Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'andrea ranocchia'.
-
En vue du match de dimanche soir entre Naples et Milan, La Gazzetta dello Sport a interviewé l'ancien défenseur de l'Inter Andrea Ranocchia. Le joueur a eu les deux entraîneurs à la tête des deux équipes des Nerazzurri, Pioli et Spalletti. Andrea Ranocchia, quels souvenirs gardez-vous de Pioli et Spalletti ? — «En raison d'une question chronologique et de la durée de la relation professionnelle, j'ai pu moins tisser des liens avec l'actuel entraîneur Milanais. Il est arrivé à l'Inter alors que je me dirigeais déjà sur le marché des transferts. À tel point qu'au bout d'un moment, j'ai été prêté à Hull City en Premier League. Mais je l'ai complimenté sur le Scudetto et il m'a écrit après ma retraite. Bien sûr, je parle plus souvent à Spalletti». Avec lequel des deux entraîneurs avez-vous eu le plus de mal à l'entraînement ? — Dès notre arrivée, Pioli nous a presque menacés, il a dit qu'il ne savait pas comment nous nous préparions avant, mais qu'il allait nous "massacrer" physiquement. Il a tenu sa parole. Les deux sont presque obsédés par la préparation du match et l'étude de l'adversaire. Peut-être que Stefano est plus méthodique dans la façon dont il organise son travail quotidien, alors qu'avec Luciano le menu variait un peu plus». Spalletti est arrivé à l'Inter après avoir déjà gagné en Russie et a frôlé le Scudetto avec la Roma. Pioli, en revanche, était moins "formé" à un certain niveau à l'époque. — «C'est vrai, mais le supporter milanais ne semblait pas du tout intimidé par l'environnement. Il avait les idées claires sur le plan footballistique et était très sûr de lui». Quelles différences retiens-tu dans le rapport au vestiaire ? — «Ils ont plus de caractères similaires qu'il n'y paraît. Ils sont très directs et authentiques. En bon toscan, Luciano est plutôt un hôte, enclin à plaisanter. Fascinant avec les joueurs comme on le voit en conférence de presse». Elle a peu joué avec les deux. Votre relation avec l'entraîneur est-elle nécessairement liée à l'espace que vous accordez au joueur ? — "Pour moi non. Ce qui compte c'est le côté humain. J'ai plus joué avec Luciano aussi parce que dans des situations désespérées, il m'a aligné comme attaquant...". Spalletti est également lié au célèbre épisode du fan agressé verbalement lors du camp d'entraînement à Brunico parce qu'il le contestait. — «L'attaque a failli être même physique, il a presque été giflé deux fois...(rires, ndlr). Un épisode que je n'oublierai jamais, qui m'a aidé dans un chemin de renaissance que j'avais déjà entrepris par moi-même. Son travail à l'Inter a été largement sous-estimé. Pour Spalletti, j'irais même à la guerre». Le même sentiment que vous ressentez lorsque vous voyez ses joueurs actuels à Naples? — «Il fait un chef-d'œuvre, ils jouent très bien et on voit qu'il y a une grande unité entre tous les composants. Y compris les fans. Mais Pioli a aussi su créer un groupe très uni à Milan». Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
- 1 commentaire
-
- 3
-
-
-
-
- andrea ranocchia
- naples
- (et 12 en plus)
-
Andrea Ranocchia, dans une interview accordée aux micros de tuttomercatoweb.com a raconté le parcours qui l'a amené à décider de raccrocher les crampons durant cette saison. Votre dernière blessure, vous a-t-elle obligé de prendre votre retraite ? "Elle m'a donné le dernier coup de pouce, j'y pensais depuis un moment, mais sans la blessure j'aurais continué à Monza. Mais après cette blessure, j'ai aussi fait le calcul : c'était encore l'été, le marché était ouvert et donc je n'aurais pas mis le club en difficulté, d'ailleurs Galliani a fermé quelques jours plus tard pour Izzo. Et puis avec l'année de la Coupe du monde, et avec une blessure qui ne m'aurait pas permis d'être à nouveau disponible avant janvier-février, Monza aurait pu encore se renforcer en janvier." Avez-vous déjà pensé à arrêter quand vous étiez à l'Inter ? "Pas exactement, pas arrêter comme ça. J'ai cependant senti que je n'avais plus cette grande passion pour le football. Nous avons discuté à la fin de la saison et nous nous sommes dit que nous n'irions pas de l'avant ensemble. Et j'ai pensé qu’'après 12 ans, trouver un nouveau carré, un nouvel enthousiasme, peut-être que je trouverai un nouvel enthousiasme et de nouveaux stimuli.' Et au lieu de cela les sensations étaient toujours les mêmes, il y avait toujours un demi-doute. Puis tout mûrit quand je me suis blessé." Donc avec l'Inter, ça ne s'arrête pas parce que vous pensiez déjà à prendre votre retraite. "Lorsque nous nous sommes rencontrés, le club ne connaissait pas encore le budget disponible, il n'avait pas encore prévu l'avenir... Pour moi, l'opportunité de Monza arrive à la mi-juin et je dis oui." Peut-être qu'en attendant l'Inter, l'Inter se présenterait-elle à nouveau ? "Je ne le saurai jamais, quand Monza m'a appelé, j'ai saisi cette opportunité." Votre dernière saison à l'Inter était la première d'Inzaghi. "J'ai ruminé parce qu'on n'a plus gagné le championnat, c'était le 20e Scudetto et ça aurait eu un sens important. Mais on a gagné la Supercoupe, la Coupe d'Italie, je suis quand même parti avec deux trophées et ça va, je suis heureux. Ensuite, j'ai vraiment aimé le dernier adieu que le Meazza m'a fait : très émouvant, peut-être l'un des plus excitants de ma carrière. Je suis content de la façon dont cela s'est terminé avec l'Inter." Inzaghi souffre-t-il de ce moment de maigres investissements de l'Inter après les adieux de Conte ? "L'Inter est une équipe solide qui a remporté trois trophées sous Inzaghi. Ils sont maintenant en demi-finale de la Coupe d'Italie, en quart de finale de la Ligue des champions et sont deuxièmes du classement. Ensuite, bien sûr, vous vous attendez toujours ce que l’Inter gagne le championnat ou en tout cas qu'elle aille au bout de toutes les compétitions. Mais cette année, il n'est pas facile pour quiconque de suivre le Napoli qui joue dans un autre championnat. Il faut aussi donner du crédit à ceux qui sont premier avec 19 points d’avance. L'Inter d'Inzaghi est excellente, qui peut lui dire quelque chose ?" Mais à lire ses interviews, à souligner ce qu'il a fait, il donne l'impression d'être le premier à souffrir de ne pas avoir gagné le Scudetto. "C'est le football, l'un gagne et les autres sont derrière la scène. Au-delà du championnat à huis clos, je le répète, l'Inter est en lice dans les autres compétitions. Il faudra compter en fin d'année, pas après une défaite ou une victoire." Quand mûrit votre idée de terminer avec l'Inter ? "Après une discussion à la fin de l'année dernière. A cette occasion, nous nous sommes dit: ‘Voyons voir’. Ils devaient planifier une saison qui n'avait toujours pas de caractéristiques claires et j'ai commencé à regarder autour. Le tout dans une grande sérénité, comme toujours au cours de ces 12 années." Avez-vous déjà eu une brouille avec l'entreprise ? "Cela peut sembler étrange mais non, jamais. Je vais vous donner un exemple : mes négociations de renouvellement de contrat avec l'Inter ont duré entre 5 et 6 minutes, je ne pense pas que cela ait jamais duré plus longtemps. Ils ont fait une proposition, je l'ai modifiée à la marge et au bout de 10 minutes nous signions." Un autre pas en arrière. Avant Inzaghi, il y a Conte. Pourquoi disparaît-il au bout de deux ans ? Comment vous le communique-t-il ? "Je ne sais pas ce qui s'est passé à cette époque. Personne ne le sait en dehors du club et de Conte lui-même. Je ne voulais même pas demander, ce sont des relations personnelles et des décisions personnelles. Et puis chacun pense à son propre avenir. Pour moi c'est qu'il était un entraîneur fondamental." Qu'est-ce que Conte vous a donné de plus que ce que Spalletti vous a déjà donné ? "Mentalité, discipline, manière d'appréhender l'entraînement, manière d'appréhender le match. Il soigne l'apparence du joueur à 360°, il a un peu réaménagé l'environnement avec sa modalité et avec lui il a mené un parcours gagnant." La fermeture d'un cercle. "L'histoire de l'Inter au cours des 12 dernières années a été un peu étrange. Nous sommes passés de l'ère Moratti qui avait tout gagné, puis Thohir et ensuite Suning. Lorsque ces changements ont lieu, il faut du temps pour rétablir la stabilité dans l'environnement. Mais dans le football, vous n'avez pas le temps : vous avez une semaine, le temps qui passe d'un match à l'autre. Spalletti a posé la première pièce de la nouvelle Inter : il a été fondamental. C'est un entraîneur fort, qui entraîne les joueurs et forme un environnement. Mais ce sont des années où vous avez dû défier une Juventus qui était parmi les meilleures du monde et vous êtes aux prises avec une nouvelle voie : vous avez du mal. Cependant, c'est Spalletti qui nous a ramenés en Ligue des champions et aussi au niveau économique et blason, ça a commencé à se reconstruire. Puis Conte est arrivé qui a ajouté sa discipline, sa façon de penser. Et ça, c'est personnel. Je ne dis pas qu'il est le seul capable de gagner à l'Inter, mais à ce moment-là, il était doué pour mettre toutes les pièces dans le bon sens pour arriver au Scudetto." Mais vous ne pensez pas que les deux derniers Scudettos de l'Inter soient de Mourinho et Conte. "A ce moment, sa mentalité a fait grandir tout le monde, du club à l'entraîneur en passant par ceux qui travaillent autour de l'équipe. Maintenant, l'Inter est un club structuré du plus haut niveau et à mon avis, ce n'est qu'une question de temps avant de revenir pour gagner. On aurait pu gagner encore l'an dernier, elle a échoué de peu. On a eu un black-out entre février et mars et on a un peu brûlé là. Pas tellement dans les quatre derniers jours comme on dit, c'est plutôt en janvier/février qu'on a galéré. Cette année, cependant, Naples a fait un championnat à part : ils ont une mentalité, ils gagnent, ils ont du talent. Ce championnat est plus un mérite de Naples, il a créé un vide. Il y a aussi les démérites des adversaires, bien sûr, mais Spalletti a fait un excellent travail." Le travail de Spalletti à l'Inter a-t-il été sous-estimé ? "Son travail n'a pas été assez apprécié. Il pose les bases. C'est difficile pour une équipe d'une année sur l'autre de finir septième, ensuite premier puis de gagner le Scudetto. Le Napoli s'est construit au fil des ans, ils y arrivent toujours : deuxième, troisième, deuxième, puis troisième... Et il