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Calcio e Finanza : les pertes diminueraient de moitié cette saison
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Selon les calculs de Calcio e Finanza, les pertes diminueraient de moitié cette saison. Les chiffres. L'extraordinaire parcours en Ligue des champions qui a conduit à Istanbul fait grimper les revenus de l'Inter au cours de la saison 2022-2023. Le rouge se dirigerait vers une réduction de moitié par rapport à l'année précédente. Cependant, il faut noter que d'autres mesures économiques et chiffres ne peuvent être exclus d'ici fin Juin. C'est donc une estimation. Le résultat net dans la balance devrait être -80 millions contre -140 millions en 2021-2022. Dans le détail, le chiffre d'affaires devrait avoisiner les 430 millions, en ligne avec les revenus de la saison dernière. Le chiffre d'affaires net des ventes de joueurs devrait avoisiner les 400 millions, un chiffre record pour le club nerazzurri. En particulier, le parcours en Ligue des Champions pousse les revenus vers le haut, avec des droits TV qui, en tenant compte également de ceux liés à la Serie A, devraient s'élever à 190 millions. La fréquentation du public au Meazza a rapporté environ 80 millions d'euros supplémentaires ce qui a permis de limiter les dégâts des 30 millions non perçus de Digitalbits. Un aspect auquel a également contribué l'accord avec Paramount+ pour la finale de la Ligue des Champions, avec des revenus d'environ 4 millions. Le commerce des joueurs a garanti environ 30 millions grâce aux ventes de Casadei, Pinamonti et Pirola. Du point de vue des coûts, les dépenses devraient être réduites notamment grâce à la forte baisse des amortissements liée aux départs de Pinamonti, Perisic et Vecino, avec un chiffre global qui devrait être inférieur à 100 millions. Au lieu de cela, les salaires et traitements sont rester stables par rapport à 2022. Le résultat de gestion ordinaire devrait se situer autour de -25 millions, contre -88 millions en 2021-2022, grâce à la saison exceptionnelle en termes de résultats. Cependant, les intérêts des emprunts pèsent lourdement sur les comptes des Nerazzurri et les obligations actuellement détenues par le club des Nerazzurri qui devrait avoisiner les 50 millions. Le résultat net prévisible serait de -80 millions d'euros, sur lesquels pèsent précisément les 50 millions d'intérêts et les quelque 30 millions perdus avec Digitalbit. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.- 9 commentaires
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Le style de jeu prôné par Simone Inzaghi : analyse
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Thymoté Pinon décrypte ce principe de verticalité, signature du jeu de l'Inter Milan de Simone Inzaghi. Nommé à la tête de l'Inter Milan en 2021 pour prendre la suite d'Antonio Conte, Simone Inzaghi s'est inspiré du système de jeu de son prédécesseur en reprenant notamment le principe de projection rapide en attaque. Un style de jeu engagé et volontaire qui comporte aussi quelques failles. Si on attendait bien Manchester City en finale de la Ligue des champions, on s'attendait moins à voir l'Inter Milan face aux Mancuniens. Il y a deux ans, l'équipe milanaise, désormais entraînée par Simone Inzaghi, était au bord du gouffre au niveau financier et enregistrait le départ de nombreux cadres de l'équipe (Eriksen, Lukaku, Hakimi) mais surtout de son maître tacticien, Antonio Conte, en partance pour Tottenham. Mais, sans révolutionner le jeu de l'Inter, Simone Inzaghi a permis au club de se maintenir à un très haut niveau en remportant notamment deux Coupes et deux Supercoupes d'Italie. Il s'est notamment appuyé sur l'héritage d'Antonio Conte en reprenant un de ses grands principes de jeu : la verticalité. Le technicien italien s'appuie sur une grande capacité de projection vers l'avant de son équipe. Un système de jeu efficace en attaque mais qui peut se retourner aussi contre l'Inter dans des phases de transition. Source: Thymoté Pinon et Valentin Gouriou, l'Equipe. Voir l'article ici.-
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Ernesto Paolillo : "L'avenir de l'Inter entre les mains d'Oaktree"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
La chaîne Youtube de Gianluca Rossi accueille Ernesto Paolillo qui évoque la situation financière actuelle du club ainsi que ses analyses. Attendez-vous des nouvelles avant Mai 2024 ? "Non, au vu de l'actualité absolument pas. Je ne sais pas s'il y a de vraies négociations mais je fais le calcul facilement, en tant qu'homme de la finance. La dette de l'Inter est énorme, elle est vraiment très grande. Et ce n'est pas soutenable en payant une dette à des taux d'intérêt comme ceux-là parce que cela revient à ajouter déficit sur déficit. Couvrir ce déficit et cette dette devient extrêmement coûteux. Je suis convaincu que si Steven Zhang ne peut pas exporter de capitaux, comme il ressort des dispositions politiques actuelles, il ne pourra donc pas couvrir la dette avec d'autres ressources, et il ne pourra rien faire d'autre que renoncer au gage qu'il a donné à Oaktree. Il devra donc transférer la société au fonds en échange pour la dette. À ce stade, tous les scénarios futurs seraient entre les mains d'Oaktree." Pensez-vous qu'il est possible que les choses se fassent en secret ? "Il faut dire que l'Inter n'est pas une société cotée, elle n'a donc pas l'obligation de notifier le début d'une négociation. La seule obligation est de déclarer les opérations terminées et non en cours. Or, si celles-ci existaient, elles seraient vu par de nombreux signaux. Par exemple, par ceux qui font ou ont fait une due diligence pour lire et analyser les papiers après avoir effectué une offre. Ces signaux ne me semblent pas exister." Croyez-vous en un consortium d'entrepreneurs ou l'Inter va-t-elle se retrouver avec un fonds ? "Je ne crois absolument pas au consortium. Je ne pense pas parce qu'au final celui qui doit prendre le risque doit en être un. Aujourd'hui, il est impossible de penser à un club de Serie A entre les mains d'un consortium. Cela me fait rire en pensant au choix de l'entraîneur ou des joueurs à acheter, quand c'est décidé par un consortium on va aux réunions du bar. Et ce n'est pas professionnel pour une équipe de cette taille. Je ne vois même pas un entrepreneur italien, parce que de nos jours, avec le contexte économique que nous avons, les entrepreneurs ne prennent pas le risque de gérer une équipe de football traditionnelle comme l'Inter qui doit concourir pour de grands objectifs et donc faire face à de gros coûts. Je ne crois qu'au professionnalisme d'un fonds qui a le du temps et du capital pour le faire." Mais si vous étiez à la tête d'un fonds, iriez-vous parler à Zhang qui demande 1,2 milliard ou attendriez-vous jusqu'en 2024 ? "J'attendrais Oaktree et le bon moment économique car les autres offres ne seront pas acceptées." Traduction alex_j via FCInterNews.- 2 commentaires
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Fabio Costantino, éditorialiste à FCInterNews, a rédigé un bel article suite à la victoire écrasante, ou presque, de l'Inter face aux cousins dans le premier round de l'Euroderby. Bonne lecture. Tout d'abord, calmons-nous et calmez-vous ! Comme face au Benfica la première mi-temps, d'un match qui s'étale sur 6 jours et qui dure 180 minutes, vient de se terminer. Il reste encore plus de 90 minutes à jouer et le Milan, ayant échappé au danger de perdre avec un score beaucoup plus lourd que 0-2, a des aspirations légitimes de remuntada. En attendant, cependant, s'ils veulent réaliser l'exploit mardi prochain, ils devront vaincre une équipe forte, très forte, physiquement et mentalement en bonne santé en ce moment. Inter-Monza semble très, très loin dans le temps, depuis cette gifle les Nerazzurri, touchant alors le fond, ont effectué une course sensationnelle pour d'un, sortir du puits et de deux, revoir la lumière. Entre la Ligue des Champions, le championnat et la Coupe d'Italie, à partir du 0-3 face à Empoli, six victoires consécutives sont arrivées, avec 17 buts marqués et un seul encaissé, contre la Lazio. Et si les chiffres ne suffisaient pas, allons faire un bilan de la première mi-temps du derby dans un décor majoritairement rouge et noir. Domination absolue et totale, deux buts, un poteau, quelques arrêts décisifs de Maignan et un penalty d'abord accordé par l'arbitre puis, à juste titre, refusé par la VAR. Qui n'a pas pensé au récent 0-6 au Hellas, emporté par un optimisme fou, lève la main ! Et c'est là qu'émerge le vrai, seul regret de la soirée Ne pas avoir gagné avec un résultat plus lourd, compte tenu également des occasions que nous avons eues en seconde période qui étaient plus nombreuses que le Milan lui-même. Ironiquement, selon Pioli, le Milan a mieux joué en seconde période mais ils n'ont pu produire qu'un tir imprécis de Messias et un pied droit de Tonali qui a ébréché le poteau. Notre Onana inactif n'a jamais été le protagoniste de véritables arrêts. Ah, encore un regret : l'assidu Martinez Munuera, bon à corriger Gil Manzano sur le penalty accordé à Lautaro, pourquoi a-t-il laissé filer le coup de poing de Bastoni à Krunic en pleine surface de réparation, carton rouge et penalty réglementaire ? Geste non violent mais punissable malgré tout. Consolons nous : nous n'avons même pas laissé à nos cousins la satisfaction de se plaindre de l'arbitrage. Au contraire, Pioli a eu le courage de le faire. Mais à juste titre, comme il le dit : le gagnant fait la fête, le perdant explique... Dirigez-vous maintenant vers Sassuolo, qui en termes de potentiel offensif est supérieur même au Milan, démontré sur le terrain et pas en théorie. Un excellent coup de cœur en vue du match retour au Meazza. Le dossier n'a pas encore été archivé, il doit être laissé là sur le bureau en attendant d'être repris dans cinq jours et bouclé définitivement. Il reste un combat à mener, comme l'a dit Inzaghi, voyons qui a le courage de le mettre dehors maintenant, un énorme effort est encore nécessaire pour couronner le rêve d'une finale de la Ligue des Champions. Mais si l'Inter, qui se présentera face aux Rossoneri, sera la même qu'hier soir, on pourra dormir tranquille. Traduction alex_j via FCInterNews. Texte de Fabio Constantino.
