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C'est la révélation de Milano Finanza: "Digitalbits a connu des jours de profond changements. La société de crypto-monnaies, actuel Main Sponsor de l'Inter, a nommé un nouveau PDG pour remplacer un Al Burgio démissionnaire: Daniele Mensi!" Son tout premier objectif ? "Rétablir les relations avec l'Inter, qui cherche un nouveau partenaire, car Digitalbits n'a jamais, jusqu'à ce jour, versé le moindre paiements prévus pour la saison 2022-2023. A présent, les rênes de la Blockchain sont entre les mains de la DigitalBits Foundation, dont le Directeur Général est Daniele Mensi." "En discontinuité avec la gestion précédente, une tentative sera faite pour recomposer la situation avec le litige existant car même si les responsabilités économiques sont entre les mains de Zytara, le préjudice d'image incombe se répercute aussi sur cette nouvelle gestion de la DigitalBits et c'est pourquoi il est envisageable que des solutions de conciliation soient recherchées avec l'Inter dans les semaines à venir." "Il en va de même pour la Roma qui avait lié son sponsoring à DigitalBits via des projets numériques qui n'avaient pas encore vu le jour. Et il y a quelques jours, le club des Giallorossi est devenu le premier club au monde à lancer la possibilité d'utiliser le portefeuille de crypto-monnaies de Digitalbits pour payer le merchandising avec une ristourne de 10 %." "L'avenir de la société dirigée par Mensi va se reposer sur deux secteurs d'activité: Le premier sera l'augmentation du nombre de marchands autorisant le paiement par l'intermédiaire de Digitalbits. Le second sera la conclusion d'accords avec des marques, comme celui conclu avec Roma. Aujourd'hui, la possibilité de paiement est limitée aux magasins physiques, mais il est clair que l'objectif sera d'étendre ce potentiel aux sites de di-ecommerce ou à la billetterie." Pensez-vous qu'il sera possible de rétablir un rapport de confiance ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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C’est, en effet, la révélation de la Gazzetta Dello Sport : "La thématique du Main Sponsor reste prioritaire à la Casa Inter : L’Aire Corporate s’attèle au travail pour trouver un remplaçant à DigitalBits qui, jusqu’à ce jour, n’a pas encore versé le moindre centime en regard à sa sponsorisation reprise sur les maillots de l’équipe-première cette saison." "L’Inter, pour l’heure, a pris la décision de ne pas retirer la marque de la Blockchain appartenant à Al Burgio et il est plus que probable que celle-ci restera présente jusqu’au terme de la saison….Sauf si les négociations avec le nouveau sponsor parviennent à se clôturer dans les plus brefs délais et que la nouvelle marque exige une exposition immédiate sur les maillots." Une Azienda du milieu touristique "Il n’y pas encore d’accord définitif mais le nouveau sponsor se trouverait au Moyen-Orient, entre les Emirats et l’Arabie Saoudite : La marque "Inter" y est connu et il y a de très bonnes possibilité pour parvenir à un accord: Un nouveau partenariat, pour la saison à venir serait une excellente nouvelle en termes de résultat financier." "Il se dit que la sponsorisation s’élèverait à hauteur de 20 millions d’euros par an, une somme à laquelle il faut ajouter les 10 millions d’euros par saison perçu par EBay et par LeoVegas.new, qui sont respectivement Sponsor de manche du maillot Nerazzurro et sponsor des tenues d’entrainements des Nerazzurri." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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La problématique Digitalbits
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Plusieurs options sont sur la table pour l’Inter qui est au travail pour trouver LA solution, suite au non-paiement depuis des mois, de Digitalbits en sa qualité de Main Sponsor. Voici les options mises sur la table selon la Gazzetta dello Sport "La première qui est de de loin la préférée, serait de remplacer le sponsor principal actuel par une nouvelle marque prête à payer le même montant ou avec une somme légèrement inférieur à ce qui avait été convenu avec la DigitalBits, d’Al Burgio. La deuxième est de retirer le nom de DigitalBits du maillot et de laisser l'emplacement vide. La troisième est de le remplacer par un logo caritatif. Comme le FC Barcelone qui, en 