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  1. En conférence d’avant-match, Alessio Dionisi s’est livré sur l’adversaire de son Sassuolo, à venir : Le Vice-Champion d’Europe en titre : L’Inter! La Cartouche sur la Juve "Cette victoire nous a donné un état d’esprit positif. Nous avons obtenu un résultat en nous imposant face à une équipe d'un niveau supérieur au nôtre. Maintenant, je ne veux plus parler de la Juve, il faut rester conscient, du moins c'est ce qu'on espère, et savoir que ce que nous avons fait contre la Juve ne sera pas suffisant pour obtenir un résultat contre l'Inter car à présent, l'Inter est supérieure à la Juve et même le meilleur Sassuolo pourrait ne pas suffire." "Nous savons que cela ne suffira peut-être pas d’être au meilleur de notre forme, mais parfois nous n'avons pas réussi à être le meilleur Sassuolo : Samedi, nous y sommes parvenus et d’autres fois non, demain nous devrons essayer de mettre en difficulté un adversaire qui semble injouable. Nous aurons besoin de courage pour jouer, de personnalité." "C'est difficile de penser à aller au Giuseppe Meazza et de jouer contre l'Inter pendant 90-100 minutes, mais nous aurons des opportunités, il y aura des moments où nous gérerons le ballon et nous devrons être bons. Nous devrons l’être également lorsque l'Inter aura le ballon et que nous devrons défendre. Je veux reconnaître le courage et la personnalité de mon équipe dans toutes les phases du match, il faut avoir ces qualités pour rester vivant dans toutes les situations du match. Nous l'avons été contre la Juve et nous devrons l'être contre l'Inter, ce qui ne sera pas facile parce que son stade va les pousser et qu'ils sont redoutables, mais nous essaierons." Frattesi? "Je lui donne une tape dans le dos car nous avons une bonne relation, mais c’est le cas avec tout le monde. Il a laissé un bon souvenir ici car c'est un gars souriant qui met de l'énergie dans tout ce qu'il fait. Je lui souhaite le meilleur pour demain et c'est un plaisir de le revoir comme c'est un plaisir de revoir tous ceux que j'ai entraînés. Davide s'est déjà bien intégré, espérons que demain il ne sera pas le Davide que nous connaissons". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Davide Frattesi s’est livré à Dazn quelques jours avant de s’envoler au pays de Captain Tsubasa Comment allez-vous ? "Fatigué, mais bien, je suis arrivé très enthousiaste, tout est si beau ici. Et comme on travaille énormément, tu ressens plus la fatigue lors de la mise au vert, en pleine saison ça va de suite mieux." Tu as souvent marqué contre l’Inter et à la suite de ton dernier but, tu as été complimenté par Marotta. Est-ce ce compliment qui vous a convaincu de rejoindre l’Inter ? "En réalité, il y a un an et demi, lorsque nous étions venu l’emporter avec Sassuolo 0-2 au Giuseppe Meazza, je suis resté marqué par le Stade et les Tifosi. Lorsque j’ai eu vent de l’intérêt concret, j’avais déjà pratiquement fait mon choix." Fait important : Tu vas occuper le poste de Brozovic aussi bien dans le cœur du terrain que dans celui de Barella. Comment cela va-t-il se passer ? "Nous sommes déjà voisins et une bonne amitié, qui est déjà présente, peut grandir. Nous avons tous les deux le même caractère, nous nous trouverons." Qu'est-ce que je veux lui voler ? "Je ne sais pas. Aujourd'hui, c’est toujours le milieu de terrain le plus fort d'Italie, j'espère qu'il va continuer comme ça parce qu'il va nous donner un coup de main incroyable." A quels points sont importantes les déclarations de Dionisi ? "Il m'a dit : "Tu as enfin réussi". Blague à part, je l'ai remercié, ainsi que tout le staff. Ils ont été fondamentaux pour moi, surtout lors de ma première année à Sassuolo car je voulais aller à Spezia en prêt mais ils m'ont dit de rester et tout s’est bien passé, beaucoup de mon mérite leur en revient. Ils m'ont aidé dans les moments difficiles, un