va mieux cette année. Mais oui, le travail de Spalletti a été largement sous-estimé à l'Inter." L'année de son retour en Ligue des champions, l'affaire Icardi éclate. A-t-elle été difficile à gérer ? "Très difficile. La vérité est que je n'aurais pas voulu être à sa place. Mais il était bon, il a atteint son objectif de terminer dans le top quatre. Avec un dernier match particulier, plein d'émotions, mais même là en la fin nous l'avons fait." Je reviens donc à la comparaison avec Conte. Avait-il la possibilité de réclamer certains achats plus que ses prédécesseurs ? C'est ça la différence ? "Ces entraîneurs sont ceux qui ont une grosse histoire de victoires et de trophées. À mon avis, lorsqu'ils ont eu les premiers entretiens avec Conte, ils s'étaient déjà clarifiés sur de nombreux aspects. Il venait depuis des années au cours desquelles il avait entraîné et a gagné avec la Juve, il était un symbole de la Juve et à ce moment-là, si vous acceptez l'Inter, vous ne pouvez pas vous tromper d'un iota. Avant d'accepter une telle mission, je pense qu'ils ont mis les différents mouvements à faire sur papier." C'est le cursus qui fait la différence et vous amène à demander certaines garanties. "Oui. Probablement même Spalletti, en remportant le championnat et en devenant un entraîneur gagnant, demandera à la prochaine équipe qu'il entraîne des garanties différentes et plus importantes. Et à ce moment-là, il peut vraiment les exiger. C'est ainsi que cela fonctionne pour les grands entraîneurs et pour les meilleurs joueurs." Avant Spalletti, il y avait Pioli. Vous attendiez-vous à ce qu'il puisse gagner le Scudetto avec Milan ? "L'année dernière je lui ai écrit, je l'ai complimenté. Je l'ai eu quelques mois mais c'est un bon coach, qui construit un groupe et qui a un très bon staff. Gagner le championnat c'est difficile parce que tant de choses prennent le dessus en une année. Ce n'est pas de la chance, la décision de l'arbitre n'a rien à voir. Celui qui gagne le championnat c'est parce qu'il le mérite. Il était doué pour créer ce sentiment avec l'équipe. L'année dernière, vous avez pu voir qu'il avait créé cette relation de compacité avec l'équipe, cela a été perçu. Comme cette année, vous pouvez voir le sentiment entre Spalletti et son équipe." Et puis à Milan, il a su construire un projet, alors qu'à l'Inter, il était perçu comme un entraîneur de transition. "Oui, définitivement oui. Et puis il y a encore sa croissance en tant qu'entraîneur, quand on parle de Pioli à l'Inter on parle de 2016..." Avant Pioli la parenthèse de Boer. Il est difficile de trouver quelqu'un qui en parle en bien. "Je n'aime pas dire du mal des gens..." C'est compris. Mais ce n'est pas facile de bien en parler. "Un entraîneur qui ne connaît aucunement le football italien a du mal et il ne connaissait aucunement le football italien. Il ne connaissait pas les joueurs, il ne savait rien. La langue était un gros problème, faire passer des mots ou vos messages à l'équipe, c’est dur, ils parlent deux langues différentes. Et puis ce fut une période de grande confusion à l'Inter. Je vous dis la vérité, je ne me souviens même pas trop de son passage à l'Inter... Il a dû être avec nous deux des mois." Avant de Boer, il y a Mancini. Et c'est l'entraîneur qui vous fait asseoir sur le banc, vous obligeant à partir en prêt. "Quand il est arrivé, j'ai joué, puis on n'est plus reparti la saison suivante et donc au fil des semaines j'ai commencé à évaluer différentes solutions. Mais je m'entendais bien avec Mancio... C'était aussi une bonne expérience d'être coaché par lui parce que c'est un coach qui gagne et quand des coachs de ce calibre arrivent, ils te donnent quand même quelque chose. Après il y a le coach avec qui tu crées plus ou moins de feeling, mais pour moi c'était simplement un choix technique." Bref, sans rancune. "Là et puis ça te ronge, tu veux jouer. Mais aujourd'hui je peux dire que le sélectionneur de l'équipe nationale m'a coaché." Jusqu'à la première année avec Mancini, vous jouez en tant que titulaire, puis lorsque vous revenez de prêt, vous êtes en soutien. Pourquoi acceptez-vous ce nouveau rôle à ce moment ? "Les six mois en Angleterre m'ont un peu ouvert les yeux, ils m'ont fait comprendre qu'il y a aussi une autre façon de vivre et d'appréhender le football. C'était une belle expérience. Quand je suis revenu de Hull City, je ne savais pas si je resterais ou non, Spalletti venait d'arriver. Au bout d'un moment, Luciano me dit : ‘Écoute, je suis content si tu restes, donne-moi un coup de main.’ Une belle relation personnelle s'est immédiatement créée : j'ai encore de ses nouvelles deux à trois fois par mois, nous nous écrivons. La relation humaine est très importante pour moi, plus que la relation professionnelle. Parce qu'à ce moment-là, j'ai toujours pensé qu'une fois que j'aurais arrêté, ces relations resteraient. Et aujourd'hui c'est comme ça, ça veut dire que tu as montré quelque chose de bien, mais pas en jouant parce que tout le monde est bon pour jouer en Serie A, je veux dire sur le plan humain." Et avec Spalletti cette belle relation humaine se crée immédiatement. "Après ce discours, je suis allé parler au club. Eux aussi étaient contents de mon éventuel séjour et donc je suis resté à ce moment-là. Puis un autre type de relation s'est établi après, parce que je voulais gagner avec l'Inter. Et après Spalletti est venu Conte, je le lui disais depuis de nombreuses années et à la fin il est vraiment arrivé. Ensuite, tu gagnes le championnat et quand tu gagnes, tu te sens bien, même si tu ne joues pas 40 matchs. J'étais bien avec le groupe, l'environnement était idéal et ma famille allait bien à Milan. Il y avait la possibilité de gagner des trophées et à ce moment-là, il ne m'est jamais venu à l'esprit de partir." Et cela s'est également perçu dans la relation avec les fans. Dans la première partie, quand vous étiez titulaire, beaucoup de critiques. Puis, quand vous êtes revenu en acceptant de jouer moins, vous avez été élu symbole de l'interisme. "C'est comme ça que ça s'est passé. Mais cela aussi fait partie d'un parcours sportif, footballistique. Quand tu es dans une grande équipe, même si tu gagnes, tu es toujours sujet à la critique. L'Inter a lutté pendant de nombreuses années, la critique était normale. Et puis avec l'ère des réseaux sociaux tout s'est élargi à tous les niveaux. Mais ça s'est passé différemment pour moi et encore aujourd'hui quand je retourne au stade ils me saluent. Cela me vaut plus que 50 Scudetti... Je le répète : l'aspect humain est fondamental parce qu'alors la vie est longue. A 35 ans la partie sportive s'arrête, mais après t'en as beaucoup plus pour tout le reste." Revenons au début de votre aventure Interista. Vous arrivez avec Leonardo. "Oui, Benitez avait été viré trois jours plus tôt." Et vous, quel coach trouvez-vous ? "Je me suis tout de suite bien entendu avec Leo. Une bonne personne. Il est bon comme entraîneur, mais j'ai perçu que ce n'était pas tellement ce qu'il voulait faire. Et en fait, il a changé au bout d'un moment." Vient ensuite Gasp. Qui ne comprend pas ce groupe ou vice versa ? "C'était difficile pour ce groupe de comprendre Gasperini. Il arrive mais même là, je vous dis la vérité : ce furent des années très mouvementées et on a tout vécu comme ça, très vite. Au jour le jour." Avec qui avez-vous trouvé le plus de continuité dans cette phase ? "A cette époque je jouais. Je l'ai trouvée avec Mazzarri comme avec Stramaccioni, j'ai aussi joué avec Gasp." Toutes des personnalités très différentes. "C'était difficile, aussi parce que changer d'entraîneurs, de stratégies et de méthodes de travail à chaque fois n'est pas facile. Bien faire ces années-là était très difficile." Est-ce la raison de l'effondrement de l'Inter après le triplé ? "Oui. Ces dernières années, j'ai vu un super calendrier à l'Inter. Même les entraîneurs qui sont arrivés : Spalletti, Conte et Inzaghi ont toujours donné le sentiment de stabilité. Maintenant, Inzaghi a été critiqué, mais à mon avis c'est plus un truc de journaliste..." Dans quel sens? "Naples joue dans un championnat à lui. Mais pour le reste, l'Inter est là : ils ont atteint les demi-finales de la Coupe d'Italie, ils sont en quarts de finale de la Ligue des champions. Ils ont remporté la Super Coupe. Le journaliste ou le fan critiquera toujours, mais quand on va évaluer, ce sont les résultats qui comptent." Vous parliez de continuité arrivée avec Suning. "Le trio Marotta-Ausilio-Baccin a donné un tournant important. L'Inter a réalisé un important marché des transferts ces dernières années et à eux trois ont ramené l'Inter à des niveaux importants." Après Bari vous allez au Genoa où vous jouez six mois "Oui, et je me remettais d'une blessure parce qu'en deuxième année à Bari en milieu de saison, avec Ventura sur le banc, je me suis cassé le LCA. J'avais déjà été acheté par le Genoa et donc à ce moment-là je suis aller à Gênes pour se faire soigner. L'été suivant, j'ai commencé le camp d'entraînement avec le Genoa, Gasperini était sur le banc. Il se trouve alors que fin novembre Samuel se fait son croisé, des rumeurs circulaient déjà sur l'intérêt de l'Inter et en décembre Preziosi m'a appelé pour me dire qu'il m'avait vendu à l'Inter. Je vais tout de suite faire mes valises et aller à Milan." Pratiquement après la Coupe du monde des clubs. "Deux jours plus tard. Ils ont viré Benitez, ont pris Leonardo et le lendemain ils ont officialisé mon achat." Qu'est-ce que le football a représenté pour vous ? "Ça a représenté 30 ans de ma vie, c'est tout. Alors peut-être que j'y retournerai mais la passion remue tout : si ça ne sera pas là, je ferai autre chose." Belle interview, très pro et très gentlman ! Bonne suite Andrea! Traduction alex_j via FCInter1908.
- 3 commentaires
-
- 7
-
-
- andrea ranocchia
- monza
- (et 11 en plus)
-
Notre ancien défenseur fête aujourd'hui ses 35 ans. Joyeux anniversaire Andréa Ranocchia ! Notre ancien défenseur, né à Assise le 16 février 1988, fête aujourd'hui ses 35 ans. Arrivé à l'Inter lors de la saison 2010-2011, il a disputé 226 matches et marqué 14 buts avec les Nerazzurri. Son dernier a été marqué lors de la Coupe d'Italie 2021-2022 d'une drôle de reprise de volée lors du 8e de finale de folie face à Empoli. Son palmarès comprend 1 Scudetto, 2 coupes d'Italie et 1 Super Coupe d'Italie. Traduction alex_j via le site officiel.
