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L'Inter a signé un nouvel accord avec afizzionados, la chaîne du groupe Televisa dédiée au monde du sport. afizzionados deviendra ainsi le premier partenaire régional du Club au Mexique permettant à l'Inter de consolider sa présence en Amérique latine sachant que cette base de fans est la deuxième au monde. Le partenariat permettra aux fans interisti du Mexique d'avoir accès à des contenus et expériences exclusifs dédiés au monde des Nerazzurri : de la possibilité de s'envoler pour Milan et d'assister en direct à un match de l'Inter, aux billets pour la visite du stade, jusqu'aux maillots gagnants dédicacés par les meilleurs joueurs du Club. Les mots de Luca Danovaro, directeur des recettes de l'Inter. "Nous sommes très satisfaits d'avoir conclu cet accord avec afizzionados, une chaîne du groupe Televisa. Ce partenariat nous permet de consolider notre présence en Amérique latine, un territoire stratégique pour poursuivre le développement de notre marque sur le continent américain. Il nous permettra également d'être encore plus proches de notre fanbase mexicaine, l'une des plus fidèles à nos couleurs. Il récompense notre engagement à transformer notre Club en une véritable entreprise de divertissement médiatique qui crée également du contenu pour les grands diffuseurs internationaux." Le commentaire de Michel Bauer, directeur général des ventes d'izzi + SKY. "Depuis le début, l'Inter a montré de l'intérêt et de l'affection pour le Mexique et son peuple. Ce partenariat représente une collaboration unique qui permettra aux fans d'être impliqués et d'interagir directement avec le Club. De plus, cet accord donnera aux afizzionados mexicains l'opportunité de vivre des expériences dont ils se souviendront pour toujours et la possibilité d'accéder à du contenu vidéo exclusif chaque semaine. Nous sommes fiers d'être un lien entre l'Inter Milan et le Mexique et nous espérons que cet accord apportera une grande satisfaction à toutes les personnes impliquées." Ce partenariat fait partie du parcours de l'Inter pour s'établir en tant que société de divertissement multimédia qui crée également du contenu pour les principaux diffuseurs internationaux, et pour que les fans du monde entier se sentent de plus en plus partie prenante du Club. Traduction alex_j via FCINterNews.6 points
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Andrea Ranocchia, dans une interview accordée aux micros de tuttomercatoweb.com a raconté le parcours qui l'a amené à décider de raccrocher les crampons durant cette saison. Votre dernière blessure, vous a-t-elle obligé de prendre votre retraite ? "Elle m'a donné le dernier coup de pouce, j'y pensais depuis un moment, mais sans la blessure j'aurais continué à Monza. Mais après cette blessure, j'ai aussi fait le calcul : c'était encore l'été, le marché était ouvert et donc je n'aurais pas mis le club en difficulté, d'ailleurs Galliani a fermé quelques jours plus tard pour Izzo. Et puis avec l'année de la Coupe du monde, et avec une blessure qui ne m'aurait pas permis d'être à nouveau disponible avant janvier-février, Monza aurait pu encore se renforcer en janvier." Avez-vous déjà pensé à arrêter quand vous étiez à l'Inter ? "Pas exactement, pas arrêter comme ça. J'ai cependant senti que je n'avais plus cette grande passion pour le football. Nous avons discuté à la fin de la saison et nous nous sommes dit que nous n'irions pas de l'avant ensemble. Et j'ai pensé qu’'après 12 ans, trouver un nouveau carré, un nouvel enthousiasme, peut-être que je trouverai un nouvel enthousiasme et de nouveaux stimuli.' Et au lieu de cela les sensations étaient toujours les mêmes, il y avait toujours un demi-doute. Puis tout mûrit quand je me suis blessé." Donc avec l'Inter, ça ne s'arrête pas parce que vous pensiez déjà à prendre votre retraite. "Lorsque nous nous sommes rencontrés, le club ne connaissait pas encore le budget disponible, il n'avait pas encore prévu l'avenir... Pour moi, l'opportunité de Monza arrive à la mi-juin et je dis oui." Peut-être qu'en attendant l'Inter, l'Inter se présenterait-elle à nouveau ? "Je ne le saurai jamais, quand Monza m'a appelé, j'ai saisi cette opportunité." Votre dernière saison à l'Inter était la première d'Inzaghi. "J'ai ruminé parce qu'on n'a plus gagné le championnat, c'était le 20e Scudetto et ça aurait eu un sens important. Mais on a gagné la Supercoupe, la Coupe d'Italie, je suis quand même parti avec deux trophées et ça va, je suis heureux. Ensuite, j'ai vraiment aimé le dernier adieu que le Meazza m'a fait : très émouvant, peut-être l'un des plus excitants de ma carrière. Je suis content de la façon dont cela s'est terminé avec l'Inter." Inzaghi souffre-t-il de ce moment de maigres investissements de l'Inter après les adieux de Conte ? "L'Inter est une équipe solide qui a remporté trois trophées sous Inzaghi. Ils sont maintenant en demi-finale de la Coupe d'Italie, en quart de finale de la Ligue des champions et sont deuxièmes du classement. Ensuite, bien sûr, vous vous attendez toujours ce que l’Inter gagne le championnat ou en tout cas qu'elle aille au bout de toutes les compétitions. Mais cette année, il n'est pas facile pour quiconque de suivre le Napoli qui joue dans un autre championnat. Il faut aussi donner du crédit à ceux qui sont premier avec 19 points d’avance. L'Inter d'Inzaghi est excellente, qui peut lui dire quelque chose ?" Mais à lire ses interviews, à souligner ce qu'il a fait, il donne l'impression d'être le premier à souffrir de ne pas avoir gagné le Scudetto. "C'est le football, l'un gagne et les autres sont derrière la scène. Au-delà du championnat à huis clos, je le répète, l'Inter est en lice dans les autres compétitions. Il faudra compter en fin d'année, pas après une défaite ou une victoire." Quand mûrit votre idée de terminer avec l'Inter ? "Après une discussion à la fin de l'année dernière. A cette occasion, nous nous sommes dit: ‘Voyons voir’. Ils devaient planifier une saison qui n'avait toujours pas de caractéristiques claires et j'ai commencé à regarder autour. Le tout dans une grande sérénité, comme toujours au cours de ces 12 années." Avez-vous déjà eu une brouille avec l'entreprise ? "Cela peut sembler étrange mais non, jamais. Je vais vous donner un exemple : mes négociations de renouvellement de contrat avec l'Inter ont duré entre 5 et 6 minutes, je ne pense pas que cela ait jamais duré plus longtemps. Ils ont fait une proposition, je l'ai modifiée à la marge et au bout de 10 minutes nous signions." Un autre pas en arrière. Avant Inzaghi, il y a Conte. Pourquoi disparaît-il au bout de deux ans ? Comment vous le communique-t-il ? "Je ne sais pas