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FCInterNews : Présentation du Benfica de Roger Schmidt
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
FCInterNews nous présente rapidement le Benfica de Roger Schmidt. Petite analyse tactique et l'Inter est prévenue. PARCOURS D'abord dans le groupe H devant le PSG (deux nuls avec les Parisiens) et la Juventus (avec 6 buts en deux matchs). Puis le Club Bruges (avec des boulettes). Le tout avec un jeu harmonieux et efficace qui ne semble pas avoir été affecté par le départ d'Enzo Fernandez en Janvier. Benfica, premier du championnat, se présente devant l'Inter en quart de finale. Une équipe de qualité, organisée, moderne, pleine de contenus intéressants et de vie. Roger Schmidt est l'architecte de cette machine presque parfaite. "Presque" car quelques failles sont visibles, surtout dans la phase défensive et dans l'inexpérience de certains éléments. Attention au meneur de jeu Rafa Silva, à l'éclectique Joao Mario (ancien Nerazzurri) et à l'arrière latéral Grimaldo. Ce dernier serait lié aux Nerazzurri compte tenu de son départ très probable en transfert gratuit en fin de saison. Au match aller, il n'y aura pas d'Otamendi pour cause de suspension; une absence tout sauf anodine. Florentino, Joao Mario et Gonçalo Ramos sont avertis. De notre côté, Bastoni, Dimarco et Lautaro Martinez n'y sont pas très loin et doivent faire attention. Roger Schmidt ne pourra pas compter sur Draxler (saison terminée après opération à la cheville en février) et Guedes (problème de ménisque, retour prévu fin avril). TACTIQUE Le credo de Schmidt est le 4-2-3-1, sa formation favorite depuis plusieurs saisons maintenant et reproduite avec succès à Lisbonne également. Rigoureux, stratégique, mais aussi aux idées lumineuses comme en témoigne le pari sur Ciquinho après les adieux d'Enzo Fernandez et la formation d'Aursnes en tant qu'ailier tactique. Son Benfica est une vraie équipe avec une vocation offensive évidente : deux latéraux comme propulseurs comme Bah et Grimaldo, trois finisseurs et un attaquant. Rapidité, qualité mais technique dans la gestion du ballon : les Lusitaniens savent endormir le jeu avec un réseau dense de passes puis trouver le bon moment pour frapper. HOMME CLÉ Rafa Silva. A axplosé à Braga. Le joueur de 29 ans originaire de Forte da Casa en est désormais à sa sixième saison avec les Aigles plus le temps passe, plus il progresse. Au grand regret de l'équipe nationale portugaise qu'il a quittée pour des raisons personnelles. Ancien ailier, désormais placé derrière l'attaquant par Schmidt, libre de créer et d'aller chercher les meilleurs espaces pour libérer tout son talent. Un mini-Messi lusitanien, cerveau technique de l'équipe de Lisbonne. Le désamorcer devra être la première préoccupation d'Inzaghi. FORMATION STANDARD 4-2-3-1 : Vlachodimos ; Bah, Antonio Silva, Otamendi, Grimaldo ; Ciquinho, Florentino; João Mario, Rafa Silva, Aursnes ; Gonçalo Ramos. Traduction alex_j via FCInterNews.-
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Stéphane Dalmat : "Ravi pour Lukaku et espérons pour le match contre Porto"
alex_j a posté un article dans Interviews
Stéphane Dalmat nous livre son analyse du match contre l'Udinese via Instagram . "Belle victoire de l'Inter ! On ne sait pas quoi penser de cette équipe ! Comme je le disais hier, on ne sait jamais si elle est supérieure à l'autre. Hier, elle a réalisé une belle prestation face à un adversaire toujours compliqué." "Et je suis ravi pour Romelu Lukaku. Ce n'est qu'un penalty, mais je suis ravi de le voir marquer. Je l'ai vu mieux que dans les autres matches mais j'ai toujours eu confiance en lui. Il doit jouer et jouer pour gagner en confiance. Mais quand un joueur a subi une blessure comme celle-ci, c'est très difficile de trouver le rythme tout de suite. On doit attendre, je sais que c'est long mais hier je l'ai vu mieux physiquement. S'il arrive à trouver son niveau, c'est un plus pour l'Inter. Un joueur comme ça tire les autres vers le haut aussi. J'espère que je ne me trompe pas en disant que pour moi, il sera l'homme de la fin de saison pour les buts restants." "En Champions, ce sera compliqué mais pas très dur. On ne parle pas du Real Madrid ou du Bayern Munich, mais de Porto. Et nous sommes l'Inter. L'équipe doit jouer un grand match car c'est toujours difficile de jouer à l'extérieur au match retour. Il faut profiter du Meazza pour obtenir un bon résultat et aller au Portugal avec une avance de deux ou trois buts pour être serein. J'ai confiance, je pense qu'elle fera un bon match. Esperons-le !" Traduction alex_j via FCInterNews.- 6 commentaires
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Alessandro Lucci : "Le football moderne évolue vite ainsi que le métier d'agent"
alex_j a posté un article dans Interviews
Au cours de la dernière décennie, l'activité de représentation des joueurs dans le football mondial a connu une croissance remarquable : rien qu'en 2022, la FIFA estime que les clubs de football ont déboursé 623 millions de dollars en commissions d'agent, soit une augmentation de 24 % par rapport à l'année précédente. En conséquence, les agents de football ont assumé de nouvelles responsabilités qui vont au-delà de la simple négociation du contrat d'un joueur. Pour comprendre cette évolution et ce que cela implique, l'agent sportif Alessandro Lucci s'est livré à Forbes. Extraits. "Quand j'ai géré mon premier contrat en 1999, c'était une époque différente, tout évoluait à un rythme beaucoup plus lent. Le football évolue à un rythme incessant et, par conséquent, notre rôle aussi. C'est pourquoi aujourd'hui on parle d'agence et non plus d'agent. Par conséquent, la manière dont une négociation est menée change également. J'ai besoin de mener les négociations en personne car cela me permet de générer cette énergie, ce champ magnétique qui devient oppressant lors d'une négociation. Ces éléments ne s'apprécient pas quand on négocie à distance. Les futurs scénarios des mercatos ? La définition et l'immédiateté avec lesquelles un message est envoyé ont complètement changé notre rythme de vie, c'est pourquoi la figure dominante sera la communication. Je peux imaginer que dans cinq ans, la communication seule vous vendra des joueurs." Sa World Soccer Agency qui gère actuellement 39 clients, dont Dejan Kulusevski de Tottenham, Leonardo Bonucci de la Juventus et Edin Dzeko de l'Inter, vaut 283 millions de dollars sur le marché, l'un des plus élevés d'Italie. "Maintenant, pour rester compétitif dans ce monde rapide qu'est le monde sportif moderne, les agents ont dû élargir leurs services, devenant une figure de point de service qui gère pratiquement tous les aspects de la vie d'un client et pas seulement le contrat de travail. Aujourd'hui, leurs fonctions s'étendent au-delà du fameux moment où un client est photographié pour la signature d'un nouvel accord. Nos services comprennent la location de maisons ou de meubles, la location d'un charter privé pour atteindre toutes sortes de destinations, la gestion de la communication sur les réseaux sociaux et l'assistance dans les domaines financier et juridique." Traduction alex_j via Forbes.-
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Au début, c'était le but d'Acerbi annulé de manière inexplicable par Sacchi, cela aurait fait 3-1 pour les Nerazzurri à Monza à quelques minutes de la fin. Ensuite le match s'est terminé comme nous le savons tous. C'était le premier épisode qui a pénalisé l'Inter dans ce cauchemar de 2023, cauchemar pour la relation entre les Nerazzurri et les "arbitres". Lundi soir, dernier morceau d'une mosaïque alarmante, à savoir le penalty non accordé à Darmian sur cause d'une faute de Murillo. Mais allons-y dans l'ordre, musique. Fabbri, pendant Inter-Vérone, fait tout. Il n'a pas expulsé Hien qui avait déjà été averti, il a invalidé le doublé régulier de Lautaro et n'a pas accordé un penalty net malgré la main de Hien sur un tir de Mkhitaryan. L'équipe d'Inzaghi gagne 1-0 et le penalty passe à la trappe. Après, c'est Maresca dans le derby en Supercoppa, Barella arrêté net en face à face avec le gardien, ensuite c'est Rapuano contre Empoli, Skriniar expulsé en première mi-temps, après on arrive contre Crémone. A nouveau, un penalty non accordé par Mariani après un contact entre Chiriches et Dzeko, pas de scandale car l'Inter gagne finalement. Râler n'aurait pas été mal! Un autre tour, un autre penalty non sifflé. En fait deux. Il reste le derby, cette fois en championnat, et Massa arrive pour arbitrer, soit disant. Cage dans la surface pousse Dzeko avec deux mains, on joue. On continue. En seconde période, Kalulu frappe Lautaro au milieu de la surface, pas de sifflet ici aussi. Et nous arrivons à Gênes. A moins de 5 minutes de jeu, Darmian entre dans la surface et est renversé par Murillo. Il ne semble pas y avoir de doute ici car le Colombien laisse la jambe tendue et l'Interista est clairement gêné. Même ici, cependant, Maresca ne bronche pas. On a vu des pénalties sifflés pour beaucoup moins que ça. La tendance est claire : que la faute soit claire, acceptable ou douteuse, le coup de sifflet ne vient jamais. Une statistique pour le moins singulière en ce début d'année 2023. Pas de complot mais il y a une difficulté évidente à siffler quand le penalty est en faveur d'un joueur portant le maillot des Nerazzurri. Au fait, que fait la direction ? Traduction alex_j via FCInterNews.