- 1 commentaire
-
- 3
-
-
- andrea ranocchia
- anniversaire
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Riccardo Trevisani s’est également montré lapidaire envers Simone Inzaghi dans le cadre de l’émission Pressing : "Après 14 mois sous Inzaghi, l’Inter est plus pauvre que jamais, c’est le terrain et les statistiques qui le disent !" "Une distinction doit être faite entre les Parties : L’équipe de l’Inter a clairement remplacé les joueurs âgés qu’étaient Alexis Sanchez et Arturo Vidal par Henrik Mkhitaryan et Romelu Lukaku, Francesco Acerbi pour Andrea Ranocchia, on ne peut pas dire que cette situation est alarmante! Il n’y a que la perte, très importante d’Ivan Perisic, mais l’Inter a tout fait pour le garder, ça ne me semble pas être une pire équipe." "Le problème reste le suivant : L’Inter qui nous a été raconté l’année dernière, est-elle l'équipe qui a remporté deux trophées contre la pire Juventus de la décennie ou doit-elle être vue comme celle qui a perdu le Scudetto en qualité de plus grand favori ? L’année dernière, j’ai vu Vidal jouer une demi-heure et marcher sur le terrain : Cette demi-heure, c’est le temps qu’Asllani a joué avant-hier en 9 matchs. Peut-être y a-t-il une gestion vieux/jeune d’Inzaghi qui n’est pas vraiment méritocratique… Et c’est la faute que je lui donne." "L’Inter après le Derby de février a eu des matchs, durant lesquelles, elle n’a plus démontré être une équipe puis elle s’est ressaisie. S’en est suivi la présaison ou elle a pris des buts face à tout le monde: Vous voulez donc rire en déclarant qu’hier elle ne méritait pas de s’incliner ? D’accord, elle ne le méritait pas, mais elle s’est inclinée dans tous les matchs où elle faisait face à une équipe décente sur le terrain, alors on en rit ?" "Rien que dans les buts, il y a un problème, il faudra choisir Le gardien tôt ou tard non ? Vous avez un gardien qui n’arrête plus rien, ne serait-ce pas là La solution ? Car à chaque fois que le tir n’est pas sur lui, il rentre à l’intérieur. L’Inter s’est brisée l’année dernière." Inzaghi ? "Si j’avais alternativement un coach que je considère comme potable, je le remplace face à une situation qui me semble irréversible : Quand les choses sont cassées, elles ne se réparent pas. Après 14 mois sous Inzaghi, l’Inter est plus pauvre que jamais, c’est le terrain et les statistiques qui le disent !" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 3 commentaires
-
- 9
-
-
-
- riccardo trevisani
- simone inzaghi
- (et 11 en plus)
-
Quelques jours après l'annonce de sa retraite du football, Andrea Ranocchia a accordé une interview à La Gazzetta dello Sport, la voici. Commençons par la jambe, après la fracture du péroné d'août. "Ça va un peu mieux, je viens d'enlever le plâtre, j'ai repris la marche, même si j'ai toujours mal. Je fais une thérapie, je serai de retour à la salle sous peu." Pourquoi avez-vous décidé de quitter le football malgré un contrat courant jusqu'en 2024 ? "Il n'y a pas eu qu'un seul épisode déclencheur. A partir d'avril, également grâce à une série de problèmes privés, j'ai commencé à ressentir moins d'enthousiasme pour le football. J'espérais que ce n'était qu'un moment. A l'Inter, je me sentais bien avec tout le monde." En parlant de l'Inter, comment s'est passée la séparation ? "Mon contrat a expiré en juin, Piero (Ausilio) m'a expliqué qu'ils devaient faire toute une série d'évaluations. Je voulais jouer plus, et Monza est arrivé. Projet sérieux, porté par des managers qui ont déjà gagné, la possibilité de ne pas changer de domicile pour mes enfants (Lorenzo, 4 ans, et Adele Luna, 2 ans) et élever les jeunes. J'ai accepté. Mais pendant la retraite, j'ai beaucoup lutté. Les années ne sont pas revenues, c'était terrible." Combien la blessure a-t-elle pesé sur la décision finale ? "Ça a accéléré un cheminement déjà en cours. A tel point que je n'exclus pas qu'une fracture aussi grave soit liée au fait que la tête ne tournait plus dans le bon sens." Que vous a dit Galliani ? "Je lui ai expliqué ce que je ressentais et que je ne voulais pas me moquer de moi-même, mais aussi de ceux qui m'avaient fait confiance. Il a été surpris, mais il a compris et respecté ma décision. Certainement pas parce que j'ai renoncé à l'argent, dont je ne veux pas parler aussi par respect pour ceux qui peinent à joindre les deux bouts." Après l'annonce, étaient-ils si nombreux à vous appeler ? "J'ai reçu des messages et des appels téléphoniques de gens ordinaires, de tous mes coéquipiers, adversaires et entraîneurs, même ceux que je n'ai jamais eus. Mais ces jours-ci, je me suis vraiment isolé. Ce matin (hier, ndlr) Conte m'a appelé." Le plus beau message ? "Citer l'un d'eux ferait tort aux autres. Mais parmi tant d'autres il y avait aussi Zhang, Pioli, Spalletti, Cattelan, Mentana, que je suis toujours." Spalletti nous ramène à un moment décisif de ta carrière. "On se parle souvent avec Luciano, une personne formidable. Vous faites référence à la fois où il a affronté un fan qui en 2017 m'a insulté lors du camp d'entraînement à Riscone. Il a failli lui donner deux gifles (rires). La première fois que quelqu'un me défendait. Un choc décisif sur le long d'un chemin que j'avais entrepris seul." En fait, pendant quelques années, vous avez été le bouc émissaire des problèmes de l'Inter. "J'étais très bas, une expérience dont je me serais passé, mais formatrice. Dans le football, quand les choses ne tournent pas on en vise deux ou trois... Arrivé tout de suite après le Triplete, j'ai vécu des saisons difficiles. Mais j'ai aussi apprécié l'ascension grâce au Suning et Spalletti lui-même, jusqu'aux victoires avec Conte et Inzaghi." Inzaghi est maintenant en difficulté. "Il y a des moments comme ça, surtout en début de saison, avec un effectif plein de nationaux qui ont joué aussi l'été. Je suis sûr que l'Inter va récupérer. Ils ont l'effectif le plus fort et un vestiaire sain. Cela reste ma préférée pour gagner le scudetto." Même sans un leader silencieux comme vous ? "Dans le vestiaire chacun apporte sa contribution. Même en plaisantant toujours comme Brozo." Le football est ta vie depuis qu'il a 5 ans. Avec l'annonce du départ, un fardeau a été enlevé ou est-ce plus triste ? "Triste non, sinon j'aurais continué. Ces derniers mois, j'ai beaucoup réfléchi, même trop. Et la certitude est que je suis fier et satisfait de ma carrière. Des victoires et de la façon dont j'ai surmonté les problèmes. Mais sans enthousiasme on ne peut pas continuer. Maintenant je prends du recul un moment, puis j'aimerais ouvrir une école de foot." Le pire et le meilleur moment de votre carrière ? "Le pire en été, quand je me suis rendu compte que la lumière ne se rallumait plus. Le plus beau, le Scudetto. Je l'ai longtemps chassé, j'en ai vu et vécu de toutes les couleurs. Triomphant ainsi, l'arithmétique est arrivée le lendemain de Sassuolo-Atalanta, mais déjà en revenant de Crotone en avion nous avons fait la fête. Même Monsieur Conte qui n'exulte jamais tant que le résultat n'est pas certain." Conte, avec qui l'aventure avait débuté entre Arezzo et Bari, s'était arrêtée à l'Inter. "Je n'ai pas été surpris. Il est obsédé par la victoire et peut-être pensait-il avoir tout extirpé de lui-même et de ce groupe." Vous avez aimé ce groupe ? "Beaucoup. Mais aussi celui de Monza de mon ancien partenaire (au Genoa) Palladino est excellent. Le vestiaire sera ce qui me manquera le plus. Mais pas aujourd'hui." Maintenant que tu es en retraite, vous pouvez admettre que ce penalty en Mars dernier sur Belotti, non vu par l'arbitre et la Var, était valable. "Bien sûr que oui ! (Rires)." Votre dernier but ? "Avec Empoli en janvier. En acrobatie, décisif pour ne pas sortir déjà au deuxième tour de la Coupe. Ensuite, les coéquipiers ont été bons pour battre la Roma, Milan et la Juve. Mais un morceau de ce trophée est à moi." Traduction alex_j via FCInter1908.
-
- 5
-
-
- andrea ranocchia
- la gazzetta dello sport
- (et 12 en plus)
-
Raffaele Caruso : Lettre à Goran Pandev et Andrea Ranocchia
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En deux jours, deux joueurs interistes ont tiré leur révérence. Raffaele Caruso de FcInterNews a écrit une lettre ouverte à Goran Pandev et Andrea Ranocchia. Voici la traduction. Quelques heures plus tard Goran Pandev, puis Andrea Ranocchia ont annoncé jeudi leurs adieux du football sur les réseaux sociaux. Un double "salut" qui a ravi tous les fans de ce sport, en particulier les fans de l'Inter. Parce qu'il n'est pas nécessaire de marquer 500 buts pour rester dans l'histoire d'un club aussi prestigieux que les Nerazzurri. Humilité, professionnalisme et amour du maillot sont les trois valeurs qui vous rendent éternel et vous permettent de gagner le respect et l'admiration de vos fans. Pandev est un produit de la cantera Nerazzurri. Après avoir vécu plusieurs expériences en Italie, dont la plus illustre à la Lazio, il revient à l'Inter dans la saison des saisons, celle du Triplete. Et il a été un grand protagoniste malgré son arrivée cette saison en Janvier. Goran a été immédiatement utilisé par Mourinho, notamment grâce à l'absence de Samuel Eto'o en Coupe d'Afrique des Nations. Et le Macédonien a tout de suite répondu présent : le 6 Janvier, il fait ses débuts en championnat face au Chievo et est immédiatement décisif, il inscrit son premier but sous le maillot de l'Inter, quelques jours plus tard face à Bari ouvrant le chemin du retour de 2-0 à 2-2 et a répliqué le 24 Janvier dans le derby contre Milan avec un coup franc, marquant le deuxième but. Tout le monde n'a pas ce truc. Il faut avoir la classe pour pouvoir le faire, mais surtout l'humilité pour s'intégrer dans un groupe avec autant de champions. Mourinho se classe lui aussi en finale de la Ligue des champions contre le Bayern Munich, il sera l'un des protagonistes de la course finale vers le Triplete. Et comment oublier le but du 2-3 marqué quelques mois plus tard contre les Bavarois, toujours en Ligue des champions, lors du match retour des huitièmes de finale : il le définira lui-même comme le but le plus important de sa carrière. Comment oublier cette exultation. Et ce jour-là, Andrea Ranocchia était également sur le terrain, dans l'un des matchs les plus emblématiques de son histoire de plus de 10 ans avec le maillot Nerazzurri. L'arrêt sur la ligne de but, avec un poteau. Ses débuts à l'Inter rappellent beaucoup ceux de Pandev. Arrivé à l'Inter lors de la saison en cours à l'hiver 2010-2011, il s'est d'emblée imposé parmi les titulaires aux yeux de l'entraîneur Leonardo , remportant alors son premier titre en fin de saison, la Coppa Italia, remportée contre Palerme. Confirmé plus tard par les entraîneurs suivants, dans la première moitié des années 2010, Ranocchia fait partie des rares jalons de l'équipe interiste : lors de la pré-saison 2014-2015, l'investiture en tant qu'héritier de Zanetti en tant que nouveau capitaine de l'Inter, semble être le prélude à une belle histoire. De manière inattendue, cependant, sa carrière prend une tournure inverse : Andrea ne parvient pas à s'imposer comme le leader du groupe des Nerazzurri et se fait retirer le brassard au profit d'Icardi. Il est ainsi devenu l'un des plus critiqués et ciblés par le public Nerazzurri. Mais jamais un mot déplacé, jamais une interview provocatrice. Ranocchia continue de travailler en silence, s'investissant toujours dans l'entraînement. Pour se retrouver il décide aussi de changer d'air, tentant d'abord l'expérience du prêt à la Sampdoria puis à Hull City. Le premier tournant est intervenu en 2017 avec l'arrivée sur le banc de l'Inter de Luciano Spalletti. La vidéo dans laquelle il défend Ranocchia en retraite des critiques d'un fan des Nerazzurri, elle certifie immédiatement l'importance et la gratitude de l'entraîneur Certaldo envers lui. Ce n'est pas un titulaire, mais il redevient un élément très important pour les rotations en défense et surtout un homme du vestiaire. Un double rôle qui devient encore plus évident avec l'arrivée de Conte à Milan, l'entraîneur qui l'avait lancé au début de sa carrière dans les expériences d'Arezzo et de Bari. Et grâce à lui, Ranocchia remporte son premier Scudetto avec l'Inter après 10 ans. Un championnat qui est venu après tant de chutes, tant de sacrifices, tant de larmes, qui témoigne pourtant de la grandeur d'un vrai homme et joueur, d'un professionnel exemplaire et d'un joueur de l'Inter comme peu d'autres. Nous ne pouvons que remercier Goran Pandev et Andrea Ranocchia. Merci de faire partie de notre histoire et de comprendre l'importance de cet maillot. Pour l'avoir honoré. Merci les gars, ce fut un honneur et un beau voyage. Traduction alex_j via FCInterNews.- 2 commentaires
