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Szymon Marciniak arbitrera la Finale de la Ligue des Champions
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Communiqué officiel de l'AFP: L'arbitre polonais Szymon Marciniak, désigné pour la finale de la Ligue des Champions le 10 juin, a présenté ses excuses vendredi après une polémique sur sa participation à un congrès organisé par l'extrême droite dans son pays, remontée jusqu'à l'UEFA. "Après réflexion et une enquête plus approfondie, il s'est avéré que j'ai été gravement induit en erreur et que j'ignorais totalement la véritable nature et les affiliations de l'événement", écrit M. Marciniak dans une déclaration communiquée par l'UEFA. L'arbitre a exprimé ses "plus sincères excuses" pour avoir participé lundi à un congrès organisé à Katowice par Slawomir Mentzen, un leader d'extrême droite qui avait déclaré en 2019 ne pas vouloir "de Juifs, d'homosexuels, d'avortement, de taxes et d'Union européenne". "Je ne savais pas que (cet événement) était associé à un mouvement d'extrême droite polonais. Si je l'avais su, j'aurais catégoriquement décliné l'invitation. Les valeurs promues par ce mouvement sont totalement contraires à mes convictions personnelles et aux principes que je m'efforce de défendre dans ma vie", poursuit Szymon Marciniak. L'UEFA, alertée jeudi par l'association de lutte contre le racisme et l'antisémitisme Nigdy Wiecej ("Plus jamais") et qui avait déclaré prendre l'affaire "très au sérieux", a donc confirmé la désignation du Polonais pour arbitrer Manchester City-Inter Milan, le 10 juin à Istanbul. L'instance européenne "prend acte" des "profondes excuses et de la clarification" de Szymon Marciniak et affirme avoir contacté Nigdy Wiecej, qui "a demandé" le maintien de l'arbitre en estimant que son éviction "nuirait à la promotion de la lutte contre les discriminations". L'UEFA, elle même critiquée lors de l'Euro-2020 pour avoir refusé que la ville de Munich illumine son stade d'arc-en-ciel pour dénoncer les lois homophobes hongroises à l'occasion d'Allemagne-Hongrie, rappelle son propre engagement contre "la haine, la discrimination et l'intolérance". En Pologne, plusieurs voix s'étaient également élevées en faveur de Szymon Marciniak, qui avait arbitré en décembre la finale de la Coupe du Monde, remportée par l'Argentine. "C'est le meilleur arbitre au monde, respectant chaque personne et veillant à ce respect sur le terrain et dans la vie. On ne peut pas le juger sur la base d'un seul et injuste avis", a déclaré sur Twitter le Premier Ministre Mateusz Morawiecki. Vendredi matin, la Fédération polonaise de football (PZPN) avait déclaré "qu'après avoir parlé avec l'arbitre et examiné les preuves recueillies", elle rejetait "toutes les accusations" envers cet arbitre. "Il ressort (...) qu'il ne connaît pas Slawomir Mentzen et n'a jamais parlé avec lui", a avancé PZPN. ®AFP- 3 commentaires
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AFP-LESOIR.BE - C'est l'information de la journée Super League: l’UEFA remporte une bataille judiciaire devant la Cour de justice européenne: En effet, La Cour de justice européenne a estimé que l’instance européenne a tout à fait le droit de sanctionner les clubs qui participent au projet de Super League. "L’avocat général de la Cour de justice européenne a estimé jeudi que l’UEFA était dans son droit lorsqu’elle a menacé de sanctionner les clubs à l’initiative du projet de Super League qui avait failli faire imploser le foot européen en 2021 : Les règles de la FIFA et de l’UEFA soumettant toute nouvelle compétition à une autorisation préalable sont compatibles avec le droit de la concurrence de l’Union", a estimé l’avocat général Athanasios Rantos. Si la décision de la CJUE n’est pas attendue avant début 2023, les conclusions de l’avocat général sont fréquemment suivies par les juges. Dans un tweet, l’UEFA dit saluer "chaleureusement des conclusions sans équivoque rendues aujourd’hui recommandant une décision de la CJUE en faveur de notre mission essentielle de diriger le football européen, de protéger son système pyramidal et de développer le football en Europe". La question posée à la CJUE est de savoir si l’UEFA, qui régule le foot européen tout en organisant la Ligue des Champions, l’Europa League et la Conference League, abuse de sa position dominante en voulant sanctionner les clubs mutins à l’initiative de ce tournoi privé et semi-fermé. Derrière cette question, apparemment technique, se joue non seulement l’avenir du football de clubs sur le Vieux Continent, mais plus largement la possibilité pour les instances sportives de protéger leurs compétitions, bien au-delà du ballon rond. Le specte de la Super League toujours bien là Pour l’avocat général Athanasios Rantos, l’UEFA était pleinement dans son droit: "Les règles de la concurrence de l’Union n’interdisent pas à la FIFA, à l’UEFA, à leurs fédérations membres ou à leurs ligues nationales de proférer des menaces de sanctions à l’encontre des clubs affiliés auxdites fédérations lorsque ces derniers