratti l'imite peu aprÚs.


1971 : L'APRES MORATTI

Jusqu'en 1971 donc, année du 11Úme titre, rien à signaler, hormis, bien sûr, le remplacement de Moratti par Ivanoe Fraizzoli, celui d'Herrera par Gianni Invernizzi et, bien entendu, la Coupe d'Europe gagnée par la Squadra Azzurra et ses interistes Burgnich, Domenghini, Facchetti, Guarneri et Mazzola.

Les annĂ©es suivantes seront marquĂ©es par un grand vide qui durera environs 8 ans et au cours desquelles l'Inter, finaliste de la C1 en 1972, battu par l'Ajax d'Amsterdam 2-0, se maintiendra dans les 5 premiers du classement (avec une parenthĂšse en 75 oĂč il se classe 9Ăšme). En 1978, il gagne sa 2Ăšme Coupe d'Italie, et 2 ans aprĂšs, c'est-Ă -dire en 1980, c'est le 12Ăšme scudetto.

Ce sera la mĂȘme chose les 8 ans suivants, sans titres, hormis une troisiĂšme coupe d'Italie en 1982, mais caractĂ©risĂ©s par une rĂ©gularitĂ© dans les 5 premiers. Cette pĂ©riode sera surtout marquĂ©e par la lutte que mĂšnera Fraizzoli Ă  ressusciter le Grand Inter. Malheureusement, ni le retour de Foni, ni celui d'Herrera, ni la reconversion de Mazzola en attaquant, ou encore l'achat de jeunes talents tels Boninsegna, Marini ou Oriali ne permettront Ă  l'Inter ne naviguer sur la scĂšne europĂ©enne, mais tout juste de gagner 2 scudetti et 2 coupes d'Italie.

En 1984, Ernesto Pellegrini remplace Fraizzoli. Débuts difficiles: il est éliminé en demi-finale de la coupe UEFA en 1986. Mais ambitieux et persévÚrent, il engage Trappatoni pour coacher le club, et fait venir d'Allemagne le duo Matthaeus - Brehme; et ce dernier, associé à Bergomi et Baresi en defense, gagne le championnat en n'encaissant que 19 buts pour 67 marqués. C'est le 13Úme scudetto, et quel scudetto!!!: avec 2 points octroyés à chaque victoire, l'Inter du Trap remporte le titre avec 58 points en 34 matchs, 26 victoires, 6 nuls et 2 défaites (84 points donc), un titre d'anthologie !

Mais avant ça, il y a la Coupe du Monde 1982 remportée par une Squadra Azzurra comptant en ses rangs 5 interistes: Altobelli, Bergomi, Bordon, Marini et Oriali.


1990 - 1994 : A LA CONQUETE DU 14e TITRE

L'annĂ©e suivante, en 1990, il remporte la Supercoupe d'Italie en battant, avec la mĂȘme Ă©quipe, la Sampdoria de GĂȘnes 2-0, buts signĂ©s Cucchi et Serena. En championnat, par contre, il perd son titre et se classe troisiĂšme. En 1991, le mercredi 22 mai plus exactement, l'Inter conquiert sa premiĂšre coupe UEFA en battant, en finale, l'AS Roma 2-1. C'est le troisiĂšme et dernier titre de Trappatoni sur le banc nerazzurro, car quittant le club pour la Juventus.

L'Inter se remet difficilement de ce dĂ©part prĂ©maturĂ©: il n'est que 8Ăšme de la saison 1991-1992, et vit cette annĂ©e sevrĂ©e de titre. L'arrivĂ©e de Bagnoli sur le banc redonne un peu d'air au club avec une honorable seconde place en 1993. Malheureusement pour lui, une succession de mauvais rĂ©sultats en 1994 le contraint Ă  quitter son poste. Il est remplacĂ© par Giampiero Marini qui se loupe en championnat avec une pitoyable 13Ăšme place, la pire de l'histoire du club, mais sauve les meubles en coupe d'Europe en remportant la coupe UEFA, grĂące notamment Ă  l'aide de Bergkamp (7 buts). En finale, il s'est imposĂ© face au Casino Salsbourg lors des 2 matchs sur le mĂȘme score 1-0.


1995 - 2001 : MORATTI LE RETOUR

En 1995, la famille Moratti reprend la tĂȘte du club, via le fils d'Angelo, Massimo Moratti.

Appliquant une politique incroyablement dĂ©pensiĂšre, il fait venir les meilleurs joueurs de la planĂšte, afin de conquĂ©rir le 14Ăšme titre national. Ainsi, ni Ronaldo, ni Keane, Baggio, Zamorano, Seedorf ou Crespo ne rĂ©ussissent Ă  offrir au club un 14Ăšme scudetto. MalgrĂ©, en 1997, une finale UEFA perdue contre les Allemands de Schalke 04, suivie, Ă  l'annĂ©e suivante, avec Luigi Simoni comme entraĂźneur, d'une autre finale UEFA mais gagnĂ©e cette fois-ci, et de fort belle maniĂšre, contre la Lazio (3-0, buts de Zamorano, Zanetti et Ronaldo) ( c'est la troisiĂšme coupe UEFA du club), c'est la dĂ©ception, surtout en cette mĂȘme annĂ©e oĂč le club ne perd le titre qu'aprĂšs un long duel avec la Juventus. Il se classe 2nd.

