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Des esprits très chauds après le derby d'hier entre la Lazio et Rome. Il y aurait eu une vive dispute entre Mourinho et Lotito! Des esprits très chauds après le derby d'hier entre la Lazio et Rome. Selon ce qui a été reconstitué par la Gazzetta dello Sport, il y aurait eu une vive dispute dans le vestiaire de l'Olimpico entre l'entraîneur des Giallorossi, Josè Mourinho, et le président des Biancoceleste, Claudio Lotito. Il s'est dit: " En quittant le terrain, Romagnoli en effet, selon la Roma, s'est écarté de l'itinéraire autorisé. Il serait passé devant le vestiaire de la Roma en disant à haute voix: " Maintenant, tu ne parles plus ? ". A ce moment-là, Mancini est venu il aurait insulté la Lazio avec un "morceau de m...". Le président Lotito est intervenu et a commencé à les diviser, tandis que tout le monde s'échauffait. Malgré la défaite, José Mourinho est apparu. Le Special One aurait adressé a Lotito en disant : "Qui crois-tu être.... ? " Le numéro un de la Lazio aurait répondu : "Je suis le président de la Lazio et qui es-tu ? C'est chez moi, tu ne devrais même pas être ici". et il a fallu les diviser, Pinto est intervenu pour essayer de faire la paix! Ambiance, ambiance Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Ce samedi soir, à Giuseppe Meazza, deux des plus grandes entités du football européen, l'Inter et le Milan, s'affrontaient dans le cadre de la 24ème journée de Série A. L'enjeu était énorme pour les deux formations. Pour les hommes de Simone Inzaghi, il y avait la possibilité de s'échapper en tête de la Série A, en prenant 7 points d'avance sur son adversaire du jour. Les Rossoneri quant à eux avaient une formidable opportunité de récoller à 1 petit point de son rival Nerazzurri. Et c'est bien l'équipe de Stefano Pioli qui raffle la mise au cours d'un fantastique Derby della Madonnina. Retour sur un match qui laissera de gros regrets à l'Inter. L'Inter de Simone Inzaghi est fidèle à elle-même. Elle prend les commandes du jeu dès la première minute. De son côté, le Milan presse haut les Nerazzurri, avec notamment un "marquage à la culotte" de Franck Kessié sur Marcelo Brozović, le cerveau du milieu de terrain de l'Inter. Le début de match est plutôt haché, les contacts sont rugueux, autoritaires. Le jeu de l'Inter se passe en grande partie sur le côté du Néerlandais Denzel Dumfries, qui rencontrait un sacré client, en la personne de Theo Hernandez. Au milieu de terrain, la bataille tactico-physique fait rage : Marcelo Brozović, Nicolò Barella et Hakan Çalhanoğlu d'un côté, et Ismaël Bennacer, Sandro Tonali et Franck Kessié de l'autre. L'on sent de grandes qualités techniques des deux équipes. Cela se confirme quelques minutes plus tard. Çalhanoğlu décale Ivan Perisić dans l'intervalle, qui centre fort en première intention au second poteau. Tout là bas, Dumfries mange Theo Hernandez et envoie une tête placée dans le tier inférieur des cages de Mike Maignan. Le stade exulte, mais bien malheureusement, Perisić est signalé hors-jeu au départ de l'action. C'est la première grosse alerte pour le Milan. Dans la foulée, à la onzième minute, c'est Brozović qui tente sa chance de loin. Sa frappe est déviée par Pierre Kalulu puis miraculeusement stoppée par Maignan. Les vagues déferlent, notamment du côté droit, où Dumfries domine Theo Hernandez. Le piston Interiste réalise très certainement son meilleur match sous les couleurs Nerazzurri. Barella