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bashaa

Messages recommandés

il y a 34 minutes, sensibb a dit :

D’ailleurs le peu de leo-sexuels présents sur le fofo ont qqc à dire sur le niveau affligeant de Messi depuis 1 bon moment ? 
Ce serait CR7 il se ferait lyncher dans tous les sens clairement

Dis pas ça tu vas reveiller sky...

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Messi se paie juste une une retraite anticipée avant la CDM 2022 qui sera son dernier challenge et je oense qu'il s'attendait pas à un tel niveau dans le duel physique, c'était une évidence, dans une institution aussi mal gérée rongée par l'argent facile dans un championnat où le premier concurrent fournissant un énorme travail, voyage après le travail fourni dans les méandres du marché des transferts ( Comme par hasard ce sont deux clubs, en l'occurrence Monavo et Lille qui ont le statut oour faire partie intégrante du système ), le tout entraîne par un Mister qui n'a plus rien montré de pertinent depuis 4ans ( La C1 de 2019 étant un braquage et le plus grand miracle de l'histoire pour un finaliste ) il sera jugé en C1.

 

 

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  • 1 mois plus tard...
  • 2 semaines plus tard...
il y a 2 minutes, Sylar a dit :

https://www.footmercato.net/a7026643395609468592-le-psg-entre-en-contact-avec-fabio-paratici

🤣🤣🤣🤣 Paratici au PSG ou le Qatar qui rêve d’un ticket Zizou / Wenger 

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Y’a pas a dire on a pas fini de rêver plus grand nous aussi 🤣

Oh put***!!!!!

Paratici notre cheval de troie va faire racheter rabiot au psg a un enorme tarif!!!

Y'aura alex sandro dans le pack!!!!

MASTERCLASS assurée!!! B)

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Pourquoi ça finit toujours par coincer pour le PSG en Ligue des champions

L'élimination prématurée contre le Real Madrid a ravivé les cauchemars de 2017 et de 2019. Et a mis en exergue une nouvelle fois les carences profondes du management parisien. Avant le match, mercredi, à Madrid, Nasser al-Khelaïfi avait pris soin de prendre la parole devant Messi et ses partenaires. Le président leur a rappelé l'importance de ce duel face au Real (1-3 ; aller : 1-0). Ses mots n'ont pas eu l'effet escompté. Cette élimination vient raviver les maux qui minent le PSG depuis trop longtemps.

 

Une mauvaise approche des grands rendez-vous

Mardi soir, lors de sa conférence de presse de veille de match, Mauricio Pochettino déplorait le manque de positif dans les questions des médias français alors que son équipe s'était imposée à l'aller face au Real, comme s'ils étaient les responsables d'un climat morose. Si la tension qui transpirait dans l'attitude de l'entraîneur parisien a pu disparaître une fois au milieu de ses joueurs, ces derniers ont bien vu l'agacement de leur coach qui n'a pas contribué à dégager une grande sérénité, à l'image de sa réponse sur les gardiens. Cela fait penser à la conférence de presse de Thomas Tuchel, la veille de PSG-Manchester United, en mars 2019 : « Je sais qui jouera demain (entre Buffon et Areola) mais je ne peux pas le dire. Les gardiens le savent mais vous devrez attendre demain. »

Il est formidable de constater à quel point l'histoire se répète à ce poste. Unai Emery n'a pas choisi entre Alphonse Areola et Trapp, Tuchel entre Gianluigi Buffon et Areola et voilà que Pochettino choisit Gianluigi Donnarumma aux dépens de Keylor Navas... au plus mauvais moment, lorsque Navas revient au Bernabeu. Forcément, le jour du match, le Costaricien était furieux et n'a même pas cherché à le masquer.

La veille, déjà, le climat n'était pas serein. La une du quotidien sportif Marca étalait la photo du coup d'Idrissa Gueye sur Kylian Mbappé, une capture d'écran issue d'une vidéo prise par les caméras de PSG TV qui avait fuité sur les réseaux sociaux. En voyant cela, Leonardo est devenu furieux et s'est évertué une bonne partie de son temps à chercher la taupe.