2006, avait conclu un partenariat avec l'Unicef, obtenant, de la sorte un écho mondial. La quatrième est de poursuivre avec DigitalBits jusqu'à la fin de la saison dans l'espoir, très mince, d'obtenir au moins une partie des 24 millions convenus pour 2022-23." "Jusqu'à présent, le club Nerazzurro n'a pas perçu un seul euro et n'a même pas reçu les 1,6 millions convenus comme prime pour la saison 2021-22. A noter que l’Inter a, par contre, perçu les 5 millions d’euros pour le sponsoring de la manche gauche du maillot de match." Ce qui se dit du côté de l’Inter "Décider ne sera pas facile, et il est clair qu’une décision serait déjà tombée avec une société prête à remplacer immédiatement DigitalBits. On sait toutefois qu’à la Viale Della Liberazione, que des négociations sont officiellement en cours depuis un certain temps, mais qu'aucune n'est sur le point d'aboutir en ce moment. Et en attendant de voir si Zhang recevra un... Cadeau de Noël sous la forme d’un sponsor qui pourrait s’avérer fondamental pour le bilan à venir, le Management évalue les hypothèses. Et bien sûr, ils gardent à l'esprit la perspective négative que Standard and Poor's Global Ratings a placée sur l'obligation émise par Inter Media and Communication Spa pour les trois prochains mois à venir." "Vu la situation de l'économie mondiale et en particulier du "Mercato pour dénicher un sponsor", trouver un nouveau partenariat d'un certain haut niveau n'est en aucun cas facile, mais l’Inter tente néanmoins de parvenir à un accord, même avec des chiffres inférieurs, du moins pour la saison 2022-23, que ceux convenus avec DigitalBits. Si une nouvelle marque est trouvée, une lettre de résiliation pour rupture de contrat sera envoyée à la société californienne et il y aura un remplacement immédiat de la marque sur les maillots de match de l’équipe première. Si la "surprise de Noël" du nouveau sponsor ne se concrétise pas, les hypothèses les plus probables à l'heure actuelle sont de laisser l'espace du sponsor principal vide en équipe-première ou de conserver DigitalBits. Une solution ultime qui poserait moins de problèmes, vu le nombre de maillots étant déjà imprimés et en vente dans le monde entier. Quelle que soit la façon dont on l'envisage, la décision ne sera pas facile à prendre." Le maillot flocké de Digitalbits devient, finalement et qu’il s’agisse du Home, de l’Away ou du Third, un Collector ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr-
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Comme nous le savons, notre principal sponsor a fait défaut sur ses paiements. DigitalBits est notre "partenaire cryptographique officiel", mais les différents journaux italiens ont indiqué que l'entreprise n'avait pas honoré une part des paiements. Cela nous a conduit à supprimer DigitalBits de ses sites Web et applications. L'Inter a également supprimé la marque DigitalBits des tableaux de bord et des panneaux publicitaires du San Siro. Les premières rumeurs concernant des problèmes dans la relation sont apparues en juin lorsqu'il a été signalé que DigitalBits n'avait pas effectué de paiement pour la première fois. La Gazzetta dello Sport a rapporté que DigitalBits enregistrait des pertes après que son token XDB soit passé de 0,85 USD en novembre à 0,027 USD le 1er août, soit une baisse de près de 97 %. Il y a deux semaines, DigitalBits repoussa les demandes de commentaires en affirmant que tous les problèmes financiers sont gérés par son propriétaire, Zytara. Mais il y a déjà un an, il y avait déjà de sérieuses questions sur DigitalBits/Zytara lorsque InsightX a fourni à l'un de ses clients des renseignements et une diligence raisonnable sur l'entreprise. À l'époque, le football s’approchait du pic de la frénésie crypto/NFT. Voici le rapport de InsightX disponible sur son site web le 4 Aout 2022. De plus, le 16 Avril 2022, le Mail on Sunday indiqué sur son site que David Beckham et Dgitalbits étaient dans une tourmente juridico-financière. Une série de problèmes Leur rapport a mis en évidence une série de problèmes majeurs avec Zytara, sa gouvernance, son éthique, ses finances et les antécédents de son fondateur, Al Burgio. Alors que Zytara en tant que marque est relativement jeune, n'apparaissant sur les documents d'enregistrement des sociétés aux États-Unis qu'en 2019, ses origines remontent plus loin avec Burgio, son