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🏃🏼Karl-heinz Rummenigge


zenga

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rummenigge-inter.jpg

 

Lorsque le président Pellegrini fait signer Karl-Heinz Rummenigge à la fin de la saison 83/84, les tifosi nerazzurri sont certains d'une chose: leur duo d'attaquants formé par Altobelli et Rummenigge est l'un des plus côtés d'Europe, il s'agit d'une recrue de prestige absolu pour la non moins prestigieuse Internazionale di Milano.

 

20 ans après, le sérieux Giorgio Micheletti (journaliste sportif et directeur de la "radio milaninter") n'oublie pas Karl-Heinz:

 

Pensez-vous que Ronaldo est l'attaquant le plus fort que l'INTERNAZIONALE ai connu?

"Non, j'en vois au moins trois plus forts, trois qui étaient plus complets que lui"

 

Qui?

"Par ordre chronologique. Le premier est Sandro Mazzola. Ensuite il y a Roberto Boninsegna, puis Karl-Heinz Rummenigge"

 

C'est dire que si Rummenigge n'avait pas eu des blessures à répétition au cours de ses trois années de contrat à l'INTER, il aurait marqué les esprits de façon encore plus significative chez les nerazzurri. Il faut rappeler que le Calcio à cette époque est le centre du monde, il attire les plus forts et la concurrence est très rude.

Chaque club possède au maximum deux "étrangers" au sein de son effectif et jugez par vous même :

  • Torino: Junior (Bré), Schachner (Aut) auxquels vous ajoutez Dossena, Zaccarelli et le jeune Aldo Serena.
  • Fiorentina: Passarella, Socrates (Docteur Socrates capitaine de la Selecao, grand frère de Raï) auxquels vous ajoutez Claudio Gentile, Lele Oriali, Giancarlo Antognoni et le "portiere" Giovanni Galli.
  • Sampdoria: les britanniques Trevor Francis et Graham Souness accompagnés d'Ivano Bordon, de Luca Vialli et Roberto Mancini.
  • As Roma: finaliste de la Coupe des Champions en mai 84 elle commence la saison avec Falcao, Cerezo, Bruno Conti, Ciccio Graziani, Roberto Pruzzo, Carlo Ancelotti et Giuseppe Giannini.
  • Napoli: Maradona et Daniel Bertoni (arg)
  • Juventus: Platini, Boniek et les champions du monde 82 Cabrini, Tardelli, Rossi, Scirea.
  • Inter: Rummenigge et Liam Brady (Eire) avec Altobelli, Zenga, Bergomi, Ferri, Collovatti.
  • Udinese: Zico et Edinho.
  • Verona: Elkjaer-Larsen (Dan) et Briegel (RFA)
  • Milan: Mark Hateley, Ray Wilkins accompagnent Franco Baresi, Mauro Tassotti, Pier Paolo Virdis, Di Bartolomei et Battistini.
  • Lazio: Mickael Laudrup prété par la Juve.

 

Sa première saison (84/85) coïncide avec l'arrivée de Zico à l'Udinese ainsi que celle de Maradona au Napoli.

Elle est marquée par l'apogée de la Juventus de Platini et Trapattoni en Coupe des Champions et son déclin en championnat.

Une équipe va mettre tout le monde d'accord: le VERONA d'Osvaldo Bagnoli, de Heinz-Peter Briegel, de Elkjaer-Larsen, de Galderisi, de Garella et du meneur de jeu de la squadra azzurra Antonio Di Gennaro.

Et c'est l'INTER qui va concurrencer jusqu'au bout le futur champion. (3e au final, surpassée par le Torino d'un point sur le dernier sprint)

En effet, les nerazzurri vont jusqu'en demi-finale en Coupe de l'UEFA après des matchs au couteau contre Sportul, les Rangers, Hambourg en 8e de finale (vainqueur de la C1 1983).

