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  1. Notre ancien Imperator croît en la victoire de l'Inter contre City... et voici la preuve! Adriano croit que l'Inter terminera championne d'Europe. Et il en est tellement sûr qu'il mise sur le succès final des Nerazzurri à Istanbul. En effet, via son profil Instagram, il a fait savoir qu'il avait parié environ 2000 € sur la victoire des Nerazzurri en finale de la Ligue des Champions face à Manchester City. S'il réussit son pari, notre ancien Imperato qui sera en Turquie en tant que chroniqueur pour TNT Sports , empochera environ 14 000 €. Merci Adriano... mais ne parions pas notre maison ou notre appartement quand même Traduction alex_j via FCInterNews.
  2. Protagoniste du dernier épisode de 'Footsteps', un format diffusé sur la chaîne Recast de l'Inter, Romelu Lukaku se décrit et aborde des sujets liés à l'Inter. Description "La détermination, l'envie de s'améliorer et d'avoir toujours de nouveaux objectifs ont été importantes dans ma carrière. Mais aussi l'humilité." Le plus beau but "L'un des plus beaux buts de l'Inter a été la victoire 3-0 contre Milan. Perisic a frappé la balleet Barella et moi étions là. J'ai alors demandé à Nicolò de me la laisser et j'ai vu qu'il y avait de la place. Et là, j'ai commencé à courir. Au départ, je voulais faire un double pas vers la droite mais Lautaro était là et je ne pouvais pas la lui passer. Alors je suis allé vers la gauche, je n'ai vu qu'un tout petit espace et j'ai dit ok pour moi. Je devais frapper le plus fort possible et j'ai marqué." Compagnons idéaux "En tant que colocataire, j'aurais aimé Adriano parce que c'est une bonne personne, chaque fois que je lui parle, je ressens des émotions. Quand j'étais petit, les gens disaient que c'était un joueur avec de la force et de la puissance qui n'utilisait que son pied gauche. Quand je l'ai vu jouer, j'avais seulement 10 ans et il a tout changé pour moi. En tant que partenaire offensif, j'aurais aimé Ronaldo il Fenomeno parce qu'il est droitier et moi gaucher, mais pour la façon dont il a joué. Je dis aussi Vieri." Adversaire idéal "J'aurais aimé défier Materazzi parce qu'il est grand, fort et agressif et ce sont les défenseurs qui te mettent le plus en difficulté, et en difficulté tu progresses. Les matchs contre lui auraient été intéressants à voir." Hé bé, un duel Lukaku vs Materazzi, là, ça aurait cogné Traduction alex_j via FCInterNews.
  3. Romelu Lukaku parle de lui, entre souvenirs d'enfance, idoles et moments inoubliables avec le maillot Nerazzurri. Romelu Lukaku est la vedette du programme d'aujourd'hui, consacré au match entre l'Inter et Benfica en quart de finale retour de la Ligue des Champions : "Plusieurs personnes ont été importantes dans ma vie et ma carrière, la première est sans aucun doute ma mère. Je pense aux premières opportunités que j'ai eues, je pense à Jean Kindermans, responsable de l'académie des jeunes d'Anderlecht et Ariel Jacobs, l'entraîneur qui m'a donné la belle opportunité de faire mes débuts en équipe première pour laisser un garçon de 16 ans jouer, mais à la fin de la saison, nous avions remporté le championnat de Belgique et j'étais le meilleur buteur. Tout cela grâce à leur confiance ." " Le plus important est d'avoir toujours de nouveaux objectifs, de toujours vouloir s'améliorer. La détermination est le moteur, puis il y a d'autres valeurs tout aussi importantes. Je me souviens que ma première année en tant que professionnel, mes résultats à l'école n'étaient pas très bons et dans un match un joueur s'est cassé la jambe. L'entraîneur après le coup de sifflet final m'a appelé dans le vestiaire et m'a dit "On ne sait jamais ce qui va se passer dans le football, il faut bien faire à l'école. Et j'ai bien fait". « Bruxelles, c'est ma ville, mes origines et mes affections y sont. J'ai de merveilleux souvenirs de Manchester car j'y ai vécu même quand je jouais à Everton. La ville de Milan m'a tout de suite impressionné, pour les gens, l'ambiance et tout le reste . " Idoles d'enfance? « Quand j'étais petit, la conception du football était différente. Certains disaient qu'un joueur puissant qui n'utilise que son pied gauche ne pouvait pas faire grand-chose. Et puis Adriano est arrivé, il m'a ouvert le monde, je l'ai vu jouer quand j'avais 10 ans et à partir de ce moment tout a changé pour moi. Avec qui aurais-je voulu jouer ? Avec Ronaldo le Phénomène, la façon dont il était sur le terrain était incroyable. Qui aurais-je défié ? Materazzi parce qu'il est grand, fort et agressif, un de ces défenseurs qui te mettent en difficulté et des difficultés tu t'améliores toujours ". Le plus beau but avec l'Inter? " Si je repense aux buts les plus excitants des Nerazzurri, l'un des meilleurs est certainement celui de la victoire 3-0 contre Milan. Perisic a botté le ballon, Nicolò et moi étions là, je me souviens lui avoir dit "laisse!", j'ai pris le ballon et j'ai vu qu'il y avait de la place pour y aller. J'ai commencé à courir, d'abord j'ai voulu faire deux pas pour aller vers la droite, puis je suis allé vers la gauche, j'ai vu ce "trou" dans le but et je me suis dit "je dois taper le plus fort possible avec l'intérieur du pied, si j'y arrive c'est un but", puis le ballon a fait ce mouvement et est entré. C'était un beau moment" . Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  4. A treize jours de Porto-Inter, match qui déterminera le sort de l'Inter dans cette édition de la Ligue des champions, Javier Zanetti se souvient du hat-trick d'il Imperatore en quarts de finale contre les Portugais en 2005. Ses mots à UEFA TV. "Le 1-1 du match aller a été positif pour nous, nous savions qu'au match retour la qualification serait entre nos mains. C'était une équipe de grands joueurs, avec une grande qualité et des attaquants qui ont fait la différence à n'importe quel moment. Adriano ? Dans ce match, il nous a tirés vers le haut, c'était un joueur fantastique. Grande puissance, force physique et qualité. Un gaucher très fort. Une fois qu'il a vu qu'il pouvait placer le ballon sur son pied gauche, son tir devenait imparable. Le fan de l'Inter comprend quand tu donnes tout et Adri était ce type de joueur. Pour nous, il sera toujours l'Empereur." Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. Le 16 septembre 2001, il y a 21 ans, Adriano Leite Ribeiro a marqué le premier avec le maillot de l'Inter. Le 16 septembre 2001, il y a 21 ans, Adriano Leite Ribeiro marquait son premier avec le maillot de l' Inter. Une bombe sous la barre au Meazza contre Venise. Le compte officiel brésilien du club Nerazzurri l'a rappelé ainsi. Voici le résumé disponible sur YouTube: Serie A 2001/2002 - 3e journée Dimanche 16 Septembre 2001, 15h00 Inter 2-1 Venezia INTER: Toldo, Cordoba, J. Zanetti, Šimić, Conceição (60' Dalmat), Seedorf, Guglielminpietro, Di Biagio, Georgatos (57' Vivas), Kallon, Ventola (57' Adriano). Manager: Cúper VENEZIA: Rossi, Algerino (76' Di Napoli), Bettarini, Conteh, Björklund, Viali, Marasco, Andersson (78' Rukavina), Bressan, Maniero, Bazzani (46' Vannucchi) Buteurs: 75' rig. Kallon (I), 89' Maniero (V), 90+3' Adriano (I) Arbitre: Roberto Rosetti. Traduction alex_j via FCInter1908.
  6. Les débuts de l'Inter en Ligue des champions approchant, lors du Nerazzurri Match Day, Nicolò Barella s'exprimait ainsi en vue du match. "Les personnes qui m'entourent sont très importantes car elles me donnent le bon coup de pouce, de la force : mes parents, ma femme et mes filles." Et si vous deviez choisir trois légendes Nerazzurri ? Partenaire au milieu : "Stankovic" Joueur à défier à l'entraînement : "Adriano, j'aurais aimé le voir s'entraîner" Colocataire : "Ronaldo, c'était le plus fort de tous" Chemin "Dans ma carrière, la détermination a été fondamentale, elle m'a permis de croire en moi, de progresser et de surmonter les obstacles. Le travail et surtout le sacrifice étaient les bases quotidiennes. Mes racines sont à Cagliari, c'est ma ville, où je suis né. À Côme, j'ai vécu ma première expérience loin de chez moi, loin de mes proches et cela m'a beaucoup aidé, tant sur le plan professionnel que privé, à grandir et à mûrir, tandis que Milan est le présent, c'est l'endroit où je voulais être et dans quoi je suis." Stankovic comme modèle "J'ai beaucoup de souvenirs de mon enfance, partagée entre le football, les amis et la famille. Des après-midi passés à jouer avec mes cousins à Torre delle Stelle, aux terrains de football mon endroit préféré. J'ai joué, je me suis amusé, j'ai appris. A 14, 15 ans j'ai réalisé que je pouvais avoir quelque chose de plus, de la détermination ou du talent. J'ai commencé à y croire et avec un peu de sacrifice je me suis retrouvé à faire ce dont j'ai toujours rêvé. J'ai toujours dit que Stankovic était le prototype du joueur que j'aimais, Daniele Conti a également influencé mon parcours avec son humilité, son exemple et son amour pour son Cagliari." Souvenirs "C'est difficile de choisir un but, le premier avec le maillot des Nerazzurri était contre le Slavia Prague mais je garde un merveilleux souvenir du second, celui contre Vérone car à sept minutes de la fin on était à 1-1 et ce but nous a permis de gagner. J'ai pris le ballon à De Vrij, revient pour un position plus centrale et l'ai mis sous la barre grâce à une frape enveloppée. Je me souviens du rugissement du stade bondé, de l'exultation, de l'étreinte de mes coéquipiers, je frissonne encore quand je pense à ça." Traduction alex_j via FCInter1908.
  7. Lautaro Martinez a égalé notre ancien capitaine et légende Giacinto Facchetti dans le classement des buteurs du club avec son but contre Cremonese. Ceci est mis en évidence dans un article imprimé hier dans Tuttosport qui note que le but, le troisième de Martinez de la saison, était le 77e de l'Argentin toutes compétitions confondues pour les Nerazzurri depuis son arrivée à l'été 2018, le même que Facchetti a marqué à travers sa carrière. Martinez a commencé la saison au même niveau qu'avec notre ancien attaquant légendaire Adriano dans ce classement, avec 74 buts. Il a maintenant dépassé le Brésilien ainsi que son compatriote Diego Milito qui a marqué 75 buts pour le club. Avec son prochain but, le joueur de 25 ans dépassera Facchetti et égalisera avec les 78 buts marqués par Aldo Serena, bien qu'il soit encore loin des décomptes des anciens attaquants tels que Christian Vieri et Mauro Icardi. Martinez est en pleine forme alors que l'équipe se dirige vers le derby contre le Milan Samedi. Il cherchera à progresser rapidement dans le classement des buteurs de tous les temps des Nerazzurri au fil de la saison, tout en aidant l'équipe à concourir sur tous les fronts pour les trophées. Note: je ne sais pas trop comment les buts sont comptés. En effet, suivant les sites, le nombre varie de 2 à 3 buts. Traduction alex_j via Sempreinter.