autre entraîneur ou un autre staff ne l'aurait peut-être pas fait". Ton premier contact avec Inzaghi... "Je l'avais rencontré en Sardaigne, je mangeais des sushis et il m'a tapoté l’épaule (il rit, ndlr). Nous étions encore en phase de négociation, mais je lui avais répété l'idée de venir ici si l'occasion se présentait, et nous nous sommes revus ici : Nous sommes tous les deux ravis, car il a apporté sa contribution pour me faire arriver ici. Et je sais à quel point l’Inter tenait à me recruter." L’impact de sa grand-mère "Je suis très proche d'elle et elle est très jeune d’esprit malgré ses 80 ans, nous essayons toujours de l'impliquer. De temps en temps, elle m'appelle sur Facetime. En ce moment, elle est en Sardaigne avec mes frères." L'émoticône du tracteur "Ce sont les gars du Vestiaire qui m’en ont affublé je l’ai bien aimé et j'ai commencé à l'utiliser. Je vais aussi le laisser un peu aux autres car je suis en train, peut-être, de leur casser les bonbons." Qui t’a a souhaité la bienvenue ? "Bastoni a été le premier, puis Barella et Darmian. Dès que je suis arrivé, tous les autres l'ont fait. Nous en avions déjà parlé en équipe nationale car nous le savions tous. Tout le monde m'a dit que c'était bien d’être ici et je ne peux que le confirmer." As-tu des rêves ou des attentes ? "Je ne peux pas de dire de quoi j’ai rêvé." Si c’est de Chiara ce n’est pas très seins (ou sain).... ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Homme de ce début de mercato en Italie, Davide Frattesi prends des vacances bien méritée après avoir disputé le Final Four de la Ligue des Nations avec l’Italie. Celui-ci s’est livré au cours d’une très longue interview à la Gazzetta Dello Sport où il estime être dans "l’été le plus important de sa vie" Davide, contrôlez-vous votre téléphone ces derniers temps ? "Pas vraiment car j’ai demandé à mon agent, Riso, de me prévenir uniquement lorsque tout sera quasiment réglé et je me suis évité une autodestruction : Lui est hermétique, ses collaborateurs en ont peur, sont terroriséset il ne m’a encore rien dit : Heureusement que j’ai ma grand-mère Stefania. Chaque jours elle m’envoie les articles de presse qu’elle s’est chargée de filtrer, c’est fantastique" Que ressentez-vous à la lecture d’un Derby de Mercato entre l’Inter et le Milan pour vous ? Et il y aurait aussi la Juve : Les trois grands clubs historique veulent Frattesi. "C’est une belle sensation, je ne peux le nier, mais je suis aussi un peu anxieux, j’aimerai que la situation s’éclaircisse. Je pense à mon grand-père Carmine qui lisait les journaux, il aimait le football et il aurait été si fier aujourd’hui." Vous comprendrez que je ne vais pas vous demander comment se comporte la Mer à Ibiza…. Est-ce que l’Inter a l’avantage ? "Ahahah... Vous comprendrez que cette fois, je ne peux pas m’exprimer aussi librement que lors d’autres interviews, ce ne serait pas correcte de citer une équipe car les négociations peuvent s’interrompre de façon imprévue. Toutefois, je vais me montrer extrêmement sincère : J’ai déjà choisi mon équipe." "Je suis certain que mon agent trouvera la façon de me satisfaire, dans le cas contraire, je le balancerais à la mère. Je connais et je ressens aussi l’intérêt des autres équipes pour moi." Quel a été le facteur déterminant de votre choix ? "Mon poste : Je suis un Mezzala et je veux exploiter mes caractéristiques, je pense que c’est normal : Vous vous aimez écrire, si l’on vous propose, un jour, de présenter une émission à la télévision, peut-être que vous y penserez, mais vous chercherez tout de même à continuer à écrire. Et ce concept est similaire pour moi." Vous pourriez retrouver Barella à l’Inter qui affectionne être au centre à droite, est-ce que cela pourrait être problématique ? "Absolument pas, je peux partir sur la gauche, et si je dois centrer, je peux frapper avec mon bon pied, il m’arrive de faire des