 

"Inter qualifiée"

Contre le Hambourg des Magath et Kaltz , le pénalty du playmaker irlandais Liam Brady qualifie l'Inter pour les quarts de la C3. Le France Football de la semaine suivante n'oubliera pas de remarquer la "Bombe irlandaise à San Siro". Le but de "Kalle" à l'aller à Hambourg compte double car il y a match nul sur l'ensemble des deux confrontations. On peut reconnaitre Ferri, Altobelli, Franco Causio et William Brady (2 scudetti à la Juventus et remplacé par...Monsieur Michel Platini avant de signer à la Samp et à l'Inter).

En quart de finale, Kalle retrouve une autre équipe allemande très compétitive, le Cologne de Littbarski, Harald Schumacher et Klaus Allofs, enfin en 1/2, la bête noire des nerazzurri de ce début des années 80 le très redouté Real Madrid des Michel, Santillana, Butragueno, Gordillo, Sanchis, Stielicke, Camacho, Valdano et Juanito.

Le match retour au Bernabeu sera marqué par l'affaire de la bille envoyée sur la tête de Bergomi et l'INTER sera terrassée par 11 madrilènes déchainés devant plus de 100 000 spectateurs. Un cauchemar qui va laisser des traces en fin de championnat. Le recours de l'avvocato Prisco auprès des instances de l'UEFA sera rejeté. C'est la troisième élimination en coupe d'Europe par le Real depuis 80/81.

"Kalle" va tout de même effectuer des petits exploits avec des doublets contre la Juventus à San Siro (4-0) ou en Coupe de l'UEFA contre le Cologne (1-3 à Cologne, Inter réduite à dix dès le début de la rencontre, il marquera d'une reprise de volée et d'une tête plongeante pour qualifier ses coéquipiers en demi-finale).

Ou encore en Coupe d'Italie. L'affiche des quarts de finale est Verona-Inter qui se soldera par un 3-0 pour les "gialloblu" à l'aller.

Le retour? 5-1 à San Siro pour les hommes d'Ilario Castagner, le Mister nerazzurro. Buteurs: 17' et 25' Rummenigge, 50' Altobelli, 97' Causio, 107' Larsen, 118' Brady.

On comprendra qu'après ces longues batailles les organismes sont diminués. L'effectif est un peu juste.

Il fait le bonheur des fans de l'INTER comme en témoigne son but en "coup de ciseaux" contre le Torino. (à la manière du fameux but de Djorkaeff en 1996/97 contre la Roma)

 

 

Il marquera pas moins de 8 buts en championnat mais c'est son compère Sandro Altobelli (qui connait mieux que lui les défenseurs de la Serie A) qui se hisse au niveau des Platini et des Maradona dans le classement des meilleurs buteurs.

 

 

Classement Serie A 84/85 :

  • VERONA 43 pts >SCUDETTO
  • Torino 39 pts
  • INTER 38 pts

 

Classement des buteurs SERIE A 84/85 (assez représentatif des personnalités de l'époque) :