participent à un projet de création d’une nouvelle compétition qui risquerait de porter atteinte aux objectifs légitimes poursuivis par ces fédérations dont ils sont membres" a-t-il encore estimé. Ce projet de Super League, une compétition privée lancée par douze grands clubs européens, avait été dévoilé en fanfare en avril 2021. Mais face à la fureur de nombreux supporters et à la menace de mesures politiques, l’affaire avait capoté en 48 heures. Neuf des douze clubs mutins, notamment les puissants clubs anglais, ont fait amende honorable, mais le Real Madrid, le FC Barcelone et la Juventus Turin continuent d’entretenir la flamme. Mais le spectre d’un tournoi privé a resurgi mi-octobre avec le lancement d’une structure baptisée A22 Sports Management, qui assure vouloir ouvrir "un dialogue" sur l’avenir du football européen de clubs en rencontrant chacun de ses acteurs. ®AFP-LESOIR.BE
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Via Twitter l'Inter a officiellement exprimé ses sincères coléances aux victimes de la tragédie de Malang. Au moins 174 personnes (bilan revu à la baisse, 125 morts, ndlr) sont mortes dans le drame qui a eu lieu Samedi soir dans la ville de Malang, à l'est de l'île de Java, en Indonésie. Les supporters de l'Arema FC sont entrés sur le terrain du stade Kanjuruhan de Malang City après la défaite 3-2 contre Persebaya Surabaya et ont provoqué la panique, avec des dizaines de personnes piétinées et tuées. À travers un tweet , l'Inter a exprimé ses condoléances pour ce qui s'est passé : "Nos plus sincères condoléances pour la tragédie du stade Kanjuruhan, Malan." Voici les détails relatés par Euronews L'Indonésie s'est réveillée dimanche endeuillée par l'une des pires tragédies jamais survenues dans un stade. 125 personnes sont mortes dans un mouvement de foule quand des milliers de fans ont envahi un terrain de football et ont été aspergés de gaz lacrymogène. Un précédent bilan des autorités faisait état de 174 personnes tuées. Le drame, qui s'est déroulé samedi soir dans la ville de Malang, à l'est de l'île de Java, a aussi fait plus d'une centaine de blessés dans cet archipel d'Asie du Sud-Est où les rivalités entre supporters virent souvent à la catastrophe. Des fans de l'équipe locale du Arema FC ont pénétré sur le terrain du stade Kanjuruhan, dans la ville de Malang, après la défaite de leur équipe 3 à 2 contre celle de Persebaya Surabaya. C'était la première fois en plus de vingt ans que l'Arema FC perdait face à sa grande rivale de la ville voisine de Surabaya. La police, qui a qualifié cet incident d'"émeutes", a tenté de persuader les fans de regagner les gradins et a tiré des gaz lacrymogènes après la mort de deux policiers. De nombreuses victimes ont été piétinées mortellement. Des survivants ont décrit des spectateurs pris de panique, bloqués par la foule, quand la police a lancé des gaz lacrymogènes. Des images capturées à l'intérieur du stade montrent une énorme quantité de gaz lacrymogène et des personnes s'agrippant aux barrières, tentant de s'échapper. D'autres portaient des spectateurs blessés, se frayant un chemin à travers le chaos. "Des policiers ont projeté du gaz lacrymogène, et les gens se sont aussitôt précipités pour sortir en se poussant les uns les autres et ça a provoqué beaucoup de victimes", a indiqué à l'AFP Doni, un spectateur de 43 ans, qui n'a pas voulu donner son nom de famille. "Il n'y avait rien, pas d'émeutes. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, il sont soudainement envoyé du gaz lacrymogène", a-t-il déclaré. "Ce qui m'a choqué c'est qu'ils ont pas pensé aux femmes et aux enfants ?" Interrogé par l'AFP, Sam Gilang, un survivant, qui a perdu trois amis, écrasés par la foule, a évoqué un incident "terrifiant, absolument choquant". "Les gens se poussaient (...) et beaucoup ont été piétinés en allant vers la sortie. Mes yeux brûlaient à cause des gaz lacrymogènes. Heureusement, j'ai réussi à grimper sur une clôture et j'ai survécu." Le président indonésien Joko Widodo a ordonné dimanche "une évaluation complète des matchs de football et des procédures de sécurité", après cet incident. Il a demandé à l'Association nationale du football de suspendre tous les matchs jusqu'à des "amélioration de la sécurité". "Je regrette profondément cette tragédie et espère que cette tragédie liée au football sera la dernière dans notre pas", a-t-il déclaré dans un discours télévisé. Le directeur d'un hôpital a indiqué sur une chaîne de télévision locale qu'une des victimes n'avait que cinq ans. Le stade contenait 42 000 personnes et était au complet selon les autorités. Quelque 3 000 d'entre eux ont envahi le terrain en signe de colère après le match. Un spectacle désolant devant le stade témoignait dimanche matin des agitations de la veille: des véhicules calcinés, dont un camion de police, jonchaient les rues. La police a fait été de 13 véhicules brûlés. Le gouvernement indonésien a présenté ses excuses pour cet incident. "Nous sommes désolés pour cet incident (...) C'est un incident regrettable qui blesse notre football à un moment où les supporters peuvent assister à un match dans un stade" après une longue interruption pendant la pandémie de Covid-19, a déclaré le ministre indonésien des Sports et de la Jeunesse Zainudin Amali à la chaîne Kompas. Mea culpa aussi du côté de l'Association de Football d'Indonésie (PSSI), qui a suspendu tous les matchs prévus cette semaine. "Nous sommes désolés et nous présentons nos excuses aux familles des victimes et à toutes les parties pour cet incident", a dit le président de PSSI, Mochamad Iriawan. La violence des supporters est un problème en Indonésie, où les rivalités de longue date se sont transformées en affrontements mortels. Certains matches - le plus important étant derby entre Persija Jakarta et Persib Bandung - sont si tendus que les joueurs des équipes de haut niveau doivent s'y rendre sous haute protection. Les fans de Persebaya Surabaya n'avaient pas été autorités à acheter des billets pour le match, de crainte d'incidents. Le secrétaire général de l'Association nationale de football PSSI, Yunus Yussi, a indiqué avoir communiqué avec la FIFA sur cet incident dramatique et espère éviter des sanctions de l'organe international. Il a expliqué que la police avait utilisé des gaz lacrymogènes à l'intérieur du stade car "elle devait prendre des mesures pour empêcher" les fans d'envahir le terrain au cours d'une conférence de presse. Le chef de la Confédération asiatique du football, a exprimé ses regrets face aux pertes humaines. "Je suis profondément choqué et attristé d'apprendre des nouvelles aussi tragiques venant d'Indonésie, un pays où l'on aime le football", a déclaré Salman bin Ebrahim Al Khalifa dans un communiqué. L'Indonésie doit accueillir l'an prochain la Coupe du Monde U-20 dans plusieurs stades du pays, mais celui de Malang n'en fait pas partie. En 1989, un mouvement de foule au stade de Hillsborough en Grande-Bretagne avait causé la mort de 97 fans de Liverpool et en 2012, le stade de Port Said en Egypte avait connu une autre tragédie avec 74 morts. In 1964, 320 personnes sont mortes et plus d'un millier a été blessé dans un mouvement de foule au stade national de Lima au cours d'un match de qualification entre le Pérou et l'Argentine. Traduction alex_j via FCInterNews, Euronews et AFP.
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Francetvinfo - Le géant mondial de l'équipement sportif a annoncé mardi avoir pris cette décision en raison de l'invasion de l'Ukraine par la Russie: "Adidas suspend avec effet immédiat son partenariat avec la Fédération russe de football", a déclaré mardi 1er mars un porte-parole de l'entreprise. "La veille, l'UEFA avait rompu son contrat avec le géant russe de l'énergie Gazprom, estimé à 40 millions d'euros par an et qui couvrait la Ligue des Champions, les compétitions internationales organisées par l'instance du football européen ainsi que l'Euro 2024. Le club allemand de Schalke 04 avait fait de même avec le même sponsor. C'est donc un nouveau coup porté au football russe, après la décision de la FIFA d'exclure l'équipe nationale du Mondial 2022, organisé au Qatar en fin d'année." "Les contrats des sponsors et équipementiers sont aussi mis à mal dans d'autres sports : le fabricant de vélos LOOK a décidé de mettre fin à son partenariat, entamé en début d'année, avec l'équipe russe Gazprom-RusVelo, membre de l'UCI Pro Team, deuxième division du cyclisme sur route masculin. Les ruptures de contrats de sponsoring, mais aussi les mesures de bannissement des sportifs russes et d'annulation de compétitions se multiplient dans de nombreux sports depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, jeudi dernier." Le Saviez-vous ? "Les équipes russes et bélarusses ont été exclues des épreuves cyclistes, a annoncé mardi la fédération internationale (UCI), qui a notamment retiré son statut UCI à l'équipe professionnelle Gazprom/RusVelo. Les équipes nationales et/ou sélections nationales russes et bélarusses ne sont pas autorisées à participer, avec effet immédiat, à toutes épreuves du Calendrier International UCI" et le statut d'équipe UCI, indispensable pour participer aux épreuves, a été retiré à six équipes professionnelles dont Gazprom/RusVelo, selon le communiqué de l'organisation." ®Francetvinfo
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AFP: l'Atalanta Bergame passe sous pavillon américain
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