-
- 9
-
-
- goran pandev
- andrea ranocchia
- (et 17 en plus)
-
Officiel : Andrea Ranocchia raccroche les crampons !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
A travers une déclaration via les réseaux sociaux, Andrea Ranocchia a tenu à expliquer la raison de son départ de Monza et du football "en tant que joueur." "Je tiens à remercier ma famille, ma femme Giulia, mes enfants, ils m’ont soutenu à de nombreuse reprises, ils m’ont donné tout ce qu’ils pouvaient me donner. Je leur serai éternellement reconnaissant, à remercier tous mes amis, à tous ceux qui ont été proches de moi en dehors du football. J’ai vraiment eu de la chance, car derrière moi j’ai une belle équipe. Cette dernière année et demie n’a pas été facile, la passion pour ce jeu s’est estompée. C’était un échec même au mois de mai lorsque j’étais encore à l’Inter, à ce moment-là j’ai senti qu’il y avait quelque chose qui ne me revenait pas." "Avec le club, avec l’entraîneur, nous avons décidé de nous séparer parce que je voulais de nouveaux challenges, vivre de nouvelles passions et de nouvelles émotions. » J’ai eu de la chance, et je suis reconnaissant, car Monza m’a donné une nouvelle opportunité, qu’il s’agisse de Galliani et de Berlusconi, qui m’ont fait confiance en m’offrant un excellent contrat pour revenir dans le Game. Malheureusement, au début mes sensations n’étaient pas positives, c’est comme si quelque chose était s’était brisé en moi. Au début, je ne voulais pas l’accepter, car la passion que j’ai portée depuis 30 ans a disparu." "J’ai essayé de m’engager mais il n’y avait plus rien en moi, je me suis énormément questionné et ensuite, il y a eu cette sale blessure à Naples qui m’aurait tenu à l’écart des terrain pendant des mois. Et si vous n’avez plus cette flamme pour pouvoir revenir, et même avec la confiance que Monza m’a donnée, j’ai senti qu’il était juste de ne pas me moquer de qui que ce soit, et de moi avant tout : Soit je me donne à 100% soit j’arrête. J’ai parlé avec Galliani et je lui ai fait part de mon malaise et de ma décision, je ne voulais continuer à me moquer de personne, j’aurais été le premier à en payer les conséquences. Si tu veux aider ton équipe, tu dois te sentir bien et je ne peux plus le faire, je n’ai plus rien à donner. Galliani est un Gentleman, il a compris l’instant et nous avons « rompu » mon contrat en toute amitié." "Maintenant, je vais prendre le temps de récupérer, malgré toutes les émotions traversée ces temps-ci et remettre mes pensées sur la bonne voie pour l’avenir, je ne pense pas vraiment à rejouer au football, ce n’est plus dans mes pensées et ce n’est absolument pas ce que je veux. Je prends le temps de profiter des autres choses de la vie et de voir, ensuite, de quoi sera fait l’avenir. C’est ma pensée et je voulais la communiquer. Je tiens à tous vous remercier pour le soutien que vous m’avez apporté, dans les bons moments et dans les plus difficiles, j’ai vécu des émotions indescriptibles, j’ai été bon et chanceux d’avoir pu les vivre." "Je vous embrasse, même si je ne suis pas très réseaux sociaux, mais on se reverra un jour." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 5 commentaires
-
- 13
-
-
- andrea ranocchia
- monza
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Andrea RANOCCHIA Informations Générales : Nom : RANOCCHIA Prénom : Andrea Poste : Défenseur Date de naissance : 16 / 02 / 1988 Lieu de naissance : Assisi Pays : Italie Taille : 195 cm Poids : 82 kilos Numero de maillot : Au club depuis : Janvier 2011 Position sur le terrain : Biographie : Andrea Ranocchia est formé dans les équipes jeunes du Perugia mais, suite à la faillite du club, il se retrouve dans les équipes jeunes des voisins de l'AC Arezzo. Il y fait ses débuts en équipe première lors de la saison 2006-07, en Serie B à 18 ans. Lors de sa première saison, il jouera pas moins de 24 matchs pour 1 but, mais le club, 20e, sera relégué en Serie C1 au terme de la saison. Le 21 août 2007, il fait ses débuts en équipe d'Italie espoirs, sous les ordres de Pierluigi Casiraghi, lors d'un match amical contre l'équipe de France espoirs (2-1). Il rentre à la 57e minute à la place de Fabiano Santacroce. Malgré tout, il reste au club et devient titulaire en défense centrale, disputant 32 matchs sans marquer. Plein d'avenir et de talent, il signe en co-propriété à l'été 2008 au Genoa CFC, en Serie A, qui, en accord avec son club formateur, le prête à l'AS Bari en Serie B. Peu utilisé lors de la phase aller, Antonio Conte l'utilisera avec plus de continuité lors de la phase retour. Il jouera au total 17 matchs pour 1 but et obtenant la 1e place du championnat et la montée dans l'élite. Le Genoa CFC rachète l'intégralité du contrat du joueur avant de le prêter à nouveau à l'AS Bari pour la saison 2009-10 de Serie A. Il participe ensuite au Championnat d'Europe de football espoirs 2009. Il marque son premier but sous le maillot national le 9 juin 2009 lors du match amical terminé 4-0 contre le Danemark. Le 23 août 2009, il fait ses débuts dans l'élite face à l'Inter Milan (1-1). Le 18 octobre, face au Chievo Vérone, il inscrit son premier but dans l'élite (2-1). S'installant progressivement au poste de titulaire en défense centrale, il se blesse en janvier 2010 (lésion aux croisés), ce qui clôt prématurément une saison commencée en fanfare. Il aura joué au total 17 matchs pour 2 buts. A la fin de la saison, il retourne au Genoa CFC qui le laisse signer pour cinq saisons à l'Inter Milan qui le prête immédiatement au club rossoblù pour une saison où il est attendu comme un titulaire, beaucoup d'espoirs étant placés en lui. Au bout de six mois, suite à l'arrivée du nouvel entraineur Léonardo à l'Inter Milan, il rejoint ce dernier Carrière 2006-2008 : AC Arezzo 2008-2010 : AS Bari 2010-déc. 2010 : Genoa CFC Janvier 2011: Inter Milan Palmarès 1 championnat de Serie B : 2008-09 AS Bari A voir sur le site : A venir Retranscrit par Antony (Wikipedia.fr)
-
Steven Zhang voudrait ne pas vendre Milan Skriniar
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
Information à prendre avec des pincettes étant donné qu’elle émane du Corriere Dello Sport, mais pour le quotidien romain, la situation avec le Club Parisien est dans une phase finale : "L’affaire s’est transformée en une partie d’échec où Giuseppe Marotta, Piero Ausilio et Dario Baccin ne compte pas sortir battu." Mais Zhang n’a-t ’il pas imposé de clôturer le mercato avec un actif estimé entre 60 et 80 millions d’euros ? "C’est vrai, mais le Président est le premier à ne pas vouloir vendre Skriniar, surtout si l’encaissement suite à son départ : 60 à 65 millions d’euros (bonus compris), servirait à recruter Gleison Bremer pour 40 millions d’euros et 15 millions d’euros encore pour Nikola Milenkovic." "A la Viale Della Liberazione, tous cherchent à savoir à quel point il serait risqué de postposer le départ d’un Top Player à la session du mercato hivernal ou au plus tard au 30 juin 2023, soit après la fin du championnat qui aura lieu le 4 juin." "Il faut raisonner sur base des chiffres, comprenez le Bilan 2022/2023, mais aussi sur le potentiel du noyau et garder Skriniar, tout en ajoutant peut être Bremer pour compléter le rempart défensif, vu le slot vacant suite au non-renouvellement d’Andrea Ranocchia, pourrait être un double coup exceptionnel." Vous y croyez ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 15 commentaires
-
- 10
-
-
-
-
- steven zhang
- milan skriniar
- (et 6 en plus)
-
Andrea Ranocchia : "Je n'oublierai jamais les adieux que la Curva Nord m'a faits"
Oxyred a posté un article dans Interviews
L'ancien défenseur de l'Inter et actuel défenseur de Monza, Andrea Ranocchia, est heureux des adieux que lui a faits la Curva Nord lorsqu'il a quitté les Nerazzurri. Au cours d'un entretien accordé à la chaîne italienne DAZN, le défenseur de 34 ans s'est exprimé sur son départ de l'Inter après douze ans au club, et sur sa nouvelle aventure avec le promu Monza. Ranocchia a quitté l'Inter cet été à la fin de son contrat pour rejoindre Monza, à qui il apportera une grande expérience du haut niveau. Andrea Ranocchia avait remporté le Scudetto pour la première fois lors de son avant-dernière saison sous le maillot de l'Inter, puis la Coppa Italia pour la seconde lors de l'un de ses derniers matches avec le club. Ranocchia a cependant traversé de nombreux hauts et bas avec l'Inter au cours de ses plus de dix ans au club, et la Curva Nord lui a fait des adieux spéciaux à la fin de la saison en reconnaissance de sa longue histoire avec l'équipe. "C'était un moment exaltant qui ressemblait à la récompense des nombreuses années que j'ai passées à l'Inter", a-t-il déclaré à propos des adieux, "c'est un grand souvenir et je ne l'oublierai jamais." "Je ferais tous les choix de la même manière, car cela a fait de moi le joueur et l'homme que je suis maintenant", a-t-il poursuivi. "Je suis satisfait de ma carrière et je peux encore accomplir davantage et construire d'autres souvenirs positifs." ®Oxyred - Internazionale.fr via SempreInter- 4 commentaires
-
- 7
-
-
- andrea ranocchia
- inter
-
(et 5 en plus)
Étiqueté avec :
-