fondateur et PDG, ayant été étroitement impliqué dans la mise en place et le développement de la blockchain. Il promeut DigitalBits ou XDB depuis le début. Burgio était associé à un grand nombre d'entités corporatives, dont beaucoup avaient des liens avec Zytara. InsightX a mis en évidence plusieurs problèmes importants, notamment : Des interrogations sur son éthique compte tenu des partenariats avec un chanteur controversé et le boxeur, Floyd Mayweather ; Des doutes sur la structure de gouvernance de la marque ; Points d'interrogation sur les antécédents financiers de Burgio ; plus précisément, les multiples poursuites judiciaires auxquelles il a été confronté pour des dettes impayées ; Préoccupations concernant le nombre d'entreprises de Burgio qui ont été radiées des registres des sociétés pour non-respect des lois de l'État et d'autres lois. Au moment de leur rapport, Zytara/DigitalBits et les sociétés associées n'avaient pas de structure de gouvernance claire, seul Burgio étant répertorié comme dirigeant important (ceci est vérifiable en cherchant sur le net, ndlr). On disait que l'écosystème XDB/DigitalBits relevait de la responsabilité d'une fondation, mais la propriété de la marque était cachée dans un réseau d'entreprises aux États-Unis, elles-mêmes contrôlées en fin de compte par une multitude de sociétés écrans aux îles Caïmans, un paradis fiscal offshore. Problème aux Caïmans En 2020, l'une de ces sociétés, Fusechain Ltd, a été poursuivie par le gouvernement des îles Caïmans pour non-paiement du loyer de ses bureaux à George Town. Par ailleurs, trois sociétés associées à Zytara et constituées aux îles Caïmans avaient déjà été radiées par les autorités de régulation en 2019. Il n'y avait pas qu’aux îles Caïmans où les entreprises de Burgio étaient en difficulté. Une série d'entités associées aux États-Unis ont été suspendues, liquidées ou confisquées au Nevada, en Californie et dans le Delaware entre 2005 et 2019. Au total, 11 sociétés associées à Burgio et Zytrara ont été radiées, dont au moins deux ont été dissoutes ou en souffrance depuis plus de non-paiement des impôts sur les sociétés (là encore, on peut vérifier cela en cherchant sur le net, ndlr). En septembre 2021, Alessandro Antonello, aux côtés de Burgio, a déclaré aux journalistes que le club était "fier d'accueillir Zytara comme nouveau partenaire mondial". Antonello ne savait peut-être pas que l'homme à qui il venait de serrer la main avait été poursuivi en 2016 pour rupture de contrat par un cabinet d'avocats qui l'avait représenté lorsqu'il était poursuivi par une société de crédit hypothécaire en Californie pour des dettes impayées. InsightX a fourni à ses clients des renseignements sur un grand nombre d'entités de cryptographie, de NFT et de jeu depuis juin 2020. Le cas de Zytara n'est en aucun cas unique dans un secteur qui regorge de startups et d'entreprises arrivant comme un cheveu sur la soupe, dont beaucoup semblent faire des promesses basées sur un peu plus que l'espoir que les crypto-monnaies continueraient d'augmenter en valeur. Mais cette bulle a éclaté cet été et le soi-disant "hiver crypto" a déjà secoué bon nombre de ces opérateurs et d'autres suivront. Révélations du Mail on Sunday Le 16 Avril 2022, le Mail on Sunday révèle que David Beckham a fait la promotion d'une entreprise technologique impliquée dans un différend concernant des allégations selon lesquelles ses patrons auraient escroqué des investisseurs pour financer des propriétés somptueuses, des vacances de luxe et des accords de parrainage. En effet, les patrons de DigitalBits sont accusés d'avoir détourné de l'argent pour financer des voyages de luxe et des offres sportives. Une action en justice intentée à New York affirme qu'un investisseur de DigitalBits, Mark Dorrell, a été "personnellement escroqué d'au moins 160 millions de dollars par ses fondateurs, qui ont conservé son argent et ses jetons et les ont utilisés pour s'enrichir injustement." Le procès ajoute: "Ces actes ont permis aux auteurs de vivre des styles de vie extravagants et somptueux en voyageant à travers le monde, en vivant et en travaillant entre New York et Palm Beach, en Floride, à Rome et à Dubaï, et en achetant des maisons de vacances aux îles Caïmans. Malgré leur extravagance, les fonds qu'ils ont collectés à tort ont été suffisants pour réaliser