France Télévisions - L'Atalanta Bergame a annoncé, samedi 19 février, que le capital du club passait majoritairement entre les mains d'un groupe d'investisseurs mené par l'Américain Stephen Pagliuca, co-proprétaire de l'équipe de NBA des Boston Celtics et co-président du fonds américain Bain Capital. La famille Percassi, propriétaire actuel du club italien de football, va conserver 45% des parts et Antonio Percassi et Luca Percassi resteront président et administrateur délégué, a précisé la "Dea" dans un communiqué en italien. Stephen Pagliuca, à la tête du groupe d'investisseurs qui va acquérir 55% du club, va être pour sa part nommé co-président. Huit clubs italiens aux mains d'investisseurs nord-américains Cette arrivée s'inscrit dans un mouvement de fonds d'investissement nord-américains dans le football italien, considéré comme un secteur en retard en matière de niveau de droits TV et de développement des stades selon les experts. Près de la moitié des vingt clubs de la Serie A battent désormais pavillon nord-américain avec, outre l'Atalanta, la Roma, l'AC Milan, la Fiorentina, Venise, La Spezia et le Genoa, racheté cet automne par le fonds 777 Partners. Bologne appartient de son côté à un propriétaire canadien. L'Atalanta Bergame, longtemps considéré comme un club de second plan, s'est particulièrement développée depuis quelques années en se hissant régulièrement dans le Top 4 du championnat, ce qui lui a permis de disputer la lucrative Ligue des champions ces trois dernières saisons. ®AFP- 5 commentaires
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AFP: Romelu Lukaku, la carte maîtresse devenue problème N.1 pour Chelsea
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Il devait être le fer de lance, il est devenu une épine dans la pied. Attendu comme la pièce manquante qui devait l'aider à jouer le titre, Chelsea se débat entre méforme, blessure et déclarations intempestives de son attaquant Romelu Lukaku. "Ce sont les joueurs qui sont au service de l'équipe, et non pas dix joueurs au service d'un seul". La déclaration péremptoire de Thomas Tuchel, lundi, à la veille du match à Brighton (1-1), a donné la mesure de la crispation qui entoure le Belge, arrivé pour 115 millions d'euros de l'Inter Milan cet été. Tout le monde s'attendait à voir le colosse enchaîner les buts et les Blues rivaliser avec le tenant du titre, Manchester City, qui avait échoué à recruter Harry Kane et entamait la saison sans véritable avant-centre. Mais après 23 matches joués par les Blues, dont 15 avec le Belge, les rêves de titres se sont envolés et Lukaku n'a que 5 buts à son compteur, moins que Mason Mount (7) ou Jorginho (6), qui tire les pénalties, et que quatre milieux de City. Jusqu'à mi-octobre, pourtant, tout allait plutôt bien. Malaise persistant Chelsea était en tête du championnat et si le rendement du Belge n'était pas celui espéré pour un joueur rompu à la Premier League après avoir joué à Chelsea une première fois, Everton et Manchester United, une période d'adaptation à ses coéquipiers et au rôle confié par son nouveau coach allemand, restait compréhensible. Cela s'est compliqué avec une blessure en sélection mi-octobre, puis une contamination au Covid qui l'ont privé d'une demi-douzaine de matches. Et alors que son retour semblait positif, avec 2 buts et une passe décisive en deux rencontres, une interview à Sky Sport Italia est venue mettre le feu aux poudres. "Je ne suis pas heureux de la situation" à Chelsea était la phrase qui avait retenu l'attention, même s'il avait immédiatement ajouté "mais je suis quelqu'un de travailleur et je ne dois pas abandonner. J'ai toujours dit que je portais l'Inter dans mon coeur, je vais y retourner, je l'espère vraiment", avait-il aussi lâché, au sujet d'un club pourtant bien content de le vendre pour renflouer ses caisses. Les excuses du joueur n'ont pas dissipé le malaise créé par cet entretien réalisée trois semaines plus tôt, mais publiée juste avant un match contre Liverpool (2-2), alors que Chelsea faiblissait dans la course au titre. Lukaku sait qu'il n'aura droit à aucun traitement de faveur. "Bienvenue dans la réalité" "Bienvenue dans la réalité. Nous sommes sous les projecteurs et nous sommes jugés au quotidien, c'est comme ça, quand on est un joueur décisif", a encore tranché Tuchel vendredi, alors que se profile, dimanche (17h30), un match contre Tottenham qui se fait pressant dans le sillage de Chelsea. Il n'y aura aucune adaptation du 3-4-2-1 de Tuchel pour se rapprocher du 3-5-2 d'Antonio Conte à l'Inter avec lequel Lukaku avec marqué 64 buts en 95 matches. Seul en pointe, alors qu'il a expliqué en octobre sur le site de l'UEFA qu'il "détestait jouer en pivot", Lukaku peut beaucoup moins prendre le ballon sur le côté et face au but pour partir à l'assaut des cages adverses en se recentrant, comme il le faisait en Italie. Le fait qu'il ait aussi rarement été associé aux deux mêmes joueurs sur les côtés n'a pas aidé à créer les automatismes, alors que le niveau de performance inégal d'Hakim Ziyech, Timo Werner ou Christian Pulisic, devrait servir de circonstance atténuante. Avec une telle frustration réciproque (le club qui n'en a pas pour son argent, le joueur qui n'est pas utilisé comme il le souhaite) l'expression "bombe à retardement" utilisée par l'ancien joueur Jamie Carragher dans sa chronique dans The Telegraph, vendredi, ne semble pas exagérée et le temps presse pour la désamorcer si Chelsea ne veut pas voir toutes ses ambitions voler en éclat ®AFP- 12 commentaires
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L’Inter privée de ses sud-américains ce week-end ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
