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  1. Élève de la Fondation Eto'o au Cameroun, André Onana rejoint en 2010 La Masia du FC Barcelone. Il joue avec les cadets puis avec les juniors. Avec les juniors du Barça, il remporte la Ligue des Champions U19 de l'UEFA en 2014. En janvier 2015, André Onana signe un pré-contrat avec l'Ajax Amsterdam pour la saison suivante. Il rejoint finalement le club dès février, pour trois ans et demi. Il évolue dans un premier temps avec la réserve du club hollandais ou bien en tant que numéro deux avec l'équipe première. Après une saison et demie dans les buts de la réserve en 2ème division néerlandaise, il devient titulaire lors de la saison 2016-2017, remplaçant alors Jasper Cillessen parti au FC Barcelone. En raison de ses bonnes performances, le 16 mai 2017 il prolonge son contrat jusqu'en 2021 avec l'Ajax Amsterdam. Il joue son premier match de Ligue des champions le 26 juillet 2017, lors d'une rencontre qualificative face à l'OGC Nice (1-1). Courtisé par son ancien club le FC Barcelone mais également l'Inter Milan, il décide finalement de prolonger en avril 2019, son contrat avec l'Ajax Amsterdam jusqu'en 2022. Le 30 octobre 2020, il est positif au contrôle antidopage (et plus particulièrement au furosémide, diurétique accélérant la dilution des substances dopantes dans les urines et aidant ainsi à éviter un contrôle positif). Le matin du contrôle antidopage hors-compétition, André Onana "ne se sentait pas bien" et aurait voulu prendre un médicament pour apaiser la douleur cependant, il prit par inadvertance un médicament de sa femme (Lasimac). Le 5 février 2021, il est suspendu du football pour un an, par la FIFA. Il ne peut ainsi ni s'entrainer avec ses coéquipiers, ni célébrer les titres qu'il a obtenu avec l'Ajax Amsterdam. Le 10 mai 2021, le Tribunal Arbitral du Sport a rendu son verdict après l'appel du club et du joueur : la suspension du gardien camerounais est réduite de trois mois, passant de douze à neuf mois. Il pourra donc rejouer à partir du 4 novembre, et reprendre l'entraînement à partir du 4 septembre. Le 22 mars 2022, il est victime d'un grave accident de voiture sur la route entre Yaoundé et Douala, où il devait se rendre à un rendez-vous avec la sélection nationale. Il s'en sort indemne malgré un choc violent. Le 1er juillet 2022, Il a signé un contrat de cinq ans avec l'Inter Milan. En sélection Il est appelé pour la première fois en mai 2016 pour un match amical contre la France. Il honore finalement sa première sélection le 6 septembre 2016 contre le Gabon qui se soldera par une victoire 2-1. Lors de la saison 2018-2019 il dispute 4 matchs de qualification pour la Coupe d'Afrique des Nations où il n'encaisse que 3 buts et réalise 2 cleansheet ; pour 2 victoires, 1 nul et 1 défaite. À partir de la saison 2018-2019, il devient le Gardien numéro 1 du Cameroun devant Fabrice Ondoa. André Onana est l'auteur de bonnes performances notamment en qualification pour la Coupe du monde 2022 malgré le fait qu'il ait manqué la moitié des rencontres à cause de sa suspension. Il a aussi fait de bonnes prestations en Coupe d'Afrique des nations en 2022. Enfin, il a été décisif en match de barrage contre l'Algérie pour qualifier Lions indomptables à leur 8ème phase finale de Coupe du monde. Le 10 novembre 2022, il est sélectionné par Rigobert Song pour participer à la Coupe du monde 2022. Le 28 novembre 2022, alors que le Cameroun doit affronter la Serbie pour la deuxième journée de groupe de coupe du monde, l’AFP et une source proche de la sélection annoncent que André Onana est écarté du groupe pour des raisons disciplinaires sans préciser le motif exact de cette sanction. Quelques semaines plus tard, le joueur annonce la fin de son parcours international à l'âge de 26 ans. Source : Wikipédia Fiche complète du joueur
  2. C’est la très belle nouvelle de la journée, voire de la saison, en attendant avec espoir, la Seconde Etoile qu’il désire tant ! Comme nous le révèle La Gazzetta Dello Sport, à deux jours du Derby d’Italie et avec Steven Zhang connecté depuis la Chine, le Conseil d’Administration s’est montré très actif de bon matin. Le Conseil d’Administration de l’Inter a approuvé le trimestre faisant état d’une augmentation des recettes à hauteur de 60 millions d’euros (+36%) par rapport à l’année écoulée. Au cours de la réunion du conseil d'administration, le premier rapport trimestriel de la saison 2023-24 (juillet-septembre) a été approuvé et les résultats obtenus sont très positifs : Le chiffre d'affaires du groupe s'est élevé à environ 166 millions d'euros, soit une augmentation d'environ 60 millions d'euros (+36%) par rapport à la même période en 2022-23. L'augmentation des revenus a été principalement déterminée par les plus-values enregistrées sur les ventes d’André Onana et Marcelo Brozovic, mais aussi par les revenus des droits télés, lors des jours de match et du secteur Licences & Retail. Mais l’autre nouvelle importante est que Steven Zhang a prolongé le contrat de Giuseppe Marotta, Piero Ausilio et Dario Baccin jusqu’au 30 juin 2027 ! Et comme nous le révèle nos confrères de Fcinter1908.it Peu importe le résultat du Derby d'Italie, l'évènement le plus marquant de la saison a eu lieu ce vendredi ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Piero Ausilio, le Directeur Sportif de l’Inter s’est livré sur sa carrière Nerazzurra au cours d’une très longue interview octroyée à Radio TV Serie A avec RDS. Celui-ci s’est livré sans se cacher aux demandes d’Alessandro Alciato. Son long mariage avec l'Inter "Mes pensées fusent dans tous les sens, des matchs qui ont eu lieu à ceux qu’il y aura, je vis à un rythme qui ne me permet pas de me relaxer, mais c’est aussi bien de penser à d’autres choses, parfois, qui t'apporte plus de légèreté par moment. C’est un long parcours, difficile, fait de sacrifices et de beaucoup d’autres choses, comme ça se doit de l'être justement. Pour arriver au niveau de l’Inter actuel, il a fallu passer par un très beau parcours, avec un staff important et avec un propriétaire qui t’apportent énormément de motivation, avec un héritage important. Le tout nous a permis d'être à nouveau conquérant en très peu de temps." Quel type d’interiste es-tu ? "Je cherche à vivre le présent, à travers le travail et le sacrifice, je pense à comment apporter ma contribution pour ce club. J’ai commencé mon parcours il y a 25 ans, en grimpant les échelons qui m’ont formés et rendu plus fort. Aujourd’hui, vu aussi l’âge que j’ai, je me sens fort et compétent pour apporter une contribution à un club aussi important." Es-tu né interiste ? "Je suis né pour le plaisir du football, j’étais un malade du football. Je suis né et j’ai grandi à Pro Sesto, j’ai commencé ma carrière de manager là-bas car j’ai dû assez rapidement interrompre ma carrière de joueur." Un poster dans ma chambre ? "Je n’en avais pas car je n’avais pas de chambre. Je suis fier car j’ai conscience des sacrifices qu’ont fait mes parents : Mon enfance était très normal avec des parents travailleurs. J’ai rapidement fini mes études en 1998. Ensuite j'ai fait ma thèse en Droit en 2005 avec quelques contraintes car j’avais déjà commencé à travailler à l’Inter." "A 16 ans, j’étais en équipe première de la Pro Sesto, ensuite, j’ai connu une série d’interventions chirurgicale et j’ai raccroché. Ma chance a été de commencer à fréquenter l’environnement du Mercato avec le Président de la Pro Sesto." Comment a débuté la carrière de Manager ? "Je me considère extrêmement chanceux car j’ai toujours rêvé de faire ce travail. J’avais mes modèles, des personnalités qui étaient des références importantes. Je savais que j’allais devoir bien bosser pour gravir les échelons, je l’ai accepté et j’ai refusé d’emprunter des raccourcis. J’ai toujours tout pris comme cela arrivait, en faisant des sacrifices, j’ai également demandé des sacrifices à ma famille. Je ne les ai jamais considéré comme tels et cela ne le sera jamais car c’est ma vie et c’est ma passion : Je ne parviens pas à vivre ma carrière comme un métier, mais plutôt comme une grande responsabilité." Quel joueur étais-tu ? "J’allais devenir professionnel. J’étais très en avance vu mon âge, à 16 ans j’étais déjà en équipe première en Serie C1. Je ne sais pas si je serais parvenu au plus haut niveau, car il me manquait ce petit quelque chose pour la Serie A. J’ai été très bon pour tout reprendre à zéro après deux années de calvaire où j’ai dû faire face à pas mal de choses, ce n’était pas donné à tout le monde." Que retiens-tu de cette période de blessures ? "Après les premières interventions, je cherchais à revenir, à tout faire car c’était mon rêve. Je me tuais au travail, en physiothérapie et ensuite j’ai compris. Lorsque je rentrais sur le terrain, il y avait toujours cette seconde de trop où l’autre te découpe, c’était mieux d’arrêter. Être joueur amateur ne m’intéressait pas, je voulais toujours faire les choses au plus haut niveau et j’ai décidé de me lancer en Droit. Ensuite j’ai commencé à travailler comme Manager." "J’ai aussi cherché à être entraîneur mais le Président illuminé qu'était Peduzzi de la Pro Sesto m’avait dit que dans le Calcio, il n’y avait pas de grands managers et qu’il voyait ce talent en moi. J’ai pleuré à de très nombreuses reprises, il y a eu des moments douloureux, mais ce sont des situations qui se doivent d’être vécues car elles te rendent plus fort et te responsabilise : J’ai réussi à accorder la bonne attention à ces choses." Tes premières larmes à l’Inter ? "Je n’ai pas un souvenir triste en particulier. Je n’ai pas pleuré dans les Finales, j’avais juste un peu d’amertume, j’avais déjà l’envie d’en découdre dès le lendemain." Même pour la dernière disputée à Istanbul ? "Je dirais la même chose oui." En 1998, c’est ton premier contact avec l’Inter… "Je m’en souviens parfaitement, il y avait une négociation avec le Responsable du secteur des Jeunes de l’époque. On voulait que je débute immédiatement à temps plein, mais il me manquait un examen et j’ai réussi à négocier un contrat de 6 mois à temps partiel avec 4 heures seulement l’après-midi, ce qui m’a permis par la suite un temps plein de 8-10 heures." "J’ai passé tellement de soirée à Interello avec l’agent de sécurité qui venait m’apporter un sandwich. Cela ne m’a jamais pesé. Je me souviens de mon premier vrai match, dans un stade avec l’armoirie de l’Inter. Elle était là, présente au Parc des Princes, lors de la Finale de l’UEFA entre l’Inter et la Lazio." "Je me souviens de mon début dans la Direction Sportive, j’étais chanceux et c’était un plaisir : Moratti m’avait appelé alors que j’étais au Brésil, il me disait qu’il voulait que je suive l’équipe à Kiev en 2010. La rencontre qui fut décisive pour le Triplé. Depuis lors, je suis toujours l’équipe première." Est-ce possible de résister à la pression ? "Ce n’est pas facile, mais il n’y a qu’un seul secret : Je cherche toujours à donner le maximum, j’ai pu travailler avec trois propriétaire différents et importants. Ils m’ont tous mis à l’épreuve et je suis toujours resté car ils ont vu quelque chose en moi : la promesse du savoir-faire." "Ensuite rester n’est jamais acquis : Tu dois avoir l’envie de bien faire les choses, avec un bon groupe de travail, c’est là qu’est ta chance car seul tu ne sais rien faire, il faut être entouré de personnes compétentes et j’en ai connu tellement." Des personnes à remercier "Je dois énormément à Moratti qui m’a fait rentrer à l’Inter et qui m’a permis de grandir. Le vrai changement est arrivé avec Thohir qui m’a intronisé comme Directeur Sportif. Ensuite, nous avons connu des périodes très difficiles mais j’ai toujours ressenti le soutien de la Famille Zhang et de Steven, même s'il n’était pas là tout de suite. C’était important de ressentir cette confiance. Dès l’arrivée de Steven à Milan, nous avons débuté un nouveau parcours et j’ai ressenti une toute nouvelle confiance : je tiens à les remercier tous les trois." Ton plus beau moment dans l’absolu ? "Beaucoup de choses me lie au Secteur Giovanile (Jeunes), car nous faisions des choses folles et je voyais grandir les garçons : Nous avons remporté beaucoup de Scudetti durant ces 25 années et j’ai aussi apporté ma contribution lors des années Branca, car il m’avait donné aussi de grandes responsabilités. Le dernier Scudetto, celui remporté avec Conte, est celui que je considère le mien à 100%." La recrue dont tu es le plus fier "Elles sont nombreuses, toutes sont de belles histoires et ont leur particularité. Je risque de faire du tort à certains, mais celle de Lautaro est une histoire très particulière car il était, en fait, quasiment un joueur de l'Aletico Madrid. Lorsque j’avais pris l’avion, j’y allais avec 1% de chance de faire face à une situation compromise et 99% de risque de faire mauvais genre, mais ce furent quatre jours de folie. Il ne manquait que la signature avec l’Atletico. Il y avait par chance, une clause que Lautaro ne voulait pas et c’est là que nous avons entrepris un grand travails d’équipe : Zanetti m’a aidé, avec son agent Milito, car son Président était très coriace." "Une fois le tout terminé, j’avais assisté à une rencontre qui était un massacre car il avait inscrit un triplé et obtenu un pénalty. Nous nous sommes revenu le lendemain au tour de la table et nous l’avons payé un peu plus cher, mais nous sommes parvenus à le ramener à la maison. Même Balotelli me fait me rappeler de très beaux souvenirs, celui de