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Alors que l'Inter n'a toujours pas reçu les paiements de DigitalBits, le club de la capitale romaine n'a actuellement aucun problème. Calcio e Finanza nous explique pourquoi. Dimanche prochain, avant le match Roma-Vérone, l'As Roma Business Club Crypto Summit aura lieu au Stadio Olimpico. Une rencontre dont figurera Daniele Mensi, directeur général de DigitalBits, sponsor maillot du club depuis l'été 2021. Il n'y a actuellement aucun problème concernant les paiements entre la marque de crypto-monnaie et la Roma, contrairement à ce qui se passe avec nous. DigitalBits est notre sponsor principal depuis Juillet 2022 et notre club n'a encore reçu aucun paiement de la société. En effet, il nous manque 17,6 millions d'impayés par DigitalBits qui, après avoir payé 5,1 millions pour la saison 2021-2022, n'a pas payé les 1,6 million de bonus ainsi que les deux premiers versements de la nouvelle saison, pour un montant de 16 millions. Ceci a conduit à retirer DigitalBits des LED sur le bord du terrain, du contenu numérique, sur le site Web ainsi que sur les maillots de l'équipe féminine. Ces derniers mois, beaucoup se sont demandé quelles sont les différences entre la Roma et l'Inter ? Pourquoi les Giallorossi n'ont eu aucun problème jusqu'à présent, à tel point qu'ils ont invité Mensi comme conférencier à l'événement susmentionné contrairement aux Nerazzurri ? Tout d'abord, l'une des réponses résiderait dans les chiffres : le club Giallorossi a signé un contrat d'un montant total de 35 millions pour la période de trois ans allant de 2021-2022 à 2023-2024, tandis que l'Inter en tant que sponsor principal a un contrat pour 80 millions pour les saisons 2022-2023 à 2024-2025. Par conséquent, l'engagement avec notre club est beaucoup plus lourd à porter et ce, amplifier par les difficultés de l'ensemble du secteur de la crypto-monnaie ces derniers mois. Pas seulement cela, cependant. Comme l'a appris Calcio e Finanza, une autre grande différence est liée aux délais de paiement. En effet, le contrat entre Roma et DigitalBits prévoit un montant à la hausse avec une dernière étape particulièrement élevée liée à la saison 2023-2024: on commence avec 6 millions au total lors de la première saison pendant que la dernière année aura des valeurs beaucoup plus élevées; forte différence. L'accord entre l'Inter et la marque de crypto prévoit une hausse mais de manière moindre, on parle d'un contrat de trois ans de 23, 27 et 30 millions d'euros respectivement. Afin d'éviter d'éventuels problèmes durant la dernière année du contrat comme c'est le cas avec l'Inter mais aussi l'Atletico Madrid, voir après, la direction de Roma, conformément aux bonnes pratiques de gestion, regarde déjà autour d'elle pour ne pas se trouver prise au dépourvue si le choix serait d'interrompre l'accord avec DigitalBits. Un nom comme remplaçant possible serait Toyota. Comme indiqué par Mundo Deportivo, le sponsor du maillot WhaleFin a décidé de mettre fin au partenariat avec l'Atletico et disparaîtra du maillot; coup de massue. Rappelons que WhaleFin est la plate-forme la plus importante d'Amber Group, une entreprise de classe mondiale visant à offrir des outils innovants et de niveau institutionnel aux investisseurs privés dans l'achat et la vente de crypto-monnaies. Le sponsoring qui liait WhaleFin à l'Atletico avait une durée de cinq ans, pour une contrepartie de 40 millions d'euros par saison. L'Atletico a encaissé la première rente mais WhaleFin n'a pas l'intention de poursuivre l'aventure. Ou plutôt, il ne peut pas car on estime que le marché de la crypto-monnaie s'est effondré de 70% ces derniers mois. Cela a conduit l'entreprise à prendre la décision de ne pas continuer à payer. Pour résilier le contrat, WhaleFin s'accroche à une clause qui, de l'avis de l'entreprise, lui permettait de le faire en cas de baisse du marché, comme cela se produit actuellement, même si l'Atletico évalue cette possibilité. Il est pas exclu que le club procède à une action en justice. En tout cas, l'Atletico Madrid ne perd pas de temps et recherche déjà un sponsor de maillot pour remplacer WhaleFin à partir de la saison 2023-2024. Traduction alex_j via Calcio & Finanza.
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Que vaut une qualification en quarts de finale de la Champions ?
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Les revenus pour les quarts de finale de la Champions sont révélés par Calcio e Finanza. L'Inter pourrait récupérer environ 68 millions d'euros. Comme on le sait, le club a déjà encaissé les 15,64 M€ de primes de participation, 15,93 M€ de revenus du classement historique, 6 M€ pour la 2e place de Serie A et 4,76 M€ de pool de marché. A cela s'ajoute 9,33 M€ de bonus de réussite (résultats dans la phase de pool) et 9,6 M€ pour l'accession en huitièmes de finale. En enlevant les 4 M€ d'amende pour le Fair Play Financier, l'Inter a, pour l'instant, 58 M€ dans la caisse. Une accession en quart rajouterait 10 M€ portant à 68 M€ les gains liés à la Champs. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.- 3 commentaires
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LeoVegas.News a récemment élargi sa collaboration avec l'Inter en devenant le sponsor maillot du kit d'entraînement et du kit d'échauffement des Nerazzurri. Niklas Lindahl, CMO (Chief Marketing Officer, ndlr) du groupe LeoVegas, s'est exprimé sur cette collaboration sur le site officiel de l'entreprise. Ce sponsoring d'une entreprise sportive est sans précédent dans l'histoire de LeoVegas. Que pouvez-vous nous dire sur ce partenariat ? "Notre histoire avec l'Inter a commencé l'année dernière, lorsque notre plateforme d'info-divertissement italien s'est associé à votre club emblématique à l'automne. Dès le premier jour, nous avons reconnu le potentiel de ce partenariat. Cela a été évident lors du camp d'entraînement hivernal de l'Inter à Malte début Décembre. A cet instant, nous avons obtenu une preuve de nos prédictions et évaluations en tant que partenaires temporaires du kit d'entraînement. Cela a suscité un énorme regain d'intérêt pour notre marque. Au cours des deux derniers mois, nous avons collaboré très efficacement avec l'Inter. Les deux parties ont vu le potentiel et étaient impatientes de faire passer le partenariat au niveau supérieur : devenir des partenaires officiels d'entraînement et de kit d'échauffement. La combinaison de nos grandes marques avec l'énorme fanbase mondiale de l'Inter Milan, 508 millions de personnes, offre un énorme potentiel pour augmenter notre visibilité dans le sport. Je suis enthousiasmé par cette opportunité fantastique et nous avons obtenu d'excellents résultats !" Comment LeoVegas Group tirera t-il parti du sponsoring pour accroître la notoriété de la marque et atteindre de nouveaux parieurs ? "La marque LeoVegas Group sera visible par un public de passionnés de sport dans le monde entier, élargissant donc notre portée à une plus grande communauté de parieurs nouveaux et expérimentés. Dans le même temps, nous pouvons tirer parti des avantages d'un partenariat avec l'Inter Milan, une marque sportive véritablement mondiale, et continuer à tirer parti de cela. Ce partenariat donne également une impulsion positive à notre marque." Le Groupe sponsorisera t-il d'autres équipes sportives à l'avenir ? "On ne sait jamais… ! J'ai appris à ne jamais dire jamais. Cependant, je veux que les données parlent d'elles-mêmes et le monde des données est très dynamique. Nous ne refusons jamais les opportunités dès le début. Nous gardons l'esprit ouvert et chercherons toujours des offres qui donnent un retour sur investissement à nos propriétaires et de la valeur à nos clients. Nos clients sont notre priorité absolue et nous nous engageons à leur fournir la meilleure expérience de jeu en ligne, y compris une image de marque passionnante, des parrainages et du contenu exclusif." Comme y a deux grands clubs de football à Milan, une moitié de la ville ne vous aimera pas. Cela va-t-il compliquer votre quotidien à Milan ? "C'est difficile de plaire à tout le monde, surtout dans le monde du sport (rires, ndlr). Mais le plus important, c'est que mon dentiste, mon comptable, mon avocat et ma copine sont tous des fans de l'Inter, donc au moins j'ai couvert les bases !" Traduction alex_j via FCInterNews
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Selon une analyse de FCInterNews, l'Inter doit rester sur les clous face aux arbitres italiens. Il n'y a pas d'autre explication au traitement reçu jour après jour par les joueurs d'Inzaghi par nos propres sifflets de Serie A. Dans ce premier aperçu de 2023, la situation est donc devenue vraiment insoutenable et d'autres clubs ont produit les fameux "dossiers d'arbitrages" pour beaucoup moins que ça. Après la nette victoire 1-0 sur le Napoli, les Nerazzurri ont été littéralement victimes d'erreurs souvent flagrantes. Extraits: Monza-Inter : but d'Acerbi refusé; Inter-Vérone : penalty non accordé pour une main sur tir de Mkhitaryan, beau but refusé de Lautaro et double carton jaune non donné à Hien; Milan-Inter en Supercoppa : Barella percuté par Tatarusanu; Inter-Empoli : deuxième carton jaune assez sévère pour Skriniar; Cremonese-Inter : penalty non accordé à Dzeko; Inter-Milan : penalty non accordé à Dzeko, penalty non accordé à Lautaro et but annulé pour Lukaku. Une longue série d"erreurs" difficiles à expliquer. Des erreurs de toutes sortes. Les unes après les autres qui coûteraient également de lourds points. Ensuite, certains d'entre elles peuvent aussi être évoquées, comme par exemple lors du dernier derby où Gabbia a poussé Dzeko des deux mains : il n'y a pas de coup de sifflet. La valeur étalon est totalement faussée et pas seulement d'un match à l'autre mais aussi au sein d'un même match. Les deux épisodes survenus lors du match de Dimanche soir lors de la deuxième mi-temps sont emblématiques. Lautaro, dans la surface, prend position, et Kalulu lui tombe dessus et par derrière en le frappant à la jambe gauche : penalty évident, Massa et Mazzoleni se taisent et rien à la VAR. Le lendemain, rien, tous sont muets! Idem pour le but refusé à Lukaku en fin de partie : le Belge et Thiaw se tirent dessus dans une mêlée des plus classiques entre attaquant et défenseur, Big Rom a le dessus et marque au sol, mais Massa annule. "Ce qui n'est pas encore arrivé doit arriver", dirait quelqu'un qui ne va pas si bien maintenant. Au lieu de cela, ceux de l'Inter sont muets dans un championnat où tout le monde crie au moindre tort tout de suite. Une attitude passive qui n'aide certainement pas. Et en attendant les coups de sifflet qui sont défavorables continuent. Il faudrait comprendre pourquoi l'Inter est si contrariée par les arbitres italiens. Traduction alex_j via FCInterNews.
