Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'alvaro morata'.
6 résultats trouvés
-
Certains savent s’offrir Paulo Dybala et Romelu Lukaku, d’autres tentent de s’offrir des joueurs en fin de carrière. Partant de ce constat, et selon Tuttosport, la Juve pourrait permettre à l’Inter de signer la Joya en libérant d’un attaquant : Tout simplement lunaire ! "L'attaquant bosniaque pourrait quitter l'Inter à un prix avantageux après le retour de Romelu Lukaku en provenance de Chelsea. En effet, après le départ d’Alvaro Morata, qui est retourné à l'Atletico Madrid, les Bianconeri cherchent un Vice-Vlahovic : Si le favori reste (l’ancien Nerazzurro) Marko Arnautovic de Bologne, attention à l'attaquant des Nerazzurri, qui peut quitter l'Inter après une seule saison. Pour sa première année milanaise, Dzeko a totalisé 17 buts et 10 passes décisives en 49 matchs toutes compétitions confondues." Accepteriez-vous de rendre "ce service" à la Vieille ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 16 commentaires
-
- 8
-
-
- edin dzeko
- juventus
- (et 8 en plus)
-
Fabio Ravezzani: La Juve veut s'offrir Edin Dzeko
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
Le directeur de Telelombardia, Fabio Ravezzani, a évoqué l'intérêt de la Juve pour Edin Dzeko. En effet, l'attaquant Nerazzurro serait sur le départ si Romelu Lukaku revient à l'Inter "La Juventus, comme alternative à Alvaro Morata, pense à Dzeko de l'Inter, Voici mes nouvelles en provenance directe de Turin: La Juve sait que l'Inter, en cas d'arrivée de Lukaku, aurait un problème d'abondance et de recrutement. La Juve, l'année dernière, a longtemps courtisé Dzeko mais, finalement, l'Inter l'a devancé." "La Juve envisageait de remplacer Ronaldo par Dzeko. Celle-ci garde l'espagnol en stand-by et attend de voir ce que l'Inter fera avec Lukaku. La Juve proposerait un contrat de deux ans d'une valeur totale de 7 millions d'euros à Dzeko." Il fut un temps, le recrutement était de bien meilleure qualité à Turin, sous le contrôle de Giuseppe Marotta....Au fait quelqu'un sait où il bosse à présent ?! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 11 commentaires
-
- 15
-
-
-
-
- telelombardia
- fabio ravezzani
- (et 5 en plus)
-
L'ancien directeur de l'Inter, Ernesto Paolillo, estime que les joueurs de la Juventus cherchaient à obtenir un penalty coûte que coûte lors du match de Serie A contre l'Inter, dimanche soir. Auprès du média italien L'Interista, il a estimé que les Bianconeri saisissaient toutes les occasions pour tenter de convaincre l'arbitre Massimiliano Irrati de désigner le point de pénalty. Les Nerazzurri ont pris l'avantage dans les derniers instants d'une première mi-temps chaotique sur un penalty, accordé par la VAR pour une faute d'Alvaro Morata sur Denzel Dumfries. En seconde période, les Bianconeri semblaient penser qu'ils auraient pu obtenir un penalty, notamment lorsqu'Alessandro Bastoni s'en prenait à Denis Zakaria à l'entrée de la surface. Dans les derniers instants du match également, les joueurs de la Juventus ont fait appel pour des penalties sur ce qui semblait être un très petit contact, et Paolillo a estimé que tout cela était délibéré. "Cette situation est attendue", a-t-il déclaré à propos de la controverse sur l'arbitrage, "elle fait partie de l'histoire de la rivalité. Mais après de nombreuses reprises et après avoir analysé chaque image sur les incidents, il est clair que l'arbitre a pris les bonnes décisions. Il est clair que tout le monde ne fait que spéculer sur la base de ce qu'il voit, et aussi que la Juventus essayait de gagner un penalty à tout prix à la fin", a-t-il ajouté. ®Internazionale.fr ~ Kroutch Via SempreInter
- 2 commentaires
-
- 3
-
-
- ernesto paolillo
- juventus
- (et 6 en plus)
-
L'ex-joueur de l'Inter Beppe Bergomi a suggéré que Denzel Dumfries est à un pas d'occuper la position de piston droit à l'Inter, selon un papier paru dans les médias Italiens aujourd'hui. Alors qu'il s'adresse à la Gazzetta Dello Sport à propos du choc qui verra s'affronter l'Inter et la Juventus ce dimanche soir à Giuseppe Meazza, Beppe Bergomi a expliqué que si Matteo Darmian peut jouer ce match, Denzel Dumfries est voué à prendre sa place de titulaire. "Darmian pourrait jouer. Dumfries a raté sa dernière entrée sur le terrain, mais il est destiné à prendre le poste. Cependant, en perspective du match contre la Juve, je crois que Darmian apportera plus de garantie et plus d'équilibre." (me too) Beppe Bergomi a aussi parlé du dilemme Çalhanoglu/Vidal, et de qui d'entre eux devrait être le troisième milieu de terrain pour cette rencontre. "S'il est en forme, je suppose Çalhanoglu. D'un autre côté, cela