L'année suivante, Moratti "double" sa politique dépensiÚre. En effet, à l'achat des meilleurs joueurs, s'ajoute celui des meilleurs entraßneurs, oh! , pardon, le virement des meilleurs entraßneurs !!! Effectivement, de 1999 à 2001, pas moins de 6 coaches ont été utilisés, dont 4 pour la seule saison 1999/2000, et non des moindres: aprÚs le renvoi de Luigi Simoni, s'en suit celui de Mircea Lucescu, Castellini, Hodgson, Marcello Lippi et enfin Marco Tardelli.


2002 - 2004 : MORATTI ET SON 12e HOMME : H.R. CUPER

En 2002, Moratti engage Cuper, Hector Raul Cuper à la place de Tardelli. Ce nouvel entraßneur, fin tacticien, ressemblant fort au 12Úme homme de son pÚre, Herrera, a déjà disputé 3 finales de coupes européennes avec 2 clubs différents ( 1 finale de UEFA avec Majorque et 2 finales de Champions League avec Valence) et est surtout réputé pour sa malchance, car, il les a toutes perdues.

Pour sa premiĂšre annĂ©e sur le banc de l'Inter, le club domine le championnat de la tĂȘte et des Ă©paules, et va mĂȘme jusqu'Ă  compter 6 points d'avance, Ă  5 journĂ©es de la fin, sur le second. Pourtant, la poisse du coach oblige, cette avance va fondre comme neige au soleil, Ă  tel point qu'Ă  la derniĂšre journĂ©e, il n'a plus qu'un point d'avance, et rencontre la Lazio. Dans un stade (Olympico, celui de la Lazio) tout acquis Ă  sa cause, (tout le monde, mĂȘme les supporters de la Lazio, se sont habillĂ©s en noir et bleu, les couleurs de l'Inter), le club se fait pourtant battre 4-2 et perd, en plus du titre, la seconde place du championnat, et se classe 3Ăšme. ("On a perdu nos supporters Ă  jamais", dixit Cragnotti, prĂ©sident de la Lazio). En UEFA, il est Ă©liminĂ© en demi-finale par le Feyennord Rotterdam. AnnĂ©e difficile.

En 2003, Cuper remet en place le Catenaccio. Résultat: le club est second en championnat et n'est éliminé qu'en demi-finale de la Ligue des Champions par le voisin milanais. Encore ratée.

En 2004, aprÚs un excellent départ en Champions League, notamment avec une victoire à Highbury contre Arsenal 0-3, Cuper accumule des résultats assez décevants en championnat. Critiqué pour son football ultra défensif et son absence de jeu, il est constamment sur la sellette puis, aprÚs une défaite contre l'ennemi milanais (3-1) suivie d'un nul à Brescia, il est démis de ses fonctions et est remplacé par Alberto Zaccheroni. Celui-ci terminera la saison à la 4Úme place du championnat, mais est éliminé dÚs le premier tour de la coupe d'Europe, avec, en plus, la plus large défaite d'un club italien en coupe d'Europe, 1-5 contre Arsenal, à domicile. Cette année est aussi marquée par la démission de Moratti et l'intronisation au poste de Giacinto Facchetti, l'ancien latéral sous Helenio Herrera.


2005 : APRES 7 ANS DE DISETTE ...

Et la premiĂšre chose qu'il fait, le nouveau prĂ©sident, c'est d'engager en 2005 le coach "prĂ©ferĂ©" de Moratti, Roberto Mancini. Et cet ancien attaquant, un des meilleurs entraineurs de la nouvelle gĂ©neration, dĂ©montrera tout le bien-fondĂ© qu'on pensait de lui. Tactitien, technicien, bon "psy" ... bref, au fil des journĂ©es on dĂ©couvre les multiples facettes de ce jeune coach, qui, malgrĂ© sa jeunesse, sa "timiditĂ©" apparente et son air reservĂ©, ne se laisse pas intimider par les stars, en demontre sa dispute avec Edgar Davids et le dĂ©part de celui-ci. Un bon parcours en championnat oĂč le club se classe 3°, derriere la Juve et le Milan ( avec quand mĂȘme 25 journĂ©es sans dĂ©faites), une Ă©limination en quart de finale de la Champions League par le Milan, et un bilan de 4 dĂ©faites (dont 3 concĂ©dĂ©es face au Milan) sur toute la saison seront complĂ©tĂ©s par une victoire en Coupe d'Italie contre la Roma en finale et une en Supercoupe d'Italie contre la Juventus.