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Encore pire que la Calciopoli? Voici les déclarations de l'avocat Mattia Grassani, expert en droit du sport, qui s'exprimait sur Radio Anch'io lo sport. "Cette situation est-elle plus grave que Calciopoli ? A cette époque, le système de la Juventus devait polluer le système d'arbitrage par le haut du panier. Aujourd'hui le fait que les mêmes protagonistes se livrent à ces parallèles, à ces comparaisons, et disent que la situation est plus grave que celle du Calciopoli, démontre que la prise de conscience de leur comportement encore plus grave qu'en 2006. C'est une chose d'approcher un arbitre, un officiel, un président, c'est très sérieux, mais c'en est une autre de doper les comptes de l'entreprise. De cette manière, la parité concurrentielle avec les autres clubs est violée. Cela altère la régularité du championnat, voire ce qui se joue sur le terrain. Je n'ai pas à injecter de capital dans l'entreprise via des stickers Panini ou des cartes Monopoly." Les brebis galeuses quittant la Serie A... enfin, quittant, vite dit... "La situation avec l'UEFA n'a pas fait l'objet d'une enquête approfondie. C'est également une situation unique pour l'UEFA car les autres procédures envisageaient des dépassements de capacité de dépense par rapport au fair-play financier, il a été question de dépassements et de capacité de dépense. Dans ces situations, il y avait un blocage du marché, mais c'est une situation différente. La procédure judiciaire sportive et la procédure pénale sont techniquement autonomes. En effet, dans de nombreux cas, nous avons assisté à des acquittements d'un côté et à des condamnations de l'autre. La justice sportive arrivera plus tôt et les enquêtes pénales n'auront certainement pas encore atteint la fin de la procédure pour tout éclairer. La justice sportive devra évidemment tenir compte de la justice pénale, notamment des bilans, du matériel saisi et des écoutes téléphoniques. Mais le critère d'évaluation est autonome. Le mouvement doit avoir la capacité et la force d'éliminer les brebis galeuses, qu'il s'appelle Juventus ou Borgorosso Football Club." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Les Nerazzurri toujours protagonistes des événements mondiaux : des deux titres de Meazza à aux finales où il y a toujours un joueur de l'Inter sur le terrain. Voici le rapport de FCInter1908 qui a tout répertorié et nous dit tout. Inter et Coupe du Monde : tout commence en 1934 Championnat interrompu avec la Coupe du monde qui a commencé hier. Un sentiment que nous associons habituellement à l'été, aux rêves de gloire colorée de bleu. Mais ce n'est pas l'été, il n'y a pas d'Italie et pourtant la Coupe du monde a commencé. Qatar 2022, la première édition en automne, la première à scinder la saison interclubs en deux. Ils sont six joueurs Nerazzurri prêts à concrétiser leur rêve nourri depuis de leur enfance, celui de soulever la coupe. Il s'agit de Lautaro Martinez avec l'Argentine, Denzel Dumfries et Stefan De Vrij avec la Hollande, Marcelo Brozovic avec la Croatie, André Onana avec le Cameroun, Romelu Lukaku avec la Belgique. Interisti et Coupe du monde est une histoire qui commence en 1934 qui est pleine d'anecdotes et d'épisodes clés. Il y a des champions du monde, il y a des buteurs en finale, il y a des records invaincus, des statistiques uniques. Celle du Qatar est la 22e édition de la Coupe du monde. La première, en 1930, comportait 13 équipes nationales mais pas l'Italie. Aucun Nerazzurri n'a participé à cette première édition historique. Depuis lors, les nerazzurri ont souvent laissé leur emprunte en commençant par les éditions de 1934 et 1938, remportées par l'Italie avec la contribution de plusieurs Interisti, Giuseppe Meazza en particulier. Ici, l'appel d'Allemandi, Castellazzi, Demaria et Meazza, en 1934 par Vittorio Pozzo est le premier appel des joueurs de l'Inter pour la Coupe du Monde. L'Italie soulève la Coupe Rimet en 1934 et la conserve en 1938. En 1938, Giovanni Ferrari, Pietro Ferraris, Ugo Locatelli et Renato Olmi sont appelés en plus de Meazza. Il y a donc 8 champions du monde Nerazzurri, avec Meazza qui en tant que capitaine soulève le trophée en France. Le meilleur buteur de l'histoire de l'Inter est le seul Nerazzurri à avoir remporté deux titres mondiaux. 104 Interisti à la Coupe du Monde Les huit Azzurri précités font partie des 104 joueurs qui, tout au long de l'histoire, ont été convoqués pour la Coupe du monde. Une très longue liste dans laquelle se distingue Beppe Bergomi, capable de disputer quatre éditions de la Coupe du monde entre 1982 et 1998. Lothar Matthäus compte bien cinq éditions, mais une seule lorsqu'il portait le maillot de l'Inter, celle de 1990. Pour celles de 1950 et 1954, seuls les joueurs italiens étaient appelés. En 1958, l'Inter n'avait qu'un seul représentant à la Coupe du monde, Lennart Skoglund avec la Suède, l’Italie n’y participant pas. Il y a 24 nations représentées dans l'histoire par les Interisti à la Coupe du Monde : Italie, Suède, Espagne, Angleterre, Autriche, Allemagne, Hollande, Brésil, Chili, France, Nigeria, Argentine, Uruguay, Turquie, Portugal, Croatie, Serbie, Slovénie, Ghana, Cameroun, Colombie, Japon, Algérie, Belgique. L'édition qui a vu le plus de Nerazzurri participer à la Coupe du monde est celle de 2002. 13 joueurs de l'Inter ont été appelés : Toldo, Materazzi, C. Zanetti, Di Biagio, Vieri (Italie) ; J. Zanetti (Argentine); Simic (Croatie); Okan, Emre (Turquie); Conceiçao (Portugal); Recoba, Sorondo (Uruguay); Ronaldo (Brésil). Les interisties champions du monde Il y a 19 joueurs interisti qui ont remporté la Coupe du monde. Au niveau des clubs, les nerazzurri occupent la troisième place en terme de champions du monde, derrière la Juventus et le Bayern Munich. Les 19 champions Nerazzurri sont : Meazza (1934-1938) ; Allemandi, Castellazzi, Demaria (1934); Ferrari, Ferraris, Locatelli, Olmi (1938); Bergomi, Marini, Bordon, Oriali, Altobelli (1982); Matthäus, Klinsmann, Brehme (1990); Djorkaeff (1998); Ronaldo (2002); Materazzi (2006). En 1982, l'Italie a remporté sa troisième Coupe du monde avec cinq joueurs Nerazzurri dans l'équipe, comme cela s'est produit en 1938. Lors de cette édition, Bordon était le seul joueur de l'Inter à ne pas entrer sur le terrain. Les Interisti buteurs en finale Sur 19 Interisti champions du monde, 7 ont marqué en finale de Coupe du monde. Quatre d'entre eux soulevant alors le trophée, trois avec la déception de la défaite. En 1970, premier but des Nerazzurri en finale : l'égalisation de Boninsegna contre le Brésil, avant la domination auri-verde. En 1982, sous les yeux du président de la République, Alessandro Altobelli fait hurler à Pertini la fameuse phrase "ils ne nous prendront plus" en inscrivant le 3-0 contre l'Allemagne, lors de la finale au Bernabeu qui se termine 3-1. Pour l'Italie de Bearzot, un triomphe sous le signe de Paolo Rossi, avec cinq champions Nerazzurri, dont un tout jeune Bergomi qui a touché le dernier ballon de ce bienheureux Mundial. En 1986, le but de Rummenigge en finale au Mexique, que l'Allemagne perd contre l'Argentine. Quatre ans plus tard, lors de Italia 90, la revanche allemande avec les trois Nerazzurri sur le terrain : Brehme, Matthäus et Klinsmann. Une finale nettement Nerazzurri avec Andy Brehme vainqueur du match marquant sur penalty (pied droit alors que c'est un gaucher) à la 81e minute au stade Olimpico de Rome. Un penalty que Matthäus n'a pas tiré, en raison d'un problème avec une de ses chaussures. En 2002, un autre nerazzurri sur le toit du monde : Ronaldo, après la déception de 1998, remporte la Coupe du monde en inscrivant un doublé en finale contre l'Allemagne, exhibant une coupe de cheveux étrange et légendaire. En 2006, Marco Materazzi était la vedette. Il a égalisé en finale contre la France, a subi un coup de tête de Zidane entraînant un carton rouge pour le Français, a marqué l'un des cinq penaltys de la série finale qui a donné aux Azzurri leur quatrième mondial Titre. La liste des attaquants Nerazzurri en finale de la Coupe du monde s'étend jusqu'en 2018 quand Ivan Perisic marque un beau but à Moscou contre la France en finale, la Croatie s'inclinant 4-2. Toujours un interiste en finale depuis 1982 Lothar Matthäus détient le record d'apparitions en Coupe du monde avec 25 matches. Walter Zenga est l'invaincu : 518 minutes en Italie 90, de la première minute du premier match à la 68' de la demi-finale, où il a été battu par la tête de Caniggia. Parmi les meilleurs buteurs on retrouve Ronaldo en 2002 (8 buts) et Wesley Sneijder (5 buts) en 2010. Mais le fait le plus incroyable est que depuis 1982, il y a toujours eu au moins un joueur Nerazzurri sur le terrain lors des finales de la Coupe du monde. Voici la liste : 1982 : Bergomi, Altobelli (but), Oriali 1986 : Rummenigge (but) 1990 : Brehme (but), Matthäus, Klinsmann 1994 : Berti 1998 : Ronaldo, Djorkaeff 2002 : Ronaldo (2 buts) 2006 : Materazzi (but) 2010 : Sneijder 2014 : Palacio 2018 : Brozovic, Perisic (buts) Traduction alex_j via FCInter1908