  • 18 Platini (JU).
  • 17 Altobelli (IN).
  • 14 Maradona (NA).
  • 12 Briaschi (JU).
  • 11 D. Bertoni (NA); Galderisi (VR).
  • 9 Briegel (VR); Serena (TO); Virdis (MI).
  • 8 Elkjaer (VR); Pruzzo (RM); Rummenigge (IN).
  • 7 Carnevale (UD); Finardi (CR); Hateley (MI); Junior (TO); Monelli (FI);
  • Schachner (TO).
  • 6 Boniek (JU); Colombo (AV); Di Bartolomei (MI); Francis (SA); Pecci (FI);
  • Salsano (SA); Socrates (FI).
  • 5 Battistini (MI); Cantarutti (AS); Diaz (AV); Dirceu (AS); Dossena (TO);
  • Edinho (UD); Gerolin (UD); Giordano (LA); Magrin (AT); Mauro (UD);
  • Nicoletti (CR); Nicolini (AS); Pacione (AT); Passarella (FI);
  • Selvaggi (UD); Souness (SA).
  • 4 Caffarelli (NA); Colomba (AV); Di Gennaro (VR); Giannini (RM); Scanziani (SA).
  • 3 Ancelotti (RM); Bonomi (CR); Cerezo (RM); Di Carlo (RM); Mancini(SA);
  • Marini (IN); Morbiducci (CO); P. Rossi (JU); Vialli (SA); Vincenzi (AS); Zico (UD).
  • 2 Bergomi (IN); Brady (IN); Cecconi (FI); Collovati (IN); Corneliusson (CO);
  • Corradini (TO); D'Amico (LA); De Agostini (UD); Faccini (AV); Fanna (VR);
  • Francini (TO); G. Iachini (AS); Galparoli (UD); Graziani (RM);
  • Hernandez (AS); Incocciati (MI); Juary (CR); L. Marangon (VR);
  • Magnocavallo (AT); Massaro (FI); Matteoli (CO); Miano (UD); Penzo (NA);
  • Pulici (FI); Renica (SA); Scirea (JU); Stromberg (AT); Tardelli (JU);
  • Tesser (UD); Vella (AT); Vierchowod (SA); Vullo (AV).
  • 1 Albiero (CO); Alesi (AS); Amodio (AV); Antonelli (RM); Barbadillo (AV);
  • Batista (LA); Billia (UD); Bonini (JU); Brio (JU); Bruni (VR); Bruno (CO);
  • Calisti (LA); Caso (TO); Centi (CO); Chierico (RM); Chiorri (CR);
  • Conti (RM); Dal Fiume (NA); De Napoli (AV); F. Rossi (UD); Falcao (RM);
  • Ferri (IN); Fonte (LA); Fontolan (VR); Fusi (CO); G. Baresi (IN);
  • Galbiati (TO); Galia (SA); Garlini (LA); Gentile (AT): Guerrini (CO);
  • Iachini (FI); Iorio (RM); Koetting (JU); Laudrup (LA); Lucarelli (AV);
  • Meluso (CR); Muller (CO); Muraro (IN); Nela (RM); Oriali (FI); Osti (AT);
  • Pasinato (IN); Pellegrini III (FI); Perico (AT); Podavini (LA);
  • Righetti (RM); Sabato (IN); Sacchetti (VR); Sclosa (TO); Soldà (AT);
  • Tassotti (MI); Todesco (CO); Torresani (CR); Verza (MI); Vianello (LA);
  • Viganò (CR); Vignola (JU); Zaccarelli (TO); Zmuda (CR).

 

 

"Kalle" sait tout faire, son jeu spectaculaire et altruiste est complété par un moral de combattant. Un pur "fuoriclasse".

Les 2 années suivantes seront marquées par des blessures. Sa masse musculaire étant trop développée. Il inscrira 13 buts en championnat lors de la saion 85/86 et arrivera encore une fois en demi-finale de la C3 et encore une fois le Real Madrid éliminera l'Inter. L'équipe est vieillissante et face au Real de la "quinta del buitre" ça ne pardonne pas. Il faudra attendre 1990/91 pour revoir l'Inter à ce niveau de compétition européenne.

"Kalle" a écrit les plus belles pages de son histoire au Bayern et avec l'équipe nationale mais un phénomène ne se refuse pas à l'INTER.

Il inscrira 42 buts en 107 présences sous le maillot nerazzurro. Il est peut-être arrivé une ou deux saisons trop tard et paiera sans doute la politique des dirigeants au niveau du recrutement. Les bonnes affaires sont souvent inférieures aux mauvaises.

 

 

Carrière

  • 1973-1974 : Borussia Lippstadt ( Allemagne, Amateurs)
  • 1974-1984 : Bayern de Munich ( Allemagne)
  • 1984-1987 : Inter Milan ( Italie)
  • 1987-1989 : Servette FC ( Suisse)

 

Palmarès

  • Champion d'Europe des nations : 1980 avec l'Allemagne
  • Coupe d'Europe des clubs champions : 1976 avec le Bayern
  • Coupe Intercontinentale : 1976 avec le Bayern
  • Champion d'Allemagne : 1980 et 1981 avec le Bayern
  • Coupe d'Allemagne : 1982 et 1984 avec le Bayern
  • Meilleur buteur de la Coupe des Champions : 1981 (6 buts) (Bayern).
  • 95 sélections pour 45 buts en équipe d'Allemagne
  • Finaliste de la coupe du monde 1982.
  • Finaliste de la coupe du monde 1986.
  • Demi-finaliste Coupe UEFA 1984/85 avec l'Inter.
  • Demi-finaliste Coupe UEFA 1985/86 avec l'Inter.

 

Distinction personnelle :

  • Ballon d'or : 1980 et 1981.
  • Onze d'or : 1980 et 1981.
  • Onze de bronze : 1983.

 

 

 


👤 Fiche complète du joueur

Modifié par zenga
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Très intéressant.

Cet été, j'avais écouté une bio sur radio MilanInter justement et je n'ai pas tout calé. Alors si j'ai bien compris il semble qu'il y avait une rivalité entre lui et son frère Wolfgang (joueur de D2 allemande) :g: Ils ont un autre joueur dans la famille, Michael (Bayern, Dortmund)

 

Apparement c'est lui qui donne son nom à Karl-Heinz Schneider dans Olive et Tom. Il faudrais vérifier dans la version japonaise, mais en tout cas ils portent le même numero 11.

François Mitterrand : "Mon dieu, Rümmenisch !" lors de l'entrée de Rummenigge à Séville 1982 :laugh:

 

celui qui me déniche le maillot de l'Inter 84/85 je lui

embrasse les pieds.

Y a un signe particulier pour le distinguer des autres ?

C'est bien le dernier maillot avec l'équipementier au logo en forme de papillon, avant le passage au Coq Sportif :phear:

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celui qui me déniche le maillot de l'Inter 84/85 je lui

embrasse les pieds.

Y a un signe particulier pour le distinguer des autres ?

C'est bien le dernier maillot avec l'équipementier au logo en forme de papillon, avant le passage au Coq Sportif :phear:

 

c'est exact, l'équipementier avant "le coq sportif" est je crois un truc

comme "mec sport" avec le papillon.

confirmation sur photo 83/84 (maillot identique que 84/85)

Modifié par Damien
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  • 13 ans plus tard...

 

Car je regardais le Inter-Juve de 84 avec ce 4-0 aux futurs champions d'Europe où il plante un doublé, pour les plus jeunes, ou ceux qui ne le connaissent pas, Rummenigge était un joueur hors de son temps physiquement et athlétiquement, malheureusement la rudesse de la prépa italienne ainsi qu'une fragilité musculaire auront raison de sa régularité exceptionnelle attestée en Allemagne et du duo qui faisait rêver sur le papier avec Altobelli, soutenu par du Brady, Fanna, Causio, Tardelli, malgré cela l'allemand aura marqué quelques buts importants pendant trois ans en Série A et en C3, notamment la première année.... Je reste persuadé qu'avec sa présence optimale en 86/87 on peut prendre le scudetto au Napoli malgré un Maradona qui redevenait injouable.

 

Il avait tout, tête, pieds, explosif, puissance, force, intelligence parfois des dribbles, un Cristiano post 2011 avant l'heure sans les dribbles inutiles et le niveau de jeu surestimé, vraiment exceptionnel, il aura juste la malchance de ne pas gagner les deux C1 de 81 et 82 qui tendaient aux bras du Bayern...

