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  1. Nom : Bastoni Prénom : Alessandro Poste : Défenseur central Date de naissance : 13/04/99 Lieu de naissance : Casalmaggiore Pays : Italie Taille : 190 cm Numéro de maillot : 95 Au club depuis : 30/08/17 Position sur le terrain Biographie Pur produit de la formation de l'Atalanta Bergame où il y fait toutes ses classes, Alessandro Bastoni s'affirme comme un cadre naturel en défense durant toutes ces années. Il est notamment champion des U-17 en 2016. Il marque même en finale contre l'Inter... Remarqué par Gian Piero Gasperini, il débute son premier match pro contre Pescara en Coppa Italia (30/09/16). Régulièrement convoqué avec les A, il est titulaire en Serie A pour la première fois au mois de janvier 2017, contre la Sampdoria. Sa seconde expérience sera plus contrastée puisqu'il rentrera 30min contre l'Inter, lors de la lourde défaite des siens 7-1. Repéré par les scouts de l'Inter, il signe en août 2017 mais reste dans l'effectif de l'Atalanta sous forme de prêt. Il jongle entre la Primavera et les A où il ne jouera que 87 minutes (4 apparitions seulement). Peu satisfait de ce temps de jeu, l'Inter l'envoie à Parme en prêt pour la saison 18/19. D'abord blessé, il intègre petit à petit l'équipe et c'est en novembre qu'il se fait une place, qu'il ne quittera plus. En doublette avec le vétéran Bruno Alves il participe au maintien du club en Serie A. 24 apparitions et son premier but en Serie A plus tard, il revient à Milan et signe une prolongation de contrat jusque 2023. Il y découvre Antonio Conte aussi. Ce dernier compte sur lui dans la rotation. Le même schéma qu'à Parme se répète, Bastoni commence à s'imposer comme un titulaire viable. Parcours: En Club: Atalanta (jeunesse-2017) Internazionale FC (2017- en cours) Atalanta (2017-2018 - prêt) Parme (2018-2019 - prêt) En équipe nationale 2014: Italie U-15 & U-16 2015: Italie U-17 2017: Italie U-19 2018: Italie U21 ©Wikipedia Fiche complète du joueur
  2. D'après Sky Sport Italia, via FCInter1908, Henrikh Mkhitaryan et Alessandro Bastoni pourraient tous les deux prendre du repos. Car l'Inter a seulement joué son dernier match de Série A dimanche après-midi mais les Nerazzurri sont de retour en action immédiatement: Demain, l'Inter affrontera Sassuolo au Giuseppe Meazza. "Après un départ qui a vu l'équipe prendre une pleine semaine de repos et récupérer entre les matchs, la réalité de jouer tous les trois jours, ou moins, commence pour les Nerazzurri. Et une part de cette réalité signifie faire tourner l'équipe. L'entraîneur de l'Inter, Simone Inzaghi, a d'ailleurs changé l'équipe pour leurs deux derniers matchs: Le coach lança plusieurs joueurs pour leurs grands débuts contre la Real Sociedad en Ligue des Champions et avant-hier contre Empoli, l'entraîneur a donné du repos à deux joueurs clés: Nicolò Barella & Denzel Dumfries pour débuter pour Inter Vs Sassuolo." "Nicolò Barella sera donc le premier joueur à revenir dans le onze de départ de l'Inter face aux Neroverdi, le joueur de 26 ans est sorti du banc dimanche au stade Carlo Castellani mais jouera dès la première minute. Ce sera Henrikh Mkhitaryan qui fera de la place pour Barella et cela signifie que Davide Frattesi gardera sa place. Les deux internationaux italiens pourront confirmer l'affirmation d'Inzaghi, qu'ils sont capables de jouer ensemble." "Dans le même temps, Dumfries va remplacer Matteo Darmian sur le flanc droit et en défense, Stefan de Vrij débutera tout comme Benjamin Pavard. Francesco Acerbi pourrait également commencer, mais sur la gauche, ce qui permettrait à Alessandro Bastoni de souffler. Enfin, Sky s'attend à ce que Federico Dimarco ou Carlos Augusto soit en balance pour commencer sur le côté gauche de l'Inter." ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  3. Et, si finalement et comme il en a l'habitude, Giuseppe Marotta a su flairer le double bon coup ? A savoir recruter un joueur qui en a encore sous le pied tout en libérant, à prix d'or, un joueur sur la pente descendante ? Cette thématique a été passé en revue par la Gazzetta Dello Sport qui s'est penchée sur la situation entourant Yann Sommer et André Onana "Dans l'équipe de l'Inter qui s'est pris les pieds dans le tapis, mais qui a quand même fait match nul, au San Sebastian contre la Real Sociedad, Yann Sommer a été l'un des rares à se sauver. Arrivé cet été pour remplacer Onana, il était très certainement le meilleur joueur sur le terrain et, petit à petit, au son de sesarrêts, il est en train de balayer les doutes sur sa valeur." "Tous les Interistes ou presque ont, durant l'été, évoqué la vente d'André Onana à Manchester United: Un acte qui s'imposait sur le plan financier étant donné que le gardien camerounais, était arrivé gratuit en 2022 en provenance de l'Ajax Amsterdam. Celui-ci a d'ailleurs été vendu pour 52 millions et demi d'euros, plus 5 de bonus, ce qui représente ue gigantesque et réelle plus-value qui a permis à l'Inter de financer aussi bien son Mercato que de redresser ses comptes." "Pour le remplacer, Marotta et Ausilio ont donc acheté Yann Sommer au Bayern Munich pour 6 millions d'euros et une pluie de critique: Vieux car âgé de 34 ans, petit car il mesure 1,83 mètre, une taille inadéquate pour un gardien de la génération actuelle. Mais le football est étrange et ce qui ressemblait à un "déclassement", à la lumière de la première journée de la nouvelle Ligue des Champions, est devenue une amélioration." "Car Onana, lors de Bayern Munich-Manchester United 4-3, a commis une nouvelle erreur en cette première partie de saison tandis que Sommer, au San Sebastian contre la Real Sociedad, a maintenu l'Inter dans le match avec au moins deux interventions décisives et remarquables, et au final, Lautaro a égalisé" "C'est pourquoi on peut dire aujourd'hui que l'Inter a gagné en passant d'André Onana à Yann Sommer: Onana a déjà encaissé 14 buts, dont 10 en championnat et 4 en Coupe d'Europe, soit plus de deux buts par match en moyenne. Et si ce n'est pas entièrement de sa faute, Manchester United étant décevant jusqu'à présent, Onana semble être redevenu le gardien de but qui alternait les hauts et les bas comme cela était visible du temps de l'Ajax." "Lors de sa saison à l'Inter, il avait atteint une fiabilité qu'il semble avoir immédiatement perdue en quittant Milan. Sommer, contrairement à Onana, peut afficher des statistiques flatteuses. En cette première partie de saison, il n'a encaissé que 2 buts en 5 matches, 4 de Serie A et 1 en Ligue des Champions." "En championnat, il n'a été battu par Leao, dans le Derby remporté par l'Inter 5-1. En Europe, il a été battu par Mendez, suite à une erreur de Bastoni à la relance et Sommer ne peut être blâmé pour aucun des deux buts. Sur celui en Espagne, il n'y a pas de responsabilité, sur celui contre l'Ac Milan, on peut peut-être chercher la petite bête car le ballon est passé sous son gant gauche, mais il pleuvait, le terrain était lourd et le tir puissant." "L'impact de Sommer à l'Inter est important car nous parlons d'un gardien qui a joué 291 fois en Bundesliga, 92 fois en Coupe d'Europe et 84 fois en équipe nationale Suisse". Pensez-vous que Marotta a de nouveau "Ken" la Premier League ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  4. Ces derniers jours, Samir Handanovic s’est livré à une interview, en toute franchise, à la Gazzetta Dello Sport . Son retour à l’Inter "Avant tout, j’ai arrêté de jouer et je suis en paix et heureux comme ça, je place ma Famille par-dessus-tout. A présent, le second chapitre de ma vie débute et je peux vous dire que le club et moi-même souhaitons continuer, ensemble dans un nouveau rôle et que toutes les conditions sont réunies pour que cela se produise. Au-delà de tout, je raisonne avec une vision toujours plus grande : Pour le bien de l’Inter." Samir l’entraineur ? "Cela peut vous sembler étrange au début, car je suis encore dans une bonne condition physique et que j’aurais pu faire une autre année, mais lorsqu’on fait le compte, c’est quelque chose de normal, je n’ai aucun regret et j’ai les idées claires : Tôt ou tard j’aimerais devenir entraîneur, mais pas celui des gardiens mais l’entraineur à 360°." Son rapport avec Onana "Ses remerciements m’ont fait plaisir, mais je n’ai pas aimé son comportement lors de ses deux premiers mois ici, lorsqu’il ne jouait pas. Ensuite, il m'a toujours dit la vérité, il a toujours été direct avec moi. J’ai toujours été cohérent avec lui et je l’ai même aidé. Mais personne n’a jamais dit que l’année dernière j’ai eu des blessures qui m’ont pénalisé : un poignet cassé, un doigt cassé et un mollet en tension. Mais j’étais toujours sur le banc, même si j’étais indisponible. Je ne me dresserais jamais contre le club, j’ai un sentiment d’appartenance envers le Club et envers les Tifosi." Captain Argentina "Lautaro a toutes les qualités, mais il doit être soutenu par un groupe de Leaders qui tirent la charrette dans le même sens que lui. Je fais référence au Bloc Italien qui connait bien la Serie A et l’ADN du Club, je me réfère à Nicolò Barella, Alessandro Bastoni, Matteo Darmian, et à Federico Dimarco”. Le Derby Della Madonnina "C’est le Derby le plus beau du Monde, Dans ces match, le Meazza propose une énergie unique, il te fait bouillir la pelouse et te fait tourner le vent : Tu peux être riche et célèbre, mais jamais rien ne te donnera ce frison: Celui d'être dans un Volcan en ébullition : Je le chérirai toute ma vie." L’Inter 2023/2024 "Marcus Thuram et Davide Frattesi sont d’excellents joueurs talentueux capable de s’insérer en toute facilité. L’Inter présente plus de certitude, comme je vous l’ai dit auparavant, nous avons construits des fondations solides, tous ensemble !" Sommer "Notre but est entre de bonnes mais: Sommer est un très bon gardien qui est très doué. Il y a aussi Audero qui est talentueux et qui a la juste ambitionne après tant d'années en Serie A. Être le gardien de l'Inter n'est pas un métier facile, seul le temps peut te permettre d'établir un jugement." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Les débuts en Ligue des Champions sont toujours une inconnue, et l'Inter n'a pas échappé à la règle cette fois-ci. Car Simone Inzaghi ne s'attendait sans doute pas à autant de difficultés en voyant l'Inter encaisser un but après seulement quatre minutes de jeu et une très rare faute professionnelle d’Alessandro Bastoni, sans oublier un poteau dans les secondes le précédant. Nos Nerazzurri ne sont pas parvenu à maintenir ni même à contenir la Tempête basque qui s’est abattue sur eux jusqu’à la 70ème minute de jeu. Des basques qui ont fait preuve de roublardise comme lorsqu’ils ont tenté de faire expulser Nicolò Barella pour une faute imaginaire qui aura permis à l’arbitre Michael Oliver, de revoir sa décision, après avoir été contacté par la VAR. "Vexé" nos Nerazzurri sont parvenus à se relancer pour cette fin de match, après avoir frôlé la correctionnelle. Preuve en est via Carlos Augusto qui servait Marcus Thuram dans la surface de réparation et qui voyait le français arracher une égalisation contre le cours du jeu. Mais Cette joie fut de courte durée étant donné que le brésilien était hors-jeu à la base de l’action. Cuit après avoir tout donné, les joueurs basques ont par la suite payé au prix fort leur manque de concrétisation et si Yann Sommer peut remercier ses poteaux et sa barre transversale, il aura été lui-même déterminant en maintenant notre Bien-Aimée. Et dans ce genre de situation, si tu ne parviens pas à tuer ton adversaire tu en payes le prix! L’Inter, retrouvant des couleurs, a fini par faire parler la poudre et son expérience lorsqu’à la 87ème, via une tentative à distance de Davide Frattesi à l’entrée de la surface basque, le tir de l'italien se transforme en passe décisive pour notre Capitaine Argentin, dans ce qui est la seule et véritable occasion dangereuse de nos Nerazzurri. Un but de renard des surface que ne renierait certainement pas le frère de notre entraineur! Si ce point n’est pas totalement mérité, et s’il semble évident que l’Inter n’avait pas pris assez au sérieux son adversaire du soir, ce petit point est ô combien précieux pour la suite de la compétition tant donné que, dans le même temps, le Benfica s’est fait surprendre par l’équipe autrichienne de Salzbourg. RedBull te donne tes aileuuuus Tableau Récapitulatif Résumé vidéo Real Sociedad 1-1 Inter Buteur(s): 4' Brais Mendez (R), 87' Lautaro Martinez (I) Real Sociedad : 1 Remiro; 18 Traoré, 5 Zubeldia, 24 Le Normand, 17 Tierney (62' 3 Munoz); 23 Mendez (85' 20 Pacheco), 4 Zubimendi, 8 Merino; 14 Kubo (72' 2 Odriozola), 10 Oyarzabal (72' 19 Sadiq), 7 Barrenetxea (62' 11 Cho) Banc: 30 Ayesa, 32 Unai Marrero, 12 Zakharyan, 16 Olasagasti, 22 Turrientes, 26 Gonzalez, 28 Magunacelaya T1: Imanol Alguacil Inter: 1 Sommer; 28 Pavard, 6 De Vrij (76' 15 Acerbi), 95 Bastoni (55' 32 Dimarco); 2 Dumfries, 23 Barella, 21 Asllani (55' 16 Frattesi), 22 Mkhitaryan (70' 70 Sanchez), 30 Carlos Augusto; 8 Arnautovic (55' 9 Thuram), 10 Lautaro Martinez Banc: 12 Di Gennaro, 77 Audero, 14 Klaassen, 31 Bisseck, 36 Darmian T1: Simone Inzaghi Arbitre: Michael Oliver VAR: Attwell Averti(s): Asllani (I), Mkhitaryan (I), Inzaghi (I), Pavard (I), Zubeldia (R) Expulsé(s) : / ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Arrivé à l'Inter en remplacement d'André Onana, Yann Sommer a du temps devant lui pour convaincre les Tifosi de la justesse de son choix. Dans une longue interview accordée à la Gazzetta Dello Sport, le gardien helvétique s'est livré sur les raisons de son arrivée chez la Bien-Aimée : "Car l'Inter, c'est... l'Inter. Elle signifie Tradition, Force et Excellence. Quand j'ai choisi les Nerazzurri, j'ai analysé toute la situation : L'entraîneur, l'entraîneur des gardiens, le style de jeu, le stade, les supporters, la vie dans la ville pour ma famille et j'ai compris que c'était l'endroit idéal pour moi." Aviez-vous peur que le transfert capote ? "Je n'ai jamais eu peur de ne pas venir, j'ai toujours été calme pendant les négociations. Je ne sais pas comment les choses se sont passées entre les deux clubs, mais je savais que je voulais l'Inter et j'étais confiant." Votre avis sur les gardiens du passé ? "De Julio Cesar à Francesco Toldo, en passant par Samir Handanovic et André Onana. A l'Inter, il y a toujours eu des gardiens forts et courageux et je veux aussi être à la hauteur. Avec Handanovic et Onana, je n'ai jamais échangé, ce sont deux gardiens avec des caractéristiques différentes, chacun d'entre nous a son propre style. En plus d'être gardien de but, j'aime jouer depuis l'arrière et être fondamental pour surmonter la ligne d'attaque de l'adversaire." Le Derby au Meazza "Le derby, c'est vraiment sérieux. Le Meazza un stade que j'aime déjà, excitant, bruyant, amusant, et beaucoup m'ont dit qu'il était unique. Les Derby sont tous spéciaux, mais celui-ci est unique vu la profondeur des deux équipes et pour sa profondeur de l'Italie. J'ai hâte de le jouer, ce sera un match passionnant, que tout le monde attend. Mais c'est une confrontation spéciale, unique qui arrive très tôt. Nous avons une longue saison devant nous et tout peut arriver. Il y a aussi d'autres rivaux pour le Scudetto, et comme je suis encore nouveau en Italie : je ne peux pas encore faire de prédictions et de classement". Thuram et Pavard ? "Marcus a un potentiel de classe mondiale et j'espère qu'il fera son chemin jusqu'ici. Il a un physique exceptionnel, de la technique et surtout de l'intelligence. Qu'il attaque en un contre un, qu'il joue en combinaison avec Lautaro ou qu'il s'arrête dans la surface, il est reste dangereux pour l'adversaire. La mentalité que lui a transmise son père est également importante, c'est aussi un bon garçon en dehors du terrain, toujours souriant et positif." "Benjamin est arrivé dans une équipe qui dispose déjà d'une grande défense, il est très complet, il sait lire les situations, il marque avec le ballon car il "voit" le but. Au Bayern, il occupait un poste plus latéral et maintenant il jouera dans un poste plus central dans un dispositif différent: Et c'est toujours bien d'avoir des joueurs capables de jouer dans autant de poste. S'il a choisi l'Inter, c'est parce que c'est un grand club." "La défense de l'Inter me donne un sentiment de sécurité. De Bastoni à Darmian, ils se déplacent tous comme un seul homme, ils sont compacts et savent trouver leur position. Leur langage corporel est également impressionnant. C'est un bel avantage pour un gardien de but, alors bien sûr, des tirs au but vont m'arriver et quand ce sera le cas, je vais devoir faire mon travail." Que craignez-vous du Milan ? "Tous les attaquants sont forts. Maintenant, je les étudie en détail, comme Leao, j'ai l'habitude de me préparer avec l'entraîneur via des vidéos pour essayer de lire toutes leurs occasions sur le terrain." Pensez-vous que ce qu'il s'est passé en Ligue des Champions la saison dernière peut se reproduire ? "La Ligue des champions est une compétition difficile pour tout le monde, elle est unique. Il faut réunir tous les éléments pour aller au bout : Il y a les petits détails, la forme du moment et même un peu de chance. L'année dernière, l'Inter a joué exceptionnellement bien et méritait d'aller la finale. Pourquoi ne pas répéter cette performance ?" Aimeriez-vous gagner avec autant de souffrance que vous l'avez fait l'année dernière en Bundesliga ? Est-ce que c'est plus beau ainsi ? "Tous les sportifs vivent pour ces sentiments que procure la victoire, qu'elle soit "tranquille" ou "mouvementée". La saison, au Bayern a été complexe et pleine de défis à surmonter , nous avions changé beaucoup de choses, de la Direction à l'entraîneur, et c'est ce qui nous a amené à vivre ce choc en in de saison." Pavard, comme vous, voulait absolument rejoindre l'Inter cet été... "Je dirais que c'est un bon signe, non ? Et cela ne m'a pas surpris. J'aurais peut-être pu être surpris avant de venir ici, mais maintenant que j'y suis, tout est clair : C'est vraiment un grand club". Au fait, est-ce que cette photo vous dit quelque chose ? (nous montrons l'image de Jorginho après l'un des deux penalties manqués contre lui) ? "Il rit. Tout le monde s'en moque de ces matches, et je jouais avec la Suisse ! J'en ai aussi paré un à Mbappé à l'Euro, dans un autre moment de grande pression pour nous deux! Un penalty est une question de sensations, de moments où il faut prendre la décision, c'est un défi mental et technique". Où avez-vous appris à jouer si bien de la guitare ? "À l'âge de 18 ans, j'ai suivi un cours avec un professeur, parce que j'avais besoin d'une autre passion, de faire quelque chose à la maison pour me déconnecter du monde et me détendre. Ma guitare est encore en Allemagne, mais elle arrivera bientôt à Milan, même si, avec deux enfants en bas âge, j'ai moins de temps qu'avant". Qui écoutez-vous en particulier ? "J'aime John Mayer et surtout Bruce Springsteen. Je n'ai pas encore réussi à assister à l'un de ses concerts. Cette année, à Zurich, il y a joué pendant trois heures : c'était incroyable. S'il vient au Meazza, je serai là". Vous avez aussi une autre grande passion: La cuisine ? "Il y a quelques années, j'ai même tenu un blog, mais mon intérêt était de montrer ce que mange un sportif de haut niveau. J'aime bien manger, goûter à tout, et disons que je suis dans le bon pays". ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  7. Une version "2.0" qui pourrait rimer avec le "20"ème Scudetto, car l’Inter a débuté de la meilleure des manières cette nouvelle saison, avec tout le sérieux que l’on peut attendre d’un Vice-Champion d’Europe! Voici l’analyse de la Gazzetta Dello Sport qui fait suite aux trois victoire en trois matchs et une première place en compagnie du Milan avec le maximum de points avant le Derby de la Madonnina de la reprise: "L'Inter n'a pas encaissé de but en trois journées, ce qui ne lui était plus arrivé depuis 57 ans, avec Helenio Herrera assis sur le banc. De plus, personne d'autre dans le Big 5 des meilleurs championnats européen n'a réussi à faire la même chose. Simone Inzaghi peut par-dessus tout être satisfait de la façon dont l'Inter se défend car elle n’est jamais placée dans une situation de crise, jamais mise en difficulté et Yann Sommer en est le premier reconnaissant, lui qui peut se sentir comme au Paradis dans la cage de l’Inter." "Ce zéro est savoureux car il gomme les doutes, il rassure: Lors de la tournée estivale, et alors que la tournée au Japon battait son plein, l'entraîneur et le club ont tenu à comprendre où investir la majeure partie des fonds restants. Et l'idée qui est ressortie très clairement de cette réunion était la suivante : "Nous avons besoin d'un défenseur. Nous devons nous occuper de cet aspect, parce que par caractéristiques, nous sommes une équipe qui n'aura jamais de problèmes pour marquer des buts". C’est pour cette raison que Benjamin Pavard est arrivé, avec un investissement de 30 millions d'euros." "Mais le travail va au-delà du Français, qui n'a d'ailleurs jamais été vu sur le terrain jusqu'à présent. Il va même au-delà d'Acerbi, le meilleur joueur de ce secteur la saison dernière, aujourd'hui encore à zéro minute de jeu à cause d'une blessure: Le travail est global, l’Inter différente car elle a changé sa façon de jouer par rapport à la saison dernière." "Et les différences ont également profité à sa phase défensive. L'Inter a très vite appris à attaquer l'adversaire en haussant son pressing. L’année dernière, lorsqu’elle avait tenté de le faire, elle n’y était pas parvenue lors de la première partie de la saison, mais aujourd'hui, le timing est parfait, le pressing est exercé en équipe et, sans surprise, avec une récupération du ballon est beaucoup plus importante et surtout, cela marche et la défense n’est presque jamais en difficulté." "L'autre clé réside dans le travail réalisé les milieux de terrain. Car même si l'équipe adverse parvient à surmonter cette première phase de pression, l'écran de protection offert par Çalhanoğlu et ses compagnons est remarquable et ce n'est pas un hasard si nous parlons de Çalhanoğlu : Sa qualité de construction du jeu ne fait l'objet d'aucun doute et ce début de saison met en évidence une capacité de couverture surprenante et pas seulement au niveau de ses tacles, pas uniquement dans les contre-attaques : l'ancien joueur du Milan se montre également exceptionnel dans la lecture des lignes de passe adverses." "Il y a finalement les individualités tel que Darmian qui est un véritable ordinateur de fiabilité : Pavard aura vraiment du mal à prendre sa place. De Vrij est redevenu le défenseur du Scudetto sous Conte, physiquement en forme, mentalement toujours sur le ballon. Et enfin Bastoni, n'a jamais baissé son niveau de concentration et a également progressé en termes de marquage." "Sans oublier le lourd héritage dont hérite Yann Sommer, un