Chercher la taupe... L'expression est née avant l'arrivée du Qatar au PSG mais elle a été bien entretenue ensuite, notamment par Antero Henrique, le prédécesseur de « Leo », dont la mission principale était de débusquer les sources des journalistes. Et même dans ce registre très, très extra-sportif, le club n'a pas progressé.

 

Trop de laxisme, pas de cadre

Leonardo eut beau déclarer dans ces colonnes avoir rectifié le tir, assurer qu'il n'y avait pas - ou plus - d'indiscipline au PSG, le rapport des joueurs au club de la capitale semble à des années-lumière de celui qu'entretiennent les autres grandes écuries où le moindre écart de discipline est sanctionné. À City, Pep Guardiola n'a eu aucun état d'âme à écarter Phil Foden et Jack Grealish qui avaient été aperçus en boite de nuit après... une victoire de Manchester. À Paris, on dirait qu'il faut être vu en boîte.

La semaine dernière, Memphis Depay n'a-t-il pas posté des photos de Neymar et Hakimi dans un établissement nocturne parisien lors d'une soirée de la Fashion Week ? Le sentiment d'une république des joueurs perdure. À City, puisque les deux sont souvent comparés en raison de leurs actionnaires émiriens, la construction a commencé par la tête, en allant chercher un directeur sportif à Barcelone et en prenant un entraîneur ayant toute latitude pour travailler. Le cadre est fixé.

À Paris, il n'y a pas de cadre établi. Un tracteur piloté par Max Verstappen demeure un tracteur. Les stars auront beau s'empiler, elles sont là pour jouer, pas pour faire l'équipe, le recrutement ou décider d'autres considérations. Au moins, Nasser al-Khelaïfi a su maintenir une certaine distanciation sociale avec les leaders du vestiaire, un reproche qui lui était formulé à l'époque de Zlatan Ibrahimovic et Thiago Silva, les joueurs ayant alors le sentiment d'être intouchables.

Certains l'ont encore, aujourd'hui, confortés par le mot d'ordre de Leonardo qui demande à ce que les autres services les laissent tranquilles. Éviter de trop les solliciter pour les médias du club ou respecter au maximum leurs volontés. Les joueurs sont des rois. Ils refusent une interview pour le site ou la télé du club ou déclinent celles de bord terrain pourtant exigées par les diffuseurs ? Il ne faut rien dire.

C'est là que le rôle du président devrait peser davantage, aussi, rappeler l'autorité du club et de ses composantes. Les nombreuses activités d'Al-Khelaïfi ne lui permettent pas une présence suffisante et il délègue à Leonardo. Mais lorsque celui-ci avait rappelé à l'ordre le groupe après l'épisode de l'anniversaire des Sud-Américains, en février 2020, cela avait failli s'achever en pugilat avec Navas et Neymar et pas grand monde n'avait soutenu le directeur sportif.

 

Une faille psychologique persistance

Les recrutements successifs sont censés apporter de l'expérience et une culture différente dans le groupe mais c'est le phénomène inverse qui se produit. Ce ne sont pas les recrues qui changent Paris, c'est Paris qui déteint sur ses recrues. Il fallait voir les bras ballants de Messi, en fin de match, à Madrid, incapable de réagir. Son attitude rappelait davantage celle de Parisiens le soir de la remontada à Barcelone que la sienne, déterminée et volontaire, le même jour au Camp Nou.

Est-ce que les joueurs qui ont connu les différents épisodes traumatisants du PSG - remontada en 2017 ou Manchester United en 2019 - les évoquent avec les nouveaux venus au point de les imprégner de leurs peurs ? Toutes ces rencontres ont également un point commun : la critique quasi permanente de l'arbitrage. En se retranchant derrière cet argument, les Parisiens ont le sentiment de s'exonérer de leurs erreurs, de diffuser l'impression d'être les mal aimés du foot européen. Cette saison, cela a commencé à Nantes (1-3, le 19 février), comme un présage.