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Beppe Marotta a pris la parole lors de la présentation du nouveau livre de Marco Bellinazzo, "Les nouvelles guerres du football". Parmi les sujets abordés, la possibilité de trouver de nouveaux formats au niveau européen. "La Super League a pris un départ embryonnaire, plusieurs équipes de Premier League se retirant immédiatement. Ce n'est rien d'autre qu'un cri d'alarme. Aujourd'hui avec trois entreprises restantes avec des concepts clairs : la recherche de la durabilité, avant tout, mais aussi de la compétitivité. Cette Super League est née dans un modèle européen où à part la Premier League tous sont en difficulté. L'exception notable est le modèle allemand qui a des règles très particulières en matière de propriété : il y a une union forte entre la population et les clubs de football. Ce sont des modèles qui tiennent encore, alors que l'Italie, l'Espagne et la France sont en grande difficulté. Tout tourne autour du spectacle : s'il est pauvre, vous n'allez pas le voir, c'est aussi vrai dans le football qu'au cinéma ou au théâtre. Vous payez le ticket s'il y a une implication affective et émotive : la foi en l'équipe est un dogme, le vrai fan vous suit même si vous allez en C, mais la plupart des fans sont des fans de deuxième niveau, c'est-à-dire ceux qui veulent participer au spectacle. Nous devons rechercher la durabilité et un modèle d'organisation dans lequel il peut également y avoir des investissements étrangers, ce qui est nécessaire. Mais si les fonds arrivent c'est qu'ils rapportent du cash : ça veut dire qu'on n'en a pas aujourd'hui." "Il faut se souvenir de ce qu'est l'équipe de football. C'est une entreprise privée d'utilité publique. Aucun client fait pression sur les fabriques de bouteilles d'eau ou de biscuits. Dans le football, nous sommes soumis à des procès tous les dimanches. Et ils conduisent à deux situations : au fil des années, dans les années 1980 et 1990, de nombreuses propriétés sont tombées faute de pouvoir résister à la pression des fans et ont vendu une grande partie de leurs actifs pour suivre le rythme. Aujourd'hui, si nous prenons une centaine de fans et leur demandons s'ils veulent un club en bonne situation financière mais cinquième-sixième ou un gagnant avec de gros problèmes de budget, 90 sur 100 prendrait le dernier. Cela fait partie d'un processus culturel pour lequel nous ne sommes pas prêts. Nous n'avons pas la culture de la défaite car pour nous c'est un drame alors ce n'est pas comme ça à l'étranger. Ce n'est pas un hasard si en Italie les équipes avec le chiffre d'affaires le plus élevé ont gagné ces dernières années." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Avec l'Inter ne jouant plus un match pour le reste de 2022 en Europe et en Serie A, le moment semble maintenant opportun pour revoir ses progrès jusqu'à présent cette saison. Voici l'analyse de Sempreinter. Deux salles, deux ambiances avec un certain retard en Serie A, tandis qu'en Europe ils ont passé le "groupe de la mort" et affronteront Porto en huitièmes de finale. Voici cinq choses que nous avons apprises de l'Inter jusqu'à présent cette saison. 1) L'ère Handanovic se termine avec une passation à Onana Malgré quelques échanges, il semble que la signature estivale Andre Onana ait désormais officiellement remplacé Samir Handanovic en tant que gardien numéro un. Après quelques années, le grand Slovène, qui était sans aucun doute la star de l'Inter pour les plaisanteries, a finalement semblé se retirer pour un gardien plus jeune. L'ancien stoppeur de l'Ajax a saisi pleinement l'occasion et a semblé donner un nouvel élan à l'Inter dans cette position. Enfin, sa présence a certainement donné à la défense de l'équipe un regain de confiance. 2) Romelu Lukaku – Le flop de la saison ? Bien qu'il puisse être un peu difficile de qualifier Lukaku de véritable flop alors qu'il est à peine entré sur le terrain cette saison, le retour du Belge a été sérieusement décevant. L'Inter avait hâte d'accueillir à nouveau l'attaquant létal qui a joué un rôle énorme dans le Scudetto 2021. Au lieu de cela, ils ont rencontré une ombre blessée de son ancien lui. Alors qu'Edin Dzeko et Lautaro Martinez ont bien joué, ce serait formidable au cours de la seconde moitié de la saison d'avoir un Big Rom en pleine forme et tirant pour donner à l'Inter une chance de gloire. 3) Interprète vedette en Barella Alors que Federico DiMarco et Lautaro Martinez ont connu d'excellents débuts de saison, il est très juste de dire que Nicolo Barella a été la star de la saison de l'Inter jusqu'à présent. L'ancien maestro de Cagliari a été exceptionnel depuis le début de la saison, ajoutant même des buts à son jeu pour correspondre à sa ruse et à son sprint. L'international italien a aidé l'Inter à faire face à la blessure de Marcelo Brozovic et à la forme à l'envers toujours inconsistante de Hakan Calhanoglu. Meilleur milieu de terrain central du football mondial en ce moment ? Il est définitivement en haut du classement! 4) Les malheurs en Serie A signifient que le but est d'être dans les quatre premiers Les cinq défaites de l'Inter en championnat jusqu'à présent signifient qu'ils sont déjà loin du rythme dans la course au Scudetto. La saison dernière a été une énorme déception car l'Inter semblait contrôler la course pour conserver le Scudetto jusqu'après Noël, lorsque le Milan a inversé la tendance après avoir remporté le Derby. Ce trimestre, l'Inter n'a même pas été proche. Les défaites contre le Milan, la Juventus et la Roma ainsi que celles contre la Lazio et l'Udinese ont forcé à l'Inter de se concentrer désormais sur sa qualification pour la Ligue des champions la saison prochaine. À moins d'un miracle, l'Inter semble prêt pour une autre année sans Scudetto cette année. 5) Phase de groupes de la Ligue des champions : le point culminant de la saison jusqu'à présent Outre deux défaites logiques contre le Bayern Munich, les victoires et les performances de l'Inter en Europe ont certainement été les points forts de la saison. Le doublé sur Plzen a été confirmé par deux scores stellaires pour calmer et expédier les grosses dépenses de Barcelone vers la Ligue Europa. Voir les progrès de l'Inter après le tirage au sort en Août était une chimère étant donné le pouvoir financier du Barça et du Bayern. Mais les Nerazzuri, comme ils l'ont fait la saison dernière, ont trouvé un moyen sous Simone Inzaghi d'atteindre les phases à élimination directe. Avec le Porto entraîné par l'ancien ailier de l'Inter Sergio Conceicao qui sera le prochain adversaire européen après la Coupe du monde, l'Inter aura toutes les chances de se qualifier pour les quarts. Êtes-vous d'accord ou pas d'accord avec cette analyse ? Traduction alex_j via Sempreinter.