ce qui s'est passé à cette époque. Personne ne le sait en dehors du club et de Conte lui-même. Je ne voulais même pas demander, ce sont des relations personnelles et des décisions personnelles. Et puis chacun pense à son propre avenir. Pour moi c'est qu'il était un entraîneur fondamental." Qu'est-ce que Conte vous a donné de plus que ce que Spalletti vous a déjà donné ? "Mentalité, discipline, manière d'appréhender l'entraînement, manière d'appréhender le match. Il soigne l'apparence du joueur à 360°, il a un peu réaménagé l'environnement avec sa modalité et avec lui il a mené un parcours gagnant." La fermeture d'un cercle. "L'histoire de l'Inter au cours des 12 dernières années a été un peu étrange. Nous sommes passés de l'ère Moratti qui avait tout gagné, puis Thohir et ensuite Suning. Lorsque ces changements ont lieu, il faut du temps pour rétablir la stabilité dans l'environnement. Mais dans le football, vous n'avez pas le temps : vous avez une semaine, le temps qui passe d'un match à l'autre. Spalletti a posé la première pièce de la nouvelle Inter : il a été fondamental. C'est un entraîneur fort, qui entraîne les joueurs et forme un environnement. Mais ce sont des années où vous avez dû défier une Juventus qui était parmi les meilleures du monde et vous êtes aux prises avec une nouvelle voie : vous avez du mal. Cependant, c'est Spalletti qui nous a ramenés en Ligue des champions et aussi au niveau économique et blason, ça a commencé à se reconstruire. Puis Conte est arrivé qui a ajouté sa discipline, sa façon de penser. Et ça, c'est personnel. Je ne dis pas qu'il est le seul capable de gagner à l'Inter, mais à ce moment-là, il était doué pour mettre toutes les pièces dans le bon sens pour arriver au Scudetto." Mais vous ne pensez pas que les deux derniers Scudettos de l'Inter soient de Mourinho et Conte. "A ce moment, sa mentalité a fait grandir tout le monde, du club à l'entraîneur en passant par ceux qui travaillent autour de l'équipe. Maintenant, l'Inter est un club structuré du plus haut niveau et à mon avis, ce n'est qu'une question de temps avant de revenir pour gagner. On aurait pu gagner encore l'an dernier, elle a échoué de peu. On a eu un black-out entre février et mars et on a un peu brûlé là. Pas tellement dans les quatre derniers jours comme on dit, c'est plutôt en janvier/février qu'on a galéré. Cette année, cependant, Naples a fait un championnat à part : ils ont une mentalité, ils gagnent, ils ont du talent. Ce championnat est plus un mérite de Naples, il a créé un vide. Il y a aussi les démérites des adversaires, bien sûr, mais Spalletti a fait un excellent travail." Le travail de Spalletti à l'Inter a-t-il été sous-estimé ? "Son travail n'a pas été assez apprécié. Il pose les bases. C'est difficile pour une équipe d'une année sur l'autre de finir septième, ensuite premier puis de gagner le Scudetto. Le Napoli s'est construit au fil des ans, ils y arrivent toujours : deuxième, troisième, deuxième, puis troisième... Et il va mieux cette année. Mais oui, le travail de Spalletti a été largement sous-estimé à l'Inter." L'année de son retour en Ligue des champions, l'affaire Icardi éclate. A-t-elle été difficile à gérer ? "Très difficile. La vérité est que je n'aurais pas voulu être à sa place. Mais il était bon, il a atteint son objectif de terminer dans le top quatre. Avec un dernier match particulier, plein d'émotions, mais même là en la fin nous l'avons fait." Je reviens donc à la comparaison avec Conte. Avait-il la possibilité de réclamer certains achats plus que ses prédécesseurs ? C'est ça la différence ? "Ces entraîneurs sont ceux qui ont une grosse histoire de victoires et de trophées. À mon avis, lorsqu'ils ont eu les premiers entretiens avec Conte, ils s'étaient déjà clarifiés sur de nombreux aspects. Il venait depuis des années au cours desquelles il avait entraîné et a gagné avec la Juve, il était un symbole de la Juve et à ce moment-là, si vous acceptez l'Inter, vous ne pouvez pas vous tromper d'un iota. Avant d'accepter une telle mission, je pense qu'ils ont mis les différents mouvements à faire sur papier." C'est le cursus qui fait la différence et vous amène à demander certaines garanties. "Oui. Probablement même Spalletti, en remportant le championnat et en devenant un entraîneur gagnant, demandera à la prochaine équipe qu'il entraîne des garanties différentes et plus importantes. Et à ce moment-là, il peut vraiment les exiger. C'est ainsi que cela fonctionne pour les grands entraîneurs et pour les meilleurs joueurs." Avant Spalletti, il y avait Pioli. Vous attendiez-vous à ce qu'il puisse gagner le Scudetto avec Milan ? "L'année dernière je lui ai écrit, je l'ai complimenté. Je l'ai eu quelques mois mais c'est un bon coach, qui construit un groupe et qui a un très bon staff. Gagner le championnat c'est difficile parce que tant de choses prennent le dessus en une année. Ce n'est pas de la chance, la décision de l'arbitre n'a rien à voir. Celui qui gagne le championnat c'est parce qu'il le mérite. Il était doué pour créer ce sentiment avec l'équipe. L'année dernière, vous avez pu voir qu'il avait créé cette relation de compacité avec l'équipe, cela a été perçu. Comme cette année, vous pouvez voir le sentiment entre Spalletti et son équipe." Et puis à Milan, il a su construire un projet, alors qu'à l'Inter, il était perçu comme un entraîneur de transition. "Oui, définitivement oui. Et puis il y a encore sa croissance en tant qu'entraîneur, quand on parle de Pioli à l'Inter on parle de 2016..." Avant Pioli la parenthèse de Boer. Il est difficile de trouver quelqu'un qui en parle en bien. "Je n'aime pas dire du mal des gens..." C'est compris. Mais ce n'est pas facile de bien en parler. "Un entraîneur qui ne connaît aucunement le football italien a du mal et il ne connaissait aucunement le football italien. Il ne connaissait pas les joueurs, il ne savait rien. La langue était un gros problème, faire passer des mots ou vos messages à l'équipe, c’est dur, ils parlent deux langues différentes. Et puis ce fut une période de grande confusion à l'Inter. Je vous dis la vérité, je ne me souviens même pas trop de son passage à l'Inter... Il a dû être avec nous deux des mois." Avant de Boer, il y a Mancini. Et c'est l'entraîneur qui vous fait asseoir sur le banc, vous obligeant à partir en prêt. "Quand il est arrivé, j'ai joué, puis on n'est plus reparti la saison suivante et donc au fil des semaines j'ai commencé à évaluer différentes solutions. Mais je m'entendais bien avec Mancio... C'était aussi une bonne expérience d'être coaché par lui parce que c'est un coach qui gagne et quand des coachs de ce calibre arrivent, ils te donnent quand même quelque chose. Après il y a le coach avec qui tu crées plus ou moins de feeling, mais pour moi c'était simplement un choix technique." Bref, sans rancune. "Là et puis ça te ronge, tu veux jouer. Mais aujourd'hui je peux dire que le sélectionneur de l'équipe nationale m'a coaché." Jusqu'à la première année avec Mancini, vous jouez en tant que titulaire, puis lorsque vous revenez de prêt, vous êtes en soutien. Pourquoi acceptez-vous ce nouveau rôle à ce moment ? "Les six mois en Angleterre m'ont un peu ouvert les yeux, ils m'ont fait comprendre qu'il y a aussi une autre façon de vivre et d'appréhender le football. C'était une belle expérience. Quand je suis revenu de Hull City, je ne savais pas si je resterais ou non, Spalletti venait d'arriver. Au bout d'un moment, Luciano me dit : ‘Écoute, je suis content si tu restes, donne-moi un coup de main.’ Une belle relation personnelle s'est immédiatement créée : j'ai encore de ses nouvelles deux à trois fois par mois, nous nous écrivons. La relation humaine est très importante pour moi, plus que la relation professionnelle. Parce qu'à ce moment-là, j'ai toujours pensé qu'une fois que j'aurais arrêté, ces relations resteraient. Et aujourd'hui c'est comme ça, ça veut dire que tu as montré quelque chose de bien, mais pas en jouant parce que tout le monde est bon pour jouer en Serie A, je veux dire sur le plan humain." Et avec Spalletti cette belle relation humaine se crée immédiatement. "Après ce discours, je suis allé parler au club. Eux aussi étaient contents de mon éventuel séjour et donc je suis resté à ce moment-là. Puis un autre type de relation s'est établi après, parce que je voulais gagner avec l'Inter. Et après Spalletti est venu Conte, je le lui disais depuis de nombreuses années et à la fin il est vraiment arrivé. Ensuite, tu gagnes le championnat et quand tu gagnes, tu te sens bien, même si tu ne joues pas 40 matchs. J'étais bien avec le groupe, l'environnement était idéal et ma famille allait bien à Milan. Il y avait la possibilité de gagner des trophées et à ce moment-là, il ne m'est jamais venu à l'esprit de partir." Et cela s'est également perçu dans la relation avec les fans. Dans la première partie, quand vous étiez titulaire, beaucoup de critiques. Puis, quand vous êtes revenu en acceptant de jouer moins, vous avez été élu symbole de l'interisme. "C'est comme ça que ça s'est passé. Mais cela aussi fait partie d'un parcours sportif, footballistique. Quand tu es dans une grande équipe, même si tu gagnes, tu es toujours sujet à la critique. L'Inter a lutté pendant de nombreuses années, la critique était normale. Et puis avec l'ère des réseaux sociaux tout s'est élargi à tous les niveaux. Mais ça s'est passé différemment pour moi et encore aujourd'hui quand je retourne au stade ils me saluent. Cela me vaut plus que 50 Scudetti... Je le répète : l'aspect humain est fondamental parce qu'alors la vie est longue. A 35 ans la partie sportive s'arrête, mais après t'en as beaucoup plus pour tout le reste." Revenons au début de votre aventure Interista. Vous arrivez avec Leonardo. "Oui, Benitez avait été viré trois jours plus tôt." Et vous, quel coach trouvez-vous ? "Je me suis tout de suite bien entendu avec Leo. Une bonne personne. Il est bon comme entraîneur, mais j'ai perçu que ce n'était pas tellement ce qu'il voulait faire. Et en fait, il a changé au bout d'un moment." Vient ensuite Gasp. Qui ne comprend pas ce groupe ou vice versa ? "C'était difficile pour ce groupe de comprendre Gasperini. Il arrive mais même là, je vous dis la vérité : ce furent des années très mouvementées et on a tout vécu comme ça, très vite. Au jour le jour." Avec qui avez-vous trouvé le plus de continuité dans cette phase ? "A cette époque je jouais. Je l'ai trouvée avec Mazzarri comme avec Stramaccioni, j'ai aussi joué avec Gasp." Toutes des personnalités très différentes. "C'était difficile, aussi parce que changer d'entraîneurs, de stratégies et de méthodes de travail à chaque fois n'est pas facile. Bien faire ces années-là était très difficile." Est-ce la raison de l'effondrement de l'Inter après le triplé ? "Oui. Ces dernières années, j'ai vu un super calendrier à l'Inter. Même les entraîneurs qui sont arrivés : Spalletti, Conte et Inzaghi ont toujours donné le sentiment de stabilité. Maintenant, Inzaghi a été critiqué, mais à mon avis c'est plus un truc de journaliste..." Dans quel sens? "Naples joue dans un championnat à lui. Mais pour le reste, l'Inter est là : ils ont atteint les demi-finales de la Coupe d'Italie, ils sont en quarts de finale de la Ligue des champions. Ils ont remporté la Super Coupe. Le journaliste ou le fan critiquera toujours, mais quand on va évaluer, ce sont les résultats qui comptent." Vous parliez de continuité arrivée avec Suning. "Le trio Marotta-Ausilio-Baccin a donné un tournant important. L'Inter a réalisé un important marché des transferts ces dernières années et à eux trois ont ramené l'Inter à des niveaux importants." Après Bari vous allez au Genoa où vous jouez six mois "Oui, et je me remettais d'une blessure parce qu'en deuxième année à Bari en milieu de saison, avec Ventura sur le banc, je me suis cassé le LCA. J'avais déjà été acheté par le Genoa et donc à ce moment-là je suis aller à Gênes pour se faire soigner. L'été suivant, j'ai commencé le camp d'entraînement avec le Genoa, Gasperini était sur le banc. Il se trouve alors que fin novembre Samuel se fait son croisé, des rumeurs circulaient déjà sur l'intérêt de l'Inter et en décembre Preziosi m'a appelé pour me dire qu'il m'avait vendu à l'Inter. Je vais tout de suite faire mes valises et aller à Milan." Pratiquement après la Coupe du monde des clubs. "Deux jours plus tard. Ils ont viré Benitez, ont pris Leonardo et le lendemain ils ont officialisé mon achat." Qu'est-ce que le football a représenté pour vous ? "Ça a représenté 30 ans de ma vie, c'est tout. Alors peut-être que j'y retournerai mais la passion remue tout : si ça ne sera pas là, je ferai autre chose." Belle interview, très pro et très gentlman ! Bonne suite Andrea! Traduction alex_j via FCInter1908.5 points
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Merci Simone de nous avoir fait recruté un gogo danseur avec un physique de paraplégique. 30 millions pour un tourne-broche,ça fait cher quand même.5 points
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Voila ou on en arrive... devenu un tremplin pour les "gros" clubs J'ai mal a mon INTER !!!4 points
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Ni oubli ni pardon pour Inzaghi qui laissait le cadavre d'Handanovic dans les cages pendant des mois.4 points