 

Des joueurs pas là pour les bonnes raisons

C'est une blague acerbe entendue depuis quelques années : le PSG serait une maison de retraite dorée pour footballeurs sur le déclin. Buffon en 2018, Sergio Ramos ou Messi l'été dernier. Si cette critique peut s'entendre vu le rendement décevant de ces anciennes gloires, le naufrage européen de mercredi soulève une problématique plus large. Une bonne partie de l'effectif, passé ou actuel, ne signe pas à Paris pour de bonnes raisons.

Messi, Ramos ou Georginio Wijnaldum ont rejoint la capitale soit par défaut, soit pour des raisons financières, soit les deux. La star argentine voulait rester à Barcelone. Une fois acté son départ forcé de Catalogne, seul le PSG était en capacité et voulait l'accueillir. Manchester City, un temps cité comme un potentiel point de chute, a vite décliné. Idem pour Ramos, dont l'objectif premier était de rester au Real mais ce dernier a mis fin aux longues discussions pour cause de mésentente sur la durée de la prolongation. L'état physique du défenseur central a donné raison aux dirigeants merengues. Quant au milieu néerlandais, fantomatique depuis sa signature, il rêvait de s'engager avec le Barça. C'est la meilleure proposition financière parisienne qui l'en a détourné.

Ce diagnostic vaut également pour des Parisiens présents au club de longue date, à l'envergure moins importante que les trois recrues phares du dernier mercato estival. Julian Draxler, porté disparu depuis des mois, n'a jamais caché qu'il se sentait si bien dans la capitale qu'il ne voyait pas l'intérêt pour lui de s'en aller malgré un temps de jeu famélique.

Et que penser de Layvin Kurzawa, que le PSG a essayé de transférer à tout prix cet hiver et l'été dernier ? Pourtant banni du groupe, le latéral gauche a tout décliné : la première fois parce que son premier enfant allait être scolarisé à Paris, la seconde parce que sa compagne attendait un deuxième enfant. Dans le cas de ces deux joueurs, les salaires versés (plus de 600 000 euros brut mensuels pour l'Allemand et un peu plus de 500 000 pour le Français) n'incitent pas non plus à chercher ailleurs.

 

Une stratégie de recrutement à repenser

Une fois posé ce constat, c'est toute sa stratégie de recrutement que le PSG doit mettre à plat. Sans doute doit-il en finir avec le bling-bling et la collection de stars ou d'ex-stars pour enfin tenter de créer une osmose collective. Cette saison, l'équipe ne ressemble qu'à une addition d'individualités, pas à un collectif soudé et performant. Les dirigeants répètent inlassablement que les meilleurs joueurs veulent signer au PSG. Mais pour quelles raisons ? Le salaire ? Le confort de vie ? Ou bien le football ?

Donnarumma, Achraf Hakimi et Nuno Mendes, si le club lève son option d'achat, qui ont 23 ans ou moins, sont incontestablement des éléments d'avenir. Pour les bonifier, il faudrait les entourer de joueurs à peine plus âgés, à l'approche de leur sommet sans pourtant l'avoir encore atteint. Pourquoi Manchester City parvient-il à recruter le milieu espagnol Rodri et pas Paris ? Pourquoi des joueurs comme Lucas Hernandez ou Marcel Sabitzer préfèrent-ils le Bayern Munich ? Cela suppose, peut-être, d'avoir une cellule de recrutement que le club n'a plus.

Il est peut-être temps, aussi, de davantage recruter en France sur le modèle de ce que le Bayern fait en Allemagne, par exemple. Trop de joueurs ayant atteint leur maturité ou presque en L1, pour lesquels évoluer au PSG aurait pu constituer un rêve, sont partis ailleurs ces dernières saisons : N'Golo Kanté, Corentin Tolisso, Ferland Mendy, Édouard Mendy, Fabinho ou encore Eduardo Camavinga, dont l'entrée en jeu a été importante dans le succès du Real, mercredi, pour ne citer qu'eux.

Cette saison, il existe encore quelques valeurs sûres dans le Championnat : Aurélien Tchouaméni, Seko Fofana, Boubacar Kamara, Sven Botman, Lovro Majer ou Lucas Paqueta ne dénoteraient pas dans un club comme Paris. Si le milieu brésilien de Lyon est sur les tablettes, les autres ne ressemblent pas encore au portrait-robot des joueurs stars du PSG. Et pourtant, ils ont quelques atouts pour former une équipe qui soit la vraie star.