En effet, le Corriere Della Sera est revenu sur le fiasco entourant l’affiche tant attendue entre le Brésil et l’Argentine, qui a été interrompue, suite à des violations des règles anti-covid. En tout premier lieu, voici les informations retrancrites par l’AFP dans Libération "A peine cinq minutes après le coup d’envoi de Brésil-Argentine à São Paulo, des représentants de l’agence sanitaire brésilienne Anvisa et de la police fédérale sont entrés sur le terrain… et ont mis fin à la rencontre. La raison de leur courroux : la présence sur le terrain de trois des quatre joueurs argentins évoluant en Angleterre, durement touchée par le Covid, et accusés de violer les protocoles anti-Covid. La Fifa a confirmé dans un communiqué que cette rencontre des qualifications pour le Mondial 2022 avait été "suspendue sur décision de l’arbitre", sans préciser si elle sera reportée ou non à une date ultérieure." "Les Argentins ont pourtant tenté de parlementer, mais ils ont fini par regagner le vestiaire, où ils sont restés pendant plus de trois heures, avant de finalement quitter le stade, une heure après la délégation brésilienne. Les joueurs de l’Albiceleste sont ensuite rentrés à Buenos Aires peu après minuit. "Ça fait trois jours qu’on est ici, pourquoi [les agents de l’Anvisa] ne sont-ils pas venus avant ?" avait auparavant demandé sur le terrain Lionel Messi, aux côtés de Neymar et des sélectionneurs des deux équipes, dans une vidéo de la chaîne argentine TyC." "Fausses informations" des joueurs argentins Selon l’agence sanitaire, Giovanni Lo Celso (Tottenham), Emiliano Martinez (Aston Villa), Emiliano Buendia (Aston Villa) et Cristian Romero (Tottenham) auraient omis de signaler qu’ils avaient séjourné au Royaume-Uni lors des quatorze derniers jours précédant leur arrivée. "A aucun moment nous n’avons été informés que (les quatre joueurs) ne pourraient pas jouer le match. Nous voulions jouer, et les Brésiliens aussi", a assuré le sélectionneur argentin Lionel Scaloni. Quelques heures avant le coup d’envoi, l’Anvisa avait pourtant annoncé dans un communiqué avoir recommandé aux autorités locales de l’Etat de São Paulo que les quatre footballeurs soient «placés immédiatement en quarantaine» pour avoir fourni de "fausses informations" dans le formulaire d’entrée au Brésil. Le président de la fédération argentine de football a pour sa part nié tout «mensonge» de la part des joueurs. Le communiqué de l’Anvisa faisait état d’un "risque sanitaire grave», interdisant aux joueurs de «prendre part à toute activité et de demeurer sur le territoire brésilien". Malgré cette décision, trois des quatre joueurs en question (Lo Celso, Martinez et Romero) avaient été alignés dans le onze de l’Albiceleste et avaient commencé le match. Episode lamentable Une ordonnance ministérielle datant du 23 juin interdit l’entrée sur le territoire brésilien à toute personne étrangère venue du Royaume-Uni, d’Inde ou d’Afrique du Sud, pour éviter la propagation de variants du Covid-19. Le Brésil est le deuxième pays au monde le plus endeuillé par le Covid-19, avec plus de 580 000 morts." Place au Corriere Della Sera : "L’Inter a des joueurs sud-américains dans son noyau, et les dernières rencontres internationales se tiendront à quelques heures de la reprise du championnat qui aura lieu ce week-end. En effet, le charter décollera de Buenos Aires après Argentine-Bolivie dans le courant de la nuit italienne allant de jeudi à vendredi, à son bord, on retrouvera 17 joueurs italiens. A 17h, la première escale aura lieu à Madrid, les italiens sont attendu à 20h. "Quelques heures plus tard, ils devraient tous être sur le terrain pour les matchs de championnat, pour autant que leurs entraîneurs décident de les lancer (croisons les doigts). C'est la dernière folie du football à l'heure du Covid : Pour récupérer quelques journées de qualifications pour la Coupe du Monde, la FIFA a placé trois matchs pour chaque équipe nationale dans cette fenêtre internationale et aussi dans la suivante, début octobre." "L'Inter attend quatre Sud-Américains : en plus de Lautaro et Correa, il y a Vidal et Vecino. Les Nerazzurri concernés, pour faire face à la Samp, auront une nuit supplémentaire pour récupérer du décalage horaire." Explications d'un "Marouane Fellaini" Réaction de la FIFA à Reuters La FIFA a déclaré avoir reçu des rapports d'officiels de match: "Les informations seront analysées par les organes disciplinaires compétents et une décision sera prise en temps voulu", a déclaré l'instance dirigeante du football mondial dans un communiqué." La Fédération argentine de football a déclaré que la FIFA avait donné aux deux associations nationales six jours pour exposer leur position. Situation difficile Gianni Infantino, dans une allocution vidéo à l'assemblée générale de l'Association européenne des clubs, a déclaré que la situation rappelait les difficultés rencontrées pendant la pandémie. "Nous avons vu ce qui s'est passé avec le match entre le Brésil et l'Argentine, deux des équipes les plus glorieuses d'Amérique du Sud", a déclaré