  8. L'ancien attaquant des Nerazzurri se confie aux micros du podcast Podpah sur sa décision de retourner à l'Inter en 2010. "Je ne veux pas être entraîneur ou manager. Je préfère rester loin de ce côté-ci. Je vis ma vie comme je veux, près de ma famille et de mes amis." Paroles d'Adriano, dans une longue interview accordée aux micros du podcast Podpah. "J'ai décidé d'arrêter, ce n'est pas parce que je n'aimais plus jouer - confie l'ancien attaquant des Nerazzurri -. Je ne ressentais plus cette envie, aussi parce que jusqu'à présent je boite à cause de mon tendon. Je savais que mon retour allait être difficile. J'avais déjà réalisé certaines choses en tant que joueur, j'ai compris qu'il était temps de prendre du recul." Des années plus tard, l'Empereur est, en effet, sûr d'une chose : « Je n'aurais pas dû quitter le Brésil et revenir en Italie en 2010. Je voulais apporter une réponse à la façon dont j'ai quitté l'Inter. Les Italiens sont passionnés par moi, je l’ai gardé dans mon cœur, dans mon esprit. Je voulais retourner à l'Inter pour rendre cette affection. Mais malheureusement, ce n'était plus pour moi, ma tête était au Brésil. Je pense que j'aurais dû prolonger mon contrat à Flamengo", a admis le l'ancien numéro 10 Nerazzurro, qui raconte alors une anecdote qui concerne aussi Ronaldo, Il Fenomeno : "Ronaldo m'a appelé et m'a dit : 'Tu y es encore ?'. Je venais d'arriver de Rome. Il m'a dit : 'Si je peux, j'aimerais t'emmener avec moi à Corinthians. Il a attendu et est allé à Corinthians, mais je me suis blessé lors de la première séance d'entraînement. " ®Interkhero - Internazionale.fr via FCInternews
  9. Adriano, ancien attaquant de l'Inter pense que le Derby della Madonnina est similaire à la rivalité qui oppose le Brésil et l'Argentine, selon un rapport des médias italiens. Durant un épisode de Careers (en collaboration avec Inter TV et DAZN), le Brésilien s'est vu interrogé sur ses confrontations passées avec le Milan AC alors qu'il évoluait sous le maillot de l'Inter. "Comment pourrait-je le décrire ?... C'est comme Argentine contre Brésil. C'est une énorme responsabilité, il y a tout dans ce match. Tant d'émotions d'un seul coup." "J'ai même envie de pleurer rien que d'y penser, c'est une grande émotion. Quand je suis retourné au stade pour le Derby, tout un film m'est revenu en tête. C'était étrange mais très émotionnel." Adriano a lui-même trouvé le chemin des filets contre les Rossoneri durant sa carrière Interiste et il nous dit qu'il lui est impossible de décrire ce que ça fait de le faire au Meazza: "C'est impossible a expliqué. C'est difficile de dire comment l'on vit ce match, tout ceux qui ont jouer le Derby savent, avant le match nous sommes tous concentrés et excités à l'idée de bien faire. Quand vous dites Derby c'est magnifique, mais aussi une immense responsabilité." Adriano fut souvent comparé au grand Ronaldo car il sont tout les deux brésiliens, avaient une stature semblable et un jeu similaire. Ronaldo connaitra cependant une plus grande réussite dans sa carrière. Adriano pense lui que la comparaison n'a pas lieu d'être: "Non, il n'y a pas de comparaison, c'est un phénomène. Il l'a démontré au long de sa carrière. J'ai montré que j'aurais pu être comme ça mais il n'y a pas de comparaison. Nous ne pouvons pas être pareil." "Il avait l'habitude de m'emmener à la Pinetina parce-que j'ai vécu avec lui pendant un moment et je me rappelle qu'il me disait toujours que si je voulais aller loin je devais me battre et toujours anticiper l'avenir pour aider ma famille. Il était comme un grand frère pour moi." Un de ses amis les plus proche à l'Inter était Marco Materazzi. Il se confie sur leur relation. "Quand j'étais bien, c'était dur de m'arrêter. Materazzi, quand je jouais mal et que j'enchainais par un grand match, il disait toujours 'L'Empereur est de retour'." "L'important pour moi c'était que quand j'étais sur le terrain, je faisais tout pour mon équipe. Quand j'ai traversé des moments difficiles, l'Inter a toujours été là pour moi et avoir des amis qui me voyaient non seulement comme un joueur mais aussi comme un frère était très important et j'en remercie tout le monde." "Je dois remercier les fans qui ont toujours eu une grande affection pour moi. Vous m'avez donner ce surnom d'Empereur, et encore aujourd'hui j'ai du mal à réaliser que c'était pour moi. Chaque fois que je viens en Italie, je sens l'amour des gens et c'est une grande satisfaction. Ce sera toujours ma seconde maison." Merci à toi Adri. All Hail The Emperor ! ©Internazionale.fr, via FCInternews - Traduction Trent_FCI
  10. Cet article est la traduction de ''Obafemi Martins the soaring super eagle who seduced the San Siro and St James Park'' par Billy Munday paru le 16/10/2019 sur le site These Football Times. Il relate le passage de l'inoubliable Obafemis Martins à l'Inter puis chez les Magpies. Il n'est pas exagéré de prétendre que Didier Drogba a changé le football. Les petites et grandes paires d'attaque étaient la norme au début du 21e siècle et ils ont résisté à l'épreuve du temps pendant la prochaine décennie. Mais une fois que Drogba a commencé à assumer seul le travail de deux hommes, les poteaux de but ont bougé. Un attaquant suffisait s'il était aussi fort, puissant, rapide, techniquement doué, intelligent et puissant que cet Ivoirien en particulier. Cependant, Drogba n'était pas le seul à ouvrir la voie. Obafemi Martins n'était pas aussi grand ni aussi bien bâti que son homologue africain (1'70, ndlr), mais cela ne l'a pas empêché d'atteindre les hauts sommets qu'il a atteints au cours de sa carrière. Né à Lagos, Martins a fait le transfert intimidant mais déterminant de sa carrière en Italie avec son frère aîné Ladi à l'âge de 16 ans. Après avoir montré leurs talents avec Reggiana, les deux garçons, ils l'étaient encore à ce moment-là, ont été repérés et récupérés par Inter en 2001. Avec un an ou deux à trouver fréquemment le filet dans les rangs de la Primavera, Obafemi a fait irruption dans l' équipe première des Nerazzurri lors de la campagne 2002-2003. L'équipe d'Héctor Cúper lançait un défi pour le titre aux Turinois et n'avait perdu que deux matches de championnat au moment où Martins a fait ses débuts seniors contre Parme en décembre. Deux mois plus tard, il était dans le onze de départ pour le voyage de l'Inter en Allemagne pour affronter le Bayer Leverkusen en Ligue des champions. Les finalistes de la saison précédente étaient en bas du tableau après avoir perdu chacun de leurs cinq premiers matches de la deuxième phase de groupes, mais la place de l'Inter en quart de finale était toujours en jeu avec Newcastle juste un point derrière eux. Néanmoins, Cúper a jeté Martins dans le bain et il a marqué son arc européen dans un style qui deviendrait familier à beaucoup dans les années qui ont suivi. Il est très rare qu'une célébration passe devant le but mais, dans ce cas, cela n'aurait pas pu être plus vrai. La défense lâche de Leverkusen a laissé Martins partir en trombe et, bien que la finition calme du pied gauche laisse entendre un calme bien au-delà de ses années, l'audacieux étalage de flips de l'adolescent a ébloui les spectateurs du monde entier ce soir-là. Soudain, il n'était pas Obafemi Martins le puissant buteur, mais ce gamin qui fait la pirouette arrière ce qui, pour quelqu'un qui essaie de se faire un nom, n'est pas nécessairement négatif. Après avoir dépassé Valence en quart, l'Inter était prête pour une confrontation en demi-finale avec le Milan de Carlo Ancelotti, et les Rossoneri avec un but à l'extérieur avant le match retour, Cúper a jeté Martins à la mi-temps pour essayer de sauver la partie. Avec Paolo Maldini et sa ligne arrière énervée par la présence de ce jeune non-conformiste, Martins a pleinement profité de son rythme vertigineux et du manque de rythme de ses adversaires. Avec 84 minutes au compteur, il s'est battu avec Maldini avant de tapoter un ballon haut vers la surface de réparation avec son dos. Alors que Christian Abbiati a sprinté pour le nullifier, Martins a dépassé Maldini et a placé le ballon dans le coin le plus proche pour ramener l'Inter dans le match nul. Ce moment de génie pur et spontané n'a finalement pas aidé les Nerazzurri à se qualifier pour la finale de la Ligue des champions, mais il a plus qu'impressionné. Il en a été de même pour un voyage dans le nord de Londres l'année suivante alors que Martins a lancé le troisième de l'Inter dans les 45 premières minutes contre les futurs Invincibles d'Arsène Wenger. Alors que les fans d'Arsenal restaient bouche bée devant l'effondrement de leur équipe en première mi-temps, ils étaient de retour, les backflips sans fin. Il n'y a pas eu d'acrobaties dans le derby quelques semaines plus tard, car le pivot et la frappe de Martins se sont avérés être une simple consolation alors que Pippo Inzaghi, Kaká et Andriy Shevchenko ont infligé la première défaite de la campagne aux hommes de Cúper. Puis, sur un autre derby, le Derby d'Italia, et Martins marquait et faisait à nouveau la roue, avec l'Inter gagnant 3-1 cette fois. C'était un renversement de rôle dans le match retour alors que Martins marquait le premier pour mettre les Nerazzurri sur la voie d'une victoire 3-2 contre la Juventus. Un but bien encaissé et quelques culbutes de plus, les temps forts d'une autre performance percutante dans un affrontement titanesque pour le Nigérian qui n'avait pas encore 20 ans. Malgré sa capacité à imprimer sa marque sur un match, Martins n'a jamais été le prénom sur la feuille d'équipe et a souvent été exclu du onze de départ. Cela n'était pas étonnant avec une équipe se composant d'un Christian Vieri à son apogée, d'un Adriano qui était sur le point de devenir l'un des éclairs les plus brillants du 21e siècle, et d'Álvaro Recoba et Júlio Cruz. Roberto Mancini a pris les commandes à l'été 2004 et a de nouveau altéré la dynamique. Adriano est devenu une machine à marquer devant le but, mais même les meilleurs tireurs d'élite ont besoin d'aides pour les aider à gérer le mandat de buteur. Martins a joué plus de matchs que n'importe lequel de ses collègues attaquants au cours de la saison suivante et est devenu l'homme, non seulement pour la grande occasion, mais pour tous les autres. Sur ses 31 apparitions en Serie A cette campagne, 16 sont venues en tant que titulaire. Il a été le meilleur buteur du club lors de sa course triomphale à la Coppa Italia et a également joué un rôle important jusqu'à ce que son parcours en Ligue des champions soit interrompu par ses propres fans lors du fiasco des quarts de finale avec la Milan. Mancini a également utilisé Martins sur le banc, la marque de cette technique venant un après-midi de janvier contre la Sampdoria. Vitali Kutuzov a donné l'avantage aux visiteurs 2-0 avant les cinq dernières minutes au Meazza avant que le prodige de l'Inter ne renverse le match. Son arrivée à la 88e minute avec l'extérieur de son pied gauche a amené le premier avant de se cogner et de se frayer un chemin devant la défense de la Samp et de choisir Vieri pour une volée pour l'égalisation. Recoba a inscrit le vainqueur à la quatrième minute du temps supplémentaire pour déclencher des célébrations qui semblaient impossibles dix minutes plus tôt. Basculant notre attention de l'Inter vers le football international, le Nigeria de Martins n'a pas réussi à se qualifier pour la Coupe du monde 2006, terminant deuxième face à l'Angola dans leur groupe. Martins a cependant participé à la Coupe d'Afrique des Nations 2006 en Égypte alors que les Super Eagles ont été battus par un but de Didier Drogba lors de leur demi-finale avec la Côte d'Ivoire à Alexandrie. Lorsque Martins est revenu en Italie après la fin de la