 

Source l'Equipe 🤭

Si "le PSG en C1" était un film? Un jour sans fin ^_^ 

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Tu vois si seulement ils arrêtaient de recruter des « stars » car ça ne marche pas, ils ont essayés, ils ont échoués, le cd est rayé .

Ils ont pas besoin de noms aujourd’hui, alors tenter des joueurs qui se tueront sur le terrain ça serait l’idéal .

Et virer cet escroc de pochetino. 

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Le Collectif Ultras Paris demande la démission de Nasser al-Khelaïfi

 

L'ambiance s'annonce hostile pour le premier match à domicile du PSG post-élimination. Le Collectif Ultras Paris a appelé pour la première fois à la démission du président du club.

C'est une grande première dans l'histoire du PSG version QSI. Dans un communiqué cinglant publié samedi, le Collectif Ultras Paris (CUP) a demandé le départ du président Nasser al-Khelaïfi : « Nous savons ce que notre retour (À l'initiative de l'ex-président Robin Leproux, les associations d'ultras des tribunes Boulogne et Auteuil avaient été dissoutes en 2010. Un système de placement aléatoire avait été mis en place dans les tribunes du Parc) doit au président Nasser al-Khelaïfi, il n'y a rien ici de personnel mais force est de constater qu'il n'est pas l'homme de la situation. La situation du club nécessite désormais une réorganisation complète à tous les niveaux et la présence quotidienne de son président. » Avant d'ajouter : « Notre Paris-Saint-Germain mérite des gens qui le servent et non qui s'en servent. »

Cet appel à la démission du patron qatarien, et plus largement de la direction parisienne (Leonardo), risque de marquer un tournant dans les relations entre le club et ses ultras. Comment va réagir face à cette fronde Al-Khelaïfi, qui avait milité personnellement auprès de la préfecture de Paris et du ministère de l'Intérieur, pas enthousiasmés par cette idée, pour le retour de ses ultras en 2016 ? D'autant que s'il est acquis que cela va bouger au sein de la cellule sportive, il est pour l'heure peu évident que le dirigeant qatarien quitte le navire.

Les plus radicaux prônent des actions fortes, quitte à être interdits de stade.

Mécontents depuis plusieurs semaines du chemin pris par leur club - choix de couleur des maillots, attitude des joueurs, jeu peu emballant et résultats, notamment l'élimination en huitièmes de finale de la Coupe de France par Nice (0-0, 5-6 aux t.a.b.) -, le CUP avait fait grève pendant une demi-heure environ lors de la réception de Rennes (2-0), le 11 février.

Pour la confrontation contre le Real (1-0, 1-3), les ultras avaient décidé de mettre en stand-by leur contestation. Elle va reprendre, de plus belle, face à Bordeaux. Au sein du CUP, il existe deux axes. Un radical, qui prône des actions fortes quitte à être interdits de stade, un autre moins jusqu'au-boutiste, qui ne veut pas gâcher tout le travail mené pour revenir au stade et ainsi ne pas se mettre à dos la direction et les pouvoirs publics, qui ont déjà les ultras dans le collimateur depuis plusieurs mois.

Reste à savoir comment les ultras parisiens, qui demandent aux autres tribunes de les suivre dans leur protestation, vont exprimer leur colère. Une grève des encouragements et une désertion du Virage Auteuil pendant un certain temps sont très probables, de même que des banderoles vengeresses et des fumigènes. Le blocage du car des joueurs non loin du Parc, a été évoqué, sans qu'il soit confirmé.

Ce ras-le-bol est partagé par les supporters lambda, qui ont très mal vécu le naufrage de Madrid. « Je ne vais pas venir au stade, annonce Pierre-Henri, un abonné de très longue date. Et je pense aussi que je ne vais pas renouveler mon abonnement. Il faut siffler les joueurs, la direction, et leur montrer notre mécontentement. C'est trop facile, leurs messages d'excuses sur les réseaux sociaux, d'autant que ce ne sont même pas eux qui les écrivent. »

Les pouvoirs publics et le club redoutent des débordements. Deux cent cinquante policiers, soit quatre forces, une de plus qu'à l'accoutumée, ont été mobilisés pour assurer le maintien d'ordre, ainsi qu'un millier de stadiers environ. Dans les heures qui ont suivi l'élimination, la boutique du PSG sur les Champs-Élysées avait été taguée. Et maintenant ?