Au sein du Quartier-Général de l’Inter, Giuseppe Marotta et Simone Inzaghi se sont livrés à la traditionnelle conférence de presse d'ouverture de la nouvelle saison sportive 2022/2023 Introduction de Marotta "Aujourd’hui, nous sommes symboliquement sur la grille de départ de la nouvelle saison sportive. Avant de parler du présent et du futur, je tiens à faire un bref résumé de la saison écoulée qui a été "aigre-doux" : Nous avons remporté deux titres, auxquels s’ajoute un peu d’amertume pour la seconde place en championnat. Le dernier championnat a d’ailleurs démontré que la différence entre celui qui le gagne et qui le perd est très minime." Je tiens à profiter de cette occasion aussi pour saluer le Président Zhang et je lui souhaite du bon boulot pour la saison à venir. Cette saison s’ouvre avec une grande nouveauté : La prolongation de notre entraîneur. C’est une nouveauté qui est le fruit d’un rapport instauré l’année dernière depuis un été mouvementé, mais qui a offert de très importantes satisfactions à l’ensemble du Club, de la Propriété et des Tifosi. Je peux vous dire qu’il s’agit-là d’un renouvellement physiologique d’un entraîneur qui a prouvé avec des faits d’être à la hauteur de l’Inter et qui dispose du profil pour rester avec nous sur le long-terme, c’est l’un des meilleurs entraîneurs en circulation." Je profite de l’occasion aussi pour remercier mes collègues Piero Ausilio et Dario Baccin qui sont entrain de très bien travailler pour construire une équipe compétitive. Dans le Calcio, tu dois toujours relever le niveau, avoir le courage de gagner sans avoir la peur de perdre. Nous nous présentons ici avec l’objectif de l’emporter, fort de notre démonstration d’être hautement compétitif." "Nous ne devons dévier de ces mots qui a aussi été sans cesse cité durant cet été et après la pandémie : La soutenabilité financière. La soutenabilité financière est nécessaire et est au-dessus tout pour nous, nous avons le devoir, nous trois, de la respecter, c’est notre objectif à atteindre, tout comme cela l’est également pour Alessandro Antonello dans le secteur Corporate, nous remercions tous ensemble, aussi, tous ceux qui travaille aussi derrière nous pour le club." "La soutenabilité ne signifie pas pour autant ne pas être compétitif car sur le Mercato il faut faire preuve de créativité, d’intuition. Nous en somme au cinquième ou sixième jour, nous avons encore deux mois même si le championnat à venir sera disputé d’une façon anormal : Dans sa première partie, il y aura 20 rencontres à disputer : 14 de Serie A et 6 de Ligue des Champions. Le travail de l’entraîneur et de son Staff en sera plus difficile car dans l’Histoire du Calcio, jamais une telle situation ne s’était présentait auparavant. "A propos du Mercato, je tenais à présenter au Mister une équipe compétitive et le travail réalisé démontre que cette promesse. Je remercie aussi les Tifosi qui nous sont toujours proche : Vous êtes le noyau dur de ce club. Notre objectif est de garnir encore plus l’armoire à trophée, les deux titres remportés l’année dernières ne sont pas seulement le fruit des investissement économique, c’est aussi celui de la culture du travail, du sens de l’appartenance qui est très fort, ce sont deux principes que nous devons pousser au maximum." "J'espère que vous ne posez pas trop de questions à Inzaghi sur le Mercato car certaines tâches nous incombent. Je veux juste évoquer le cas Dybala : il fait partie d'un certain nombre de joueurs libre et je dois dire que c'est la première fois que je vois autant de joueurs libre de haut niveau. C'est la démonstration d'un football qui change et dans lequel il faut avoir le courage d'agir au niveau des jeunes. Dybala a représenté et représente une opportunité mais nous sommes bien en attaque et nous avons des joueurs de grande valeur que l'entraîneur devra gérer de la meilleure façon possible, même si j'ai beaucoup d'affection pour Dybala." Place à présent à Simone Inzaghi qui répond aux journalistes Une saison atypique est sur le point de commencer, comment allez-vous l'aborder ? "Cette année sera atypique car nous avons 20 matchs en l'espace de trois mois et ensuite le championnat s'arrête pendant 50 jours. Ce sera un nouveau défi pour tout le monde et nous réfléchissons déjà à la manière de l'aborder. Nous allons nous préparer pendant ces 50 jours, mais ce sera une nouvelle situation pour chaque entraîneur." Pouvez-vous nous parler de vos appels téléphoniques (avec Lukaku), et quand avez-vous été informé de la possibilité qu'il rejoigne le club ? "Une bonne relation avec lui a commencé l'année dernière, puis nous avons eu la chance de le faire revenir cet été. C'est une énorme signature pour nous, même si nous avions la meilleure attaque la saison dernière. Romelu est fort avec son jeu, il marque beaucoup de buts et il va nous donner une nouvelle solution. Mais je n'oublie pas les joueurs qui ont été performants la saison dernière. Ils nous ont permis de remporter ces deux titres, même s'il y a quelques regrets de ne pas avoir gagné le Scudetto avec 84 points. Nous repartons avec beaucoup d'enthousiasme, dans l'espoir que cette année soit bonne." Quels sont les objectifs ? "Gagner. On sait ce qui s'est passé lors du mercato de la saison dernière, les dirigeants du Club ont été brillants. Avec le Staff, nous avons retroussé nos manches et travaillé dur dès le premier jour. Nous avons joué un grand football et les gens disaient que l'Inter était favori, même si ce n'était pas le cas en juillet. Cette année, nous partons derrière le Milan AC, mais nous allons nous battre jusqu'au bout, comme cinq ou six autres équipes. Nous savons que ce sera difficile mais nous voulons être compétitifs comme nous l'avons été l'an dernier." Si Skriniar devait partir, cela poserait-il des problèmes en défense ? "Nous savons qui sont nos dirigeants et ce qu'ils ont fait depuis un an et demi. Skriniar est un joueur de l'Inter en ce moment, un joueur qui a fait une brillante saison et il viendra avec nous à notre camp d'entraînement. Nous verrons ensuite ce qui se passe. Nous sommes en contact permanent avec le club." Où aimeriez-vous relever la barre par rapport à la saison dernière ? "Relever la barre, ce serait de remporter le Triplettino, ce qui nous a échappé la saison dernière pour deux points seulement. La saison dernière m'a quand même apporté beaucoup de satisfaction : Voir tout le stade applaudir après le dernier match et les garçons en larmes car, même s'ils ont gagné deux titres, ils voulaient le troisième. Cette année, nous allons recommencer et nous aurons besoin de nos supporters qui nous ont toujours soutenus et qui seront là pour ce prochain voyage, qui commence le 13 août à Lecce." Qui sera le gardien de but titulaire ? "Handanovic commencera dans les buts car il l'a mérité après une grande saison. Nous savons tous ce qu'Onana peut faire : il est jeune, il est l'avenir et il aura sa chance cette année. Nous croyons en lui". Que direz-vous dans 12 mois ? "J'espère pouvoir vous dire que tout s'est déroulé comme prévu. L'année dernière, j'avais beaucoup d'espoir et d'envie de bien faire. Cette année m'a apporté beaucoup de satisfactions : des trophées, l'accession aux huitièmes de finale de la Ligue des champions. Mais ce qui m'a marqué, c'est l'alchimie avec les supporters. La dernière journée me vient à l'esprit, ainsi que la finale de la Coppa Italia. Ces souvenirs resteront avec moi pour toujours." L'arrivée éventuelle de Dybala sera-t-elle un coup de pouce supplémentaire ? "Nous connaissons bien Dybala. Il a beaucoup de qualité mais nous avons six attaquants dans l'effectif, les quatre que nous avons mentionnés et Pinamonti, qui a un grand avenir, et Sanchez. Donc ce n'est pas bien pour moi de parler d'autres joueurs en ce moment." Quels ont été vos sentiments après le renouvellement ? "J'étais très content. J'ai une excellente relation avec la direction et le président du club. Nous voulons le meilleur pour l'Inter et nous allons tous dans la même direction. J'ai beaucoup de personnes qui m'aident à tout organiser au mieux et je les en remercie." Y a-t-il un joueur qui va nous surprendre cette année ? "Il n'y a pas un seul nom qui me vient à l'esprit. Ils ont tous fait ce que je leur ai demandé la saison dernière ; nous avons eu 52 matchs à haute intensité et nous avons bien joué lors de ce match de huitième de finale, même si cela nous a coûté cher. Je referais tout cela." Y a-t-il quelque chose qui, selon vous, doit être amélioré ? "La saison dernière, nous voulions atteindre les huitièmes de finale pour la première fois en onze ans. On peut toujours faire plus, mais les équipes anglaises sont pratiquement imbattables en ce moment, mais nous avons donné un bon match à Liverpool." Existe-t-il des alternatives au 3-5-2 ? "Nous allons essayer de nouveaux systèmes en pré-saison mais j'aime cette formation et j'ai les joueurs parfaits pour s'adapter à ce système. Nous avons beaucoup d'options et nous avons vu la saison dernière - par exemple en huitième de finale de la Coppa Italia contre Empoli - comment cela peut changer les matchs. On a beaucoup parlé de Lukaku et d'Onana, mais le club a également recruté deux jeunes joueurs talentueux, sans oublier Mkhitaryan, que j'ai toujours apprécié et qui nous aidera à progresser en tant qu'équipe." Il est important pour vous de jouer à fond dans chaque compétition : Cette équipe est-elle plus complète ? "Le club a fait de brillants coups. Nous devons maintenant compenser le départ de Ranocchia et nous y travaillons. L'objectif cette année est d'avoir un noyau dur de 20 joueurs de champ, deux pour chaque rôle, qui soient d'un bon niveau car nous devrons beaucoup alterner avec 20 matchs de la première journée jusqu'en novembre. Ensuite, nous avons trois gardiens de but." "Nous voulons aussi faire venir trois joueurs de la Primavera parce que notre système jeunesse produit beaucoup de talents. Nous aurons Valentin Carboni et nous voulons aussi faire venir Casadei, en qui nous avons beaucoup de confiance. Zanotti a fait ses débuts l'année dernière et j'espère que quelques autres pourront faire leurs débuts cette saison aussi. Je sais qu'il est difficile de percer à l'Inter mais j'espère pouvoir le faire avec quelques autres car nous apprécions nos jeunes joueurs." Avec Lukaku, l'Inter a beaucoup joué en contres. Comment allez-vous tirer le meilleur de lui ? "Il est trop tôt pour le dire mais j'ai quelques idées. L'année dernière, nous alternions la récupération du ballon en haut du terrain et sa conquête dans les zones plus profondes. Il est clair que Romelu va nous apporter quelque chose d'un peu différent. Plus on gagne le ballon haut sur le terrain, moins on a besoin de courir pour marquer. Nous aurons plus de solutions avec lui et nos autres attaquants, qui ont déjà bien travaillé." Quelle impression vous a fait Asllani ? "C'est un jeune joueur qui semble plus âgé qu'il ne l'est. Il sait qu'il y a un joueur devant lui, qui a fait de grandes choses à l'Inter. Il a grandi de manière exponentielle au cours des six derniers mois et nous croyons beaucoup en lui." Ce mercato est-il destiné à apporter des options pour faire plus de changements dans les matchs ? "Nous sommes fiers de ce que nous avons fait jusqu'à présent et, cette année, nous allons essayer de nous améliorer encore plus. Ce ne sera pas facile mais nous sommes l'Inter et nous devons gagner." Y a-t-il une atmosphère différente maintenant. Qu'est-ce qui vous aiderait à relever calmement la barre ? "J'ai la chance d'être capable de gérer la pression. Nous, les entraîneurs, sommes sous pression tous les jours, je sais ce que c'est. J'ai de nombreuses responsabilités, qui me rendent meilleur. Nous savons ce que nous avons fait et, cette