l’avoir fait connaitre dans le football qui compte et il y su saisir sa chance à 70%." Et la négociation la plus compliquée ? "Il y en a tellement. Ce n’était pas facile par exemple d’arracher Pavard au Bayern car ils ne voulaient pas s’en priver. Même dans une négociation qui te semble sur la bonne voie, il peut toujours se passer quelque chose à une minute de la fin." Et le recrutement manqué ? "Il y en a eu, mais il vaut mieux ne pas s’en rappeler. J’ai envie de citer Pierluigi Casiraghi, mon second père d’un point de vue sportif et professionnel. Il avait cette vision, il voyait tout avant tout le monde : Il avait vu Fabregas alors âgé de 16 ans, j’avais tout fait pour le recruter, mais il n’y avait pas moyen. Il y a eu aussi d’autres joueurs avec qui nous avions négocié mais qui ont finalement signé ailleurs." Quelle est la plus grande déception de ta carrière ? "J’en ai connu plus d’une en carrière. Avec Lukaku, c’est une désillusion pour la façon dont cela s’est terminé, mais j’ai le respect d’essayer de ne pas m’exprimer sur un joueur d’un autre club. J’aime parler du présent et de l’avenir. Il fait partie du passé. Je me souviens d’un magnifique Scudetto et d’une très belle plus-value, et c’est la vérité, de deux finales perdues." Que s’est-il passé avec Lukaku ? Dites-nous la vérité… "Je préfère ne pas en parler, je dirais seulement qu’il faut faire preuve d’éducation et de respect en toutes choses. A un moment donné, les choses sont allées de l’avant, mais il y avait un manque d'éducation et de respect. Lorsqu’il y a une volonté de se dire les choses droit dans les yeux, il n'y a jamais de problème." "Quand on ne répond pas au téléphone, qu'on se refuse à me répondre ou qu'on répond par l'intermédiaire d'autres personnes, il est temps de passer à autre chose. C'était comme ça depuis le 8 juillet." L’appel où j’étais furieux ? "C'est une légende. Il y a eu ce coup de fil après plusieurs tentatives, mais il a été de courte durée. J’étais ferme, décidé, mais ce n’était rien de spécial, j'ai dit ce que je pensais en très peu de temps". Lukaku, Samardžić et Skriniar : quel été... "Ce sont des expériences, des défaites sur le terrain et sur le mercato, mais on en apprend toujours quelque chose." A combien de reprise as-tu fait l’objet de convoitises ? "C’est arrivé, mais je n’ai jamais eu l’envie de m’en aller, il y a eu des contacts, des situations, mais jamais une négociation ou même la projection d’un projet. Je n’ai jamais eu fondamentalement la pensée de quitter le club, c’est bien trop difficile. Je suis lié à trop de choses qui vont au-delà du Blason : C’est ma seconde famille. Pour moi, c’est différent de tous les autres. Le jour où le Président me dira qu’il est temps de passer à autre chose, je ne pourrais juste que lui dire un très grand merci". As-tu une date d’échéance en tête ? "J’ai songé à la retraite, mais j’aimerais encore continuer un peu après, mais pas trop non plus. Tant que tout va bien avec Steven…. Je me sens super bien ici avec Marotta et Baccin. Nous avons des secrétaires et des Scouts merveilleux, je m’appuie sur des personnes capables." Ausilio et Marotta "C’est un beau duo qui fonctionne car il y a du respect : Marotta comprend le Football, il a des années d’expériences, mais il a une grande qualité : il délègue et fait confiance aux personnes qui l’entourent. Moi aussi je transmets mon expérience aux personnes qui me sont proches. Je pense qu'il est intervenu pour dire non à un joueur deux ou trois fois au cours de ces cinq dernières années, mais uniquement parce qu'il connaissait déjà le joueur ou des aspects du personnage que je ne connaissais pas." "Sinon Il vous laisse travailler, et ensuite vous échangez vos points de vue : Cela permet au directeur sportif de se concentrer sur son travail, car je n'ai ni le temps ni l'envie de m'occuper des relations, de la communication et des autres choses. Je me concentre à 100 % sur l'entraîneur, les joueurs et les réunions avec les agents, sans me disperser sur des choses qui ne sont pas de mon ressort." Lautaro-Thuram ? "C’est un beau duo, mais j’aimerai plus parler d’un quatuor : Ils s’entendent à merveille, nous avons aussi Sanchez et Arnautovic qui vous ferons voir ce qu’ils ont sous le pied." La première fois que tu as pensé à Thuram ? "Après la vente de Lukaku à Chelsea. Il ne savait même pas qu'il pouvait être attaquant. Nous avions obtenu Dzeko gratuitement de la Roma, mais il nous manquait le deuxième attaquant pour compléter le rempart avec Lautaro. J'avais déjà parlé avec lui et son père, les négociations avançaient rapidement, notamment grâce à Mino Raiola, dont je profite de l'occasion pour m’en souvenir. Nous avions presque tout défini, mais le dimanche précédant la réunion finale, il s'est blessé au genou et nous avons dû changer d'objectif." "Ces réunions ont été notre base. J'ai été le premier à dire à Lilian que son fils pouvait devenir attaquant central, il me l'a d’ailleurs rappelé récemment. Notre projet était finalisé et centré sur lui." Onana et Sommer ? "Ce sont des gardiens différents, mais nous avions déjà décidé d’en changer après toutes ces années. Mais Samir va rester, nous avons un projet avec lui pour les deux prochaines années. Nous tenions à avoir une valeur sure, prête immédiatement. Nous aurions pu nous concentrer sur des gardiens plus jeunes, mais Sommer était ce qu'il nous fallait. Il avait déjà pris la peine d'apprendre l'italien pendant les négociations, c'est un professionnel fou". Plus stable le duo Ausilio-Marotta ou Thuram-Lautaro ? "J’espère que les deux pourront encore durer longtemps." A quel point le Mercato a-t-il changé ces dernières années ? "Enormément, tout comme la position des équipes italiennes comparées aux autres. Ici, les Italiens peuvent faire des investissements, mais toujours avec prudence et sans faire de folies. Dans le monde entier, il y a des clubs qui disposent de plus de ressources et vous pouvez sentir cette différence. Mais nous sommes restés bons parce que nous arrivons toujours à trouver des situations moins chères ou à anticiper le Mercato, en récupérant aussi des joueurs qui ne sont pas affirmé à 100% dans de plus grands clubs, en les faisant venir et en leur permettant d’atteindre des niveaux qui correspondent à leurs réelles qualités. Des choses intéressantes peuvent être trouvées en Angleterre." Les agents exagèrent-ils ? "Je parlerais toujours de manière subjective, sans généraliser. Il y a des agents qui aident aussi les clubs et d'autres qui ne s'intéressent qu'à leur propre portefeuille, perdant de vue les intérêts un peu plus globaux. Je travaille avec beaucoup d’entre-eux, j'en ai rencontré beaucoup. Pour certains j’ai moins de considération et pour d’autres beaucoup plus : on acquiert cela avec l'expérience". Le fait de ne pas être une personne médiatique est un choix réfléchi ? "J'aime être comme ça, ce n'est pas un choix. Chacun à sa place et selon moi, la Communication de l'Inter ne peut pas être faite par un Directeur Sportif qui doit s’exprimer quotidiennement. On parlerait toujours des mêmes choses, des choses que je ne tiens pas à exprimer sur la place publique. C’est bien plus intelligent que ce soit le rôle de l’Administrateur-Délégué du club car il peut s’exprimer à 360°." As-tu encore un compte fake Instagram sur les réseaux sociaux actif ? "Oui, bien qu'une phrase un peu ironique ait été extrapolée : Je ne contrôle absolument pas les épouses des joueurs, c'était une blague faite dans un contexte particulier. Elle est née dans un moment d'exposition médiatique excessive, le compte suit les clubs de football, les agents, un peu de tout." As-tu encore des rêves ? "Oui même si je ne me souviens pas de tous." Le prochain ? "C’est quelque chose qui n’est pas si éloigné, mais qui est bien évidemment sportif et qui demande du travail, de la volonté et de la continuité. J’aimerai arriver à la Seconde Etoile qui est là, et pour laquelle d’autres se battent aussi. L’important est de se battre jusqu’au bout, et si quelqu’un d’autres est meilleur, j’irai lui serrai la main." Vous n’étiez pas si loin à Istanbul... "J’avais ce sentiment avant même de disputer la rencontre. Pendant le match, nous semblions si forts et compétitifs, nous avions joué à armes égales avec l'équipe la plus forte du monde. Nous étions ambitieux, même si nous étions conscients qu'il y avait une équipe bien mieux armée que nous face à nous. Nous voulions vendre chèrement notre peau face à tous." "Je sais d'où nous sommes partis : au début de l'ère Suning, nous étions peut-être derrière la 50e place du classement des meilleurs clubs du monde, aujourd'hui nous oscillons entre la septième et la huitième place. Peut-être que cela nous donnera une chance de participer à la Coupe du monde des clubs, qui aura lieu dans peu de temps. Mais pensons déjà à nous qualifier pour les huitièmes de finale." Quel genre de personne est Inzaghi ? "Simple, humble, brillant. C'est l'une des personnes les plus gentilles que je connaisse dans le football. Il a sa propre routine, des exigences qui ne sont pas démesurées : il est brillant, talentueux et encore jeune. Il a le goût prononcé du football de qualité et fait en sorte que tout le monde se sente bien. Il a créé un bon groupe et cela se voit, les résultats ne sont pas seulement le fruit de la performance, mais aussi du fait de se sentir bien tous ensemble et d'avoir envie de partager son temps ensemble." A quel point a-t-il été proche du renvoi ? "Jamais. Je peux me montrer extravagant, mais ce n'est pas dans la culture de Zhang et ni même de Marotta. Je crois que Marotta n'a jamais remercié un entraîneur en 40 ans de football, et encore moins moi. C'était une période difficile, mais nous savions que nous avions besoin de cette force qu’est l’Union et de stimulations, tout en s’attardant sur les choses qui n'allaient pas." "Nous avons tous réussi à nous en sortir et à entamer ce voyage fou lors des deux derniers mois qui nous a menés à la cette qualification pour la Ligue des Champions, à la Finale de la Coupe d'Italie et à Istanbul. Nous n’avions jamais envisager son renvoi : Ce n'est pas dans la culture des dirigeants de l'Inter". Quel président est Steven Zhang ? "Il y a une fausse idée de Steven Zhang en tant que président. D'un point de vue technique, il n'est peut-être pas l’un de ces présidents qui peut juger des qualités d'un joueur et c'est une bonne chose, car les managers et l’entraîneur peuvent faire leur travail. Mais Il est très passionné, il se montre toujours très proche, il regarde tous les matchs et, à tout moment, et il vous apporte de la tranquillité et de la sérénité." "Lorsque des fautes sont commises, il ne se montre jamais exaspéré par la situation. L'échec de la vente de Skriniar par exemple, avec un autre président, aurait provoqués des comportements et des attitudes différentes. Il a immédiatement regardé bien plus loin Sa préoccupation était : OK, qui allons-nous mettre à la place de Skriniar ? C'est un Entrepreneur, il a une vision très large." "Il vous laisse faire ce que vous voulez, il vous apporte de la sérénité et de la sécurité." A quel point a changé Milan ces dernières années ? "J'ai toujours vécu en province, mais Milan a beaucoup changé. C'est une véritable métropole, en constante évolution et vivante. Milan est aussi très attractive pour beaucoup de travailleurs étrangers. Je le vois avec les footballeurs, et avec leurs femmes qui l'aiment et nous en jouons aussi. Cela te permet de bien vivre ton métier, tu n'as pas de grande pression. Il faudrait un peu plus de sécurité pour permettre à chacun d'exprimer ses désirs et ses envies". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Il y a des moments dans une vie de footballeur qui peuvent marquer des carrières pour toujours. Un but, un match, un trophée: un accomplissement important qui gagne le cœur des fans. Parmi eux, le Ballon d’Or occupe une place spéciale et magique : le prix France Football transforme un champion en légende et le projette directement sur le toit de l'Olympe du monde du football. Dans la soirée de lundi 30 octobre, la présentation de la cérémonie du Ballon d’Or 2023 prend place à Paris, où les meilleurs joueurs de la saison passée sont récompensés, après le vote d'un jury composé de 100 journalistes du monde entier, chacun représentant un des 100 pays du classement FIFA. Le jury vote en choisissant dans une liste de 30 nominés, sélectionnés par les rédacteurs de France Football et L'Équipe, avec Didier Drogba, ambassadeur du Ballon d'Or, et un journaliste en dehors des 100 votants, récompensés pour avoir deviné le podium de l'édition précédente. Parmi les 30 nominés pour le Ballon d’Or 2023, il y avait deux joueurs de l'Inter, Lautaro Martinez et Nicolò Barella, ils ont été classés, respectivement, 20ème et 27ème de ce classement, qui inclus également André Onana, Nerazzurro la saison passée, aujourd'hui joueur de Manchester United : Lionel Messi (ARG, 36 ans, Paris-SG/Inter Miami) Erling Haaland (NOR, 23 ans, Manchester City) Kylian Mbappé (FRA, 24 ans, Paris-SG) Kevin De Bruyne (BEL, 32 ans, Manchester City) Rodri (ESP, 27 ans, Manchester City) Vinicius Jr. (BRA, 23 ans, Real Madrid) Julian Alvarez (ARG, 23 ans, Manchester City) Victor Osimhen (NGA, 24 ans, Naples) Bernardo Silva (POR, 29 ans, Manchester City) Luka Modric (CRO, 38 ans, Real Madrid) Mohamed Salah (EGY, 31 ans, Liverpool) Robert Lewandowski (POL, 35 ans, FC Barcelone) Yassine Bounou (MAR, 32 ans, Seville FC/Al-Hilal) Ilkay Gündogan (ALL, 33 ans, Manchester City/FC Barcelone) Emiliano Martinez (ARG, 31 ans, Aston Villa) Karim Benzema (FRA, 35 ans, Real Madrid/Al-Ittihad) Khvicha Kvaratskhelia (GEO, 22 ans, Naples) Jude Bellingham (ANG, 20 ans, Borussia Dortmund/Real Madrid) Harry Kane (ANG, 30 ans, Tottenham/Bayern Munich) Lautaro Martinez (ARG, 26 ans, Inter) Antoine Griezmann (FRA, 32 ans, Atlético de Madrid) Min-jae Kim (CDS, 26 ans, Naples/Bayern Munich) André Onana (CAM, 27 ans, Inter Milan/Manchester United) Bukayo Saka (ANG, 22 ans, Arsenal) Josko Gvardiol (CRO, 21 ans, RB Leipzig/Manchester City) Jamal Musiala (ALL, 20 ans, Bayern Munich) Nicolo Barella (ITA, 26 ans, Inter) Martin Odegaard (NOR, 24 ans, Arsenal) Randal Kolo Muani (FRA, 24 ans, Eintracht Francfort/Paris-SG) Ruben Dias (POR, 26 ans, Manchester City) Figurer parmi les nominés pour le Ballon d’Or est un honneur réservé à quelques joueurs : cela signifie faire partie des 30 meilleurs joueurs du monde. Ce n'est pas la première fois pour Barella et Lautaro: c'est leur seconde nomination, ils faisaient tous les deux partis de la shortlist en 2021, l'année du 19ème Scudetto Nerazzurro. A cette époque, l'argentin a été classé 21ème, l'italien 26ème. Voici les raisons officielles pour lesquelles France Football justifiait la nomination des deux Nerazzurri. “Les poumons de l'Inter et actuellement le meilleur milieu de terrain italien. Sa précision et son efficacité technique, sa capacité à se dévouer pour ses coéquipiers et donner de l'air au jeu, sans même parler de son investissement constant, ont fait de Barella le nouveau synonyme de 'vision'. ” dixit France Football sur Nicolò Barella. “Même sans marquer, il a contribué au succès argentin à la coupe du monde. Spectaculaire dans les demi-finales de Ligue des Champions contre Milan (2-0, 1-0 avec un but dans la deuxième manche), il a ramené l'Inter vers le sommet. ” - France Football sur Lautaro Martinez Les Nerazzurri vainqueurs du Ballon d’Or : LOTHAR MATTHÄUS Numéro 10, milieu de terrain complet et joueur-clé de l'Inter de tous les records : Lothar Matthäus a été le premier joueur de l'Inter à remporter le Ballon d’Or. En 1990, France Football l'a présenté avec le prix après qu'il ait gagné la coupe du monde 1990. Matthäus a présenté son Ballon d’Or aux supporters Nerazzurri à San Siro le 10 mars 1991, avant Inter vs Juventus, qui se termina sur le score de 2-0 avec un but inscrit par l'allemand. La cérémonie de célébration de Lothar a vu des enfants porter des maillots de l'Inter et de l'Allemagne. RONALDO Le 4 Janvier 1998, par un froid dimanche d'hiver, l'Inter était prête à retourner sur le terrain après la trêve de Noël. Un match important contre la Juventus attendait les Nerazzurri; encore une fois, le match fut précédé par la célébration du vainqueur intériste du Ballon d’Or. C'était Luis Nazario de Lima, connu de tous comme Ronaldo, il Fenomeno, qui durant cette soirée, effectua une passe décisive pour le but victorieux de Youri Djorkaeff, suite à une course incroyable le long de la ligne. Le premier brésilien a avoir reçu le prix France Football, Ronaldo était arrivé à l'Inter le mois de juillet précédent, a réalisé le rêve des supporters Nerazzurri; ce jour-là, ils ont adopté leur champion, célébrant sa grandeur hors du commun. Après avoir gagné l'édition 1997, Ronaldo sera couronné à nouveau en 2002, après avoir gagné la Coupe du Monde, en étant le meilleur buteur, avec le Brésil. LA DREAM TEAM BALLON D’OR Deux joueurs extraordinaires, deux footballeurs qui ont gagné le Ballon d’Or en portant le maillot Nerazzurro. Deux légendes, qui en 2020, ont été inclus dans ‘La Dream Team Ballon d’Or,’ le meilleur onze de l'histoire sélectionné par le jury du Ballon d’Or, après que le journal français ait décidé de ne pas présenter de prix cette année-là. Voici la Dream Team, faite à partir des meilleurs joueurs de 1956 à 2020: Yashin; Cafù, Beckenbauer, Maldini; Maradona, Xavi, Matthäus, Pelé; Messi, Ronaldo, Cristiano Ronaldo. Les autres vainqueurs : Tandis que Matthäus et Ronaldo ont gagné le Ballon d’Or pendant qu'ils jouaient pour l'Inter, il y a eu d'autres joueurs qui ont gagné le prix France Football avant ou après leurs carrières à l'Inter. Par exemple, Luis Suárez (1960, Fc Barcelone), Karl-Heinz Rummenigge (1980 et 1981, Bayern Munich), Roberto Baggio (1993, Juventus), Matthias Sammer (1996, Borussia Dortmund), Luís Figo (2000, Fc Barcelone) et Fabio Cannavaro (2006, Real Madrid). Bonus : tous les nominés de l'Histoire de l'Inter Il y a eu 33 joueurs dans l'histoire de l'Inter qui ont été nominés pour le Ballon d'Or, de 14 nationalités différentes. Le joueur Nerazzurro a avoir reçu le plus de nominations est Sandro Mazzola avec 9, suivi de Giacinto Facchetti avec 8. Matthäus, Ronaldo et Suárez complète le podium. En additions des victoires, il y a eu 8 Nerazzurri sur le podium: six à la seconde place et deux à la troisième. Luis Suárez est arrivé 2ème en 1961 (vainqueur: Sivori) et en 1964 (vainqueur: Law), Facchetti en 1965 (vainqueur: Eusebio), Mazzola en 1971 (vainqueur: Cruyff), Matthäus en 1991 (vainqueur: Papin), Dennis Bergkamp en 1993 (vainqueur: Baggio). Andreas Brehme est arrivé 3ème en 1990 et Ronaldo 3ème également en 1998. Voici le détails par année : 1958 -> Skoglund 19ème 1960 -> Angelillo 23ème 1961 -> Suarez 2ème 1962 -> Suarez 15ème 1963 -> Suarez 8ème 1964 -> Suarez 2ème, Corso 7ème, Facchetti and Mazzola 19ème 1965 -> Facchetti 2ème, Mazzola 8ème, Corso 15ème 1966 -> Corso 11ème, Mazzola 14ème 1967 -> Mazzola 10ème, Facchetti 20ème 1968 -> Facchetti 8ème, Mazzola 17ème, Domenghini 24ème 1970 -> Mazzola 8ème, Facchetti 18ème 1971 -> Mazzola 2ème, Facchetti 13ème 1972 -> Mazzola 15ème 1973 -> Facchetti 12ème, Mazzola 14ème 1975 -> Facchetti 27ème 1980 -> Prohaska 7ème (Austria Vienne/Inter), Altobelli 27ème 1984 -> Rummenigge 8ème (Bayern/Inter) 1985 -> Rummenigge 5ème 1986 -> Altobelli 10ème 1987 -> Altobelli 30ème 1988 -> Matthaus 6ème (Bayern/Inter), Zenga 17ème 1989 -> Matthaus 4ème, Brehme 14ème 1990 -> Matthaus 1er, Brehme 3ème, Klinsmann 6ème, Zenga 12ème 1991 -> Matthaus 2ème 1993 -> Bergkamp 2ème (Ajax/Inter) 1996 -> Djorkaeff 9ème (Psg/Inter), Kanu 14ème (Ajax/Inter) 1997 -> Ronaldo 1er (FC Barcelone/Inter), Djorkaeff 12ème 1998 -> Ronaldo 3ème 1999 -> Vieri 7ème (Lazio/Inter), Kanu 23ème (Inter/Arsenal), Ronaldo 23ème 2000 -> Hakan Sukur 18ème (Galatasaray/Inter), Blanc 27ème 2002 -> Ronaldo 1er (Inter/Real Madrid) 2003 -> Toldo 22ème 2004 -> Adriano 6ème 2005 -> Adriano 7ème 2006 -> Vieira 16ème (Juventus/Inter) 2007 -> Ibrahimovic 7ème 2008 -> Ibrahimovic 9ème 2009 -> Eto'o 5ème (FC Barcelone/Inter), Ibrahimovic 7ème (Inter/FC Barcelone), Julio Cesar 21ème 2010 -> Sneijder 4ème, Eto'o 12ème, Maicon 17ème, Julio Cesar 19ème 2011 -> Forlan 7ème (Atletico/Inter), Sneijder 12ème 2021 -> Lukaku 12ème (Inter/Chelsea), Lautaro 21ème, Barella 26ème ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  5. L'Inter recevra ce mardi 24 octobre 2023, à 18h45, le RedBull Salzbourg à 18h45 dans le cadre de la troisième journée du Groupe D de la Ligue des Champions 2023/2024. A cette fin, Simone Inzaghi s’est livré à la traditionnelle conférence de presse d’avant-match au Suning Training Centre d’Appiano Gentile. Comment se présente l’Inter à face à cette grande rencontre ? "Nous arrivons en forme, nous avons gagné contre le Torino et ce n’était pas simple. Nous allons disputer demain une rencontre importante dans un groupe très équilibré. Nous devrons rester concentré car Salzbourg est une équipe solide qui, lors de la première journée, est allée gagner à l’extérieur contre le Benfica." Comment trouvez-vous Thuram jusqu’à présent, est-ce une surprise ? "Ses qualités sont connues de tous, il a changé de championnat et de pays et il aurait pût être confronté à quelques difficultés, mais lui au contraire à été excellent pour se mettre à son avantage. Il nous donne d’excellentes réponses et il doit continuer à travailler de la sorte, comme il le fait quotidiennement." Avez-vous des doutes dans le choix de votre formation ? "Il y a différentes décisions à prendre car nous avons joué aussi samedi à Turin. Il y aura quelques changements car la rotation doit être une valeur ajoutée qui te vient en aide pour gérer la fatigue physique et mentale." Sanchez est-il déjà prêt à jouer dès l’entame du match ? "Oui, il est prêt, c’est un joueur qui a vraiment tenu à revenir avec énormément d’enthousiasme. Il travaille très bien depuis des semaines et il a aussi joué en équipe nationale. Je ne sais pas s’il sera titularisé d’entrée, mais il est très important pour nous." Les ailiers peuvent-il se nommer Dumfries et Carlos Augusto ? "Les ailiers sont ceux qui se dépensent le plus parmi tout le monde. Les changements à ce poste se font quasi tous le temps par nécessité. En ce moment, il me manque Cuadrado, mais par chance, j’ai Darmian qui parvient aussi à me donner un coup de main à ce poste." Avez-vous plus peur de cette rencontre que les autres ? "Ce match est délicat car nous sommes à l’intérieur d’un groupe équilibre. Chaque rencontre est importante et il faudra faire preuve d’énormément de concentration." Comment sera tactiquement disputée cette rencontre ? "C’est une équipe qui sait très bien jouer au football, qui a un dispositif agressif, même si lors d’un match amical que nous avons disputé en présaison, elle jouait différemment. Ils savent varier leur jeu et lorsqu’ils sont en possession, ils savent jouer de façon verticales vers leurs attaquants qui sont très physique : Nous devrons disputer une rencontre Da Inter." Vu la lutte en Championnat pour la première place et aussi la phase de groupe en Ligue des Champions, le fait d’être dans l’obligation de ne pas perdre de point est-elle positive ? "Nous sommes en tête dans les deux compétitions, nous savons qu’il y a énormément de rencontres devant nous, mais je me dois de rester concentrer sur le lendemain, en sachant que nous aurons toujours face à nous, un adversaire qui tentera de nous créer des problèmes." Vous que vous ne perdez plus votre voix depuis plusieurs semaines, cela veut-dire que vous vous énervez moins ? "Cette année, je me suis promis de moins perdre la voix, mais je sais que je peux avoir ce type de problème, je cherche aussi à m’améliorer." Que manque-t ’il à Pavard, d’un point de vue Technique, pour devenir le "Bastoni" de l’aile droite ? "Je suis très content de Pavard qui est un joueur idéal pour notre système de jeu. Il a toujours réalisé de très belles prestations dans les rencontres qu’il a joué et il est aussi parvenu à s’insérer un peu plus vers l’avant : Je suis très satisfait de ce qu’il propose." Lautaro est-il "Da Ballon d’Or" ? "Oui, pour le parcours qu’il a réalisé, pour les titres gagnés. Selon moi, il serait juste qu’il se retrouve parmi les prétendants s’il parvient à continuer à travailler de cette façon." Comparé à Onana, la typologie des entrainement pour construire de l’arrière, a-t ’elle changée avec Sommer ? "Les principes du jeu sont restés les mêmes : Sommer est un excellent gardien, un très grand professionnel qui est excellent avec ses pieds : Il a de grandes qualités technique et je suis heureux de ce choix fait par le Club." Quelle est la chose qui diffère, au niveau de la condition physique, pour un joueur qui part rejoindre son équipe nationale ? "Pour ceux qui restent ici, l’entrainement est différent car il n’y a plus de voyage, ni de match : Ils savent donc s’entrainer au mieux. Klaassen, par exemple, est rentré samedi car il s’était entrainé ici, alors que Sanchez, qui avait voyagé et disputé deux matchs a déposé énormément d’énergies." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Notre Administrateur-Délégué Sport, Giuseppe Marotta, s’est livré à Trento à l’occasion du "Festival Dello Sport", organisé par la Gazzetta Dello Sport: "Devenir une Bandiera de l'Inter comme Dirigeant ? Je suis Honoré d'être à l'Inter, ensuite il y a tellement de facteurs qui ne dépendent pas que de moi." "Nous traversons une période positive qui est la continuité d’un cycle débuté il y a quelques années et, aujourd’hui, il y a une meilleure conscience en nos propres moyens." "Nous pouvons jouer un rôle de protagoniste, un rôle qui fait partie de notre Histoire, de l’Adn et du Palmarès du Club. Nous n'avons connu qu'un incident de parcours et , cela arrive dans chaque discipline sportive. Je me dois de dire que les prestations réalisées dernièrement ont été très positives, qui font de nous les protagonistes de la saison." La vraie Inter ? "Elle est souvent associée au slogan "Pazza Inter" qui est dans l’ADN du Club aussi par ces situations sur courant alternatif. Au-delà de cet aspect, dans une saison riche d’engagements en club et en équipe nationale, il est également normal d’un point de vue agonistique et physiologique que nous connaissons des baisses de tension et de fatigues, celles-ci doivent être gérée de la meilleure des façons. C’est ici que le Staff technique entre en action et que de nouvelles figures émergent car un sport comme le football est constamment à la recherche d’innovation." La Seconde Etoile ? "C’est une déclaration d’amour explicite, je crois qu’elle trouve son origine par-dessus tout dans les faits : Être ambitieux dans le sport est une vertu, Il faut toujours placer la barre très haut et ce n’est pas un défaut, mais une source de motivation pour faire que toutes les composantes du club, sur et hors du terrain, abonde vers le même objectif. L’ambition ne doit pas être confondue avec l’arrogance qui est un défaut : L’ambition te porte à être traitée d’antipathique, mais je crois justement aussi bien en la rivalité qu’en la compétitivité, et c’est normal qu’une personne comme moi qui gère un club, se doit de transmettre ce concept." Lukaku ? "Il ne sera certainement pas effrayé par l’accueil que va lui réserver le Meazza, il fait partie du passé. Lorsque tu vis des émotions, positives ou négatives, et lorsque tu vis dans un rapport de confiance, cela peut conduire ensuite non seulement à de la méfiance, mais aussi à de la déception. Cela fait aussi partie de la composante humaine et du sport, dans ce qu’il y a de plus spécifique dans un sport riche, où l’argent fait fois et où il ne s’agit pas d’une vertu mais d’un défaut. En ce qui me regarde et en ce qui regarde l’Inter, il fait partie d’un passé récent dans lequel je ne veux pas entrer, je regarde le présent et l’avenir." Ses déclarations "Je ne le vois pas capable de dire beaucoup de choses et il reste libre de le faire bien sûr. Lukaku peut bien sûr dire ce qu'il veut mais nous l'avons toujours respecté... et puis l'argent fait la différence dans le football." Est-ce que le fait qu’il soit sur le banc à Istanbul a joué ? "Je ne pense pas car une décision aussi importante que celle d’accepter une proposition de l’Inter ne peut pas dépendre uniquement dépendre d’un instant, mais bien d’une relation vécue durant plusieurs années et il y avait un grand rapport de confiance, de respect et de reconnaissance envers lui. Je ne vois absolument pas comment nous aurions pu créer une controverse, c’est une polémique, un débat stérile dans lequel nous ne tenons pas à nous engouffrer." Un appel aux Tifosi en vue du retour de Lukaku ? "J’ai entendu parler de ces 50.000 sifflets, et je considère cela comme une situation qui se doit d’être bien gérée, nous devons avoir la capacité de vivre dans le présent dans une période où nous devons unir nos forces. Le fait même que les supporters peuvent se laisser aller à ce type de chose pourrait créer une distraction dans un moment du match où il est important de soutenir les nôtres. Toutefois, et à juste titre, nos Tifosi ont le droit de manifester et de critiquer d’une façon démocratique et civilisé ce qu’il se passe sur le terrain de jeu, c’est un choix libre qui se doit être accepté." Le football d’aujourd’hui "Le phénomène du football arabe a amené des grands avantages économiques aux clubs européens, mais les évaluations devront être faite au moins après deux saisons. Ils ont offert des bouffées d’oxygènes à énormément de club. Toutefois, d’un point de vue qualitatif, nos championnat risque de se retrouver appauvri, même au niveau des droits télés." "Milan représente le Derby de la Ville et il a une saveur particulière. La Juventus est le club avec lequel nous disputons le Derby d’Italia, c’est un autre club tout autant historique et important. Tout dépend de la période, mais remporter un Derby peut te donner ce petit quelque chose en plus." Dans ce championnat ? "Avant tout, il faut gagner contre la Juventus." Roberto Mancini "Il me reste encore un peu d’amertume, je n’aurais jamais imaginé qu’il allait nous abandonner, je pensais qu’il allait continuer son parcours avec la Nazionale. Dans le même temps, j’accueille avec fierté et satisfaction le choix de Spalletti : Je l’ai vu très motivé et impliqué avec des sentiments nationalistes. J’ai connaissance des termes de son contrat et ce n’est certainement pas un contrat qui te change la vie, il a d’ailleurs gagné bien plus d’argent en Club : Il a pris cette décision en la considérant comme une mission." Soutenabilité "Face à la Pandémie, nous avons dû nous adapter à un concept mal utilisé jusqu’à présent qui est la soutenabilité : L’équation "Qui dépense le plus l’emporte n’existe pas dans le sport", mais il est tout de même exact qu’il faut un budget pour construire une équipe compétitive. C’est une chose d’épargner de l’argent et de ne pas le gaspiller, mais c’en est une autre de devoir chercher à réduire drastiquement les coûts car tu te retrouverais face à des difficultés pour constituer ton équipe, car il faut prendre en compte aussi bien la compétitivité en Italie, mais également à l’étranger." La Juventus et l’appel de Steven Zhang "Avec la Juventus, il s’est terminé un cycle, c’est un fait physiologique. Après mon annonce faite lors de l’après-match face au Napoli, j’ai reçu, le matin suivant un message de Steven Zhang. Et comme je ne l’avais pas enregistré, je pensais que c’était une connerie. J’ai donc appelé Urbano Cairo car je savais qu’ils étaient amis et il m’a confirmé qu’il s’agissait bien du numéro de Zhang." "Dès lors, nous avions fixée une rencontre et j’acceptais l’offre immédiatement : En tant qu’Homme de Football, j’ai accepté une proposition qui pourrait être considérée comme une forme de revanche : Celle de revenir sur le terrain immédiatement." Istanbul "La plus grande partie de nos garçons, si ce n’est Tous, disputaient pour la première fois la Finale de la Ligue des Champions et je pense qu’il s’agit d’une expérience importante pour comprendre ce que veut dire s’améliorer et, éventuellement, comprendre comment disputer une autre finale." "L'Inter actuelle est la fille d’Istanbul et d’un processus de croissance de tout le Club : Il ne faut pas oublier que 12 joueurs sont arrivés durant l’été. Cela signifie que nous disposons d’un plus grand respect comparé à notre passé récent en termes d’amalgame : Nous avons créé une solide fondation d’Italiens et je peux dire avec fierté qu’il y en a 6 en Nazionale. Pour moi, cela signifie que l’on créé les conditions pour être compétitif et facilité la compréhension des nouveaux arrivants sur ce que représente l’Inter et sur ce que signifie jouer en Italie." Est-ce qu’un retour d’Onana est envisageable ? "Je ne parviens pas encore à percevoir le futur, mais le football est fait d’un tout. Et il y a aussi des joueurs qui reviennent en apportant des fois des résultats positif et d’autres fois des résultats négatifs. Nous ne savons pas le prédire, mais c’était très certainement une expérience aussi bien importante pour lui comme pour nous, sans oublier le fait que nous avons clôturé notre rapport avec une opération économiquement importante." Marcus Thuram "Au final, la décision revient toujours au joueur et ici même Thuram a été le principal protagoniste de son arrivée à l’Inter, c’est son choix, malgré le fait qu’il avait reçu d’autres offres . Il a évidemment étudié quel pourrait être le meilleur club pour la suite de sa carrière et il est évident que le rôle de son père a exercé une influence : Nous sommes redevenu, l’Inter appétissante et je dois dire qu’aujourd’hui encore j’ai reçu énormément de proposition de joueurs qui veulent jouer chez nous : Cela veut dire que l’Inter est entrain de redevenir l’Inter d’autre fois." Davide Frattesi? "L’avantage que je puisse représenter moi est celui d’avoir un bon rapport avec l’Administrateur-Délégué de Sassuolo. Les indications pour ce joueur sont arrivée de l’Aire technique, nous bossons tous ensemble, moi, Ausilio, Baccin, l’entraineur, afin que chacun puisse apporter à notre cause ses propres talents : Le joueur a aussi été protagoniste dans le fait d’accepter cette destination. Même notre propriétaire, lorsque l’on a présenté cet investissement important, nous a donné le feu vert et nous sommes parvenus à mettre sur pied une opération importantes : Toutes les composantes sont importantes, même les épouses et les fiancées." Scamacca? "Nous avions débuté une négociation avec le club et aussi avec lui, et il y avait initialement une disponibilité de la part du joueur, qui a ensuite préféré emprunter une voie différente. C’est un choix qui se doit d’être respect et nous avons fait un pas de côté. Il n’y avait aucune compétition avec l’Atalanta pour propose plus, nous nous sommes justement retiré." Le Calcio Scommesse ? "Je ne tiens pas à m’exprimer sur une situation au cours d’une enquête. Je crois que parier est un vice antique de l’être humain et qu’il doit être vu comme tel et qu’il se doit d’être combattu d’un point de vue éthique. Les joueurs professionnels font partie d’une catégorie à part : Ils peuvent soudainement devenir riche et le temps qu’ils consacre à leur activité compétitive n’est pas aussi excessive, ils disposent donc d’énormément de temps libre." "Le problème est qu’il vaut savoir combler ces périodes avec des activités positives et il y a souvent un manque de valeurs, ils sont jeunes et ils doivent être aidé pour grandir. Je me dois de faire un Mea-Culpa au nom de la classe dirigeantes car les Institutions, les Clubs, les associations syndicales, nous avons tous, sans exceptions manqués et manquons encore à l’appel." "J’ai assisté, au tout début de ma carrière au scandale du Calcio Scommesse et les choses se répètent ici en 2023 : Cela veut dire que la matrice de prévention et d’acculturation fait défaut. Nous ne parvenons pas à faire ce qu’il faut et ces garçons tombent dans ce type de situations qui ne leur apporte bien, car ils vivent dans un monde doré." Mauro Icardi ou Romelu Lukaku? "Vu comment les choses se sont passées, c’est mieux Icardi." Allegri ou Conte ? "Le dénominateur commun est qu’ils sont tous les deux des gagneurs, ce qui est une caractéristique importante que se doit d’avoir un entraineur. Il y a les gagnants et ceux qui échouent : Chaque entraineur présente un profil différent et ils le savent eux même : Eux savent gagner et ils savent comment transmettre cette mentalité de gagnant, j’ai connu de belles expériences avec les deux." "Avec Conte c’est encore une plus belle expérience car nous sommes parvenu à gagner aussi avec l’Inter, ce qui est quelque chose d’extraordinaire : Ce sont deux grands professionnels qui m’ont offerts de très grandes émotions." Lautaro peut-il prétendre à un possible Ballon d’Or ? "Oui, absolument, je crois qu’il a toutes les qualités pour réaliser une excellente carrière qui coïncidera très régulièrement avec les nominations à des prix prestigieux : Je lui souhaite d’en avoir le plus possible. C’est un parcours assez long, mais il y a surtout le fait qu’il s’identifie aujourd’hui au rôle qu’il a à l’Inter, il s’agit de tout un ensemble de valeur qui sont favorable à sa croissance professionnelle." Son futur ? "Le club est attentif à toutes ses indications que je viens de citer. Aux côtés de Lautaro, il y a tout un ensemble de joueurs qui méritent également une attention particulière de notre part et, avec le Directeur Sportif Piero Ausilio, nous travaillons en ce sens avec un objectif : Toujours garder bien en vue quels sont les objectifs à atteindre. Les aspects contractuelles sont selon moi marginal comparé à l’engagement que nous nous attendons tous de la part des joueurs du noyau." Auriez-vous signé pour occuper la position actuel aussi bien en Ligue des Champions qu’en Championnat ? "Je suis satisfait car, au-delà des statistiques, j’analyse les prestations qui ont été proposées et celle-ci ne peuvent être que positives, également pour ce que devrait être notre futur. Je dois dire qu’il faut aussi absolument reconnaitre le mérite de notre entraineur qui a su faire fusionner un nouveau groupe et à en faire ressortir un modèle positif." Scudetto ou Ligue des Champions ? "Je vote pour le championnat. Le championnat est une course par étapes, le meilleur gagne toujours. En Ligue des Champions, il y a aussi des circonstances heureuses, le meilleur ne gagne pas toujours. Nous sommes très compétitifs pour le Scudetto, les valeurs qui ont émergé et les valeurs objectives le disent. En réalité, c'est plus difficile en Ligue des Champions.” Est-ce que vous vous retrouvez encore dans ce football ? "Les symptômes d’intelligence s’adaptent au temps. Nous sommes face à un monde totalement différent, il y a des innovations qui sont devenu réalités comme les algorithmes et l’intelligence artificiel. C’est aux managers à savoir s’adapter à l’époque actuelle." Quelle l’opération de Mercato qui aurait pu être la plus importante "Celle de Bellingham qui est un joueur vraiment très fort et qui représente le présent et le futur. Mon regret a été également de ne pas avoir recruté Haaland à la Juventus, on me l’avait proposé lorsqu’il était encore à Molde, mais c’est la vie." Où sera l’Inter dans un mois ? "Il est mieux, paradoxalement, d’être dans le rôle du chasseur que de celui du lièvre, et de devenir celui du lièvre à la fin car il l’emportera toujours. Mis à part cela, il faudra savoir gérer les moments de fatigue liés à la compression des rendez-vous qui s’enchaine. Je retiens que nous disposons d’un noyau compétitif, tel qu’il permettra à Inzaghi de le gérer de la meilleure des façons possible." Pourquoi allumer Lukaku et encenser Icardi Nos confères de la Gazzetta Dello Sport ont tenu à analyser la situation : La pensée de l’Administrateur-Déléguée est la même que celle de tous les autres Managers de la Viale Della Liberazione, car si le traumatisme de la rupture avec Big Rom est encore tout frais, la situation est différente entre l’argentin et le belge. Icardi avait manifesté son amour pour l’Inter jusqu’au bout, il a commis la faute de ne pas savoir dissocié le Vestiaire des déclarations de son épouse et agent Wanda Nara, ce qui lui a posé des problèmes avec ses équipiers, mais il a cherché une façon pour arranger les choses. Et cela, même lorsqu’il avait été écarté du noyau et que le numéro 9 lui a été retiré pour finir sur les épaules de Lukaku, même lorsqu’il avait fini par devoir s’entrainer tout seul. La situation est totalement différente pour le Belge qui, même s’il était fortement désiré par la Direction et Inzaghi, ne s’est jamais exposé avec Chelsea pour rester à l’Inter et, lorsque l’intervention de Roc Nation avait permis de favoriser l’accord entre les deux clubs, il s’était éclipsé, en ne répondant plus au téléphone également à ses équipiers, il a donc fait comprendre à tous qu’il avait tourné le dos au Monde Interiste ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Bento Matheus Krepski, gardien de but de l'Athletico Paranaense en 1999, était et reste une cible de l'Inter Milan. "Ce n'est pas seulement un été d'amour : le nom de Bento continue d'être écrit (en gras et à la vue de tous...) dans les carnets de notes des dirigeants nerazzurri". C'est ainsi que s'ouvre l'article du Corriere dello Sport sur l'intérêt de l'Inter pour Bento, le gardien de l'Athletico Paranaense de 1999. Durant l'été, les négociations semblaient en bonne voie avant que le club brésilien n'élève le mur, réduisant à néant toute possibilité de transfert.’’ "Le Viale Liberazione a une nouvelle fois changé de cible en prenant Audero en prêt à la Sampdoria. Le "dossier" Bento, cependant, comme indiqué, est toujours ouvert. La société nerazzurri, en effet, est convaincue qu'il peut recueillir l'héritage de Julio Cesar, pour son passeport, mais aussi d'Onana, pour son habileté au pied et sa vision du jeu. En résumé, il est déjà décidé qu'un nouvel assaut sera lancé dans les prochains mois. Cela pourrait se faire dès le mois de décembre, mais avec la perspective de parfaire l'atterrissage chez les Nerazzurri l'été prochain. Ou alors, tout sera reporté au printemps, mais avec le même horizon temporel", souligne Tuttosport, qui précise toutefois que l'opération est loin d'être facile, étant donné que l'Athletico Paranaense compte sur la clause de 60 millions d'euros et sur l'expiration du contrat en 2026.’’ ‘’Le journal ajoute ensuite que l'opération Bento ne signifie pas un manque de confiance envers Sommer : "Au contraire, le numéro un suisse s'est rapidement intégré et a été l'un des facteurs d'une défense qui s'est comportée au plus haut niveau jusqu'à présent, à l'exception de la dernière sortie contre Bologne. Il est vrai qu'il y a eu l'"incident" avec Sassuolo, mais Sommer a été crucial surtout en Ligue des champions, contre la Real Sociedad et Benfica. Cependant, il ne faut pas oublier qu'il aura 35 ans le 17 décembre et qu'il est donc nécessaire de penser aussi à l'avenir". ®Jean Idriss – Internazionale.fr
  8. Et, si finalement et comme il en a l'habitude, Giuseppe Marotta a su flairer le double bon coup ? A savoir recruter un joueur qui en a encore sous le pied tout en libérant, à prix d'or, un joueur sur la pente descendante ? Cette thématique a été passé en revue par la Gazzetta Dello Sport qui s'est penchée sur la situation entourant Yann Sommer et André Onana "Dans l'équipe de l'Inter qui s'est pris les pieds dans le tapis, mais qui a quand même fait match nul, au San Sebastian contre la Real Sociedad, Yann Sommer a été l'un des rares à se sauver. Arrivé cet été pour remplacer Onana, il était très certainement le meilleur joueur sur le terrain et, petit à petit, au son de sesarrêts, il est en train de balayer les doutes sur sa valeur." "Tous les Interistes ou presque ont, durant l'été, évoqué la vente d'André Onana à Manchester United: Un acte qui s'imposait sur le plan financier étant donné que le gardien camerounais, était arrivé gratuit en 2022 en provenance de l'Ajax Amsterdam. Celui-ci a d'ailleurs été vendu pour 52 millions et demi d'euros, plus 5 de bonus, ce qui représente ue gigantesque et réelle plus-value qui a permis à l'Inter de financer aussi bien son Mercato que de redresser ses comptes." "Pour le remplacer, Marotta et Ausilio ont donc acheté Yann Sommer au Bayern Munich pour 6 millions d'euros et une pluie de critique: Vieux car âgé de 34 ans, petit car il mesure 1,83 mètre, une taille inadéquate pour un gardien de la génération actuelle. Mais le football est étrange et ce qui ressemblait à un "déclassement", à la lumière de la première journée de la nouvelle Ligue des Champions, est devenue une amélioration." "Car Onana, lors de Bayern Munich-Manchester United 4-3, a commis une nouvelle erreur en cette première partie de saison tandis que Sommer, au San Sebastian contre la Real Sociedad, a maintenu l'Inter dans le match avec au moins deux interventions décisives et remarquables, et au final, Lautaro a égalisé" "C'est pourquoi on peut dire aujourd'hui que l'Inter a gagné en passant d'André Onana à Yann Sommer: Onana a déjà encaissé 14 buts, dont 10 en championnat et 4 en Coupe d'Europe, soit plus de deux buts par match en moyenne. Et si ce n'est pas entièrement de sa faute, Manchester United étant décevant jusqu'à présent, Onana semble être redevenu le gardien de but qui alternait les hauts et les bas comme cela était visible du temps de l'Ajax." "Lors de sa saison à l'Inter, il avait atteint une fiabilité qu'il semble avoir immédiatement perdue en quittant Milan. Sommer, contrairement à Onana, peut afficher des statistiques flatteuses. En cette première partie de saison, il n'a encaissé que 2 buts en 5 matches, 4 de Serie A et 1 en Ligue des Champions." "En championnat, il n'a été battu par Leao, dans le Derby remporté par l'Inter 5-1. En Europe, il a été battu par Mendez, suite à une erreur de Bastoni à la relance et Sommer ne peut être blâmé pour aucun des deux buts. Sur celui en Espagne, il n'y a pas de responsabilité, sur celui contre l'Ac Milan, on peut peut-être chercher la petite bête car le ballon est passé sous son gant gauche, mais il pleuvait, le terrain était lourd et le tir puissant." "L'impact de Sommer à l'Inter est important car nous parlons d'un gardien qui a joué 291 fois en Bundesliga, 92 fois en Coupe d'Europe et 84 fois en équipe nationale Suisse". Pensez-vous que Marotta a de nouveau "Ken" la Premier League ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  9. Ces derniers jours, Samir Handanovic s’est livré à une interview, en toute franchise, à la Gazzetta Dello Sport . Son retour à l’Inter "Avant tout, j’ai arrêté de jouer et je suis en paix et heureux comme ça, je place ma Famille par-dessus-tout. A présent, le second chapitre de ma vie débute et je peux vous dire que le club et moi-même souhaitons continuer, ensemble dans un nouveau rôle et que toutes les conditions sont réunies pour que cela se produise. Au-delà de tout, je raisonne avec une vision toujours plus grande : Pour le bien de l’Inter." Samir l’entraineur ? "Cela peut vous sembler étrange au début, car je suis encore dans une bonne condition physique et que j’aurais pu faire une autre année, mais lorsqu’on fait le compte, c’est quelque chose de normal, je n’ai aucun regret et j’ai les idées claires : Tôt ou tard j’aimerais devenir entraîneur, mais pas celui des gardiens mais l’entraineur à 360°." Son rapport avec Onana "Ses remerciements m’ont fait plaisir, mais je n’ai pas aimé son comportement lors de ses deux premiers mois ici, lorsqu’il ne jouait pas. Ensuite, il m'a toujours dit la vérité, il a toujours été direct avec moi. J’ai toujours été cohérent avec lui et je l’ai même aidé. Mais personne n’a jamais dit que l’année dernière j’ai eu des blessures qui m’ont pénalisé : un poignet cassé, un doigt cassé et un mollet en tension. Mais j’étais toujours sur le banc, même si j’étais indisponible. Je ne me dresserais jamais contre le club, j’ai un sentiment d’appartenance envers le Club et envers les Tifosi." Captain Argentina "Lautaro a toutes les qualités, mais il doit être soutenu par un groupe de Leaders qui tirent la charrette dans le même sens que lui. Je fais référence au Bloc Italien qui connait bien la Serie A et l’ADN du Club, je me réfère à Nicolò Barella, Alessandro Bastoni, Matteo Darmian, et à Federico Dimarco”. Le Derby Della Madonnina "C’est le Derby le plus beau du Monde, Dans ces match, le Meazza propose une énergie unique, il te fait bouillir la pelouse et te fait tourner le vent : Tu peux être riche et célèbre, mais jamais rien ne te donnera ce frison: Celui d'être dans un Volcan en ébullition : Je le chérirai toute ma vie." L’Inter 2023/2024 "Marcus Thuram et Davide Frattesi sont d’excellents joueurs talentueux capable de s’insérer en toute facilité. L’Inter présente plus de certitude, comme je vous l’ai dit auparavant, nous avons construits des fondations solides, tous ensemble !" Sommer "Notre but est entre de bonnes mais: Sommer est un très bon gardien qui est très doué. Il y a aussi Audero qui est talentueux et qui a la juste ambitionne après tant d'années en Serie A. Être le gardien de l'Inter n'est pas un métier facile, seul le temps peut te permettre d'établir un jugement." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Arrivé à l'Inter en remplacement d'André Onana, Yann Sommer a du temps devant lui pour convaincre les Tifosi de la justesse de son choix. Dans une longue interview accordée à la Gazzetta Dello Sport, le gardien helvétique s'est livré sur les raisons de son arrivée chez la Bien-Aimée : "Car l'Inter, c'est... l'Inter. Elle signifie Tradition, Force et Excellence. Quand j'ai choisi les Nerazzurri, j'ai analysé toute la situation : L'entraîneur, l'entraîneur des gardiens, le style de jeu, le stade, les supporters, la vie dans la ville pour ma famille et j'ai compris que c'était l'endroit idéal pour moi." Aviez-vous peur que le transfert capote ? "Je n'ai jamais eu peur de ne pas venir, j'ai toujours été calme pendant les négociations. Je ne sais pas comment les choses se sont passées entre les deux clubs, mais je savais que je voulais l'Inter et j'étais confiant." Votre avis sur les gardiens du passé ? "De Julio Cesar à Francesco Toldo, en passant par Samir Handanovic et André Onana. A l'Inter, il y a toujours eu des gardiens forts et courageux et je veux aussi être à la hauteur. Avec Handanovic et Onana, je n'ai jamais échangé, ce sont deux gardiens avec des caractéristiques différentes, chacun d'entre nous a son propre style. En plus d'être gardien de but, j'aime jouer depuis l'arrière et être fondamental pour surmonter la ligne d'attaque de l'adversaire." Le Derby au Meazza "Le derby, c'est vraiment sérieux. Le Meazza un stade que j'aime déjà, excitant, bruyant, amusant, et beaucoup m'ont dit qu'il était unique. Les Derby sont tous spéciaux, mais celui-ci est unique vu la profondeur des deux équipes et pour sa profondeur de l'Italie. J'ai hâte de le jouer, ce sera un match passionnant, que tout le monde attend. Mais c'est une confrontation spéciale, unique qui arrive très tôt. Nous avons une longue saison devant nous et tout peut arriver. Il y a aussi d'autres rivaux pour le Scudetto, et comme je suis encore nouveau en Italie : je ne peux pas encore faire de prédictions et de classement". Thuram et Pavard ? "Marcus a un potentiel de classe mondiale et j'espère qu'il fera son chemin jusqu'ici. Il a un physique exceptionnel, de la technique et surtout de l'intelligence. Qu'il attaque en un contre un, qu'il joue en combinaison avec Lautaro ou qu'il s'arrête dans la surface, il est reste dangereux pour l'adversaire. La mentalité que lui a transmise son père est également importante, c'est aussi un bon garçon en dehors du terrain, toujours souriant et positif." "Benjamin est arrivé dans une équipe qui dispose déjà d'une grande défense, il est très complet, il sait lire les situations, il marque avec le ballon car il "voit" le but. Au Bayern, il occupait un poste plus latéral et maintenant il jouera dans un poste plus central dans un dispositif différent: Et c'est toujours bien d'avoir des joueurs capables de jouer dans autant de poste. S'il a choisi l'Inter, c'est parce que c'est un grand club." "La défense de l'Inter me donne un sentiment de sécurité. De Bastoni à Darmian, ils se déplacent tous comme un seul homme, ils sont compacts et savent trouver leur position. Leur langage corporel est également impressionnant. C'est un bel avantage pour un gardien de but, alors bien sûr, des tirs au but vont m'arriver et quand ce sera le cas, je vais devoir faire mon travail." Que craignez-vous du Milan ? "Tous les attaquants sont forts. Maintenant, je les étudie en détail, comme Leao, j'ai l'habitude de me préparer avec l'entraîneur via des vidéos pour essayer de lire toutes leurs occasions sur le terrain." Pensez-vous que ce qu'il s'est passé en Ligue des Champions la saison dernière peut se reproduire ? "La Ligue des champions est une compétition difficile pour tout le monde, elle est unique. Il faut réunir tous les éléments pour aller au bout : Il y a les petits détails, la forme du moment et même un peu de chance. L'année dernière, l'Inter a joué exceptionnellement bien et méritait d'aller la finale. Pourquoi ne pas répéter cette performance ?" Aimeriez-vous gagner avec autant de souffrance que vous l'avez fait l'année dernière en Bundesliga ? Est-ce que c'est plus beau ainsi ? "Tous les sportifs vivent pour ces sentiments que procure la victoire, qu'elle soit "tranquille" ou "mouvementée". La saison, au Bayern a été complexe et pleine de défis à surmonter , nous avions changé beaucoup de choses, de la Direction à l'entraîneur, et c'est ce qui nous a amené à vivre ce choc en in de saison." Pavard, comme vous, voulait absolument rejoindre l'Inter cet été... "Je dirais que c'est un bon signe, non ? Et cela ne m'a pas surpris. J'aurais peut-être pu être surpris avant de venir ici, mais maintenant que j'y suis, tout est clair : C'est vraiment un grand club". Au fait, est-ce que cette photo vous dit quelque chose ? (nous montrons l'image de Jorginho après l'un des deux penalties manqués contre lui) ? "Il rit. Tout le monde s'en moque de ces matches, et je jouais avec la Suisse ! J'en ai aussi paré un à Mbappé à l'Euro, dans un autre moment de grande pression pour nous deux! Un penalty est une question de sensations, de moments où il faut prendre la décision, c'est un défi mental et technique". Où avez-vous appris à jouer si bien de la guitare ? "À l'âge de 18 ans, j'ai suivi un cours avec un professeur, parce que j'avais besoin d'une autre passion, de faire quelque chose à la maison pour me déconnecter du monde et me détendre. Ma guitare est encore en Allemagne, mais elle arrivera bientôt à Milan, même si, avec deux enfants en bas âge, j'ai moins de temps qu'avant". Qui écoutez-vous en particulier ? "J'aime John Mayer et surtout Bruce Springsteen. Je n'ai pas encore réussi à assister à l'un de ses concerts. Cette année, à Zurich, il y a joué pendant trois heures : c'était incroyable. S'il vient au Meazza, je serai là". Vous avez aussi une autre grande passion: La cuisine ? "Il y a quelques années, j'ai même tenu un blog, mais mon intérêt était de montrer ce que mange un sportif de haut niveau. J'aime bien manger, goûter à tout, et disons que je suis dans le bon pays". ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  11. Moment particulièrement heureux pour l'Inter aussi bien sur le terrain que sur le plan financier. La Gazzetta dello Sport propose une première projection de ce que sera le budget du club pour la saison 2022-2023. La Rosea annonce qu'en Juillet l'UEFA a donné une bonne nouvelle aux Nerazzurri. En effet, elle a considéré que la direction avait respecté le settlement agreement signé il y a plus d'un an. En vue du Conseil d'administration et de l'assemblée générale prévue fin Octobre, on annonce que le passif du club Nerazzurri pour cette saison se situera autour de 80-85 millions d'Euros. Une grande part doit être attribuée aux recettes perçues de l'UEFA grâce à la finale de la Ligue des champions, une centaine de millions. À cela, il faut ajouter les 80 millions nets avec la billetterie et le nouveau record italien pour un seul match, avec une recette de plus de 12 millions bruts lors du match retour du derby de la Ligue des Champions contre Milan. Sans les couacs du désormais ancien sponsor de maillot DigitalBits, la situation aurait été encore meilleure. Cependant, la tendance Nerazzurri est encourageante parce qu'elle s'est aussi poursuivie lors du dernier mercato estival. La masse salariale a été réduite de 10 à 12% grâce aux départs de Romelu Lukaku (11 millions bruts), Edin Dzeko (12) et Marcelo Brozovic (12,5 millions). L'Inter a également atteint l'objectif fixé sur les plus-values grâce à l'arrivée d'André Onana (52,5 millions plus les bonus) et Brozovic (18 millions après que sa dépense ait été entièrement amortie). Le bilan entre opérations entrantes et sortantes est sensiblement en équilibre. Ces données suggèrent que les enjeux fixés dans le settlement agreement seront également respectés en 2023-2024, également grâce à la bonne contribution des revenus des sponsors. Et en parlant de nouveaux sponsors, avant le derby contre Milan, pourrait arriver l'annonce de la marque du dos du maillot. Traduction alex_j via FCInterNews.
  12. Notre légende Lothar Matthäus croit fermement au potentiel de cette nouvelle Inter et, à la Gazzetta dello Sport, il précise ses idées. Matthäus, cette belle Inter est-elle née des cendres d'Istanbul ? "Quelques erreurs en moins devant le but et désormais la Ligue des Champions serait à l'Inter. Il existe désormais une toute nouvelle équipe, plus fraîche, plus jeune et imprévisible qui peut répéter les mêmes résultats. Cependant, ce ne sera pas facile." Marcus Thuram va-t-il s'améliorer devant le but ? "A Mönchengladbach, il a bien sûr marqué. Vous l'avez déjà vu, il a tout, un physique et une technique de vitesse, et il est prêt à exploser dans une équipe de haut niveau. Mais pour moi, ce n'est pas un 9 traditionnel, plutôt un avant-centre. Marcus aime s'espacer, ne lui demander pas le travail de Lukaku dans la surface." D'ailleurs, surpris par la trahison estivale de Romelu ? "Dans le football, rien ne me surprend. Pour moi, Lukaku était et reste l'un des meilleurs attaquants du monde. Je l'aurais bien vu au Bayern aussi. Inzaghi avait une vision différente et le mettait toujours sur le banc. Le club a cependant fait des choix précis, en suivant la philosophie de l'entraîneur et en pensant à l'avenir, c'est pourquoi il est inutile de ressasser le passé." Sommer après Onana, l'Inter a-t-elle perdu ? "Il ne sera pas parmi les meilleurs au monde, mais vous pouvez parier sur Sommer. Sur le terrain, toujours concentré et avec son style, mais aussi en dehors, dans les vestiaires. Il est silencieux et calme. Disons qu'il est différent du Walter Zenga de mon époque..." Pavard, cependant, voulait avant tout l’Inter. "Les anciens managers, Salihamidzic et Kahn, lui ont promis de le laisser partir, puis tout a changé au Bayern, même l'entraîneur, et ils ont voulu le garder. D'où les problèmes dans les négociations mais ensuite, a force de volonté, Benji a gagné. Je le connais bien, c'est un joueur super professionnel. Au Bayern, il était dans une équipe forte mais il ne voulait plus être latéral comme avec Tuchel. Il se sent comme un défenseur central et l'Inter a fait bonne impression avec lui au centre." Le derby approche, par rapport aux demi-finales de Ligue des champions, le Milan a-t-il réduit l'écart ? "Milan a également fonctionné intelligemment sur le mercato et a très bien démarré. Ce sera un excellent derby, mais j'espère que l'écart restera et que l'Inter sera toujours devant... même de peu, même d'un but, un 1-0 subi. Sans la domination qu'ils avaient en Ligue des Champions, cela a suffi pour maintenir la suprématie dans la ville. Ensuite, pour le Scudetto, le défi est encore très long et tout peut arriver sur la durée." Traduction alex_j via FCInterNews.
  13. La liste des candidats au Ballon d’Or 2023 a été dévoilée et celle-ci a mis en avant trois joueurs Nerazzurro de la saison 2022-2023 : Nicolò Barella et Lautaro Martinez, toujours présent cette saison, mais également André Onana qui a rejoint Manchester United. "Nous sommes fier de vous" Notre Club, très fier de cette reconnaissance s’est livré sur Twitter et sur son site officiel: "Le milieu de terrain italien et l’attaquant argentin ont été les protagonistes d’une très grande saison sous le maillot de l’Inter. Une saison au cours de laquelle l’équipe de Simone Inzaghi a disputé la Finale de la Ligue des Champions à Istanbul." "Une saison ou deux coupes ont été brandie : La Super Coupe d’Italie remportée à Riyadh 3-0 face au Milan et la Coupe d’Italie remportée à Rome contre la Fiorentina." "Lautaro a également atteint l’objectif extraordinaire d’être auréolé du titre de Champion du Monde avec l’Argentine lors du Mondial qatari. Nicolò, lui, a été primé comme Meilleur Milieu de terrain 2022/2023 par la Lega Serie A." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Une version "2.0" qui pourrait rimer avec le "20"ème Scudetto, car l’Inter a débuté de la meilleure des manières cette nouvelle saison, avec tout le sérieux que l’on peut attendre d’un Vice-Champion d’Europe! Voici l’analyse de la Gazzetta Dello Sport qui fait suite aux trois victoire en trois matchs et une première place en compagnie du Milan avec le maximum de points avant le Derby de la Madonnina de la reprise: "L'Inter n'a pas encaissé de but en trois journées, ce qui ne lui était plus arrivé depuis 57 ans, avec Helenio Herrera assis sur le banc. De plus, personne d'autre dans le Big 5 des meilleurs championnats européen n'a réussi à faire la même chose. Simone Inzaghi peut par-dessus tout être satisfait de la façon dont l'Inter se défend car elle n’est jamais placée dans une situation de crise, jamais mise en difficulté et Yann Sommer en est le premier reconnaissant, lui qui peut se sentir comme au Paradis dans la cage de l’Inter." "Ce zéro est savoureux car il gomme les doutes, il rassure: Lors de la tournée estivale, et alors que la tournée au Japon battait son plein, l'entraîneur et le club ont tenu à comprendre où investir la majeure partie des fonds restants. Et l'idée qui est ressortie très clairement de cette réunion était la suivante : "Nous avons besoin d'un défenseur. Nous devons nous occuper de cet aspect, parce que par caractéristiques, nous sommes une équipe qui n'aura jamais de problèmes pour marquer des buts". C’est pour cette raison que Benjamin Pavard est arrivé, avec un investissement de 30 millions d'euros." "Mais le travail va au-delà du Français, qui n'a d'ailleurs jamais été vu sur le terrain jusqu'à présent. Il va même au-delà d'Acerbi, le meilleur joueur de ce secteur la saison dernière, aujourd'hui encore à zéro minute de jeu à cause d'une blessure: Le travail est global, l’Inter différente car elle a changé sa façon de jouer par rapport à la saison dernière." "Et les différences ont également profité à sa phase défensive. L'Inter a très vite appris à attaquer l'adversaire en haussant son pressing. L’année dernière, lorsqu’elle avait tenté de le faire, elle n’y était pas parvenue lors de la première partie de la saison, mais aujourd'hui, le timing est parfait, le pressing est exercé en équipe et, sans surprise, avec une récupération du ballon est beaucoup plus importante et surtout, cela marche et la défense n’est presque jamais en difficulté." "L'autre clé réside dans le travail réalisé les milieux de terrain. Car même si l'équipe adverse parvient à surmonter cette première phase de pression, l'écran de protection offert par Çalhanoğlu et ses compagnons est remarquable et ce n'est pas un hasard si nous parlons de Çalhanoğlu : Sa qualité de construction du jeu ne fait l'objet d'aucun doute et ce début de saison met en évidence une capacité de couverture surprenante et pas seulement au niveau de ses tacles, pas uniquement dans les contre-attaques : l'ancien joueur du Milan se montre également exceptionnel dans la lecture des lignes de passe adverses." "Il y a finalement les individualités tel que Darmian qui est un véritable ordinateur de fiabilité : Pavard aura vraiment du mal à prendre sa place. De Vrij est redevenu le défenseur du Scudetto sous Conte, physiquement en forme, mentalement toujours sur le ballon. Et enfin Bastoni, n'a jamais baissé son niveau de concentration et a également progressé en termes de marquage." "Sans oublier le lourd héritage dont hérite Yann Sommer, un héritage qu’il a repris avec l'aisance des plus grands. Son nom n'est peut-être pas celui des couvertures de presse et son style n'attire pas l'œil des photographes. Mais derrière l'invincibilité de l'Inter lors des trois premières rencontre, on retrouve également le gardien suisse qui a été le Visage du cauchemar du dernier échec mondial de notre équipe nationale pour nous, les Tifosi." "Après le bref règne d'André Onana, il semblait difficile de trouver un nouveau numéro un capable de se mettre immédiatement au diapason de cet environnement et auprès des Tifosi, mais Yann Sommer a réussi le faire à sa manière : avec discrétion et travail. Yann a déjà convaincu le monde Nerazzurro en trois matches. A Cagliari, il a démontré l’étendue de son talent pour parer le tir d’Azzi, contre la Fiorentina, il a bloqué Sottil à deux reprises." "Derrière la Muraille défensive l'Inter présente un nouveau gardien, expérimenté et fiable: Et ce n'était pas gagné d'avance" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. C'est l'information de la Gazzetta Dello Sport: "L’Inter veut en terminer avec la thématique du gardien de but aujourd'hui et, si aucune nouvelle de l’Allemagne n’arrive, elle paiera la clause libératoire de six millions d'euros." Le Bayern ne cesse de temporiser sur Sommer "car les Allemands ont un problème pour trouver son remplaçant" mais ceux-ci prennent tout leur temps. "L’Inter a attendu, pour essayer d’économiser quelques millions d'euros sur la valeur de la clause libératoire de Sommer, qui est fixée à 6 millions d'euros, mais également pour ne pas ruiner les relations diplomatiques avec un club historiquement proche comme le Bayern." Toutefois, l'Inter ne peut plus attendre: "Avec l’accord de Sommer, et en l’absence de toute nouvelle aujourd’hui, le club de Steven Zhang annoncera son intention d'activer la clause: Il n’y aura pas donc plus besoin de négocier et les six millions d'euros seront versés au Bayern, avec un Yann Sommer prêt à débarquer à Milan." L’affaire devrait être conclue aujourd’hui, au plus tard demain "Mais on n’attendra pas plus: Pour les examens médicaux, par contre, on devra attendre le début de la semaine prochaine, car rien n'avait été programmé hier soir." Quoiqu'il arrive, Simone Inzaghi aura donc enfin le remplaçant d’André Onana ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. C’est l’analyse de la Gazzetta Dello Sport : "Après avoir atteint la Finale de la Ligue des Champions, l’Inter, malgré le départ de nombreux "Bigs", s’est construite avec l’objectif d’exceller en Italie et de remporter le Scudetto, après deux