 

 

Source l'Equipe.

100% derrière le CUP!

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PSG : après l'erreur, Donnarumma laisse sa place à Keylor Navas en Ligue 1

 

Quatre jours après l'erreur de Gianluigi Donnarumma à Madrid, c'est le Costaricien qui doit être titulaire ce dimanche contre Bordeaux (13 heures).

L'élimination du PSG mercredi en huitièmes de finale de la Ligue des champions face au Real Madrid (1-0, 1-3) sur la pelouse de Santiago Bernabeu restera dans les annales. Et l'histoire retiendra que c'est une bourde de Gianluigi Donnarumma sur une charge de Karim Benzema non sifflée qui a précipité le club parisien dans l'abîme, cinq ans après la remontada barcelonaise. Un sacré pied de nez le soir où l'Italien était officiellement intronisé numéro 1 des gardiens parisiens.

Ce choix du staff technique s'est révélé être un pari perdu, même si on ne saura jamais si Keylor Navas n'aurait pas lui aussi pu faire une erreur manifeste. Mauricio Pochettino a été interrogé samedi pour savoir s'il regrettait sa décision. « Ce n'est pas une question de confiance, c'est une question de choix. Ce qui s'est passé s'est passé. C'est la décision qu'il fallait prendre. C'est toujours facile de parler après et de dire qu'avec une autre décision les choses se seraient passées autrement. Je vais me répéter mais, entre les 90 minutes de l'aller et les 60 premières minutes du retour, on maîtrisait. Donc, on ne pouvait pas prévoir tout ça. Le détonateur a été la faute (de Benzema sur Donnarumma). Mais, pour le gardien, c'est une décision commune et on a pensé que c'était la meilleure pour l'équipe », a déclaré le technicien argentin, sans véritablement répondre à la question.

Depuis qu'il a rejoint la capitale en 2019, jamais le Costaricien n'a fauté sur ce type de situations même s'il a commis, cette saison, une faute de main contre Lens (1-1) qui avait occasionné le but de Seko Fofana ou raté une sortie face au Nantais Ludovic Blas (3-1) lui valant un carton rouge.

Navas entre grande déception et sourires. Cet épisode madrilène et ses conséquences n'ont rien fait pour clore le débat sur la hiérarchie des gardiens, qui se pose avant chaque match. Loin de là. Navas a logiquement très mal vécu le choix de Pochettino pour son retour à Bernabeu, et cela l'a conforté dans ses envies de départ en fin de saison.

Quant à Donnarumma (23 ans), même s'il a déjà vécu des moments difficiles dans sa carrière, notamment avec les supporters milanais, il demeure affecté par son raté. Ce dimanche, Navas (35 ans) doit être titulaire si rien ne vient modifier cette décision. Ce choix ne sera pas de nature à panser sa grande déception de milieu de semaine, même s'il est apparu plutôt souriant au Camp des Loges depuis. Sans être de grands amis, les deux portiers ont repris leur collaboration bon an mal an. En sachant que, sans Ligue des champions désormais, ils vont continuer à alterner dans le but parisien jusqu'à la fin de saison. Et après ?

 

Source l'Equipe. Bonjour la cohérence :facepalm::facepalm::facepalm::facepalm:

 

Gianluigi Donnarumma : « Il n'y a aucun problème » avec Keylor Navas au PSG

 

Dans une interview à La Gazzetta dello Sport, le gardien international italien Gianluigi Donnarumma a évoqué la concurrence avec Keylor Navas au PSG, Kylian Mbappé et son départ houleux de l'AC Milan.