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Tuttosport nous livre une statistique impitoyablement intéressante concernant les performances à domicile et à l'extérieur de l'Inter d'Inzaghi. Atalanta-Inter devrait être l'occasion pour l'équipe d'Inzaghi de se relancer pour les matches à l'extérieur où les Nerazzurri ont perdu face à la Lazio, la Juventus, l'Udinese et le Milan. Voici l'analyse de Tuttosport. "L'Inter d'Inzaghi est un rouleau compresseur chez elle. Depuis qu'Inzaghi a repris les rênes de l'équipe, donc à partir de l'été 2021, l'Inter a joué 26 matchs à domicile en championnat et a enchaîné 20 victoires, 3 nuls et 3 défaites pour une moyenne de 2,42 points par match (67 buts marqués contre 20 encaissés). Seuls le PSG et Manchester City, en Europe, ont fait mieux au cours de cette même période (Août 2021 / Novembre 2022). L'écart avec les équipes italiennes est également très net: Milan a une moyenne de 2,23, Napoli de 2,12, la Juventus et la Fiorentina de 2 (toutes les autres sont à moins de 2 points)." "En revanche, à l'extérieur l'Inter d'Inzaghi a récolté quatre défaites et seulement trois victoires en sept matchs, contre Lecce, Sassuolo et la Fiorentina, pour une moyenne de 1,29 de points par match de seulement. Elle est loin des équipes en tête de ce classement, à savoir PSG à 2,75, Naples à 2,71, Real et Barcelone à 2,57, mais également des autres équipes italiennes, Lazio, Atalanta, Roma, Milan et Juventus, toutes au-dessus de 1,30. En ne prenant en compte que les équipes qui ont participé à la Ligue des champions, seuls quatre ont jusqu'à présent réalisé une pire performance à l'extérieur que de l'Inter, à savoir Séville(1,14), Bayer Leverkusen (1), Leipzig (0,86) et de manière incroyable Liverpool (0,83)." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Calcio e Finanza a analysé les documents liés aux états financiers au 30 Juin 2022 d'Inter Média et Communication. Le journal nous livre les chiffres liés aux impayés de Digitalbits et explique que l’Inter recherche également des sponsors pour le naming entre autres. Digitalbits n'a pas versé à l'Inter les primes liées aux résultats de la saison dernière ainsi que les deux premières tranches des termes pour la saison en cours. C'est ce que l’Inter explique dans les documents liés aux états financiers au 30 Juin 2022 d'Inter. L'Inter fait ainsi le point sur le contrat avec Zytara Labs LLC, la société dirigée par Digitalbits. Dans le détail, le club explique que Digitalbits est devenu : le nouveau Official Global Cryptocurrency and Sleeve Partner, pour la saison de football 2021-2022 moyennant une redevance de 5 M€ et une redevance variable liée à aux performances sportives de l'équipe; le nouveau Global Main Jersey Partner pour les trois saisons sportives de 2022-2023 à 2024-2025 pour un montant total de 80 M€ (24 M€ à échéance 2022-2023, 26 M€ à échéance 2023-2024 et 30 M€ à échéance 2024-2025 ), en plus de la redevance variable liée aux performances sportives de l'équipe. À ce jour, cependant, Digitalbits n'a payé intégralement que la redevance de base de 5 M€ due pour la saison de football 2021-2022 et une prime de performance de 100 000 € pour avoir atteint à nouveau les huitièmes de finale de la Ligue des champions la saison dernière. Ils n'ont cependant pas encore été payés : des primes d'un montant total de 1,6 M€ prises en rapport avec le classement final en Serie A 2021-2022 et la victoire de la Coupe d'Italie 2021-2022; les deux premières tranches d'un montant total de 16 M€ (dont la première émise en Juin 2022 pour 8 M€) dues sur le montant de base de 24 M€ dû au titre de la saison de football 2022-2023. "En plus de ce qui précède, le partenaire n'a pas encore présenté le projet contractuellement envisagé relatif à l'intégration de l'écosystème numérique du groupe qui vient d'être renouvelé par notre club", ajoute l'Inter. Le Nerazzurri poursuit ensuite que "nous comprenons que la crise du secteur des crypto-monnaies, qui s'est aggravée au cours du deuxième trimestre 2022, a considérablement affecté la capacité du client à remplir ses obligations. Nous nous réservons toutes actions et recours pour protéger nos intérêts et droits contractuels et, dans l'intervalle, nous avons retiré de notre site les logos partenaires ainsi que sur les panneaux publicitaires et les maillots des équipes jeunes et féminines, tout en conservant, pour le moment, la présence du sponsor sur le maillot de l'équipe première." Cependant, comme l'a également expliqué Alessandro Antonello, l'Inter cherche déjà des solutions alternatives pour le sponsor du nouveau maillot. "La Société a déjà engagé toutes les actions nécessaires sur le marché en engageant diverses discussions pour la recherche d'un éventuel nouveau partenaire au travers de sa structure commerciale afin que le nouveau partenaire puisse prendre le relais dans les meilleurs délais. En ce moment nous avons de nombreux interlocuteurs, nous ne sommes pas encore dans la phase pour l’identification d’un secteur de produit spécifique. Le sponsor maillot est important, tous les partenaires qui viennent chez nous doivent faire des propositions concrètes. Il y a beaucoup de discussions ouvertes, on espère la clore au plus vite." De plus l'Inter recherche non seulement un nouveau sponsor principal pour le maillot mais également de nouveaux accords liés au sponsor de la manche, au maillot d'entraînement et aux droits de naming de la Pinetina. Dans le détail, en effet, l'Inter explique qu'actuellement pour la saison 2022-2023, elle a des accords commerciaux et liés à des sponsors qui rapporteront 46 M€ environ. Cependant, ces accords ne comprennent pas : le sponsor sleeve, étant un atout pour lequel un partenaire n'a pas encore été trouvé après l'accord pour la saison sportive 2021-2022 avec Digitalbits; il n'inclut pas les droits de naming du maillot d'entraînement et du centre sportif car il s'agit d'un actif pour lequel un partenaire n'a pas encore été trouvé après l'expiration du contrat avec Suning au 30 Juin 2022; ne tient pas compte du contrat actuellement en place avec Zytara Labs LLC en raison de l'incertitude actuelle sur la capacité du partenaire à payer les montants contractuels, comme expliqué plus haut. Les 46 M€ pourraient donc augmenter compte tenu des recherches en cours pour les sponsors maillot, de la manche et du centre d'entraînement/maillot d'entraînement. En 2021-2022, des sponsors du maillot, l'Inter a collecté 28,9 M€ de Socios, Zytara / Digitalbits et Lenovo, avec 12,5 M€ supplémentaires de Nike. Les autres sponsorings s'élevaient à environ 27 M€. Parmi les autres revenus prévus pour la saison 2022-2023, le club souligne qu'il attend un minimum de 72 M€ de revenus issus des droits TV de la Serie A, pouvant monter jusqu'à 92 M€ en cas de succès en championnat, en plus d'un minimum de 53 M€ (sanction de 4 M€ pour le FPF retirée) de revenus provenant des droits TV de la Ligue des champions. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
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La Gazzetta dello Sport revient sur le triste après-match entre la Fiorentina vs Inter où les membres VIP florentins ont cru qu'ils étaient à la Coupe du Monde et ne se sont pas illustré par leur intelligence ni leur comportement. La Gazzetta revient sur les insultes proférées à l’encontre des officiels de l'Inter. "Les évènements de Fiorentina-Inter ne se sont pas arrêtés au coup de sifflet final. En effet, juste après, un nouveau match commençait et bien moins spectaculaire et beau que celui vu sur le terrain. Un match caractérisé par des insultes que Joe Barone et d'autres 'VIP' auraient adressées aux cadres Nerazzurri. En effet, 'Mafiosi' a été le mot entendu à plusieurs reprises et distinctement par Zhang, Marotta et Ausilio alors qu'ils quittaient la tribune VIP. Cependant, d'après le communiqué officiel de la Viola, ils demandent des excuses à l'Inter et à la Digos d’identifier les agresseurs du supporter interiste frappé d'un coup de poing tout en criant 'jette-le par terre'". La Gazzetta a ensuite commenté la position officielle de l'Inter. "Le président Zhang a été abasourdi par les insultes et les menaces qu'il a reçues lorsque, escorté par les hommes de sécurité du club, il a quitté les tribunes. Des dizaines lui ont crié dessus pour des délits de toutes sortes. Il a vécu en Italie pendant 6 ans et a étudié aux États-Unis, mais pour lui et comme d’autres, ce sont des scènes inconcevables. Dans le passé à Florence, cette triste scène était déjà arrivée à Adriano Galliani, lui aussi frappé d'une pièce de monnaie à la tête, à Andrea Agnelli, Pavel Nedved, Gian Piero Gasperini, Carlo Ancelotti et Luciano Spalletti." La Gazzetta explique qu’il ne s’est rien passé dans les vestiaires.. "Les infractions près du balcon de Franchi n'ont pas eu de suite dans le vestiaire car la porte de la salle des Nerazzurri est restée fermée. Barone a erré dans la zone et la tension était palpable (le parquet fédéral a-t-il noté quelque chose?). Mais il n'y a pas eu de nouvelle confrontation avec Marotta qui, en raison des connaissances au sein de la Lega, était sa cible principale. Pendant ce temps, la Fiorentina demande des excuses qui ne viendront pas car l'Inter se concentre uniquement sur le match de mercredi en Champions League. Quant à la vidéo de l'attaque contre le fan des Nerazzurri, la Digos a acquis les images et procède aujourd'hui à l'identification des personnes impliquées." Pour des détails, Stefano Agresti, journaliste, a commenté à La Gazzetta dello Sport ce qui s'est passé au Franchi samedi soir. "Le stade de la Fiorentina devient un cas. En effet, la tribune de ce stade, c'est là que depuis des années maintenant des incidents graves voire pire se sont produits. Des insultes continues aux entraîneurs adverses et aux managers des autres équipes, assis parmi la foule, menaces pour les supporters rivaux. Juste pour donner une dimension de ce qui se passe : ces pseudo-fans ont non seulement fait perdre patience aux chaleureux Spalletti et Gasperini, mais aussi au flegmatique Ancelotti. Presque un record." "Quand il s'agit d'applaudir pour condamner l’autre, tout le monde s'en sort dans les curvae car c'est plus facile. En réalité, à Florence, les pires épisodes se produisent presque toujours dans la tribune garnie par ceux qui peuvent s'offrir les billets les plus chers chers. Et la situation s'est aggravée depuis que le club est aux mains de Commisso qui ne fait rien pour apaiser les esprits autour de lui. Au contraire. Même si cela ternit l'image d'une ville sérieuse et belle, berceau et modèle de civilisation." "L'ennui, c'est que Commisso ne semble pas se rendre compte de l’absurdité de certaines positions. Un exemple. A Bergame, le 2 octobre, les fans ont offensé Commisso pour ses origines calabraises. Un épisode à condamner, bien sûr. Mais pour lequel le DG Barone a même invoqué l'intervention du gouvernement. Oui ! Le gouvernement ! Et pourquoi la même idée brillante n'a-t-elle pas été proposée lorsque, le 28 août, la Fiorentina a été condamnée à une amende pour des chants anti-sud contre les Napolitains ? En bref, insulte bien tant que tu ne le fais pas contre Commisso." Pour terminer, Maurizio Auriemma, questeur de Florence, est revenu sur l'attentat subi par un supporter de l'Inter dans la tribune. Selon ce qui a été appris, l’agresseur identifié est un homme âgé de 56 ans. "Un match de football ne peut être le prétexte pour calmer ses propres tensions et pulsions au sein même du stade. Samedi soir, le personnel est intervenu promptement. L'auteur de ce geste a été identifié et sera dénoncé et visé par des mesures appropriées. Les mesures répressives ou administratives n'aident pas toujours à résoudre le problème. C'est une question de conscience, de participation. Concernant l’absence de gestes barrière, le problème est résolu. Nous voulons aller vers une participation au stade sans gestes barrière. Cependant, je sais que le nouveau projet de restructuration de Franchi est remis en question avec les instances compétentes, de la municipalité au club, jusqu'à l'autorité de sécurité publique et la Serie A." Autrement dit, cet hurluberlu pourra recommencer. Un mot convient : pathétique ! Traduction alex_j via FCInter1908 et FCInterNews.