2006 : LA DELIVRANCE

La saison 2005/2006 va dĂ©livrer l’Inter d’une malĂ©diction qui date de 1989. Roberto Mancini qui entraĂźne l’Inter pour la deuxiĂšme saison consĂ©cutive n’a pas le droit Ă  l’erreur. En fin d’annĂ©e 2005 l’Inter va gagner le 262 Ăšme Derby milanais sur le score de 3-2, l’Inter n’avait plus battu le Milan AC depuis 2001. Malheureusement pour les interistes ce match marque la fin d’Adriano qui ne marquera presque plus. Mais Roberto Mancini remet son Ă©quipe en place en titularisant Julio Ricardo Cruz qui permettra Ă  l’Inter de garder sa place de 3Ăšme en SĂ©rie A et de gagner la Coppa Italia, contre la Roma pour la 2Ăšme fois consĂ©cutive. La plus grosse dĂ©ception est en Champions League oĂč l’Inter se fait Ă©liminer en quart de finale par les espagnols du Villareal (2-1 Ă  l’aller et 1-0 au retour). Mais l’Inter n’est pas au bout de ses surprises, car le Calcio est victime d’un scandale de matchs achetĂ©s par la Juve, le Milan, la Fiorentina et la Lazio de Rome. La nerazzurra qui fut 3Ăšme du championnat derriĂšre la Juve et le Milan (qui finirons respectivement en SĂ©rie B avec -15 points et en SĂ©rie A avec -8 points) se vois propulser champion d’Italie par la Figc (la fĂ©dĂ©ration italienne de football). C’est la consĂ©cration pour Massimo Moratti qui remporte le 14Ăšme Scudetto de l’Inter, qui est pour la premiĂšre fois « son » Scudetto. Durant le Mercato d’étĂ©, l’Inter acheta quatre joueurs importants : Hernan Crespo, Zlatan Ibrahimovic, Fabio Grosso et Patrick Vieira. En fin de Mercato, l’Inter rencontra l’AS Roma pour la Supercoppa italiana, qui fut remportĂ©e par les Nerazzurri, qui Ă©taient menĂ© 0-3 mais qui s’imposa 4-3 avec des buts de Vieira, Crespo, Vieira encore et de Figo.
Nageant dans le bonheur en dĂ©but de saison un malheur va s’abattre sur l’Inter, qui va perdre l’une de ses plus grandes lĂ©gendes : Giacinto Facchetti. En effet, il mourut Ă  l’ñge de 64 ans. Le cĂ©lĂšbre dĂ©fenseur gauche (avec 68 rĂ©alisations), qui Ă©tait devenu prĂ©sident de son club de toujours, s’éteignit le 4 Septembre 2006.


2007 : LA NOUVELLE SAISON DES RECORDS

La saison aprĂšs le « Calciopoli » dĂ©bute mal pour l’Inter, avec le dĂ©cĂšs de son ancien joueur lĂ©gendaire et actuel PrĂ©sident Giacinto Facchetti Ă  l’ñge de 64 ans. La prĂ©sidence revient Ă  Massimo Moratti, « Le Patron » qui a engagĂ© juste avant la fin du mercato « Il Genio » Zlatan Ibrahimovic (ex Bianconero). L’Inter commence la Serie A plutĂŽt bien car, sans compter le match nul face Ă  la Sampdoria au Stadio San Siro, l’Inter rĂ©ussit nĂ©anmoins Ă  battre la Roma Ă  l’Olimpico 0-1 (Crespo) et Ă  rester invaincu. La Serie A est toujours dominĂ© par Palermo qui jusqu’au match contre les Nerazzurri rĂ©ussit un sans faute. A noter Ă©galement l’excellente prestation de l’Inter face aux Rossoneri lors du 1er Derby, victoire 4-3. Si l’Inter assure en Serie A, se n’est pas trop le cas en Champions League car sur ses deux premiers match l’Inter fait deux dĂ©faites, dont un 0-2 Ă  San Siro face au Bayern Munich. Tandis qu’Adriano reste toujours malchanceux, les Interisti comptent sur Ibra, Crespo ainsi que le meilleur Joker Cruz, pour faire fonctionner la boutique. Durant le Mercato hivernale le rival milanais engage un ex Nerazzurro, Ronaldo, qui ouvrira le score lors du second Derby, mais l’Inter l’emportera 2-1. Retour en Champions League Les Ragazzi de Roberto Mancini vont ĂȘtre subitement Ă©liminĂ© dĂšs la 8Ăšme de finale face au FC Valence 2-2/0-0.

AprĂšs l’Inter des Recors en 1989, L’Inter de 2007 va battre Ă©normĂ©ment de records.
En 38 matchs :
-30 victoires.
-17 consécutives
-7 Nuls
-1 DĂ©faite
-23 points d’avance sur le deuxiùme
-80 Buts marqués.

L’Inter remporte son 15Ăšme Scudetto durant le match Siena-Inter le 22/04/2007 sur le score de 1-2. L’Inter se retrouve mĂȘme en finale de coupe d’Italie contre l’un de ses rivaux la Roma. Les Nerazzurri se font humiliĂ© Ă  Rome 6-2 et gagneront 2-1 Ă  Milan le match retour, mais la coupe ira bien Ă  Rome.


2007 : FIN DE LA SAISON, PLACE AU MERCATO

AprĂšs les diffĂ©rents retours de prĂȘt, l’Inter cĂ©dera Fabio Grosso Ă  Lyon, ainsi que Gonzalez Ă  Porto et engage David Suazo (Gagliari), Jimenez (Lazio), Fatic (Chievo), Rivas (River Plate) et le gros coup Christian Chivu qui se voit Ă©changer de place avec Marco Andreolli.

Matchs Amicaux.
L’Inter participe Ă  l’Emirate Cup en rencontrant le FC Valence, dĂ©faite 2-0, ainsi qu’Arsenal, dĂ©faite 2-1. L’Inter va se rattraper en remportant le TrophĂ©e Tim contre la Juve et le Milan, ainsi que le TrophĂ©e Birra Moretti contre la Juve et Naples.

Supercoppa.
Le 19/08/2007 l’Inter rencontre la Roma pour la Supercoppa Italia, lĂ  encore l’Inter est pris de malchance en s’inclinant 1-0 sur un pĂ©nalty signĂ© Daniele De Rossi suite Ă  une "faute" de Burdisso sur Totti.