compétition, l'Inter a eu la chance de se remettre en lice pour le Scudetto lors d'une rencontre contre les leaders de la Juve. Martins a commencé mais a été remplacé par Cruz peu de temps après que Zlatan Ibrahimović ait donné la tête à la Vieille Dame. Walter Samuel a égalisé, mais Alessandro Del Piero a volé les trois points et poussé l'Inter hors de la course au titre dans les phases finales. Une défaite dans le derby à la mi-avril a été le dernier clou dans le cercueil en termes de premier titre de champion en 17 ans mais, au milieu d'un scandale de matchs truqués et de corruption qui a secoué les meilleures équipes italiennes, il y a eu une résurrection. Avec la Juventus, Milan et la Fiorentina ayant tous reçu de lourdes déductions de points, le Scudetto est tombé sur les mains de l'Inter. Les crimes de Calciopoli ont peut-être mis une médaille de Serie A autour du cou de Martins, mais cela n'a guère aidé sa carrière à l'Inter. Après la relégation de la Juventus au deuxième niveau, Ibrahimović a été récupéré par les Nerazzurri, tandis que Hernán Crespo est également venu de Chelsea. Avec Adriano toujours là, Martins savait que son temps était écoulé et a demandé un transfert. Newcastle est venu et il portait des rayures noires et blanches sur Tyneside à la fin du mois d'août. Deux mois après avoir déménagé du Meazza à St. James, les sceptiques ont commencé à baver leurs mots, prêts à radier cet attaquant de 21 ans. Prendre le numéro 9 d'Alan Shearer juste un an après sa retraite était pour le moins courageux mais, après plusieurs semaines de maladie et de blessures, un héros a commencé à émerger. "Jouez comme vous le faisiez au parc", disent de nombreux entraîneurs aux jeunes joueurs. Parks a commencé à se faire aimer de Martins. Ses neuf premiers buts à Newcastle sont venus à eux; un à Upton, un à Ewood et sept à St. James'. Cette course a été stoppée avec une visite à White Hart Lane en janvier. Jermain Defoe et Dimitar Berbatov avaient donné à Tottenham une avance de 2-1 après70 minutes, mais cela n'a pas tenu. Kieron Dyer a envoyé le ballon à Martins à 25 mètres du but, le Nigérian a frappé le ballon avec une précision et une puissance stupéfiantes dans le coin supérieur, laissant tout le terrain, et même lui-même, un peu hébété. Les Spurs n'avaient toujours pas récupéré lorsque Martins passa à Nicky Butt pour terminer le revirement quelques instants plus tard. Soudain, le football anglais s'est redressé et s'est frotté les yeux sur cette fusée d'un attaquant, qui ferait à nouveau des ravages au Lane. Quelque 14 mois plus tard, les Magpies étaient de retour et avec Kevin Keegan à la barre cette fois. Un trident de Martins, Mark Viduka et Michael Owen est devenu aussi effrayant que cela puisse paraître en seconde période. Martins, à Viduka, à Owen et but. C'était le troisième. Le quatrième est venu via Joey Barton , qui a envoyé Martins courir contre un Jonathan Woodgate paniqué. Une feinte de corps a suffi à envoyer le héros de la finale de la Coupe de la Ligue au sol, permettant à Martins de rentrer chez lui devant les Geordies itinérants. Et oui, il en est sorti un magnifique backflip unique, peut-être plus mature, près du coin, juste pour faire bonne mesure. Une fois l'avance de trois buts acquise, Owen est parti; Viduka aussi. Keegan a laissé le taureau dans le magasin de porcelaine, accordant à Martins les 90 minutes complètes. Mike Ashley a célébré ces buts avec son maillot Newcastle dans la loge des réalisateurs. Un an plus tard, les sourires n'étaient pas là, Ashley non plus de temps en temps. Shearer a été poussé sur la sellette pour tenter de sauver son club bien-aimé de la relégation. Middlesbrough a visité un parc St James à fleur de peau un lundi soir de mai. Les deux équipes étaient à égalité avec Hull avec 31 points, les hôtes étant le seul des trois à être à l'extérieur de la zone de relégation. Le score étant bloqué à 1-1 à 20 minutes de la fin, Shearer a lancé Martins. Quelques secondes plus tard, il est retourné à la pirogue et a sauté sur son patron après avoir dépassé Brad Jones pour donner aux Magpies une avance dont ils avaient désespérément besoin. Peter Løvenkrands s'est assuré des points avec un troisième, mais c'était la bataille plutôt que la guerre que Newcastle avait gagnée. Ils ont abandonné l'élite de l'Angleterre pour la première fois depuis 1993 et cela a marqué la fin du séjour de Martins dans le nord-est. Il a visité Wolfsburg et Kazan avant de se retrouver en Premier League avec Birmingham. Les prochaines étapes de la tournée de football mondial de Martins sont venues avec Levante en Espagne, Seattle Sounders aux États-Unis et Shanghai Shenhua en Chine, pour qui il a joué son dernier match à l'été 2018. Une grave blessure au genou aurait dû mettre fin à sa carrière, mais il n'a pas encore abandonné. "J'ai 34 ans mais je me sens comme un adolescent, et avec cette sensation, je peux toujours jouer pour n'importe quelle grande équipe à travers le monde", a déclaré Martins à Goal en septembre. Ainsi, où que vous vous trouviez, il pourrait y avoir un footballeur fantastique qui viendra très bientôt sur un terrain près de chez vous.'' Voici les buts d'Obafemis pour l'Inter Traduction alex_j via thesefootballtimes.co.
  11. Cet article est une traduction de "Brilliant but flawed – Inter in the mid ’00s" de James Oddy qui décrit l'Inter des années mi-2000. Une équipe poissarde et pleine de "et si". Bonne lecture. Dans l'ouvrage phare Gastronomie italienne d'Anna Del Conte, elle déclare que la Lombardie ''a toujours connu la richesse. La terre est riche et les gens travaillent dur et sont riches.'' Sa capitale, Milan, a une élégance à la limite de la décadence. C'est là que viennent les élites italiennes et européennes. Elles viennent manger, faire du shopping, faire la fête et prier. Et elles viennent regarder le football. Rome est peut-être la capitale de l'Italie, mais Milan est la capitale du football. Le Giuseppe Meazza est sa grande cathédrale. Il a vu une multitude de péchés et témoigné d'innombrables rédemptions; et beaucoup d'entre eux sont venus juste pendant les années 2000 turbulentes de l'Inter. Commençons par la fin. Nous connaissons l'exercice lorsqu'un capitaine récupère un trophée. Ils sont ravis, et à juste titre. Ils le soulèvent. Ensuite, nous passons à la saison suivante et à la prochaine finale. Mais peu importe si vous êtes un Interista ou non, l'image d'un Javier Zanetti aux yeux exorbités et hurlant agitant frénétiquement la coupe d'Europe doit être gravée dans la mémoire de la plupart des fans de football, même une décennie plus tard. Ce n'était pas seulement une rédemption, c'était la délivrance. Zanetti, un homme si consistent et peu glamour qu'il était surnommé El Tractor, venait de mener le club le plus romantique d'Italie à un triplé. Le premier et jusqu'à présent le seul capitaine d'un club italien à le faire. Nous savons où cela a commencé. Ils ont été bien piétinés. En 1998, le défenseur de la Juventus Mark Iuliano claque contre le bien-aimé Ronaldo pour un penalty qui est en quelque sorte écarté. Quelques années plus tard, le même Ronaldo, blessé, pleurait sur le banc alors que l'Inter réussissait à perdre face à une équipe, la Lazio, qui voulait qu'elle gagne. L'Inter était et reste romantique parce qu'elle a fait de la défaite une forme d'art. Ils peuvent gagner, glorieusement. Mais ils peuvent aussi perdre de façon spectaculaire. Même en 2021, à nouveau champions d'Italie, leur succès s'effrite à un point qui ferait rougir Ozymandias (à cause des problèmes financiers, ndlr). Mais leur nadir est une période moins regardée. C'est l'Inter du milieu des années 2000. C'est le total des kits des années 90 et une vraie multitude de stars : Juan Veron, Bobo Vieri, Fabio Cannavaro, Francesco Toldo, Hernan Crespo, Obafemi Martins, Edgar Davids, Alvaro Recoba, Dejan Stankovic et Adriano. Cette époque comprend même un caméo de Gabriel Batistuta. C'est l'équipe qui était, sur le papier ou sur la PS2, imbattable. Non seulement imbattable, mais capable des buts les plus outrageants et d'une série de cleen sheets. Mais dans la vraie vie, c'était une équipe qui se flattait si souvent de décevoir et tromper. 2003-2004 en particulier a été une année désastreuse, ils ont terminé 4e, et de justesse. Une équipe de Parme en crise financière était à un point derrière elle. Une Lazio tout aussi instable n'avait que trois points de retard. En revanche, les champions de Milan avaient 23 points d'avance. Les ultras se sont mis en grève, tout comme Christian Vieri, qui a refusé de célébrer la majorité de ses 17 buts. L'équipe a été déchiquetée par Arsenal 5-1 à domicile au Meazza, réussissant à être éliminée de la Ligue des champions lors de la phase de groupes après avoir terminé troisième derrière le Lokomotiv Moscou (à la différence de but, ndlr). La coupe UEFA ne s'est pas beaucoup mieux déroulée non plus, se faisant larguer par un Marseille inspiré par Didier Drogba. Bien sûr, ils sont également passés par deux managers, Hector Cuper partant tôt avant qu'Alberto Zaccaheroni ne garde le fauteuil au chaud jusqu'à la fin de la saison. Ramener un Adriano brûlant de Parme en Janvier et Stankovic de la Lazio au cours de la même fenêtre ont été deux des seuls points positifs d'une campagne lamentable. Ce n'était pas seulement que l'Inter était mauvaise : ils étaient chers et mauvais. Individuellement brillant, mais collectivement défectueux. La saison suivante était légèrement meilleure, mais pas beaucoup plus. Roberto Mancini commençait à construire quelque chose, mais ils étaient encore à 14 points de la Juve (plus à ce sujet plus tard, cependant). C'était aussi la saison où ils ont été éliminés de la Ligue des champions par Milan, en partie à cause de cette fusée errante frappant Dida alors que les frustrations d'ultras bouillaient à nouveau. Le vrai point positif était Adriano et pas seulement à cause de ses 28 buts. Ils ont été livrés avec une férocité rarement vue avant ou depuis que ce soit à l'Inter, ou ailleurs. Têtes, coups francs, mouvements délicats autour des défenseurs et des gardiens, véritable force brute et tirs imparables sous tous les angles. Il n'est pas exagéré de dire qu'il était sans doute le meilleur attaquant pur du monde pendant 12 mois, ou du moins à égalité avec ses pairs, Andriy Shevchenko et Thierry Henry. Et alors que cette paire était déjà dans la fleur de l'âge, il n'en était même pas près, semblait-il. Il semblait logique de croire qu'Adriano aurait au moins une autre décennie au sommet. Mais la logique et l'Inter ne sont pas souvent d'accord. D'ailleurs, l'Inter est-elle logique ? Cela semble très "Inter" d'avoir l'un des attaquants les plus destructeurs du monde à la Adriano qui disparaît ensuite brutalement. Mais alors que le "99 shot power" l'a vu devenir presque un mème, il y a une véritable tragédie et un élément "et si" dans la carrière du Brésilien. Le gaspillage alimenté par la tragédie a été raconté ailleurs, mais plaçons-le dans un contexte plus large. C'était le plus grand exemple de la poisse continue de l'Inter. Alors que Mancini commence enfin à construire quelque chose de cohérent dans un club qui a été tout sauf cela, ils avaient un point focal et une superstar prêts à l'emploi. Au lieu de cela, alors que l'Inter sortait de ses années stériles, Adriano était un cuirassé non amarré, dérivant de plus en plus loin, perdu dans un brouillard de chagrin et de dépendance. Le football n'est que du football, et c'est réconfortant de voir que le Brésilien semble être dans une meilleure position. Mais son histoire et celle de l'Inter est la plus grande histoire de "et si" dans le calcio des années 2000. Traduction alex_j.