Infantino. "Certains officiels, la police, les responsables de la sécurité sont entrés sur le terrain après quelques minutes de jeu pour emmener certains joueurs - c'est fou mais nous devons faire face à ces défis, ces problèmes qui viennent s'ajouter à la crise du COVID." Alejandro Martinez, frère d'Emiliano, a déclaré que les joueurs devaient s'envoler d'Argentine vers la Croatie, qui est un pays de la liste verte du Royaume-Uni, plus tard dans la journée de lundi afin d'éviter la quarantaine obligatoire de 10 jours dans un hôtel lors du retour au Royaume-Uni d'un pays de la liste rouge: "Ils se rendront en Croatie pour y faire leur quarantaine, puis iront en Angleterre", a déclaré Alejandro à la station de radio La Oral Deportiva. "C'était la condition fixée par Aston Villa". La Fédération argentine de football (AFA) a déclaré que Martinez et Buendia avaient été libérés de l'équipe nationale, ce qui signifie qu'ils ne prendront pas part au match de qualification de jeudi à domicile contre la Bolivie. L'AFA a ensuite libéré les deux joueurs des Spurs, Lo Celso et Romero, en déclarant qu'"ils ne sont pas concernés par le match contre la Bolivie et peuvent retourner dans leur club". Le site Internet Football.london a déclaré que les deux joueurs des Spurs pourraient recevoir des amendes à leur retour en Angleterre, car ils ont fait le voyage sans l'autorisation de leur club. Villa et Tottenham se sont refusés à tout commentaire. Réactions de Gianni Infantino à Italpress : "Nous avons besoin de la compréhension des clubs : nous savons que nous ne pouvons pas rendre tout le monde heureux - Il est important de protéger à la fois les clubs et les équipes nationales, le football est un tout et nous devons essayer de trouver le bon équilibre. Nous devons faire quelque chose pour protéger la santé des joueurs et pour cela repenser le calendrier international. Nous avons besoin de la bonne volonté de tous, pour nous il n'y a pas de sujets tabous et la porte de la FIFA est toujours ouverte à toute proposition. Pour un football plus fort, nous avons besoin de l'aide de tous. En mars dernier, nous avons reporté les matches de qualification pour la Coupe du monde en Amérique du Sud à un moment crucial de la saison, afin de permettre aux joueurs de se reposer et de rester dans leur club." "Mais ces qualifications doivent être jouées et j'ai demandé à tout le monde, clubs, fédérations et gouvernements, de faire preuve de solidarité, de ne pas faire de discrimination, il s'agit aussi de soulager les pays qui souffrent et ne voient leurs meilleurs joueurs en action que lorsqu'ils sont en équipe nationale. Nous devons protéger la Coupe du monde, les qualifications et trouver le bon compromis, également en vue des fenêtres d'octobre et de novembre, pour surmonter cette situation particulière - a ajouté Infantino - Nous avons besoin de la compréhension des clubs : nous savons que nous ne pouvons pas rendre tout le monde heureux mais nous devons essayer de nous comprendre". Pensez-vous que Simone Inzaghi alignera son armada sud-américaine, après ce fiasco, ce dimanche à 12h30 ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr -
Officiel: l'UEFA a proposé de reporter l'Euro 2020 à 2021
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
AFP - L'UEFA a proposé mardi de repousser d'un an l'Euro de football 2020. La décision doit maintenant être formellement adoptée par le Comité exécutif, qui se réuni dans l'après-midi. La décision semble désormais inéluctable. L'Union des associations européennes de football (UEFA), a proposé mardi de repousser l'Euro de football prévu en juin-juillet à l'été 2021, en raison de la pandémie du coronavirus, a appris l'AFP d'une source proche de l'UEFA. Si cette proposition présentée mardi matin lors d'une réunion avec les clubs et les ligues professionnelles, est adoptée par le Comité exécutif de l'instance européenne cet l'après-midi, le tournoi devrait être reprogrammé du 11 juin au 11 juillet 2021. Le 16e championnat d'Europe des nations devait initialement se dérouler du vendredi 12 juin au dimanche 12 juillet, dans 12 villes et autant pays du continent, afin de célébrer les 60 ans de la compétition. Ont été retenues le 19 septembre 2014 Amsterdam (Pays-Bas), Bilbao (Espagne), Bakou (Azerbaïdjan), Bucarest (Roumanie), Budapest (Hongrie), Copenhague (Danemark), Dublin (Irlande), Glasgow (Écosse), Londres (Angleterre), Munich (Allemagne), Rome (Italie) et Saint-Pétersbourg (Russie). Lors du tirage au sort de la phase finale effectué le 30 novembre 2019 à Bucarest, l'équipe de France a été placée dans le groupe F, en compagnie de l'Allemagne, du Portugal et d'un adversaire qui reste à déterminer - les barrages devaient avoir lieu fin mars. Les Bleus doivent débuter face à la Mannschaft à Munich et disputer leur deux derniers matches à Budapest. ®Gregory Fortune et AFP -
L’Inter pleure la disparition de Kobe Bryant