années "à sec" "Il n’y a pas de place au doute ou à l’incertitude : Le Scudetto est l’objectif déclaré par le Club, qui l’a annoncé dès le début de la Conférence de presse de la présaison, un concept répété par le Président Steven Zhang également durant la tournée au Japon, où il a démontré son désir de faire le Bis, après le Tricolore obtenu en 2020-2021 et chaque décision a été prise dans l’optique du Scudetto." "Si le Club a décidé de rajeunir son noyau, il y a tout de même inséré des éléments qui présente la "Certification" de l’expérience en la Serie A : Davide Frattesi, Juan Cuadrado, Lazar Samardzic et également Gianluca Scamacca, dont la négociation a très bien avancée. Il y a également l’insertion d’éléments en provenance de l’étranger : Marcus Thuram, Yann Sommer, qui est attendu pour ce samedi et également Yann Aurel Bisseck. Il ne s’agira donc pas d’une année de transition ou de reconstruction, c’est certain et ce même si des éléments de valeur, des personnalités charismatiques et d’expérience comme André Onana, Milan Skriniar, Marcelo Brozovic, Romelu Lukaku et Edin Dzeko ont fait leurs valises." "Suning n’a plus la capacité de dépenser comme en 2019 lorsqu’il avait enrôlé Antonio Conte accompagné d’une campagne de recrutement somptueuse et la Pandémie n’avait pas encore frappé. Mais cela ne veut également pas dire que Zhang, même s’il doit veilleur étroitement sur les comptes, ne fait pas tout son possible pour l’emporter. Il a également demandé un effort supplémentaire à Giuseppe Marotta, à Piero Ausilio et à Dario Baccin au niveau des idées à présenter en faisant preuve d’ingéniosité car dès le 2 septembre, le Mercato aura fermé ses portes et ce "poids" sera reporté sur les épaules de Simone Inzaghi qui partira à la conquête du premier Tricolore de sa carrière. "L’Inter visera la Seconde Etoile, mais sans sacrifier les autres compétitions et plus particulièrement la Ligue des Champions où elle se présentera en qualité de finaliste d’Istanbul. L’Objectif déclaré du Scudetto servira aussi à éviter que tout à chacun ne pense trop aux impératifs liés à l’Euro comme cela s’était passé jusqu’en février dernier." "Lors des deux dernières saisons, la salle des Titres de la Viale Della Liberazione s’est enrichie de quatre trophées : Deux Coupes d’Italie et Deux Super Coupes d’Italie et le parcours européen a été à la hauteur du Prestige du Club, mais la Propriété et la Direction gardent, en travers, la perte du Scudetto dans le duel face au Milan lors de la saison 2021-2022 et le départ manqué dans la course au titre de la saison écoulée." Validez-vous le projet de Suning dont le comportement est aux antipodes de celui de Nenking, qui a coulé un FC Sochaux-Montbéliard au bord de la faillite ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. C’est une confirmation en provenance du Corriere Della Sera : Ces dernières heures, il a été fait état d’un possible rapprochement entre le gardien Champion du Monde et le Club Nerazzurro orphelin d’André Onana et de Samir Handanovic "En réalité, Martinez a été proposé par des intermédiaires à Giuseppe Marotta et Piero Ausilio qui considèrent Sommer comme la cible numéro un. L'espoir est de conclure l'accord rapidement afin qu'il puisse se passer du camp d'entraînement japonais du Bayern à celui de l'Inter" De plus, comme le confirme également le Corriere Dello Sport, si transfert il devrait y avoir lieu, cela devrait se faire dans de "bonnes conditions pour l’Inter : Car si la demande d'Aston Villa s'élève à environ 30 millions d’euros, il est clair qu'il n'y aura pas de marge de négociation possible." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. Voici les mots de Massimo Moratti déclarés à sportpaper.it. Concernant la situation liée à Romelu Lukaku. "Je ne m'attendais absolument pas à une telle situation, j'ai été très surpris. C'est normal que la Juventus le veuille, diminuer l'Inter est l'un des objectifs des Bianconeri! Les supporters sont à juste titre en colère contre la décision de Lukaku, précisément parce que c'était sa décision, cela a surpris et agacé les supporters." De nombreux noms sont évoqués pour l'attaque de l'Inter, qui aimeriez-vous ? "Je n'ai pas de préférences. Beaucoup dépendra de la volonté et des besoins de l'entraîneur. Très probablement, un attaquant sera choisi qui sera utile pour manœuvrer. Il sera certainement difficile de trouver un attaquant avec les caractéristiques de Lukaku." Un footballeur avec les caractéristiques d'Icardi ? "Cela faisait un moment que je n'avais pas vu jouer l'Argentin, si je revoyais le Icardi d'autrefois, je l'aurais certainement pris." L'Inter avait-elle raison de vendre Onana ? "Malheureusement, dans le football d'aujourd'hui, l'aspect économique compte beaucoup. Ce sont des situations plus liées à l'économique qu'à la technique." Que pensez-vous de la Roma de Mourinho ? "Mourinho a déjà beaucoup fait, certainement la quatrième place serait réalisable avec un attaquant de niveau comme Morata ou Scamacca. L'ancien joueur de Sassuolo pourrait beaucoup grandir avec Mou. Morata est expérimenté et peut peut-être être plus utile à l'équipe." Un regard sur le passé, renverriez-vous Ronaldo au lieu de Cuper ? "Après les années, je peux dire que je ne pense pas que ce soit un départ lié à Cuper. Après les graves blessures subies, je pense que Ronaldo voulait changer de décor. Je le répète, je ne pense pas que Ronnie ait choisi de partir à cause de la venue de Cuper. De plus le Brésilien me connaissait bien et savait que les entraîneurs ne duraient pas longtemps avec moi. (rires)" Traduction alex_j viaFCInterNews.
  19. Ces prochains jours, voire même ses prochaines heures pourraient s’avérer cruciale pour l’Inter : André Onana étant sur le point d’être cédé au profit de Yann Sommer, tandis que Robin Gosens est tout proche d’un départ en Allemagne "L'Inter a vendu Onana à United : Les négociations sont dans la dernière ligne droite car les parties sont très proches, United est monté à 50 millions d’euros et l'Inter est descendue à 55 millions d’euros, ce n'est plus qu'une question de bonus maintenant pour combler cette petite différence. Cela aura lieu vendredi ou lundi, mais Onana sera un joueur de United." "Les négociations pour Sommer et Trubin peuvent commencer maintenant. Ausilio et Baccin avancent déjà depuis ce jeudi ce soir pour Sommer et Trubin. Pour le Suisse, il y a une clause libératoire de 6 millions d’euros, l'Inter espère payer encore moins avec des bonus, sinon ils paieront la clause." L'autre opération un peu plus difficile est pour Trubin, l’Inter est prête à offrir 10 millions plus des bonus pour l'obtenir, à voir si cela suffira. Ils investiraient donc 15 à 16 millions d'euros de la vente d'Onana pour obtenir les deux gardiens et le reste de la trésorerie serait investi pour ramener Lukaku chez les Nerazzurri". "Un autre joueur est en partance : Robin Gosens. Celui-ci est déjà tombé d’accord avec Wolfsburg, il ne manque celui entre les clubs, l'Inter demande 18 millions d'euros. Pour l'instant le club allemand n'a pas encore proposé la somme demandée mais les négociations vont seulement avoir lieu" "Bien qu'il n'y ait pas encore d'accord entre les deux clubs, Gosens dispose déjà d’un accord économique avec Wolfsburg, sur la base d'un contrat de cinq ans"" Enfin un peu d’animation ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. André Onana devrait partir pour Manchester United. Calcio e Finanza nous donne tous les chiffres. La fumée blanche entre l'Inter et Manchester United pour la vente d'Onana est attendue ce lundi selon Sky Sport. Les derniers détails du contrat du joueur avec le club anglais sont en cours de règlement. Il ne manque que le dernier "ok" d'Onana. Concernant les chiffres, Calcio e Finanza nous dit tout. Selon les chiffres diffusés ces derniers jours, le gardien devrait partir pour environ 50 ou 55 millions d'euros plus les bonus. Considérant que le coût brut d'Onana est égal à 1,9 millions euros, après une saison sa valeur nette au bilan est égale à un peu plus 1,55 million d'euros. De plus, le Camerounais étant arrivé à Milan en tant qu'agent libre donc sans frais, ses adieux rapporteraient une plus-value quasi totale au budget des Nerazzurri. S'il était vendu pour 50 millions, la plus-value serait égale à 48,45 millions d'euros, alors que s'il était vendu pour 55 millions, la plus-value passerait à 53,45 millions d'euros. C&F souligne également qu'en cas d'adieu, il y aurait un allégement de la masse salariale de 4,3 millions d'euros en 2023-2024, entre salaire brut et amortissements. Mais ce n'est pas tout. Malgré l'unique saison avec les Nerazzurri, l'Inter aurait quand même dû bénéficier des avantages fiscaux du Décret Croissance pour Onana. Considérant qu'il avait déjà effectué ses tests médicaux bien avant le 30 juin 2022 et qu'il était déjà certain d'arriver en Italie, il est probable qu'il a déménagé avant le 1er juillet (date limite pour être considéré comme résident fiscal pour l'année civile). De même, au-delà du 1er juillet, Onana est également considéré comme résident pour 2023, de manière à couvrir les deux années nécessaires aux concessions. Si tel devait être le cas, la plus-value totale que sa vente générerait serait comprise entre 52,7 et 57,7 millions d'euros. Traduction alex_j via FCInterNews.
  21. ....Possible pour Il Giornale qui nous détaille ce qu'il devrait très prochainement arriver: "La partance d'André Onana donnera un coup d'accélérateur décisif à l'opération Lukaku 3.0." Sur la table, on retrouve déjà l'assiette 35 millions d'euros, même si Chelsea veut plus : "La sensation est qu'il faudra une nouvelle augmentation, autour de 38 millions au moins, de la part des Nerazzurri pour voir Big Rom revenir à Milan dans les prochains jours" Un dénouement obligatoire avant ce lundi! Pour le quotidien anglais le Standard, "Romelu Lukaku, Hakim Ziyech et Pierre-Emerick Aubameyang ne devraient pas faire partie du groupe des Blues, bien qu'ils aient été invités à reprendre l'entraînement le lundi 17 juillet. En fait, les Blues espèrent pouvoir vendre ces joueurs avant cette date : Les discussions avec l'Inter pour Big Rom se poursuivent donc "malgré une déception suite à la dernière offre des Nerazzurri"." Cette catin de Juve a de son côté proposé 37,5M€ + 2,5M€ de bonus....une vraie sal..e! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  22. C’est l’information brulante de la journée, selon le quotient hollandais De Telegraaf, la fumée blanche serait de sortie : "Onana va passer de l’Inter à Manchester United pour environ 55 millions d’euros. Le Camerounais va parapher, à Old Trafford, un contrat quinquennal ou un quadriennal accompagné d’une option pour une année supplémentaire." "Onana va retrouver Erik Ten Hag, avec lequel il a évolué, avec succès, à l’Ajax." A confirmer…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Il n'est pas encore officiellement parti, qu'André Onana a déjà fixé un rendez-vous aux Tifosi Nerazzurri présent au stage de mise au vert de l'Inter Matteo Barzaghi, le journaliste Sky se trouve en ce moment à l'extérieur de la Pinetina, et il s'est exprimé sur ce départ imminent: "Aujourd'hui, tous les regards étaient tournés vers André, qui était déjà là à 9h20. Les Tifosi lui ont demandé de rester, bien sûr." "Il est bien sur heureux de pouvoir aller à United où il aura aussi une amélioration économique, mais il est un peu triste parce qu'à Milan il s'est très bien entendu avec tout le monde, en remportant deux Coupes et en disputant la Finale de la Ligue des Champions. Il y a connu des sensations fantastique avec tout le monde, la ville, le club et les joueurs. Et dans un avenir plus lointain, il espère également revenir, selon ses propres propos." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  24. La conférence de presse lançant la saison 2023-2024 s’est tenu ce mercredi 12 juillet soir à 18h00. Celle-ci a vu Giuseppe Marotta et Simone Inzaghi se livrer ouvertement sur l’objectif de la saison : Le Scudetto de la Seconde Etoile Giuseppe Marotta : Des joueurs qui aiment l’Inter Le Calcio "Il s’est passé environ un mois depuis la fin de la saison écoulée qui a vu le Calcio se montrer à nouveau protagoniste avec 3 finales européennes et 5 demi-finalistes. Nous sommes revenus à un poste de grande crédibilité, mais l’écart des recettes des droits télés ne fait que croitre.Une négociation est en cours avec les diffuseurs, je crois en une issue positive." "II y a aussi d’autres difficultés bureaucratiques: L’Italie éclaire l'avant-scène dans l’établissement des codes pour les bâtiments, pour rendre difficile la constructions des stades et pour faire preuve de carence au niveau des structures pour les jeunes. Un autre aspect important à considérer est les capitaux de l’Arabie Saoudite qui peuvent ébranler la nature du football, aussi l’Italien. D’un autre côté, cela vous donne aussi l’opportunité de percevoir des recettes à réinvestir. Mon espoir est qu’Abodi puisse être accompagné dans le processus de réforme du mouvement footballistique italien." Les mérites d’Inzaghi "La saison dernière a été contradictoire, en plus de la Finale d’Istanbul, nous avons aussi remporté deux trophées et le mérite en revient à l’entraineur qui a fait face à des critiques assez sévère, elle a été influencée aussi par la trêve forcée pour la Coupe du Monde. Nous nous sommes bien repris lors de sa phase finale et nous sommes parvenu à conquérir méritoirement une place en Ligue des Champions." "Tout cela est un motif de fierté : Être vice-champion d’Europe est également un autre motif de fierté : L’année qui débute devra être stimulante pour faire de belles choses." Le Mercato "Dans une campagne de recrutement, notre très bravissimme Directeur Sportif Piero Ausilio travaille en étroite collaboration avec Baccin et Inzaghi, dans le respect de la ligne de conduite dictée par la Propriété. Ces dernières années, la Direction a su démontrer que, même sans procéder à de grands investissements, qu’il était possible de parvenir à composer des équipes importantes." "Il reste encore 40 jours d’ici à son terme et il y a encore tant à faire : Ce qui est certain, c’est que nous chercherons à construire une équipe compétitive, avec des connotations aussi différentes comparées à celle du passé avec des jeunes joueurs qui pourront aussi apporter leur contribution à l’équipe nationale." Love Inter "L’Inter sera compétitive, c’est ce que nous voulons : Nous sommes vraiment une belle équipe directionnelle qui aime l’Inter : Je tiens à remercier nos Tifosi qui nous ont toujours accompagné. Le remerciement le plus important doit être fait à la Propriété qui, même dans les difficultés, ne nous a jamais laissé sans ressources afin que notre travail puisse être finalisé. Je remercie aussi Antonello qui est en charge des activités sportives du Club : J’espère que la saison à venir nous régalera de satisfaction." Simone Inzaghi : Nous avons le devoir de remporter la Seconde Etoile Avec quel état d’esprit reprenez-vous ? "Il y a tant d’envie, nous avons vécu une longue saison : 57 matchs, une saison longue et intense composé d’enthousiasme différents car fait de victoire et de titre : Il y a eu des périodes difficiles et l’ensemble du Monde Interiste a été bon pour se compacter et pour en ressortir une saison riche de satisfaction. Je reprends avec l’envie de parvenir à une saison également pleine de satisfaction." Objectif Scudetto ? "Clairement oui, mon idée et l’Adn de l’Inter est la Victoire, c’est le grand objectif, cela ne me convient pas d’y participer avec l’étiquette de favori : Nous sommes l’Inter et nous avons le devoir de remporter la Seconde Etoile, nous y mettrons toutes nos forces. Il y aura de nombreuses équipes en course, mais nous nous y efforcerons." Vous en êtes à votre troisième année… "C’est un motif de grande fierté, je remercie le club et les joueurs qui m’ont aidé au cours de ces deux années, nous avions tant de défis important devant nous, notre parcours en coupe a été presque parfait car nous nous sommes inclinés face à Liverpool et face à City. En championnat, nous sommes arrivé à la troisième place, nous nous devons de faire mieux." Que signifierait le retour de Lukaku à Milan ? Un commentaire sur le Mercato ? "Je suis en parfaite syntonie avec cette Direction qui a toujours été à mes côtés, avec le Président, il y a également cette grandissime harmonie. Nous sommes au travail, il s’agit d’un mercato difficile mais j’estime que nous l’opérons de la meilleure des façons possible : Nous connaissons tous Frattesi et Thuram et Bisseck vient à peine d’en finir avec l’Euro U-21." "Lukaku est un joueur d’une autre équipe et nous savons ce qu’il représente et ce qu’il nous a apporté lors du finale de la saison : Je me suis battu pour le faire revenir la saison dernière, nous aimerions le faire à nouveau cette année, il appartient à un autre club et nous verrons ce que nous pouvons faire." Très prochainement, vous partiez en Tournée, quand est-ce que votre équipe sera au grand complet ? "Cela aurait été un rêve : Il reste 50 jours d’ici à la fin du mercato et j’ai conscience que cela changera encore énormément. Il y a de l’espérance et elle est importantissime en cette première phase de travail, mais le mercato reste imprévisible : Un mercato ouvert ne nous aide pas, nous les entraineurs, mais nous en avons l’habitude." Pouvez-vous déclarer que l’Inter joue la Ligue des Champions pour la gagner ? "Nous avons démontré qu’il n’y avait pas un si grand écart avec City, nous avons joué à armes égales mais nous nous sommes inclinés : Nous avons tenu tête à l’équipe la plus forte d’Europe. Lors de ces deux dernières années, nous avons énormément travaillé, nous avons connu un long parcours. Nous connaissons l’Histoire des dix dernières années qu’a connu l’Inter et lors de ces deux dernières saisons, nous nous sommes améliorés. Nous savons que cela sera difficile de nous reconfirmer en Ligue des Champions, mais il y a de l’espoir et de l’envie." Le départ de Brozovic peut-il poser un problème ? "Je ferai un discours général pour tous ceux qui ne sont plus là : Ils ont écrit l’Histoire de l’Inter, d’Handanovic à Bellanova, ils ont toujours fait de très belles choses. Avec la Direction, nous avons choisi de rajeunir l’équipe : Nous avons perdu des joueurs importantissimes mais d’autres arriveront. Notre espoir à tous est que les nouveaux arrivants feront tout aussi bien." Le Turnover s’est avéré efficace l’année dernière, repartirez-vous sur les mêmes base l’année prochaine ? "Clairement, cette année, nous savons qu’il n’y aura plus la trêve pour la Coupe du Monde et qu'il n’y aura qu’une seule journée en milieu de semaine, mais nous aurons les Coupes. J’aurai besoin de tous les joueurs. J’ai eu besoin de tout le monde de début avril jusqu’à Istanbul, je me souhaite que tous pourront répondre présent." Vous débutez la saison en étant en fin de contrat… "Le club connait ma pensée : Ce qui prime pour moi c’est le terrain, j’ai exprimé le fond de ma pensée au Club et au Président : Je suis très serein." Lautaro sera-t ’il le Capitaine ? "Je dois encore en parler avec l’équipe." Le calendrier est bon, à quel point est-ce important de bien débuter ? "Il sera fondamental de mieux démarrer que la saison dernière, j’ai regardé le calendrier, mais sans plus, les deux derniers mois que nous avions connu aurait dû être les plus difficile et sans notre défaite face au Napoli, nous aurions récolté le maximum de point. Le début de la saison semble assez soft mais toutes les rencontres du championnat réservent des surprises." Est-ce qu’il y a une auto-estime supérieure comparée à la saison écoulée ? "Oui, il y a tellement plus de confiance en soi comparé à la saison précédente. Mais même là, le parcours de l’année précédente en Ligue des Champions, nous avait apporté de l’auto-estime car nous avions affronté le Real Madrid et Liverpool qui se sont ensuite rencontré en Finale et nous avions joué les deux à armes égales." Que perdrait l’Inter avec le départ d’Onana ? "Nous parlons d’Onana qui est un joueur de l’Inter et il sera convoqué demain au stage de présaison. Le mercato est imprévisible et nous savons tous que toutes les équipes italiennes doivent vendre, en premier, avant d’acheter. C’est risqué mais je suis serein : La propriété et le Club m’ont assuré que l’Inter sera compétitive. Nous en avions déjà discuté lors de notre réunion d’avant-mercato." "L’important est que l’Inter soit compétitive comme lors de ces deux dernières années, nous avons connu des problèmes Post-Covid, mais nous avons réalisé des mercato intelligents et nous avons vu à quel point ils étaient positifs." ESPN vous a nommé dans le Top 10 au niveau Mondial : Quel effet cela vous a-t ’il fait ? "Cela m’a fait énormément plaisir, j’espère pouvoir grignoter d’autres places dans le futur." Avez-vous envie de régler vos comptes ? "Non, je n’ai rien à redire: Je pense au terrain, au travail et je chercher à travailler du mieux possible pour mon Club. Chaque entraineur a son propre parcours, sa propre histoire, je me sens bien ici avec le Club, avec les Tifosi, je cherche sur cette voie." Croyez-vous encore en Correa ? "Oui, les joueurs que j’entraine sont les meilleurs du monde et je pense que c’est le cas pour chaque entraineur : Correa est un excellent joueur, il n’a pas répondu présent comme on aurait pu s’y attendre, mais j’ai une confiance maximale en lui : Il est capable de faire mieux et bien plus, je l’ai entrainé et je connais ses qualités." Qui selon vous peut vous défier dans la Course au Scudetto ? "Il y a tellement d’envie de reprendre la compétition, c’est difficile d’établir un classement, le Napoli a réalisé un parcours extraordinaire, mais nous voulons être compétitif, notre désir est de remporter la Seconde étoile, les Tifosi en rêve depuis des années et j’espère pouvoir leur offrir cette satisfaction." A choisir : Remporter le Scudetto ou jouer une nouvelle Finale de Ligue des Champions ? "C’est une demande difficile. Même si l’année dernière nous n’avons pas remporté le Scudetto, c’était une saison incroyable, composée de nuits incroyable vécues avec les Tifosi. Après Istanbul, j’ai embrassé tous les joueurs, c’était comme-ci nous l’avions emporté nous." Auriez-vous aimé entrainer Milinkovic-Savic? "Je ne m’exprimerai pas sur les choix personnels, je l’ai entrainé à la Lazio et il a de très grandes qualités, une habilité technique, de la force physique et c’est un très grandissime joueur, il a choisi de partir en Arabie et il aura aussi le temps de revenir en Europe." Quelle Inter est en train de naitre et qu’attendez-vous du Mercato ? "Nous avons conscience qu’il y a des cases à combler, nous sommes en parfaite harmonie, nous composerons une équipe de 20 joueurs plus 3 gardiens, avec 3-4 jeunes fixes avec nous. Il nous manque encore un milieu et Çalhanoğlu et Asllani seront nos deux PlayMaker, nous devrons être bons et nous améliorer. Avec Bastoni, Acerbi, De Vrij, Bisseck et Darmian, il nous manque encore un homme dans ce secteur." Avec le départ d’Onana, les gardiens qui arriveront devront-ils présenter les mêmes habilités techniques ? "Le gardien devra être bon techniquement, nous verrons si nous pourrons en trouver plus d'un. Ces deux dernières années, d'abord avec Samir, puis avec Onana, nous avons eu des gardiens avec de très bons dribbles. Ce sera à nouveau le cas" Avez-vous l’intention de lancer quelque jeunes de la Primavera ? "Carboni sera avec nous, il fera la mise au vert avec nous: Il a déjà fait ses débuts et a énormément muri. Zanotti a aussi joué l’année dernière et il est maintenant parti en prêt. Il y aura d’autres jeunes qui seront ajoutés: A eux de prouver qu’ils méritent d’être à l’Inter." Avez-vous vu le match de Ligue des Nations avec Barella et Frattesi aux poste de Mezz’ala ? Thuram est-il un premier ou un second attaquant ? "Frattesi et Barella peuvent tranquillement jouer ensemble : Barella a, de temps en temps, déjà été Mezzala gauche: Ce sont deux joueurs très forts. Thuram est un joueur important, il a une très bonne structure physique, il a réalisé trois excellente saisons au Borussia. Il joue pour l’Equipe de France, c’est un joueur d’une valeur absolue." Gosens peut-il être un joueur important pour l’Inter ? Absolument oui, il a bien fini la saison, il a alterné avec Dimarco et s'en est très bien sorti. De là à dire ce que le Mercato peut nous apporter, je ne sais pas, mais je compte énormément sur tout le monde." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  25. C'est l'analyse du Libero qui s'est penché sur le coup de maître réalisé par notre ami Piero: André Onana recruté gratuitement va signer à Manchester United pour une somme proche de 60 millions d'euros, soit une plus-value quasiment totale "André Onana est le chef-d'œuvre de Piero Ausilio. Et, comme tous les chefs-d'œuvre, c'est aussi l'œuvre la plus souffrante et la plus douloureuse: Il est sur le point d'être vendu au prix formulé par l'Inter, pas un euro de moins (55 millions plus les bonus pour approcher les 60) après avoir été embauché pour zéro euros, avec un salaire inférieur à la moyenne pour un gardien de niveau international (3 millions nets). C'est dire que peu de gens croyaient à la rédemption du gardien de l'Ajax il y a un an et demi." "Personne sauf Ausilio, qui l'a bloqué quelques mois avant la fin de son contrat: Onana était considéré comme un dopé, un paria, quelqu'un à qui on ne pouvait pas faire confiance car l'Uefa l'avait disqualifié pour un an tout en reconnaissant sa bonne foi. Mah. Selon certains collègues, et nous citons, "Onana est quelqu'un qui se toile", au point "d'obtenir un Master en Toile" (ceux qui cherchent sur le web, sauront le retrouver)." "Mais pas pour Ausilio. Aujourd'hui, il est facile d'être Guardiola saluant le meilleur gardien du monde ou Ten Hag souhaitant son arrivée. Ce n'est pas tant qu'Onana soit passé de zéro à une valeur de soixante millions, c'est qu'il l'ait fait en un an seulement et le mérite en revient aussi à Inzaghi, car la véritable intuition revient à l'entraîneur principal: Onana n'était pas arrivé pour être un second gardien, mais pour prendre la place du titulaire, qui plus est celle occupée par le Capitaine." "Si vendre Onana aujourd'hui semble un sacrilège pour les Tifosi, à plus forte raison pour la seule personne qui y a cru: Il doit être pénible de suivre des joueurs pendant des années, de les soigner pendant des mois et d'en profiter si peu de temps. Il doit également être pénible d'essuyer les critiques de ses propres supporters, qui ne connaissent pas ou peu les coulisses du Mercato. La vente d'Onana est mauvaise pour tout une diesse mais bonne, très bonne pour l'Inter. L'Inter devrait donc applaudir cette diesse. Clap clap clap : car nous avons commencé dans le doute" ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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