dégâts avec l’autre." N’êtes-vous pas effrayé par la concurrence interne ? "Non, cela me conditionnera bien plus positivement : Si je dois prouver quelque chose, cela me permet de me donner plus." La Ligue des Champions sera disputée par les équipes milanaises et non la Juve, est-ce que cela a impacté votre choix ? "J’y pense, j’aimerai la jouer, mais ce n’est pas la première chose que j’ai en tête, ce qui compte le plus c’est le projet, qu’il s’agisse d’une équipe qui est déjà bâtie pour gagner ou en plein reconstruction : Je resterai motivé de la même façon. Je ressens, à 23 ans, le moment de prendre certaines responsabilités." La vente de Tonali a ouvert, de façon inattendue, un canal avec le Milan qui recherche un grand milieu de terrain, vous faites aussi l’objet d’offres en provenance de l’étranger. Est-ce qu’il y a quelque chose qui pourrait vous renfermer ? "Je peux seulement vous dire ce que j’ai garanti à Giovanni Carnevali: Si des offres irrenonçables arrivent, elles seront écoutées : irrenonçables hein." Le 4-2-3-1 n’est pas idéal vu votre profil… "Sassuolo a évolué de cette façon lors de ma première saison avec des bons résultats grâce à Dionisi. Il n’en reste pas moins qu’à trois au milieu, je peux donner plus." Marchisio vous a publiquement envoyé à la Juve, Carnevali a rencontré la Direction turinoise, vous seriez-vous en concurrence pour ce maillot avec on Milinkovic: Que ressentez-vous . "Marchisio est à part car nous sommes amis : Saviez-vous que nous avions la même peur de l’avion ? Dans l’avion pour Ibiza, j’ai fait un saut dans la cabine de pilotage pour savoir si des turbulences étaient prévues. Et pour Milinkovic, ben c’est l’un des plus grands, il a plus de talent que moi mais si je suis en ballotage avec lui cela veut dire que le travail forte ses fruits : Je travaille comme une bête, j’ai une faim incroyable." Votre ami Scamacca pourrait aller à la Roma, seriez-vous ouvert à l’idée d’couter les sirènes tentatrices de la Capitale ? "Non, j’ai appris à raisonner avec le cerveau, je cherche à être plus bien plus lucide dans mes choix et dans la gestion de mes émotions." Il y a un an, vous vouliez fuir Sassuolo, avez-vous bien fait d’y rester ? "Oui, sans l’ombre d’un doute, j’ai énormément de reconnaissance pour ce club, je le porterai toujours au fond de mon cœur. A présent, je suis prêt à partir : Dionisi a été très important dans ma croissance : Lui et le Club ont compris qui j’étais et m’ont attendu pour me remettre sur les bons rails. Il y a des moments dans la vie qui vous marque le plus et cela s’est produit pour moi l’été dernier." Davide, on sait que vous allez porter le maillot d’un Top Club, mais si vous vous plantez lors d’un match, vous ferez face à une pluie de critique… "Et c’est ce qui est beau, je veux faire de mon mieux de la première à la dernière rencontre." Un maillot rayé de bleu, de blanc ou de rouge ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. La Coupe du monde au Qatar a mis en valeur ce que proposera la Serie A italienne dès la reprise du championnat, à savoir de très longue périodes d’arrêts de jeu en fin de première et de deuxième mi-temps Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Vous pouvez voir sur nos terrains ce qui se passe aussi à la Coupe du Monde. Avec un temps de jeu supplémentaire qui s'approche ou qui dépasse les 10 minutes : Un temps de jeu "XL" qui "annule" le temps perdu pour diverses raisons. Et si bien sûr, tout sera toujours perfectible, il est arrivé de voir le temps de récupération monter à +14'+13' pour Angleterre-Iran comme il est tout aussi vrai que Daniele Orsato lors de Qatar-Equateur se limiter à +5'+5'." "Pierluigi Collina, Membre de l’IFAB , soit l'organe qui décide des Lois du jeu, a défini comme plus que possible la règle d’introduction du temps réel, soit un temps égal pour tous. L'idée est vraiment d’y arriver très bientôt. Et