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Marcus, fils de l'ancien parmesan Lilian Thuram, s’est livré au cours d’une longue interview à la Gazzetta Dello Sport sur ses premiers jours à l’Inter : "J’ai trouvé, en l’Inter, une grande équipe, un club organisé avec des entrainements de qualité: Inzaghi et Lautaro m’ont donné confiance en me disant qu’ils ont besoin de moi." Le fait que je ne marque pas énormément ? "En réalité, la saison dernière était ma première saison comme attaquant car je jouais sur l’aile, mon poste de prédilection. Cela m’importe peu que je marque ou que je réalise une passe décisive, ce qui compte c’est de gagner." Un numéro 9 symbolique "Lorsque tu portes le maillot de l’Inter, tu ressens le poids du maillot, pas du numéro. Cela aurait pareil si j’avais choisi le 99, le 8 ou le 7, ils auraient tous eu le même poids, car cela reste une très grande responsabilité. J’ai changé tant de fois de numéro dans ma carrière, le numéro 9 était libre et je l’ai pris sans plus attendre." Allez-vous devenir plus fort que Lukaku ? "Nous sommes deux joueurs différents, je le respecte, mais je suis quelqu’un d’autre." L’Italie, le pays En effet, Marcus a vécu en Italie du temps de son père à Parme et à Turin Quels sont vos souvenirs ? "La nourriture, mmmmh. J’étais trop jeune à Parme, à Turin, je me rappelle l’école, de mes s amis, du parc : J'étais un enfant très heureux, puis nous sommes allés vivre à Barcelone." Ce qu’il y a d’italien en moi ? "Je n’ose pas vous le dire, mais Ok.... mon père me dit toujours que lorsque je suis victime d’une faute, que je reste trop longtemps au sol." Votre première fois au Meazza? "J'ai vu AC Milan-Juve et Trezeguet marquer après un retourné de Del Piero." Vous allez vous y retrouver en tant que protagoniste ? "Je suis impatient, c'est une idée fixe dans ma tête. Le Giuseppe Meazza est l’un des plus beaux stades du monde, mythique pour tous ceux qui jouent au football. Certes, la Serie A a changé depuis que papa a joué en Italie, mais c'est lui qui m'a poussé à choisir ce championnat. Il m'a expliqué que c'est un pays qui vit pour le football. J'avais plusieurs options, mais papa m'a conseillé, recommandé l'Inter". Pour l’anecdote, Marcus a choisi de rejoindre l'Inter, un club qui l'aurait accueilli il y a déjà deux ans, avant qu'il ne se blesse "Je m'étais déjà imaginé portant ce maillot il y a deux ans: Le club Nerazzurro et sa Direction ont été présent pour moi, même après ma blessure. Ils m'ont consolé et ça, je ne l'ai pas oublié. Il était donc naturel pour moi de les choisir. Avoir la chance de recommencer ce que le destin m'avait enlevé il y a deux ans est incroyable." Milan a été à deux doigts de vous recruter : . Savez-vous que le prochain derby sera plus chaud que d'habitude pour vous ? "Les Tifosi du Milan vont m'en vouloir, mais patience! Je sais pourquoi j'ai choisi l'Inter et je ne m'inquiète pas des huées, qui arriveront de toute façon dans le Derby". La seconde étoile dans le viseur "Le Scudetto est notre objectif, nous travaillons quotidiennement pour cela, nous voulons être heureux en fin de saison." L’avez-vous dit à votre ancien équipier Sommer ? "Non, il est trop réservé, j’espère qu’il arrivera, mais il ne s’exprime jamais." Votre idole... "Adriano : Il savait tout faire, je m’inspire de lui." Pourquoi pas Ronaldo ? "Lui non plus ne peut pas être loin de mes pensées : Mon père ne dormait jamais de toute la semaine lorsqu’il savait qu’il devait l’affronter, je m’en souviens bien." Avez-vous vu le Président Zhang à Tokyo ? "Oui, je l’ai rencontré vendredi au déjeuner, il m’a serré dans ses bras et m’a dit qu’il était fier de me voir ici et qu’il était impatient de me suivre en direct." Vous n’avez jamais évolué en 3-5-2... "Je l’ai parfois testé avec le Borussia, je dois comprendre son fonctionnement avec l’entraineur." Lautaro? "Il m’a marqué, impressionné immédiatement: Il est bien plus fort que ce que je ne le pensais." Je suis amoureux vous le saviez ? "Je suis un amoureux du football: Chaque fois que je monte sur le terrain, je suis heureux et dans la vie, tu es fier lorsque tu fais la chose qui te plais la plus au monde, encore plus si les choses se termine bien et je ferais tout ici pour que cela se passe bien." Quelle est la grande différence entre l’Allemagne et l’Italie ? "Le football est le football partout, surtout à haut niveau. Mais ici, on accorde plus d'attention à l'aspect tactique : je le savais déjà, maintenant je le touche de mes propres mains". Que vous a dit Lilian, votre père, de la Serie A ? "Qu’il a énormément changé depuis qu’il y avait évolué en Italie, mais il m’a poussé à choisir ce championnat, il m’a convaincu en me disant : "C’est un Pays qui vit pour le Calcio, tu t’y trouveras bien" et c’est vraiment comme ça." Vous êtes très actif sur les réseaux sociaux, comment vous imposez-vous face aux critiques ? "Je me diverti énormément avec les réseaux sociaux, c’est vrai: C’est un monde ouvert où tout le monde a la possibilité de parler et c'est plus facile de le faire derrière un ordinateur qu’en face à face. Je suis un personnage public : et donc Allez-y, cela ne m'affecte pas. Mais il y a aussi des aspects positifs." "Si je dois faire le bilan, je reçois bien plus d'amour que de méchanceté." Promettez-vous de battre votre record personnel de 13 buts ? "Je travaille sur cela, lorsque qu’une saison débute, l’objectif est de faire mieux que la précédente n’est-ce pas ?" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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C’est l’information de ce début de week-end : la rencontre entre l’Inter et les agents de Yann Bisseck a été bien plus que positive. Né en 2000 et faisant déjà parti de l’U-21 de l’Allemagne Yann a tapé dans l’œil de la Direction Nerazzurra. Si un second rendez-vous a déjà été fixé entre les différentes parties pour finaliser les derniers détails, il est déjà acquis que l’Inter va activer la clause libératoire de 7 millions d’euros insérée dans son contrat. Cette somme sera versée sur une période de deux ans. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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La saison n'est pas encore terminée pour certains Nerazzurri : 12 joueurs de l'Inter seront engagés dans les prochains jours avec leurs équipes nationales respectives. L'Italie, les Pays-Bas et la Croatie s'affronteront en demi-finales de la Ligue des Nations, l'Espagne étant la quatrième équipe en demi-finale. Les autres équipes nationales ont rendez-vous sur le terrain pour les éliminatoires du Championnat d'Europe et pour des matchs amicaux. ITALIE : Acerbi, Barella, Bastoni, Darmian, Dimarco Espagne vs. Italie | Demi-finale de la Ligue des Nations - Enschede, 15 juin 20h45 CEST Playoffs pour la finale/la troisième place | Rotterdam/Enschede, 20h45/15h CEST TURQUIE : Calhanoglu Lettonie vs. Turquie | Éliminatoires Euros - Riga, 16 juin Turquie vs. Pays de Galles | Éliminatoires Euros - Samsun, 19 juin PAYS-BAS : Dumfries Pays-Bas vs. Croatie | Demi-finale de la Ligue des Nations - Rotterdam, 14 juin 20h45 CEST Playoffs pour la finale/la troisième place | Rotterdam/Enschede, 20h45/15h CEST ALLEMAGNE : Gosens Allemagne vs. Ukraine | Amical - Brême, 12 juin 18h00 CEST Pologne vs. Allemagne | Amical - Varsovie, 16 juin 20h45 CEST Allemagne vs. Colombie | Amical - Gelsenkirchen, 20 juin 20h45 CEST ALBANIE : Asllani Albanie vs. Moldavie | Éliminatoires Euros - Tirana, 17 juin Îles Féroé vs. Albanie | Éliminatoires Euros - Torshavn, 20 juin CROATIE : Brozovic Pays-Bas vs. Croatie | Demi-finale de la Ligue des Nations - Rotterdam, 14 juin 20h45 CEST Playoffs pour la finale/la troisième place | Rotterdam/Enschede, 20h45/15h CEST SLOVAQUIE : Skriniar Islande vs. Slovaquie | Éliminatoires Euros - Reykjavik, 17 juin Slovaquie vs. Liechtenstein | Éliminatoires Euros - Vaduz, 20 juin BOSNIE-HERZÉGOVINE : Dzeko Portugal vs. Bosnie-Herzégovine | Éliminatoires Euros - Lisbonne, 17 juin Bosnie-Herzégovine vs. Luxembourg | Éliminatoires Euros - Zenica, 20 juin
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Quels joueurs composeront l’attaque de l’Inter 2023/2024 ? Si l’intention de la Direction est de confirmer la Lula, force est de constater que le reste de ce rempart sera sérieusement revu. Bye Bye Mister Barbecue ! Comme le révèle La Gazzetta Dello Sport, le Tucu sera vendu, il a failli sur tous les fronts. Il y a un été, Simone Inzaghi avait misé sur lui au point de dire non à Paulo Dybala, mais, à présent, son départ n’est plus remis en discussion. L’Inter cherche ailleurs, elle cherche en Allemagne, à l’Hertha Berlin où évolue le belge Lukebakio qui est observé depuis quelques temps et qui coute 10 millions d’euros, ce qui n’est pas donné. Elle suit aussi l’américain Balogun qui appartient à Arsenal et qui a été l’auteur d’une belle saison à Reims. C’est un fait l’attaque changera: "L’Inter cherche d’autres buts pour oublier Istanbul". Tout devrait également tourner autour de la situation entourant Edin Dzeko. Si les feux étaient au vers il y a encore 2 mois pour parapher un contrat annuel pour un salaire de 5 millions d’euros net, quelque chose a changé… Car Edin a reçu une offre de la part de Fenerbahçe pour un contrat de deux ans. L’Inter, à présent, propose un contrat à la Giroud, qui a allongé son contrat avec le Milan pour un salaire de 3,5 millions d’euros net. Comprenez, si Dzeko accepte de signer un contrat pour un salaire inférieur à 4 millions d’euros, son aventure avec l’Inter se poursuivra, dans le cas contraire, l’Inter est prête à parcourir d’autres voies. Il y a aussi Mateo Retegui, dont la ferveur doit être revue considérablement à la baisse lui qui coute 18 millions d’euros. Pour tout vous dire, Giuseppe Marotta et Piero Ausilio ont une autre idée en tête qui avait déjà été ciblé par le Club Nerazzurro par le passé : Gianluca Scamacca ! L’attaquant romain va quitter West Ham et le club londonien est ouvert à un prêt, ce qui est donc une évaluation que l’Inter prend sérieusement en considération en attendant de savoir ce qu’il se passera avec Dzeko. Gianluca, Lautaro et peut-être Romelu, dans l’attente d’un quatrième renfort ce trio pourrait-il vous satisfaire ? Récapitulatif sur l'état des joueurs actuellement en club : ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Interviewé par le Süddeutsche Zeitung, Robin Gosens, l’ailier de l’Inter est revenu sur sa non sélection avec l’Allemagne dans le cadre de la Coupe du Monde qui a sacré l’Argentine: "Ne pas participer à la Coupe du Monde a été une grande désillusion, cela a été le pire moment de ma carrière sportive jusqu’à présent. Maintenant j’ai très envie d’être là pour l’Euro qui se jouera à domicile." "Je dois reprendre ma place, je suis en chasse pour cela car, pour légitimer