1908 - 2008 : LE CENTENAIRE

La saison du centenaire nerazzurro, qui comptabilise 43 pts en fin d’annĂ©e 2007, commence plutĂŽt bien avec des victoires Ă©crasantes :

Inter-Sampdoria 3-0

Roma-Inter 1-4

Inter-Genoa 4-1

Inter-Lazio 3-0

Inter-Torino 4-0

Mais aussi une victoire sur un vieil ami, le Napoli 2-1 et un Derby lombard gagné 2-1 également.

Les bons rĂ©sultats de l’Inter se remarquent Ă©galement en Ligue des Champions avec 5 victoires et 1 dĂ©faite en 6 matchs de groupe. Ce dĂ©but de saison marque les dĂ©buts d’un jeune prodige du ballon rond en Coppa Italia avec un doublĂ© de Mario Balotelli, ĂągĂ© de 17 ans, au Stadio Oreste Granillo de la Reggina.

Adriano n’étant pas sĂ©lectionnĂ© pour jouer la Ligue des Champions et ne rentrant pas dans les choix tactique de Roberto Mancini, en raison d’un train de vie spĂ©cial pour un footballeur mĂ©langeant alcool et boĂźte de nuit, c’est au SĂŁo Paulo qu’il sera prĂȘtĂ© jusqu’en Juin 2008, il inscrira une dizaine de buts en 20 matchs.

Le mercato hivernal va apporter un joueur aux nerazzurri, le portugais Maniche en raison d’une longue liste de blessĂ©. DĂ©but 2008, dĂ©buts des polĂ©miques, Ibra ne trouvant plus le chemin des filets exceptĂ© sur penalty donnĂ© gĂ©nĂ©reusement selon certaines critiques. Tandis qu’en Coppa Italia l’Inter remporte le Derby d’Italia contre la Juve notamment avec des buts de Julio Ricardo Cruz et Mario Balotelli.

En revanche en Ligue des Champions l’Inter sera corrigĂ© en 8Ăšme de finale Ă  Anfield contre Liverpool dans les 5 derniĂšres minutes 2-0, jouant Ă  10 pendant prĂšs de 60 minutes. Le scĂ©nario sera quasi le mĂȘme au retour Ă  San Siro les nerazzurri s’inclineront 0-1 devant la Curva Nord jouant Ă  10 durant toutes la seconde mi-temps.

Ce mĂ©lange de contres performances, des joueurs blessĂ©s et des polĂ©miques va provoquer Ă  l’Inter une baisse de bon rĂ©sultats en Serie A de la 24Ăšme journĂ©e Ă  la 31Ăšme les hommes de Mancini vont connaĂźtre 2 victoire, 4 matchs nul dont une superbe Ă©galisation au Giuseppe Meazza Ă  8 minutes de la fin par Javier Zanetti contre la Roma 1-1 et 2 dĂ©faites dont la premiĂšre est contre Napoli au San Paolo suite Ă  une erreur de Julio Cesar. La seconde dĂ©faite est Ă  San Siro contre la Juve avec un but accordĂ© pour Camoranesi malgrĂ© une position de hors-jeu incontestable.
Ibra n'Ă©tant toujours pas au plus haut de sa forme, Roberto Mancini va opter sur l’enfant intĂ©riste qu’a fait briller la Primavera, Mario Balotelli, qui inscrira 2 buts en 2 matchs permettant Ă  l’Inter de reprendre goĂ»t Ă  la victoire.

La nerazzurra va enchainer 4 victoires consĂ©cutives contre l’Atalanta (0-2 Vieira et Balotelli), la Fiorentina (2-0 Cambiasso et Balotelli), Torino (0-1 Cruz) et Cagliari (2-1 Cruz et Materazzi).


2008 : LE STRESS DU 5 MAGGIO

L’Inter va se faire une frayeur que tout les tifosi ont encore dans leurs tĂȘtes, en s’inclinant 2-1 au Derby retour contre le Milan, perdant 3 longueurs d’avance sur la Roma. L’Inter a encore une fois de plus ratĂ© le coche de finir la saison en beautĂ© en battant le Milan.
l’Inter aurait Ă©tĂ© champion et aurait pu fĂȘter ce Scudetto devant leurs rivaux de toujours les Milanisti. Les Nerazzurri sont Ă  81 pts tandis que la Roma est Ă  78 pts, prochain matchs Ă  Milano contre Siena.
Le club Toscan a rĂ©ussi de trĂšs belle performance cette saison, mais personne ne s’en inquiĂšte, ou plutĂŽt personne n’a osĂ© s’en inquiĂ©ter. Patrick Vieira va ouvrir le score Ă  la 11e minute mais Maccarone va Ă©galiser Ă  la demi-heure de jeu dĂ©montrant alors que la dĂ©fense interiste a l’aire fatiguĂ© en cette fin de saison. Juste avant la mi-temps c’est Mario Balotelli qui marque le 2-1 en faveur de l’Inter et ce sont les trois quart des 80 000 spectateurs qui exultent. A 20 minutes du Scudetto Siena Ă©galisera portant le score Ă  2-2. L’Inter manquera plusieurs occasions dont un tir de Cruz contrĂ© par Materazzi Ă  la 77 Ăšme minute.
Mancini furieux, mais Materazzi n’a pas finit d’enrager son entraĂźneur, surtout quand l’Inter obtient un pĂ©nalty « Matrix » se prĂ©cipite pour le tirer malheureusement le gardien de Siena Maninger stop le tire.
Marco Materazzi le hĂ©ro offrant le Scudetto 2007 qui avait marquĂ© 2 buts de la tĂȘte contre cette mĂȘme Ă©quipe de Siena n’a pas rĂ©ussi Ă  obtenir les sourires de ses tifosi et ni de ses dirigeants.