  12. L'ancien attaquant de l'Inter Jonathan Biabiany a été très impressionné par l'expérience de l'entraînement aux côtés de la légende des Nerazzurri, Adriano, lors de son passage au club. Dans un entretien accordé à Foot Mercato, Biabiany s'est souvenu de son entraînement avec le Brésilien et a fait l'éloge de ses capacités extraordinaires, même par rapport à d'autres légendes qui sont passées par le club. Biabiany a rejoint l'académie de l'Inter en 2004, et pendant cette période, il a vécu plusieurs saisons au club où il a croisé le chemin de grands champions. Même si le joueur de 33 ans n'a jamais réussi à s'imposer au club comme l'ont fait certains de ses coéquipiers, il a été très impressionné par l'expérience qu'il a vécue en les voyant tous les jours. "J'ai eu la chance de m'entraîner avec Adriano, ainsi qu'avec Zlatan Ibrahimovic", se souvient-il. "Je me suis souvent entraîné avec eux quand j'étais jeune, puis j'ai joué avec l'équipe Primavera". "J'ai commencé en Copa Italia en jouant avec des joueurs comme Luis Figo, Alvaro Recoba, Adriano...", a-t-il poursuivi. "C'est incroyable. Au début oui, je peux dire que j'ai eu la chance d'être avec de grands joueurs." "Après, poursuit le Français, j'ai voulu montrer ma qualité et montrer que j'avais faim pour réussir." Parmi tous ces anciens joueurs légendaires des Nerazzurri, il y en a toutefois un en particulier qui a marqué Biabiany. "Le joueur le plus impressionnant, qui n'a pas eu la carrière qu'il aurait pu avoir, est Adriano", a-t-il déclaré. "C'était une force phénoménale de la nature ", a-t-il expliqué à propos du Brésilien, "techniquement, il était injouable". "C'était un joueur très complet, rapide et puissant", a-t-il ajouté à propos de l'ancien attaquant des Nerazzurri. "Après la mort de son père, il a eu des problèmes personnels. Mais c'est l'attaquant le plus complet que j'ai vu dans ma carrière." ®Oxyred – Internazionale.fr via SempreInter
  13. Dans une interview accordée à Tuttosport, Adriano soutient non seulement que l'actuelle Inter peut remporter son deuxième Scudetto consécutif, mais pense qu'elle peut remporter la meilleure compétition européenne, rien que ça! Intro. "Je pense que l'Inter peut vaincre Liverpool en huitièmes de finale de la Ligue des champions, avec engagement et dévouement, les Nerazzurri ont ce qu'il faut pour devenir champions d'Europe." Passant au derby milanais, l'ancien attaquant est revenu sur son affrontement préféré avec le Milan. "Celui contre mes compatriotes Dida et Kaka qui était tout simplement génial. Nous avons gagné 3-2 et j'ai marqué deux buts, dont un à la 47e minute de la deuxième mi-temps. C'était tout simplement fantastique, un grand derby." "C'était une sensation spectaculaire de marquer ce but, il m'est impossible d'oublier cette tête gagnante qui nous a permis de vaincre nos rivaux de la ville juste au moment où le temps presse." Sur les chances actuelles des Nerazzurri. "Cette équipe Nerazzurri a de grandes chances de remporter à nouveau le Scudetto cette année. En ce qui concerne le match contre les Rossoneri, j'espère évidemment que les Nerazzurri gagneront. Mais dans un match de cette importance et cette signification particulière, tout peut arriver." "Les Nerazzurri ont une excellente équipe, composée de joueurs de grande qualité comme Alexis Sanchez et Lautaro Martinez. Il faut dire qu'ils ont beaucoup d'excellents joueurs." En comparant Simone Inzaghi avec Antonio Conte. "Simone Inzaghi est un excellent entraîneur, tout comme Antonio Conte. Les résultats, du moins pour le moment, sont plutôt en faveur d'Inzaghi." Le fils d'Adriano a récemment signé pour Gremio. "C'est une possibilité que j'ai hâte de voir se produire. Le voir à l'Inter serait un honneur et me rendrait terriblement émotif. Il a beaucoup de talent et travaille dur. Je suis sûr qu'il aura une brillante carrière." Message aux fans de l'Inter. "Je remercie les supporters Nerazzurri et leur demande de continuer à croire au potentiel de ce grand club qui m'a accueilli à bras ouverts et auquel je serai éternellement reconnaissant." Traduction alex_j via sempreinter.
  14. Qui sera le quatrième attaquant à entrer dans l'Inter Hall of Fame? Il y en a 31 parmi lesquels choisir et ils ont chacun de bonnes raisons d'être pris en considération. Nous parlons bien sûr des attaquants en lice pour entrer au Hall of Fame, avec la phase de vote en cours. Ils aspirent à rejoindre le trio de Ronaldo, Giuseppe Meazza et Diego Milito, qui seront toujours des légendes de l'Inter. Les candidats couvrent toutes les époques de l'histoire du club et ont tous laissé une marque indélébile sur l'Inter. Samuel Eto'o pourrait-il suivre Milito? Alors que l'attaquant camerounais n'a joué pour le club que pendant deux saisons, il a inscrit 53 buts en 102 apparitions et a joué un rôle clé dans les matchs cruciaux de la Ligue des champions contre Chelsea et Barcelone en 2010. Cependant, il y a beaucoup plus à choisir! Nous remontons dans le temps pour nous souvenir de certains des joueurs qui ont fait de la ligne d'attaquant de l'Inter l'une des meilleures d'Europe. Cela inclut Adriano l'empereur, qui n'était pas seulement un joueur de classe mondiale, mais était également adoré par les fans qui l'ont toujours soutenu. Ensuite, il y a Christian Vieri, le neuvième meilleur buteur de l'histoire du club avec 123 réalisations à son actif. Son complice depuis de nombreuses années, Alvaro Recoba, qui invoquait régulièrement la magie avec son pied gauche, figure également sur la liste. L'Argentine a deux représentants des équipes de l'Inter qui ont remporté le Scudetto et la Coppa Italia dans les années 2000: Julio Cruz et Hernan Crespo. Alors que Ronaldo était le roi à la fin des années 1990, c'est son partenaire de frappe Ivan Zamorano qui a remporté le premier match de la finale de la Coupe UEFA 100 % italienne à Paris en 1998, contre la Lazio. Marco Branca et Maurizio Ganz ont mené la ligne pour les Nerazzurri avant le duo Sud Américain, avec Ruben Sosa et Dennis Bergkamp lors du succès de la Coupe UEFA en 1994. Plus tard, Jurgen Klinsmann a rejoint l'Inter en tant que champion en titre et a renvoyé le club vers sa première Coupe UEFA en 1991. Il y a certainement une place sur la liste pour Aldo Serena, qui faisait partie de l'équipe du record en 1988-1989. Alessandro Altobelli, le deuxième meilleur buteur du club derrière Meazza, est également en lice, avec sa série de buts entre 1977 et 1988 aidant les Nerazzurri à remporter le Scudetto une fois et la Coppa Italia deux fois. L'attaquant restera dans les mémoires pour son but lors du succès de l'Italie à la Coupe du monde 1982, mais ses 209 buts pour l'Inter lui vaudront-ils une place au HoF ? En remontant plus loin dans le temps, Roberto Boninsegna, Jair da Costa, Istvan Nyers et Benito Lorenzi avaient tous des attributs différents, mais leur sens du but a aidé à définir différentes périodes de l'histoire du club. Aux côtés de Pietro Anastasi, Carlo Muraro, Angelo Domenghini, ces quatre-là ont une chance de gagner une place au HoF. Les 143 buts de Lorenzi avec l'Inter le placent au sixième rang du classement des buteurs de tous les temps, avec Nyers juste derrière lui en septième position après avoir inscrit 133 buts en 182 apparitions pour le club. Le jeu maraudeur de Jair a aidé l'Inter à remporter la Coupe d'Europe pour la deuxième fois, le Brésilien remportant le vainqueur lors de la finale de 1965. Les 173 buts de Boninsegna pour les Nerazzurri entre 1969 et 1976 signifient qu'il occupe le troisième rang des buteurs. Gino Armano, Mauro Bicicli, Renato Cappellini, Leopoldo Conti, Pietro Ferraris II, Umberto Guarnieri et Umberto Visentin III sont quelques-uns des noms qui remontent à plusieurs générations aux débuts du club, mais trois en particulier méritent d'être mentionnés. Luigi Cevenini III était un buteur implacable qui a réussi 158 buts en 190 apparitions, se classant cinquième au classement des buteurs. Ermanno Aebi le rejoint dans le top 10 avec 106 buts en seulement 142 matchs. Enfin, les lunettes d'Annibale Frossi sont entrées dans l'histoire, tout comme ses buts qui ont aidé l'Italie à remporter le succès olympique en 1936. L'attaquant est devenu un entraîneur à succès et un journaliste estimé. Traduction alex_j via le site officiel.