saison, nous verrons ce qui se passera mais nous savons que nous avons fait du bon travail jusqu'à présent." Qu'attendez-vous de ce Mercato ? Casadei en est-il retiré ? "Casadei est allé à l'Euro U19. Il fait parti de notre effectif et ensuite c'est au Club de décider. Lors de la conférence de presse de l'année dernière, il a été dit que Hakimi serait le seul départ mais le marché des transferts est imprévisible. La chose que je peux garantir, c'est que le 13 août, l'Inter sera une équipe compétitive avec une soif de gagner. Y a-t-il une hiérarchie parmi les attaquants de l'Inter ? "J'aime les équipes qui marquent beaucoup de buts. La saison dernière, nous avions la meilleure attaque du championnat. Cette année, nous espérons que l'un de nos joueurs pourra remporter le Soulier d'Or." Numériquement parlant, peut-on s'attendre à ce qu'il n'y ait que quatre attaquants ? "Nous savons qu'avec le calendrier des rencontres qui est très chargé, que nous aurons besoin d'un cinquième attaquant et ce sera un jeune joueur. Pinamonti est un joueur confirmé, qui a reçu beaucoup d'offres. Nous verrons ce qu'il se passera. Il est dans l'équipe pour le camp d'entraînement et il viendra avec nous. Mais, normalement, un cinquième attaquant dans l'équipe sera un jeune joueur." L'arrivée de Bremer est-elle possible ? "Je ne discuterai pas des joueurs d'autres équipes". Avez-vous parlé avec Dzeko suite à l'arrivée de Lukaku ? "Nous avons parlé après la trêve internationale pour savoir comment il se sent. Nous savons à quel point il a été important l'année dernière. Il a bien travaillé, a marqué 30 buts et sera à nouveau une arme supplémentaire pour nous." Le Saviez-vous ? Après l'effort, le réconfort, comme en témoigne le cliché repris ci-dessous! Un cliché démontrant la sérénité qui règne au sein du Club! ®Oxyred & Antony Gilles - Internazionale.fr
- 9 commentaires
-
- 11
-
-
- giuseppe marotta
- simone inzaghi
-
(et 24 en plus)
Étiqueté avec :
- giuseppe marotta
- simone inzaghi
- steven zhang
- piero ausilio
- dario baccin
- alessandro antonello
- serie a
- ligue des champions
- paulo dybala
- milan skriniar
- samir handanovic
- andré onana
- coppa italia
- andrea pinamonti
- alexis sanchez
- liverpool
- henrik mkhitaryan
- andrea ranocchia
- primavera
- cesare casadei
- mattia zanotti
- kristjan asllani
- euro u19
- achraf hakimi
- gleison bremer
- edin dzeko
-
Un mois de juin à en faire pâlir le Paris-Saint-Germain !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
En effet, l’Inter a conclu hier un mois de juin qui fera date dans l’Histoire du Club, avec pas moins de 5 recrues de renom, en incluant Raoul Bellanova (qui signera ce lundi 4 juillet), le tout pour une somme astronomique ! Révélation de la Gazzetta Dello Sport "S’il n’y a jamais eu une liste de problèmes à résoudre dans l'équipe de Simone Inzaghi, celle-ci ressemble à présent à un morceau de papier abandonné dans un coin. En fait, toutes les cases ont été cochées et validées avant le rassemblement de pré-saison et il faut en donner tout le crédit aux responsables du Mercato de l’Inter." "Un gardien de but était nécessaire pour l’après Samir Handanovic et Onana, qui évoluait à l’Ajax, était bloqué depuis plusieurs mois. Il y avait aussi ce désespérément besoin de trouver un remplaçant à Marcelo Brozovic et Asllani était le candidat de choix." "La précision des attaquants se devait d’être améliorée et Romelu Lukaku est revenu de Londres. Inzaghi voulait un milieu de terrain de haut niveau et Mkhitaryan est prêt à épauler ses trois titulaires. Ivan Perisic est parti et numériquement Bellanova prendra sa place, avec Robin Gosens comme titulaire." "En bref, un travail à plusieurs tableaux qui a porté des fruits énormes, avec une dépense immédiate de seulement 15 millions d'euros. Dans cette liste hypothétique, il manque au moins un joueur en défense pour couvrir encore le départ d'Andrea Ranocchia et la signature de Paulo Dybala gratuitement, une opération de plus en plus dans la balance, même s’il est prévu dans le calendrier de prendre son temps." 15 millions d’euros...Comment jugez-vous le début de Mercato Nerazzurro ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 43 commentaires
-
- 24
-
-
-
-
-
- raoul bellanova
- simone inzaghi
- (et 10 en plus)
-
C’est une information de la Gazzetta Dello Sport : Le Paris-Saint-Germain n’est plus la seule équipe en piste pour s’attacher les services de Milan Skriniar. En effet, le double champion d’Europe, Chelsea, s’est formellement intéressé à lui auprès de l’Inter Analyse de l'article de la Rosea Trahi par un ancien de la Maison le PSG ? Les Blues ont sondé l'Inter sur Skriniar hier, en profitant des contacts en cours, relatif aux tout derniers détails permettant à Lukaku de retourner dans la cité milanaise. "Le fait est que l'Inter souhaite encaisser de la vente d'un de ses joueurs vedettes autant que possible, comme le démontre la quatrième offre présentée par le Paris-Saint-Germain qui a été refusé : Les intermédiaires du club français présent en Italie depuis une semaine, avaient proposé dimanche, 60 millions d’euros plus Julian Draxler." Une offre refusée sèchement par Giuseppe Marotta et Piero Ausilio qui ne veulent que du cash, car "une partie du produit de la vente servira ensuite à trouver le remplaçant de Milan pour compléter le trident défensif d'Inzaghi". En effet, avec le départ en fin de contrat d’Andrea Ranocchia, il manque déjà un défenseur en termes de disponibilité." Avec le départ de Skriniar, deux renforts sont prévus dont Gleison Bremer, qui reste la cible principale, lui avec qui un accord a déjà été trouvé, mais où des discussions sont en cours avec un Torino qui demande 50 millions d’euros. Les autres noms sur la table sont Nikola Milenkovic de la Fiorentina et Soyuncu de Leicester : tous deux ont la particularité de présenter un contrat expirant au 30 juin 2023 et tous les deux sont partant à l’idée de rejoindre l’Inter ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 12 commentaires
-
- 4
-
-
- milan skriniar
- paris-saint-germain
- (et 12 en plus)
-
Rai Sport se livre sur Milan Skriniar et Paulo Dybala
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
La rédaction sportive de la célèbre chaîne publique italienne s’est livré aussi bien sur la négociation relative à l’argentin que sur l’intérêt du club français pour le slovaque: "Demain matin, les agents de Dybala vont appeler Marotta pour fixer la prochaine rencontre qui se verra décisive et qui devrait se tenir entre mercredi et jeudi. Actuellement, il y aurait encore de la distance entre l’offre et la demande : soit 5,5 millions d’euros et les 7 millions d’euros demandé. Pour Skriniar, le Paris-Saint-Germain offre 50 millions d’euros + 10 millions de bonus, mais l’exigence de l’Administrateur-Délégué serait de 80 millions d’euros, la même somme demandé pour Alessandro Bastoni." "Bremer, sur lequel on retrouve le Napoli, et Milenkovic sont les possibles remplaçant du slovaque et d’Andrea Ranocchia qui a quitté le club en fin de saison. "Asllani est quasiment interiste : 12 millions d’euros + Satriano feront l’affaire avec l’Empoli." ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 4 commentaires
-
- 2
-
-
- milan skriniar
- paulo dybala
- (et 7 en plus)
-
Mise au point de l’Actu Mercato via Gianluca Di Marzio
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
Ces derniers jours, Gianluca Di Marzio s’est livré sur l’actualité importante entourant l’Inter. Voici un récapitulatif de la situation L’Inter veut 2 défenseurs "L'Inter veut Milenkovic, le défenseur de la Fiorentina, il y a eu des contacts ces derniers jours. L'Inter cherche à prendre deux défenseurs : un pour palier le départ de Ranocchia parti en fin de contrat un autre pour compenser le départ d'une grosse pointure défensive, nous verrons si ce sera de Vrij, Skriniar ou Bastoni qui a pourtant dit vouloir rester. Attention toutefois car la valeur de Milenkovic augmente beaucoup" Une attaque qui envoie du petit bois "Lukaku et Dybala sont deux opérations distinctes, celle de Paulo est beaucoup plus avancée, celle de Big Rom est plus compliquée. L'Inter aujourd'hui n'a toujours ni l'un ni l'autre. Lautaro ne veut pas quitter l'Inter, il veut y rester. Si Lukaku ou Dybala arrivent, et cela s’annonce pour moi difficile de signer les deux, quelqu'un devra forcément partir devant." Des joueurs déjà réservés "L'Inter a également bloqué Bremer, Asllani, Bellanova, en attendant de boucler certaines ventes pour les financer. L'arrivée éventuelle du défenseur serbe de la Fiorentina ne dépend pas non plus de la négociation pour Bremer. Kristjan Asllani est réservé, il s’agit d’une opération de 15 millions au total entre la partie fixe et les bonus et il y a déjà un accord avec le joueur. Asllani, sauf surprise, deviendra le vice-Brozovic demandé par Simone Inzaghi pour renforcer l'effectif des Nerazzurri." Alessandro Bastoni "Il s’exprime avec beaucoup de Nerazzurro dans ses paroles. Nous savons qu'il est courtisé par Tottenham et Manchester United, mais pour l'instant, il n'y a pas d'offres officielles". Le saviez-vous ? "Romelu était parti pour gagner plus d'argent et essayer de gagner le Ballon d'Or, parce que dans sa tête il y avait ce genre d'objectif : Après un an il a décidé de revenir en réduisant son salaire parce qu'ici il se sentait comme un protagoniste aussi bien au niveau de l'environnement, qu'avec l'entraîneur. Je considère que c'est difficile parce que je me mets à la place de Chelsea : vous avez payé 115 millions d'euros et que faites-vous, vous le prêtez gratuitement ? C'est un peu difficile, mais dans le football tout peut arriver". ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 14 commentaires
-
- 8
-
-
- gianluca di marzio
- nikola milenković
- (et 15 en plus)
-
Tullio Tinti: "Bastoni va rester à l'Inter"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Tullio Tinti, l'agent d'Alessandro Bastoni et de Simone Inzaghi a été intercepté à la sortie du Siège Nerazzurro par nos confrères de Fcinter1908.i: "Inzaghi, Bastoni, qui d'autres ? J'en ai beaucoup, j'ai Ranocchia et aussi quelques jeunes." Y-a-t'il des chances que Bastoni reste ? "Il y a toujours des possibilités." Pouvez-vous apaiser les Tifosi sur la situation entourant Alessandro ? "Absolument, Bastoni va rester à l'Inter. Il a un contrat avec le club et il est heureux de jouer ici." Allez-vous revoir son contrat à ce stade ? "Je respecte les contrats, mais si on m'appelle, il n'y a pas de problème". Concernant la prolongation de Simone Inzaghi, Tinti a préféré filer en douce: "Je dois filer parce que j'ai beaucoup d'autres choses à faire." ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 9 commentaires
-
- 12
-
-
- tullio tinti
- alessandro bastoni