des projets promotionnels massifs, comme la signature par l'une de leurs sociétés d'un contrat de 36 millions de dollars en tant que sponsor principal de l'équipe de football italienne, l'AS Roma." Rien n'indique que Beckham ou d'autres ambassadeurs célèbres aient connaissance d'actes répréhensibles. Les finances de Beckham sont à l'honneur depuis qu'il a vendu une participation majoritaire dans sa société de gestion de marque DB Ventures à Authentic Brands plus tôt cette année, devenant ainsi actionnaire d'Authentic Brands. Mais il a vu des investissements dans des entreprises cotées en bourse au Royaume-Uni subir une vente brutale. Il a assisté au somptueux mariage de son fils Brooklyn avec Nicola Peltz, fille de l'investisseur activiste milliardaire Nelson Peltz. DigitalBits fabrique une technologie qui permet aux gens d'échanger des crypto-monnaies ou des illustrations numériques connues sous le nom de NFT, ou jetons non fongibles. Le procès allègue que les parrainages ont été conçus simplement pour augmenter le prix de la crypto-monnaie DigitalBits, alors que la technologie n'existe pas comme le prétend la société. Le procès a été intenté contre le fondateur de DigitalBits, Al Burgio, un entrepreneur en série qui est maintenant directeur général de la société de technologie financière Zytara. La plainte a également été déposée contre la fondation DigitalBits, Zytara, le cabinet de conseil GDA Capital et son co-fondateur Michael Gord. Le prix de la crypto-monnaie a fortement chuté par rapport au dollar au cours du mois dernier. Adam Ford, avocat chez Ford O'Brien, qui représente les investisseurs, a déclaré: "Je suis surpris que M. Beckham ait annoncé son implication dans un projet qui cache toujours son prétendu logiciel à la vue du public. Mes clients pensent que toute compensation qu'il a reçue leur revient de droit et nous cherchons comment la récupérer." Il est entendu que cinq autres investisseurs et anciens employés sont sur le point de poursuivre DigitalBits pour un total de 110 millions de dollars. Annonçant son rôle au sein de l'entreprise, Beckham a déclaré: "J'ai toujours été fier de travailler avec les meilleures équipes et je suis tellement excité de travailler sur mes collections NFT et sur d'autres innovations à l'avenir." Le directeur de DigitalBits, Daniele Mensi, a déclaré: "La Fondation DigitalBits n'a mené aucune affaire avec le plaignant qui fait les allégations. La fondation prévoit de défendre vigoureusement le procès" et a déclaré qu'elle était convaincue que les réclamations seraient finalement jugées sans fondement. Conclusion Bien qu'il soit toujours facile d'être avisé après les événements, les signes avant-coureurs de DigitalBits / Zytara étaient là avant que l'Inter ne signe son accord avec la marque, soulignant une fois de plus l'importance pour tous les titulaires de droits de s'assurer qu'une diligence raisonnable complète est commandée à un fournisseur spécialisé avant de signer. Traduction alex_j via InsightX et The Mail on Sunday.
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Le chant du Cygne pour DigitalBits ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, le Corriere Della Sera et Calcio&Finanza se sont penchés sur la situation toujours plus préoccupante, qui lie l’Inter mais aussi la Roma, à DigitalBits: Pour le Corriere Della Sera "Le sponsor DigitalBits apparait toujours sur le maillot de l’Inter à une semaine de la reprise du championnat, ou du moins sur ceux de la bande à Lukaku. Car sur ceux des équipes féminines et de la Primavera, il a été retiré. De plus, la marque de crypto-monnaies de l'entrepreneur Al Burgio et de sa société Zytara Inc, basée dans le Wyoming mais dont le siège est aux Caïmans, a pris le concept de "monnaie virtuelle" un peu trop au pied de la lettre : L'argent prévu pour le sponsoring principal sur le maillot n'est pas au rendez-vous, et il faut voir si, dans cette année noire pour les monnaies numériques sur les marchés boursiers (-79%), il sera visible un jour." "Pour l’Inter et, dans une seconde phase aussi pour la Roma qui dispose d’un accord qui est moitié moins important que celui du triennal Nerazzurro, mais auquel il faut ajouter 5 millions d’euros prévus à fonds de garantie, le problème est extrêmement grave et l’inquiétude grandi même si les deux écuries ne laissent rien paraitre: L’Inter et DigitalBits sont évidemment dans une phase délicate de négociation pour résoudre le problème, mais la route risque d'être trop étroite, précisément à cause du manque d’argent , et peut donc également conduire à un litige juridique et par conséquent à la recherche d’ un accord avec un nouveau sponsor, le tout après la longue association avec un partenaire historique comme le fut Pirelli et l'expérience réussie avec Socios.com pour vingt millions pour une saison, puis remplacé par l'accord plus pratique, mais à ce stade, plus risqué et malheureux avec DigitalBits." "La thématique des maillots griffé Nike déjà en vente, avec le sponsor "en retard" imprimé sur la poitrine et qui est diffusé surtout tous les panneaux publicitaires n'est pas secondaire : le lancement du second kit de maillot est d’ailleurs reporté au mois de septembre et s'il n’y a pas de date pour parvenir à une solution ou à une résolution, comme aurait pu l’être le premier match de championnat, il n'y a pas non plus trop de temps à perdre". -35% dans les lattes pour Calcio&Finanza "L'effondrement de la valeur de XDB, la crypto-monnaie de DigitalBits, se poursuit : Ce lundi, celle-ci avait encore perdu 35 % de sa valeur sur les marchés comparé à la veille et pointait à 0,0102 USD, pour se rapprocher dangereusement de son plus bas niveau historique de 0,078 USD atteint en février 2020. Le sommet historique remonte lui à novembre 2021 et à un reluisant 0,81 $. Depuis lors, la crypto-monnaie de DigitalBits a perdu 98 % de sa valeur en moins d'un an et cette situation est étroitement liée aux accords de sponsoring que DigitalBits, par l'intermédiaire de Zytara, a conclu avec la Roma et l'Inter Milan." "Si pour le club de la Capitale, aucun problème n'a été signalé pour le moment, la situation est différente dans les relations avec les Nerazzurri après le non-paiement de la plateforme. En effet, le club milanais continue à agir pour limiter la visibilité de la marque DigitalBits, compte tenu du non-paiement du sponsoring maillot (23 millions prévus pour la saison 2022/23, avec des chiffres qui passeront à 27 et 30 millions les deux années suivantes) : Les logos de la plateforme ont été retirés du site Internet, des panneaux d'affichage sur les lignes de touche et des maillots de l'équipe féminine, tandis que les évaluations sur les maillots de l'équipe Primavera sont toujours en cours. Pour l'instant, aucune décision n'a été prise pour retirer le sponsor du maillot de l’équipe-première : Le logo étant également présent lors du match amical contre Villarreal." "Toutefois, le club est prêt à faire preuve de plus de fermenté si la situation ne se débloque pas." Pensez-vous que la marque de cryptomonnaie pourra se relever et faire preuve de sérieux envers les deux clubs historiques du Calcio ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 7 commentaires
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DigitalBits, un ami qui vous veut du bien
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Trouver un héritier digne d’un sponsor historique comme Pirelli n’est pas une mission facile, la marque étant devenu quasiment partie-intégrante du maillot Nerazzurro, suite à un partenariat qui a duré 25 ans, et qui était l’un des plus long de l’Histoire du football mondial Révélation de Calcio&Finanza "En 2016 déjà, Erick Thohir, le Président d’alors avec fait les comptes avec cette difficulté: Entre la tentative d'arnaque "Etihad", l'Inter s’étant retrouvée dans les filets d'un faux intermédiaire de la compagnie aérienne qui avait mis sur la table une fausse proposition de 25 millions d'euros, et le manque d'alternatives, c'est finalement le renouvellement avec Pirelli jusqu'en 2021 qui avait eu lieu, mais avec des chiffres de base revu à la baisse. Si le maximum perçu pour la saison 2020/2021 , s’est élevé à 24,9 millions d'euros, cette somme est due aux Bonus, avec une partie des revenus qui a glissé du budget 2019/20 à celui de 2020/21 étant donné la conclusion de la saison 2019/20 entre juillet et août en raison du Covid-19." "La volonté de l’Inter était de parvenir à augmenter ses recettes, et donc la base fixe, indépendamment des résultats sur le terrain. Le minimum fixé devait être d’au moins 30 millions d’euros, un diktat établi directement par le Président Steven Zhang, qui a d’ailleurs refusé une offre estimée à 25 millions d’euros en provenance d’Hisense. L’objectif était clair : Atteindre ou dépasser le palier des 30 millions d’euros." "Dans les faits, la réalité était bien différente, avec l’Inter qui remportait le Scudetto 2020/2021, en le célébrant avec Pirelli sur le maillot, des nouveautés auront eu lieu en revanche, mais en juillet 2021. A tel point que Nike avait été contraint et forcé de présenter et de distribuer des maillots Nerazzurro de la saison 2021/2022 sans aucun sponsor, certains sont encore disponible sur le site officiel : https://www.nike.com/it/t/maglia-da-calcio-dri-fit-inter-2021-22-stadium-da-terza-NlDQS1/DB5899-011 ." "Fin juillet, le 21, Socios est intronisé :Déjà Main Sponsor de Valence, la plateforme de crypto-monnaie dédiée au football a posé 16 millions d'euros plus des bonus, avec un contrat de quadriennal particulier: Il était déjà prévu, qu'à la fin de la première saison, que Socios ne serait plus le sponsor principal, mais resterait en tant que "Sponsor global des droits publicitaires pour un montant annuel de 1 million d'euros", dans un accord auquel s'ajoute toujours le "Partage des revenus générés par la vente et l'échange des Fan Token", peut-on lire dans les documents du club." "Un nouvel accord a été conclu avec Lenovo, qui, entre-temps, avait été annoncé comme nouveau "partenaire technologique mondial" et sponsor secondaire du maillot d'entraînement. Mais il aurait également pu devenir Main Sponsor si l'Inter l'avait demandé plus tôt, il aurait fait office de sponsor principal, aurait déclaré Lenovo au moment de l'accord avec les Socios, et avec des chiffres encore plus élevés que ceux qui ont été avancés." "L'autre particularité est qu'en septembre 2021, l'Inter a également annoncé l'accord avec Zytara, qui à travers la marque DigitalBits est devenu le nouveau sponsor de manche. En outre, DigitalBits est devenu la "Crypto-monnaie mondiale officielle" et Zytara le "Partenaire bancaire numérique mondial officiel" du club." La valeur de l'accord ? "Plus que Socios : 85 millions d'euros plus des bonus dans un contrat de quatre ans, dont 5 millions d'euros la première saison et le reste réparti sur les années suivantes. Sans surprise, en effet, dès janvier 2022, l'Inter a confirmé que DigitalBits deviendrait le nouveau Main Sponsor, en remplacement de Socios à partir du 1er juillet 2022." "Socios est donc parti en juin, DigitalBits étant prêt à prendre la relève. Dès les premiers jours de juillet, cependant, des rumeurs ont émergé sur les difficultés de la plateforme fondée par Al Burgio : le 12 juillet, un article de Tuttosport a fait la lumière sur des premiers problèmes, mais le club Nerazzurro avait tout balayé d’un revers : Ce même 12 juillet, l'Inter dévoilait d’ailleurs son nouveau maillot, sur lequel est représenté le logo DigitalBits, sans toutefois que le nouveau sponsor principal soit annoncé en tant que tel. Au contraire, dans le communiqué de presse de lancement du nouveau maillot, il n'y a que ce passage : "L'innovation est aussi une valeur qui caractérise les partenaires du nouveau maillot, DigitalBits et Lenovo". Aucun commentaire, aucune autre déclaration." "Ainsi, nous arrivons aux dernières nouvelles, relancées par Il Sole 24 Ore : De nouveaux retards dans les paiements et le choix de l'Inter de masquer le logo DigitalBits du site de la section partenaire, alors que la Roma, qui l’a toujours DigitalBits comme sponsor maillot, ne signale actuellement aucune difficulté dans les relations et les paiements." "L’ordre actuel est de limiter la communication et la visibilité possible à DigitalBits même si celui-ci ne peut pas être caché sur le maillot. Toutefois, dans les tableaux d'affichage sur les lignes de touche à la fois à l'entraînement et en match, et sur tout autre choses, celui-ci est peu à peu. La confirmation est venue des images de la séance d'entraînement commune avec Pro Sesto des Nerazzurri de Simone Inzaghi." "Alors que lors du test contre Novara il y a une semaine, le logo DigitalBits ressortait, lors du match d'hier contre Pro Sesto, il n'y avait que la mention Inter avec le logo du club. Alors que du côté de l'Inter, on ressent de la nervosité, il se dit que les parties travaillent pour résoudre le problème " (c'est-à-dire qu'on attend de voir si la marque pourra payer ce qui lui est dû), du côté de DigitalBits/Zytara, on se concentre sur les différentes annonces, des annonces qui auraient pu avoir lieu ce 29 juillet, mais dont rien n’a été émergé lors d'un événement sur les crypto-monnaies organisé par DigitalBits à Monte Carlo." "Ce 29 juillet, la publication d'un livre blanc sur la stratégie future de la plateforme était attendue, mais elle a été reportée car des "annonces importantes" sont attendues. Cependant, DigitalBits n'a pas encore pris de position officielle sur la situation de l'Inter. Dans le groupe officiel Telegram, chaque demande d'information était rétrogradée en FUD, un acronyme utilisé principalement dans les chats et les forums qui dérive de l'abréviation de "peur, incertitude et désinformation", en substance la circulation de fake news pour frapper la crypto-monnaie." "Cette première phase a également été suivie d'une phase de bannissement de tout message ayant pour sujet l’Inter. La seule explication donnée sur les indiscrétions par l'un des Administrateurs, dont le lien avec la plateforme n'est cependant pas clair, à savoir qu’il n’y a aucune certitude que l’utilisateur qui gère la chaîne le fasse au nom de la société ou d’ employé) est la suivante : "Zytara est toujours le principal sponsor global de l'Inter et DigitalBits est toujours présent sur le maillot. Nous ne nous exprimerons pas au nom de Zytara sur la manière dont elle gère les relations avec ses partenaires. "Nous ne tolérons en aucun cas le FUD. En outre, nous ne pouvons pas répondre à toutes les rumeurs qui surgissent". "Ces dernières semaines, DigitalBits avait répondu à certaines questions générales des utilisateurs. Par exemple, on y lit : "Quels sont les revenus actuels de DigitalBits/Zytara ? Et quelles sont les prévisions pour l'avenir ? DigitalBits est une blockchain, tandis que Zytara construit aujourd'hui une application bancaire mobile du futur: Les deux projets sont gérés indépendamment et ont des objectifs différents. Toutefois, lorsqu'il s'agit de créer des produits et des applications sur une blockchain, Zytara s'engage à utiliser DigitalBits. DigitalBits Blockchain est une couche 1 qui crée une valeur économique basée sur le volume des transactions et la liquidité globale verrouillée ou pariée au sein du protocole." "En termes simples, avec le lancement du jeton Mainnet, DigitalBits sera désormais entièrement accessible à l'ensemble de la communauté tout en étant une blockchain fonctionnelle depuis plus d'un an, ce qui permettra à un grand nombre de nos partenaires de l'écosystème d'utiliser le réseau. Cela se traduira par des transactions qui créeront des frais et des revenus de protocole, de la même manière que toutes les blockchains créent des revenus." Au sujet du parrainage, il est également indiqué : "Pouvez-vous nous donner une idée de la manière dont le projet sera financé ? La Fondation DigitalBits dispose-t-elle de fonds suffisants pour payer les engagements de parrainage et financer le développement de la blockchain ? La Fondation DigitalBits ne paie aucun parrainage, tous les parrainages sont financés par Zytara." "Il n’est donc clairement pas repris ni fait part des difficultés de la plateforme que sur le fait que l'accord est en fait conclu entre Inter et Zytara. Alors, que se passe-t-il ? Pour l'instant, on attend. Si DigitalBits ou Zytara parviennent à respecter ses engagements, la relation se poursuivra évidemment. Sinon, mais ce n'est qu'un dernier recours, il n'est pas exclu que le logo de la plateforme soit également retiré du maillot de jeu. Ce qui est certain, c'est que les retards de paiement n'aident pas Inter sur l'aspect même où elle a eu le plus de difficultés ces dernières saison : Donc le plan économique, à savoir celui des liquidités." L’avis de Marco Bellinazzo La question concernant les retards de paiement de DigitalBits est devenue un cas réel: "Un autre effet secondaire négatif de l'impasse de paiement est que l'Inter ne peut pas signer d'autres accords lucratifs, tels que ceux avec Sorare (carte) et Onefootball (Nft) signés par d'autres clubs par l'intermédiaire de la Lega ou directement". Cela vaut également pour la Roma, un autre club avec lequel DigitalBits a conclu un partenariat." Nous dirigeons-nous vers une scission historique ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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