Avant de jouer l’ultime match de la saison l’Inter est Ă  82 pts et la Roma Ă  81 pts, le cauchemar du 5 Maggio est signe d’une pression intense. L’Inter doit honorer le centenaire, son histoire, ses lĂ©gendes l’Inter doit prouver que c’est un grand d’Europe et tout ça rĂ©unis au Stadio Ennio Tardini Ă  Parma

Les enjeux sont Ă©normes puisque Parma joue pour rester en Serie A, tout comme Catania qui accueille les Romanisti. Les coĂ©quipiers de Francesco Totti ouvrent le score en premiĂšre mi-temps. Pour le moment l’Inter n’est plus champion d’Italia.

C’est en 2Ăšme mi-temps que Roberto Mancini fait entrer Ibra qui revient de blessure, qui n’a plus marquĂ© depuis le 8 Mars 2008, le jour du Centenaire contre la Reggina. Mais le SuĂ©dois Interista ouvre le score Ă  la 61 Ăšme minute sous la pluie qui plane sur Tardini. Tout les tifosi prĂ©sent au stade hurlent de joie voyant leur Ă©quipe dominer, bien en place dĂ©fensivement. C’est Ă  lĂ  78Ăšme qu’Ibra, d’une belle reprise assure le Scudetto et condamne Parma Ă  la Serie B.

Tandis que Catania sous le soleil de Sicile Ă©galise Ă  la 86Ăšme , ce qui ruine les derniers espoirs de la Roma d’ĂȘtre champion.
Les tifosi Interisti peuvent ĂȘtre heureux de leur scudetto et de leur Ă©quipe qui n’a pas subit une 2Ăšme dĂ©ception Ă  la derniĂšre journĂ©e.

L’Inter s’inclinera en finale de Coppa Italia au Stadio Olimpico 2-1 contre la Roma.


2008 : MERCATO D'ÉTÉ

Le mercato de l’Inter va avoir un impact important pour la societĂ  et les tifosi. Roberto Mancini qui n’avait pas fait dans la douceur aprĂšs l’élimination en Ligue des Champions en annonçant son envie de quitter le club en fin de saison. Massimo Moratti va donc engager l’entraĂźneur portugais de Chelsea Mourinho. Ce dernier, est trĂšs exigeant sur ses choix tactiques et sur l’effectif. Plusieurs joueurs en fin de contrat quitteront le club milanais, comme Maniche, Solari ou encore Cesar le milieu de terrain. David Suazo se vera transfĂ©rĂ© au Portugal Ă  Benfica. La Primavera va prĂȘter des jeunes joueurs tels que Siligardi, Pedrelli, Puccio et Fatic. La nerazzurra retrouve Ă  disposition Adriano revenu du BrĂ©sil, et Moratti ne pouvant plus engager Frank Lampard, dĂ©sirĂ© par Mourinho engage Muntari l’ex de l’Udinese. Le PrĂ©sident interiste va Ă©galement engager Mancini le brĂ©silien de la Roma. Mourinho veut l’international portugais Ricardo Quaresma, le transfert se fera durant les derniĂšres heures du mercato d’étĂ© pour un montant de 22 Millions d’€ plus PelĂ©.

Supercoppa.
Oppose encore une fois l’Inter Ă  la Roma, la rencontre se fait le 24 AoĂ»t 2008 au Stadio Giuseppe Meazza.
AprĂšs plusieurs occasions manquĂ©es, c’est Muntari qui ouvre le score pour l’Inter, l’égalisation se fait Ă  l’heure de jeu par De Rossi d’une trĂšs belle frappe. A la 83Ăšme Mario Balotelli qui Ă  fĂȘtĂ© ses 18 ans 12 jours avant la rencontre inscrit le 2Ăšme but interiste. Les surprises n’ont pas finit de se dĂ©voiler puisqu’à la 90Ăšme Vucinic Ă©galise, 2-2. AprĂšs les prolongations qui n'ont pas fait Ă©voluer le score c’est aux tirs aux buts que la Supercoppa se jouera.
Le premier tir est de Vucnic 1-0, l’égalisation est d’Ibra, 1-1. La nouvelle recrue de la Roma Baptista marque le 2-1, l’espoir italien Balotelli signe l’égalisation 2-2. Cassetti transforme son tir aux buts 3-2, Stankovic tire sur la barre transversale, 3-2 toujours. De Rossi donne le large Ă  la Roma 4-2, mais Maxwell revient Ă  4-3. Le dernier tir aux buts romanista est tirĂ© par Totti, s'il marque la Roma remporte la Supercoppa. Pour le bonheur de la Curva Nord Totti frappe sur la transversale. L’égalisation repose sur Cambiasso qui prend Ă  contre-pied d’une petite frappe Ă  ras de terre Doni le gardien romain, 4-4. Le chilien de la Roma inscrit le 5Ăšme tir aux buts 5-4, mais l’autre chilien de la rencontre est nerazzurro, et Jimenez Ă©galise 5-5. Le dĂ©fenseur brĂ©silien Juan s’élance mais Julio Cesar fait la parade qui offre une balle de match.