certaines espérances, je dois me battre pour redevenir titulaire à l’Inter, j’ai la prétention d’être au moins un candidat sérieux à prendre en considération. Pour moi, l’équipe nationale reste le Maximum, en passant à l’Inter je pensais avoir que mes chances de me retrouver régulièrement convoqués augmenter. Mais ce n’est pas ce qu’il s’est passé et les reproches sont envers moi-même.' "Hansi Flick m’a déjà dit clairement qu’il joue avec une défense a quatre et qu’il voit, en mes points forts, la possibilité de jouer sur l’aile gauche, ou d’une façon plus avancée dans une défense à trois et je ne crois pas ne pas être inapte pour une défense à quatre : Je sais comment cela fonctionne car j’y ai déjà joué." Gosens, le Psycho de l’équipe En effet, Robin Gosens a récemment suivi un cours de psychologie à distance et souhaite maintenant l'utiliser en tant que Professionnel car cela lui a permis de traverser des périodes difficiles: "Je dirais surtout que cela m'a aidé à gérer mes relations avec les autres. J'essaie maintenant de comprendre mes coéquipiers à d'autres niveaux. Si quelqu'un ne propose pas ce que vous avez l’habitude d’attendre de lui, durant plusieurs jours de suite à l’entrainement, il peut y avoir une justification derrière tout cela et j’essaie de prendre le temps de parler, de discuter mais sans le mettre au pied du mur." De cette façon, je saurai peut-être pourquoi il court moins, et j'aurais une bonne raison de ne pas me mettre en colère." Un message subliminal destiné à Simone Inzaghi ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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C’est une information de la Gazzetta Dello Sport : Exclu surprise de la sélection allemande pour la Coupe du Monde, l’ailier gauche est prêt à quitter l’Inter: "Le futur de Robin Gosens est loin de l’Inter, son but de mercredi dernier à Bologne n’aura pas suffi à lui faire changer d’idées." "Qui plus est, l’exclusion de la liste des convoqués de l’Allemagne pour la Coupe du Monde lui a encore ouvert plus les yeux: Il ne veut pas rester six mois de plus sur le banc ou, dans le meilleur des cas, ne jouer que quelques minutes après la mi-temps. Il en a déjà informé l’Administrateur-Délégué Giuseppe Marotta et le Directeur Sportif Piero Ausilio." "Pour l’heure, il n’est pas changé d’avis malgré l’estime qui lui a été manifesté par le Président Steven Zhang" Qui pour le remplacer ? Selon Il Giornale, pour remplacer Robin Gosens qui plait sérieusement au Bayern Leverkusen, les joueurs suivant ont été monitorés pour occuper l’aile gauche: Borna Sosa (VFB Stuttgart), Jesús Vázquez (Valence), Alfonso Pedraza (Villarreal), Carlos Augusto (Monza) et Pasquale Mazzocchi (Salernitana) ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Interviewé pour l'émission du Match of the Day de l'Inter contre Salernitana, Robin Gosens s'est exprimé ainsi. "Beaucoup de personnes ont joué un rôle important dans ma carrière, du directeur sportif de l'époque de Dordrecht qui a toujours cru en moi à Gasperini qui m'a beaucoup fait grandir. Une légende des nerazzurri que j'aurais aimé avoir comme colocataire ? Jurgen Klinsmann, aussi parce que lorsqu'il jouait pour l'Inter, il était une idole en Allemagne et partager une chambre avec lui aurait été très intéressant. Compagnie? Eto'o ou Milito, deux joueurs impressionnants. Joueur à défier ? Brehme, il a super bien joué son rôle, j'aurais aimé le défier aussi pour apprendre de sa façon de jouer." "L'état d'esprit et la discipline sont pour moi deux caractéristiques essentielles, sans lesquelles je ne serais pas ici. S'amuser sur le terrain de foot c'est aussi fondamental, c'est quelque chose qui a fait la différence, je me suis toujours fait plaisir et cette chose est restée, même si maintenant il y a la pression j'ai toujours gardé mon amour pour le foot." "J'ai fait mes débuts professionnels à Dordrecht, une petite ville des Pays-Bas mais très importante pour moi. À Bergame, j'ai progressé et grandi en tant que personne et en tant que joueur, ce fut une expérience intense. Milan est une ville unique, déjà quand j'étais à Bergame je venais souvent la visiter, elle est belle et moderne et maintenant je suis heureux d'être ici." "Je me souviens qu'enfant, j'allais à l'école jusqu'à deux heures. Ensuite, tous les jours de trois heures jusqu'au soir, je jouais avec mes amis sur le terrain de football. C'était un petit terrain pas très beau où nous avons grandi et nous nous sommes toujours amusés. On y était 5 ou 6 heures par jour et on se disait toujours que la meilleure chose au monde serait que l'un de nous devienne un jour footballeur professionnel. C'est un souvenir qui me passionne toujours. J'aime lire et c'est aussi pour cette raison que j'ai écrit un livre dont le titre est 'Cela vaut la peine de rêver', une phrase importante pour moi. Depuis que j'ai commencé à jouer au football, David Alaba a toujours été mon idole. Je l'ai regardé quand il était au Bayern et il m'a toujours impressionné par sa façon de jouer différents rôles sur le terrain." "Je suis un homme très chanceux, entrer au Camp Nou et marquer un but important pour l'équipe est une émotion unique." "Jouer pour l'équipe nationale est incroyable et avoir disputé ce match (un but et deux passes décisives contre le Portugal, ndlr) dans un moment aussi important était merveilleux." Traduction alex_j via FCInter1908 et FCInternews.
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Robin Gosens, directement d'Allemagne dans une interview accordée à Sport1, notre ailier s'est exprimé entre le terrain et le marché des transferts. Appel pour l'équipe nationale. "J'ai mis une année de souffrance derrière moi et je suis naturellement heureux d'être de retour ici. Je vois cet appel comme une récompense pour un travail acharné. Mais le billet pour la Coupe du monde au Qatar n'est définitivement pas encore entre mes mains. Je suis prêt à me battre à nouveau. Je ne suis toujours pas dans cet état de forme que j'étais à Bergame, quand mes performances étaient très bonnes. J'en suis proche mais en même temps je sais qu'il reste encore beaucoup à faire." Vous entrez actuellement sur le terrain depuis le banc. Rétrospectivement, était-ce la bonne décision de venir à l'Inter ? "Je joue dans un top club mondial et je suis heureux à l'Inter. Mon objectif est de m'imposer dans ce grand club. Maintenant, je dois jouer trois, quatre, cinq matchs consécutifs, je travaille là-dessus. Même en vue de la Coupe du monde, je dois accélérer un certain rythme." Le Bayer Leverkusen t'a cherché cet été et te voulait à tout prix, qu'est-ce qui est vrai ? "J'ai parlé au téléphone avec Simon Rolfes et nous avons eu un échange sincère et ouvert. Je lui ai dit que je n'avais pas encore terminé à l'Inter et que j'aimerais me battre. Je me sens très bien maintenant à l'Inter et je n'y suis certainement pas contre mon gré. Je suis super motivé et content des tâches qui m'attendent. Mais je ne suis satisfait que lorsque je suis sur le terrain, c'est un objectif que j'ai avec moi-même." Après le Championnat d'Europe, vous étiez le héros, quelques mois plus tard, le calme est revenu autour de vous. Comment avez-vous vécu ces deux phases ? "C'était difficile. Après le match contre le Portugal j'étais sur toutes les lèvres, ça a été une explosion médiatique. Soudain, dans mon pays d'origine, il y a eu des journalistes et des caméramans à la porte de la maison de mes parents. Mes parents m'ont appelé et m'ont demandé : 'Que devons-nous faire, devons-nous les renvoyer ?' Bien sûr, je préfère qu'il y ait du battage médiatique plutôt que de ne pas être remarqué du tout. Mais vous devez d'abord trouver votre chemin. Rétrospectivement, ce n'était certainement pas juste que pendant le Championnat d'Europe, j'aie été tant loué et célébré, mais même pas que quelques mois plus tard, ils m'ont annulé. Les vagues de haut en bas sont trop extrêmes." Votre famille vous a-t-elle aidé à traverser les moments les plus difficiles ? "Ma famille a toujours été ma garantie de succès. Je peux toujours compter sur elle. Mon fils est né pendant que j'étais blessé. Tout cela a eu une influence positive. Nous, les footballeurs, vivons dans une sorte d'univers parallèle et nous avons besoin d'être enracinés dans la famille." Qu'est-ce que Hansi Flick vous a dit quand il vous a appelé ? "Il m'a appelé et m'a dit: 'Robin, je veux avoir une idée de toi et de ta forme.' Nous étions toujours en contact même quand j'étais blessé. Hansi a aimé le fait que j'ai joué deux matchs en Ligue des champions en tant que titulaire. Je suis reconnaissant d'avoir pu démontrer avant même la Coupe du monde. C'était dur pendant la blessure. Au Championnat d'Europe, j'étais une star et l'avenir dans mon poste, puis la blessure et du coup, il faut recommencer, repartir de zéro. David Raum et Christian Gunter ont fait beaucoup. Eh bien, avec le recul, je dirais que j'ai mûri après cette chute." Jouer pour un club en Bundesliga à l'avenir ? "J'ai la grande volonté de réaliser ce rêve. Je pense qu'en tant que joueur allemand qui joue pour l'équipe nationale et qui a de l'expérience dans des ligues étrangères, je pourrais également être intéressé par de nombreux clubs de Bundesliga à l'avenir. J'ai toujours suivi la Bundes depuis que je suis enfant et je la regarde encore aujourd'hui en Italie : c'est le seul championnat que je regarde en permanence. Bien sûr, rien ne garantit que cela se réalisera, mais je l'espère vraiment. Si le rêve de la Bundesliga devait se réaliser, Schalke serait certainement le club parfait. C'est toujours le club que j'ai encouragé. Tout le monde dans ma région l'encourage. Si jamais j'y arrive, ça refermera la boucle." Traduction alex_j via FCInter1908 et Sempreinter.
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L’Inter présente au Qatar lors du Mondial ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C’est une information que nous relaye Tuttosport : "Jusqu'à il y a quelques semaines, l'Inter ne prévoyait pas cette possibilité, mais ces derniers jours, l'orientation du club a changé lors des réunions organisées pour analyser les performances de l'équipe et dont l’objectif est d’évaluer la préparation athlétique." "Quelque chose n'a pas fonctionné est sous les yeux de tous, même si selon les données en possession du Staff de Simone Inzaghi il n'y aurait pas de points alarmants et s’il est inutile de ne pas ressasser le passé, mais de se concentrer sur l'avenir, c’est parce que tous sont convaincu que le Tournant de la saison aura lieu après la Coupe du Monde au Qatar." "Et c’est précisément là où le Club compte s’envoler, étant donné que le 18 janvier, la Super Coupe d’Italie se disputera à Riyadh contre le Milan AC et le premier trophée revêtira une importance toute particulière à la lumière des étincelles qui ont produit les derniers derbys: Avec l'élimination de l'Italie, Simone Inzaghi aura beaucoup d’éléments avec qui travailler, comme les joueurs présents hier à Appiano : Alex Cordaz, Samir Handanovic, Danilo D’Ambrosio, Matteo Darmian, Roberto Gagliardini, Henrik Mkhitaryan, Hakan Çalhanoğlu et Romelu Lukaku. Mais le Big Rom sera lui "absent" car occupé au Mondial avec la Belgique. Toutefois, il y aura la présence des Francesco Acerbi, Nicolò Barella, Alessandro Bastoni, Federico Dimarco, Edin Dzeko, Milan Skriniar et Raoul Bellanova, sans oublier Joaquin Correa et Robin Gosens qui ne sont pas sûr de disputer le Mondial avec l’Argentine et l'Allemagne." "Cette thématique sera d’ailleurs abordée aujourd'hui à la Pinetina lors de la rencontre entre Giuseppe Marotta, Piero Ausilio et Simone Inzaghi entouré de son staff. L'objectif est que tous se regardent droit dans les yeux pour tout mettre en œuvre pour inverser la tendance de la saison… Et un stage dans la chaleur qatarie pourrait, peut-être, être la première clé d'un nouveau départ après la Coupe du Monde." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
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En effet, avec une Coupe du Monde à disputer en plein mois de novembre, tous les clubs seront confrontés à une situation totalement inédite : Qu’il s’agit d’anticiper le tout au Mercato, de s’organiser pour le championnat, cette situation est une première! Révélation de la Repubblica La Beauté du Calcio "Des vacances adaptées ne sont pas à exclure pour la période Post-Mondial, avec les meilleurs joueurs fatigués par le tournoi, et encore plus pour ceux qui termineront dans le top 4 et qui auront donc disputés sept matchs. De plus les "pièges" des petites équipes pourrait logiquement s’avérer être les plus dangereux. Mais la plus importante concentration des Mondialistes concernera objectivement les grands clubs, ceux qui jouent les Coupes, ceux qui sont aussi ceux qui savent faire la différente, c’est évident." "Le Milan, par exemple, mis à part Tonali, verra partir tout le noyau jeune qui lui a permis de faire le saut en qualité : Maignan, Tomori, Theo Hernandez, Leao, Saelemaekers plus la nouvelle recrue De Ketelaere. Le Sénégalais Ballo-Touré sera également de la partie tandis que devant, trois joueurs, Giroud, Rebic et Origi, attendent le retour de leur Sélectionneur National." "La caractéristique du groupe milanais est que ses joueurs de la "Coupe du monde" appartiennent presque tous à des équipes nationales très ambitieuses. Ils peuvent donc rester longtemps au Qatar, plus ou moins comme les joueurs de l'Inter d’ailleurs avec De Vrij et Dumfries (Pays-Bas), Lautaro et Correa (Argentine), Brozovic (Croatie), Gosens (Allemagne), Lukaku (Belgique) et Onana (Cameroun)". "A la Juve, à part Pogba bien sûr, les hommes du "dernier carré" sont Di Maria, Rabiot et, s'il est appelé, Alex Sandro : l'objectif pour Szczesny (Pologne), Vlahovic (Serbie) et McKennie (USA) est de passer la phase de groupe. La quatrième équipe engagée en Ligue des Champions, le Napoli, n'enverra pas ses hommes au Qatar, surtout si Fabian Ruiz, qui n’a plus évolué pour l’Espagne depuis l’Euro, n’est pas rappelé." "Kim, Anguissa, Zielinski, Lozano et Olivera n'appartiennent pas aux groupe des joueurs considéré comme des favoris au poste d’internationaux, ce qui pourrait s'avérer un grand avantage pour Spalletti car le calendrier de janvier-février offrira à Naples trois confrontations directes contre l'Inter, la Juventus et la Roma. La Roma elle-même enverra Dybala, Abraham, Rui Patricio et peut-être Wijnaldum au Qatar, ainsi que Zalewsky et peut-être Vina." Selon vous, la Coupe du Monde peut-elle sourire au Napoli, ou est-ce que les Grands d’Italie seront gérer de la meilleure des façons cette situation inédite ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Oliver Kahn, ancien gardien de but légendaire du Bayern Munich et de l'Allemagne, estime que le gardien de but de l'Ajax lié à l'Inter est stylistiquement comme un croisement entre Marc-André Ter Stegen du FC Barcelone et Alisson de Liverpool. S'adressant au tabloïd allemand Sport Bild dans une interview publiée dans l'édition imprimée d'hier, Kahn a fait l'éloge d'Onana qui, selon lui, pourrait devenir l'un des meilleurs gardiens du monde. Onana est tout prêt à rejoindre l'Inter, il faudra attendre cet été et son transfert libre avant d’officialiser sa venue. Le Camerounais a été identifié par le club comme le successeur à long terme du capitaine Samir Handanović. Le joueur de 25 ans s'est imposé comme l'un des jeunes gardiens les plus impressionnants d'Europe au cours des dernières saisons avec les champions néerlandais, malgré une suspension pour dopage d'un an. Onana n'a pas encore pleinement développé son jeu et a souffert de quelques erreurs très médiatisées lors des derniers matchs depuis son retour de suspension, mais Kahn ne doute pas de ses qualités. "André Onana fait partie du top 5 des meilleurs gardiens de but du monde", a-t-il déclaré. "Étant de la jeune génération, il est beaucoup plus souple que nous ne l'étions". Il a ajouté que "Onana est agile, rapide, puissant, et sa capacité à lancer le jeu en construction est excellente. Il est un peu comme un mélange entre Alisson Becker et Marc André Ter Stegen. Ce gars peut devenir le meilleur s'il continue à travailler dur." ®Internazionale.fr ~ Kroutch Via SempreInter