héritage qu’il a repris avec l'aisance des plus grands. Son nom n'est peut-être pas celui des couvertures de presse et son style n'attire pas l'œil des photographes. Mais derrière l'invincibilité de l'Inter lors des trois premières rencontre, on retrouve également le gardien suisse qui a été le Visage du cauchemar du dernier échec mondial de notre équipe nationale pour nous, les Tifosi." "Après le bref règne d'André Onana, il semblait difficile de trouver un nouveau numéro un capable de se mettre immédiatement au diapason de cet environnement et auprès des Tifosi, mais Yann Sommer a réussi le faire à sa manière : avec discrétion et travail. Yann a déjà convaincu le monde Nerazzurro en trois matches. A Cagliari, il a démontré l’étendue de son talent pour parer le tir d’Azzi, contre la Fiorentina, il a bloqué Sottil à deux reprises." "Derrière la Muraille défensive l'Inter présente un nouveau gardien, expérimenté et fiable: Et ce n'était pas gagné d'avance" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. En effet, si l’international français espérait débuter face à la Fiorentina, celui-ci est resté sur le banc de Simone Inzaghi qui dispose d’un plan bien précis à son sujet. Comme le souligne Tuttosport: "Il est difficile d’imaginer qu’il pourra être déjà titulaire lors du Derby à la reprise du championnat, mais cette nouvelle phase de la saison, qui débutera le samedi 16 septembre avec une vision sur la Seconde Etoile, verra le système de rotation de l’Inter débuter avec les premières modifications du onze titulaire en respect aux trois première journées de championnat" Et l’une des principales alternatives dans la formation se nomme Benjamin Pavard qui représente l’acquisition la plus chère de cette fenêtre du mercato italien, soit 30 millions d’euros plus bonus versé par l’Inter au Bayern de Munich: "Le défenseur s’est retrouvé sur le banc car il n’avait réalisé que trop peu d’entrainements à la Pinetina et il était difficile de l’imaginer déjà disposer des automatismes du jeu de Simone Inzaghi. C’est également pour cette raison que l’entraineur italien espérait l’avoir le plus vite possible, afin de pouvoir faire usage des dernières semaines sans engagement européen pour travailler sur l’aspect tactique et lui faire apprendre rapidement les nouveaux mouvements de jeu." Simone Inzaghi est plus que convaincu par Pavard car le Champion du Monde 2018 sera fondamental dans le secteur centre-droit de la défense, lui qui pourrait en imposer autant qu'Alessandro Bastoni en poste de centre-gauche "mais il ne lui sera toutefois pas facile de faire face à l’extraordinaire application défensive mis en avant par Matteo Darmian, depuis qu’il a été appelé à remplacer Milan Skriniar, la saison dernière, à ce poste." Aucun choix n’est définitif et les joueurs alterneront et "Pavard s’avérera aussi important lorsqu’il sera utile que Bastoni soit laisséu repos, afin de maintenir au plus haut niveau, le rempart défensif au niveau de sa construction." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Neuf sur neuf et trois clean sheets. L'Inter l'emporte sur la Viola 4-0 grâce à un doublé de Lautaro Martinez complété par Marcus Thuram et Hakan Calhanoglu. Des chiffres, des records, des buts et beaucoup d'émotions. Pour faire le calcul après la fin l'Inter-Fiorentina, il faut s'armer d'une calculatrice. Voyons. Trois victoires, neuf points marqués, et premier but avec l'Inter de Marcus. Et puis il y a Lautaro Martinez qui entre avec force dans le top dix des buteurs Nerazzurri de tous les temps, d'abord aux côtés d'Ermanno Aebi (106 buts), puis le dépassant avec 107 buts marqués grâce à son doublé contre la Viola. Mais cela ne s'arrête pas là car après le but et la passe décisive pour le premier but d'el Toro, Marcus Thuram a également obtenu un penalty transformé par le numéro 20, Hakan Calhanoglu. Le tout accompagné de plus de 72 000 spectateurs, une seule voix Nerazzurri accompagnant les 90 minutes du match. Il y a aussi une cage inviolée, la troisième consécutive. Cela permet à l'équipe de clôturer le premier trio de matches avec zéro but encaissé et huit marqués, dont cinq par le capitaine Nerazzurri en tête du classement des buteurs à la fin du match. Mais il n'y a pas que les chiffres, il y a la force d'une équipe affamée. Cela se voit sur le ballon arraché avec force à la Viola et terminé par Dimarco pour le premier but des Nerazzurri de Thuram qui marque et débloque le match à la 24e minute. Il y a l'entêtement du numéro 9 qui après le but tente de doubler la mise servi par Bastoni. Il y également a la puissance de Calhanoglu qui à la 41ème minute sur coup franc laisse le stade sans voix. Il y a l'organisation d'une équipe qui a terminé avec 21 tirs, 11 cadrés et a également ajouté un poteau, celui touché par Dumfries en début de seconde période. Christensen cède sur la spectaculaire contre-attaque des Nerazzurri qui se termine par une passe décisive de Thuram pour notre capitaine. Le troisième est arrivé cinq minutes plus tard avec Thuram qui a sauté sur le ballon lâche et a été bousculé par Christensen; Calhanoglu a été impeccable pour le penalty. Après le but, l'Inter change de visage avec plusieurs remplacements. Parmi ceux-ci il y a Cuadrado qui sert Lautaro qui se retourne et scelle le 4-0 pour l'Inter. Le but met fin au suspense du match. Les Nerazzurri ont gagné trois points et une standing ovation du Meazza. INTER-FIORENTINA 4-0 Buts : 24' Thuram (I), 53' Lautaro (I), 58' stylo. Calhanoglu (I), 73' Lautaro (I). INTER (3-5-2) : 1 Sommer; 36 Darmian, 6 De Vrij, 95 Bastoni ; 2 Dumfries (7 Cuadrado 70'), 23 Barella (16 Frattesi 59'), 20 Calhanoglu (21 Asllani 78'), 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco (30 Carlos Augusto 70') ; 9 Thuram (8 Arnautovic 70'), 10 Lautaro. Disponibles : 40 Calligaris, 77 Audero, 14 Klaassen, 28 Pavard, 31 Bisseck, 42 Agoumé, 47 Kamatè, 49 Sarr. Entraîneur : Simone Inzaghi. FIORENTINA (4-2-3-1) : 53 Christensen; 2 Dodò, 4 Milenkovic, 16 Ranieri, 3 Biraghi; 6 Arthur (73 Amatucci 75'), 38 Mandragore ; 10 Nico Gonzalez (77 Brekalo 54'), 5 Bonaventura (19 Infantino 54'), 99 Kouamé (7 Sottil 46') ; 9 Beltran (18 Nzola 46'). Disponibles : 1 Terracciano, 30 Martinelli, 26 Mina, 28 Quarta, 32 Duncan, 33 Kayode, 37 Comuzzo, 65 Parisi, 91 Kokorin. Entraîneur : Vincenzo Italiano. Avertis : Ranieri (F), Barella (I). Temps additionnel : 5', 5'. Arbitre : Marchetti Assistants : Costanzo, Passeri Quatrième arbitre : Sacchi. VAR : Mazzoleni. Assistant VAR : Paganessi. Traduction alex_j via le site officiel.
  10. Notre club continue de miser sur la réduction de sa masse salariale et ce, malgré les arrivées de Marcus Thuram et Benjamin Pavard. Voici TOUS les chiffres de Calcio e Finanza. La politique de réduction des coûts de l'Inter se poursuit et elle verra sa masse salariale diminuer cette saison. Si en 2022-2023 le club Nerazzurri a dû engager 75 millions d'euros de dépenses pour les salaires nets, qui auparavant s'élevaient à près de 129 millions bruts, désormais elle devra dépenser 70,9 millions nets, soit environ 117,8 millions d'euros pour le brut. Cela représente une économie annuelle d'environ 11,2 millions. Total des salaires toujours en baisse Globalement, le montant des salaires a diminué par rapport au chiffre global de la saison dernière qui prend également en compte les joueurs arrivés lors du mercato de Janvier et ceux qui ont été vendus au cours de la saison en cours (avec prorata en fonction des mois passés avec le maillot Nerazzurri). Pour établir le classement des salaires, Calcio e Finanza a utilisé les chiffres salariaux publiés par le passé par La Gazzetta dello Sport. L'analyse a ensuite été intégrée aux salaires des nouveaux joueurs arrivant après le mercato d'été et ajusté les chiffres avec les contrats. Pour le calcul du salaire brut, l'allégement fiscal prévu par le décret sur la croissance a été pris en compte pour tous les joueurs qui peuvent en bénéficier (c'est-à-dire les joueurs qui avaient leur résidence fiscale hors d'Italie au moins pendant deux années précédant leur arrivée en Serie A et qui conservent leur résidence fiscale en Italie pendant au moins deux ans à compter de leur arrivée). Pour les nouveaux joueurs arrivant après le 2 juillet, l’allègement s’applique uniquement pour 2024, et donc pour la moitié de la saison. Tous les chiffres Voici les salaires nets des joueurs de l'Inter pour la saison 2023-2024 (le brut entre parenthèses et en gras pour ceux qui bénéficient de l'allègement du décret de croissance) : Hakan Calhanoglu – 6,5 millions nets (12,03 bruts) Lautaro Martinez – 6 millions nets (11,1 bruts) Marcus Thuram – 6 millions nets (11,1 bruts) Alessandro Bastoni 5,5 millions nets (10,18 bruts) Benjamin Pavard – 5 millions nets (7,9 bruts) Nicolò Barella – 4,5 millions nets (8,33 bruts) Stefan De Vrij – 3,8 millions nets (7,03 bruts) Henrikh Mkhitaryan – 3,8 millions nets (4,98 bruts) Davide Frattesi – 3 millions nets (5,55 bruts) Marko Arnautovic – 3 millions nets (3,93 bruts) Yann Sommer – 2,5 millions nets (3,95 bruts) Matteo Darmian – 2,5 millions nets (3,28 bruts) Juan Cuadrado – 2,5 millions nets (4,63 bruts) Denzel Dumfries – 2,5 millions nets (3,28 bruts) Alexis Sanchez – 2,5 millions nets (4,63 bruts) Carlos Augusto – 2,2 millions nets (2,88 bruts) Stefano Sensi – 2 millions nets (3,7 bruts) Federico Dimarco – 1,6 million net (2,96 brut) Francesco Acerbi – 1,5 million net (2,78 brut) Davy Klaassen – 1,5 million net (2,37 brut) Yann Bisseck – 800 mille euros net (1,26 million brut) Kristian Asllani – 800 mille euros net (1,48 million brut) Emil Audero – 800 mille euros net (1,48 million brut) Raffaele Di Gennaro – 150 mille euros net (277 mille euros brut) TOTAL – 70,95 millions d'euros net (117,8 brut) Chiffres en millions d'euros; Traitement CF sur les données de la Gazzetta Le footballeur le mieux payé est Hakan Calhanoglu avec 6,5 millions d'euros net. L'ancien joueur milanais hérite ainsi du sceptre de Romelu Lukaku parti pour la Roma via un prêt couteux. Derrière, on retrouve le capitaine Lautaro Martinez et le nouveau venu Marcus Thuram qui reçoivent tous deux 6 millions d'euros nets par saison . Derrière eux se trouve Alessandro Bastoni qui, après avoir renouvelé son contrat en Juillet dernier, gagne 5,5 millions net par an. Le dernier arrivé à l'Inter, Benjamin Pavard, a signé un contrat de cinq ans pour 5 millions d'euros net. Dit de Lukaku, qui a "libéré" les caisses de l'Inter de son salaire de 8,5 millions d'euros net, d'autres départs ont permis au club de réduire encore la masse salariale. Les plus grosses économies sont venues de Marcelo Brozovic (6,5 millions nets), Edin Dzeko (5 millions) et Joaquín Correa (3 millions). Outre ces trois, on trouve André Onana qui a reçu 3,5 millions d'euros net, Milan Skriniar (3 millions), Robin Gosens (2,5 millions), Samir Handanovic (2,5 millions), Danilo D'Ambrosio (2 millions) et Roberto Gagliardini (1,5 million). Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