déclenche lui aussi, de l'extérieur du droit. Sa tentative passe à côté du poteau droit de Maignan. Sur l'action suivante, Dumfries parvient à se retrouver seul en face à face avec Maignan. Mais le portier français remporte encore une fois son duel. Encore après, Edin Džeko contraint Kalulu à mettre sa tête pour sauver la maison Milanaise, sur une remise de la tête de Lautaro Martínez. Les occasions défilent, mais le but lui ne vient pas. Le Milan est noyé par l'Inter. Au milieu de terrain, le trio Nerazzurri prend l'ascendant sur celui des Rossoneri. Brozović se joue de Kessié, tandis que Barella et Çalhanoğlu se baladent à ses côtés. Devant, le duo Džeko-Lautaro domine la charnière Romagnoli-Kalulu. Derrière, l'Inter musèle parfaitement les attaquants Milanais, en particulier leur côté gauche Rafael Leão-Theo Hernandez. L'Inter maîtrise son match et son adversaire. La première frayeur pour l'équipe d'Inzaghi vient d'une frappe lourde de Tonali. Samir Handanović s'employe pour détourner la tentative du milieu Italien. Dans la foulée, une frappe de Leão est déviée de justesse par Perisić, qui voit le ballon filer à quelques centimètres du but d'Handanović. Le couperet tombe à la trente-huitième minute. Çalhanoğlu botte un énième corner dans la boite, et Perisić, qui vient de sauver une balle décisive, reprend le ballon de volée. Sa reprise ras de terre ne laisse aucune chance à Mike Maignan, enfin battu. Le Turc égalise Sergej Milinković-Savić au nombre de passe décisive en haut du tableau des passeurs de la Série A. La domination Interiste est récompensée. Les Rossoneri s'agacent, Theo Hernandez commet une vilaine faute sur Barella. Il s'en sort très bien, sans avertissement. La mi-temps arrive, mais Brozović en décide autrement. Le Croate envoie sur orbite Çalhanoğlu, mais une superbe sortie de Maignan coupe l'action et prive les Nerazzurri d'une balle de break. Dernière chaleure pour les coéquipiers de Tonali, les deux équipes rentrent au vestiaires sur ce score de un à zéro pour l'Inter. Tactiquement, Simone Inzaghi mate son adversaire du jour en bloquant tout ce qui fait ses forces. L'on parlerai presque d'une leçon de football. Au retour des vestiaires, Alexis Saelemaekers, totalement inexistant, cède sa place à Junior Messias. Le match redémarre là où il s'était arrêté : un bon enchaînement de passe se termine dans les pieds de Çalhanoğlu, qui est repris in-extremis par un énorme retour de Bennacer. Le match se poursuit de la sorte, avec tout de même un peu moins de rythme. Mais tout va changer à la cinquante-huitième minute. Pioli sort Kessié et fait rentrer Brahim Díaz. Le petit Espagnol, de part son petit gabarit et son agilité, perturbe énormément la défense Nerazzurri. Partant de là, le Milan ressort progressivement la tête de l'eau. Tonali s'essaie sur coup-franc, sans succès, puis Leão, qui voit sa frappe terminée dans les travées de Meazza. Le deuxième tournant du match vient à la soixante-dixième minute. Simone Inzaghi décide de sortir Perisić et Lautaro, pour faire entrer Alexis Sánchez et Federico Dimarco. Le match contre le Napoli, la semaine prochaine, est déjà dans les têtes. Mais ces changements sont le début de la fin pour l'Inter. Olivier Giroud égalise à un quart d'heure du terme, sur une passe contrée de Díaz. Les Nerazzurri perdent le contrôle du match, notamment à cause de la sortie de Perisić, qui fût un des meilleurs sur la pelouse. Dimarco ne parvient pas à réaliser la moitié du quart de ce que faisait le Croate. Le match va virer au cauchemar trois minutes plus tard, quand Giroud malmène Stefan De Vrij puis place une frappe puissante dans la petit filet droit d'un Samir Handanović pas exempt de tout reproche. Le Milan prend les devants et mène deux buts à un. La désillusion est totale. Une Inter qui avait pourtant tant dominée les débats se retrouve menée à dix minutes du terme. Inzaghi abandonne presque le match en sortant Brozović, sous le coup d'une suspension. L'Inter sort de sa rencontre et se tend, à l'image de Milan Škriniar. Les quelques coups de pied arrêtés sont mal négociés par Dimarco, décidément pas dans un bon jour. Le match va s'achever sur une faute dangereuse de Theo Hernandez sur Dumfries, qui va écopé d'un carton rouge. Il sera suspendu pour la réception de la Sampdoria. L'arbitre Marco Guida siffle la fin d'un Derby qui nourrira de gros regrets du côté des Nerazzurri, qui voient leur voisin se rapprocher à un petit point d'eux. À noter que l'Inter a toujours un match en retard, qui sera à joué contre Bologne. Toujours est-il que les hommes de Simone Inzaghi doivent vite se remettre la tête à l'endroit, car la semaine prochaine, ils iront au stade Diego Armando Maradona pour y défier le Napoli, qui a lui aussi la possibilité de revenir à 1 point en cas de victoire face à Venise. Tableau récapitulatif Résumé Vidéo Inter 1-2 Milan Buteur(s): 38' Perisić (I), 75' 78' Giroud (M) Inter (3-5-2): 1 Handanović; 37 Škriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (82' 36 Darmian); 2 Dumfries, 23 Barella, 77 Brozović (82' 8 Vecino), 20 Çalhanoğlu (73' 22 Vidal), 14 Perisić (70' 32 Dimarco); 10 Martínez (70' 7 Sánchez), 9 Džeko Banc: 7 Sánchez, 36 Darmian, 8 Vecino, 22 Vidal, 21 Cordaz, 33 D'Ambrosio, 11 Kolarov, 13 Ranocchia, 97 Radu, 32 Dimarco, 41 Curatolo, 5 Gagliardini Entraîneur: Simone Inzaghi Milan (4-2-3-1): 16 Maignan; 2 Calabria, 20 Kalulu, 13 Romagnoli, 19 Hernandez; 8 Tonali, 4 Bennacer (80' 33 Krunić); 56 Saelemaekers (45' 30 Messias), 79 Kessié (58' 10 Díaz), 17 Leão; 9 Giroud Banc: 10 Díaz, 41 Bakayoko, 25 Florenzi, 27 Maldini, 33 Krunić, 23 Tomori, 30 Messias, 22 Lazetić, 46 Gabbia, 7 Castillejo, 83 Mirante, 1 Tătăruşanu Entraîneur: Stefano Pioli Arbitre: Marco Guida VAR: Paolo Silvio Mazzoleni Averti(s): 21' Romagnoli (M), 60' Çalhanoğlu (I), 72' Díaz (M), 76' Bennacer (M), 84' Škriniar (I), 90+1' Krunić (M) Expulsé(s): 90+5' Hernandez (M) Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter
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®RTL-SPORT.BE - L'AC Milan et l'Inter Milan s'affrontaient en quart de finale de la Coupe d’Italie mardi soir, et la fin de la première mi-temps a été marquée par un gros clash entre Romelu Lukaku et Zlatan Ibrahimovic. Après une faute de Romagnoli, l'attaquant des Diables Rouges s'est énervé, et le Suédois de 38 ans a décidé de s'en mêler. Les deux joueurs, qui ont évolué ensemble sous le maillot de Manchester United, se sont alors retrouvés tête contre tête. Pour calmer les choses, l'arbitre leur a mis une carte jaune chacun. Lukaku, qui était furieux contre Ibra, est revenu à la charge au moment de rejoindre les vestiaires pour la mi-temps. Le Belge lui a lancé plusieurs insultes, devant même être retenu par un membre du staff afin d'éviter que la situation dégénère. En fin de vidéo, on peut l'entendre dire "Tu veux parler de ma mère?!", en anglais et en italien, et lui balancer "Fils de p*te", en français. Zlatan aurait-il insulté la maman de Romelu? Serait-ce cela le point de départ de l'altercation entre les deux attaquants? La presse italienne est revenue en détails mercredi sur la vive altercation entre Romelu Lukaku et Zlatan Ibrahimovic mardi soir lors du derby Inter-Milan. Mais la presse italienne a pour sa part regretté un "mauvais spectacle qui a gâché un beau match" (La Repubblica). "Un but chacun, un mauvais sketch pour tous", a renchéri le Corriere della Sera. Le Corriere dello Sport évoque une "honte". "Le terrain est un ring", abonde la Gazzetta dello Sport qui évoque des "insultes racistes". Selon le quotidien sportif milanais, Ibrahimovic s'est excusé auprès de ses partenaires pour son exclusion, mais a assuré ne pas avoir utilisé de termes racistes à l'encontre de Lukaku. Voici ce qu'ils se sont vraiment dit D'après La Gazzetta dello Sport, Zlatan aurait effectivement évoqué la maman de Lukaku ainsi que leurs... rites vaudous. Cette histoire de vaudou remonte à 2018. Dans les colonnes du quotidien britannique The Guardian, Farhad Moshiri, le propriétaire d'Everton, était revenu sur le transfert du Diable Rouge à Manchester United. "J'ai passé deux étés à essayer de le conserver. Le premier été, cela m'a pris trois mois, et nous avons réussi à le garder un an de plus. L'été dernier, nous lui avons proposé une meilleure offre que Chelsea mais il ne voulait simplement pas rester... Si je vous dis ce que nous lui avons proposé, vous ne me croirez pas." "Son agent s'est rendu à Finch Farm (le centre d'entraînement d'Everton, ndlr) pour signer le contrat. Puis soudain, durant la réunion, Romelu a appelé sa mère et a dit qu'elle était en pèlerinage en Afrique, qu'elle avait vu une sorte de vaudou qui disait qu'il devait signer en faveur de Chelsea. Que pouvez-vous faire? Son cerveau était parti!", avait-il déclaré à l'époque. Quelques jours plus tard, le conseiller de l'ancien joueur d'Anderlecht avait démenti l'information. "Il s'éloigne de ces croyances. Romelu est très catholique et le vaudou ne fait pas partie de sa vie ni de ses croyances. Il n'avait tout simplement pas confiance en Everton et n'avait aucune confiance dans le projet de M. Moshiri, c'est pourquoi il ne voulait pas poursuivre l'aventure et signer un nouveau bail. On verra maintenant quelles décisions judiciaires peuvent être prises à leur égard". Ce mercredi, Jordan Lukaku, le petit frère de Romelu, a réagi à cette information qui refait surface: "Le belge faisait appel à un quoi ?? Source ??", a-t-il écrit sur Twitter en réponse à un internaute qui republiait un article sur ces soi-disant rites vaudous. Voici l'échange entre les deux attaquants, d'après La Gazzetta dello Sport: Ibrahimovic: "T'es un âne" Lukaku: "Rejoins-moi à l'intérieur petite p*te, on va voir" Ibrahimovic: "Appelle ta mère, pour faire vos trucs vaudous de m*rde" Lukaku: "Je t'emm*rde toi et ta femme, petite p*te" Pour calmer les choses, l'arbitre leur a mis une carte jaune chacun. Au moment de rejoindre les vestiaires pour la mi-temps, la tension entre les deux hommes n'était pas encore retombée. Le Belge a lancé plusieurs insultes au Suédois, devant même être retenu par un membre du staff afin d'éviter que la situation dégénère. "Tu veux parler de ma mère?!", en anglais et en italien, et lui balancer "Fils de p*te", en français. Clash Lukaku-Ibrahimovic: Zlatan s'est excusé auprès de ses équipiers pas auprès de Lukaku Les deux entraîneurs