  15. La dernière fois qu'un derby milanais s'était terminé sur un score nul, c'était en avril 2018. Mis à part le penalty transformé par Hakan Calhanoglu et le but contre son camp de Stefan de Vrij, il y encore beaucoup de points à discuter. Ciprian Tatarusanu a sauvé un penalty de Lautaro Martinez et Alexis Saelemaekers a touché le poteau dans les derniers instants d'une rencontre à suspense. Le match a démarré sur les chapeaux de roue : les deux équipes trouvant le chemin des filets dans les 20 premières minutes de jeu. La dernière fois que cela s'est produit, c'était en 1999, lorsque le derby s'était soldé par un score de 2-2, avec but contre son camp de Bruno N'Gotty et Leonardo qui avaient trouvé le chemin des filets 15 minutes plus tard. Les Nerazzurri sont sortis du derby avec un sentiment de regret, après avoir dominé le jeu pendant presque tout le match. l'Inter affiche désormais une série d'invincibilité de 24 matches à Giuseppe Meazza : la plus longue série de ce type depuis novembre 2010, lorsqu'ils avaient réussi à enchaîner 42 matches sans s'incliner. Statistiquement parlant, le mois de novembre est un mois maudit pour l'Inter dans les derbys : ils n'ont pas réussi à battre Milan au cours de ce mois lors des 11 derniers matchs, faisant huit nuls et perdant trois fois. La dernière victoire de l'Inter sur les Rossoneri en novembre remonte au 18 novembre 1990 sur le score de 1-0, grâce à un but de Nicola Berti. Marquer un penalty et en marquer un autre dans le même match. Ce fait de jeu n'était pas arrivé à l'Inter depuis le 12 décembre 2004. À l'époque, Adriano fut à la fois le héros et le "loser". le Brésilien ayant tiré les deux coups de penalties lors du match de l'Inter contre Sienne. Calhanoglu fait le show pour son premier Derby avec les Nerazzuri Après avoir disputé sept derbies avec les Rossoneri sans marquer, Calhanoglu a fait ses débuts à l'Inter lors de ce choc et n'a pas tardé à laisser sa marque. Le Turc a tranquillement transformé son penalty en début de rencontre et l'a célébré devant ses anciens supporters. C'est la troisième fois que le joueur de 27 ans marque un penalty en Serie A, après avoir marqué contre la Roma en juin 2020 et contre la Lazio en décembre de la même année. À l'ère des trois points pour une victoire, Calhanoglu est le quatrième joueur à avoir marqué dans un derby milanais contre son ancien club, suivant les traces de Hernan Crespo (2006), Ronaldo (2007) et Zlatan Ibrahimovic (2010). La Statistique du jour : Handanovic se rapproche de Rivera Lors du derby de dimanche, Samir Handanovic a disputé son 527ème match en Serie A, ce qui signifie qu'il est désormais 11ème ex-aequo avec Gianni Rivera pour le nombre de matches disputés dans la compétition. Le Slovène est tout près d'entrer dans le top 10 : Enrico Albertosi en est à 532, tandis que Silvio Piola en est à 537. Handanovic a disputé le 18ème derby milanais en Serie A, soit autant que le défenseur colombien Ivan Cordoba. Dans l'ère des trois points pour une victoire, seul Javier Zanetti (36) a fait plus d'apparitions dans cette rencontre. Ce match nul a également permis à d'autres joueurs de l'Inter de battre des records personnels. Alessandro Bastoni a joué son 100ème matches en Serie A (7 pour l'Atalanta, 24 pour Parme et 69 pour l'Inter), tandis que Stefan de Vrij a atteint des 200 matches joués en première division italienne (95 pour la Lazio, 105 pour l'Inter). Ce faisant, le défenseur Interiste est devenu le deuxième Néerlandais à faire au moins 200 apparitions en Serie A depuis l'instauration des trois points pour une victoire, après Clarence Seedorf qui a réalisé le même exploit (396 matchs). Malheureusement, de Vrij a concédé un but contre son camp (son deuxième en Serie A) permettant au Milan AC d'égaliser. Le dernier joueur à avoir marqué contre son camp dans un derby milanais est Samir Handanovic, en décembre 2017. ®Oxyred – Internazionale.fr via Inter.it
  16. Après le Scudetto, trois stars Nerazzurri ont désormais connu un succès continental avec l'Italie et l'Argentine. L'Inter est champion d'Italie. L'Italie est championne d'Europe. L'Argentine est championne d'Amérique du Sud. Et trois joueurs Nerazzurri, Nicolo Barella, Alessandro Bastoni et Lautaro Martinez, ont maintenant goûté à la gloire à deux reprises cet été. La couleur bleue figure dans les trois triomphes: début mai, le noir et le bleu de l'Inter ont scellé un 19e Scudetto, puis deux mois plus tard, le bleu de l'Italie et le bleu ciel de l'Argentine ont remporté respectivement l'Euro et la Copa America. Les Azzurri ont battu l'Angleterre aux tirs au but à Wembley pour remporter l'Euro pour la première fois depuis que Giacinto Facchetti a remporté ce trophée à Rome il y a 53 ans, tandis que l'Argentine a devancé le Brésil pour remporter sa première couronne en Copa America en 18 ans. Avant dimanche dernier, sept joueurs avaient remporté le Championnat d'Europe en jouant pour l'Inter: Luis Suarez (avec l'Espagne 1964), Facchetti, Tarcisio Burgnich, Angelo Domenghini et Sandro Mazzola (avec l'Italie en 1968), Laurent Blanc (avec la France en 2000) et Giorgos Karagounis (avec la Grèce en 2004). Maintenant, il y en a neuf. Barella et Bastoni ont été dans l' équipe italienne de 26 joueurs sélectionnée par Roberto Mancini qui a exercé deux mandats en tant qu'entraîneur de l'Inter (2004-2008 et 2014-2016). Nicolo était un pilier du milieu de terrain Azzurri commençant chaque match sauf contre le Pays de Galles, marquant un but dans la victoire en quart de finale contre la Belgique et jouant 50 minutes en finale. Alessandro a quant à lui fait une apparition pendant le tournoi, 90 minutes contre le Pays de Galles. Après leur triomphe à Wembley, le duo Azzurri s'est rendu sur Instagram pour célébrer. "N'arrêtez jamais de rêver! CHAMPIONS D'EUROPE", a écrit Barella, sous une photo de lui embrassant le trophée. "Après une période difficile pour tout le monde, cela nous procure une immense joie de rentrer en Italie avec ce trophée. Je tiens à remercier mes coéquipiers, un groupe de joueurs extraordinaires qui ont rendu cette réalisation encore plus spéciale. Merci à vous les fans de nous conduire avec votre passion et votre soutien contagieux. C'est un rêve devenu réalité... CHAMPIONS D'EUROPE !", a déclaré Bastoni. Le succès de l'Italie survient le même jour, 11 juillet, où cinq joueurs de l'Inter (Giuseppe Bergomi, Ivano Bordon, Gabriele Oriali, Alessandro Altobelli et Giampiero Marini) ont aidé les Azzurri à remporter la Coupe du monde 1982 en Espagne il y a 39 ans. C'était aussi le moyen idéal pour Barella de célébrer l'anniversaire de son arrivée à l'Inter, le 12 juillet 2019. Pour les plus jeunes, voici un résumé de Italie - RFA, finale de la Coupe du Monde de 1982: Quelques heures plus tôt, de l'autre côté de l'Atlantique, Lautaro Martinez a débuté aux côtés de Lionel Messi dans l'équipe argentine qui a vaincu son rival brésilien au Maracana. El Toro a réalisé un superbe tournoi pour l'Albiceleste, marquant trois buts: contre la Bolivie en phase de groupes, l'Équateur en quarts de finale et la Colombie en demi-finale. Après la finale, alors qu'il a joué 79 minutes, Lautaro a posté une photo de lui et de ses coéquipiers avec le trophée sur le gazon sacré du Maracana, déclarant: "Pour tous les Argentins, pour tous ceux qui nous ont soutenus, pour ma famille. Merci pour cette joie incroyable. Nous sommes des champions d'Amérique." Avant Martinez, sept joueurs Nerazzurri avaient remporté la Copa America: Gary Medel était le plus récent, en 2015 et 2016 avec le Chili. Avant lui, il y a eu plusieurs Brésiliens: Ronaldo en 1997 juste après avoir rejoint l'Inter, et encore en 1999 lorsqu'il a marqué en finale contre l'Uruguay ; Adriano, qui a dominé l'édition 2004, lorsque Julio Cesar était également impliqué, et a terminé meilleur buteur du tournoi, marquant en finale contre l'Argentine avant une victoire aux tabs; Maicon en 2007 (Brésil 3-0 Argentine); et Miranda en 2019, à la fin de son passage à l'Inter, battant le Pérou en finale. Ruben Sosa a également connu le succès de la Copa America avec l'Uruguay en 1995, tout comme Ivan Cordoba qui a inscrit le but vainqueur de la Colombie lors de la finale 2001 contre le Brésil. Seuls deux clubs peuvent se targuer d'avoir des joueurs titulaires à la fois à l'Euros et en finale de la Copa America: l'Inter et le PSG (Barella, Lautaro ; Marco Verratti, Angel Di Maria). Cela a certainement été un été inoubliable pour l'Inter. Félicitations à notre Italie, Argentine et nos champions!