Gianluigi Donnarumma, auréolé du titre de champion d'Europe avec l'Italie, s'est engagé officiellement le 14 juillet 2021 avec le PSG pour une durée de cinq saisons. Dans un long entretien accordé au quotidien italien La Gazzetta dello Sport, publié mercredi, le gardien international est d'abord revenu sur son transfert dans le club de la capitale. Une évidence à ses yeux : « C'était mon destin. Le PSG me suivait depuis des années et m'a toujours fait ressentir son intérêt. C'est donc une suite logique. Que ce soit le président Al-Khelaïfi ou Leonardo, ils ne m'ont pas seulement fait comprendre qu'ils souhaitaient me recruter, ils me font ressentir leur proximité chaque jour. Je suis très heureux et fier d'être ici. »

Donnarumma n'a pas esquivé les questions sur la concurrence avec Keylor Navas : « Je savais que ce serait le cas en venant ici, a-t-il expliqué Je ne sais pas ce que lui en pense, mais pour moi ça me va, d'autant plus que tout le monde ici me montre que je suis important. Je donnerai tout pour le PSG. Et ce n'est pas vrai qu'il y a parfois des étincelles avec Keylor. Nous avons une bonne relation, c'est un bon gars. Pour moi, il n'y a aucun problème », confiait celui qui a découvert la Ligue 1 : « J'ai été surpris. J'ai compris que c'était un beau Championnat. Il y a de belles équipes et aucun match n'est simple pour nous. Même le PSG doit toujours donner le maximum pour essayer de gagner. »

Au PSG, justement, l'interrogation concernant l'avenir de Kylian Mbappé a aussi été évoquée. « On ne parle pas de ça. C'est une décision qui lui appartient. Ce n'est pas à moi de lui dire quoi faire. Je sais juste qu'on est bien ensemble au PSG. C'est un super garçon. Il n'y a que lui pour savoir quel est le meilleur choix à faire. »

Donnarumma est bien placé pour comprendre son coéquipier, lui qui avait quitté l'AC Milan, alors en fin de contrat comme Mbappé, dans des conditions houleuses. Celui qui était arrivé à 13 ans en Lombardie préfère garder des images positives. « Ce n'est jamais facile de se séparer d'un club comme Milan. J'y ai grandi en tant que joueur et en tant qu'homme. Je ne peux que remercier le club pour tout ce qu'il a fait pour moi. Même les tifosi m'ont toujours bien traité. À Milan, je me suis toujours senti à la maison. » Critiqué par les supporters milanais, Donnarumma a donné sa version de la rupture : « On dira que l'ultime coup de téléphone a été pour me communiquer qu'ils avaient trouvé un autre gardien. Voilà comment tout s'est terminé. »

 

Source l'Equipe le 9/02/2022 (il y a un mois)

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Colère, stars conspuées, contestation contrôlée : un long dimanche de tension pour le PSG

 

Quatre jours après l'élimination contre le Real Madrid en Ligue des champions, le PSG a vécu, ce dimanche contre Bordeaux, une après-midi très singulière au Parc des Princes.

 

Introduction

Dans ce parking gris, au sous-sol du Parc des Princes, Neymar, accompagné de son habituelle cour, sourit. Derrière lui, le duo Danilo Pereira-Presnel Kimpembe enchaîne les photos avec des ados venus à leur rencontre. Il est 15 h 40. Paris, leader, vient, face à Bordeaux (3-0), de boucler sa vingtième victoire de la saison en Ligue 1. Le Brésilien ne semble pas marqué par cette après-midi pourtant si particulière. Quatre jours après la piteuse élimination en huitièmes de finale de la Ligue des champions face au Real Madrid (1-3, 1-0 à l'aller), les Parisiens ont été accueillis très froidement dimanche par le Parc des Princes. Pas d'insurrection ni même ces scènes de violence craintes par les autorités, mais des chants hostiles et des banderoles réclamant la « démission » de la direction. Symboles du projet de QSI, Lionel Messi et Neymar ont été les principales cibles du public parisien. Récit d'une séquence, pas comme les autres, qui laissera des traces...