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C'est une révélation de la Gazzetta Dello Sport: Plusieurs clubs de Premier League sont séduit par notre portier! "Chelsea et Manchester United ont les yeux rivés sur Onana: Le gardien de l'Inter, qui a pris la place de Samir Handanovic comme gardien titulaire cette saison, a attiré l'attention de la Premier League mais si l'Inter compte résister à la tentation "face à une offre faramineuse, il serait difficile de ne pas succomber. C'est également pour cette raison que la Direction suivrait quelques profils à l'étranger, mais aussi Vicario, le gardien d'Empoli." Une Maxi-Plus-Value "Onana sortait d'une suspension pour dopage et était en rupture avec l'Ajax quand, en janvier 2022, Giuseppe Marotta et Piero Ausilio ont devancé la concurrence pour s'offrir le portier qui a pris la place de Samir en à peine un mois et demi, après son arrivée à la Pinetina: A présent, il est devenu une certitude pour l'équipe Nerazzurra." "Son évaluation se situerait désormais autour de 60-70 millions d'euros et il s'agirait d'une importante plus-value mais André se sent très bien à Milan, il n'a pas l'intention de partir, et il a surtout établi un certain feeling avec la Tifoserie de l'Inter." "Toutefois, Chelsea et United ont les idées claires et il serait pressenti pour remplacer Mendy ou De Gea qui est en fin de contrat. Tottenham serait également sur les rang vu que le club songe à remplacer Lloris, âgé de 37 ans." Guglielmo Vicario "De son côté, l'Inter suit le gardien qu'Empoli a acheté en juin pour 8 millions d'euros avec un pourcentage sur la revente future qui fera doubler sa valeur. Pour le signer, il faudra donc débourser 20 millions d'euros. Si la Juventus l'apprécie également, lui aussi a des prétendants à l'étranger, notamment en Premier League comme Onana." "Pour l'Inter, il serait considéré comme le meilleur profil parmi les gardiens de but évoluant en Serie A, il est apprécié pour ses qualités physiques et son potentiel. Son achat pourrait être favorisé par les bonnes relations que les Nerazzurri entretiennent avec le club toscan qui s'est vu par le passé prêter Pinamonti et Satriano à l'Inter. Des contacts ont déjà eu lieu avec son agent, Giuffrida. "Pour l'instant, il n'y a rien de concret, mais on pourrait commencer à parler de négociations sérieuse, si une offre très importante arrive d'Angleterre pour le gardien titulaire des Nerazzurri." Une équipe Da Scudetto pour l'an prochain qu'ils disaient.....Merci Suning! ®Antony Gilles - Internazionale.fr3 points
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L'Inter annonce avoir signé un partenariat avec Ria Money Transfer, une marque du groupe Euronet et leader mondial du secteur des transferts d'argent transfrontaliers. Ce nouvel accord contribuera à accroître la visibilité de la marque Ria en Italie et à l'international en profitant de la grande communauté mondiale de l'Inter comptant plus de 500 millions de fans répartis sur tous les continents. La grande base de fans des Nerazzurri rejoint ainsi le caractère mondial de la marque de transfert d'argent Euronet qui est présente dans plus de 180 pays. Les deux marques partagent également la valeur fondatrice d'ouverture sur le monde : le caractère international et l'attention aux étrangers font en effet partie de l'ADN d'Inter depuis 1908, tout comme la mission principale de Ria est d'aider ses clients, dont la plupart sont loin de chez eux pour construire un avenir meilleur. Alessandro Antonello commente. "C'est un grand plaisir pour nous d'accueillir Ria Money Transfer dans la famille des partenaires Nerazzurri. Nous sommes très satisfaits qu'une marque mondiale déjà très vue dans le monde du football international ait décidé de rejoindre notre Club pour accroître sa visibilité en Italie et au-delà. Cet accord nous permet de rejoindre une marque qui, comme nous, a la valeur d'ouverture vers les autres dans son ADN et c'est une grande fierté." Juan Bianchi, PDG de la gestion des transferts d'argent d'Euronet déclare que "Nous sommes fiers d'être partenaires d'un club aussi historique et performant. Ce nouveau partenariat est naturel compte tenu des similitudes entre l'histoire de l'Inter et la nôtre. Le département des transferts d'argent d'Euronet est fondé sur les valeurs d'ouverture, de passion et de travail d'équipe et nous sommes engagés à faire en sorte que nos clients, qui sont souvent loin de chez eux et de leur famille, puissent avoir un avenir meilleur." Grâce à ce partenariat, Ria aura une visibilité sur les LED au bord du terrain lors des matchs de l'Inter en Serie A et Coppa Italia, sur les chaînes numériques du Club et à travers d'autres initiatives qui seront dévoilées au cours de la saison. Traduction alex_j via FCInterNews.3 points
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Pour les plus jeunes qui n'ont pas connu Stéphane Dalmat sur le terrain: https://www.instagram.com/reel/CqH1AD3IPZf/?utm_source=ig_web_copy_link3 points
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Les propos du journaliste : "Le scénario voit Mourinho-Real Madrid, Ancelotti-Brésil et Conte qui feraient de fausses cartes pour revenir à l'Inter" S'adressant aux micros de TMW Radio, Fabio Santini , journaliste, a ainsi évoqué un possible retour d' Antonio Conte à l'Inter : « Conte gagne 15 millions nets par an à Tottenham. Je vois Mourinho-Real Madrid, Ancelotti-Brésil et Conte qui feraient de fausses cartes pour revenir à l'Inter : l'Inter n'a pas d'argent, ils ne peuvent pas supporter un entraîneur aussi fort avec une présidence aussi faible. Je n'exclurais donc pas les Romains, s'ils décident de réduire son salaire, ou une année sabbatique en bonus. Telle est la situation, voyons maintenant ce qui va se passer. Il a le profil adapté à une reconstruction. Si l'Inter voulait se reconstruire, il serait idéal. Je le vois bien à Rome pour ça. Reviendrait-il vraiment à l'Inter ? Oui, il y a déjà eu des contacts il y a quelque temps mais l'Inter n'y arrive pas." Antonio prépare t-il son retour en Série A? Traduction Lindt Via Fc Inter19083 points
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Des fois les choix sont mauvais. Dum-Dum je dirai que les promesses étaient là mais il n'a pas su élevé le niveau ou du moins le coach n'a pas su le faire évoluer. Je trouve même qu'il a régressé surtout dans l'intelligence de jeu et son placement tactique qui est une cata3 points