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Si Silvio Berlusconi était le Président du Milan Ac, pour recruter de très bons joueurs, il s’adresse tout de même à l’Inter! Révélation de la presse transalpine Selon Tuttosport: "Avec une poignée de millions d'euros , Monza va se retrouver avec des personnalités non-négligeables. La plus importante est celle du gardien de but Michele Di Gregorio, 24 ans, qui deviendra sa propriété via l’activation de l’obligation de rachat pour une somme d’environ 4 millions d’euros. De plus, l’Inter propose le milieu de terrain Stefano Sensi âgé de 26 ans qui si sa technique n’est pas remise en cause, fait défaut au niveau de sa forme physique. En conséquence, l’Inter souhaiterait s’attacher les services de Carlos Augusto en insérant l’international italien dans la transaction. Monza devra discuter avec l'Inter du droit de rachat du défenseur Lorenzo Pirola, âgé de 20 ans. En défense, on pourrait voir aussi Andrea Ranocchia, 34 ans, dont le contrat expirant en juin n’a pas été renouvelé." Selon Calciodangolo.com, Antonio Candreva serait également courtisé et une somme de 2,5 millions d’euros pourrait faciliter la transaction. Francesco Acerbi serait également dans le viseur. Selon Ilmessaggero.it, Mario Balotelli et Andrea Belotti sont dans le viseur. Enfin, l’enveloppe mercato communiqué par le site Forzamonza.it serait de 60 à 70 millions d’euros! Pensez-vous que Monza puisse être la révélation de la saison 2022/2023 et perdurer en Serie A, avec aux commandes le duo historique qui a multititré le second club de Milan ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 5 commentaires
-
- 6
-
-
-
-
- monza
- silvio berlusconi
- (et 9 en plus)
-
Andrea Ranocchia quitte l’Inter
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En larme en fin de match, Andrea Ranocchia s’est livré sur la fin de son histoire avec l’Inter : "J’espérais arrêter ici d’une façon différente vu comment nous avons travaillé toute l’année. Je dois tous vous remercier, je dois remercier les gars de la Curva, tous les Tifosi qui m’ont toujours été proche, les garçons, ma famille, je suis heureux, je suis heureux, satisfait de ce que j’ai donné et c’est bon ainsi." Comment a changé l’Andrea de janvier 2011 ? "Il était jeune, avec tant d’ambitions, des espoirs, l’envie de gagner. J’ai encore énormément soif de victoires, je vais un peu me reposer et je penserai ensuite à l’avenir." Qu’est-ce qui vous a manqué pour le Scudetto ? "Nous avons traversé une période difficile, nous avons dû affronter tous les rivaux en même temps et c’est là que nous avons perdu le plus de points, il y a de l’amertume sur cela. Mais c’est le football, il faut l’accepter , continuer à aller de l’avant et se divertir." Ou vous retrouver l’année prochaine ? "Je ne sais pas encore je n’en ai pas la moindre idée, je vais un peu me reposer et j’y réfléchirai à tête reposée." Il Capitano des Capitano lui rend hommage A travers un message sur Twitter, Javier Zanetti a rendu hommage à Andrea "Andrea, au fil des années, tu as été un vrai symbole de l'Interisme. Sur le terrain et en dehors. Tu avais toujours le bon mot pour tous, la capacité de répondre toujours présent, il y a tellement de moments indélébiles. L'Inter sera toujours ta maison, avec l'affection et le respect des Interiste. Merci" Suivi de la Curva Nord à sa façon En effet, lors du match contre la Sampdoria, la bannière "Ranocchia, tu es la Fierté de la Nord" est apparue dans la Curva Nord. Une preuve de l'appréciation des Tifosi envers un joueur qui était un exemple de professionnalisme et d'attachement aux couleurs de l'Inter. Qu'est-ce qui vous aura le plus marqué au cours de la Carrière de la Grenouille à l'Inter ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 16 commentaires
-
- 18
-
-
-
- andrea ranocchia
- scudetto
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Grâce à sa victoire 4-2 sur la Juventus au Stadio Olimpico de Rome, l'Inter a remporté la Coppa Italia pour la huitième fois de son histoire. Les Nerazzurri ont atteint la finale de la compétition à 14 reprises et ce triomphe porte à 42 le nombre de trophées remportés par le club depuis sa fondation en 1908. Seules la Juventus (14) et la Roma (9) ont remporté la Coppa Italia plus souvent que l'Inter, la Lazio (7) occupant la quatrième place du classement. Après avoir perdu contre la Juventus en finale de la Coppa Italia en 1959 et 1965, l'Inter a maintenant battu les Bianconeri dans deux finales consécutives, après la Super Coupe d'Italie en janvier à San Siro, avec une prolongation nécessaire pour déterminer le vainqueur. Le dernier triomphe de l'Inter en Coupe d'Italie remonte à 2011, lorsque l'équipe de Leonardo avait battu Palermo 3-1 grâce à deux buts de Samuel Eto'o et un autre de Diego Milito. Un certain Andrea Ranocchia était dans le onze de départ ce jour-là, tandis que le défenseur était également dans le groupe à l'Olimpico où il a célébré son deuxième succès en Coppa Italia, 11 ans après son premier. Les finales de l'Inter en Coppa Italia 1939 | Ambrosiana Inter 2-1 Novara 1959 | Inter 1-4 Juventus 1965 | Juventus 1-0 Inter 1977 | Milan 2-0 Inter 1978 | Inter 2-1 Naples 1982 | Inter 2-1 Torino, en aller-retour 2000 | Lazio 2-1 Inter, en aller-retour 2005 | Roma 0-3 Inter, en deux manches 2006 | Roma 2-4 Inter, en deux manches 2007 | Roma 7-4 Inter, en deux manches 2008 | Roma 2-1 Inter 2010 | Inter 1-0 Roma 2011 | Inter 3-1 Palerme 2022 | Juventus 2-4 Inter Palmarès de l'Inter 19 Scudetti 8 Coupes d’Italie 3 Ligues des Champions 2 Coupes Intercontinentales 1 Coupe du Monde des Clubs 3 Coupes de l'UEFA 6 Super Coupes d'Italie Statistiques de la finale à Rome L'Inter est la première équipe à avoir marqué deux fois en prolongation lors d'une finale de Coppa Italia depuis Vicenza, qui avait réussi à le faire contre Napoli en 1997. L'Inter est le premier club à avoir transformé deux penaltys dans une finale de Coppa Italia (hors séances de tirs au but) depuis la Sampdoria contre Ancona en 1994. Les Nerazzurri ont joué les prolongations dans une finale de Coppa Italia pour la première fois dans l'histoire du club, tandis que les Bianconeri ont connu leur quatrième prolongation au cours de leurs sept dernières finales de coupe. L'Inter est devenu la troisième équipe à battre la Juventus trois fois en une seule saison, toutes compétitions confondues, après la Fiorentina en 1940/41 et la Lazio en 1942/43. Ivan Perisic est le quatrième joueur de l'Inter à avoir inscrit un doublé en finale de la Coppa Italia, après Adriano (2005 contre la Roma), Hernan Crespo (2007 contre la Roma) et Samuel Eto'o (2011 contre Palermo). Le but de Nicolo Barella six minutes après le début du match est le but le plus rapide dans une finale de Coppa Italia depuis le but de Stefan Radu pour la Lazio contre la Juventus le 20 mai 2015 à la 4ème minute. Barella est le premier Italien à marquer pour l'Inter dans une finale de Coppa Italia depuis Alessandro Altobelli qui avait marqué lors du match retour de la finale 1981/82 contre le Torino. Barella a inscrit le deuxième but de l'Inter dans les six premières minutes d'une finale de Coppa Italia, imitant ainsi les exploits d'Esteban Cambiasso contre la Roma, 16 ans plus tôt, le 11 mai 2006. La frappe de Barella était le premier but en dehors de la surface dans une finale de Coppa Italia depuis Douglas Costa et son but contre l'AC Milan en 2018. Hakan Calhanoglu est le premier joueur à transformer un penalty dans une finale de Coppa Italia depuis Edinson Cavani contre la Juventus en 2012. ®Internazionale.fr via inter.it - Traduction Oxyred
- 4 commentaires
-
- 6
-
-
- inter
- coppa italia
- (et 20 en plus)
-
Le capitaine de l'Inter, Samir Handanovic, estime que son équipe a mérité sa victoire 4-2 contre la Juventus en Coppa Italia hier soir. S'adressant à InterTV après le match, le capitaine a parlé des émotions débordantes lorsque Ivan Perisic a scellé la victoire en marquant son deuxième but en prolongation pour porter le score à 4-2. La soirée n'a pas été simple pour les Nerazzurri, qui ont mené, puis mené au score, avant d'égaliser à la fin du temps réglementaire pour forcer la prolongation contre les Bianconeri. Cependant, à la fin de la soirée, l'équipe a remporté la Coppa Italia pour la première fois en onze ans, ce qui était la première fois pour tous les joueurs de l'équipe à l'exception d'Andrea Ranocchia. Handanovic est avec les Nerazzurri depuis une décennie, et après avoir remporté le Scudetto la saison dernière, il a maintenant ajouté la Coppa Italia à la liste des trophées qu'il a gagnés avec le club pour couronner une période fructueuse sous le maillot de l'Inter. "C'était un très beau match", a-t-il déclaré. "Nous sommes très heureux, nous avons gagné de façon méritée. Nous avons fait un grand match, nous avons baissé en deuxième mi-temps, nous avons encaissé deux buts, mais sinon nous avons contrôlé le match." Et à propos du sentiment de voir Perisic marquer le but qui a rendu le match 4-2, il a déclaré : "Nous jouons ensemble depuis des années, nous savons à qui faire confiance quand les choses ne se passent pas comme on le souhaite." "J'ai ressenti des émotions très fortes pour lui et pour toute l'équipe", a-t-il ajouté. ®Internazionale.fr via SempreInter - Traduction Oxyred
-
- 4
-
-
- inter
- samir handanovic
- (et 8 en plus)
-
La vedette du MatchDay Programme dédié à la Coupe d’Italie est l’ancien Capitaine de l’Inter Andrea Ranocchia, qui est d’ailleurs le dernier survivant de l’Inter du Triplé, lauréate de l’Edition 2011 "C'était mon premier titre avec l'Inter et j’en garde de merveilleux souvenirs, c’était à l'Olimpico contre Palerme. Il y avait beaucoup d'émotions, je partageais le terrain avec les Champions du Triplé et au coup de sifflet final, la joie était immense, une émotion incroyable que je porte encore en moi aujourd'hui. Depuis que je suis enfant, j'ai toujours rêvé de jouer pour une équipe aussi importante que l'Inter et porter ce maillot pendant tant d'années est un véritable honneur" "Mon but, en huitième de finale contre Empoli est le plus beau de ma carrière, à la fois pour la manière dont il a été inscrit, mais aussi et surtout car il nous a permis d’arriver ici. Après ce match, nous avons eu connu une très belle série de victoires contre la Roma et l'AC Milan, ce qui nous a permis d’accéder et de jouer cette Finale. Notre groupe est très beau, nous sommes très proches: Nous avons traversé de bons moments et aussi de moins bons moment, mais nous voulons disputer cette fin de saison en nous donnant au maximum." "Contre la Juventus, notre niveau d’attention et de concentration se devra d’être très élevé afin d'éviter de commettre au maximum les erreurs. Nous savons que nous ferons face à une équipe forte: Ce sont toujours des matchs difficile face à la Juve, mais nous sommes prêt à les jouer." Uno Di Noi ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 5 commentaires
-
- 5
-
-
- andrea ranocchia
- empoli
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Marotta, Ausilio et Baccin veulent conserver les Top Players !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