  17. Romelu Lukaku est le protagoniste du Match Day Program d’Inter-Roma. Et Big Rom s’est une nouvelle fois illustré en déclarant son amour pour les couleurs Nerazzurre : "Lorsque je suis sur le terrain du Meazza, je me rends compte d’avoir concrétisé un de mes rêves depuis toujours. J’ai toujours voulu jouer avec le maillot de l’Inter. Le revêtir est d’une fierté incroyable, gagner est quelque chose de grandiose : Io Sono Interista!" Mon plus beau but ? "Celui du 3-0 au Milan, il résume toute mes caractéristiques : la course, la puissance, la précision. Il avait une signification importante pour moi et pour notre championnat. Cette équipe a gagné car elle s’est fortifiée via un état d’esprit de groupe exceptionnel. Nous nous sommes transmis aussi cette soif de victoire." Mon rapport avec Conte ? "Je savais depuis le début qu’il s’agirait d’une relation particulière. A l'été 2019, je lui avais écrit "J'arrive". Sur le terrain, je me bats pour l’équipe. Hors du terrain, j’aime la musique, les personnes vraies, je vie pour ma famille et j’aime rendre les autres heureux. La joie des interiste est aussi la mienne." L’attaquant révèle aussi son top 5 Nerazzurro Dans les buts Julio César : "Extraordinaire avec de la technique et du charisme." En défense Maicon : "Puissant, rapide, technique, il y en a peu comme lui." Adriano : "Je connais par cœur tous ses buts." Ronaldo : "Le football était la destinée d’Il Fenomeno." Eto'o : "Sa détermination et sa classe sont un exemple." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. "Nous n'avons pas pu le sortir du tunnel de la dépression. C'était ma plus grande défaite, je me sentais impuissant." Javier Zanetti. L'histoire d'Icare et de son père, Daedalus, est une histoire d'insouciance qui aboutit à une chute tragique de la grâce. Cela a également provoqué l'idiome: "Ne volez pas trop près du soleil". Au milieu des années 2000, Adriano Leite Ribeiro était LE représentant du football brésilien. Les développeurs du jeux de Pro Evolution Soccer ont donné à l'attaquant une note de 99, en partie à cause de son terrible et destructeur pied gauche, mais aussi parce qu'il était le joueur préféré de Shingo Takatsuka, cadre de Konami. La route d'Adriano depuis la favela de Vila Cruzeiro à Rio de Janeiro, une région gangrénée par la criminalité et la pauvreté, gouvernée par des trafiquants de drogue lourdement armés, jusqu'au sommet du jeu national n'était pas inconnue. Pour de nombreuses superstars brésiliennes, la route des haillons à la richesse était comme un rite de passage. En 2002, la zone a été le théâtre de l'enlèvement et du meurtre barbare du journaliste d'investigation brésilien Tim Lopes. Lopes s'est fait couper les membres par une épée de samouraï avant d'être brûlé à mort, son corps couvert de pneus et d'essence dans une pratique baptisée micro-ondas (micro-ondes en référence au four micro-onde). Le crime a mis en évidence l'existence du poder paralelo (pouvoir parallèle) où les criminels contrôlent les zones de Rio en toute impunité, laissant le football comme le seul espoir d'évasion pour beaucoup. La renommée et la fortune sont les effets secondaires bienvenus de cette libération. Grandir de cette façon laisse des traces. La quête d'argent et de statut devient une dépendance qui oblige les individus à marcher sur une ligne étroite entre la célébrité et l'auto-implosion. Cette détermination était évidente lorsque Adriano, 16 ans, a gravi les échelons du club brésilien Flamengo, se frayant un chemin dans la première équipe en un an. En tant que jeune, Adriano a été stampé pour sa brillance et étiqueté "le futur Ronaldo". Cette habitude "d'accabler" les jeunes prospects avec la corrélation des talents passés est répandue en Amérique du Sud. Son chemin, jadis jonché d'obstacles et d'influences négatives, est devenu clair lorsqu'il a suivi les traces d'Il Fenomeno, signant pour l'Inter à l'âge de 19 ans. Ronaldo était sans doute le plus grand numéro neuf de l'histoire et une légende du Brésil et des Nerazzurri, les attentes étaient donc élevées. Les problèmes au genou de Ronaldo ont offert une première opportunité au merveilleux enfant qui a inscrit son premier but lors d'un match amical contre le Real Madrid, via un coup-franc tonitruant qui a souligné sa puissance. Cependant, le retour du double vainqueur du Ballon d'Or a entravé les chances de l'apprenti. Le glamour de Milan était très éloigné de la pauvreté de la favela et Adriano avait du mal à s'adapter. La solide défense de Serie A et le manque de temps de jeu ont rendu l'ajustement plus difficile. Le garçon surnommé "l'empereur'' avait besoin de minutes et un prêt à la Fiorentina les lui a fournis. Ses performances impressionnantes pour la Viola ont incité Parme à convenir d'un prêt de deux ans. Là, il a formé un duo formidable avec Adrian Mutu (qui a ensuite bougé à Chelsea et échoué à un test de dépistage de drogues), marquant 22 buts en 36 apparitions et réaffirmant sa réputation comme l'un des plus grands talents du football mondial. Le jeune homme de 22 ans avait le monde à ses pieds et ses anciens employeurs sont venus l'appeler. En janvier 2004, l'Inter s'est allégée d'un peu plus de 23 M€ pour le ramener au Mezza. Plus tard cette année-là, il expédia son pays à un septième titre de la Copa America, remportant le Soulier d'Or avec un dernier but égalisateur contre l'Argentine. Adriano était sorti de la chaîne de production brésilienne avec les capacités techniques attendues, mais il offrait quelque chose de différent. Une silhouette imposante à la pointe de l'attaque, sa silhouette musclée combinée à un rythme trompeur, une force, un équilibre et une puissance le rendaient injouable. Comme le résultat d'une expérience génétique pour créer l'attaquant moderne parfait. La décision de l'Inter d'exercer son option de rachat semblait avoir porté ses fruits alors qu'il continuait marquer. Il était maintenant presque méconnaissable de la part du garçon parti pour la Fiorentina et Parme. Il appréciait son football et sa vie à Milan. Mais alors la tragédie a frappé. Quelques instants avant un match de qualification de l'UEFA Champions League contre le FC Bâle, Adriano a reçu un appel téléphonique déchirant. Son père bien-aimé, Almir, était décédé d'une maladie soudaine à l'âge de 44 ans. Le jeune homme qui était devenu une force inébranlable a été soudainement arrêté dans son élan. L'ancien coéquipier de l'Inter, Javier Zanetti, a décrit l'appel téléphonique qui a tout changé: "Adriano avait un père auquel il était très attaché. Avant la saison, quelque chose de choquant s'est produit. Il a reçu un coup de fil du Brésil: Adi, papa est mort…" "Je l'ai vu dans sa chambre; il lança le téléphone et se mit à crier. Vous ne pouviez pas imaginer ce genre de cri. J'ai encore la chair de poule à ce jour. Depuis ce jour Massimo Moratti et moi avons veillé sur lui, comme s'il était notre petit frère." L'incident a galvanisé l'attaquant pendant un moment. Il a continué à marquer des buts et a joué comme un possédé. Cette forme a apporté plus de récompenses, notamment des contrats et une amélioration des négociations contractuelles. Cependant, l'homme vers qui il s'est tourné une fois pour obtenir des conseils, celui qui lui a dit de ne pas voler trop près du soleil, était parti. Adriano a entamé une spirale descendante à la fois personnellement et professionnellement. Au fur et à mesure que sa dépression s'approfondissait, les influences négatives qui étaient autrefois facilement évitées devinrent un soulagement de l'obscurité. Il a rempli le vide avec des substances addictives qui ont eu un impact sur sa forme et sa forme physique. Sa dépendance à l'alcool et aux drogues a également affecté sa discipline. Sa forme médiocre a assombri son humeur davantage et le joueur et le club ont souffert. En 2007, Adriano a atteint un nouveau plus bas alors qu'il se heurtait aux officiels de l'Inter et au staff pour sa mauvaise attitude et son éthique de travail. La superstar autrefois injouable était devenue un fardeau intolérable. Les séances d'entraînement manquées après les visites en boîte de nuit devenaient trop lourdes, quelque chose devait être fait. Malgré les démons, il y avait des soubresauts de forme, mais son rôle à l'Inter est devenu solitaire. Il a été renvoyé chez lui en congé sans solde à plusieurs reprises pour "faire le tri" et a même passé un séjour en prêt à Sao Paulo. Mais malgré un but au Derby de Milan en février 2009, son passage à l'Inter était terminé. En avril, il s'est présenté en retard pour ses convocations internationales et a finalement résilié son contrat avec nous. Adriano a signé un contrat d'un an avec son premier club Flamengo. Un retour au but décent a incité l'AS Roma à donner à l'attaquant une autre opportunité en Italie. Un contrat de trois ans offrait une sécurité, mais les démons ont continué à le hanter et il n'a fait que cinq apparitions pour la Louve. Sans la fierté de son père ou le besoin d'argent pour le motiver, le Brésilien n'a plus ressenti le besoin d'endurer les sacrifices d'un athlète professionnel, préférant boire. Il est retourné au Brésil en 2011 et a fait quatre apparitions pour les Corinthiens avant d'être libéré de son contrat. En janvier 2016, une autre chance est apparue lorsque Adriano a annoncé un transfert sensationnel au côté du Miami United, qui comprenait une participation de 40% dans le club. Cependant, son mauvais état le limitait à une apparition officielle avant de s'échapper à nouveau des projecteurs. En 2018, des rumeurs d'un autre retour professionnel ont fait surface lorsqu'il s'est lancé dans un nouveau programme d'entraînement au Flamengo. Cependant, le joueur de 35 ans n'a pas encore signé d'accord avec le club. Accablée par des comparaisons injustes avec les plus grands du passé et écrasée par une profonde douleur personnelle, la brillante carrière d'Adriano s'est engagée sur une voie autodestructrice. Alors qu'il montait en flèche, son insouciance et son orgueil prirent le contrôle et le rapprocha de plus en plus du soleil, sa montée soudaine seulement surpassée par sa descente dramatique dans l'obscurité. Cet article est une traduction de "Adriano: Inter’s Brazilian superstar who flew too close to the sun" par Harry Collins paru sur le site gentlemanultra.com le 31 Juillet 2018.
  19. Hier, Lundi, les supporters ont rappelé un anniversaire spécial de la C1 mettant en vedette l'ancien attaquant Adriano. L'Imperatore a aidé les Nerazzurri à remporter une victoire à domicile 2-1 contre Villarreal il y a 15 ans hier, lors du match aller de leur quart de finale de l'UEFA Champions League. Obafemi Martins a marqué le but vainqueur en seconde période, mais cela n'a pas suffi, car l'équipe de Roberto Mancini est sortie de la compétition à cause de la défaite 0-1 au match retour.