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Le monde du Sport a été frappé par la disparition soudaine et inattendue de Kobe Bryant, Légende de la NBA, qui est décédé des suites d’un accident d’hélicoptère, ce dimanche vers 10h, heure locale à Calabassas, en Californie. L’Inter a salué la Légende : “Tu as été une source d'inspiration constante, peu importe le sport. Ta perte est irremplaçable. Peu importe les frontières, le drapeau, ou le type de ballon. Ton enseignement vivra pour toujours." Romelu Lukaku, tout comme Neymar à Paris, tous pleurent la Star. Si l’attaquant brésilien semblait heureux lors de la première mi-temps face à Lille. Sa mine sera tout autre lors de son but en seconde période avec un symbolique 24…. Lukaku, lui s’est livré sur les réseaux sociaux: "Cet homme était ma plus grande idole sportive. Ton éthique du travail, ta mentalité m’ont inspiré tellement de choses, cela m’a permis de comprendre ce qu’il fallait pour devenir professionnel. Tu étais entrain d’ouvrir un nouveau chapitre de ta vie et il a été dévasté. Je t’aime tant. Toi, le plus grand." Voici ce que nous révèle le site belge 7sur7.be Scott Daehlin a été le premier à contacter les autorités au sujet de l’accident d’hélicoptère qui a coûté la vie à Kobe Bryant, sa fille de 13 ans et sept autres personnes. L’homme a expliqué qu’il se dirigeait vers sa camionnette pour prendre une paire d’écouteurs avant une répétition musicale dans une église de Calabasas quand il a entendu l’hélicoptère. “Il était 9h41", a raconté l’homme de 61 ans à People. Il évoque les nuages bien plus bas que la normale. “Un homme qui vit ici depuis 17 ans a dit qu’il n’avait jamais vu un brouillard et des nuages bas aussi épais.” Scott entendait l’hélicoptère mais ne le voyait pas. Selon lui, il prévoyait d’atterrir. “Tout à coup, j’ai entendu un impact et le plexiglas se rompre. Les hélices de l’hélicoptère se sont immédiatement arrêtées. C’était fini en un quart de seconde. C’est juste devenu silencieux.” “Personne n’a pu voir l’accident” Pour le témoin du crash, le problème n’était pas au niveau du moteur mais au niveau de la “visibilité”. Un autre habitant de Calabasas dit avoir été surpris en entendant l’hélicoptère. “Il était très bas. Il devait être à une trentaine de mètres au-dessus de notre toit, vu la façon dont la maison tremblait. Cinq minutes plus tard, j’ai entendu qu’un hélicoptère s’était écrasé puis j’ai commencé à entendre des sirènes. Je n’avais jamais vu un brouillard pareil. Si quelqu’un dit qu’il a vu l’accident, il ment. Personne ne pouvait rien voir, il y avait trop de brouillard.” L'accident d’hélicoptère a fait neuf victimes : qui étaient-elles? Neuf personnes au total sont mortes dans l'accident d'hélicoptère qui a coûté la vie au basketteur Kobe Bryant et à sa fille Gianna, survenu dimanche à Calabasas dans le sud de la Californie, a annoncé le shérif du comté de Los Angeles. "Il n'y a pas eu de survivant... Il y avait neuf personnes à bord de l'appareil, le pilote et huit personnes", a déclaré le shérif, Alex Villanueva, lors d'un point de presse. L'hélicoptère s'est écrasé par temps brumeux au nord-ouest de Los Angeles. Selon les autorités locales, les pompiers ont reçu un appel peu avant 9h37 au sujet de l'accident, qui a provoqué un feu de broussailles sur une colline. L'Orange Coast College, établissement universitaire situé dans le comté d'Orange, a indiqué que son entraîneur de baseball, John Altobelli, 56 ans, se trouvait à bord de l'hélicoptère. Selon CNN, son épouse Keri et l'une de leurs deux filles, Alyssa, étaient également à bord de l'appareil. Alyssa était une coéquipière de Gianna. Elle avait une sœur, Alexis, et un frère, J.J. John, connu sous le nom de Coach Alto, un “mentor pour ses joueurs, jouant souvent un rôle clé dans le positionnement des étudiants pour l’obtention de leur bourse”. Christina Mauser, entraîneuse de basket-ball féminin de la Harbor Day School dans le comté d’Orange, a été identifiée comme faisant partie des victimes. Son mari, Matt Mauser, a confirmé la nouvelle sur Facebook. “Mes enfants et moi sommes dévastés. Nous avons perdu notre femme et notre mère aujourd’hui dans un accident d’hélicoptère. Veuillez respecter notre vie privée. Merci pour tous les vœux qui nous ont été adressés.” Les noms des autres victimes ne seront dévoilés par les autorités qu'une fois les corps formellement identifiés et les familles prévenues, a déclaré M. Villanueva. "Il serait extrêmement irrespectueux qu'ils apprennent par TMZ que leur être cher a péri", a-t-il argué, se référant au site web d'actualités sur les célébrités qui a annoncé le premier la tragédie. Le NTSB, l'agence américaine chargée de la sécurité dans les transports, a annoncé avoir dépêché une équipe de 18 personnes en Californie pour participer à l'enquête sur l'accident. "Notre équipe examinera l'historique du pilote et de l'équipage à bord", a déclaré Jennifer Homendy, du NTSB. "Nous examinerons les dossiers d'entretien de l'hélicoptère. Nous examinerons les dossiers du propriétaire et de l'exploitant de l'hélicoptère et un certain nombre d'autres choses", a-t-elle poursuivi. Selon elle, l'appareil était un Sikorsky S-76B dont la boîte noire devra être récupérée par les enquêteurs. RIP Champion! ®7sur7.be, Afp- 6 commentaires