A une frappe de la victoire, Javier Zanetti « il Capitano » se prĂ©pare Ă  tirer et il marque pendant cette mort subite qui Ă©volue sur le score de 6-5 en faveur de l’Inter. Il Capitano nous offre la Supercoppa, il dĂ©clara aprĂšs le match : « Era il mio primo rigore ». Victoire de la Supercoppa sur le premier tir sur le point de penalty de Javier Zanetti !


2009-2010 : LA CONSECRATION

En ce début d'été 2009, l'Inter était encore un club en proie au doute en Champion's League et à la recherche de son numéro 10 qui lui fait cruellement défauts depuis des années.

Un transfert in-extremis, d'un joueur d'origine batave, allait ĂȘtre Ă  la base de la consĂ©cration. Ce joueur recrutĂ© pour la modique somme de 15M€ se nomme Wesley Sneijder. Il explosera aux yeux de la planĂšte football aux cotĂ©s d'autres recrues, comme un certain attaquant argentin nommĂ© Diego Milito, ou le dĂ©fenseur brĂ©silien, Lucio.

En Serie A, la premiĂšre victime n'est autre que l'A.C. Milan qui se sera pris un cinglant revers 4-0. Il s'en suivra un championnat passionnant, risquĂ©, dĂ©criĂ©, lors duquel JosĂš Mourinho se verra suspendu pour plusieurs matchs suites Ă  son signe des menottes, l'Inter, mĂȘme Ă  9 contre onze, plie, mais ne perd pas.

La seule équipe à tenir la cadence n'est autre que la Roma. Une louve qui a songé l'espace d'un instant remporter un Scudetto mais à trois journées de la fin, un certain Giampolo Pazzini bat avec ses équipiers de la Sampdoria, met fin aux espoirs du club de la capitale en inscrivant un doublé au Stadio Olimpico. Emmené par un Diego Milito époustouflant, l'Inter remporte donc son 18Úme scudetto, à Sienne (1-0) avec un but signé par le Prince de Milan.

Du coté de la Coupe d'Italie, cette derniÚre a permis de vaincre un vieux fantÎme gravé dans l'histoire du club. L'Inter, s'impose en effet au Stadio Olimpico de Rome, le 05 mai 2010 face à la Roma (1-0), le buteur sera nul autre que Diego, Il Principe, Milito.

Au niveau de la Champion's League, les soldats du Special One auront créé la sensation et des sensations.
L'Inter était jusqu'à lors considérée comme une équipe incapable de remporter ses confrontations directes. Le premier message fort envoyé à l'Europe aura été la qualification des Nerazzurri face à Chelsea, suite à deux victoires, l'une 2-1 à San Siro, l'autre à Stamford Bridge, 0-1.

L'Inter faisait peur mais devait franchir un pallier, un obstacle de taille: le Champion d'Europe en Titre, le FC Barcelone, véritable rouleau compresseur et qui n'a jamais connu le goût amer d'une élimination en Coupe d'Europe sous l'Úre Guardiola. Les Catalans venait en effet de réaliser un Sextuplé historique !

Cependant, l'Inter peut ĂȘtre complĂštement Pazza (Folle) et la nuit du mardi 20 avril 2010 restera dans la mĂ©moire du Calcio et fait partie de la lĂ©gende du football. L'Inter, ce collosse aux pieds d'argile, venait d'humilier le Grand FC Barcelone, peut ĂȘtre mĂȘme la plus grande Ă©quipe Catalane de tout les temps sur le score sans appel de 3-1 avec des buts signĂ©s de Sneijder (30'), Maicon (50'), Milito (71'). Ce soir lĂ , la Gazzetta Dello Sport qualifie les Nerazzurri de Martiens!

Personne n'y aurait cru, ni à San Siro, ni au Nou Camp. L'Inter resistera à la pression et se qualifiera en catalogne malgré sa défaite 1-0 sur un but inscrit à la 79' par Piqué.

La Finale du 22 mai 2010 aura une saveur toute particuliÚre pour les Nerazzurri. L'Inter réalise un triplé historique grùce à son buteur providentiel, Diego Milito, à un Samuel Eto'o étincellant et à un Wesley Sneijder explosif. Les buts inscrits par le Prince de Milan aux 35' et 70' minutes de jeu feront couler des larmes, celles de JosÚ Mourinho qui allait secretement s'engager avec le Real de Madrid, celles de Javier Zanetti, le capitaine emblématique, celles de Massimo Moratti, président et fils du célÚbre Angelo Moratti, celles des milliers de supporters présent au Santiago Bernabeu de Madrid, lieu de la Finale, celles des 100 milliers de tifosi présents au Duomo pour une nuit magique et celles des 80 000 tifosi présents à San Siro au Stade lors du retour de leur héros dans la nuit et juqu'au petit matin...


2010-2011 : L'INTER VEUT CONFIRMER

Le début de la saison 2010 allait voir Rafael Benitez remporter son premier titre avec l'Inter (la Supercoupe d'Italie), 3-1 contre l'AS Rome à San Siro.

L'entraineur hispanique décriée par certains tifosi et parles cadres de l'équipe se verra remercier le 23 décembre 2010, malgré la victoire de l'Inter en Coupe du Monde des Clubs, face au TP Mazembe.

Le seul trophée manquant à l'Inter pour réaliser le grand chelem et pour égaler le sextuplé du FC Barcelone, reste la Super Coupe d'Europe qui a été remportée, au Stade Louis II de Monaco par l'Atletico de Madrid.