  20. Comme l'a révélé le journaliste Gianluca Di Marzio sur son site granhotelcalciomercato.com, l'Inter avait en fait tenté de signer Ronaldinho en 2000 alors qu'il était à Gremio au Brésil, et les Nerazzurri voulaient l'associer au fameux Ronaldo. Il fut un temps où le marché brésilien était le terrain de chasse de l'Inter. Talent, génie et plaisir, si vous possédiez ces caractéristiques vous trouveriez une place dans l'équipe de notre Massimo Moratti. Le président de l'Inter a toujours été comme ça. Esthète du football s'il y en a un, le geste presque avant tout. Et où pêcher sinon au Brésil? Nous sommes en 2000, au milieu de la talentueuse Inter Morattiana et aussi du Brésil. Dans le sillage de Ronaldo Il Fenomeno, les météores Gilberto et Vampeta arrivent sous le maillot Nerazzurri. Mais à Porto Alegre, il y a un autre phénomène qui impressionne le monde: Ronaldo de Assis Moreira, alias Ronaldinho. Comme pour toute l'Europe, le talent du jeune Brésilien ne passe pas inaperçu même à Appiano Gentile: "Un autre Ronaldo, pourquoi ne formons-nous pas ce duo?". L'idée folle trouve un terrain fertile dans la tête du président Moratti. L'entrée commence, essayons. Le directeur technique d'Inter ne perd pas de temps et part pour le Mexique. Oui, pas au Brésil. Pour comprendre la faisabilité de l'opération, vous devez vous rendre à Guadalajara. Roberto de Assis Moreira, le frère aîné de Ronaldinho, y joue. L'offre de l'Inter est convaincante, tout comme celle de nombreux autres clubs européens. La file d'attente est longue derrière Ronaldinho et Gremio est bien conscient que ce n'est qu'une question de temps. C'est au joueur de décider mais pour l'Inter il y a un problème et son nom est Luis Nazario de Lima. De ce qui semblait être un point fort, cela devient un problème. Ronaldinho qui vole en Europe veut être traité comme une star et à l'Inter avec Il Fenomino, c'est impossible. Vous ne changez pas de nom et ne devenez pas Ronaldinho pour tout le monde, par hasard. Il voulait à juste titre se démarquer et le faire avec le même maillot semblait impossible. L'Inter attend un mois avant la réponse définitive: "Merci, mais allons à Paris". Le rêve de Moratti s'éteint. Il a fallu quelques mois pour le rallumer avec un autre Brésilien: Adriano Leite Ribeiro.
  21. Dans son édition américaine, le Magazine FourFourTwo a établi le classement des 10 sponsorisations les plus iconiques dans le monde eu Football. En première place de ce classement, on retrouve l’historique partenariat signé en 1995 entre l’Inter et la marque Pirelli, qui, si elle est destinée à s’éteindre à la fin de cette saison, restera immortelle aux yeux des sportifs. Motivation Pirelli et l’Inter forment un couple inséparable depuis 1995, une vie dans le monde du football. Durant cette période, l’Inter a remporté beaucoup de championnats et une Ligue des Champions. Des joueurs tels que Paul Ince, Javier Zanetti, Francesco Toldo, Wesley Sneijder, Adriano et Romelu Lukaku ont représenté les deux institutions jusqu’à présent. Mais Pirelli ne se distingue pas uniquement par sa longévité. L’esthétique est également l’une des principales raison de sa présence dans la légende de la sponsorisation des maillots. Les iconiques rayures noires et bleues ont été délicieusement associées à un Logo propre, élégant, et immédiatement reconnaissable aussi longtemps que notre mémoire peut nous le permettre. Nous nous souviendrons tous de ce "P" allongé avec les autres caractères plus petit qui s’abritent en dessous. Presque toujours de coloris blanc sur le maillot, il s'est également prêté aux changements occasionnels de couleurs : En Noir, en Bleu, même en dorée lorsque les modèles dominants exigeaient une adaptation. Pirelli vient de conclure son contrat avec l’Inter, qui est à la recherche d’un nouveau partenaire. Espérons juste que l’avidité ne lui apporte pas, entre ses mains, une marque peu attrayante. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  22. L’ancien attaquant des Nerazzurri, Julio Cruz, incitéLautaro Martinez à consacrer son avenir à long terme à l’Inter. El Toro est à mi-chemin de sa troisième saison avec les Nerazzurri, après avoir été fortement lié à un transfert à Barcelone l'été dernier. L'Inter prévoit de finaliser un nouveau contrat pour le joueur de 23 ans avant la fin du mois de février. Interrogé dans une interview avec PassioneInter.com s'il conseillait à Lautaro de rester à l'Inter, Cruz a déclaré : "Je le recommanderais, oui." "Il prendra ses propres décisions, mais l'Inter est une excellente équipe. Quand vous gagnez quelque chose avec l’Inter, c’est une double joie, car vous le faites dans une ville fantastique comme Milan, avec l’une des plus belles tifoseria de toutes, qui vous soutient même lorsque les choses vont mal. J'espère et je conseille à Lautaro de rester longtemps à l'Inter." "Maintenant, il a prouvé qu'il était fort. Ce sera évidemment à lui de décider de son avenir." Cruz a également abordé les comparaisons qui ont été faites entre Romelu Lukaku, partenaire de frappe de l’Inter, et l’un des anciens coéquipiers d’El Jardinero, Adriano, qui a fêté hier son 39e anniversaire. "Physiquement, ils sont pareils", a soutenu Cruz. "Adriano était une bête et je le revois en Lukaku. Ils marquent tous les deux beaucoup de buts. Lukaku est l'actuel Adriano , mais le passé est le passé et aujourd'hui Lukaku prouve qu'il est lui aussi très fort. Lukaku et Lautaro ont combiné pour marquer pas moins de 35 buts cette saison, marquant trois buts lors de la victoire 3-1 de l’Inter contre la Lazio le week-end dernier. L'Inter ayant toujours 16 matchs à jouer, une deuxième campagne consécutive avec un total de 50 buts reste une possibilité. L'ancien attaquant du Torino, Francesco Graziani, pense que Lukaku a aidé Lautaro à devenir un meilleur joueur. ®Oxyred – Internazionale.fr
  23. Notre ancien attaquant, Adriano, a répondu aux questions de fans et a discuté de ses expériences avec les Nerazzurri dans une interview parue sur YouTube. Son surnom, Empereur. "J'ai été surpris quand ils ont commencé à m'appeler ainsi, je ne savais même pas que cela me concernait. Le leader des fans est venu me voir après un match et m'a dit qu'à partir de là, je m'appellerais ainsi. J'étais très heureux parce que je n'ai jamais pensé que dans ma carrière quiconque m'appellerait Empereur. Mais Dieu m'a béni avec ça surnom." Un retour à la normale difficile. "C'est toujours difficile de ne plus jouer, malheureusement j'ai eu deux opérations sur mon tendon d'Achille et cela m'a posé beaucoup de problèmes. A mon âge ça compte un peu. J'ai arrêté de jouer avec mes amis, même si ce n'est pas facile. Malheureusement, j'ai dû m'arrêter car l'opération me dérangeait beaucoup. En effet, je suis grand, donc c'est difficile de se remettre d'une opération comme ça, deux fois et de recommencer à jouer comme avant. Avec beaucoup de tristesse, j'ai arrêté. Même aujourd'hui, jouer au football me manque encore. La bonne humeur des supporters brésiliens, du Flamengo et même de l'Inter, donc c'était un choix très difficile." Conseils aux jeunes qui commencent. "Je n'ai jamais abandonné dans les moments difficiles, ce n'est pas facile d'être footballeur. Beaucoup de gens le pensent, mais cela demande beaucoup de travail, il y a des obstacles à surmonter et il faut avoir la tête bien remplie pour ne jamais abandonner et continuer à poursuivre son objectif. Quiconque veut vraiment devenir footballeur les traverse, mais dans le football il y a des bons et des mauvais moments, il faut de la conscience et beaucoup de force pour ne jamais abandonner." Ses émotions en tant que joueur. "Voir la joie de ma famille n'a pas de prix. Pouvoir le transmettre aux fans est très gratifiant. Ensuite, la fierté d'atteindre vos objectifs, cela n'a pas de prix." Son passage à Sao Paulo. "J'ai vraiment aimé jouer là-bas, je me souviens que c'était en 2006-2007 (le 16 Novembre 2007 et deal finalisé le 19 Décembre 2007, ndlr) et j'étais avec l'Inter, et j'y suis allé en prêt. Ce fut court mais merveilleux. Nous n’avons pas pu gagner les Libertadores parce que nous avons perdu contre Fluminense (en quart de final, 1-0 et 1-3, ndlr). Mais c’était une expérience très importante pour ma vie et ma carrière. A l'époque où j'avais perdu mon père, venir à Sao Paulo m'a permis de reprendre ma carrière." Sur l'Inter. "Signer à l'Inter était comme un rêve pour moi, je regardais toujours les matchs à la télé. C'était un sentiment terrible d'avoir la chance de signer avec l'Inter. Lors de mon premier match, j'ai réussi à marquer sur un coup franc contre le Real Madrid et c'était très important pour moi. J'ai vraiment réalisé un grand rêve en jouant pour un club comme l'Inter. Je me suis battu si dur pour cela et Dieu m'a donné l'opportunité de rejoindre cette famille." Sur la mort de son père. "La plus grande perte a été la mort de mon père. Quand je jouais, je pouvais toujours compter sur son soutien. Mais depuis sa mort j'ai ressenti une grande tristesse, un grand vide. Mais la vie est comme ça, elle t'apporte des choses difficiles à comprendre, à vivre, et pour moi la perte de mon père était comme ça, la plus grande difficulté."