Le tableau des cinq dernières championnat de la Serie A est révélateur : En 2018-19 la durée moyenne d'un match était de 55'09" ; en 2019-2020, elle est passée à 55'19";en 2020-2021 à 56'60" ; et en 2021-2022 à 54'47". Cette année, le temps de jeu a chuté pour atteindre les 54’ sur les 15 premiers matchs. Pour faire simple, sur 90’ de jeu possible, seul 60 sont réellement jouées." "Au Qatar, lors des trois premières journées de compétition, pas moins de 105 minutes de temps additionnel ont été données : 5'+5' pour Qatar-Équateur, 14'+13' pour Angleterre-Iran, 2'+9' pour Sénégal-Hollande, 4'+9' pour USA-Pays de Galles, 5'+8' pour Argentine-Arabie saoudite, 2'+7' pour Mexique-Pologne, 4'+5' pour Danemark-Tunisie, 6'+7' pour France-Australie. Des arrêts de jeu interminables: Extra-Large." La Serie A se lance dans le grand bain "Dès le début de la deuxième phase du championnat, préparez-vous à des arrêts de jeu substantielles, même si aucune directive ou diktat n'a été donné pour le moment. Et préparez-vous également au lancement du "hors-jeu semi-automatique", le SAOT . Car ce jeudi, il y aura une réunion d'arbitrage au cours de laquelle le SAOT lui-même sera entièrement illustré, avec des exercices supplémentaires dont certains, en coulisse, ont été effectués sur des matchs déjà joués: Le Calcio enfonce de nouvelles portes!" L’avis de Dionisi "Depuis longtemps, la période allant la 85e et la 95e minute est un match dans le match. Nous allons maintenant en avoir une autre entre les 95' et les 105' et je ne pense pas qu'elle sera spectaculaire ou de haute intensité. Mais ce qui m'inquiète le plus, c'est l'éventuel manque de clarté. Nous avons besoin d'un cadre et de certains paramètres, car nous passons d'une récupération subjective à une récupération presque objective." "Aujourd'hui encore, il existe des différences dans l'évaluation des faits de jeu qui devraient déterminer ce temps de jeu: Si vous l’élargissez, vous élargissez aussi le risque d'avoir des interprétations différentes et des durées de matches trop différentes. La clarté sera donc cruciale mais aussi la communication […] Je suis un peu perplexe mais je suis aussi curieux et je veux positivé comme toujours. J'espère donc que ce sera un moyen de lutter contre la perte de temps et que nous pourrons bientôt revenir à la récupération "traditionnelle". Cela signifierait que le temps réel a augmenté, ce qui reste la chose la plus importante." Ils vont être beaux les Derby Della Madonnina et les Derby d’Italie ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Giacomo Raspadori, Alessio Dionisi, et Giovanni Carnevali se sont livrés à TMW à quelques jours de la réception décisive du Milan Ac sur leurs terres Giacomo à TMW Le Milan se présente à présent avec une partie décisive pour le Scudetto... "Nous devons penser qu’elle est décisive pour nous, nous voulons terminer à la dixième place et nous irons sur le terrain avec le solide sérieux qui nous caractérise depuis toujours." Vous l’aviez remporté au match aller... "Nous sommes conscients que nous pouvons faire de belles choses, pour nous, les jeunes, c’est important de se confronter aux meilleurs." Que feriez-vous en cas de but décisif face au Milan ? "Rien de particulier, comme tous mes buts, ce serait une émotion très grande: Pour nous les attaquants, les buts sont notre essence vitale." Vous sentez-vous prêt pour le grand saut vers un Big ? "Je ne pense pas qu’il soit opportun d’en parler actuellement, nous avons encore un match à jouer, je veux faire ce dernier effort, ensuite nous verrons ce qu’il en sera de mon futur au bon moment." Depuis petit vous supportez l’Inter, est-ce que cela vous motivera encore plus ? "Je ne pense pas que j’en ai besoin, je suis toujours motivé, à tout instant. Cela ne dépend pas de qui j’affronte, j’apporte une juste importance à toutes les rencontres." Qui mérite de remporter le