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Luciano Mondellini, éditorialiste à Calcio e Finanza, nous livre une analyse détaillée sur la vente de l’Inter. Le Financial Times est, avec le New York Wall Street Journal, le principal journal des marchés financiers mondiaux. Et il est évident que lorsque, dans la semaine, le journal londonien a publié un article sur la recherche d'un nouvel acheteur pour l'Inter, le dossier de la vente du club a pris dès ce moment une dimension mondiale. La presse italienne, et notamment Il Sole 24 Ore avant tout le monde, avait déjà donné la nouvelle ces dernières semaines. Mais comme il est hautement probable, sinon certain, que des repreneurs potentiels seront recherchés hors de la botte, la parution de la nouvelle dans un tel journal sonne comme l'officialisation que les choses s'échauffent. En effet, désormais tout investisseur de la Californie à l'Extrême-Orient sait que l’Inter est sur le marché. Cette chronique, en revanche, du 8 Octobre dernier avait expliqué comment une indiscrétion était arrivée à la rédaction. Elle parlait d'une offre d'un géant étranger pour 100% du capital. Cette proposition, a expliqué la source, ne prévoirait pas d'actionnaires minoritaires ce qui obligerait donc les Zhang à se retirer totalement du capital de l’Inter. Cette indiscrétion nous est venue d'une source d'exception qui, déjà dans le passé, a fait preuve d'une crédibilité et d'un sérieux absolus. Le seul détail que l'on peut ajouter est que la rumeur est venue de New York. En revanche, pour en revenir à l'article du Financial Times, la partie selon laquelle seule une minorité du club est en vente n'est pas très crédible. L'Inter n'a pas fait de bénéfices depuis des temps immémoriaux et peut-être jamais dans son histoire n'a-t-elle distribué de dividendes; elle ne l'a certainement pas fait au cours des 20 dernières années. Alors pourquoi un investisseur achèterait-il une participation minoritaire dans un club qui a encore d'énormes pertes ? En effet, c'est une chose si une entreprise réalise des profits et verse des dividendes de façon régulière. À ce stade, un investisseur peut également décider de percevoir le prorata du bénéfice distribué en fin d'année. Mais dans un club déficitaire comme l'Inter, pourquoi le faire ? Participer aux pertes sans même pouvoir influencer les décisions ? Dans ce contexte, une explication plausible pourrait être celle pour laquelle vous achetez une participation de temps en temps puis revendez la participation dans quelques années en espérant que l'actionnaire majoritaire ait valorisé le club. Dans le cas de l'Inter, un possible moteur de cette éventuelle amélioration serait en premier lieu le processus de consolidation budgétaire en cours. Mais il faut être précis : il est vrai que le déficit est passé cette année de 245 M€ à 140 M€, mais cela a été possible surtout grâce aux énormes plus- values sur les ventes de Hakimi et Lukaku. D'autres motivations pourraient le nouveau stade, ce qui en théorie devrait augmenter considérablement les revenus. Ou même projet de la Super League récemment relancé. En revanche, il semble plus simple et plus plausible que ceux qui veulent rejoindre l'Inter veuillent le faire pour la commander (donc acheter au moins la majorité, 51%). N’oublions pas que la famille Zhang n'a plus beaucoup de temps pour prendre des décisions car, en Mai 2024, arrive à expiration le prêt signé avec le fonds américain Oaktree. Si la propriété chinoise ne parvient pas à rembourser le prêt, le fonds américain reprendrait 100% des parts du club désormais détenu par Zhang via LionRock. Un vrai coup de poing financier étant donné que les Zhang ont investi environ 800 M€ depuis 2016 entre les versements et les revenus des sponsors. Et pour compliquer encore les choses, il y a un fait pas moins important : comme le révèle Calcio e Finanza, Suning.com, la principale société du groupe Suning, avait plus de 4 B€ d'impayés au 30 juin 2022. Une position qui, lorsqu'elle est enregistrée dans les états financiers de la même entreprise, soulève des doutes sur la continuité des activités. D'un autre côté, les Zhang ont aussi un avantage : l'Inter est l'un des très rares clubs avec le plus haut rang en Europe (ou avec la plus haute valeur marchande) à être sur le marché. Et cela pourrait évidemment aider à faire grimper le prix. Mais quelle pourrait être l'évaluation de l'Inter ? Les rumeurs circulant dans le milieu indiquent qu'une valorisation globale de 1,2 B€ pourrait être celle à laquelle l'opération pourrait passer, une somme proche du Milan AC. Est-ce réaliste ? Il pourrait être. Les deux clubs milanais ont beaucoup en commun aux yeux des investisseurs étrangers : le projet du nouveau stade, un processus de consolidation fiscale en cours (même si Milan est loin devant), remplissent presque toujours le stade avec plus de 70 000 spectateurs, disposent d'une zone de chalandise proche du stade qui est parmi les plus peuplées d'Europe et certainement la plus riche d'Italie. Enfin, ils ont un nombre équivalent de fans et aussi de revenus : l'Inter a clôturé les comptes au 30 Juin 2022 avec 439 M€ de revenus, dont 100 M€ liés aux plus- values; Milan a enregistré des revenus en 2021-2022 un chiffre de 297 M€. On peut le dire, Milan a sept C1 dans sa vitrine tandis que l'Inter en a trois. Et très probablement, en faisant un tour sur les différents réseaux sociaux, les followers des Rossoneri sont supérieurs à ceux des Nerazzurri. Mais, prenons un instant du côté de Zhang. Nous continuons également à émettre l'hypothèse que les deux clubs peuvent valoir le même montant parce que le nombre de scudetti remportés est le même et le nombre de titres mondiaux est similaire : Milan quatre, Inter trois (d'ailleurs les titres mondiaux sont très intéressants pour les investisseurs non européens et manquent peut-être de culture footballistique). De plus, cela est certainement vrai, pour un investisseur qui injecte des capitaux puis gagne de l'argent dans un avenir proche, il est particulièrement important de savoir comment le palmarès d'un club et son histoire peuvent affecter ses performances financières. Et quant aux deux clubs milanais, le palmarès leur permet d'être inclus dans l'élite du football européen. Dernier point, mais non des moindres, Zhang peut contracter cet effet de rareté parmi les clubs à vendre ayant un tel palmarès. Bref, admis que la valorisation puisse avoisiner les 1,2 B€, il y a un aspect qui ne sera certainement pas le même : c'est la collecte pour le groupe vendeur. Le fonds Elliott, en effet, après avoir investi environ 700 M€, a effacé les dettes du Milan et l'a vendu à Cardinale pour 1,2 milliard, encaissant ainsi une plus-value de 500 M€ environ. La famille Zhang, d'autre part, après avoir investi environ 800 M€ depuis 2016 possède un club avec des dettes totales de 900 M€ environ. Les dettes doivent nécessairement être incluses dans le cadre de l'évaluation. Pour l'expliquer de manière brutale, si une personne achète une maison d'une valeur de 300 000 € en payant 150 000 € en espèces et 150 000 € via une hypothèque, ce n'est pas que le jour d’après que la maison cesse de valoir 300 000 €. Elle continue à valoir ce montant qui reflète précisément le montant payé en espèces et ce qui sera payé par la dette. Ainsi, même si la valorisation de l'Inter devait être de 1,2 B€, il serait pratiquement impossible pour le groupe de Nankin de sortir de l'investissement sans enregistrer une perte. Mise en garde. Cela ne signifie pas qu'il n'est pas pratique pour le Zhang de vendre. Compte tenu des problèmes de la société mère, un peu d'argent ferait du bien à tous égards. De plus, compte tenu également des tensions géopolitiques en cours, il n'est peut-être même pas inopportun de quitter un quadrant économique, celui de l'Europe, dans lequel Suning est pratiquement inexistant en tant qu'entreprise. Une fois tout cela dit, si la transaction aboutit, il ne sera pas possible de ne pas reconnaître les énormes mérites de Zhang, qui resteront non seulement dans l'histoire de l'Inter, mais aussi dans le football italien : la famille Nanjing a d'abord ramené l'Inter à la Ligue des champions après les nuages de l'ère Thohir, la rendant ainsi à nouveau attractive pour les investisseurs internationaux. Et puis sur le plan sportif, c'était la première propriété étrangère à remporter quelque chose d'important (le championnat 2020-2021) en Italie. Montrer qu'il est possible d'obtenir des succès sportifs dans un football compliqué comme notre football à domicile, même pour des entrepreneurs venus de loin. À l'inverse, cependant, combien il est important pour l'Inter, l'héritage du football italien (et finalement de l'Italie en tant que pays) de redevenir la propriété entre des mains occidentales, dans un scénario géopolitique orienté pour revenir divisé sur des pôles opposés. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
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Lautaro Martinez de plus en plus leader de l'Inter de Simone Inzaghi
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Lautaro Martinez de plus en plus leader de l'Inter de Simone Inzaghi. Les chiffres révélés aujourd'hui par la Gazzetta le disent. Lautaro Martinez de plus en plus leader de l'Inter de Simone Inzaghi. La Gazzetta dello Sport en parle aujourd'hui en analysant le début de saison du Toro et plus particulièrement, les chiffres des 10 premiers matches de Serie A auxquels il faut ajouter les 4 matches de Ligue des Champions. Voici ce qui est mis en avant par le rose aujourd'hui : "l'utilisation de Lautaro par Inzaghi est différente par rapport à la saison dernière. S'il faut compenser les deux blessures de Romelu Lukaku et Joaquin Correa qui ont empêché toute rotation en attaque pour certains matches, la tendance est de garder autant que possible le Toro. Ceci est expliqué par à son passage de statut de joueur à chef d'équipe, et ceci grâce au fait que l'Argentin peut créer un but de toutes pièces à tout moment, même à bout de souffle." "L'an dernier Lautaro était un 'très fidèle' des remplaçants, il n'est presque jamais resté sur le terrain jusqu'au coup de sifflet final. En cette période 2022-2023, cependant, la tendance est bien différente. Avec le match contre Salernitana, le numéro 10 des Nerazzurri a atteint 6 journées de championnat consécutives avec 90 minutes sur le terrain. Il faut ajouter les matchs contre Lecce et à la Lazio pour arriver à 8 matches complets en 10 journées de Serie A. L'année dernière, il n'y avait eu que 4, le tout à partir de la mi-février. A ceux-ci s'ajoutent trois matches de Ligue des champions (sur quatre) contre un seul disputé en intégralité lors de l'édition précédente. Evidemment le retour der blessure des coéquipiers tendra à privilégier les rotations au moins pendant le match. Cependant la tendance est claire : par rapport à il y a 12 mois, Lautaro compte déjà près de trois fois le nombre de matches joués de la première à la dernière minute. Tant qu'il est sur le terrain, il récolte des opportunités, alors pourquoi l'enlever ?" Traduction alex_j via FCInter1908.- 2 commentaires