Stefano Pioli et Antonio Conte ont plutôt minimisé les faits après le match, assurant ne pas avoir entendu la teneur des insultes échangées entre les deux joueurs et mis les invectives sur le compte de la tension liée au derby. Pioli n'avait pas souhaité revenir sur les incidents après la rencontre. "Ils sont adultes et testés au coronavirus, je ne sais pas ce qu'ils se sont dits, mais ça peut arriver. Zlatan a présenté ses excuses au groupe après la rencontre. Il s'est un peu emporté dans sa volonté d'aider l'équipe". Conte a également précisé qu'il ne savait pas ce que les deux joueurs s'étaient dits. "Ce sont deux gagnants. Romelu a montré sa colère et je pense que c'est une bonne chose. Romelu est autorisé à se mettre en colère de temps en temps. Il fait des progrès. Il est un joueur très important pour nous". Un conseil: cochez le 21 février dans votre calendrier. L'AC Milan accueille l'Inter pour le compte de la 23e journée de Serie A. L'avis de la spécialiste du ballon rond sur RTL-SPORT: https://www.rtl.be/info/video/770563.aspx Clash Lukaku-Ibrahimovic: d'où vient la rivalité entre les deux attaquants? Le violent clash entre Romelu Lukaku et Zlatan Ibrahimovic de mardi soir en quart de finale de la Coupe d'Italie semble reposer sur bien plus qu'une simple rivalité entre deux attaquants. Alors que tout va bien pour lui en Major League Soccer (MLS, le championnat nord-américain de football), "Ibra" évoque "Big Rom" dans une interview: "Ne vous attendez pas à une bonne technique de Lukaku. Sa meilleure force est sa puissance. Si seulement il m'avait écouté... A United, nous avions fait un pari. Je lui donnerai 50 livres sterling pour chaque bon contrôle. Il m'avait répondu: 'Et si je fais tout bien, qu'est-ce que j'y gagne?' Rien, j'aurais juste fait de lui un meilleur joueur! Pour info, il n'a jamais accepté. Peut-être qu'il avait peur de perdre...". Une attaque gratuite à laquelle le Belge n'avait pas répondu. C'est tout le contraire. "Je me reconnais en lui. On se comprend l'un et l’autre. Peu de gens le savent, mais il m'a beaucoup aidé à l'époque. C'est un champion. Et, comme on dit, il a la mentalité d'un chien. Il n'abandonne jamais. Je continue de suivre ses conseils", avait-il déclaré dans un entretien il y a un peu plus d'un an maintenant. Mais alors, quel est le problème? Est-ce une rivalité sportive qui a tout simplement dégénéré? Probable. Après la victoire de l'Inter face au Milan (4-2) le 9 février 2020, Lukaku avait publié un message sur les réseaux sociaux: "Il y a un nouveau roi en ville". Ce à quoi avait répondu Ibrahimovic le 17 octobre dernier lorsque les Rossoneri avaient battus à leur tour les Nerazzurri (1-2): "Milan n'a jamais eu de roi, ils ont un DIEU". Au classement des meilleurs buteurs cette saison, les deux avants sont à 12 goals chacun. Une donnée à prendre également en compte dans la naissance de cette nouvelle rivalité en Italie. Alors, un conseil: cochez le 21 février dans votre calendrier. L'AC accueille l'Inter pour le compte de la 23e journée de Serie A. Pas de racisme donc comme le prouve le message du Z "Dans le monde de Zlatan, il n'y a pas de place pour le racisme, nous sommes tous de la même race, tous égaux. Nous sommes tous des joueurs, certains meilleurs que d'autres" Un conseil: cochez le 21 février dans votre calendrier. L'AC accueille l'Inter pour le compte de la 23e journée de Serie A. ®RTLSPORT.BE
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