peut très bien être Vidal, qui apporte l'intensité physique, fondamentale, et l'expérience pour des matchs comme ceux-ci." L'ex-défenseur a loué le jeu offensif pratiqué cette saison, mais a souligné qu'ils étaient en difficulté à la récupération, ce qui gêne considérablement les trois défenseurs. "L'Inter est magnifique à voir jouer. Ils attaquent avec qualités et idées, mettent beaucoup de joueurs devant le ballon. Quand vous avez de longues phases de possession c'est bien, mais quand vous perdez le ballon il devient difficile de le récupérer, si vous n'êtes pas en mesure d'en reprendre le contrôle immédiatement avec une pression élevée." "Les trois défenseurs sont forts, très forts. Mais comparé au passé, ils sont forcés de défendre plus souvent dans des zones ouvertes, et là l'histoire devient plus complexe." Il serait difficile pour n'importe qui de couvrir parfaitement de si grands espaces. Ils sont puissants, ont un bon timing et font particulièrement attention au marquage individuel. "Cependant, s'ils ont besoin de vitesse, ils n'ont ni cette dernière, ni la réactivité nécessaires pour couvrir les espaces derrière eux." La Juventus est la sorte d'équipe qui peu froidement prendre l'avantage, ce qui est une faiblesse de l'Inter, comme le pointe Beppe Bergomi. "Contre le Shériff Tiraspol il y a eu de dangereuses situations, et quand Bruno a continué de faire l'épine en seconde période, la défense a souffert. Le risque est que vous ne pouvez pas courir après le score contre une opposition telle que Chiesa, Morata ou Cuadrado." Beppe Bergomi pense qu'une défaite pour les hommes de Simone Inzaghi pourrait avoir de sérieuses conséquences pour la suite de leur saison. "Ils vont de l'avant et même pour une place en Ligue des champions, ce sera vraiment difficile cette année. Une défaite dimanche pourrait avoir des répercussions, notamment sur le plan mental." ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via SempreInter
- 3 commentaires
-
- 2
-
-
- beppe bergomi
- denzel dumfries
- (et 12 en plus)
-
L'Italie en finale de l'Euro 2020 après une séance de tirs aux buts
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Après un match tendu, stressant et incroyable, l'Italie se glisse en finale. Voici le résumé du match disons... enflammé publié par the Guardian. En fin de compte, tout se résume à un coup de pied. Un coup de pied pour envoyer l'Italie en finale. Un coup de pied pour effacer des années de contre-performance, un coup de pied pour assouvir le désir d'une nation, un coup de pied pour tout. Ce coup de pied est tombé sur Jorginho. Avec son petit saut et son sang-froid frisant un peu vers le ridicule, il a envoyé Unai Simón vers le mauvais côté et a simplement fait rouler le ballon dans le coin. Ce coup de pied a mis fin à près de trois heures de très haute tension, ainsi qu'à la campagne imparfaite et vaillante de l'Espagne pour récupérer le trophée remporté en 2008 et 2012. Pour Pedri, le brillant milieu de terrain de 18 ans qui a dirigé le match et a réussi 98% de ses passes, les larmes coulaient et ne s'arrêtaient pas. Mais une fois la tristesse renflouée, Luis Enrique et son équipe seront réellement fiers: des progrès à développer, une nouvelle génération de jeunes stars intrépides à fêter et à nourrir. Ne jugez pas trop sévèrement cette équipe. Dani Olmo a expédié son penalty pendant que Álvaro Morata a vu le sien arrêté. C'était une demi-finale qui valait une digne finale, un jeu d'une qualité technique éblouissante qui pulsait et palpitait comme un cœur humain, encouragé par l'excellent arbitrage de Felix Brych. On pourrait dire que l'Espagne méritait de l'emporter sur le match et L'Italie sur l'ensemble du tournoi. Malgré leur avance grâce à Federico Chiesa, ils n'ont jamais vraiment réussi à atteindre les sommets de leurs matchs précédents. Rien de tout cela n'aura d'importance pour Roberto Mancini qui, au milieu des célébrations sauvages, est resté l'homme le plus imperturbable de Wembley. Dans son esprit, vous vous en doutez, la quête pour renverser l'Angleterre ou le Danemark a déjà commencé. Le stade national était une fiesta vivante et dramatique d'aquarelle sous les lumières : blanc espagnol détrempé et bleu italien trempé sur un terrain adouci et lissé par un jour et une nuit de pluie. Dans les tribunes, au moins, les Azzurri étaient résolument majoritaires, bloquant les longues périodes de possession espagnoles, éclatant lorsque l'Italie menaçait la haute ligne d'arrières, se levant comme un seul homme lorsque la superbe finition de Chiesa les a mis devant vers l'heure de jeu. Cette équipe espagnole est une évolution un peu plus chaotique de ses illustres