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Jurgen Klinsmann préface Liverpool-Inter : "Les Reds sont humains"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Interviewé par la Gazzetta Dello Sport, la légende Nerazzurra, Jurgen Klinsmann, s’est livré sur Liverpool-Inter Alors Klinsmann, y-a-t ’il vraiment une chance à Anfield ? "Il y a toujours la possibilité, en 90 minutes de jeu, il peut toujours se passer des choses inimaginables. Même si Liverpool est exceptionnel, les Reds sont humains. L’Inter est d’ailleurs dans sa meilleure condition pour tenter le coup : Elle n’a plus rien à perdre. Si jamais elle marque en première période, la confiance va grandir et qui sait…" Qu’est-ce que le match aller au Giuseppe Meazza, vous a enseigné ? "Que l’on gagne par les détails : Il ne manquait que les buts à l’Inter, mais si elle répète le même match qu’à l’aller et que cette fois le ballon rentre…. De plus, même si l’Inter se devait d’être éliminée, on analysera le comment de cette élimination, c’est lui qui fera la différence : La manière dont vous affronterez Liverpool marquera également la fin de la saison : vous devez vous battre comme des lions, en étant courageux, en apportant de l’enthousiasme pour battre tous les adversaires de la Serie A." Quelle image conservez-vous de la remontée face à Aston Villa ? "Lorsque je ferme les yeux, je revois encore un Meazza comble de petits cartons pour la chorégraphie. J'ai marqué en tombant, après un duel avec les défenseurs centraux, puis ont suivi les buts de Berti et Bianchi. Je me souviens de l'énergie de Trapattoni, il savait comment parler à votre cœur, il vous faisait croire que vous étiez spécial : Au final, nous avons remporté a Coupe. Je vois en Klopp la même capacité à communiquer que Trap : le secret de Jurgen est la simplicité, il ne fait qu'un avec son équipe." Voyez-vous également quelque chose de l’entraîneur allemand, en Simone Inzaghi ? "La passion sur le banc, l’enthousiasme : Il est sur le bon chemin, il peut devenir en entraîneur du Top partout en Europe." Comment est perçue la Serie A aux Etats-Unis ? "Elle est vue depuis longtemps comme divertissante : Tout peut arriver, ce n’est plus seulement un tête à tête entre les milanais car le Napoli est là et la Juve, mine de rien, revient. En ce qui concerne l'Inter : il est normal d'avoir traversé une période difficile, et même si elle a été longue, elle a retrouvé la raison." Comment a fait votre Inter, pour remettre en question, un championnat qu’elle avait en main ? "C’est grâce à la bravoure de tous : L’équipe est parvenu à retarder les effets des ventes estivales : Avoir perdu Romelu Lukaku et Achraf Hakimi ne pouvait pas laisser aucune trace. Même si Edin Dzeko et Denzel Dumfries font de belles choses, l’absence de ces deux-là s’est fait ressentir sur cette longue période." Avec la Goleada à la Salernitana, c’en est terminé du "SOS attaque"? "Mais non, il n’y a jamais eu de SOS ou d’un quelconque vrai problème. Celui qui a été attaquant le sait : La frustration grandi lorsque le ballon ne rentre plus, mais ce n’était pas uniquement une question d’offensive : Toute l’équipe ne tournait plus aussi bien qu’avant : Tout le monde a retrouvé son niveau et les buts sont revenus." S’Il s'est libéré en A, Lautaro n'a plus marqué en Ligue des champions depuis des lustres : comment le voyez-vous aujourd'hui ? "Je suis intrigué par sa croissance. Et je pense que la prochaine étape sera la consécration internationale. Même au Qatar, il a ses chances de l’emporter avec l’Argentine. A ses côtés, il y a Dzeko qui ne vieilli jamais : A 35 ans, il reste toujours celui qui pense aux autres et pas à lui-même." Pensez-vous que Dzeko et Lautaro sont bien assortis ? "C’est avant tout un duo et ce n'est pas banal : Je ne supporte pas la mode de jouer avec un seul avant. À Milan, j'avais Serena à côté de moi, à Munich Rizzitelli, à Tottenham Sheringham, et en équipe nationale Voeller : il n'y a rien de plus fascinant que deux attaquants qui se sacrifient l'un pour l'autre. Dzeko et Lautaro forment une vraie et belle paire : la compatibilité se trouve en jouant." Entre les deux, qui vous ressemble le plus ? "Tu prends Lautaro, tu le mélanges avec Dzeko et tu fais... un Klinsmann : Je dirais que je suis au milieu. En parlant de similitudes, Barella est un joueur complet et vital, il me fait vraiment penser à Lothar Matthaeus : je sais que c'est un grand compliment pour lui, mais il le mérite. Si je devais lui trouver un défaut, je dirais qu'il en fait parfois trop : ralentir de temps en temps peut aider." Il y a un nouveau latéral gauche allemand à l'Inter, et le parallèle avec Brehme a été immédiat. "Gosens fera de très belle choses: il est vif, intelligent et humble. L’Inter a procédé à un recrutement logique, mais il n’est pas possible de les comparer : Andy est unique. Où trouver quelqu'un qui tire un penalty du pied gauche en Coupe du monde et qui, quatre ans plus tard, en finale, tire un penalty du pied droit ? Nous plaisantons encore sur ses buts à Mexico 1986 et Italia 1990." Aimeriez-vous, voir un jour, Jurgen Klinsmann, entraîner l’Inter ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 6 commentaires
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Robin Gosens : "Devenir un grand joueur de l’Inter"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Robin Gosens, qui est impatient de débuter sous la vareuse Nerazzurra de l’Inter, s’est livré à Dazn: Comment dire.... Epic Fail! Blessure "Avec la blessure que j’ai connu, je ne peux pas donner de délais, le plus important est que j’aille bien. Je reprends confiance, je m’entraîne bien et selon moi, cela ne devrait tarder. J’ai déjà fait certaines choses sur le terrain et j’espère revenir au plus vite, mais sans me mettre de pression, cela ne sert à rien. Je suis resté marqué par la Grandeur du Club. L’Atalanta est sans aucun doute un club important, mais l’Inter est un Club Historique." Vous serez indisponible à Naples, mais vous apprenez à découvrir vos équipiers. Qu’est-ce qui pourrait faire la différence ? "La clé selon moi est de pouvoir pratiquer notre football, si nous parvenons à le faire à Naples, nous aurons une bonne chance de l’emporter. C’est sans aucun doute une rencontre fondamentale, face à un concurrent direct, et nous tenons à l’emporter." A quel point êtes-vous fier du parcours réalisé ? "Je le suis énormément, j’ai fait tant sur le côté pour arriver à ce niveau, même si je sis moins talentueux que les autres, ma force a toujours été dans la mentalité et la discipline. Cela m’a porté loin, c’est pour cette raison que je suis fier d’être arrivé à l’Inter. J’ai passé tellement d’heures sur les terrains et dans les gymnases avec l'objectif de m’améliorer." Qu’est-ce qui vous a marqué chez Zhang ? "Il m’a raconté être le premier Tifoso de l’Inter. Il m’a objectivement dit, qu’à présent, j’évolue pour un club prestigieux et cela m’a apporté une confiance énorme, il m’a dit que nous allions jouer à des niveaux très élevés et qu’il avait toute confiance en moi." Même Angela Merkel a parlé de vous lors d’un sommets entre Chefs d’Etats...... "Elle a été fondamentale en Allemagne ces dernières années, si elle parle bien de moi, cela ne peut me faire qu’énormément plaisir." Est-ce vrai que vous seriez devenu policier si vous n’aviez pas pratiqué le football ? "Oui, j’aurais été sans aucun doute rugueux, c’est le bon adjectif. Jusqu’à mes 18 ans, je ne jouais qu’avec mes amis, sans passé par les classes de jeunes. Lorsque mes proches me questionnaient, je leur disais toujours vouloir faire le policier comme mon grand-père. Puis je suis parti aux Pays-Bas et tout a changé." Est-ce à ce moment-là que vous aviez pris conscience de vouloir devenir footballeur ? "A peine arrivé aux Pays-Bas, j’ai compris que je pouvais devenir pro, c’était mon rêve." Vous avez écrit aussi un livre… "Oui, en allemand et il a connu son succès en Allemagne, j’ai voulu y livrer mon histoire car elle est différente de tant d’autres. J’aime bien écrire et j’ai voulu le faire car je me suis dit qu’il y avait tant en mois, que cela pourrait être une source d’inspiration." A quoi rêves-tu à présent ? "A remonter sur le terrain au plus tôt et à devenir un grand joueur de l’Inter. J’ai le rêve de donner le maximum pour l’Inter mais aussi pour ma sélection, il y a une Coupe du Monde qui se profile et je tiens à y participer. Pour y parvenir, je dois être bon en club." Vous n’avez jamais parlé du Scudetto...... "En effet, je veux devenir un joueur important, le reste arrivera par la suite." Quel est le plus beau stade dans lequel vous avez évolué ? "Le Giuseppe Meazza." La chanson qui vous motive ? "Eminem, ‘Lose Yourself'" La défaite la plus douloureuse ? "Face au Paris-Saint-Germain, nous avions perdu dans les dernières secondes en Ligue des Champions." Votre plat préféré ? "Risotto alla milanese" L’équipier qui cuisine le mieux dans l’équipe ? "Je n’en connais même pas un, il sourit." Votre idole étant enfant ? "Alaba, car il a toujours fait de très belles prestations à plusieurs postes différents." L’adversaire le plus redoutable ? "Douglas Costa. Quand il était dans une forme étincelante, avec son explosibilité et ses dribbles, il était imprenable." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
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En effet, après quatre saison et demie passées à l'Atalanta Bergame, l’international allemand a décidé de faire le saut de qualité dans sa carrière en rejoignant les Nerazzurri Champions d’Italie milanais. Sélectionné à 13 reprises et auteur de 2 buts pour la Mannschaft, il est depuis deux saisons considéré comme l’un des meilleurs latéral en circulation en état l’auteur de 24 buts en 95 matchs de la saison 2019/2020 à ce jour. Mais quel est l’impact financier de l’arrivée de Robin ? L’analyse de Calcio&Finanza repose sur les informations relayée par Sky Sport : Un prêt avec une obligation d'acquérir le joueur dans 18 mois. L’Inter devra payer 3 millions d’euros immédiatement et 22 millions d’euros au rachat, le tout afin d’atteindre les 25 millions d’euros. Trois millions d’euros de bonus sont à ajouter. Le joueur lui, devra percevoir 2,5 millions d’euros net jusqu’en 2026. En fonction des bonus atteints, le salaire maximal s’élève à 3,2 millions d’euros. La manière dont le coût du joueur sera enregistré dans le budget dépendra du moment et des conditions nécessaires pour déclencher l'obligation de rachat, un peu comme dans le cas de l'affaire Correa. Si les conditions étaient faciles à réaliser ou même certaines, comme par exemple lors du premier match de l'Inter dans la saison 2022/23, le club Nerazzurro pourrait déjà inscrire Gosens dans le budget déjà de cette année, en y ajoutant le coût du prêt. Dans un tel cas, l'Inter aurait des coûts plus élevés d'environ 