C’est l’information de la journée, bien plus encore que la rencontre face à Empoli et c’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport, si tout est clair pour la Direction Italienne qui se doit de récolter entre 60 et 70 millions d’euros tout en taillant dans la masse salariale à hauteur de 15 à 20%, celle-ci étudie la possibilité de ne céder aucun Top Players. "Skriniar, Bastoni, Barella et Lautaro sont ceux qui de part leurs qualités sont les plus courtisés par les grands d’Europe, mais l’Inter espère pouvoir tous les conserver en sacrifiant quelques jeunes prometteurs à l’image d’Andrea Pinamonti, de Martin Satriano et de Salvatore Esposito en plus d’un joueur "moins indispensable"que ceux susmentionnés et cela vaut aussi pour Dumfries pourtant apprécié par le Bayern." "Des économies vont être garanties par le départ des Sud-Américains : Vecino est en fin de contrat et il est déjà hors du projet depuis un certain temps. Alexis Sanchez et Arturo Vidal qui disposent d’une autre année de contrat à un salaire exorbitant, recevront une prime de départ, déjà prévue pour Arturo et à négocier par contre avec Alexis, quitteront Milan." "Crux qui quitteront également probablement la ville milanaise sont Sensi, actuellement prêté à la Samp, et Gagliardini sera à évaluer vu qu’il s’agit du secteur qui est amené à être le plus chamboulé. L’avenir de D'Ambrosio et de Ranocchia sera discuté au terme de la saison actuelle. La Vieille Garde semblait déjà hors sujet il y a un an, avant de prolonger. Handanovic devrait rester pour agir en tant que Tuteur pour Onana." Un identikit de recrue déjà identifié "Le gardien du Cameroun et de l’Ajax recruté gratuitement s’ajoute déjà à la Collection "Marotta&Ausilio" mais le bijou qui resplendirait le plus serait Dybala "largué" par la Juve. Et avec la présence de la Joya à la place de Sanchez pour un salaire similaire, l’Inter serait plus forte et plus jeune sans devoir payer le moindre centime à un autre club." "Plusieurs profils sont à l'étude pour chaque poste avec toutefois l'avertissement habituel que l’on ne pas acheter avant d’avoir vendu, sauf si Steven Zhang marque son accord. Avec le départ de trois milieux de terrain, en plus d'un retour du jeune joueur Agoumé né en 2002 et prêté à Brest où il a acquis beaucoup d’expérience, deux autres recrues sont à planifier pour les inclure dans la rotation à venir avec Barella, Brozovic et Çalhanoğlu . Paredes, Frattesi, De Paul et Pjanic sont les noms dont nous entendons parler", conclut la Rosea. Pensez-vous notre Direction capable de réaliser un tel exploit, un nouveau chef d’œuvre cet été ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 10 commentaires
-
- 4
-
-
- giuseppe marotta
- piero ausilio
-
(et 28 en plus)
Étiqueté avec :
- giuseppe marotta
- piero ausilio
- dario baccin
- milan skriniar
- alessandro bastoni
- nicolò barella
- lautaro martinez
- andrea pinamonti
- martin satriano
- salvatore esposito
- denzel dumfries
- bayern munich
- matias vecino
- alexis sanchez
- arturo vidal
- stefano sensi
- roberto gagliardini
- danilo dambrosio
- andrea ranocchia
- samir handanovic
- andré onana
- cameroun
- paulo dybala
- steven zhang
- lucien agoumé
- hakan çalhanoğlu
- leandro paredes
- davide frattesi
- rodrigo de paul
- miralem pjanic
-
Selon une information des médias italiens, le défenseur de l'Inter Andrea Ranocchia a déclaré que faire partie de l'équipe de l'Inter signifie que vous êtes un joueur de haut niveau même si vous ne jouez pas souvent. S'exprimant lors d'une interview avec Assocalciatori.it, via FCInternews, Andrea Ranocchia a expliqué la façon dont les joueurs comme lui qui ne sont pas titulaires toutes les semaines doivent considérer leur statut et leur importance pour l'équipe. "Être à l'Inter signifie que tu dois être à un haut niveau, sinon tu ne pourrais pas y rester. Le point fondamental est et reste le fait que personne ne donne rien, et donc celui qui arrive à l'Inter, à la Juve, au Milan etc., cela signifie qu'il le mérite, qu'il est fort et cela indépendamment du fait que tu joues 60 ou 5 matchs." "Tu dois toujours être fonctionnel et utile, sinon tu ne peux pas rester, n'est-ce pas ? Et il y a des niveaux, bien sûr, mais ceux qui arrivent au sommet le méritent. Personne ne vous donne rien." Andrea Ranocchia a également évoqué les différents clubs et niveaux auxquels il a évolué et qui l'ont conduit à remporter un Scudetto avec l'Inter la saison dernière. "Il y a ceux qui ont un grand talent qui commencent peut-être immédiatement à un haut niveau. Pas moi, j'ai fait toutes les catégories, C et B et même en Serie A. J'ai commencé à Bari, puis je suis passé au Genoa et enfin j'arrive à l'Inter. "Pour moi, ça a été un apprentissage très très utile, je n'oublie pas les C, les 700 km en bus pour aller aux matchs, sur des terrains qui n'étaient certainement pas adaptés pour jouer au football : tout a été très instructif." Le défenseur affirme que c'est lors de son passage à Arezzo qu'il a compris qu'il pouvait atteindre un haut niveau. "À Arezzo, la première année de Serie B avec Conte. C'était au printemps, même s'entraîner avec la première équipe me semblait déjà beaucoup et j'ai tout fait pour être là avec eux, même si j'ai compris que cela me prendrait du temps, que je devais grandir." L'Italien a passé peu de temps en Angleterre avec Hull City et il a clairement appris beaucoup de choses en Premier League. "L'expérience que j'ai eue en Angleterre, avec Hull City, en 2017, m'a été très utile. J'ai ainsi eu l'occasion de vivre un football différent, des entraînements, des semaines et même des matchs. C'était beau et formateur pour moi, ce qui m'a permis de voir les choses d'une manière différente, avec plus de conscience." Andrea Ranocchia pense que le football était beaucoup plus simple et facile à naviguer pour les joueurs avant l'arrivée des médias sociaux. "Avant les médias sociaux, comme tout le reste, le football était moins exaspéré, je pense qu'il y avait plus d'espace pour les émotions. Maintenant, il y a une toute autre vitesse, tout est accentué, il y a des fake news de sources qui n'existent pas et tout est plus compliqué et exaspéré qu'avant et -je le répète- ce n'est pas seulement dans le football." ®Oxyred - Internazionale.fr Via SempreInter
- 3 commentaires
-
- 9
-
-
- inter
- andrea ranocchia
- (et 12 en plus)
-
C&F : Le détail du contrat de Marcelo Brozovic
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
A travers un communiqué sur son site inter.in, le Club Champion d’Italie a officialisé la prolongation de Marcelo Brozovic: "Le FC Internazionale Milano annonce être parvenu à un accord pour la prolongation du contrat du joueur Marcelo Brozovic : le milieu de terrain né en 1992 sera Nerazzurro jusqu'au 30 juin 2026." Analyse de Calcio&Finanza Le joueur qui était auparavant en fin de contrat au 30 juin 2022 voit son aventure se prolonger de quatre années. S’il va au terme de son nouveau contrat, Marcelo Brozovic aura donc 34 ans à l'expiration de celui-ci ! Cette annonce était attendue depuis très longtemps et elle était de plus en plus dans l’air ces derniers jours. A présent, parmi les joueurs en fin de contrat au 30 juin 2022, on retrouve: Samir Handanovic (salaire actuel 3,2 millions d’euros) Ivan Perisic (salaire actuel 5 millions d’euros) Matias Vecino (salaire actuel 2,5 millions d’euros) Danilo D’Ambrosio (salaire actuel 2 millions d’euros) Arturo Vidal (salaire actuel 6,5 millions d’euros avec une option pour être prolongé jusqu’au 30 juin 2023) Aleksandar Kolarov (salaire actuel 1,5 millions d’euros) Andrea Ranocchia (salaire actuel 1,8 millions d’euros) Alex Cordaz (salaire actuel 0,15 millions d’euros) Un salaire de Crocodile Le milieu de terrain croate est arrivé à l’Inter en Janvier 2015 en provenance du Dinamo Zagreb via un prêt avec une obligation d’achat. La valeur historique que représente le joueur sur les comptes équivaut à présent à 5,7 millions d’euros. En paraphant son nouveau contrat, Brozovic percevra 6,5 millions d’euros par saison, soit une nette augmentation comparé au 3,5 millions d’euros repris dans son précédent contrat. Au niveau des finances de l’Inter, celui-ci représentera un coup de 12 millions d’euros brut sur base du nouveau salaire perçu! Une prolongation bien plus que méritée ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
-
- 8
-
-
-
- calcio&finanza
- marcelo brozovic
- (et 10 en plus)
-
L’Inter, privilégiée par le corps arbitral ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Fcinternews.it a décidé de se pencher sur la thématique de ces derniers jours : L’Inter serait privilégiée ou protégée par le corps arbitral selon une certaine presse Pourquoi maintenant ? "Après la rencontre au Torino, la perception générale était que l’équipe Nerazzurra était favorisée par les arbitres et s’en sortait chanceuse. Mais en réalité à la Viale Della Liberazione, cela fait plusieurs mois que la politique interne du club est de ne pas polémiquer sur cette thématique en général, estimant que ce mode de fonctionnement (du moins jusqu'à présent) est le plus conforme à leur statut de Champion d'Italie. Mais ne jamais se plaindre ne doit pas être confondu avec une attitude de résignation pour les situations dans lesquelles nous avons subi des dommages." Les Nerazzurri pensent, à juste titre, qu'au cours du championnat, il y a eu plus d'un fait de jeu contre l'Inter. Et même s'il n'y a pas eu d’écho important à la télévision ou dans la presse quotidienne, les torts présumés ne peuvent plus être effacés. Du penalty non accordé pour le contact Hongla-Lautaro à Vérone-Inter le 27 août par Gianluca Rocchi au penalty à accorder suite au contact Andrea Ranocchia-Andrea Belotti, tous ont connu un écho différents Tout le monde a oublié une faute évidente sur Denzel Dumfries lors du match Inter-Bologne, tout comme celle de Aleksandar Radovanović sur Roberto Gagliardini contre Salernitana à la dernière minute, alors que le score était déjà de 6-1 et 5-0 respectivement. Mais cela ne signifie pas que la sanction maximale n'aurait pas dû être sifflée . Il y a également le "choc" Alexis Sanchez-Olivier Giroud lors du Derby, ou la collision de Domenico Berardi avec Hakan Çalhanoğlu sur l’action menant au premier but de Sassuolo. Il y a aussi eu ce penalty un peu léger sur Alessandro Bastoni dans Lazio-Inter, ou le contact entre Dumfries et Alex Sandro qui a permis à Paulo Dybala de botter le penalty qui a permis à la Juventus d’égaliser dans les dernières secondes. Ce dernier fait de jeu est clairement plus clair que d'autres, tandis que d’autres situations pourraient être discutées à l'infini, avec le danger que les jugements des tifosi soit, même inconsciemment, orientés vers les couleurs de leur équipe de cœur. Jusqu'à présent, il faut également souligner qu’à la Casa Inter, aussi bien au niveau officiel que dans les interview publique, qu’il n’y a jamais eu de tentative de déplacer l'attention sur un tel ou un tel fait de jeu pour justifier une contreper-formance ou un résultat en deçà des attentes. Il est tout aussi juste de souligner que l'Inter n'est pas aussi avantagée qu'il n'y parait et qu’elle sait parfaitement que le rapport entre les prises de positions favorable/défavorable penche bien plus vers le second cité. Cela ne veut pas dire que demain, certains font s’épancher sur les réseaux sociaux ou changer de comportement, car cela peut toujours arriver. Mais il est bon de rappeler que tout ses faits racontent finalement, une histoire bien différente que celle décrite ces derniers temps... ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
-
- 6
-
-
-
- torino
- lautaro martinez
- (et 6 en plus)