A la veille de Noel, le 24 décembre 2010 plus précisement, l'Inter engage Léonardo, ex-joueur, ex-dirigeant et ex-entraineur de l'A.C. Milan.

Depuis son arrivée, l'Inter retrouve son statut de Champions et entame une folle remontée en championnat.

MalgrĂ© une excellente seconde partie de saison, qui les voit revenir de -13 Ă  -2pts, l'Inter ne peut dĂ©passer le Milan AC et laisse Ă©chapper son 1er Scudetto en 6 ans. Les Nerazzurri remportent tout de mĂȘme la Coupe d'Italie en battant Palerme en finale (3-1).

Leonardo est dans un premier temps confirmĂ© dans ses fonctions avant qu'il ne dĂ©cide lui mĂȘme de partir pour occuper le poste de Directeur GĂ©nĂ©ral du PSG. AprĂšs plusieurs gros refus (Capello, Hiddink, Villas Boas entre autre), c'est Gian Piero Gasperini qui est dĂ©signĂ© nouvel entraĂźneur des Champions du monde.


2011-2012 : L'INTER TOUT UN PARADOXE

Pendant le mercato, le prĂ©sident Moratti dĂ©cide de cĂ©der sa vedette Samuel Eto'o au club russe d'Anzhi. Economiquement le club va conserver plus 99 M€. Les dirigeants en profitent et font un recrutement prometteur. Avec les arrivĂ©es de Zarate (Lazio), Forlan (Athletico), Nagatomo (Cesena), Alvarez (VĂ©lez), Jonathan (Santos), Poli (Sampdoria) et Castaignos (Feyenoord), l'Inter affiche une Ă©quipe en reconstruction et jeune. La montĂ©e de 3 joueurs de la Primavera avec Faraoni, Crisetig et Caldirola montre l'envie de faire confiance aux jeunes. La difficultĂ© est du cĂŽtĂ© de Gasperini, le nouvel entraineur intĂ©riste, ce dernier n'arrive pas Ă  trouver un schĂ©ma tactique efficace.
L'Inter aprÚs avoir ouvert le score face au Milan Ac par Sneijder, se voit perdre la Supercoppa 2 buts à 1. Le championnat commence, le club milanais à pour habitude de le commencer avec un match nul. Mais le déplacement à Palerme est trÚs intense. Les siciliens vont dominer l'Inter sur le score de 4-3, malgré une bonne remontée.
Gasperini enchaine une nouvelle stratégie en C1 face à Trabzonspor à San Siro. La défaite est juste 1-0, l'Inter n'est quasiment pas dangereux devant le but.
L'entraineur est renvoyé aprÚs 3 défaites consécutives dans 3 compétitions différentes et 1 match nul contre l'AS Roma. Gasperini est remplacé par Claudio Ranieri suite au KO à Novara sur le score de 3-1. Premier match du Mister et l'Inter gagne son premier match de la saison à Bologne. La machine Ranieri est en marche juste le temps d'un autre KO à San Siro contre Naples sur un score lourd de 3-0.
Le club Nerazzurro se retrouve à faire le yoyo jusqu'au début du mois de décembre. Tandis qu'en Ligue des Champions, l'Inter montre de trÚs bonne choses, allant gagner à Moscou et à Lille, les intéristes vont finir premier de leur groupe.
Le 10 DĂ©cembre 2011, marque le dĂ©but d'une bonne sĂ©rie de 7 victoires consĂ©cutives. Battant notamment Lecce 4-1 en match en retard, le Genoa 5-0, remportant le derby della Madonina 1-0. Pendant le mercato d'hiver l'Inter va laisser filer au PSG Thiago Motta, au profit d'un prĂȘt de Palombo, pour la fin de saison.
Lecce qui avait perdu lourdement, met fin aux victoires intĂ©riste sur le score d'1 but Ă  rien. Sous la neige, la Nerazzurra accueille Palermo. Si les 2 Ă©quipes vont faire un match nul, c’est avec les honneurs qu’ils vont se quitter. Diego Alberto Milito inscrit un quadruplĂ© ce n’était plus arrivĂ© depuis Christian Vieri. Score finale 4-4. Beaucoup de spectacle pour 1 point.
La dĂ©fense encaisse trop de buts, et elle sera mĂȘme fidĂšle Ă  elle-mĂȘme contre l’AS Roma en s’inclinant 4-0 et 0-3 contre Bologne Ă  San Siro. Cinq dĂ©faites consĂ©cutives qui prĂ©cĂ©dent 2 nuls et 1 victoire qui maintient Ranieri en sursis. L’épĂ©e de DamoclĂšs est tenue par Antonio Conte qui mĂšne sa Vieille Dame comme une armĂ©e de Templier. Dernier match du mois de Mars, le Dieu de la guerre, la Juventus remporte le Derby d’Italie 2-0, ce qui tranche la tĂȘte de Claudio Ranieri. Qui parallĂšlement s’est fait Ă©liminĂ© de la Ligue des Champions contre l’Olympique de Marseilles en 8Ăšme de finale. S’en est trop pour Massimo Moratti, il licencie son 2Ăšme entraineur de la saison. Ce dernier avec des mots sincĂšres dans une belle dĂ©claration rend les armes. Pendant ce temps, l’équipe intĂ©riste des moins de 19 ans remporte les NextGen Series l’équivalent de la C1.
La troupe est menĂ©e par un centurion romain, Andrea Stramaccioni. Il est immĂ©diatement promut en Ă©quipe premiĂšre. Premier match du 3Ăšme coach, le succĂšs est au rendez-vous dans un match fou contre le Genoa. Deux expulsions, quatre pĂ©naltys, un triplĂ© de Milito et un doublĂ© de Gilardino. RĂ©sultat, neuf buts, l’Inter gagne 5-4. Le bilan de Strama’ est positif avec 2 dĂ©faites, 2 nuls et 5 victoires en 9 matchs, donc une victoire apprĂ©ciĂ©e face au Milan AC sur le score de 4-2. L’occasion parfaite pour Ivan Ramiro Cordoba, de tirer sa rĂ©vĂ©rence devant la Curva Nord. L’équipe nerazzurra arrive Ă  arracher une qualification pour le 3Ăšme tour des barrages de l’Europa League en arrivant 6Ăšme.