5 millions d'euros pour les six mois restants de la saison 2021/22 (salaire brut de 2,31 millions d'euros et amortissement de 2,7 millions d'euros), avec un coût annuel à partir de 2022/23 de 10,1 millions d'euros (dont 4,6 millions d'euros pour le salaire brut et 5,55 millions d'euros pour l'amortissement). Dans le cas où les conditions s’avèreraient bien plus complexe pour faire activer l’obligation, L’Inter ne devrait budgétiser le joueur que lorsque l'obligation sera déclenchée. Et dans ce cas, les hypothèses sont différentes : si, par exemple, l'obligation est déclenchée au début de la saison prochaine, l'Inter enregistrera dans le budget de cette saison exclusivement le coût du prêt onéreux : 3 millions d’euros et six mois de salaire brut, égal à 2,31 millions : soit un impact total de 5,31 millions sur le budget qui se clôture le 30 juin 2022. En cas de rachat après le 1er juillet 2022, le chiffre figurant au bilan de l'exercice 2022/23 serait donc égal à 5,5 millions d'amortissement (sans tenir compte des bonus éventuel) ajoutés aux 4,63 millions de rémunération brute (en tenant compte également dans ce cas de la partie fixe du salaire), soit un total de 10,13 millions d'euros. Il convient de noter que, si cela se confirme, le coût du prêt pourrait également être étalé sur 18 mois et donc peser bien moins faible dans la saison en cours. Quels sont les bonus ? Selon Sky Sport : 1 million d'euros est lié aux apparitions que comptabilisera le joueur en Serie A. 1 million d’euros sera lié aux apparitions que le joueur comptabilisera en Ligue des Champions, et le dernier million est lié au nombre de matchs gagnés par l'Inter dans lesquels Robin est impliqué. A confirmer : Selon le Corriere Dello Sport, la grande amitié liant Percassi et Zhang a facilité le transfert de l’international allemand : L'Inter paierait 22M€ plus 3M€ pour Gosens en cinq versements ET seulement après le prêt de 18 mois. Tout simplement une MasterClass ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Pour Matrix, jouer l’Angleterre à Wembley avantage l’Italie !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
En effet, Marco Materazzi s’est livré à la Gazzetta Dello Sport en faisant un parallèle à la Coupe du Monde 2006 où la Nazionale avait vaincu la Mannschaft en demi-finale de sa Coupe du Monde avec un stade, pourtant, totalement acquis à sa cause! "C’est certain. L’Allemagne au Westfalenstadion ne s’est-elle pas sentie imbattable ? N’était-ce pas son Mondial qui se jouait à domicile, n’était-elle pas dans l’obligation de le remporter ? Je me souviens des têtes des Allemands, dans le tunnel, avant de monter sur le terrain : Ils étaient tous pale, plus que le maillot qu’ils portaient. Et nous, nous hurlions de notre côté : Nous n’avons pas peur, nous n’avons pas peur ! Et eux l’ont vraiment eu : C’est le Crédo qui nous a suivi durant toute la Coupe du Monde et nous comprenions leur langue : on parvenait à traduire ce qu’ils se disaient : Ils avaient la pression." Croyez-vous que les Anglais vont la ressentir ? "Hier, j’ai à la télé la tête de leur supporter après le but du Danemark, si j’étais Mancini, je le ferais regarder à nos joueurs, c’est une belle thérapie pour se motiver. Nous avons deux précédents à Wembley avec des buts inscrit par Capello et Zola. A présent, cela revient à Immobile." Mais pourquoi êtes-vous aussi sur que Wembley ne nous fera pas peur ? "Ce que je peux vous dire ? C’est que les garçons auraient déjà pu jouer cette finale le lendemain de la rencontre face à l’Espagne, même s’il était morts de fatigue. Wembley peut faire peur à tout le monde, sauf à nous, les Italiens : C’est dans la difficulté que nous sommes les plus fort, comme cette soirée de Dortmund. Nous n’avons pas à avoir peur car nous sommes convaincu de ce que nous faisons et l’Euro va se terminer comme il a commencé." Par une victoire de la Nazionale….. ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Cauchemar de l’Inter durant la précédente décennie, le Fair-Play-Financier serait sur le point de figurer dans les livres d’histoire, à l’instar du très décrié but en or. Révélation de la Gazzetta Dello Sport Ce jeudi, l’UEFA va discuter, par le biais d’une vidéoconférence, avec le Parlement Européen d’un nouveau système de règles qui régira le football continental en passant de "Dépensez ce que vous épargnez" à "Dépensez ce qui est nécessaire, sans gaspiller". Ce nouveau modèle est le fruit de la crise économique due au Covid-19 et qui met en ligne de mire les dépenses excessives, les salaires excessifs des joueurs, mais aussi les commissions des agents. Salary Cap Parmi les hypothèses à prendre en considération, il y aura l’introduction d’un plafond salarial pour garantir la conformité aux règlements européen, selon lequel lorsque vous achèterez un joueur, vous devrez reverser un pourcentage au système. De plus, les sanctions sportives seraient considérablement réduites en faveur d’une augmentation des sanctions financières. Il est difficile d’anticiper une confrontation dos à dos entre l’UEFA et les Clubs, car une phase de dialogue va s’ouvrir. De plus, certains pays tels que l’Allemagne et l’Espagne ont déjà montré la voie à suivre en introduisant des règles plus sévères. Le carnet de route de l’UEFA prévoit, après des échanges libres, d’arriver d’ici la fin de l’année à synthétiser le tout. Pour ensuite débuter avec ces nouvelles règles en 2022, via une période d’adaptation graduelle de quelques années avant de tourner à plein régime. Est-ce que selon vous, cette nouvelle règlementation sera plus favorable aux clubs historiques, comparé aux "nouveaux riche" qui ont émergé des années 2000 ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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