  24. Dans une interview sur la chaîne YouTube officielle de l'Inter dans le cadre de la série "Inter Classics", notre ancien légendaire attaquant Adriano a évoqué la victoire 2-1 de l'Inter sur le Milan, en février 2009. "J'ai mis une tête dans ce match, ma main m'a un peu aidé mais je ne l'ai pas fait exprès. C'était très important et excitant de jouer dans le match le plus important de la ville. Personnellement, j'ai abordé ce match nerveusement car je savais que j'allais affronter de grands adversaires, de grands rivaux. Marquer un but dans le derby est une chose impressionnante." Il y avait beaucoup de brésiliens présents sur le terrain pour les deux équipes et Adriano parle notamment de son ancien coéquipier Maicon : "C'était sympa car on se moquait de ceux qui avaient perdu. Nous avons discuté de ce match au téléphone, c'était une belle chose. Maicon m'a fait de nombreuses passes décisives, on se connaissait bien car on a joué en équipe nationale ensemble, avec lui c'était facile." Son meilleur but parmi ses 74 inscrits sous nos couleurs : "Le meilleur que j'ai marqué était contre le Real Madrid. Ce match a été important pour ma carrière car il m'a fait connaître. Seedorf a dit à Materazzi de me laisser tirer ce coup franc et ce fut une surprise pour moi, mais Dieu merci tout s'est bien passé et j'ai marqué un joli but." En conclusion, Adriano, qui a également joué pour Flamengo et Parme, a remercié nos fans pour le soutien qu'ils lui ont montré pendant qu'il était chez nous : "Je remercie les fans de m'avoir fait Empereur. Je les remercie pour le bon temps car l'Inter a toujours été ma deuxième maison et c'est toujours le cas aujourd'hui. J'ai mis fin à mon aventure car ma tête n'était pas à l'endroit après la mort de mon père. Je suis parti non pas parce que je ne voulais plus jouer pour l'Inter mais pour cette affaire personnelle. Je tiens à m'en excuser auprès des fans et à les remercier car ils m'ont bien traité même dans les moments difficiles, j'espère revenir un jour pour vous voir tous." ®alex_j - internazionale.fr
  25. Le Vice-Président de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr, Javier Zanetti, s’est livré à cœur ouvert sur Instagram sur sa carrière à l’Inter. Que pensez-vous de l’équipe nationale d’Argentine ? "L’équipe nationale actuelle est en phase de transition. Il y a de bons et jeunes joueurs qui sont entrain de grandir. Elle a un bon futur, il faudra leur accorder de la confiance. Il y a de la qualité, de la personnalité, elle peut faire du bon boulot." "Il faut du temps pour créer une équipe. Avec les grands joueurs, ce sera possible d'en former une grande." Messi ? "Il a débuté dans mon équipe nationale, mais je pouvais voir qu’il était différent. A tout moment, il pouvait être capable d’inventer le geste qui allait débloquer la partie. Les statistiques parlent pour Leo, c’est un joueur avec qui il est bon de jouer, et moins bon de l'affronter." "Il me rappelle Ronaldo il Fenomeno, ce sont des joueurs qui ont d’autres types de qualités et qui savent élever le niveau de l’équipe, c’était un plaisir d’avoir pu jouer avec les deux." L’attaquant le plus fort que vous avez affronté ? "Il y en a tellement, j’ai eu de la chance, ... je dirais Zidane, Kakà, Cristiano Ronaldo, Messi, Henry. Ils étaient tous difficiles à marquer vu leurs caractéristiques." Le plus beau but que vous avez vu ? "J’ai eu la chance de voir le but de Ronaldo en Finale de la Coupe de l’Uefa contre la Lazio, c’était une grande nuit et y être était si beau. La façon dont il avait terminé l’action était merveilleuse." "Ronaldo était extraordinaire, il était déjà terrible à Barcelone et il vivait sa meilleure période. C’était une révolution pour tout ceux qui aimaient le football en Italie." La meilleure passe décisive que vous avez vu ? "Dans un match de Ligue des Champions face à Valence, j’avais centré de loin vers Adriano qui allait marquer de la tête. Adriano avait un potentiel énorme, il m’avait impressionné dès son premier match amical au Bernabeu." "Il restait deux minutes, un coup-franc pour nous : Il avait envoyé un missile pour un but retentissant dans la lucarne. Heureusement que je n’étais pas dans le mur, il m’aurait détruit. Il avait une grande puissance physique, il était très habile et très fort de la tête, c’était un grand attaquant." Le meilleur moment de votre carrière ? "La nuit de Madrid et pas uniquement pour la victoire de la Ligue des Champions, mais j’ai eu le privilège d’être le Capitaine qui allait soulever un titre qui manquait à l’Inter depuis 45 années. Il y a ensuite mon 700ème match avec l’Inter, ce fut une nuit inoubliable pour nous tous, le couronnement d’un rêve". "Nous sommes les seuls en Italie à avoir réalisé ce Triplé." Mourinho? "C’est un grand entraîneur, avec une grande personnalité et de grandes capacités, il ne laissait jamais rien au hasard, il s’occupait des moindres détails et était toujours sur le qui-vive. C’était un grand motivateur, cette équipe avait de grands joueurs et de grands hommes et avec lui, nous avons vécu deux saisons fantastiques." Quand un entraîneur arrive, c’est au Capitaine de parler… "La saison avec Mancini était terminée, j’étais à l’aéroport de Rome. Le téléphone sonna, un numéro portugais s'y affichait. C’était Mourinho qui s’excusait pour son italien, mais qui le parlait parfaitement. Il me disait avoir tout juste signé et qu’il était impatient de travailler avec nous ; il me disait que j’étais SON capitaine, c’était impressionnant. Lorsque la conversation fut terminée, j’ai dit à mon épouse que c’était Mourinho, je n’y croyais pas, cela explique sa Classe." Le saut de Banfield à l’Inter... "J’étais surpris à ce moment-là. Après deux championnats à Banfield arrive l’Inter, c’était un si grand changement. Dans ma tête, je savais que je jouais dans une bonne équipe en Argentine et que j’allais devoir faire le saut en Europe. Ce fut très beau, mais je devais être préparé à chaque moment." "Ce fut une grande opportunité, même si j’avais des responsabilités. Jouer dans une équipe comme l’Inter, dans le championnat italien…L’Inter avait recruté Ince, Roberto Carlos... Je m’étais dit : "tu y vas et tu joues tes propres cartes". Dès mes premiers instants en Italie, j’ai ressenti que l’Inter était un club avec une Histoire et avec des valeurs similaires aux miennes." "L’Inter est une famille, c’est la première sensation que j’ai ressenti. Pour un étranger, arriver dans un pays inconnu est compliqué, mais j’ai fait ma carrière, changé mes habitudes, j’ai grandi dans une grande culture du travail." "Ensuite je suis devenu Capitano. Imaginez, je l’ai été pour Ronaldo, Vieri, Baggio, Ibra et aussi Messi en Argentine, c’était une si belle expérience, c’est ce qui m’a marqué, ce chemin que j’ai parcouru." "Tu peux gagner ou perdre, mais la carrière qui se construit est ce qu’il y a de plus important pour un joueur. Moratti avait vu une vidéo du football en Argentine pour visionner Ortega. Mais il avait dit qu’il aimait bien ce numéro 4." "Les premiers contacts ont eu lieu avec Ottavio Bianchi qui me demandait comment je voulais jouer dans un 3-5-2, je me suis mis à droite et Carlos gauche. Lors de mes 10 premières années, je n’ai remporté que la Coupe de l’UEFA, mais je me suis toujours dit que notre moment allait arriver. Si tu t’entraînes avec sérieux, tu es toujours récompensé. Les premières années servent à construire qui tu deviens ensuite." Être Capitaine ? "Cela ne m’a pas changé d’être avec le brassard et mes équipiers m’ont toujours respecté pour cela. J’ai toujours voulu être un exemple avec mes comportements : j’ai toujours été moi-même. C’était un honneur d’avoir le respect de tous, cela m’a énormément aidé." "Même les brésiliens se sont bien comportés et cela a permis à l’Inter de gagner des titres, les joueurs sud-américain plaise énormément à l’Inter, elle y est très présente. Elle est internationale, tous sont les bienvenus." Un conseil pour un jeune latéral droit ? "C’est un rôle très important. Face à des équipes qui se regroupent, la première arme est l’ailier. Tu dois avant tout penser à marquer ton joueur, ensuite tu dois être capable d’attaquer et à être la solution. L’ailier peut devenir déterminant." "En 2010, il y avait Maicon et moi j’étais au milieu, il attaquait et je le couvrais. Pour nous il était fondamental, c’était un attaquant à la Roberto Carlos. Ces ailiers sont des options extrêmement importantes pour l’attaque. Je disais à Maicon de monter tranquillement, que j’étais la pour le couvrir, c’était une arme fatale pour nous." Pourquoi être devenu dirigeant et pas entraîneur ? "Il faut ressentir ce besoin d’entraîner. Lorsque j’ai songé à prendre ma retraite, je pensais plus à apporter ma contribution comme dirigeant. Quand l’Inter m’a annoncé que j’aillais devenir son Vice-Président, j’ai ressenti cette responsabilité et j’ai du m’y préparer." "On ne peut pas prétendre à être doué à ce poste uniquement sur la base de ce que l’on a démontré sur le terrain. J’ai ouvert un nouveau chapitre, tout repris à zéro, je me suis inscrit à la Bocconi (ndrl : une université privée spécialisé dans les sciences économiques) en "Finance et Marketing". "Je suis le Vice-Président de la partie sportive, je ne voulais pas être une figurine. Un club comme l’Inter doit valoriser sa marque à l’Internationale, mais pas que. Je participes à des projets sociaux, de marketing, de relations internationales." "Je veux travailler en équipe. Lorsque l’on me propose un projet, je compose l’équipe avec qui il est utile de s’entraider. Ce sont des nouvelles choses à découvrir outre la partie sportive. Lorsque je jouais, je pensais à m’entraîner et à jouer, mais l’équipe qui joue sur le terrain a besoin d’une autre équipe qui soit derrière elle." Les émotions ressenties lors du dernier match... "C’était fantastique, il y a deux jours, cela faisait 6 ans. C’était une très grande émotion car tout le stade était venu me saluer. Voir des enfants avec le 4 sur le visage, tant de familles qui ne voulaient pas me perdre et qui m’ont fait me souvenir de toutes ces années à l’Inter." "J’aurais voulu tous les embrasser. A la sortie du stade, tous m’attendaient, je les porterais toujours dans mon cœur. Mon lien avec les supporter de l'Inter sera toujours le plus fort pour moi, c’était comme ça depuis le début. C’était toute suite une union très forte entre nous, c’est pour cela que j’ai toujours décidé de rester." Vos objets de l’Inter... "J’ai le ballon de la Finale de Madrid signé par tous mes équipiers et mon brassard de Capitaine. Ensuite, j’ai la Coupe du Monde des Clubs, je l’ai fait faire car c’est un moment auquel je tiens. Lorsque je vais au musée et que je vois mes choses, cela me rappelle qu’une partie de mon histoire est intimement lié à l’Inter." Votre tête lorsque vous avez soulevé la Ligue des Champions... "Ce n’étais pas la mienne, c’était une très grande fierté, Soulever ce titre était unique, Historique." Roberto Carlos ? "Ce fut une année fantastique avec lui, c’est une grande personne. Nous étions tout les deux si jeunes, nous devions grandir. Nous serons toujours amis, même si ce ne fut qu’une seule année, c’était si intense." La Fondation Pupi "J’ai toujours voulu offrir la possibilité aux jeunes argentins d’avoir un futur meilleur. J’ai connu des situations compliquées, j’ai donc décidé avec Paula de créer la Fondation. Après 5 heures de discussion, nous avons décidé de lancer la machine, c’était un projet pour les familles et nous en sommes très fier." "Les garçons sont heureux et souriants. J’ai eu la chance de jouer à l’Inter et j’ai beaucoup de responsabilités sociales. Je ne suis pas seulement un dirigeant qui observe, mais j’analyse à 360° là où il m’est possible d’être utile sur le terrain." Un message pour les Tifosi ? "Un énorme baiser à tous les tifosi de l’Inter et aux italiens. N'abdiquez jamais, il nous manque que très peu de temps avant de revenir à la normalité. J’espère vous revoir très vite au stade, je vous embrasse tous." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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