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FCInterNews nous présente rapidement le Benfica de Roger Schmidt. Petite analyse tactique et l'Inter est prévenue. PARCOURS D'abord dans le groupe H devant le PSG (deux nuls avec les Parisiens) et la Juventus (avec 6 buts en deux matchs). Puis le Club Bruges (avec des boulettes). Le tout avec un jeu harmonieux et efficace qui ne semble pas avoir été affecté par le départ d'Enzo Fernandez en Janvier. Benfica, premier du championnat, se présente devant l'Inter en quart de finale. Une équipe de qualité, organisée, moderne, pleine de contenus intéressants et de vie. Roger Schmidt est l'architecte de cette machine presque parfaite. "Presque" car quelques failles sont visibles, surtout dans la phase défensive et dans l'inexpérience de certains éléments. Attention au meneur de jeu Rafa Silva, à l'éclectique Joao Mario (ancien Nerazzurri) et à l'arrière latéral Grimaldo. Ce dernier serait lié aux Nerazzurri compte tenu de son départ très probable en transfert gratuit en fin de saison. Au match aller, il n'y aura pas d'Otamendi pour cause de suspension; une absence tout sauf anodine. Florentino, Joao Mario et Gonçalo Ramos sont avertis. De notre côté, Bastoni, Dimarco et Lautaro Martinez n'y sont pas très loin et doivent faire attention. Roger Schmidt ne pourra pas compter sur Draxler (saison terminée après opération à la cheville en février) et Guedes (problème de ménisque, retour prévu fin avril). TACTIQUE Le credo de Schmidt est le 4-2-3-1, sa formation favorite depuis plusieurs saisons maintenant et reproduite avec succès à Lisbonne également. Rigoureux, stratégique, mais aussi aux idées lumineuses comme en témoigne le pari sur Ciquinho après les adieux d'Enzo Fernandez et la formation d'Aursnes en tant qu'ailier tactique. Son Benfica est une vraie équipe avec une vocation offensive évidente : deux latéraux comme propulseurs comme Bah et Grimaldo, trois finisseurs et un attaquant. Rapidité, qualité mais technique dans la gestion du ballon : les Lusitaniens savent endormir le jeu avec un réseau dense de passes puis trouver le bon moment pour frapper. HOMME CLÉ Rafa Silva. A axplosé à Braga. Le joueur de 29 ans originaire de Forte da Casa en est désormais à sa sixième saison avec les Aigles plus le temps passe, plus il progresse. Au grand regret de l'équipe nationale portugaise qu'il a quittée pour des raisons personnelles. Ancien ailier, désormais placé derrière l'attaquant par Schmidt, libre de créer et d'aller chercher les meilleurs espaces pour libérer tout son talent. Un mini-Messi lusitanien, cerveau technique de l'équipe de Lisbonne. Le désamorcer devra être la première préoccupation d'Inzaghi. FORMATION STANDARD 4-2-3-1 : Vlachodimos ; Bah, Antonio Silva, Otamendi, Grimaldo ; Ciquinho, Florentino; João Mario, Rafa Silva, Aursnes ; Gonçalo Ramos. Traduction alex_j via FCInterNews.3 points
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L'Inter est en pourparlers pour signer l'attaquant du Tigre Mateo Retegui depuis un certain temps maintenant, mais ils se méfient de la possibilité d'une concurrence venant de la première League. L'édition imprimée d'aujourd'hui du journal milanais Gazzetta dello Sport, via FCInterNews , qui rapporte que l'émergence possible d'une concurrence pour la signature du joueur de 23 ans de la part d'équipes de l'élite anglaise serait l'un des principaux obstacles potentiels pour les Nerazzurri. La forme de Retegui pour le Tigre lui a valu une convocation dans l'équipe nationale italienne, car l'attaquant d'origine argentine détient un passeport italien, ce qui l'a mis en lumière. Selon la Gazzetta, cependant, l'intérêt de l'Inter pour la signature du joueur de 23 ans remonte plus loin que cela. Les Nerazzurri préparent le terrain pour un déménagement depuis un petit moment maintenant. L'inquiétude serait que si les grands clubs de Premier League tournent vraiment leur attention vers Retegui, ce qui pourrait se produire en particulier s'il réalise une performance exceptionnelle pour les Azzurri lors de leur match de qualification à l'EURO 2024 contre l'Angleterre. Si cela devait se produire, le prix de Retegui augmenterait sûrement, ce qui pourrait rendre difficile son arrivé à l'Inter. Traduction Lindt1908 Via SempreInter2 points
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Selon El Confidencial, le Barça peut risquer gros dans l'affaire Negreira! Barcelone est à un pas de conquérir la Liga mais risque sérieusement d'être écarté de la prochaine édition de la Ligue des champions. Et oui, selon les informations publiées par El Confidencial, l'UEFA envisagerait l'exclusion du club catalan des coupes d'Europe en raison de son implication dans le "Caso Negreira". L'UEFA elle-même a déjà adressé à la RFEF une demande d'éclaircissements concernant les investigations menées pour définir le cadre de cette affaire. Si l'article 12 avait été violé, celui qui oblige les affiliés de l'UEFA à "s'abstenir de tout comportement portant atteinte ou pouvant nuire à l'intégrité des matches et compétitions", le Barça risquerait sérieusement d'être exclu des coupes. De plus, selon Foot01.com, en contact avec le FC Barcelone pendant plusieurs années, José Enriquez Negreira avait rédigé un rapport sur la fameuse remontada face au Paris Saint-Germain. Selon l’ancien responsable des arbitres en Espagne, les Blaugrana ont bien bénéficié d’erreurs arbitrales de la part de Deniz Aytekin. De quoi continuer à alimenter les rumeurs sur cette fameuse remontada, même s'il n'y a strictement aucune preuve pour étayer ces théories à l'heure actuelle. Traduction (hilare) alex_j via FCInterNews et Foot01.com.2 points
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Nouvelle hypothèse pour les adieux de Joaquin Correa à l'Inter: Tuttosport la dévoile aujourd'hui en vue du mercato estival. Ce n'est un secret pour personne, Joaquin Correa a déçu nos attentes et ce, cette saison mais également les précédentes. Voici ce que Tuttosport a mis en avant concernant l'avenir de Tucu, arrivé de la Lazio pour plus de 30 millions d'euros à la demande de Simone Inzaghi. "La saison a été jusqu'à présent désastreuse pour Correa, acheté à l'été 2021 pour environ 33 millions. Il est maintenant probablement invendable, même à 15 millions. Il est sans doute plus facile qu'il soit prêté avec l'espoir qu'il se rétablira et qu'il sera ensuite racheté." Joaquin un destin à la Kostas Mitroglu ? Traduction alex_j via FCInter1908.2 points
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Les images sont claires mais pas pour la main de Rabiot, bizarre tout ça...2 points