  11. Après une entame de championnat réussie face à Monza à Giuseppe Meazza, l'Inter se déplaçait en Sardaigne pour y affronter le Cagliari de Claudio Ranieri, fraîchement promu, dans le cadre de la 2ème journée de Serie A. Et c'est avec une grande maîtrise que les hommes de Simone Inzaghi ont triomphé. C'est avec le même onze que celui aligné face à Monza que l'Inter se présente à la Sardegna Arena : Sommer entre les poteaux, Bastoni - De-Vrij - Darmian en défense centrale, le néerlandais palliant l'absence d'Acerbi, l'habituel milieu Mkhitaryan - Çalhanoğlu - Barella, avec Dimarco et Dumfries sur les côtés, et le tandem Lautaro - Thuram devant. Et dès le coup d'envoi, les Sardes annoncent la couleur : bloc mi-haut et remarquable combativité. Mais ce scénario ne durera hélas guère longtemps pour Cagliari. L'Inter, faisant preuve d'une telle sérénité à la relance, reprend progressivement le dessus sur la fougue Sarde. Elle maîtrise parfaitement le tempo du match, et reste audacieuse face au but, à l'image de la volée manquée de Barella à la 5'. Elle se projette superbement, bien aidée par les décrochages successifs de Thuram. L'Inter ne tarde alors pas à élever l'intensité, avec notamment une reprise de Lautaro échouant sur le poteau gauche du portier de Cagliari. L'Inter ne laisse que des miettes aux attaquants adverses : une tête manquée de Pavoletti, ainsi qu'une frappe totalement dévissée de Nandez. Cette domination des Nerazzurri se concrétise à la 21' : Thuram récupère le ballon suite à une passe imprécise, se décale côté droit, et sert Dumfries : celui-ci finit d'une frappe imparable, croisée et dans le petit filet. L'Inter mène 1 but à 0 et vient de se faciliter grandement la tâche. Cependant, l'Inter est coupable d'une dangereuse inattention, laissant Nandez filer au but. Il faut une somptueuse intervention de Çalhanoğlu pour interrompre le mouvement Sarde et leur refuser l'égalisation. Ceci fait, l'Inter remet le pied sur l'accélérateur : projections, combinaisons et contre pressing haut permettent à l'Inter de se mettre à l'abri. Joli une-deux côté gauche entre Dimarco et Thuram, l'Italien percute puis sert Lautaro : notre capitaine se saisit du ballon, et d'un subtil crochet, vient éliminer son vis à vis. Dès lors, il n'a plus qu'à ajuster le portier adverse d'une frappe ras de terre (que le football est simple pour El Toro <3). L'Inter mène alors 2 buts à 0, et a fait le plus difficile. De l'autre côté, les Sardes voient leur capitaine Pavoletti sortir, remplacé par le dynamique Luvumbo. Ce dernier s'illustre dès lors par sa percussion et son imprévisibilité. L'Inter clôt alors tranquillement la 1ère mi-temps, forte d'un avantage de 2 buts. Au retour des vestiaires, la volonté Interiste est clairement établie : contrôler la fin de match et ne pas se mettre en danger. Thuram satisfait par sa capacité à faire jouer ses coéquipiers, grâce à une excellente qualité technique : ses contrôles sont fluides et ses passes bien senties. Au fil des minutes, le rythme ralentit : les Sardes, bien qu'ayant fait monter leur bloc, sont anesthésiés par la troublante maîtrise de l'Inter. Inzaghi effectue un triple changement à 20 minutes du terme de la rencontre : Dumfries, Dimarco et Barella cèdent respectivement leur place à Cuadrado, Augusto et Frattesi. Par ailleurs, l'ancien de Cagliari est applaudi à sa sortie par ses anciens supporters : une bien belle image. Mais les joueurs de Ranieri n'abandonnent pas : ils montent d'un cran en intensité et sont même proche d'obtenir un pénalty, par l'intermédiaire de Luvumbo. L'Inter doit son salut à un joli retour de Bastoni. Inzaghi effectue ensuite ses deux derniers changements : Arnautovic prend la place d'un très bon Thuram, tandis que Sensi remplace un Mkhitaryan moins en vue, souvent rattrapé par Çalhanoğlu, et victime d'un coup au genou. L'Inter termine son match tout en maîtrise, Çalhanoğlu heurtant le poteau droit en conclusion d'un beau mouvement collectif. Mais Luvumbo met encore la pagaille dans la défense : son centre, dévié, arrive dans les pieds de Azzi. Celui ci contraint Sommer, jusque là assez tranquille, à la parade. Les esprits s'échauffent quelque peu, puis l'arbitre, M. Michael Fabbri, siffle la fin du rendez-vous au terme des 5 minutes de temps additionnel. Match extrêmement sérieux de la part de nos Nerazzurri, ayant su se mettre à l'abri tôt pour confirmer une deuxième victoire de rang, ainsi qu'un second clean-sheet. Rendez-vous dimanche prochain, 18h30 à Meazza pour le premier test de la saison, et la réception de la Fiorentina d'Italiano. Tableau Récapitulatif Résumé Cagliari 0-2 Inter Buteur(s): 21' Dumfries (I), 30' Lautaro (I) Cagliari (4-2-3-1): 1 Radunovic; 27 Augello, 33 Obert, 4 Dossena, 28 Zappa (85' 61 Shomurodov); 25 Sulemana (85' 14 Deiola), 29 Makoumbou; 21 Jankto (60' 37 Azzi), 8 Nandez, 19 Oristanio (45' 99 Di Pardo); 30 Pavoletti (35' 77 Luvumbo) Banc: 22 Scuffet, 10 Viola, 14 Deiola, 39 Kourfalidis, 18 Aresti, 37 Azzi, 16 Prati, 77 Luvumbo, 3 Goldaniga, 61 Shomurodov, 99 Di Pardo Entraîneur: Claudio Ranieri Inter (3-5-2): 1 Sommer; 95 Bastoni, 6 De Vrij, 36 Darmian; 32 Dimarco (71' 30 Augusto), 22 Mkhitaryan (82' 5 Sensi), 20 Çalhanoğlu, 23 Barella (71' 16 Frattesi), 2 Dumfries (71' 7 Cuadrado); 9 Thuram (77' 8 Arnautovic), 10 Lautaro Banc: 8 Arnautovic, 31 Bisseck, 34 Agoumé, 7 Cuadrado, 21 Asllani, 49 Sarr, 50 Stankovic, 5 Sensi, 48 Guercio, 12 Di Gennaro, 77 Audero, 30 Augusto, 16 Frattesi Entraîneur: Simone Inzaghi Arbitre: Michaele Fabbri Averti(s): 81' 22 Mkhitaryan (I), 81' 77 Luvumbo (C) Exclu(s): / Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
  12. L'Inter s'est imposée 4-2 contre Egnatia à Ferrara grâce à un doublé de Lautaro et des buts de Barella et Stabile. Les Nerazzurri n'ont pas réussi à trouver le filet en première mi-temps, au cours de laquelle Sherri a réalisé de nombreux arrêts pour préserver le 1-0 de l'équipe albanaise. Bien qu'ils aient pris du retard une deuxième fois, les hommes d'Inzaghi ont continué à pousser et ont fini par marquer trois buts en retard pour repartir avec une victoire. La première mi-temps a mal commencé pour les Nerazzurri, Dwamena ayant trouvé le filet pour Egnatia après seulement six minutes de jeu. L'Inter a eu du mal à trouver son rythme au début mais a commencé à créer des occasions suite à une tentative de Lautaro à la 19e minute. Malheureusement pour les hommes d'Inzaghi, ils ont rencontré un gardien en pleine forme. Barella a essayé, tout comme Thuram (avec sa tête) et Lautaro à nouveau. Il y a eu d'autres efforts de Mkhitaryan et Barella mais Sherri a dit "non" à chaque fois. Le tête à tête du stoppeur avec El Toro s'est poursuivie alors qu'il empêchait d'une manière ou d'une autre une tête à bout portant de l'Argentin à la fin d'une première mi-temps qui s'est terminée avec Egnatia devant. Les Nerazzurri ont accéléré le rythme après la reprise et ont égalisé à la 55e minute. Bastoni a joué un long ballon devant pour Barella qui contrôle et tire du droit dans le filet. Peu de temps après, Barella a de nouveau été impliqué alors qu'il combinait avec Lautaro dont le tir n'avait pas assez de puissance pour battre Sherri. L'équipe albanaise est ensuite repassée devant à la 66e minute, Lautaro ayant été pénalisé une main et Medeiros a marqué le penalty. Le moment clé du match est arrivé à la 73e minute quand Inzaghi a décidé de faire huit changements. Après avoir été une nouvelle fois déjoué par Sherri à la 75e minute, Lautaro a finalement inscrit son premier but quatre minutes plus tard. Le capitaine des Nerazzurri a ensuite marqué son deuxième du match a la 82e minute, convertissant cette fois un penalty pour donner l'avantage à l'Inter. Les hommes d'Inzaghi ont bien géré les derniers instants du match amical et ont pu étendre leur avance grâce à Stabile qui a marqué son premier but en équipe première après une passe décisive parfaite de Correa. Ce match a donc terminé sur un 4-2. INTER 4-2 EGNATIA Buteurs : 6' Dwamena (E), 55' Barella (I), 66' pen. Medeiros (E), 79' Lautaro (I), 82' pen. Lautaro (I), 90' Stabile (I). INTER (3-5-2) : 1 Sommer (77 Audero 73') ; 36 Darmian (31 Bisseck 73'), 6 De Vrij (44 Stabile 83'), 95 Bastoni (50 A. Stankovic 83') ; 2 Dumfries (17 Cuadrado 73'), 23 Barella (21 Asllani 73'), 20 Calhanoglu (5 Sensi 73'), 22 Mkhitaryan (16 Frattesi 73'), 32 Dimarco (19 Lazaro 73') ; 9 Thuram (11 Correa 73'), 10 Lautaro (49 Sarr 83'). Remplaçants : 12 Di Gennaro. Entraîneur : Simone Inzaghi. EGNATIA (3-5-2) : 1 Sherri ; 77 Lila, 13 Malota, 19 Xhemajli; 26 Memolla, 6 Aleksi, 17 Zejnullai, 11 F. Medeiros (27 Isgandarli 75'), 16 Ndreca (28 Ahmetaj 83') ; 9 Paulauskas (82 Kasa 75'), 7 Dwamena (5 Janku 83'). Remplaçants : 12 Dabjani, 44 Fangaj, 29 Musta, 8 Mellugja, 18 Mihana. Entraîneur : Edlir Tetova. Traduction alex_j via le site officiel.
  13. Emil Audero est officiellement un joueur de l’Inter. Le gardien italien s’est livré à Inter TV sur les émotions que représentent cette nouvelle aventure tintée de Nerazzurra Bienvenue à toi Emil : Que signifie pour toi le fait d’arriver dans ce grand club ? "Avant tout, merci! Cela représente tellement pour moi, car c’est un saut de qualité. L’Inter n’a pas besoin de présentation, j’arrive dans un grand club qui, il y a juste quelques mois, a disputé une Finale de Ligue des Champions. Je suis très heureux et motivé : Arriver dans un club de ce niveau me pousse à vouloir encore m’améliorer." Walter Zenga, Légende Nerazzurra, a souvent fait part de son estime pour toi : Quel effet cela te fait-il ? Comme toi, il a évolué à l’Inter et la Sampdoria, c’est un grand exemple à suivre… "Je tiens avant tout à le remercier car cela me fait énormément plaisir : Nous avons déjà parlé ensemble, j’espère me montrer à la hauteur de ses si belles paroles à mon attention." Comment te décrirais-tu comme gardien ? Quels sont tes points fort ? "Je suis un gardien moderne, je m’améliore à travers le travail quotidien, je suis très professionnel. D’un point de vue technique, je me définis comme un gardien qui sait se faire entendre à tous les niveaux." Tu n’as que 26 ans, mais tu fais déjà parti des vétérans de la Serie A. L’Inter est-elle, pour toi, une possibilité de grandir encore ? "Oui, absolument. Dans ma tête c’est une étape importante et je me souhaite qu’elle soit suivi d’autres : J’arrive dans un club avec tellement de joueurs de qualité et d’expérience, je suis ici pour m’améliorer et me confronter aux meilleurs." Parmi les Italiens qui évoluent à l’Inter, tu retrouveras Nicolò Barella, Alessandro Bastoni et Federico Dimarco avec qui tu as aussi joué en U-21... "Cela me fait très plaisir car j’ai de très bons rapports avec eux, nous nous connaissons depuis tellement d’années, du temps de U-15 : Nous avons partagé tellement d’expériences et c’est si beau de les revoir ici, comme équipiers." Tu as aussi été l’auteur de très grandes prestations face à l’Inter : Quels sont, maintenant, tes objectifs en Nerazzurro ? "Confirmer tout ce que j’ai pu réaliser jusqu’à présent : Je chercherai à jouer et et j’ai l’envie de remporter le plus de titres possible." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Tullio Tinti, agent de Simone Inzaghi, d’Alessandro Bastoni et aussi d'Emil Audero, le futur gardien de l'Inter, était invité sur Sky Sport hier soir. Celui-ci s’est livré à cœur ouvert sur l’actu mercato de nos Vice-Champions d’Europe Arnautovic ? "C'est sûr que l'Inter regarde d'abord l'aspect économique. Tous les clubs sont attentifs. L'avant-centre de Bologne a des qualités techniques expérimentées, c'est un joueur important, il pourrait bien aider l'Inter et bien compléter l'effectif". Audero ? "Patientons jusqu’à demain car il y aura aussi les signatures. Ces dernières années, il s'est révélé être un excellent gardien de but. Il a quitté la Juve très jeune, il a joué en Serie B, puis à la Sampdoria où il a toujours été titulaire." "Les joueurs italiens sont les bienvenus. C'est un garçon équilibré et intelligent, il sait quel est son rôle, mais il sait aussi qu'il peut se faire sa propre place. Pour l'instant, il s'agit d'un prêt avec un droit qui deviendra une obligation d'achat liée à ses performances et à celle de l’équipe." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. A travers sa vidéo diffusée sur son canal YouTube, ce mardi, Luca Mastrangelo s’est offert le renégat slovaque "Bravo, bravo bravo, tu as bien fait le faux jeton. Tu te retrouves bien avec l’Argentin simulateur de maladie et le Belge psychopathe.Toi, je vais te surnommer à présent, le Slovaque "Finto Buono" qu’on peut traduire par un faux-jeton. Lorsque l’on ne savait pas ce qu’il se passait, comme dans l’histoire récente de Lukaku, lorsque l’on ne sait pas où vous alliez apparaitre, lors vous faisiez usage de termes cryptique, de mystères: Vous avez toujours fait croire aux Tifosi des choses au point que le Tifoso se disait "Mais le pauvre"…. Vous avez joué sur le fait que le peuple avait de l’affection pour vous, qu'il vous voulait du bien, et en faisant usage de phrases mystérieuses pour le Tifoso, ceux-ci se disaient "Mais non le pauvre , il doit forcément se passer quelque chose dont je ne suis pas au courant, il ne peut pas être aussi mauvais, non." Non, Faux-jeton, non le Slovaque Faux-Jeton, tu te retrouves bien avec le Belge Psychopathe et l’Argentin simulateur de maladie, vous être fameux, 3 Fameuses merdes et même si je ne vous souhaiterai jamais, car je ne suis pas comme ça, du mal sur votre intégrité physique, mais j’espère qu’au niveau sportif vous ferez vraiment de la vraie merde, à m’en saigner les deux mains. Skriniar, vu comment ça s’est passé, je n’ai plus envie d’argumenter, mais aujourd’hui j’ai pris l’air, et je vous montrerai par après où je suis allé et ce que je me suis acheté. regardez bien la vidéo jusqu’au bout. Mais j'ai regardé aussi mon portable et j’ai vu les déclarations de Skriniar, ses déclarations, pas celle d’un autre, depuis Paris: "Nous avons commencé à parler avec le PSG depuis l’été dernier" et c’est vrai et ici, je n’ai rien pour m’énerver , il y avait une négociation en cours l’été dernier, il aurait aussi pu être vendu. Le fait que tu as parlé avec le PSG l’année dernière n’est pas un problème, ce n’est pas quelque chose qui peut m’énerver. "Finalement je suis à Paris et je suis vraiment très heureux" Et là aussi c’est une bonne phrase, qu’est-ce que tu veux dire, tu es sur place, tu ne vas pas dire : "Je suis dans une équipe de merde, je ne suis pas heureux." Si tu es heureux, bonne affaire pour toi "Depuis les premiers contacts, je n’ai jamais eu de doute sur mes intentions" et là, les choses changent, "Depuis les premiers contacts, je n’ai jamais eu de doutes sur mes intentions, je voulais venir à Paris, je pensais que c’était fantastique.." Et là tu es vraiment un batard, un conard, tu es vraiment un connard car TOI, tu nous a fais croire à nous quelque chose que tu avais mis en avant, mais mis en avant depuis des mois et jusqu’à fin janvier, jusqu’en février: Que tu étais vraiment indécis que tu n’avais encore pris aucune décision alors qu’ici tu dis "Depuis les premiers contacts, je n’avais aucun doute sur mes intentions" Tu es quelqu’un de FAUX, tu es un faux-jeton, qui est bien avec l’Argentin simulateur de maladie et le Belge Psychopathe, tu es bien avec eux. "Depuis les premiers contacts, je n’avais pas de doute" avec des Tifosi qui te mettaient des bannières dans la Curva "Resta Con Noi" - "Reste avec Nous". Reste avec nous car ils pensaient, tous croyaient que toi moi-même tu étais indécis, mais en vrai, ça faisait longtemps que tu avais décidé, mais la chose la plus scandaleuse et la plus honteuse est que Toi, tu avais entretemps accepté que le fait que le Club tente de te convaincre par n’importe quel moyen , alors que tu avais déjà accepté depuis le départ, mais tu as continué à faire semblant car tu n’avais pas les couilles de le dire aux Tifosi, aux dirigeants aux équipiers que tu avais déjà pris ta décision, tu n’avais pas les couilles. Que s’est-il passé ensuite ? Le Club t’a offert le brassard de Capitaine pour te montrer à quel point tu comptais pour cette équipe , à quel point tu étais important et TOI, Faux-Jeton, Sous-Merde, tu l’as accepté et tu te l’es mis au bras . Et là, tu as fait croire encore plus au peuple qui t’aime que tu allais devenir le nouveau capitaine et que forcément Nan…Nan.... Si c’est comme tu le dis Toi sous-merde de Slovaque , si comme tu le dis toi-même , que ta décision était prise depuis le début , lorsque l’on a offert le brassard de Capitaine, toi tu aurais du dire NON, non merci, Les gars, je dois vous dire que j’ai déjà pris ma décision : Dans trois, quatre mois, je change d’équipe Et là, le brassard de Capitaine aurait été certainement donné à quelqu’un d’autre, mais tu n’as pas eu les couilles de dire "Non, les gars le brassard de Capitaine je ne la prends pas." Car le Brassard de Capitaine de l’Inter, même si tu pourrais dire l’année dernière, "je n’étais pas le seul à l’avoir porté, car tout le monde l’a vraiment porté", le Brassard de Capitaine n’ets pas une tenue qui chaque dimanche doit passer d’un bras à l’autre , ce n’est pas qu’un bout de tissus, ce brassard qui a été porté par Facchetti, Bergomi, Zanetti, ce n’est pas ça Lorsque l’on t’a donc dit : Tu veux devenir notre Capitaine ? En pensant que tu n’avais pas encore pris ta décision, alors que tu l’avais déjà fait, comme tu l’as dit à présent, Tu aurais dû avoir les couilles de dire : Les gars, Stoppez tout, je dois vous dire quelque chose et tu aurais dû vider ton sac, mais à la place , tu as continué à aller de l’avant: Bravo sous-merde. Je vais d’ailleurs vous présenter ce que j’ai acheté, car grâce à des personnes comme vous qui sont à vomir comme l'Argentin simulateur de maladie, le Belge Psychopathe et le Slovaque faux-jeton, grâce à des personnes comme vous, j’ai décidé de faire quelque chose , une chose que chaque année, je me dis c’est bon , ce sera pour l’an prochain mais je me fais baiser toujours ensuite. Cette année grâce à l’Argentin simulateur de maladie, le Belge Psychopathe, et le slovaque faux-jeton, je suis allé à l’Inter Store et je suis allé acheter le second maillot de l’Inter qui est très beau, très cher et je me rends bien compte qu’il y a des personnes qui se disent qu’elles ne savent pas se le permettre car dépenser autant pour un maillot n’est pas donné à tout le monde, je vous montre le prix de 94.99€ pour l’achat . Je l’ai acheté sans nom, car c’est terminé de me faire avoir comme avec l’Argentin simulateur de maladie, le belge psychopathe et ce faux-jeton de slovaque, je me le disais toujours, mais chaque année, je ne le faisais jamais. De plus, en faisant mettre le nom, le numéro et le patch que l’on met au bras, les 94.99€ devenaient 120€ comme on le lit partout et ça aurait pu encore grimper et ce n’est pas comme si c’était donné . Je me suis donc offert le second maillot de l’Inter qui est très beau et je me suis aussi acheté ce maillot pour le même prix, même je n’ai plus l’étiquette. Celui-ci est aussi très beau, même si personne ne comprend pourquoi le logo est jaune et le sponsor est blanc car ils auraient pu être tous les deux blancs ou tous les deux jaunes, mais celui-ci aussi n’a pas de nom derrière Je veux que le nom des deux derniers joueurs que j’ai pris restent tel quel, et ce sont Darmian et Dimarco, deux joueurs que j’ai dans le cœur et qui, je l’espère, ne me trahiront jamais, mais je pense que si demain, ils viennetà le faire, cela se ferait en toute sincérité, sans vouloir nous enfler sans nous la faire à l’envers, sans rien de rien. Je tiens à vous montrer le ticket de caisse aussi, je l’ai encore car il y en a toujours qui sont là pour dire, "Mais Luca ces vêtements te sont offerts par l’Inter , elle va me régaler deux marrons allez…" Voilà, pour deux maillots, j’ai dépensé 189.90€ vous voyez mais grâce à des personnes comme Lukaku , Skriniar et Icardi, je n’achèterais plus jamais de maillot avec le nom des joueurs dans le dos , je ne veux plus trop m’attacher aux joueurs et c’est juste que vous ayez tous vos idoles, c’est jusque vous aimiez bien un joueur plus qu’un autre, vous connaissez aussi mes petits protégés , j’aime énormément Darmian, j’aime énormément Dimarco, Barella et Bastoni n’en parlons pas, ce sont les joueurs pour qui j’ai le plus d’affection. Vraiment à présent, dans le football d’aujourd’hui, tu as trop de coup de poignard dans le dos, trop et les paroles actuelles du faux-jeton de slovaque sont vraiment pitoyables, très pitoyables, il ne méritait ni le maillot de l’Inter, ni le brassard de l’Inter et encore moins la banderole qu’on fait les Tifosi : Tu ne les méritaient vraiment pas, faux-jeton à la face d’ange, faux-jeton, tu es très bien avec les deux autres. Ciao," Touché, Coulé! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Des images insoutenables déconseillés aux âmes les plus sensibles.... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  17. Davide Frattesi s’est livré à Dazn quelques jours avant de s’envoler au pays de Captain Tsubasa Comment allez-vous ? "Fatigué, mais bien, je suis arrivé très enthousiaste, tout est si beau ici. Et comme on travaille énormément, tu ressens plus la fatigue lors de la mise au vert, en pleine saison ça va de suite mieux." Tu as souvent marqué contre l’Inter et à la suite de ton dernier but, tu as été complimenté par Marotta. Est-ce ce compliment qui vous a convaincu de rejoindre l’Inter ? "En réalité, il y a un an et demi, lorsque nous étions venu l’emporter avec Sassuolo 0-2 au Giuseppe Meazza, je suis resté marqué par le Stade et les Tifosi. Lorsque j’ai eu vent de l’intérêt concret, j’avais déjà pratiquement fait mon choix." Fait important : Tu vas occuper le poste de Brozovic aussi bien dans le cœur du terrain que dans celui de Barella. Comment cela va-t-il se passer ? "Nous sommes déjà voisins et une bonne amitié, qui est déjà présente, peut grandir. Nous avons tous les deux le même caractère, nous nous trouverons." Qu'est-ce que je veux lui voler ? "Je ne sais pas. Aujourd'hui, c’est toujours le milieu de terrain le plus fort d'Italie, j'espère qu'il va continuer comme ça parce qu'il va nous donner un coup de main incroyable." A quels points sont importantes les déclarations de Dionisi ? "Il m'a dit : "Tu as enfin réussi". Blague à part, je l'ai remercié, ainsi que tout le staff. Ils ont été fondamentaux pour moi, surtout lors de ma première année à Sassuolo car je voulais aller à Spezia en prêt mais ils m'ont dit de rester et tout s’est bien passé, beaucoup de mon mérite leur en revient. Ils m'ont aidé dans les moments difficiles, un autre entraîneur ou un autre staff ne l'aurait peut-être pas fait". Ton premier contact avec Inzaghi... "Je l'avais rencontré en Sardaigne, je mangeais des sushis et il m'a tapoté l’épaule (il rit, ndlr). Nous étions encore en phase de négociation, mais je lui avais répété l'idée de venir ici si l'occasion se présentait, et nous nous sommes revus ici : Nous sommes tous les deux ravis, car il a apporté sa contribution pour me faire arriver ici. Et je sais à quel point l’Inter tenait à me recruter." L’impact de sa grand-mère "Je suis très proche d'elle et elle est très jeune d’esprit malgré ses 80 ans, nous essayons toujours de l'impliquer. De temps en temps, elle m'appelle sur Facetime. En ce moment, elle est en Sardaigne avec mes frères." L'émoticône du tracteur "Ce sont les gars du Vestiaire qui m’en ont affublé je l’ai bien aimé et j'ai commencé à l'utiliser. Je vais aussi le laisser un peu aux autres car je suis en train, peut-être, de leur casser les bonbons." Qui t’a a souhaité la bienvenue ? "Bastoni a été le premier, puis Barella et Darmian. Dès que je suis arrivé, tous les autres l'ont fait. Nous en avions déjà parlé en équipe nationale car nous le savions tous. Tout le monde m'a dit que c'était bien d’être ici et je ne peux que le confirmer." As-tu des rêves ou des attentes ? "Je ne peux pas de dire de quoi j’ai rêvé." Si c’est de Chiara ce n’est pas très seins (ou sain).... ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. C'est la confirmation de la Gazzetta Dello Sport: L'Inter devient de plus en plus italienne! Si en 2010, notre Bien-Aimée n'avait aligné aucun italien dans son Onze de base en Finale de la Ligue des Champions, les temps ont bien changé pour la Vice-Championne d'Europe en titre! L'Inter a identifié le profil pour renforcer la défense de Simone Inzaghi. Il s'agit d'un joueur expérimenté qui évolue déjà dans la défense à trois en tant que latéral droit depuis des années: Toloi, de l'Atalanta, notamment parce qu'il connaît parfaitement les autres défenseurs, pour y avoir déjà joué en sélection avec l'Italie. "Toloi se sentirait immédiatement chez lui à la Pinetina, ne serait-ce qu'à cause de tous ces visages familiers. Darmian, par exemple, est le dernier arrivé dans le groupe (Ner)azzurro de Roberto Mancini, mais c'est aussi celui avec lequel l'actuel capitaine de Gian Piero Gasperini devrait éventuellement jouer. Dans le 3-5-2 rigide d'Inzaghi, après la blessure et la mutinerie de Skriniar, l'ancien joueur de United a réussi à passer du flanc droit au rôle de défenseur central avec application et ductilité: Il devrait débuter en qualité de titulaire, du moins au début mais la Garantie "Toloi" permettrait à Matteo d'aider sur l'aile au besoin" "Rafa retrouverait également Acerbi et Bastoni, qui ont pleuré de joie avec lui à Wembley en 2021, mais aussi Federico Dimarco, pilier du nouveau cycle: Si à l'Inter il est désormais toujours un ailier de haut niveau, chez les Azzurri il peut aussi évoluer en tant qu'arrière latéral dans une défense à 4." "L'italianisation d'une équipe dont l'internationalité est déjà inscrite dans son nom ne s'arrête cependant pas à sa base arrière : Quelques mètres plus loin, on trouve Davide Frattesi qui vient de s'ajouter à Barella, soit les deux turbines de l'équipe nationale" "En bref, l'écosystème serait parfait pour intégrer également Toloi, si la Dea décide de se montrer ouverte à la négociation." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. La conférence de presse lançant la saison 2023-2024 s’est tenu ce mercredi 12 juillet soir à 18h00. Celle-ci a vu Giuseppe Marotta et Simone Inzaghi se livrer ouvertement sur l’objectif de la saison : Le Scudetto de la Seconde Etoile Giuseppe Marotta : Des joueurs qui aiment l’Inter Le Calcio "Il s’est passé environ un mois depuis la fin de la saison écoulée qui a vu le Calcio se montrer à nouveau protagoniste avec 3 finales européennes et 5 demi-finalistes. Nous sommes revenus à un poste de grande crédibilité, mais l’écart des recettes des droits télés ne fait que croitre.Une négociation est en cours avec les diffuseurs, je crois en une issue positive." "II y a aussi d’autres difficultés bureaucratiques: L’Italie éclaire l'avant-scène dans l’établissement des codes pour les bâtiments, pour rendre difficile la constructions des stades et pour faire preuve de carence au niveau des structures pour les jeunes. Un autre aspect important à considérer est les capitaux de l’Arabie Saoudite qui peuvent ébranler la nature du football, aussi l’Italien. D’un autre côté, cela vous donne aussi l’opportunité de percevoir des recettes à réinvestir. Mon espoir est qu’Abodi puisse être accompagné dans le processus de réforme du mouvement footballistique italien." Les mérites d’Inzaghi "La saison dernière a été contradictoire, en plus de la Finale d’Istanbul, nous avons aussi remporté deux trophées et le mérite en revient à l’entraineur qui a fait face à des critiques assez sévère, elle a été influencée aussi par la trêve forcée pour la Coupe du Monde. Nous nous sommes bien repris lors de sa phase finale et nous sommes parvenu à conquérir méritoirement une place en Ligue des Champions." "Tout cela est un motif de fierté : Être vice-champion d’Europe est également un autre motif de fierté : L’année qui débute devra être stimulante pour faire de belles choses." Le Mercato "Dans une campagne de recrutement, notre très bravissimme Directeur Sportif Piero Ausilio travaille en étroite collaboration avec Baccin et Inzaghi, dans le respect de la ligne de conduite dictée par la Propriété. Ces dernières années, la Direction a su démontrer que, même sans procéder à de grands investissements, qu’il était possible de parvenir à composer des équipes importantes." "Il reste encore 40 jours d’ici à son terme et il y a encore tant à faire : Ce qui est certain, c’est que nous chercherons à construire une équipe compétitive, avec des connotations aussi différentes comparées à celle du passé avec des jeunes joueurs qui pourront aussi apporter leur contribution à l’équipe nationale." Love Inter "L’Inter sera compétitive, c’est ce que nous voulons : Nous sommes vraiment une belle équipe directionnelle qui aime l’Inter : Je tiens à remercier nos Tifosi qui nous ont toujours accompagné. Le remerciement le plus important doit être fait à la Propriété qui, même dans les difficultés, ne nous a jamais laissé sans ressources afin que notre travail puisse être finalisé. Je remercie aussi Antonello qui est en charge des activités sportives du Club : J’espère que la saison à venir nous régalera de satisfaction." Simone Inzaghi : Nous avons le devoir de remporter la Seconde Etoile Avec quel état d’esprit reprenez-vous ? "Il y a tant d’envie, nous avons vécu une longue saison : 57 matchs, une saison longue et intense composé d’enthousiasme différents car fait de victoire et de titre : Il y a eu des périodes difficiles et l’ensemble du Monde Interiste a été bon pour se compacter et pour en ressortir une saison riche de satisfaction. Je reprends avec l’envie de parvenir à une saison également pleine de satisfaction." Objectif Scudetto ? "Clairement oui, mon idée et l’Adn de l’Inter est la Victoire, c’est le grand objectif, cela ne me convient pas d’y participer avec l’étiquette de favori : Nous sommes l’Inter et nous avons le devoir de remporter la Seconde Etoile, nous y mettrons toutes nos forces. Il y aura de nombreuses équipes en course, mais nous nous y efforcerons." Vous en êtes à votre troisième année… "C’est un motif de grande fierté, je remercie le club et les joueurs qui m’ont aidé au cours de ces deux années, nous avions tant de défis important devant nous, notre parcours en coupe a été presque parfait car nous nous sommes inclinés face à Liverpool et face à City. En championnat, nous sommes arrivé à la troisième place, nous nous devons de faire mieux." Que signifierait le retour de Lukaku à Milan ? Un commentaire sur le Mercato ? "Je suis en parfaite syntonie avec cette Direction qui a toujours été à mes côtés, avec le Président, il y a également cette grandissime harmonie. Nous sommes au travail, il s’agit d’un mercato difficile mais j’estime que nous l’opérons de la meilleure des façons possible : Nous connaissons tous Frattesi et Thuram et Bisseck vient à peine d’en finir avec l’Euro U-21." "Lukaku est un joueur d’une autre équipe et nous savons ce qu’il représente et ce qu’il nous a apporté lors du finale de la saison : Je me suis battu pour le faire revenir la saison dernière, nous aimerions le faire à nouveau cette année, il appartient à un autre club et nous verrons ce que nous pouvons faire." Très prochainement, vous partiez en Tournée, quand est-ce que votre équipe sera au grand complet ? "Cela aurait été un rêve : Il reste 50 jours d’ici à la fin du mercato et j’ai conscience que cela changera encore énormément. Il y a de l’espérance et elle est importantissime en cette première phase de travail, mais le mercato reste imprévisible : Un mercato ouvert ne nous aide pas, nous les entraineurs, mais nous en avons l’habitude." Pouvez-vous déclarer que l’Inter joue la Ligue des Champions pour la gagner ? "Nous avons démontré qu’il n’y avait pas un si grand écart avec City, nous avons joué à armes égales mais nous nous sommes inclinés : Nous avons tenu tête à l’équipe la plus forte d’Europe. Lors de ces deux dernières années, nous avons énormément travaillé, nous avons connu un long parcours. Nous connaissons l’Histoire des dix dernières années qu’a connu l’Inter et lors de ces deux dernières saisons, nous nous sommes améliorés. Nous savons que cela sera difficile de nous reconfirmer en Ligue des Champions, mais il y a de l’espoir et de l’envie." Le départ de Brozovic peut-il poser un problème ? "Je ferai un discours général pour tous ceux qui ne sont plus là : Ils ont écrit l’Histoire de l’Inter, d’Handanovic à Bellanova, ils ont toujours fait de très belles choses. Avec la Direction, nous avons choisi de rajeunir l’équipe : Nous avons perdu des joueurs importantissimes mais d’autres arriveront. Notre espoir à tous est que les nouveaux arrivants feront tout aussi bien." Le Turnover s’est avéré efficace l’année dernière, repartirez-vous sur les mêmes base l’année prochaine ? "Clairement, cette année, nous savons qu’il n’y aura plus la trêve pour la Coupe du Monde et qu'il n’y aura qu’une seule journée en milieu de semaine, mais nous aurons les Coupes. J’aurai besoin de tous les joueurs. J’ai eu besoin de tout le monde de début avril jusqu’à Istanbul, je me souhaite que tous pourront répondre présent." Vous débutez la saison en étant en fin de contrat… "Le club connait ma pensée : Ce qui prime pour moi c’est le terrain, j’ai exprimé le fond de ma pensée au Club et au Président : Je suis très serein." Lautaro sera-t ’il le Capitaine ? "Je dois encore en parler avec l’équipe." Le calendrier est bon, à quel point est-ce important de bien débuter ? "Il sera fondamental de mieux démarrer que la saison dernière, j’ai regardé le calendrier, mais sans plus, les deux derniers mois que nous avions connu aurait dû être les plus difficile et sans notre défaite face au Napoli, nous aurions récolté le maximum de point. Le début de la saison semble assez soft mais toutes les rencontres du championnat réservent des surprises." Est-ce qu’il y a une auto-estime supérieure comparée à la saison écoulée ? "Oui, il y a tellement plus de confiance en soi comparé à la saison précédente. Mais même là, le parcours de l’année précédente en Ligue des Champions, nous avait apporté de l’auto-estime car nous avions affronté le Real Madrid et Liverpool qui se sont ensuite rencontré en Finale et nous avions joué les deux à armes égales." Que perdrait l’Inter avec le départ d’Onana ? "Nous parlons d’Onana qui est un joueur de l’Inter et il sera convoqué demain au stage de présaison. Le mercato est imprévisible et nous savons tous que toutes les équipes italiennes doivent vendre, en premier, avant d’acheter. C’est risqué mais je suis serein : La propriété et le Club m’ont assuré que l’Inter sera compétitive. Nous en avions déjà discuté lors de notre réunion d’avant-mercato." "L’important