prédécesseurs d'il y a dix ans: pleine d'habileté réglementaire et d'intelligence, mais avec juste une légère bouffée de calamité en leur sein, caractérisée par la vue de Simón qui sort de son but comme un footeux du dimanche. Mais pour tout ça, l'Espagne contrôlait largement le jeu au milieu parmi des contres italiens occasionnels. Luis Enrique avait créé la surprise à l'avant. Plus tôt dans le tournoi, il avait défendu son n°7 en insistant sur le fait que son équipe serait Morata et 10 autres. Maintenant, l'attaquant de la Juventus a pris sa place aux côtés de 11 autres sur le banc, remplacé par le jeune capitaine de la Real Sociedad Mikel Oyarzabal: peut-être après que son manager ait vu à quel point l'Italie a bien géré un attaquant cible conventionnel comme Romelu Lukaku en quart de finale contre la Belgique. Le mouvement de l'Espagne a été un facteur majeur de la déconvenue relative de l'Italie; pourtant, malgré toute sa netteté hors du ballon, Oyarzabal a raté au moins quatre bonnes occasions. L'introduction de Morata après 62 minutes n'était, rétrospectivement, que le début du drame. Le match s'est ouvert en seconde période et cela a semblé profiter aux deux équipes. À l'heure, Chiesa a ouvert le score à la fin d'un fabuleux mouvement fluide qui a commencé avec Gianluigi Donnarumma dans le but, en passant tranquillement par Lorenzo Insigne et Ciro Immobile, et s'est terminé par un délicieux enroulé. Sur la ligne de touche, Luis Enrique applaudit grandiosement. A quelques mètres de là, Mancini tint conseil, comme un homme qui avait vu comment tout cela allait finir, mais qui ne le disait à personne. Peut-être avait-il entrevu la tournure. Avec 10 minutes restantes, Morata a reçu le ballon, s'est retourné et a couru, l'a glissé à Olmo et l'a récupéré. Maintenant, d'une seule touche, il fit rouler le ballon devant Donnarumma, se rassembla derrière le but et accepta la grâce de ce moment: un homme enfin, fugitivement en paix avec le monde. Le temps supplémentaire était un joyeux cirque indiscipliné. L'Espagne a continué à pousser contre une Italie fatiguée, balayant les deuxièmes ballons: le tir d'Olmo dévié à travers un fourré de jambes et a rebondi juste à côté avec un perplexe Donnarumma; Domenico Berardi a vu son but refusé pour hors-jeu. Mais au fur et à mesure que les minutes s'écoulaient, les tirs aux buts se profilaient avec une certaine fatalité. Sous des acclamations bruyantes, Giorgio Chiellini a remporté le tirage au sort et a choisi de tirer vers la partie italienne, logique. Manuel Locatelli a vu son premier coup de pied arrêté. Olmo s'enflamma. Andrea Belotti et Leonardo Bonucci ont tous deux marqué pour l'Italie; imités par Gerard Moreno et Thiago Alcântara pour l'Espagne. Federico Bernardeschi a donné l'avantage à l'Italie 3-2. Morata a opté pour le placement, mais son tir n'a pas réussi à s'échapper du plongeon de Donnarumma. Et donc à Jorginho : un joueur souvent comparé à un chef d'orchestre, et qui avait maintenant le continent suspendu à son coup de pied, avec la fin que nous connaissons.- 4 commentaires
-
- 5
-
-
- roberto mancini
- luis enrique
- (et 5 en plus)
-
Les pistes Mertens et Werner abandonnées, Antonio Conte pourrait voir une opportunité s'ouvrir grâce à Edinson Cavani. Ce dernier n'est plus une option pour l'Inter et il aurait opté pour l'Atletico Madrid. Conséquence, ça laisserait de la place pour un départ d'Alvaro Morata. Comme l'écrit Tuttosport, le rapprochement de Cavani avec l'Atletico a ouvert une brèche importante pour Morata. Le club espagnol le rachète 55M€ à Chelsea cet été, accord prévu de longue date. L'Atletico Madrid connait déjà l'intérêt de l'Inter pour le joueur. Le journal indique même qu'un intermédiaire a déjà approché la direction du club pour prendre les coordonnées du joueur. Morata a déjà rencontré Antonio Conte à Chelsea (2017/18), et le fait qu'il sache déjà à quoi s'attendre à Appiano Gentile est sans aucun doute un avantage pour le coach, qui trouverait là un joueur déjà en possession des spécificités de son jeu. D'un autre côté, il est important de souligner que Morata est revenu à Madrid comme choix de vie. Milan pourrait être tout aussi attrayant, car c'est le centre de gravité des intérêts de sa femme Alice, mannequin et influenceuse web. Mais du côté foot, il serait étonnant de voir Cavani arriver sans assurance d'avoir un temps de jeu conséquent. Cela pourrait inciter l'attaquant espagnol à saisir une chance ailleurs, dans l'optique de l'Euro 2021 voir de la Coupe du Monde 2022. ®gladis32 - internazionale.fr
- 5 commentaires
-
- 3
-
-
- alvaro morata
- atletico madrid
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :