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  1. Après l'avant-première d'hier, de nouvelles déclarations de Romelu Lukaku qui joue avec deux autres joueurs belges sur Prime Video dans le premier épisode du documentaire 'One for All'. Tu appartiens à l'Inter ? "Je pense que j'ai bien fait à Chelsea la saison dernière. Mais j'ai su alors que si ça ne marchait pas à Chelsea, j'aurais toujours l'Inter disponible. Quand j'ai signé à nouveau, j'ai su que j'appartiens à l'Inter. J'ai aussi ce sentiment pour Anderlecht. Je prends ce club au sérieux. Je veux faire de mon mieux. Les gens ici le voient. Être encouragé ici est la meilleure chose qui soit." Rester ici ? "On verra, je vis au jour le jour. Je ne me sens pas stress ou pression. Vous devez prendre une décision. C'est tout." Pourquoi quitter la Premier League ? "Je n'étais plus heureux en Angleterre. Je voulais quelque chose de nouveau, il me manquait quelque chose et donc je suis parti. Mon esprit était ailleurs. Je sentais que je ne pouvais pas évoluer. J'avais donné. C'est pourquoi j'ai quitté la Premier League et l'Angleterre : parce que je n'étais plus heureux. Puis j'ai pensé : où vais-je maintenant ? L'Italie ! Ma famille est bien ici." "Je suis heureux et je suis bien avec moi-même et c'est une chose importante. J'accepte qui je suis et je me fiche de ce que les autres pensent de moi. Quand je repense à d'où je viens et comment j'étais, je ne pouvais pas être plus heureux, je réalise qu'il y a d'autres choses dans la vie et je l'accepte." Ta carrière de footballeur. "J'ai commencé quand j'avais 16 ans et maintenant j'en ai 30 : combien de buts ai-je marqués. Oui, vraiment beaucoup de buts. Mon père était aussi joueur professionnel mais j'ai vécu un peu comme un paria et cette même colère, du plus profond de moi, m'a aidé sur le terrain. Et ces buts ont grandi, se multipliant. Ce qui comptait, déjà à 16 ans à Anderlecht, c'étaient mes buts." Traduction alex_j via FCInterNews.
  2. Le commentaire du Ninja sous le post de Romelu Lukaku après ce qui s'est passé hier soir au stade Allianz! Ce qui s'est passé hier à l'Allianz Stadium pendant Juventus-Inter se répand dans le monde entier. Romelu Lukaku a en effet été victime de vulgaires chants et hurlements racistes de la part de certains supporters de la Juventus, pour ensuite réagir en les faisant taire après le but marqué sur penalty. Le Belge, a reçu le soutien du club Nerazzurri ainsi que de diverses personnalités du monde du football, d'Anderlecht à la Fédération belge de football, qui se sont alignées à ses côtés et contre le racisme. Puis est venu le commentaire de Radja Nainggolan , ancien milieu de terrain de l'Inter et compatriote de Big Rom, qui a d'abord montré son soutien avec l'emoji musclé, puis a envoyé une véritable rafale à la Juventus : "Tu t'attendais à quoi là-bas ?", comme l'écrit le Ninja. Romelu Lukaku : "L'histoire se répète. Je l'ai vécue en 2019... et encore en 2023." "J'espère que la ligue agira vraiment pour de vrai cette fois parce que ce beau jeu devrait être apprécié par tout le monde. F*ck racisme " Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  3. Romelu Lukaku est le protagoniste du deuxième épisode de "D'où venez-vous?", le nouveau format créé en collaboration avec DAZN. Séquence émotion. "Mon père a joué pendant 8-9 ans en première division belge. Mon premier souvenir de football est la finale de la Coupe UEFA 1998 entre l'Inter Milan et la Lazio et j'ai commencé à jouer pour Rupel Boom immédiatement après. Mon père n'a pas eu l'opportunité pour m'emmener à l'entraînement, de 7 au 9 ans je n'ai pas joué, puis je suis revenu. Je voulais juste aller à Anderlecht. Le Standard de Liège est arrivé plus tôt, mais je voulais y aller. J'ai attendu un an, j'ai marqué 76 buts et Anderlecht est venu me chercher." "Je respecte beaucoup Luc Nilis. Il était un attaquant très fort, même la façon dont il frappait le ballon, je pense que lui et Kevin de Bruyne sont les deux joueurs avec la meilleure technique de frappe en Belgique. C'était aussi un footballeur très agréable à regarder. Maintenant je regarde ce qu'il a fait sur YouTube." Une vidéo sur Luc Nilis. Ronaldo a dit "J'ai joué avec de grands footballeurs, de grands coéquipiers, mais c'est avec Luc Nilis, avec qui j'ai joué au PSV, que ça a le mieux fonctionné. Il était tout simplement fantastique, le meilleur partenaire d'attaque avec qui j'ai joué, même si j'ai partagé un bref moment avec lui." "Avec mon frère Jordan, nous ne nous donnons pas de conseils sur le football, aussi parce que nous jouons à des postes différents. Tout au plus nous nous critiquons, 'tu aurais pu faire ça, tu t'es trompé'. Toujours avec l'intention d'aider. Quand tu vas en équipe nationale, tu veux aller jusqu'au bout et tout gagner. C'est la mentalité de ceux qui jouent en Belgique depuis 10 ans et qu'ils essaient de transmettre aux plus jeunes. Nous sommes un petit pays, mais nous avons beaucoup de joueurs talentueux. Nous avons eu une belle croissance depuis 2016, nous espérons bien faire à la Coupe du monde et nous verrons où nous pouvons aller." Petite question: si BigRom était à Chelsea, aurait-il dit qu'il a commencé le football juste après la victoire de Chelsea en Coupe des Vainqueurs de Coupes en 1998 contre le VFB Suttgart? Traduction alex_j via FCInter1908.
  4. ®L'Avenir - Il est resté à l’arrière-plan tout au long des négociations et même lors de la présentation officielle de Romelu Lukaku. Mais s’il y a bien quelqu’un sans qui le retour de Lukaku à l’Inter ne se serait pas fait, c’est son conseiller personnel et avocat belge, Sébastien Ledure, une référence mondiale au niveau du droit du sport. C’est dans son bureau de la Place Flagey, loin des caméras et micros du Giuseppe Meazza, que Me Ledure nous a reçus pour commenter la transaction la plus spectaculaire de ce début de mercato. Commençons par le début. Depuis quand connaissez-vous Romelu? "Depuis cinq ans et via… sa maman. Elle commençait à se poser certaines questions et elle en a parlé à quelqu’un de sa banque. C’est ainsi qu’on est entrés en contact. On s’est vus deux ou trois fois à l’Hôtel Steigenberger, puis elle m’a proposé de rencontrer ses fils. Petit à petit, Romelu a pris confiance. Il avait déjà décidé de quitter l’agent Mino Raiola pour Federico Pastorello." Mais soyons clairs: ce deal s’est fait sans le moindre agent. "En effet. Cela devient une tendance parmi les joueurs d’élite. Mbappé et Griezmann font comme ça, Hazard et De Bruyne aussi. Neymar a même une boîte avec des dizaines d’employés qui travaillent pour lui. Quant à Romelu, il a préféré que son agent (Pastorello) ne soit pas impliqué dans cette affaire vu ses liens étroits avec l’ancienne direction de Chelsea. Romelu n’a pas encore pris de décision par rapport à son éventuel avenir avec son agent, mais il ne voulait pas qu’un risque de conflit d’intérêts puisse interférer dans une des opérations les plus difficiles du football actuel." C’était une transaction si compliquée que cela? "Au début, personne ne croyait qu’elle allait se faire. La semaine passée, votre collègue italien Fabrizio Romano (NdlR: un spécialiste au niveau des scoops pendant les mercatos) m’a appelé en me disant: ‘Ce que vous avez fait, it’s a masterpiece, c’est un chef-d’œuvre.’ La question était la suivante: Comment est-ce qu’un joueur qui a été vendu pour plus de 100 millions€ à un club peut retourner dans le même club qui dit qu’il n’y a pas d’argent pour le reprendre? Et, en plus de cela, il faut savoir que lors du transfert de l’année passée, les relations entre l’ancienne direction de Chelsea et la direction de l’Inter étaient très tendues. S’il n’y avait pas eu de changement d’actionnariat à Chelsea, je doute fortement que cette transaction aurait pu se faire." Pour le dire crûment: sans la guerre en Ukraine, Lukaku ne serait pas à l’Inter. "Peut-être, oui, mais n’en faites pas votre titre. Peut-être qu’on aurait quand même trouvé une solution, mais cela aurait été encore plus difficile." Est-ce que Roc Nation, la boîte américaine de Jay-Z qui gère les intérêts commerciaux de Lukaku, De Bruyne et Witsel, a joué un rôle? "Oui, dans le sens où ils connaissent le nouveau propriétaire de Chelsea et que cela a facilité une approche plus ‘américaine’du dossier." Les premières prises de contact datent-elles de la fameuse interview de Lukaku à Sky Italia du 31 décembre, où il déclare qu’il n’est pas heureux à Chelsea sous son coach Tuchel? "Non… Cette interview venait du cœur et était peut-être maladroite. C’est une initiative qu’il a prise lui-même et qu’il ne prendrait sans doute plus. Il en a subi les conséquences pendant le reste de la saison, vu que cela a alourdi son climat de travail au quotidien." "Mais il m’a vite fait comprendre que, vu ses 29 ans et le fait qu’il est au sommet de sa carrière, il ne pouvait pas se permettre de perdre une nouvelle année. C’est un secret de polichinelle qu’il n’était pas sur la même longueur d’onde que son entraîneur. Mais les négociations, elles, n’ont débuté qu’à la fin de la saison." Combien d’allers et retours avez-vous faits entre Londres et Milan? "Quelques-uns en mai et juin. Et le reste s’est fait par téléphone et visioconférence. C’était une négociation où il fallait avancer pas après pas et placer ses pions intelligemment. Il fallait y aller en sous-marin: en travaillant discrètement mais efficacement et en respectant les sensibilités de toutes les parties." On peut supposer que vous aviez une ligne directe avec Romelu. "Bien sûr. Et j’ai été le voir avant qu’il ne parte en vacances. Il était au courant de tout et il a assisté aux conférences les plus importantes. Dans ma philosophie de travail, je représente le joueur, mais il doit tout savoir. Il y a une transparence totale. C’est lui qui contrôle la situation." Il a fait des concessions financières pour aboutir à un accord. "Oui. Mais beaucoup moins que ce que dit la presse. J’ai lu qu’il a réduit son salaire d’un tiers ou de la moitié. C’est faux. Il sera le joueur le mieux payé de la Serie A. Les trois parties ont fait des concessions qui sont intelligentes. Notre job était d’obtenir les meilleures conditions possible pour mon client, pas pour Chelsea ou l’Inter. C’est Romelu qui nous paie, pas les clubs." Et le prix de la location, 8 millions d'euros, est-il correct? "Vous devriez le demander aux clubs concernés, mais c’est un prix en adéquation avec les tarifs d’une location." Il n’y a pas eu d’autres clubs qui voulaient l’acheter au lieu de le louer? "Euh… En effet. Il s’agissait de grands clubs dont je ne citerai pas le nom. Mais ces pistes n’ont jamais vraiment été sérieuses parce que Romelu a très vite décidé qu’il voulait rentrer à l’Inter. Il a parlé plusieurs fois avec l’entraîneur de l’Inter, Simone Inzaghi, comme il l’avait fait avec Conte avant de signer à l’Inter en 2019, pour être sûr d’être sur la même longueur d’onde." L’Inter n’a pas négocié de clause d’achat. Un retour à Chelsea en juin 2023, est-ce envisageable? "Il y aura encore trois ans de contrat. Mais personne ne peut dire quoi que ce soit à ce sujet." Dernière chose: Romelu a souvent déclaré qu’il compte rejouer un jour pour Anderlecht. « Il m’en a déjà parlé aussi, mais il n’a pas fixé d’année. Il faudra voir si les conditions s’y prêtent à ce moment-là. C’est une idée qu’il a en tête depuis toujours. Et je ne connais aucun joueur qui soit aussi déterminé que Romelu. Quand il prend une décision, très peu de personnes sont capables de le faire changer d’avis. Et quel passionné du foot! Cela explique pourquoi il s’est senti malheureux à Chelsea cette saison: Romelu doit pouvoir exercer sa passion." ®L'Avenir.net
  5. Place à un condensé de l'actualité de ce jour, un seul conseil, préparez le pop-corn, les mouchoirs, ou un bon calmant: C’est une information de Sky Sport : La volonté de Lukaku est claire: Il veut rejoindre Chelsea. Les Blues étudient ces dernières heures la possibilité de déposer une nouvelle offre, convaincante et finale pour faire plier l’Inter. Chelsea avait déjà proposé 100 millions d’euros plus Alonso, mais le club ne veut que du cash Selon la Repubblica, le joueur a accepté l'offre d'Abramovich de 15 millions d'euros par saison - plus 3 millions à la signature - pendant quatre ans. Selon Italia1, si la Famille Zhang s’est donné le temps de la réflexion, ce n’est non pas suite aux protestations des tifosi au siège, mais ils cherchent à faire sortir Lukaku de sa tanière, il devra communiquer publiquement la décision de partir, à sa demande, dans le club entraîné par Thomas Tuchel Sport Mediaset redoute un exode : "Le départ de Lukaku pourrait donner lieu à une Diaspora. Car son propriétaire a radicalement et soudainement changé sa stratégie en ne considérant plus personne comme intransférable : Cela pourrait aussi chauffer pour Stefan De Vrij, Nicolò Barella et Lautaro Martinez." Un transfert record, vraiment ? Selon nos confrères de notre communauté Facebook, l’Inter est loin de réaliser l’affaire du siècle : En effet, quel que soit le montant du transfert, il faudra déduire de nombreuses commissions. La Gazzetta met en évidence que : - 5% de l'affaire vont dans une aide de solidarité de l'UEFA ; - 5% vont aux clubs qui ont formé le Belge (2,25% Anderlecht, 2% Chelsea, 0,75% Everton) ; - 6% de la revente vont à Manchester United comme convenu au moment du transfert de Big Rom ; De plus, l'Inter doit encore terminer de payer le transfert de Lukaku (environ 40 millions d'euros). Tout cela fait que si Chelsea paye 120 millions d'euros, 53,2 millions d'euros devront être retirés et l'Inter n'empocherait "que" 67 millions d'euros Antonio Conte pourrait retrouver ses amis En effet, selon Il Giornale, si une prolongation a été proposée à Giuseppe Marotta et Piero Ausilio lors du départ d’Antonio Conte, celle-ci n’a jamais été officialisé et ils pourraient partir, selon certaines sources. "A quelques jours du début du championnat, ce serait une sorte de désertion envers Inzaghi et l'équipe, ainsi qu'envers les tifosi eux-mêmes, qui ont besoin de conseils puisque Zhang est rentré en Chine et qu'on ne le verra pas à Milan dans quelques jours." Le coup de Grace de Paolo Condò "Il y a la nécessité d'arriver le plus vite possible à la vente de du Club, car les Zhang me semblent emprunter une route complètement sans retour. Je voudrais faire un geste qui soit purement symbolique mais que je trouverais très juste : Renommer Angelo Moratti le centre sportif de la Pinetina et enlever Suning parce que c'est quelque chose qui doit être enlevé par décence". Le Joker Andrea Belotti ? En effet, Edin Dzeko ne rejoindra jamais l’Inter suite au véto d’un José Mourinho très certainement dans un état de grâce actuellement, à l'As Rome! En fin de contrat l’an prochain au Torino, le joueur ne coûterait, selon Tuttosport, que 30 millions d’euros au grand max. Cette somme est d’ailleurs la somme que le club granata avait accepté pour le céder au Zenith Saint-Pétersbourg. Andrea veut rester en Italie et il a refusé l’offre: L’Inter pourrait donc conclure l’opération aux alentours de 25-30 millions d’euros. Le Champion d’Europe n’est pas trop gourmand au niveau salarial : 3,3 millions d’euros Selon vous, l’international italien pourrait-il être à la hauteur du poste exigé pour un numéro 9 ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  6. Romelu Lukaku a accepté de se prêter à un jeu qui avait comme objectif de lui proposer des dilemmes. Voici les réponses dévoilées par Fcinter1908 Didier Drogba ou Diego Maradona "Je vote Drogba ,car je l’ai vu jouer et il m’a fait rêver." Japon ou Etats-Unis "Aie mon cœur…Celui face au Etats-Unis était vraiment fantastique, c’était comme dans un stand de tir et j’avais aimé aussi le stade." L’Inter ou Chelsea "L’Inter, j’ai gagné avec le Club Nerazzurro et c’était quelque chose que je rêvais depuis tout petit. D’un côté j’ai réussi et de l’autre côté, c’était un échec (il sourit)." Lukaku ou Ibrahimovic "Entre lui et moi ce sera toujours moi, tous les jours de la semaine, je m’aime (il rit)." Kobe Bryant ou Lebron James "Kobe" Retourner à Anderlecht ou ne jamais se retourner sur le passé "Oui, je pense que je retournerai un jour à Anderlecht, pour boucler la boucle." Le Saviez-Vous ? José Mourinho a encensé Romelu Lukaku au Times: "Je pense qu’il traverse un incroyable moment, c’est l’un des meilleurs attaquants du monde. Lors de ces deux années à l’Inter, il a reçu le statut et la confiance qui lui manquait. A Chelsea c’était encore un jeune garçon, il était en phase de développement à United." "C’est l’Homme de pointe de l’Inter et il y est vraiment aimé, il reçoit tellement d d’amour de la part des tifosi, de ses équipier, il y avait un lien fantastique avec l’entraineur." "C’est un gars très fort physiquement, mais au fond de lui, c’est aussi un bambin qui a besoin d’amour, de se sentir soutenu. L’Inter lui a tout donné, encore plus qu’à présent il a ajouté un titre à son palmarès. Il a amené son football à un niveau supérieur, surtout du point de vue émotif, c’est devenu un meilleur joueur." "Il n’y a aucun doute sur le fait qu’il marquera toujours des buts et qu’il sera en lice pour le Soulier d’Or. L’Euro est le moment idéal pour qu’il puisse démonter à quel point il est devenu bon.." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Ariel Jacobs qui a entraîné Anderlecht entre 2007 et 2012 s'est exprimé sur Romelu Lukaku lors d'un entretien pour la Gazzetta dello Sport. "Ce n'est pas le genre de gars qui a besoin de trouver des défis ailleurs. Lukaku crée constamment ses propres défis personnels." "Vous ne l'entendrez jamais dire qu'il veut gagner pour pouvoir se venger de quelqu'un qui l'a critiqué, par exemple. Je pense que son premier objectif est de bien jouer en UEFA Champions League afin de voir quels résultats il peut obtenir, et d'essayer de gagner à nouveau le Scudetto." "J'ai un respect sans fin pour le joueur mais aussi pour la personne. Vous êtes une personne avant d'être un joueur, et l'humanité de Lukaku était la qualité que j'appréciais le plus. Il y a certaines qualités que l'on ne trouve normalement pas chez les jeunes footballeurs et il les avait: il était patient, il ouvrait les yeux et les oreilles, il comprenait toujours ce qui se passait autour de lui." "Lukaku a toujours eu une immense soif d'apprendre." "Romelu jouait dans notre équipe B mais je l'ai inclus dans notre équipe parce que je pensais qu'il pouvait faire la différence pour nous. Je l'ai mis à 20 minutes de la fin alors que nous perdions 1-0: il n'a pas marqué et nous avons perdu le match, mais il a confirmé mes pensées qu'il était quelqu'un en qui je devrais faire confiance." "Un attaquant comme Lukaku a besoin de se sentir important et c'est arrivé à l'Inter grâce à Antonio Conte. Il a beaucoup parlé avec lui et lui a fait se sentir comme une figure centrale. C'était un début décisif: il a cru en Lukaku et l'a persuadé de le rejoindre à l'Inter." "Conte a assemblé Lukaku et Lautaro et les a aidés à se comprendre. Romelu a besoin de la confiance de son entraîneur, mais il en a aussi besoin de ses coéquipiers, et vous pouvez voir quand lui ou Lautaro marque qu'il y a un lien très étroit entre eux."
  8. L’ancien entraîneur de Lukaku à l’époque d’Anderlecht a parlé de la carrière de l’attaquant et de son désir de progresser. Romelu est entrain de réaliser une grande saison avec l'Inter. Fortement désiré par Conte, il est en passe de réaliser une deuxième saison de qualité. Son ancien manager à Anderlecht Ariel Jacobs, s'est exprimé sur sa carrière. Ariel, est-ce que à l’époque, vous vous seriez dit qu’il atteindrait ce niveau? "Non, absolument pas. Je n’ai aucun problème à avouer cela. La forme dans laquelle il se trouve actuellement est simplement due au fait que Romelu Lukaku veut toujours apprendre. Il avait un plan de carrière. Et on l’oublie trop souvent. Il a connu l’échec à Chelsea. Puis il a dû opérer les bons choix. Manchester United n’était peut-être pas la meilleure option. Mais ensuite il y a eu la réhabilitation à l’Inter. Il excelle dans sa plus grande qualité, à savoir marquer des buts." Pourquoi, à l’époque, doutiez-vous de sa réussite à ce niveau ? "Tout simplement parce qu’une carrière est imprévisible. Ils sont nombreux les joueurs à qui on prédisait une superbe carrière et qui au final n’y sont jamais arrivés, et vice versa. Il était certes au début d’une carrière prometteuse. Mais même s’il possédait une certaine étoffe, c’est lui qui a gravi les échelons. Il avait en lui la passion et la volonté d’apprendre. Et de s’améliorer. Mais il possédait surtout une qualité qui dans le football est primordiale : marquer des buts." Romelu Lukaku est-il un joueur doué ou un bosseur ? "Il est une combinaison des deux. Il ne rechigne pas à travailler les points qui lui sont perfectibles. Sur le terrain et en dehors de celui-ci. C’est une qualité que j’ai toujours admirée en lui. Surtout en tant que jeune joueur. Il a connu la gloire très vite. Il aurait pu se dire qu’il y était arrivé et qu’il n’y avait plus rien à faire. Ce n’était pas le cas chez lui. Toutefois, il n’atteignait pas pour autant la perfection. Aujourd’hui encore il sait qu’il doit toujours apprendre et s’améliorer. Il le sait." Peut-il aujourd’hui s’asseoir selon vous à la table des plus grands attaquants ? Haaland, Benzema, Lewandowski, Mbappé… ? "Il en fait partie. Maintenant, dire qu’il est meilleur que celui-ci ou que celui-là, c’est difficile. Chaque joueur, surtout à un poste spécifique, possède ses propres qualités. Mais là, il se trouve vraiment avec le top mondial. Et ils ne sont pas une vingtaine à pouvoir s’en vanter. Juste quelques-uns." Comprenez-vous les critiques dont il est l’objet en ce compris et peut-être surtout en Belgique ? "C’est assez évident. C’est le propre de la Belgique. Thibaut Courtois a récemment émis le même constat. Idem quand on voit les critiques dont souffre Vincent Kompany en tant qu’entraîneur… C’est typiquement belge. Dans le cas de Romelu, il est très souvent critiqué en équipe nationale car il n’atteint pas le niveau technique d’Eden Hazard ou de Kevin De Bruyne par exemple. Or l’équipe belge est un mélange de joueurs et de qualités. C’est un très bon bloc. Ces critiques ont longtemps dérangé Romelu Lukaku. Il avait même déclaré que l’équipe nationale ne l’intéressait plus. Mais sa passion est plus forte que la volonté d’abdiquer. Le jour où il arrivera quelque chose à Romelu, en Coupe du Monde ou lors d'un Euro, qui va-t-on mettre ?" Les critiques ont souvent trait, vous l’avez dit, à un éventuel manque de technique. Votre avis à ce propos ? "Il possède une certaine technique, mais elle ne relève pas de la finesse d’un Eden Hazard ou d’un Kevin De Bruyne. Romelu est souvent dos au but. Il doit souvent commencer l’action avec un joueur dans le dos. Tout en gardant le contrôle du corps et du ballon. Et la façon dont il conclut ses actions devant le but prouve qu’il possède une technique supérieure. Je me souviens d’un but récemment marqué avec l’Inter, intérieur du pied au ras du montant. Ce genre de but prouve qu’il n’est pas dénué de technique." Avec l’absence de public, on l’entend beaucoup coacher ses équipiers sur un terrain. Ce leadership, vous l’aviez vu en lui très tôt ? "J’ose dire que oui. Il avait cette qualité mais tout en ayant le respect de ses coéquipiers. Il n’a jamais dû s’affirmer d’une façon non naturelle. Ses gestes, actes et sa façon d’être suffisaient. Je me souviens d’une anecdote à ce propos. Il devait chanter une chanson avant sa première sélection en équipe première. Et c’était lors de ce fameux match contre le Standard. J’avais cru, au vu de la pression, qu’il allait postposer cette tradition. Au contraire, il avait assumé devant tout le monde. Il avait 16 ans hein… Je m’étais dit qu’il avait, en termes de leadership, ce petit truc que d’autres n’ont pas." A la suite de ce que vous dites, son altercation avec Ibrahimovic, bien que regrettable, ne montre-t-elle pas qu’il a pris confiance en lui ? "Je la trouve surtout regrettable. On ne saura jamais ce qui s’est passé à Manchester entre eux. Peu importe de savoir qui a commencé. Je trouve une telle attitude entre deux joueurs de ce calibre dommageable. Et je les mets tous les deux dans le même sac." @RTBF-SPORT
  9. Romelu Lukaku, Capitaine de la Belgique face à l’Islande, s’est livré à une très longue interview à la RTBF, la télévision nationale belge: Comment avez-vous vécu ces mois de pandémie, dans un pays comme l’Italie, où le Covid-19 a énormément sévi? "Je suis toujours resté à la maison, car je ne savais pas ce qu’il pouvait arriver. Beaucoup de personnes ont perdu des proches, c’était un moment difficile pour tout le monde. Ce l’était aussi pour moi car je ne pouvais pas vivre en sécurité, on ne savait pas se parler. J’étais à la maison, je faisais du tapis roulant et du vélo d’appartement. Mentalement, ce fut très dur. La chose la plus importante pour moi a été de sortir de cette période, en ayant peut-être appris quelque chose de nouveau." "J’ai lu beaucoup de livres, j’ai aussi suivi des cours d’entraîneur à la Fédération belge pour les joueurs internationaux. C’était une période assez désagréable…la distance entre moi, mon fils, ma mère et mes frères. C’était difficile car nous ne nous parlions toujours pas, on ne pouvait pas se voir, c’était particulier. Lorsque j’ai reçu l’autorisation du club de quitter mon domicile, c’était la plus belle de choses. Je pense également, qu’en tant que famille, que cette situation nous a soudé." Vous venez de vivre une saison exceptionnelle à l’Inter. Par chance, vous n’êtes pas encore en fin de carrière, que bilan dressez-vous de votre aventure de footballeur jusqu’à ce jour..... "J’avais l’ambition de devenir un joueur professionnel car ma situation familiale n’était pas la meilleure et cela me faisait souffrir, c’est un parcours qui marque un gamin. Ma mère a réalisé certaines choses qui m’ont marqué et qui m’ont permis de faire preuve d’une certaine détermination dans le football. Je ne veux pas pas que ma mère, mes frères et mes enfants ne revivent une pareille expérience à l’avenir. Je voulais arriver en équipe première d’Anderlecht le plus tôt possible." Cette situation vous a forgé rapidement..... "C’est comme ça. Il y a quelques semaines, j’ai parlé en Live sur Instagram avec Adriano. Lorsqu’il jouait à l’Inter c’était mon idole, et à cette époque-là, il n’y avait pas la télé à la maison et j’allais avec l’un de mes parents à Bruxelles voir ce qu’il faisait sur YouTube." "Pour moi, c’était émouvant de parler avec lui car il m’a rappelé aussi ces moments-là: C’était un moment très touchant." Romelu est-il parfois plus incompri que d’autres ? "Oui, mais je ne veux pas qu’on m’assimile à cela. Je mets énormément de détermination dans ce que je fais et plus spécialement dans le football car il peut tout t’apporter rapidement, mais il peut tout t’ôter rapidement aussi. Je me suis toujours dit qu’il n’existait pas quelque chose que je ne saurais pas faire, j’ai tellement donné de moi-même pour trouver la volonté de devenir plus fort." "On doit penser comme cela si on veut survivre dans le football professionnel, les jeunes doivent comprendre que ce n’est que compétition. Si les garçons veulent devenir des professionnels, ils devront avoir la force et la volonté de vouloir devenir plus fort quotidiennement." Est-ce que ce caractère a changé le regard posé sur vous ? "Je ne parle pas énormément hors du terrain, je dis ce que j’ai à dire, et ensuite je fais mon job sur le terrain. En dehors, je pense être un bon père et un bon fils pour mes parents. Je veux apprendre des expériences de la vie." Vous avez débuté avec une précocité incroyable dans le monde du football: Pensez-vous avoir atteint le pic de votre carrière aujourd’hui ? "Non, je pense qu’il y a toujours un autre niveau à atteindre. Cristiano Ronaldo est, par exemple, un joueur qui chaque année vise à devenir toujours plus fort. Des personnalités comme Karim Benzema et Robert Lewandowski démontrent la volonté de chercher toujours à devenir le plus fort." "Cette année, avec l’Inter, je suis arrivé à la seconde place en Championnat et nous avons perdu la Finale de l’Europa League, j’ai déjà trouvé, sur base de ce vécu, la motivation pour atteindre le niveau supérieur." Aujourd’hui, vous sentez-vous dans le cœur des belges ? "Oui, car je sais qui je suis et je n’ai jamais mis mes intérêts personnels avant ceux de l’équipe, et je ne le ferai jamais. Je ne serais jamais allé à l’Inter sinon, ni en équipe nationale. Nous sommes une génération de talents et ils m’ont tant apporté. Je joue à côté de Dries Mertens, Kevin De Bruyne, les frères Hazard, ils t’offrent tous des caviars et je n’ai qu’à la pousser au fond. Je suis content de jouer avec cette génération, sans eux, je n’aurais jamais inscrit autant de buts en équipe nationale." Difficile de faire mieux que ce que vous avez fait la saison dernière, avec l’Inter…Le fait d’avoir de meilleures statistiques est-il un objectif pour vous permettre d’avancer la saison prochaine ? "Je pense que le collectif est ce qui me motive principalement. Je pense que nous avons l’équipe pour savoir réaliser d’excellentes choses, ensuite c’est sur le terrain qu’il faudra le prouver. Nous avons très bien terminé la saison dernière, je pense que nos performances défensives sont devenues plus solide. Nous avions fait de notre mieux pour gagner chaque match, je pense que cela va pouvoir nous aider pour faire de belles choses cette année. Nous verrons par la suite." Pour devenir Champion d’Italie ? "C’est l’objectif, nous verrons." Ressentez-vous avoir le Leadership que beaucoup perçoivent ? "Oui, je pense savoir unir l’équipe et rendre mes équipiers meilleurs en leur disant des choses positives, même lorsqu’ils se plantent. Je les incite à aller de l’avant. Chaque fois que je joue, je cherche surtout à faire comprendre au groupe ce qu’est le plaisir de jouer ensemble. Chaque match est un test pour nous, et je dis toujours que nous devons viser à chaque matchs la victoire, même si ce n’est pas toujours possible. Le leadership, consiste pour moi, à motiver l’équipe à tout donner jusqu’à au bout du bout, même si le match n’est pas en notre faveur." Si vous deviez choisir entre l’Euro et le Mondial ? "Pas de choix, réussir à remporter les deux serait l’idéal." Qu’est-ce qui touche Lukaku aujourd’hui ? "Mon fils, ma mère, mon frère…Voir mon fils me sourire à mon réveil, ou le voir heureux lorsque je reviens de l’entrainement. Je cherche aussi toujours à impliquer mon frère Jordan dans mes décisions." Le rêve de votre vie, au-delà du football ? "Non, franchement, je n’en ai pas tellement. Je veux me réveiller le matin et être une bonne personne, un gars normal avec qui parler." Que pensez-vous de Milan et de l’Italie ? "Je suis heureux d’y vivre, il y a toujours quelque chose à faire et pas seulement du shopping, même si lorsque je fais venir ma mère, cela me donne la migraine. Les gens sont chaleureux, ils aiment le Calcio, plus que les anglais. Ils sont passionnés, si les choses vont bien et qu’ils voient que les joueurs donnent tout sur le terrain, le respect est pour la vie. Mais si les choses ne vont pas bien, tu dois te préparer car ce sera désagréable." "Je les remercie de vivre une telle situation, vivre là-bas est le top. Je m’y sens vraiment bien, les gens sont gentils et je suis fier d’avoir fait ce choix." Pensez-vous jouer de nombreuses années en Italie ? "J’y suis heureux, je ne le nie pas. La saison dernière, nous avons vu que l’Inter tournait très bien et cette année, les gens s’attends à beaucoup plus de ma part. C’est à moi à porter sur le terrain, la même qualité de travail que celui réalisé l’année dernière." Quel livre avez-vous lu ? "Celui de Marco Van Basten, je dois finir celui de Wesley Sneijder et j’ai aussi lu celui de Kobe Bryant. Je les considère utile pour comprendre certaines choses qui font grandir un champion. Je veux tout donner dans ma carrière car lorsqu’elle sera terminée, je veux que lorsque l’on me regardera, on saura que j’ai tout donné. Ensuite, j’aimerai vivre avec mes enfants en sachant d’avoir tut fait et que tous mes proches soient à l'abri." Avez-vous une anecdote à nous révéler sur vos connaissances linguistique ? "Lorsque je suis arrivé en Italie, j’ai demandé au Staff de me parler en italien, et je répondais en anglais. Lorsque j’ai pris confiance, j’ai commencé à parler en Italie. La chose la plus importante est de savoir s’exprimer, si je ne parlais pas italien, cela m’aurait été difficile d’échanger avec mes équipiers italiens. Je ne pouvais pas juste m’exprimer pour dire ce que je voulais, à mon âge, parler et comprendre les langues sont pour moi important." Lukaku peut-il remporter le Ballon d’Or ? "C’est difficile pour moi de m’exprimer sur des titres individuels : Gagner en équipe est, je le pense, la vraie ambition pour un joueur. Ensuite c’est bien d’avoir des distinctions personnelles, mais c’est le collectif qui m’intéresse." Etes-vous prêt à renoncer à l’équipe nationale en cas de Succès à l’Euro ou au Mondial 2022 ? "Je donnerai tous pour les deux, j’espère que la nouvelle génération arrivera rapidement. Il y a des joueurs comme Dimata, Vanheusden, Doku, qui doivent répondre présent et comprendre où ils en sont. Ce serait bien si la nouvelle génération pouvait débarquer et commencer à se battre pour l’équipe nationale A. L’objectif est de parvenir à gagner quelque chose." Un Leadership, un sens du collectif prononcé, l’envie de tout donner…C’est un fait le maillot flocké numéro 9 a son blason de redoré..... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  10. "Buts après buts en Italie et en Europe, il a démontré être un attaquant pur race, en ajoutant à son bagage technique de la volonté, de la générosité et de l’altruisme : Les qualités humaines d’un vrai Leader." Gianfelice Facchetti a motivé de la sorte, pourquoi le prix portant le nom de son père “Giacinto Facchetti - Il bello del Calcio”. a été décerné au Gentil Géant à l’occasion du "Festival Dello Sport", manifestation organisée par La Gazzetta Dello Sport. S’en est suivi l’interview octroyée au journaliste de la Rosea: Luigi Garlando Roger Lukaku, le Père "La discipline et la mentalité : Ce sont les deux choses qu’il m’a enseigné quotidiennement. Le respect pour les autres personnes et les regarder dans les yeux. Des choses très simples qui m’aident dans la vie de tous les jours." Son but qui m’a le plus impressionné ? "Celui face à Anderlecht : J’avais toute sa collection en VHS, mais c’est celui qui me reste en mémoire. Anderlecht était mon équipe préférée, lorsque j’ai grandi." Adolphine, la Mère "Lorsque mon père a arrêté de jouer, j’avais 6 ans. Nous n’avions pas énormément d’argent, c’était une période difficile. Ma mère travaillait au restaurant et j’allais à son travail avec elle le samedi, accompagné de mon frère, après les matchs. Mes parents ne mangeaient pas le soir pour nous nourrir moi et mon frère, ce sont des choses qui me resteront toujours en mémoire. A présent, je veux faire les choses biens au quotidien, car elle a fait tant de sacrifices pour moi et Jordan. Je lui décide chacun de mes buts car sans elle, il n’y a pas de Romelu." Soutien "Depuis mes six ans, j’ai toujours pensé au rêve de devenir footballeur. Ecole, entrainement, maison. Je sortais juste pour jouer au football. Avec mon frère, nous avions cette discipline, la seule idée était de jouer au football. Nous avons eu de la chance d’avoir une mère et un père qui nous ont toujours soutenu." Anciennes Gloires Hasselbaink ? "Je me rappelle son but avec Chelsea face à Manchester United. A ce moment-là, je me suis dit, je veux aussi faire comme lui." Vialli "J’avais la cassette vidéo de son but face à Chelsea. Son but, avec celui de Ronaldo en Finale de la Coupe de l’UEFA face à la Lazio, sont les faits de jeu que j’ai toujours gardé en mémoire." Racisme "C’est la première fois que cela m’est arrivé. A Milan, j’ai toujours ressenti l’amour des tifosi depuis mon arrivée. Après mon but face à Lecce, je me suis incliné pour les remercier. Je reçois tant de messages sur Instagram et Twitter. Il n’y a qu’en Italie que tu vois cela. Lorsque tu es cool avec les personnes, elles te donnent de l’amour. Ce que je souhaite faire, c’est de tout donner avec l’Inter." Huis-Clos "C’est moche, on entend tout…il rit. Lorsque l’on a joué face à Brescia, j’ai dit une chose que je n’aurais pas dû : Biraghi avait tiré et j’étais libre. Cela s’est entendu et les réactions sur Twitter m’ont fait rire. Nous les joueurs ressentons les émotions et évoluer au Meazza sans les tifosi est moche. Les tifosi te donnent de l’énergie. C’est trop beau de jouer avec un stade comble. Ce sont des expériences qui me font du bien, j’espère qu’ils reviendront rapidement." Passions "J’aime mixer, cela me relaxe. Soit je joue au football, soit je joue à la Play Station avec mon frère. A l’entrainement, je suis quelqu’un qui s’enrage très vite…il rit." Conseils aux jeunes "Il faut avoir de l’humilité et vouloir devenir plus fort au quotidien, que la veille." Antonio Conte "Il m’a amélioré en tout. Un joueur qui veut évoluer pour Conte doit comprendre que le Sacrifice est la base de tout, aussi bien physiquement que mentalement. Moi, c’est facile car je vis pour le football. Mon objectif est d’être un bon joueur et de gagner quelque chose." "Je savais que c'était un bon entraîneur et que tu peux grandir dans ses équipe. Depuis que j’ai commencé à travailler, je me suis toujours donné à 100%. Si j’estime que je travaille bien, je dois encore m’améliorer. C’est ma mentalité et c’est celle de l’équipe." La Ligue des Champions "Nous avons fait une belle saison l’année dernière, mais nous devons travailler sur le terrain et pas nous exprimer en dehors." Ses équipiers Les plus divertissants ? "Sensi, Young, Lautaro, Handanovic et Barella." Le plus sérieux ? "Il n’y en a aucun : Nous sommes tous un groupe uni, personne ne reste isolé." Rêve inaccessible Avec qui j’aurais aimé aller au restaurant ? "Mon rêve était de rencontrer Kobe Bryant, Mandela et Tupac Shakur." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  11. Interviewé par le quotidien belge Het Laatste Nieuws, l'attaquant de l'Inter Romelu Lukaku s'est exprimé concernant l'Inter, Conte mais aussi Anderlecht. Suis-tu encore Anderlecht ? "Bien sûr. Évidemment ce n'est pas une période facile pour ceux qui ont le sang violet. Je pense que tout grand club a eu à traverser des moments de ce genre". Kompany a fait son grand retour l'année passée. Tu y penses aussi ? "Je reviendrai, c'est sûr. Pour un joueur, l'attraction du passé est toujours énorme. Demandez à des gens comme Leander Dendoncker, Youri Tielemans. Ils sont toujours liés au club, nous avons vécu de beaux moments là-bas". Qu'est-ce qui te plaît dans ta vie à l'Inter ? "L'Italie me correspond bien. Si j'avais su, je serais venu plus tôt". Et Conte alors ? "Nous jouons avec deux attaquants, lorsque je suis sur la droite, du côté du banc de touche, il ne me lâche pas. Mais nous nous entendons bien. Nous avons plus ou moins le même caractère, nous détestons perdre". Après la finale d'Europa League contre Séville, tu n'as pas récupéré ta médaille. Pourquoi ? "Je ne pouvais pas, c'était trop pour moi. J'ai toujours eu ces moments où il faut dire non. Des supercoupes, des titres perdus à un point (la saison passée avec l'Inter, ndlr.), la demi-finale du Mondial avec la Belgique. C'était trop pour moi, comme une explosion. Je me suis dit, excusez-moi du terme, "Allez vous faire foutre". J'avais tant donné pour cet objectif et à la fin, il faut repartir les mains vides. Il m'a fallu quatre ou cinq jours pour m'en remettre". Tu as un ami ou un professionnel pour te confier dans ses moments ? "Je parle souvent à Thierry Henry. Très souvent. En vérité, c'est un peu mon mentor. Il m'a donné cet élan pour me permettre d'être comparé à tous les autres attaquants en Europe". Quelle a été la destination de choix pour la pause après la saison passée ? "La Sardaigne." Mais tu es un habitué des États-Unis, n'est-ce pas ? "C'est une atmosphère différente. La culture afro-américaine me plaît. Là-bas, quand tu sors l'atmosphère est plus hip-hop ou R&B. Je vais à Brooklyn, dans le Queens, dans le Bronx,... Il y a cette atmosphère spéciale. Les discothèques sont très divertissantes et les filles sont très belles". ®Samus - internazionale.fr
  12. Un jeune bien éduqué et responsable. Un joueur extraordinaire. Un de ceux qui aident l'équipe. Un jeune joueur apprécié par le staff. Bart Cornelissen a tout gagné dans les équipes de jeunes avec Romelu Lukaku. En exclusivité pour FCInterNews, il accepte d'ouvrir l'album souvenirs du "Bon Géant" avec qui il s'est lié d'amitié et avec qui il a obtenu de nombreux succès sur les terrains. "Je n'avais que 11 ans lorsque j'ai rencontré Romelu pour la première fois. Je m'en souviens comme si c'était hier. Nous devions jouer avec les U12 de Lierse contre Feyenoord. Une sorte de test. Bien jouer nous permettrait d'intégrer le centre de formation, un des meilleurs en Belgique à l'époque, surtout pour la génération 1993. J'étais nerveux et introverti parmi mes nouveaux coéquipiers alors que Romelu était ouvert et sociable, facile à vivre. Il parlait avec tout le monde comme s'il les connaissait depuis toujours. Ça m'a aidé à me relaxer et à profiter du match. Grâce à sa personnalité agréable et bien éduquée il a toujours été apprécié des entraîneurs, des joueurs et de leurs parents. La rencontre s'est achevée sur un 1-1 et les qualités physiques de Romelu étaient déjà impressionnantes. Il a toujours adoré le football. Nous avons passé deux ans ensemble à Lierse, des U12 aux U13. Nous avons chaque fois fini champions de notre catégorie avec énormément d'avantage. Il marquait deux buts par match en moyenne. Il est ensuite parti à Anderlecht dans les catégories supérieures. C'était trop facile pour Romelu contre les joueurs de son âge. Moi aussi j'ai changé de club et Romelu m'a aussi aidé à m'adapter dans ma nouvelle équipe". Pendant combien de temps avez vous joué ensemble du coup ? "Durant trois ans, disons. Comme je disais nous étions coéquipiers à Lierse pendant deux ans puis nous avons joué ensemble avec les U15 à Anderlecht. Par la suite, Romelu fit sa première apparition en équipe A alors que j'étais toujours chez les jeunes". Romelu était déjà très fort alors : "Ses statistiques fabuleuses ne pouvaient pas être ignorées. Les gens avaient des doutes sur ses qualités techniques. Certains disaient que sa seule qualité était sa taille et que lorsque les autres jeunes auraient fini leur croissance, il ne serait plus aussi bon. Ils se moquaient de lui, ne prenant pas en compte qu'il s'agissait encore d'un joueur tout jeune. Saison après saison, ses statistiques restaient incroyables. Lorsqu'il a quitté Lierse, on lui a offert un maillot avec le numéro 76, le nombre de buts qu'il a marqué cette année-là. Une fois à Anderlecht en jouant avec des joueurs de deux ans ses aînés, il disait, sans arrogance juste du réalisme, qu'il aurait mis 20 buts. Il y est arrivé avant la mi-saison et c'est de là qu'il est passé en équipe première. Le centre de formation d'Anderlecht est connu pour la passion pour les joueurs fins techniquement et peut-être que Lukaku avait un style peu orthodoxe. Mais il avait la mentalité, la persévérance et la volonté. Il a toujours marqué beaucoup de buts. Du gauche, du droit, de la tête. Il la met toujours au fond. Et aujourd'hui cela reste sa principale qualité, capitale dans le monde du foot". Quel était votre poste sur le terrain ? Et comment était l'entente avec Lukaku ? "J'étais milieu de terrain, pour moi c'était évidemment simple de jouer avec Romelu. Avec sa vitesse et sa puissance, même une mauvaise passe pouvait se transformer en passe décisive. Tony Van Brandt, notre entraîneur à Lierse disait toujours avant chaque match : "quand vous avez un monstre en attaque, il faut l'utiliser". Romelu avait pour job de se battre avec les défenseurs et de marquer. Il savait le faire à l'époque et il le fait toujours aussi bien maintenant. Sa mentalité a toujours influé sur ses coéquipiers. Il est très exigeant avec lui-même et avec les autres, ça pousse à être plus performant. Jouer avec Lukaku te donne une sensation d'invincibilité et de confiance". Et hors du terrain comment était-il ? "Très sociable, gentil, ouvert. Les gens l'aimaient bien. Dans une équipe avec beaucoup de joueurs de cultures différentes il y avait toujours des groupuscules qui se formaient mais lui s'entendait bien avec tout le monde, quelque soit la provenance ou la langue. Il n'a jamais eu de problèmes avec qui que ce soit. Il s'énervait juste quand il y avait des commentaires racistes ou insultants. Il a toujours eu cette détermination. A 12 ans, il voulait être footballeur. Pour offrir une meilleure vie à sa famille. Il riait, plaisantait et se divertissait volontiers hors du terrain mais sur le terrain, il était exemplaire, la seule chose qui compte c'était de gagner". Avant son arrivée en Italie, la presse disait que l'Inter avait trop déboursé : "Avant tout, je pense qu'il est difficile d'évaluer le prix d'un joueur à lui seul. Mais il vaut 83 millions d'euros. Avec lui tu commences la saison avec une quinzaine de buts assurés. Il est unique et avec ses prestations il fait taire les critiques, comme toujours". Vous avez vécu de bons moments ensemble ? "Je me rappelle à Lierse, la première fois que Lukaku a montré ses muscles. Alors que la plupart d'entre nous attendaient encore la puberté, lui avait déjà des problèmes d'épaules parce que sa masse musculaire augmentait trop rapidement et il avait une masse graisseuse trop basse. Les maillots étaient trop petits, les shorts étaient des caleçons pour lui. Il avait même du mal à trouver des chaussures pointures 48 à sa taille. Ses pieds poussaient pour sortir de ses chaussures. Un gentil monstre". Et des moments sérieux alors ? "Lorsqu'il m'a dit qu'il s'en allait à Anderlecht, c'était triste. Nous étions un groupe et il était notre leader. Il m'a donné beaucoup de conseils pour la suite de ma carrière. Nous sommes par la suite restés en contact et nous nous sommes retrouvés dans la même équipe. Il y a beaucoup d'aspects admirables chez Lukaku : "On ne peut pas ignorer ses qualités mentales. Tout le monde voit que c'est un monstre qui allie force, puissance, vitesse et agilité. Il est aussi très professionnel. Il dédie sa vie au football comme personne. Quand tu parles avec lui, tu sens qu'il se rappelle de chaque détail de chaque match qu'il joue. Je pense que c'est son mental qui lui a permis de réussir comme il l'a fait. Le football est un monde difficile et ceux qui le critiquaient et se moquaient n'ont jamais pris en compte la manière dont cela affectait Romelu si jeune. Je sais que beaucoup voulaient qu'il ne réussisse pas mais il est resté positif, concentré sur ses objectifs. Et il a réussi. Je suis content pour lui. Je suis sûr que vous ne trouverez jamais un ancien coéquipier qui pourra dire la moindre chose négative sur 'BigRom' ". ®Samus - internazionale.fr
  13. La rupture est totale entre Romelu Lukaku et Manchester United. Selon Sky Sport, l’attaquant belge a envoyé un message qui ne laisse aucune place au doute: Attendu en Angleterre pour la reprise des entraînements avec les Red Devils, Big Rom est resté en Belgique où il s’entraîne à Anderlercht, son club formateur. Lukaku veut quitter United et rejoindre la Serie A, qu’il s’agisse de l’Inter ou de la Juventus. L’échange avorté avec Paulo Dybala, United estime son joueur à 83 millions d’euros. 400.000 C’est selon le Mirror, l’amende en livre-sterling de Manchester United envers le Diable Rouge. Une amende qui fait suite à une absence non-autorisée. Cette somme équivaut à deux semaines de traitement mensuel Le Saviez-vous ? Selon Sky Sports News, Manchester United aurait refusé la nouvelle offre proposé par l’Inter, une somme de 74 millions d’euros bonus inclus. Attention toutefois au fait que le club Mancunien n’a pas confirmé cette information ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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