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Je pense qu'un fan du BARCA dirait la même sur la Juventus ^^ t'es bien atteint mon gars. Tu me parles de la FIGC, mais pourquoi vous avez -15 points ? tu crois que ça sort de nulle part ? vous faites des transferts de l'espace avec des échanges à très gros chiffres plus que douteux DANILO-CANCELO, PJANIC-MELO, il y a pleins d'histoires avec des arbitres ou avec des faits de jeux. T'ajoutes à ça tout ce qui s'est passé sous l'ère MOGGI et votre relégation en Serie B plus que mérité mais non toi ton club est digne et n'a rien à se reprocher ?. Dernier en date le match contre nous, à quel moment t'acceptes votre but, sur du visionnage pendant 4 minutes alors qu'on siffle même des hors jeux sur la proéminence du piff d'un mec. Et la comme par magie l'échange de volley VLAHOVIC-RABIOT ça passe nickel Je laisse tomber je vois que t'es complètement aveugle2 points
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Moi sérieusement, je me demande comment tu peux supporter ton club...... Autant je dis pas L'inter n'est pas toute blanche et à contribuer à ce football avec des achats mirobolants et des prix faramineux donc ça me saoule un peu. Mais la Juve......... putain c'est comme le Barca. Sérieusement ? Il y a presque pas une année ou il n'y a pas une histoire louche (entre les arbitres, les transferts, les pénaltys ou décisions louches, les dirigeants crapuleux). Enfin moi ça me ferait chier, après je ne sais pas quelle âge tu as. Peut être que tu as suivi les années avec DAVIDS/ZIDANE/TREZEGUET/DEL PIERRO qui forcément étaient de superbes joueurs qui te donnent envie de regarder et de suivre cette équipe mais maintenant ? Je suis pas dans le jeu de je déteste la Juve et le Milan parce que ce sont nos rivaux, pour moi une des plus belles équipes ça a été le MILAN avec SHEVCHENKO/INZAGHI/MALDINI/NESTA/GATTUSO/CAFU bref si l'équipe est belle et méritante je crache pas dessus. (je félicite d'ailleurs MILAN l'an dernier, pas belle mais méritante elle a jamais lâché et on s'est nous mêmes tirés une balle dans le pied). Mais cette JUVE ? Elle éclatée au sol, dégueulasse dans le jeu et corrompue. Vraiment je comprends pas. Clairement on ne méritait rien contre vous, mais faut que ce soit encore sur une décision litigieuse. C'est dingue. C'est comme le pénalty accordé à CUADRADO qui vous permet d'aller en LDC contre nous il y a deux ans. Je supporterai pas de gagner sur des faits de jeux pareils. Bref j'arrête mais dans le foot que j'aime (qui n'existe plus beaucoup) les clubs comme la JUVE et le BARCA ça crève ou ça finit au fond du trou.2 points
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Ah, ces clubs qu'on adore. Juve, Barca, même combat !2 points
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En effet, DAZN a procédé à la reconstitution des 3 minutes 52 secondes qui se sont écoulés entre le but de Filip Kostic et la validation de Daniele Chiffi Le contexte "Après une longue vérification, la VAR a décidé de valider le but des Bianconeri, sans même appeler l’arbitre de la rencontre pour procéder un examen visuel sur le bord du terrain". DAZN, dans son format Bordo CAM, a reconstitué ces moments frénétiques, montrant également une histoire intéressante sur le banc de la Juventus, qui semble presque admettre la faute de main. L’analyse de DAZN "Entre le moment où le ballon entre dans le but et celui où Chiffi valide le but, il se passe exactement 3 minutes et 52 secondes et Nicolò Barella est le premier à protester, toujours avec le ballon en jeu. Mais le milieu de terrain conteste immédiatement le second touché de Vlahovic, donc ni la faute de Rabiot, ni la première faute du main du serbe." "Sur le terrain, les Nerazzurri sont certains de ce touché et Barella en premier lieu, lui qui semble rassurer ses coéquipiers en affirmant qu'il s'agit d'une main. Même Inzaghi rejoint alors Barella pour dire à l'arbitre "c'est une main évidente". Même Çalhanoğlu qui échange d'abord avec Locatelli puis avec Acerbi, certifie que les protestations portent sur le second touché de Vlahovic", Acerbi disant à Chiffi "Tout le monde l'a vu de là-bas", en désignant son banc." "Même sur le banc de la Juve, cette constatation a lieu : Les premières impressions des Bianconeri semblent être similaires à celles des Nerazzurri avec Bonucci qui semble admettre l'irrégularité., tandis qu'Allegri est serein et s'en moque." "Chiffi validera finalement le but et pour mettre fin aux protestations de Barella, il semble presque vouloir lui tendre le sifflet en lui disant "C’est toi qui fait l’arbitre ?." A la place de Barella, personnellement j’aurais pris un rouge…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr2 points
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45 millions sur Correa et Dumfries, soit le prix d'achat de Hakimi, si on ajoute Bellanova qui ne sert à rien c'est près de 50 millions de gaspillé. Avait t'on vraiment besoin de vendre Hakimi pour acheté les 2 flops, car on est clairement perdant que si on avait gardé Hakimi.2 points
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Belle traduction @alex_j . Agréable à lire du début à la fin.2 points
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Javier Zanetti était l'invité de Madero Sports et ce, pour parler de l'Argentine et de l'Inter. Extraits. La coupe du monde 2022. "J'étais au Qatar et je travaillais aussi pour la Fifa mais j'ai vécu le triomphe argentin en tant que fan et avec ma famille. C'était très émouvant. Tout le monde voulait que l'Argentine devienne championne et que Messi puisse soulever la Coupe. Nous avons souffert dans certains matches mais ça fait partie du football. J'espère que le match qui va maintenant se jouer en Argentine sera une fête pour tous ceux qui n'ont pas eu l'occasion d'être au Qatar. Être champion du monde aidera Scaloni mais l'Argentine a une histoire dont elle devra toujours être la protagoniste. J'espère que c'est le point de départ, comme on l'a aussi dit lors de la victoire de la Copa America. Espérons que nous continuerons à gagner." Revenons en 1998. Zanetti a marqué contre l'Angleterre lors de la Coupe du monde. "Personne n'aurait pu imaginer ce match préparé. Nous avions des tireurs de coups francs comme Veron. Passarella a beaucoup insisté sur ce match et je pense qu'il a réussi car cela n'était jamais arrivé depuis toutes ces années que nous le préparions. Cela nous a fourni un match nul et puis nous avons gagné aux tirs au but." "Messi ? Il a eu ce qu'il méritait. Quand il a été critiqué dans notre pays, je ne comprenais pas. Mais ne pas savoir attendre nous a conduit à ça, à critiquer le meilleur joueur au monde. Pour moi, il a été le meilleur au monde pendant un certain temps et cela l'aurait été même sans gagner une Coupe du monde ou une Copa América." De l'Argentine à l'Inter en passant par Lautaro Martinez. "Quand nous l'avons pris, l'idée était ce que nous voyons maintenant. Nous n'espérions pas un résultat immédiat mais y arriver dans 4-5 ans. C'était la vision. Il se révèle être une référence pour le club et en nationale. Il a beaucoup grandi, il a mûri. Nous sommes très heureux de sa croissance. Ce sentiment d'appartenance à l'Inter est reconnu par nous, par les gens. Vous pouvez voir qu'il est heureux." "Inter- Benfica ? C'est difficile mais il fallait prévoir que, dans ces circonstances, tu vas affronter une équipe forte. Il faut les respecter mais on a les armes pour faire deux grands matches et passer. On sait que ce n'est pas facile, la Ligue des Champions est une compétition qui se joue sur des détails mais je suis convaincu que nous pouvons mieux nous préparer ce défi et passer." Napoli ou Derby en demi de la C1 ? "Ça a été une année compliquée en championnat. Naples fait un tournoi extraordinaire, ils font très peu d'erreurs. Nous manquons de continuité. Nous avons mérité la Supercoppa, nous sommes en demi-finale de la Coppa et nous avons la chance d'atteindre les demi-finales de la Ligue des champions. Est-ce que j'aimerais un Derby ou le Napoli en demi-finale ? J'aimerais jouer, puis quand nous y serons, nous y penserons. Vaincre Benfica serait déjà être une grande chose." Traduction alex_j via FCInterNews.1 point
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@Serpent-NA avait raison, Jorginho est vraiment degueulasse, il a tout foiré, il ralenti le jeu, perd des ballons dangereux, sans vista, organise rien, je pense que son temps en Italie devrait être mis en stand bye, mais connaissant Mancio !1 point
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Dumfries meme a 25 ca reste une plus value. Mais je reste persuadé qu’il serait complètement différent ailleurs ou avec un autre entraîneur. A ce tarif je pense que celui qui le prends fera une bonne affaire1 point
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Salut les gars! Désolé d'avoir kidnappé des joueurs pour ne rien en faire, mais je n'ai plus le temps pour le forum ou le jeu, combiné avec un léger désintérêt pour le foot actuel. La Ligue 2 bordel... Je vous laisse le soin de me delete, profitez de mon effectif plus que je ne le fais actuellement ! Merci pour tout ces moments passé, ces nombreuses défaites, et vos plus belles arnaques. Benoit, change pas La bise.1 point
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L'avenir de Dzeko pourrait encore être avec le maillot Nerazzurri. L'attaquant est en pourparlers avec l'Inter pour un renouvellement depuis un certain temps mais il y a peut-être eu un tournant ces derniers jours. Les mots de La Gazzetta dello Sport. "Edin Dzeko fait un pas vers l'Inter. Le Bosnien a dit oui à la possibilité de renouveler son contrat expirant en Juin pour une seule saison, avec un salaire de 5 millions d'euros qui est inférieur à l'actuel. C'est une nouveauté substantielle car la demande initiale était pour un contrat de deux ans, une durée que l'Inter ne pense pas pouvoir honorer. Ce n'est pas fait, du moins pas encore mais la froideur des dernières semaines a fait place à un grand optimisme. Maintenant, la balle est dans le camp de l'Inter. D'un point de vue technique et sportif, il n'y a aucun doute, ni physiquement d'ailleurs. Beppe Marotta et Piero Ausilio doivent aussi penser d'un point de vue économique, à ce qu'on peut faire et pas seulement à ce qu'on veut faire. C'est là que sont apparues les difficultés autour du renouvellement de Dzeko. Edin gagne actuellement 6 millions d'euros plus des bonus, le même salaire qu'il avait à la Roma avant de rejoindre les Nerazzurri. Il demandait un renouvellement jusqu'en 2025 et ce, sans surprise. En effet, il avait encore au moins deux propositions de clubs étrangers capables de lui garantir ce contrat de deux ans avec le même salaire qu'il gagne à l'Inter aujourd'hui. Avec l'attaquant, les Nerazzurri ont été clairs dès le départ, pas de contrat de deux ans, la signature ne peut être que pour une saison. Des journées de réflexion, pas exactement des retours positifs, puis le tournant déjà communiqué par Dzeko lui-même à l'Inter. Le salaire n'est pas anodin, réduit de plus de 15% ce qui permet au club de baisser la masse salariale. Le dernier mot, comme d'habitude, appartient à la propriété. Dans les prochains jours, Zhang devra approuver ce que la direction lui soumettra. Et tout porte à croire qu'il le fera." Traduction alex_j via FCInter1908.1 point
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Ce n'est pas contre toi, Mais comment pouvons-nous comparer ces rivalités?!...La Juve est ce que je déteste le plus au monde. J'aimerai qu'ils disparaissent. Sans le moindre état d'âme. Le Milan? Je ne les aime pas beaucoup évidemment, mais c'est purement sportif. J'adore regarder un derby avec un ami qui supporte le Milan, on se marre, c'est amical. C'est vraiment cool. Le sujet, comme plusieurs avant, est de dire que le Barça est un rival: je m'en tape de Barcelone!!! Ok Xavi a fait quelques commentaires envers nous, ok en 2010, le Barça nous avait empêché de célébrer lors de notre qualif. Mais on s'en fou. J'adore ce que vous faites les modos, mais faire du Barça notre rival...je pense que c'est inutile1 point
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Beau boulot en effet @alex_j. Tu as du passer un peu de temps là dessus1 point
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Les malversations, la corruption et les magouilles ont atteint des niveaux jamais vu. En 2006 on a eu le Calciopoli, mais on remarque maintenant que les pratiques sont généralisées dans le foot européen. Le Barca en est un exemple, mais on pourrait s'intéresser a pleins d'autres clubs et surtout au PSG, qui a baffoué toutes les règles de FPF et de magouilles en tout genre. Nasser a tellement de casseroles qu'il est obligé de faire taire ses détracteurs par la force. L'UEFA est incappable de rétablir la situation, la ou il faudrait de la fermeté, on a une instance dirigeante qui laisse faire et meme qui encourage ces comportements. Alors que pendant ce temps, notre club est sous restrictions pour la moindre incartade, c'est tout simplement scandaleux.1 point
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De toute façon, dans la mesure où il ne va que là où il y a de l'argent à dépenser pour les transferts (et son salaire bien entendu) il ne reviendra pas chez nous1 point
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Pour une fois qu'il en fait une belle sans vanner à la fin1 point
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Ah moins qu il baisse drastiquement son salaire, un éventuelle rabibochage avec stevie je le vois pas revenir je l aime beaucoup ce cher anthony mais si c est pour revenir et ne jouer que d une seule façon le 3 5 2 et ne pas passer la phase de groupe avec l inter c est pas la peine on a déjà Simon qui joue que d une seule façon1 point
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En effet, comme le révèle Fcinternews.it, les Tifosi sont fou d’Onana qui lui est sous le charme de l’Inter: "Ce sont des statistiques folles et un amour total et sincère envers l’Inter : André Onana, lors du déplacement au Do Dragao, a été une nouvelle fois un protagoniste absolu de la rencontre, en réalisant une énième grande performance européenne" "Le portier Camerounais est parvenu à améliorer des statistiques individuelles et collectives qui sont absolument enviable : L’ancien de l’Ajax Amsterdam est le portier qui a réalisé le plus de parade en Ligue des Champions : 39 parades. Derrière lui, on retrouve Simon Mignolet du Fc Bruges (35 parades) et Anatolij Trubin du Shakhtar accompagné de Diogo Costa de Porto (31 parades), ces deux derniers, éliminés, ne sauront pas les améliorer. "Mais bien plus que l’aspect technique, on retrouve l’amour d’André Onana envers les couleurs Nerazzurre, lui qui est totalement impliqué à l’Inter et qui adore vivre à Milan: Ce n'est pas un hasard s'il a d’ailleurs fait venir toute sa famille dans la Cité milanaise (alors qu’à Amsterdam, il vivait seul: Sa femme et ses enfants vivant à Boston, dans le Massachusetts) pour un véritable projet de vie, et pas seulement sportif." "L'intention d'Onana, répétée à ses représentants aussi à cause des rumeurs du Mercato qui le voulaient sacrifier sur l'autel du Budget, est de rester longtemps à l’Inter et d’écrire des pages importantes de l'Histoire du club de la Viale Della Liberazione, comme on put le faire avant lui Samir Handanovic, Julio Cesar ou Francesco Toldo. Une intention renforcée par sa qualité de vie actuelle à Milan, mais aussi par le climat, la nourriture, l'affection des Tifosi et le Giuseppe Meazza qui est un stade qui magnifie le natif de Nkol Ngok." "De plus, André Onana cible aussi un autre objectif important : Faire son retour parmi les meilleurs gardiens du monde nommés lors de la remise du Ballon d’Or, une situation déjà vécue à l’époque où il était à l’Ajax…" .Pour le Numéro Un Nerazzurro (même s’il porte le 24 officiellement) nous n’en sommes qu’au tout début ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr1 point
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Je suis surpris que la Youvée n'ait pas crié au complot1 point
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Ce serait marrant de voir Conte au PSG avec des je m'en foutiste du style Neymar et compagnie, Neymar en piston ça vaudrait le détour,le plus marrant c'est qu'il aurait des mercatos colossaux pour au mieux se consacrer à la Ligue 1 après avoir été éliminé en phase de groupes de la C1 à la mi-novembre. Et j'adorerais voir ses pleurnicheries dans le Canal Football Club avec sa phrase fatidique "on verra en fin de saison avec le club pour faire des évaluations. Rien que si Conte signe au Psg,je suivrais la Ligue 1. Mais si ça se fait on va bien rigoler.1 point
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Interviewé par le Süddeutsche Zeitung, Robin Gosens, l’ailier de l’Inter est revenu sur sa non sélection avec l’Allemagne dans le cadre de la Coupe du Monde qui a sacré l’Argentine: "Ne pas participer à la Coupe du Monde a été une grande désillusion, cela a été le pire moment de ma carrière sportive jusqu’à présent. Maintenant j’ai très envie d’être là pour l’Euro qui se jouera à domicile." "Je dois reprendre ma place, je suis en chasse pour cela car, pour légitimer certaines espérances, je dois me battre pour redevenir titulaire à l’Inter, j’ai la prétention d’être au moins un candidat sérieux à prendre en considération. Pour moi, l’équipe nationale reste le Maximum, en passant à l’Inter je pensais avoir que mes chances de me retrouver régulièrement convoqués augmenter. Mais ce n’est pas ce qu’il s’est passé et les reproches sont envers moi-même.' "Hansi Flick m’a déjà dit clairement qu’il joue avec une défense a quatre et qu’il voit, en mes points forts, la possibilité de jouer sur l’aile gauche, ou d’une façon plus avancée dans une défense à trois et je ne crois pas ne pas être inapte pour une défense à quatre : Je sais comment cela fonctionne car j’y ai déjà joué." Gosens, le Psycho de l’équipe En effet, Robin Gosens a récemment suivi un cours de psychologie à distance et souhaite maintenant l'utiliser en tant que Professionnel car cela lui a permis de traverser des périodes difficiles: "Je dirais surtout que cela m'a aidé à gérer mes relations avec les autres. J'essaie maintenant de comprendre mes coéquipiers à d'autres niveaux. Si quelqu'un ne propose pas ce que vous avez l’habitude d’attendre de lui, durant plusieurs jours de suite à l’entrainement, il peut y avoir une justification derrière tout cela et j’essaie de prendre le temps de parler, de discuter mais sans le mettre au pied du mur." De cette façon, je saurai peut-être pourquoi il court moins, et j'aurais une bonne raison de ne pas me mettre en colère." Un message subliminal destiné à Simone Inzaghi ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr1 point
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Si galtier saute, PSG pourrait le prendre. Là-bas y aura de quoi faire avec un portefeuille illimité. Jusqu’au jour où ils décideront que leur argent ira principalement à Manchester united et que le PSG servira uniquement de prêt . Lol !1 point
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@Megabassqui avait noté sa date de fin de suspension sur son calendrier, fait un compte a rebours en post-it sur son miroir de salle de bain, et qui ouvre Internazionale.fr comme 1e page internet aujourd'hui (c'est déjà sa page d'accueil)... Du blanc au bleu, il ne te reste qu'un pas Re-bienvenu chez nous! (Bon par contre, tu fais un pet foireux, on te monte collectivement en l'air )1 point
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Ben ouais, que veux tu, c'est malheureux hein? Mais heureusement que des personnes lucides comme toi sont là pour nous éclairer. Ben si ça c'est être en crise, ben ça me va. Ben ouais, je suis dans le déni et, accessoirement, complètement con...1 point
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Donc, en gros, nos stats sont légèrement moins bonnes que celles de la saison passée (55 points contre 50) avec une CdM en plein milieu ? Et on est 3e, en demie de la Coppa et en quart de la Champions et il n'y a que l'Inter qui est en crise selon les médias experts ?1 point
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Vous êtes en train de critiquer un mec qui va surement nous faire gagner notre 4ème Ligue des champions.1 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+02:00