Scudetto ? "C’est la dernière journée qui le révèlera, je dirais, celui qui l’aura mérité, ce sont deux très grandes équipes qui ont réalisé un excellent parcours." Alessio Dionisi à TMW A quel match faut-il se préparer ? "J’avais hâte de vivre cette semaine, je ne pouvais pas rêver mieux que de terminer face à une équipe qui aura tant à jouer. Nous lui ferons face de la meilleure des façons possible et avec enthousiasme. Nous aimerions finir la saison positivement, même si nous savons qu’il s’agira d’un match compliqué." Que vous enseigne la victoire sur l’Inter à Milan ? "Rien, dans le football mon passé fait partie de la préhistoire. Peu importe ce que nous sommes parvenu à faire par le passé, nous espérons que tous se rappelleront ce que nous ferons dimanche." Vingt ans après, est-ce que l’Inter peut inverser l'Histoire en respect au 5 mai ? "Je me limite à parler de Sassuolo, je ne fais aucune faveur à aucune équipe." Giovanni Carnevali à Tmw Le Milan joue le Scudetto face à Sassuolo, à quelle semaine vous préparez-vous ? "Je ne rate jamais rien, dès que nous en aurons terminé avec ce match important de dimanche, il y aura ensuite la finale de la Primavera. Il y a une grande attente pour le match contre l'AC Milan, nous avons eu une demande folle pour les billets, nous avons vendu tous les billets et ce sera une grande fête du football. Milan a son propre objectif, nous avons le nôtre : Le match sera joué avec un grand professionnalisme afin d'obtenir le meilleur résultat." Au Corriere Della Sera sur Gianluca Scamacca... "Peu de joueurs présente ses caractéristiques, il est très prometteur : Il plait aux Nerazzurri comme à d’autres, mais le Calcio ne traverse actuellement pas une période de prospérité économique. J’aimerai bien qu’il reste en Serie A car cela donnerait plus de valeur pour la Nazionale, mais je pense plus qu’il fera l’objet d’um Mercato à l’étranger." Y a plus qu’à espérer…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. L’absence de Marcelo Brozovic s’est extrêmement fait ressentir, ce dimanche, au Stade Giuseppe Meazza. Comme jamais depuis trois saisons, l’Inter ne s’est faite autant dominer à domicile, comme jamais l’absence d’un joueur s’est fait autant ressentir. Une défense catastrophique, une absence de connexion au milieu de terrain et une attaque alignée qui n’a plus inscrit le moindre but en championnat depuis la mi-décembre : Simone Inzaghi, contraint de procéder à un turnover, s’est tiré une balle dans le pied car l’opportunité était très (trop ?) belle de passer devant le Milan tenu en échec à la Salernitana. Si l’Inter s’est incliné suite aux buts inscrit dans la première demi-heure par Raspadori dans un contre assassin à la 8’ et par Gianluca Scamacca, futur Nerazzurro qui ne l’a pas fêté à la 26’, Domenico Berardi a tapé du bois et Milan Skriniar s’est chargé d’éviter la correctionnelle vu l'absence "physique" de Samir Handanovic . De son côté, l’Inter se verra un but de Stefan De Vrij refusé par la VAR suite à un touché d’épaule de Federico Dimarco au début de l’action, à la 95'. Les statistiques pour les Nerazzurri sont éloquentes et une image vaut bien plus qu’un paragraphe L’équipe d’Alessio Dionisi a tout simplement mérité sa victoire et elle y est parvenu avec la manière. Ce mois de février 2022 est tout simplement cauchemardesque avec 3 défaites (Milan, Liverpool, Sassuolo) et un nul (Naples) pour ces 4 derniers matchs. A présent, l’Inter va devoir prouver qu’elle dispose du mental nécessaire pour remporter le Scudetto : Le calendrier lui est favorable et Sassuolo considéré comme l’équipe piège vient d’être joué. Simone Inzaghi va devoir prouver qu’il a l’étoffe d’un Grand à en devenir: Le prochain match de Serie A aura lieu ce vendredi à 21h face au Genoa où il sera grand temps de poser les couilles sur la table : La "seule" bonne nouvelle sera de retrouver sur le terrain, non