 

La « haine » et les... rouleaux de papier toilette

Les abords du Parc des Princes ne sont pas loin d'être vides en ce dimanche matin, à deux heures du coup d'envoi de PSG-Bordeaux. Les joggeurs foncent vers le bois de Boulogne et, au marché de la Porte de Saint-Cloud, ça parle « reprise du Covid ». Les forces de sécurité - déployées en nombre (250 policiers, 1 000 stadiers environ) -, dans ce contexte brûlant, prennent place. Les agents de contrôle sont en service depuis 10 heures. Et la journée n'est pas à la sérénité : « Ils ne vont pas lâcher le morceau les mecs, ils vont montrer leur colère. Ça va envoyer chez les ultras », lâche Mohamed.

Des discussions entre Michel Besnard, le directeur de la sécurité du PSG, et les ultras ont eu lieu depuis jeudi. Malgré ce dialogue, les autorités craignent des protestations intenses. Les heures filent et les vendeurs de tickets à la sauvette bradent les sésames. Le car des joueurs parisiens, escorté par un très inhabituel convoi, arrive. Sans dommage. Les joueurs en sortent le visage marqué. Un « grognard » de la sécu lâche : « Ah, ces ambiances, ca me rappelle la grosse époque ! »

 

Mbappé est épargné par le public

À une heure du coup d'envoi, un étrange ballet se met en place côté virage Auteuil. Ils sont des dizaines de supporters à arriver... papiers toilettes dans les mains. « On va leur jeter du PQ sur la gueule », lâche, le regard sombre, l'un d'eux. Une profonde colère se fait sentir. La soirée de mercredi n'est pas passée : « Je vais aller foutre le bordel aujourd'hui, j'ai la haine. On fait des déplacements et voilà, on a droit à ça. C'est pas normal... », explique Sébastien, amer. Il y a ceux aussi qui refont le match : « Comment t'expliques qu'à 1-1, il n'y ait pas un mec qui dise les gars : Ok, on casse le rythme ? C'est payé des millions et c'est pas capable de réfléchir deux secondes. »

Dans les discussions, Kylian Mbappé est épargné. « Il a raison de partir ». Le « PQ Gate » prend corps. La sécurité repousse toute entrée de papier toilette. Sous la pluie, des dizaines de rouleaux s'amassent sur le trottoir. Les différents groupes d'ultras s'organisent pour en dissimuler sous les manteaux. Ce qui donne lieu à des scènes improbables : « Lâche-moi un rouleau de PQ stp frérot ». À l'intérieur, pour l'échauffement, les gardiens puis les joueurs de champ sont conspués. « Allez tous vous faire enc... », entend-on. Le ton est donné.

 

Quand Neymar ressent une forme d'ingratitude

À l'annonce des joueurs, le public parisien crie sa rancoeur. Neymar et Lionel Messi sont les plus sifflés. L'entraîneur Mauricio Pochettino essuie, lui aussi, une bronca. Seul Kylian Mbappé, applaudi, est épargné. Tout comme, à un degré moindre, Keylor Navas. Le début de match est ponctué par des chants puissants : « Paris, c'est nous ! », « Neymar, hijo de put... », « direction démission ».

Dans cette après-midi pluvieuse, la colère suinte de partout. Des « Olé » accompagnent les possessions bordelaises. Chacune des touches des deux stars sud-américaines est marquée par des sifflets. Les dribbles de Mbappé sont salués. Ambiance surréaliste. Mais pas irrespirable. Entre les différents groupes du CUP (Collectif Ultras Paris), une position commune entre les tenants d'une ligne dure et ceux d'une ligne d'attente n'a pas été trouvée. D'où cette ambiance contrastée. Le papier toilette est resté à la porte et les banderoles presque toutes bloquées. Seules « Direction démission » et « Mbappé à Paris, Leonardo au pilori » sont brandies.

Les ultras font un autre choix : l'ignorance. Peu à peu, les virages se vident. Le but de Kylian Mbappé (1-0, 24e) donne un instant d'apaisement. Trente secondes pas plus. Les leaders des différents groupes, dans les coursives, passent toute la seconde période à discuter entre eux, de manière assez vive, parfois, et ne voient pas les buts de Neymar (52e) et Paredes (61e). L'après-midi du Brésilien et de Messi ne change pas. Les deux stars sont sans cesse conspuées. À ses proches, tout en faisant part de sa compréhension après l'élimination de la Ligue des champions, « Ney » regrettait dimanche soir une forme d'ingratitude après ses sifflets.