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Calcio e Finanza donne les chiffres d'un retour définitif de Lukaku chez nous. Il n'a pas encore pu donner le meilleur de lui-même cette saison à cause d'une blessure qui l'éloigne des terrains depuis plusieurs semaines. Romelu Lukaku se sent chez lui à l'Inter, et comme le rapporte La Gazzetta dello Sport, il pourrait rester chez nous plus d'une saison. La décision finale sera officiellement prise d'ici la fin de la saison, lorsque l'Inter et Chelsea se rencontreront pour discuter de l'avenir de l'attaquant. Il y a déjà un gentlemen agreement pour lequel Lukaku resterait avec les Nerazzurri également pour 2023-2024, rien de définitif cependant. Les signaux venant de Londres disent que la nouvelle propriété des Blues n'a non seulement aucun intérêt pour le moment à récupérer l'attaquant. Mais, ils pourraient également ouvrir une fenêtre dans le nouvel accord pour le retour définitif du Belge à l'Inter. Lukaku a fait ses adieux à l'Inter à l'été 2021 pour une opération à 115 M€ pour les Blues et un contrat de 12 M€ net par saison. Pour le Chelsea actuel, Lukaku n'est pas nécessaire. Le changement de banc ne semble pas avoir changé les choses. Les Londoniens, dans leur marché record avec plus de 300 M€ investis, ont même engagé un nouvel avant-centre, Pierre Aubameyang. Le prêt pour cette saison s'est clôturé sur la base de 8 M€ plus 3 M€ de bonus. Un prêt onéreux, officiellement uniquement pour 2022-2023. C'est le point de départ car l'Inter a cet accord non écrit de son côté pour une autre année à Milan. Cependant, ils peuvent travailler pour un meilleur plan sachant que Chelsea n'a pour l'instant aucune motivation pour reprendre Lukaku. Une autre saison avec un prêt onéreux, garantissant au moins 10 M€ supplémentaires et continuant à payer le salaire du joueur, est la base à partir de laquelle les discussions vont commencer. Le but est d'insérer au moins une option de rachat en notre faveur à l'été 2024 et de viser un retour définitif du Belge à Milan. Il ne reste plus qu'à se demander, à ce moment-là, quelle somme l'Inter devrait mettre dans la balance pour verrouiller définitivement le retour du joueur. À l'été 2024, Lukaku aura une valeur d'environ 46 M€ dans le bilan des Blues. C'est la somme qu'ils devraient encaisser pour ne pas générer de perte. De plus, la signature de Big Rom sera discutée car il touchera à peine les 12 M€ de Chelsea. Il devra tout de même être un joueur de premier plan. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
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Gianluca Di Marzio dit tout sur le mercato de l'Inter, de Milan Skriniar à Romelu Lukaku, en passant par Dumfries, Lautaro Martinez et les autres grands noms. Le futur de Skriniar ? "Le problème de l'Inter est lerenouvellement du contrat de Skriniar et la situation est encore plus dangereuse que celle de Leao avec le Milan. Le contrat de Skriniar expire à la fin de la saison et s'ils ne concluent pas le renouvellement, Skriniar pourrait partir pour zéro. Donc il y a un risque que l'Inter puisse le vendre en Janvier sinon ils ne récolteraient rien en Juin." La dernière saison de Dumfries à l'Inter ? "Non, il fait un excellent travail à l'Inter et il l'a également montré contre Barcelone. L'Inter ne voudrait pas vendre Dumfries. Cependant, la situation financière est particulière car l'Inter rencontre des difficultés, comme nous le savons. Pour cette raison, je pense que chaque joueur de l'Inter peut être vendu même si pour l'instant, la propriété de l'Inter, Simone Inzaghi et la direction ont décidé que les top joueursne seraient pas touchés." L'avenir de Lukaku ? "Ils essaieront également de prolonger le prêt de Lukaku pour la saison prochaine. Je ne sais pas si Chelsea demandera Lautaro, Skriniar ou Dumfries dans les négociations pour Lukaku. Cela dépend de la situation des deux clubs. Mais ils entameront les discussions bientôt car Lukaku veut rester à l'Inter et ce peut-être même pour d'autres joueurs." Lautaro Martinez au Bayern Munich ? "Ce n'est pas le genre d'attaquant dont ils ont besoin. Ils ont Mané qui ressemble à Lautaro. Lautaro n'est pas un premier attaquant. Lors des précédents matchs, il a montré qu'il jouait mieux lorsqu'il était à côté de Lukaku ou de Dzeko. C'est certainement un joueur de haut niveau mais je ne pense pas que ce soit le bon joueur pour le Bayern Munich. Je ne pense pas que son rêve soit de jouer en Bundesliga, pour être honnête. De plus, il a renouvelé son contrat et est très, très heureux à Milan. Cependant, il est trop tôt pour dire ce qui se passera en Juin." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Quand présomption et arrogance sont l'antichambre de défaite et consternation
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
L'analyse de Fcinter1908.it après le grand test des Nerazzurri à Barcelone. Ils ne s'y attendaient tout simplement pas. Déjà dans le milieu Nerazzurri, même s'il y avait de la confiance grâce à cette bonne passe de l'équipe d'Inzaghi, un voile de réalisme était de mise autour du match très compliqué d'hier. Mais à Barcelone, ils étaient tous convaincus qu'ils ne feraient de l'Inter qu'une seule bouchée. Avec une prise de conscience qui a abouti à la présomption, la première énorme erreur d'une soirée qui s'est très mal terminée pour le Barça. Presque comme un psychodrame, si ce n'était l'erreur d'Asllani en fin de match qui a un peu terni le retour malgré la grande satisfaction du 3-3. Qui aurait pensé ? Certainement pas les supporters locaux. Extraordinaire pour l'affection témoignée à son équipe avant et pendant le match, figée trois fois par quelque chose qu'elle n'aurait jamais imaginé. Le silence assourdissant du Camp Nou a été une triple injection de confiance dans le groupe bleu et noir. Même avec un peu de regret, l'Inter revient à Milan avec la conscience d'avoir disputé l'un des meilleurs matches de ces dernières années et d'avoir fait un pas en avant extrêmement important pour les huitièmes. De mentalité, plutôt que technique. Objectivement, il n'a pas été facile de se présenter sous les regards à la maison des leaders de la Liga, ainsi que l'un des candidats pour aller jusqu'au bout de la Champions. Mais maintenant, en Catalogne, ils ont peut-être des idées plus claires. Peut-être auraient-ils, dû moins, s'inquiéter de l'aspect chromatique et coloré dans les tribunes et plus d'une éventuelle démonstration de force de l'Inter. Ils parlaient beaucoup, trop et mal. En général, mais plus encore en ce qui concerne la phase défensive des Nerazzurri qui, paradoxalement, ont perdu des points importants en Serie A en raison de lacunes apparues à l'arrière. Car dans ces coins européens, Italie semble rimer avec "catenaccio", mot dont on a énormément abusé en marge de la double confrontation. Personne, Xavi en premier lieu probablement, n'aurait imaginé un tel "affront". Au lieu de cela, elle est arrivée et a été récompensée, l'Inter a trouvé la meilleure attitude. Et le meilleur reste à venir. Traduction alex_j via FCInter1908. Pour avoir une idée du catenaccio, vous pouvez lire cet article- 7 commentaires
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D'André Onana au 3-5-1-1 : Simone Inzaghi a retrouvé son âme
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Alessandro Cavasinni éditorialiste chez FCInterNews nous livre une rapide analyse de ce retour de l'Inter... du moins, pour l'instant. Au bord du gouffre, Simone Inzaghi reprend son destin en main et chasse les voix prônant son licenciement qui commençaient à dominer au détriment de la permanence. Un triptyque Roma-Barcelone-Sassuolo décisif qui avait mal commencé avec le KO au Meazza contre les Giallorossi de Mourinho. Puis? Et puis ce tournant lors du match le plus difficile, le plus complexe. Le 1-0 face aux Catalans a probablement représenté le tournant de la saison, le premier qui est positif. Après des débuts lents, poussifs, approximatifs, rendus encore plus difficiles par les blessures de Lukaku d'abord puis de Brozovic, voilà que l'équipe a retrouvé une physionomie bien définie et surtout une âme. Deux indices ne sont pas encore probants mais qui laissent certainement entrevoir une tendance : L'Inter est là. Il y a l'Inter, surtout avec la tête et le cœur. L'essence de l'équipe des dernières saisons a été revue. Certains avaient rapidement qualifié le succès contre le Barça d'accidentel, mais celui de Reggio Emilia met en lumière la vertu retrouvée, confirmée après le 1-1. Jusqu'à présent, très souvent, Lautaro et ses compagnons s'étaient égarés après le premier coup de poing au foie. Mais cette fois, ils ont réagi et assommé l'adversaire, même en se rapprochant du contrôle et sans prendre davantage de risques. Une avancée non négligeable. Maintenant, le ballon revient métaphoriquement entre les pieds d'Inzaghi, appelé à nouveau pour faire des choix précis pour le match au Camp Nou. Et les premières indiscrétions montrent à quel point le chemin emprunté semble être celui des certitudes. Dans le but, par exemple, arrêtons d'alterner : bons discours dans le vestiaire de Handanovic, mais Onana passe entre les poteaux. De Vrij devrait être confirmé à des niveaux élevés, tout comme Barella et Calhanoglu. Darmian est un autre pion sur lequel on peut toujours compter et, en attendant le retour de Lukaku et Correa, un 3-5-1-1 pourrait émerger avec Mkhitaryan derrière un entre Lautaro et Dzeko. En tout cas, au-delà des interprètes, ce qui compte c'est qu'Inzaghi ait retrouvé l'âme de l'Inter. Traduction alex_j via FcInterNews.- 3 commentaires
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