seulement Marcelo Brozovic, mais également Alessandro Bastoni. Vu ce qu’il a montré : Scamacca mérite-t ’il de porter le maillot Nerazzurro ? Tableau Récapitulatif Résumé Vidéo Inter 0-2 Sassuolo Buteur(s): 8' Raspadori, 26' Scamacca Inter: 1 Handanovic; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 32 Dimarco; 36 Darmian (46' 2 Dumfries), 5 Gagliardini (46' 9 Dzeko), 23 Barella, 20 Calhanoglu, 14 Perisic; 10 Lautaro Martinez, 7 Sanchez Banc: 21 Cordaz, 97 Radu, 11 Kolarov, 13 Ranocchia, 22 Vidal, 33 D'Ambrosio, 38 Sangalli, 42 Casadei, 47 Carboni, 88 Caicedo T1: Simone Inzaghi Sassuolo: 47 Consigli; 17 Muldur, 5 Ayhan (46' 44 Tressoldi), 21 Chiriches, 77 Kyriakopulos; 16 Frattesi (70' 97 Matheus Henrique), 8 Maxime Lopez; 25 Berardi (89' 13 Peluso), 18 Raspadori, 23 Traoré; 91 Scamacca (70' 92 Defrel) Banc: 24 Satalino, 56 Pegolo, 4 Magnanelli, 6 Rogerio, 7 Oddei, 11 Ciervo, 15 Ceide T1: Alessio Dionisi Arbitre: Francesco Fourneau VAR: Paolo Valeri Avertis): Raspadori (S), Muldur (S), D'Ambrosio (I) Expulsé(s) : / Affluence: 38.324 tifosi ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. L'Inter pourrait bouger pour le buteur de Sassuolo Giacomo Raspadori, qui n'est pas satisfait de sa situation dans son club. Et comme le rapporte la Gazzetta dello Sport, les Nerazzuri devront en premier lieu trouver un nouveau club pour Alexis Sanchez s'ils veulent signer l'attaquant de 21 ans dès janvier. Selon le média Italien, Raspadori n'est pas heureux dans l'équipe coachée par Alessio Dionisi, et plus particulièrement frustré d'être souvent remplaçant durant les matchs. Il pourrait pousser pour quitter les Neroverdi en Janvier. Les Nerazzuri considèrent l'attaquant comme une cible à long terme. Sassuolo évalue Raspadori à pas moins de 40M€, mais l'Inter pourrait chercher à le prendre sous forme de prêt avec obligation d'achat. Plusieurs joueurs pourraient être offert dans le cadre de ce transfert, incluant Samuele Mulattieri, Martin Satriano, le milieu de terrain Lucien Agoumé et le défenseur Lorenzo Pirola. Mais avant de considérer la venue de Raspadori, les Nerazzuri devront trouver une porte de sortie à Alexis Sanchez. Le Chilien reste insatisfait du temps de jeu qui lui est donné, et il prend un salaire conséquent de 10,5M€ annuels jusqu'en 2023. L'Inter recherche un club pour El niño Maravilla afin de s'épargner son salaire. Pour le moment, aucune offre sérieuse n'est arrivée pour Sanchez de la part de clubs Européens, qui n'est pas intéressé par les propositions des clubs de MLS ou des Emirats. Si les Nerazzurri parviennent à trouver un nouveau club pour le joueur de 32 ans, il pourrait être sur le point de partir et les Nerazzurri seraient potentiellement libres de recruter Raspadori. ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via SempreInter
  8. Encore une fois un match, une première période très difficile. C'est un fait l'Inter a du mal à performer lors des premières mi-temps. Un Sassuolo très séduisant s'est douloureusement heurté à la loi des champions d'Italie en 2ème période. Récit d'un très beau match de football. L'Inter entame bien son match, avec un bon pressing et des joueurs qui se trouvent bien dans les espaces. Elle se crée une première occasion par Barella, qui manque sa frappe des 16 mètres. Mais plus les minutes s'égrainent plus Sassuolo met en place un pressing qui va mettre en grande difficulté les Nerazzuri. Sassuolo se montre de plus en plus dangereux au fil des minutes, mettant en énorme difficulté l'Inter à la relance, avec un grand Maxime Lopez au milieu de terrain et un Djuricić bloquant constamment les lignes de passes vers Marcelo Brozović. Offensivement, Sassuolo est aussi très entreprenant, notamment par l'intermédiaire de Jérémie Boga, le français étant le détonateur principal de l'attaque Neroverdi. Handanović retarde l'échéance mais l'inévitable arrive. Boga déborde côté