est que l’Inter soit compétitive comme lors de ces deux dernières années, nous avons connu des problèmes Post-Covid, mais nous avons réalisé des mercato intelligents et nous avons vu à quel point ils étaient positifs." ESPN vous a nommé dans le Top 10 au niveau Mondial : Quel effet cela vous a-t ’il fait ? "Cela m’a fait énormément plaisir, j’espère pouvoir grignoter d’autres places dans le futur." Avez-vous envie de régler vos comptes ? "Non, je n’ai rien à redire: Je pense au terrain, au travail et je chercher à travailler du mieux possible pour mon Club. Chaque entraineur a son propre parcours, sa propre histoire, je me sens bien ici avec le Club, avec les Tifosi, je cherche sur cette voie." Croyez-vous encore en Correa ? "Oui, les joueurs que j’entraine sont les meilleurs du monde et je pense que c’est le cas pour chaque entraineur : Correa est un excellent joueur, il n’a pas répondu présent comme on aurait pu s’y attendre, mais j’ai une confiance maximale en lui : Il est capable de faire mieux et bien plus, je l’ai entrainé et je connais ses qualités." Qui selon vous peut vous défier dans la Course au Scudetto ? "Il y a tellement d’envie de reprendre la compétition, c’est difficile d’établir un classement, le Napoli a réalisé un parcours extraordinaire, mais nous voulons être compétitif, notre désir est de remporter la Seconde étoile, les Tifosi en rêve depuis des années et j’espère pouvoir leur offrir cette satisfaction." A choisir : Remporter le Scudetto ou jouer une nouvelle Finale de Ligue des Champions ? "C’est une demande difficile. Même si l’année dernière nous n’avons pas remporté le Scudetto, c’était une saison incroyable, composée de nuits incroyable vécues avec les Tifosi. Après Istanbul, j’ai embrassé tous les joueurs, c’était comme-ci nous l’avions emporté nous." Auriez-vous aimé entrainer Milinkovic-Savic? "Je ne m’exprimerai pas sur les choix personnels, je l’ai entrainé à la Lazio et il a de très grandes qualités, une habilité technique, de la force physique et c’est un très grandissime joueur, il a choisi de partir en Arabie et il aura aussi le temps de revenir en Europe." Quelle Inter est en train de naitre et qu’attendez-vous du Mercato ? "Nous avons conscience qu’il y a des cases à combler, nous sommes en parfaite harmonie, nous composerons une équipe de 20 joueurs plus 3 gardiens, avec 3-4 jeunes fixes avec nous. Il nous manque encore un milieu et Çalhanoğlu et Asllani seront nos deux PlayMaker, nous devrons être bons et nous améliorer. Avec Bastoni, Acerbi, De Vrij, Bisseck et Darmian, il nous manque encore un homme dans ce secteur." Avec le départ d’Onana, les gardiens qui arriveront devront-ils présenter les mêmes habilités techniques ? "Le gardien devra être bon techniquement, nous verrons si nous pourrons en trouver plus d'un. Ces deux dernières années, d'abord avec Samir, puis avec Onana, nous avons eu des gardiens avec de très bons dribbles. Ce sera à nouveau le cas" Avez-vous l’intention de lancer quelque jeunes de la Primavera ? "Carboni sera avec nous, il fera la mise au vert avec nous: Il a déjà fait ses débuts et a énormément muri. Zanotti a aussi joué l’année dernière et il est maintenant parti en prêt. Il y aura d’autres jeunes qui seront ajoutés: A eux de prouver qu’ils méritent d’être à l’Inter." Avez-vous vu le match de Ligue des Nations avec Barella et Frattesi aux poste de Mezz’ala ? Thuram est-il un premier ou un second attaquant ? "Frattesi et Barella peuvent tranquillement jouer ensemble : Barella a, de temps en temps, déjà été Mezzala gauche: Ce sont deux joueurs très forts. Thuram est un joueur important, il a une très bonne structure physique, il a réalisé trois excellente saisons au Borussia. Il joue pour l’Equipe de France, c’est un joueur d’une valeur absolue." Gosens peut-il être un joueur important pour l’Inter ? Absolument oui, il a bien fini la saison, il a alterné avec Dimarco et s'en est très bien sorti. De là à dire ce que le Mercato peut nous apporter, je ne sais pas, mais je compte énormément sur tout le monde." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. Son transfert officialisé l’international italien, Davide Frattesi, s’est livré en exclusivité sur le canal YouTube Nerazzurro d'Inter TV Pourquoi avoir choisi l’Inter ? "Il suffit juste de voir le palmarès pour comprendre l’importance de l’Inter. Mais il y a déjà un an et demi, lorsque j’ai joué au Meazza face à l’Inter, je suis resté marqué par les Tifosi. Et vu son importance, je n’ai pas pris beaucoup de temps pour y réfléchir lorsque cette opportunité s’est présentée." A quel type d’expérience t’attends-tu et que veux-tu apporter à l’Inter ? "J’espère remporter quelques titres par-dessus tout, Et je voudrais donner clairement, et en premier lieu, de l'engagement, du sérieux et, je l'espère, atteindre les objectifs." Grâce à l‘équipe nationale, tu connais aussi déjà quelques équipiers... "Oui, ce sont tous des braves garçons et je connais très bien Bastoni car nous avons traversé ensemble les différentes classes de jeune de l’équipe nationale, il est né en 1999, comme moi: Je suis impatient de devenir aussi son équipier en club." Vous avez été complimenté par Giuseppe Marotta après votre match au Giuseppe Meazza... "C’était marquant, lorsqu’un Dirigeant de ce calibre te fait un compliment cela démontre à quel point c’est une reconnaissance importante. Cela a aussi pesé dans mon choix." Ton arrivée renforce un milieu de terrain de qualité, est-ce un motif pour t'améliorer ? "Oui, je vais évoluer avec des Champions, je compte leur voler des choses à l’entrainement, de prendre tout ce qu’il y a de positif, et le reproposer sur le terrain : Ce sera un honneur et un plaisir pour moi." Ton premier match aura lieu face à ton ancienne équipe, Monza... "C’est une équipe où j’y ai laissé mon cœur, je me suis lié d’amitié avec tout le monde, ce sera un début chargé d’une double émotion." Quel effet te fait la chaude Tifoserie du Meazza ? "En tant qu’adversaire, c’est difficile, en tant que joueur de l’Inter, cela te motive encore plus, je suis impatient de marquer et d’exulter sous la Curva." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. Après Alessandro Bastoni, Hakan Çalhanoğlu s'engage à son tour à poursuivre l'aventure avec l'Inter. Voici le communiqué officiel "Le FC Internazionale Milano communique qu'il est parvenu à un accord pour la prolongation du contrat du joueur Hakan Çalhanoğlu : le milieu de terrain né en 1994 sera nerazzurro jusqu'en 2027" ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  22. En marge de l’évènement "Sport e Musica nell'era della performance. Basta ancora il solo talento?" qui s’est tenu au Triennale di Milano, le Taulier des Directeur Sportif en Italie s’est livré, hier soir, sur le mercato Nerazzurro C’était une fameuse journée pour l’Inter…. "Les prolongations de Çalhanoğlu et Bastoni étaient deux situations bien préparées depuis longtemps: L’officialisation est finalement arrivée et j’en suis heureux car nous comptons construire le présent et le futur de l’Inter autour d’eux. C’était vraiment quelque chose de voulu, ensemble, d’allonger la durée des contrats en mérite aux prestations des dernières saisons. C’est une reconnaissance pour le travail qu’ils ont réalisé à l’Inter ces dernières années." Était-ce difficile pour Frattesi car on parlait aussi d’un Grand Derby ? "Comme pour toutes les négociations et code promo premier bet, il y a toujours des difficultés et lorsqu’il s’agit de Sassuolo, les difficultés augmentent. Lorsque tu as un club qui prend un joueur, les autres disent qu’ils n’étaient pas intéressés, mais en réalité, il était suivi depuis tant de temps. Ce n’était pas une thématique d’une ou deux équipes, c’est un joueur très fort qui a énormément grandi, un joueur de la Nazionale, et il a attiré l’attention d’énormément d’équipes italiennes." "Nous y avons travaillé et nous avons forcément su nous montrer convaincant car ce garçon nous a donné un coup de main en voyant, en l’Inter, le projet le plus convaincant : Et nous sommes très heureux d’avoir pu porter à terme cette opération." Il reste un autre poste vacant au milieu : Est-ce pour Samardžić ou pour d’autres profils ? "Plus que d’un poste libre, je parlerai plutôt de situation qui peuvent prendre en considération plus qu’un nom : Il y a tant de garçons dont il est important de régler la situation en sortie, et une fois cette situation de réglée, nous pourrons mieux comprendre comment compléter ce secteur qui reste compétitif malgré le fait que Brozovic soit parti." Deux sont partis : Brozovic et Gagliardini, deux arriveront ? "Nous débuterons la saison avec six milieux : En accord avec Simone et Marotta, nous chercherons à composer le meilleur noyau possible pour faire face à toutes les compétitions : Il devra s’agir de joueurs importants. Je cherche à doubler les postes avec 20 joueurs de terrains et trois gardien, nous nous préparons à cela pour le début de la saison." Aimeriez-vous ravoir Lukaku rapidement comme Inzaghi ? Est-ce qu’une semaine de négociation va débuter avec Chelsea ? "Je ne parle pas de temps mais d’idée est Lukaku est une idée importante partagée par tous dans l’Aile Sportive, mais c’est un joueur de Chelsea : Les dialogues avec le club anglais ne se sont jamais interrompu et j’ai bien conscience que le joueur ne sera plus donné en prêt pour une seconde année : Nous évaluons donc la façon dont il nous sera possible de le recruter à titre définitif : Lukaku sait parfaitement bien que nous tenons à le faire revenir à l’Inter et que nous cherchons à trouver une solution." Le Mercato laisse suggérer d’autres ventes, comme Onana ? "C’est le gardien de l’Inter, et nous tenons à aller de l’avant avec des joueurs forts, Onana est un point de force de l’équipe : S’il arrive des offres nous les écouterons. Au jour d’aujourd’hui aucune n’est arrivée ou du moins aucune ne répond à nos attentes : Le discours Onana se termine ici : C’est le gardien de l’Inter. Nous n’attendrons pas jusqu’à la fin du Mercato, mais d’ici à une vingtaine de jour. Et c’est valable pour tout le monde, si nous recevons des offres importantes, nous les évaluerons toutes. Il n’y a pas de date butoir, mais nous ne voulons pas nous priver de quelqu’un." Avez-vous été lassé par les dernières sorties sur les réseaux sociaux de Brozovic avant sa cession ? "Les déclarations sur les réseaux sociaux ne m’intéressent que très peu, ce qui m’intéresse c’est ce qu’a fait Brozo au cours de ses huit années à l’Inter : Elles ont toutes étaient importantes même ce n’est pas non plus comme si toutes étaient excellentes : Ce sont surtout ces dernières saisons qui ont été importantes. Je le remercie pour cela, à présent Brozovic est le passé et Frattesi représente le présent et le futur, comme tous les autres joueurs qui sont restés." Aurez-vous un budget de plus-values solide via la vente des jeunes joueurs ? "Nous avons besoin de travailler dans le respect des paramètres qui nous ont été donnés : L’Inter, comme tous les clubs de l’UEFA, travaille dans le respect de cette règle : Tu dépenses ce que tu gagnes. Si tu parviens à gagner plus alors tu peux dépenser plus, mais il est possible de se montrer très imaginatif : Chaque année nous parvenons à être compétitif et nous avons remportés et disputés deux finales : Nous voulons continuer à être compétitif aussi pour les prochaines années : La qualité d’une équipe ne s’établi pas uniquement sur la somme qu’elle dépense, mais bien plus sur la base d’autres facteurs." Où en est la situation avec Handanovic ? "Son contrat a pris fin, mais nous procéderons à des évaluations à la lumière de ce qu’il se passera dans les prochains jours." Trubin ? "C’est un joueur de talent comme tous les autres joueurs, l’Inter a le devoir de l’observer, et de le surveiller : Il fait partie de ce type-là." Est-ce qu’il s’agira d’un mercato toujours actif dans les prochaines semaines ou est-ce que toutes les opérations seront réalisées en fin de mercato ? "Je vous promets que nous ne ferons rien jusqu'à la fin du mois d'août, à condition que ce soit la dernière discussion et que nous en reparlions en septembre" (il rit) Kovacic ? "Je l'apprécie. D'abord parce que c'est un gars formidable. Ensuite, il y a la satisfaction de l'avoir découvert. Je regrette de ne pas pouvoir eu le temps l'apprécier, non pas parce que quelqu'un m'a forcé à le vendre, mais quand une offre importante arrive comme celle du Real Madrid pour un jeune garçon, et que cette offre vous permet de résoudre certaines situations, il est difficile de dire non. Il est également difficile pour le joueur de dire non au Real Madrid lorsqu'il l'appelle." "À l'époque, nous n'étions pas structurés pour le conserver et le prolonger, car nous devions composer une équipe très compétitive. Aujourd'hui, nous aurions la force de le garder. Nous devons chaque année maintenir un équilibre et un sacrifice par an doit avoir lieu : Cette année Brozovic est parti, et après tant d’années nous nous sommes mis d’accord pour changer quelques personnalités." "Nous avons aussi immédiatement investi aussi sur Frattesi et des jeunes en développement comme Asllani : Nous allons de l’avant." Inconnue mystère "Je dois vous confesser quelque chose : Je n’ai pas de compte Instagram Officiel, je m’en suis créé un pour contrôler les épouses car certaines m’avait créés des problèmes. Tu comprends énormément de choses via les épouses et les fiancées, tu cernes aussi la personnalités des joueurs. J’ai aussi suivi des joueurs, même d’autres équipes. Mais je l’ai créé car l’épouse d’un joueur me posait énormément de problèmes." Frattesi ? "Il représente l’idée que nous avons d’un joueur, il a démontré son talent déjà en Primavera, c’est là qu’il s’est fait connaitre avec la Roma et a fait parler de lui. Ensuite, il a connu un parcours compliqué dans des compétitions inférieures. Il s’est retrouvé à Sassuolo dans une opération comme certains le font pour rejoindre par la suite la Serie B. J’ai eu la possibilité de le voir à Monza et il est revenu assiéger la Serie A, en ayant une croissance constante avec Sassuolo : Il s’est toujours nourrit de ses détracteurs pour s’améliorer, il a de l’ambition et une volonté d’émerger qui ne s’est jamais perdue." "Il a encore une belle marge de croissance, il est jeune. Mais Sassuolo n’est pas l’Inter, la scène change, le stade change, les ambitions changent, les objectifs changent : C’est une chose de vouloir jouer pour faire une belle impression, c’en est une autre de jouer pour gagner des titres, comme cela doit être le cas lorsque tu es à l’Inter : Je suis certain que ce garçon a toutes les qualités et caractéristiques requises pour répondre à ce que nous recherchions." Les Giovanile? "J’ai toujours été chanceux car j’ai énormément travaillé avec les jeunes, j’en ai visionné énormément. Je me souviens du premier talent qui m’a frappé, je venais d’être nommé Responsable du secteur des Jeunes et Beppe Baresi et moi avions convenu de parvenir à convaincre le Président Moratti d’investir davantage sur les jeunes joueurs. "Il nous a accordé un très gros budget et nous sommes partis à leur recherches. L’un des premiers que nous avions acheté se nommait Pandev, il avait tout de suite montré qu’il était très fort. Je l’avais découvert un peu par hasard, mais ce qui compte, c’est l’instinct, le moment clé, celui où tu ressens l’émotion que te procurer un joueur. Nous l’avions recruté aux confins de la frontière hongroises. Et à partir de lui, il y en a eu énormément d’autres en 25 années passées à l’Inter." "Chaque fois que je recroise l’un de ses garçons, ils viennent me saluer, cela me fait plaisir." Est-ce vrai que Kvaratskhelia était sur votre Agenda, il y a quatre ans ? "Oui, mais pas que sur le mien,ce garçon était connu de tous. Des rendez-vous ont eu lieu à l’époque, j’avais même rencontré l'agent personnellement, mais si vous jouez en 3-5-2 avec Conte et Inzaghi, vous avez du mal à l’insérer." "Il y avait aussi la Juventus et la Roma, puis Naples a profité d'une très bonne situation et s'en est bien sorti. Il lui a aussi fallu du courage. Ce n'était pas un joueur très connu, mais tout le monde le connaissait. Tous nos recruteurs le considéraient comme un talent important, qui aurait mérité un investissement. Mais il n'était pas considéré comme adapté à notre système de jeu." Le Fair-Play-Financier "Le football d’aujourd’hui est différent, il y a des systèmes de contrôles qui ne te permettent plus d’investir autant que tu le voudrais, indépendamment des possibilités. Si aujourd’hui il y avait encore un Moratti passionné et avec l’envie de dépenser, les règles actuelles l’en empêcherait : Tu dois dépenser ce que tu gagnes en respectant le palier de 30 millions d’euros sur le triennal." "Si tu ne parviens pas à te créer des opportunités pour les recettes, alors tu dois renoncer à quelque chose : Le Système européen tient compte d’énormément de paramètres, nous vivions avec cette réalité depuis 2014 et ce sera toujours comme ça à présent." La Premier League ? "Juste pour les seuls droits télés, le rapport est de 1/4: La dernière équipe de la Premier League gagne plus que la première de la Serie A. Nous devons utiliser d'autres stratégies : Nous avons de bons Dirigeants, de bons entraîneurs, de bons secteurs de jeunes. Nous avons aussi besoin d'imagination et d'une prise de décision rapide. Eux, sont plus lents dans ce domaine, et nous parvenons parfois à nous faufiler et à ramener le joueur à la maison. Même si, en toute honnêteté, il faut dire que lorsqu'on est sur le même joueur, c’est très rare que nous parvenions à l’emporter." Balotelli "En ce qui concerne les footballeurs, vous abordez les choses de différentes manières. Parfois, nous avons pris des joueurs tout en sachant qu'ils n'étaient pas les meilleurs, mais parce que nous ne pouvions pas faire autrement : Il y en a des exemples de mauvais achats ou de prêts permanents. Peut-être même partagées avec les entraîneurs, qui échappent souvent à toute responsabilité. Parfois, on se trompait parce qu'on avait des attentes qui n'ont pas été satisfaites." "Parfois, on s'imposait encore plus durement, parce qu'on a pris trop confiance en certains joueurs." Mon geste le plus romantique ? "C’est bien connu c'est moi qui ai découvert Balotelli, j'aurais tout misé sur lui, c'était mon Recoba. A ce moment-là, c'était comme un fils. Il est inexplicable que, par rapport au talent qu'il avait, il ne soit pas devenu une folie du football mondial pendant 20 ans." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. On n'attendait plus que l'annonce officielle, c'est chose faite : Alessandro Bastoni prolonge l'aventure avec l'Inter! "Le FC Internazionale Milano annonce avoir trouvé un accord pour prolonger le contrat du joueur Alessandro Bastoni : le défenseur né en 1999 sera à l'Inter jusqu'en 2028." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  24. Nom : Bastoni Prénom : Alessandro Poste : Défenseur central Date de naissance : 13/04/99 Lieu de naissance : Casalmaggiore Pays : Italie Taille : 190 cm Numéro de maillot : 95 Au club depuis : 30/08/17 Position sur le terrain Biographie Pur produit de la formation de l'Atalanta Bergame où il y fait toutes ses classes, Alessandro Bastoni s'affirme comme un cadre naturel en défense durant toutes ces années. Il est notamment champion des U-17 en 2016. Il marque même en finale contre l'Inter... Remarqué par Gian Piero Gasperini, il débute son premier match pro contre Pescara en Coppa Italia (30/09/16). Régulièrement convoqué avec les A, il est titulaire en Serie A pour la première fois au mois de janvier 2017, contre la Sampdoria. Sa seconde expérience sera plus contrastée puisqu'il rentrera 30min contre l'Inter, lors de la lourde défaite des siens 7-1. Repéré par les scouts de l'Inter, il signe en août 2017 mais reste dans l'effectif de l'Atalanta sous forme de prêt. Il jongle entre la Primavera et les A où il ne jouera que 87 minutes (4 apparitions seulement). Peu satisfait de ce temps de jeu, l'Inter l'envoie à Parme en prêt pour la saison 18/19. D'abord blessé, il intègre petit à petit l'équipe et c'est en novembre qu'il se fait une place, qu'il ne quittera plus. En doublette avec le vétéran Bruno Alves il participe au maintien du club en Serie A. 24 apparitions et son premier but en Serie A plus tard, il revient à Milan et signe une prolongation de contrat jusque 2023. Il y découvre Antonio Conte aussi. Ce dernier compte sur lui dans la rotation. Le même schéma qu'à Parme se répète, Bastoni commence à s'imposer comme un titulaire viable. Parcours: En Club: Atalanta (jeunesse-2017) Internazionale FC (2017- en cours) Atalanta (2017-2018 - prêt) Parme (2018-2019 - prêt) En équipe nationale 2014: Italie U-15 & U-16 2015: Italie U-17 2017: Italie U-19 2018: Italie U21 ©Wikipedia
  25. C'est la révélation de la journée signée par la Gazzetta Dello Sport: "Les dirigeants d'Al-Nassr devaient rencontrer Marcelo Brozovic à Zagreb, hier, pour le convaincre d'accepter leur riche offre . Mais le milieu de terrain n'a pas souhaité se rendre à la réunion et le club saoudien s'est donc "limité" à rencontrer quelques hommes de son entourage: Une rencontre qui s'est soldée par une impasse." Cette situation complique donc les plans prévu par l'Inter qui ne sait pas se prononcer de manière décisive sur son remplaçant car il est évident que pour Marcelo Brozovic, ce n'est même pas une question d'argent: "Le milieu de terrain s'amuse sur les réseaux sociaux, et il n'est pas intéressé par un départ en Arabie Saoudite: Le fait est que Brozovic a quelque chose d'autre en tête et plus précisément le FC Barcelone". "Et son "plus à venir", en vérité accompagné de deux émoticônes souriantes, a peut-être entraîné précisément la discussion avec Barcelone car Brozovic veut la Liga. Il a déjà parlé à Xavi et il ne jure que par la Catalogne: Avec le club, il a déjà conclu un accord pluriannuel sur base d'un salaire croissant, dont le minimum est de 7 millions d'euros. Le problème reste que Barcelone, en raison des problèmes financiers connus, n'a pas de liberté d'action sur son Mercato en entrée Et l'Inter ? "Il n'est pas dans une position confortable car à la Viale della Liberazione, tous sont sceptiques sur les deux destinations, à tel point qu'ils n'excluent pas la possibilité que le Croate reste finalement à Milan, ce qui représenterait une double peine pour les Nerazzurri: D'une part, en termes de masse salariale, car le renoncement à Brozovic doit être interprété principalement dans cette direction, mais compte tenu également des renouvellements millionnaires que le club a choisi d'accorder à Bastoni et à Çalhanoğlu." Sans oublier les renforts que l'Inter a identifiés pour son milieu de terrain: "Brozovic met en échec l'Inter" ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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