 

Quand les supporters « ne mesurent pas » la chance d'avoir Messi

Dans les tribunes, Nasser al-Khelaïfi, présent au Parc, observe la scène. Alors que sa démission avait été demandée par le CUP la veille dans un communiqué, le nom du président du PSG n'est pas cité dans les chants hostiles. Les revendications des ultras appelant à son départ n'atteignent pas particulièrement le dirigeant qatarien. « NAK », pas convoqué à Doha ces dernières heures, traverse cette crise sans crainte majeure. L'accueil réservé à Messi n'est pas du goût de tout le monde chez les dirigeants. On regrettait, en privé, dimanche soir que des supporters ne mesurent plus la chance d'avoir à Paris, une légende du foot...

 

La fracture béante entre les francophones et les hispanophones

Cela dessine presque parfaitement les équilibres du vestiaire parisien 2021-2022. Au coup de sifflet final, ils sont une poignée - Kimpembe, Kehrer, Wijnaldum, Diallo, Danilo, Navas, - à saluer de loin le stade. Les quatre premiers cités se rapprochent. L'un des rares échanges de l'après-midi. Les Sud-Américains sont déjà loin. Messi et Neymar ont quitté la pelouse en premiers. Les différences dans le rapport au club entre les francophones ou affiliés (Danilo, Wijnaldum, Kehrer) et le clan « hispanophone » n'ont jamais été si visibles. Une fracture à suivre dans les prochaines semaines.

Livide, presque sans réaction pendant la rencontre, Mauricio Pochettino fait part de son mal-être : « J'ai de la tristesse pour ce que j'ai vécu aujourd'hui, explique le technicien parisien, qui évacue les sifflets à l'encontre de « Ney » et Messi. On a tous été touchés. On vit cela tous ensemble, comme une équipe. » Il est 15 h 15. Le Parc est déjà vide. Les ultras ont quitté l'enceinte calmement. Seule une interpellation (avant le match pour détention de fumigènes) est à signaler. La fin d'une journée pas comme les autres.

 

Source l'Equipe.

Note perso: même si je comprends leur frustration, je n'ai jamais compris le pourquoi de huer ton équipe, surtout un joueur comme Messi... non, je ne comprends pas. Si quelqu'un a une explication, je suis preneur.

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il y a 20 minutes, GregButcher a dit :

J'aimerais que ça se fasse et j'imagine bien la tête de NHK et de Leonardo quand Paris sera reversé en C3 ou éliminé de la C1 pour se consacrer exclusivement à la ligue 1 et la coupe de France dès le mois de décembre.

Leonardo ne sera plus là...ça pourrait faciliter le travail. :phear:

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Il y a que moi qui trouve cela honteux de voir Messi se faire siffler par un club sans race ?

Je veux dire, même si il est beaucoup moins bon qu'au Barça, il y a le respect que ça reste une légende du foot. Il mérite pas ça pour la fin de carrière. Des déchets ces parisiens.

Moi qui pensait que les supporters du Standard sont les pires du monde, bah y a le PSG.

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Quand on repense qu'il y a 6mois ils étaient tous là "AVION! AVION!" comme des gogoles à son arrivée 🤣

Conte au PSG ça va être tellement drôle: Messi en piston droit à la Candreva, défense à 3 Kimpembe-Marquinhos-Kehrer 🤯, Si en plus il nous chipe Vidal, je vous jure que je regarderai enfin quelques matchs de ce club... (juste pour rigoler hein)

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Il y a 3 heures, Imperator9 a dit :

Je veux dire, même si il est beaucoup moins bon qu'au Barça, il y a le respect que ça reste une légende du foot. Il mérite pas ça pour la fin de carrière. Des déchets ces parisiens.

A force de trainer sur le forum tu devrais savoir que le respect, quand les mecs perdent, les gens se torchent avec...

Le respect c'est pour les winners you know... 😉

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  • Damien a changé le titre pour 🔵🔴 Paris-Saint-Germain

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