gauche, pénètre dans la surface et vient gagner un penalty, au nez et à la barbe de Milan Škriniar via un crochet intérieur foudroyant. Ce dernier accroche Boga et concède le pénalty. Berardi s'en charge et envoie son ballon dans le petit filet d'un Samir Handanović pourtant partit du bon côté. Sur un corner suivant son premier but, Berardi voit même sa volée du pied droit frôler la transversale du Slovène. L'Inter est dépassée par le pressing des hommes de Dionisi. Elle voit s'évaporer son bon début de match et semble en retard sur chaque duel. Les attaquants, notamment Joaquin Correa, ne se montrent pas suffisamment et sont dans les poches des centraux de Sassuolo. Défensivement les Nerazzuri sont coupables d'erreurs grossières, representées par un Stefan De Vrij nettement en dessous lors de ce début de saison, avec deux relances totalements manquées qui auraient pu, qui auraient dû faire but pour Sassuolo. Handanović ira même jusqu'à risquer l'exclusion juste avant la pause sur un ballon en retrait anormalement manqué par le défenseur central néerlandais. Grégoire Defrel joue mal le coup. L'inter s'en sort très bien. La mi-temps arrive comme une bouffée d'oxygène pour une Inter asphyxiée. Début de la seconde période, sur les mêmes bases que la première. Sassuolo attaque, l'Inter défend et n'arrive pas ressortir le ballon. Pendant dix minutes en début de seconde mi-temps les occasions s'enchaînent pour les Neroverdi. Handanović est mis en difficulté mais repousse les assauts des coéquipiers de Jérémie Boga, ce dernier mettant totalement le feu au demi-espace gauche des Interistes. Arrive LE tournant du match à la cinquante-septième minute et le QUADRUPLE changement opéré par Simone Inzaghi, sentant que son équipe est en train de couler. Hakan Çalhanoglu, transparent, pour Arturo Vidal, Denzel Dumfries, trop timide, pour Matteo Darmian, Alessandro Bastoni, en difficulté à la relance, pour Federico Dimarco (nous saluons tous ton crâne rasé digne d'un Borja Valero des grandes années); et Joaquín Correa, pas du tout inspiré, pour Edin Džeko. La minute suivante, Ivan Perisić dépose un exellent centre sur la tête du Bosniaque, qui trompe Andrea Consigli sur son premier ballon. L'Inter revient et montre un regain d'énergie remarquable. Elle vient s'installer dans le camp de Sassuolo et pousse pour passer devant au tableau d'affichage d'un Mapei Stadium en fusion. Džeko est déterminant dans la résurrection de l'Inter dans ce match, parvenant à faire ce que Correa n'a pas réussi: peser sur le quatuor défensif de Sassuolo. L'Inter arrive à conserver un peu plus le ballon dans la moitié de terrain adverse. Au milieu de terrain, Arturo Vidal transcende ses coéquipiers avec une agressivité et une grinta qui ont manquées à Çalhanoglu. La phase de domination Nerazzuri se conclut d'une bien belle manière: sur un délice de passe de Marcelo Brozović, Edin Džeko vient provoquer un penalty face à un Consigli un peu perdu sur le coup. Lautaro Martinez inscrit le second but et fait passer devant les champions d'Italie. Sassuolo reprend un peu les choses en mains sur la fin du match, se crée quelques occasions, mais Handanović répond présent. Les coéquipiers de Domenico Berardi ont même failli se faire piégés dans les dernières minutes, encore par le diable Bosniaque Edin Džeko. Son but sera refusé pour un hors-jeu dans les cinq mètres cinquante, sur un centre de l'hyperactif Nicolò Barella. Le score en restera là. L'Inter prend trois très bons points sur le terrain de Sassuolo avant une nouvelle trêve internationale interminable. Rendez-vous le samedi 16 octobre, 18 heures à l'Olimpico pour affronter la Lazio, giflée par Bologne (3-0). Quel est votre ressenti sur le match de nos champions ? Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Sassuolo 1-2 Inter Buteur(s): 22' Berardi (sp)(S), 58' Džeko (I), 78' Lautaro Martinez (sp)(I) Sassuolo (4-2-3-1): 47 Consigli; 17 Muldur, 21 Chiriches, 31 Ferrari, 6 Rogerio; 16 Frattesi (86' 91 Scamacca), 8 Lopez; 25 Berardi, 10 Djuricic (75' 23 Traore), 7 Boga; 92 Defrel (64' 18 Raspadori) Banc: 22 Toljan, 97 Henrique, 4 Magnanelli, 77 Kyriakopoulos, 56 Pegolo, 13 Peluso, 5 Ayhan, 3 Goldaniga, 20 Harroui T1: Alessio Dionisi Inter (3-5-2): 1 Handanovic; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (57' 32 Dimarco); 2 Dumfries (57' 36 Darmian), 23 Barella, 77 Brozovic, 20 Çalhanoglu (57' 22 Vidal), 14 Perisic; 19 Correa (57' 9 Dzeko), 10 Lautaro (89' 33 D'Ambrosio) Banc: 7 Sanchez, 21 Cordaz, 11 Kolarov, 13 Ranocchia, 5 Gagliardini, 97 Radu, 8 Vecino T1: Simone Inzaghi Arbitre: Luca Pareitto Averti(s): 63' Muldur (S), 67' Perisic (I), 70' Lopez (S), 70' Barella (I), 76' Consigli (S), 80' Raspadori (S) Expulsé(s): / Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
  9. En souhaitant analyser le travail réalisé par Roberto Mancini, Alex Frosio s’est livré à la Gazzetta Dello Sport sur la façon dont la consécration du Sélectionneur National italien peut se voir absorbée par les entraîneurs des différentes écuries italiennes en activité. "Ceux qui ont les idées les plus proche de Mancio sont très jeunes : Italiano a permis à Spezia de se sauver d’une façon exceptionnelle, en misant sur le courage. Sur ce classement, il est second derrière l’Atalanta en ce qui concerne les récupérations du ballon dans la partie de terrain de l’adversaire. A présent, il officiera à l’échelon supérieur avec la Fiorentina. On retrouve également Dionisi et Zanetti qui ont permis à l’Empoli et au Venezia de retrouver la Serie A en pratique un football spectaculaire basé sur l’attaque. Le premier a d’ailleurs été choisi pour remplacer De Zerbi à Sassuolo." "Si l’entraîneur vénitien est moins porté sur un pressing à outrance, on retrouve aussi de l’autre côté Gasperini qui n’a pas cette obsession de construire de derrière, tout comme Mancini ne pousse pas à l’anticipation exaspérée dont s’inspire la Dea. Pourtant, l’Atalanta est l’équipe qui se rapproche le plus de ce que propose les Azzurri, qui joue à trois derrière en possession, avec un double playmaker avec des ailiers qui monte et qui n’hésite pas à tirer (Spinazzola et Chiesa contre Maehle et Gosens), on retrouve aussi une certaine technique lors des combinaisons offensives." "Pioli et Sarri sont des "frères" de Mancini : Ils se sont formés durant des années, ils ont innovés et ils se sont adaptés dans le temps en proposant toujours un football dominat et pro-positif." Et les grands entraîneurs ? "Le discours est plus complexe : Allegri aime la technique, mais ce n’est pas un fanatique de la possession de balle ou de la construction par derrière. Et son credo "corto muso" est une synthèse philosophique de sa façon impeccable d’agir, une façon de faire qui ne trouverai pas sa place dans le lexique "Manciniano"." "Mourinho s’est construit durant des années par sa façon de garer le Bus, mais il reste le seul entraîneur en activité en Serie A a avoir remporté la Ligue des Champions." "Simone Inzaghi est le plus "Allegriano" de la nouvelle vaque et il aime énormément le jeu de transition et de domination, quelque chose qu’il sait faire. Et Juve mise à part, c’est l’entraîneur le plus titré de ces dernières années." Le Saviez-vous ? Y-a-t ’il déjà une belle ambiance du côté de la Vieille Dame ? En effet, à peine de retour aux commandes du club, Massimiliano Allegri a taclé sérieusement Leonardo Bonucci en conférence de presse: "Bonucci capitaine ? S'il veut un brassard, il n'a qu'à aller dans la rue et s'en acheter un. En allant à Milan, il a perdu sa place dans la hiérarchie." - Le Champion d'Europe appréciera..... Et si en fin de compte Simone était le coup de poker gagnant de Giuseppe Marotta ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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