2012-2013 : UNE SAISON PLEINE D'ESPOIR EN PERIODE DE DOUTES

Stramaccioni a tapĂ© dans l’Ɠil de Moratti, ce dernier le conserve au poste d’entraĂźneur. L’étĂ© est bouillant au niveau transfert. L’Inter n’est pas trĂšs stable Ă©conomiquement et est obligĂ© de se sĂ©parer des joueurs ayant un salaire important. Le premier Ă  quitter le club c’est Lucio (Juventus). Avec le retour des prĂȘts Moratti engage trĂšs vite Palacio (Genoa), Silvestre (Palermo) Mudingayi (Bologne) et Handanovic (Udinese). Pazzini peu utilisĂ© par Stramaccioni se voit Ă©changer avec Antonio Cassano (Milan AC), tandis que Forlan, Zarate, Palombo et Castaignos quittent dĂ©finitivement le club. En barrage l’Inter de Strama’ se dĂ©place en Roumanie pour rencontrer le club du FC Vaslui. Victoire 2-0 Ă  l’extĂ©rieur, la qualification est presque assurĂ©e


La venue d’Handanovic pousse Julio Cesar et son salaire vers le banc de touche. Mais le soir du match retour au Meazza contre Vaslui, score (2-2). Le portier intĂ©riste durant 7 saisons dit adieux aux supporters micro Ă  la main et larmes aux yeux. SĂ©quence Ă©mouvante avec une derniĂšre photo avec son Ă©quipe. Il quitte l’Inter pour les Queens Park Rangers. La nerazzurra se fait prĂȘter le milieu de terrain Walter Gargano (Naples) et investit dans les services d’Alvaro Pereira (Porto). Javier Zanetti revient au poste d’arriĂšre droit, ouvrant ainsi Ă  la porte Ă  Maicon vers Manchester City. Samuele Longo part en prĂȘt Ă  l’Espagnol de Barcelone. C’est sans vice-Milito que l’Inter dĂ©bute sa saison 2012-2013.

 

 

 

Comme vous pouvez le constater ça fait 10 piges qu'on dort. L'Histoire de l'Inter s'est arrĂȘtĂ©e en 2012/2013. 

Il est grand temps de rattraper les saisons. On va avoir besoin de votre aide pour nourrir un peu tout ça en souvenirs, anecdotes, moments-clefs et surtout vĂ©rifier qu'on raconte pas de la merde non plus. Ca date un peu en mĂȘme temps ...

On continue donc avec la saison 2013/2014, dont voici le résumé. 

 

Citation

 

2013/2014 : QUEL TITRE LUI DONNER ?

La saison 2013/2014 a été une période mémorable pour le club de football de l'Inter. Sous la direction de l'entraßneur Walter Mazzarri, l'équipe a montré une détermination et une résilience impressionnantes tout au long de la saison.

L'Inter a commencé la saison en force, enregistrant des victoires consécutives et montrant un football offensif convaincant. Les joueurs clés tels que Diego Milito, Rodrigo Palacio et Mauro Icardi ont brillé sur le terrain, marquant des buts importants et contribuant au succÚs de l'équipe.

Cependant, la saison n'a pas été sans ses hauts et ses bas. L'Inter a connu des périodes de résultats mitigés et a été confronté à des adversaires coriaces tout au long du championnat italien, la Serie A. Malgré cela, l'équipe a réussi à se maintenir dans la course aux places européennes.

En fin de saison, l'Inter a réussi à terminer à la cinquiÚme place du classement de la Serie A. Bien qu'ils aient manqué de peu une qualification pour la Ligue des champions, l'équipe a obtenu une place en Europa League pour la saison suivante.

La saison 2013/2014 a été un mélange d'émotions pour les fans de l'Inter. Bien que l'équipe n'ait pas atteint tous ses objectifs, elle a montré un grand potentiel et une force de caractÚre remarquable. Cela a jeté les bases pour les saisons à venir, en donnant aux supporters de l'Inter l'espoir d'un retour au sommet du football italien et européen.

 

 

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Comme titre on peut mettre 2013-14,le dĂ©but de la fin 😅,vu ce qu'ils nous aient tombĂ©s sur la tronche avant la saison du renouveau 2017-18,ou on a retrouvĂ© la Ligue des champions sous Spalletti puis les titres avec Conte et Simone.

En se rendant compte que l'on Ă©volue super bien depuis bientĂŽt 5 ans,on fait tout Ă©tape par Ă©tape.

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