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Voici la dêpeche de l'AFP parue ce mardi 17 décembre: "La Ligue italienne de football a annoncé lundi plusieurs mesures visant à lutter contre le racisme, mais le message a été brouillé par l'utilisation d'une peinture représentant trois singes, qui a suscité l'incompréhension de l'AS Rome ou de l'association anti-discriminations FARE." "L'AS Rome est très surprise de voir aujourd'hui sur les réseaux sociaux des singes peints sur des tableaux dans ce qui semble être une campagne de lutte contre le racisme lancée par la Serie A. Nous savons que la Ligue veut combattre le racisme, mais nous ne croyons pas que cela soit le bon moyen de le faire", a écrit le club de la capitale sur Twitter. Plus tôt dans la journée, l'administrateur délégué de la Lega Serie A Luigi De Servio avait présenté un plan de lutte contre le racisme, qui prévoit notamment la signature d'une charte par chacun des 20 clubs de Serie A, qui ont tous choisi un joueur devant les représenter dans ce combat contre le racisme. Mais le message de la Ligue a été parasité par la présentation d'un tableau de l'artiste italien Simone Fugazzotto, qui doit être exposé au siège de l'instance à Milan. Il s'agit d'un triptyque représentant trois singes en gros plan, le visage marqué de traits de couleur. Selon la Ligue, l'oeuvre "a pour objectif de défendre les valeurs d'intégration, de multi-culturalisme et de fraternité." "Avec ce triptyque, j'ai essayé de raconter que nous sommes des créatures complexes et passionnantes, que nous pouvons êtres tristes ou heureux, catholiques, musulmans ou bouddhistes, mais que au fond, ce qui détermine ce que nous sommes, ce sont nos actions et pas la couleur de notre peau", a de son côté déclaré l'artiste. Mais alors que les stades italiens sont le théâtre d'incidents racistes récurrents, notamment des cris de singe à l'adresse de joueurs noirs, le message a été mal perçu par plusieurs observateurs. L'association FARE, qui lutte contre les discriminations, a ainsi parlé de "mauvaise blague." : "Une fois de plus, le football italien laisse le monde sans voix. Dans un pays où les autorités restent incapables semaine après semaine de s'occuper du racisme, la Serie A lance une campagne qui ressemble à une mauvaise blague", a écrit le groupe sur Twitter. Réaction de l'Inter "Il n'existe aucune bonne excuse pour être raciste, il n'y a pas de place pour le racisme dans le Calcio. Nous sommes des frères universellement unis, telle est notre façon de combattre toute forme de discrimination #BUU #BrothersUniversallyUnited #NoToDiscrimination #FCIM”. Rock Nation Sport monte au créneau Suite à la gaffe de la Lega Calcio sur sa campagne contre le Raciste, Michael Yormark, l'Administrateur-Délégué de Roc Nation Sport, qui représente lesd intérêts de Romelu Lukaku est monté au créneau "J'ai eu une conversation avec l'Administrateur-Délégué de la Lega Calcio. Il m'a contacté et je lui ai répété que tout ce qui a été fait est pour tous inapproprié et insensible. Les excuses sont déjà un pas vers la bonne direction. A présent, nous versons quel sera leur plan de travail pour voir s'il sont vraiment sérieux."
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AFP - Le dossier milanais a été présenté le 9 novembre et une réunion des experts du FPF sur le sujet est prévue vendredi en Suisse. Mais selon la Gazzetta dello Sport, qui évoque sans plus de détails "plusieurs sources", "l' UEFA va dire non." Si l'"accord volontaire" était effectivement refusé, Milan devrait en passer, comme d’autres clubs avant lui, par un "accord de règlement" prévoyant des sanctions immédiates (amende, recrutement encadré, limitation des inscrits sur les listes européennes…) et un plan plus rigide de retour à l’équilibre. Des dettes, toujours plus de dettes Avec des pertes cumulées de 255 millions d’euros sur les trois dernières saisons, le Milan est en effet très loin de respecter les critères du FPF, qui fixent à 30 millions d’euros le déficit maximum autorisé sur trois ans. Les quelque 200 millions d’euros investis cet été sur le mercato risquent aussi de peser sur les comptes, d’autant que les résultats sportifs sont décevants avec une 8e place en Serie A, qui rend très improbable une qualification pour la lucrative Ligue des champions. Mais selon la Gazzetta et le Corriere dello Sport, c’est surtout le niveau d’endettement du club qui a le plus inquiété les experts du FPF. Le nouveau propriétaire chinois du club, Li Yonghong, a en effet emprunté plus de 300 millions d’euros à taux élevés au fonds américain Elliott pour pouvoir boucler l’achat du club. Et le remboursement est prévu avant octobre 2018. Selon la presse italienne, les dirigeants du club s’activent pour trouver un moyen de rééchelonner cette dette. "Le Milan s'est toujours dit prêt à regarder l'autre face de la médaille, à savoir l'accord de réglement", a écrit en réaction le club lombard sur son site internet. ®AFP