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  • Goaaal 1
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J'ai pas connu, j'avais -4 ans :phear: 

Mais toujours un plaisir de voir ces vidéos à l'ancienne avec cette ambiance de dingue de l'époque, des têtes plongeantes dignes des saumons de l'Alaska et des défenses qui feraient pleurer de rire Stefan de Vrij.

Le foot a beaucoup changé entre temps, et je me demande si ces légendes auraient percé dans les conditions actuelles.

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Quelques années plus tôt, il avait fait la connaissance de Bergomi en 82 en finale du Mondial 😎 Il avait fait une magnifique entrée de Rummenigge contre la France d'ailleurs en demie.

C'est pas mal de remonter des topics comme ça, je dois dire qu'en plus cette époque au final beaucoup (dont moi) ne la connaisse pas spécialement. Dans le sens où même si on se documente ça reste toujours un peu abstrait quand tu n'as pas vu en live le joueur. Toujours mieux d'avoir des témoignages ^^

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Je connais juste le nom Rummenigge , je savais de ce que mon père me disait que c'était un grand joueur à son époque,  faudrait que je me refasse des compil sur lui (j'ai 28 ans) , j'ai regardé des vidéos de Cryuff, Laudrup , Romario , Zico Socrates , Maradona... 

 

Je penses que chaque joueur a sa génération, s'il l'a dominé alors il fait partie des meilleurs de l'histoire. Après a comparé les niveaux entre les générations je trouves que ça n'a pas de sens car le foot évolue (tactiquement,  technologiquement , conditions physiques ...) du coup on ne peut pas se prononcer sur un tel ou un tel qui aurait ou n'aurait pas pu percer au foot d'aujourd'hui ou d'il y a 20-30 ans 

 

Par contre Cruyff Maradona Laudrup tu les mets dans n'importe quel gros club actuel ils sont titulaires indiscutable de ce que j'ai vu 😱 (ce n'est que mon propre avis)

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La notion de temps implique un champ de facteurs qui étaient manipulés toujours avec la productivité maximisée pour être le plus performant, c'est universel et inhérent à l'être humain, puis ils sont caractérisés par une échelle de graduation pour définir et mettre en relation la dite productivité pour mesurer la pertinence sur un moment B et pour comparer à un ancien A, pour obtenir les meilleurs avancées possibles.

Donc en l'espèce, selon les critères de l'époque, Rummenige était un top player en gros et au-dessus de la moyenne, et avec l'avancée de la médecine sportive, autant Rummenige aurait pas eu tous ses problèmes, etc....

Mais je peux qu'approuver le fait que le critère de la défense en zone est quelque chose d'assez criant par rapport à nos jours, ça c'est vraiment le seul truc où on peut dire que ce facteur a favorisé les grands joueurs et les génies mais à l'inverse la dureté dans l'implication physique était énorme avec une certaine forme de violence...

Et oui, les stades et les ambiances italiennes à cette époque c'était énorme.

 

Il y a 13 heures, gladis32 a dit :

Quelques années plus tôt, il avait fait la connaissance de Bergomi en 82 en finale du Mondial 😎 Il avait fait une magnifique entrée de Rummenigge contre la France d'ailleurs en demie.

C'est pas mal de remonter des topics comme ça, je dois dire qu'en plus cette époque au final beaucoup (dont moi) ne la connaisse pas spécialement. Dans le sens où même si on se documente ça reste toujours un peu abstrait quand tu n'as pas vu en live le joueur. Toujours mieux d'avoir des témoignages ^^

Oui, il joue blessé la CDM en 1982, Bergomi fait une super finale d'ailleurs.

 

@zupermaniacx, Laudrup est peut-être le joueur le plus sous-estimé dans le domaine technique de l'histoire, mais son caractère et son implication dans les efforts défensifs étaient déjà pointés du doigt en Italie et par Cruyff au Barça, j'ose même pas imaginer aujourd'hui.

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  • Damien a changé le titre pour 🏃🏼Karl-Heinz Rummenigge

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