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Antonio Cassano : "Allez chercher City ! Après, on verra !"
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
S'exprimant en direct sur Twitch sur 'Bobo TV', Antonio Cassano se livre sur la finale de la Ligue des champions contre le monstrueux Manchester City. Vous soutenez l'Inter ? "Évidemment, nous quatre soutenons l'Inter. Je suis un fan de l'Inter. Genre est-ce que je peux dire le contraire ? Alors, c'est normal que City soit meilleur, ils jouent mieux, ils sont plus forts. C'est l'équipe la plus forte du monde et tout le monde peut le voir. Mais...il y a un mais" Quel match l'Inter jouera-t-elle ? "Manchester aura le ballon dans le match, exclusivement, car qu'ils jouent contre le Real, l'Inter ou le Saint-Marin, ils auront toujours le ballon dans le match et ils décideront le sens du match. L'Inter devra partir avec courage, à trois ou quatre, et ils devront faire en sorte que City ne prenne pas les devants, comme ils l'ont fait contre la Fiorentina car autrement, ça devient difficile. Plus le match dure, plus les Nerazzurri ont une chance de jouer de cette manière. City aura plus d'occasions et c'est évident. Cependant, s'ils me disent que l'Inter remporte sur le 100e penalty, je signe maintenant. City est favori et aura la possession du ballon du début à la fin mais nous verrons ensuite. L'Inter va jouer un match attentiste, puis il y a les épisodes : un coup franc, une erreur d'un joueur de l'équipe de Guardiola... Vous pouvez mettre le jeu sur de bons rails et le jouer en contre-attaque. Mais entre dire et faire, il y a un univers. Croisons les doigts et espérons le meilleur." Haland la solution ? "Non." La solution est toujours Guardiola ? "Oui. Je dis aussi que cette année City a perdu contre une équipe qui joue en 3-5-2, je parle de Brentford. Est-ce une coïncidence ? L'Inter joue pareil donc je dis : jouons le jeu. Ils peuvent faire ce qu'ils veulent de vous, s'ils se mettent à tourner, ils vous font peur et si vous ne repartez plus, ils vous font tourner la tête. Mais si vous recommencez et que vous marquez un but, et peut-être un autre, la situation change et le jeu se passe bien. Je dis : allez les chercher, après on verra. Tout au plus tu perds contre le favori !" Traduction alex_j via FCInterNews.- 9 commentaires
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Tout le monde s'exprime sur le retour de l'Euroderby, y compris Antonio Cassano lors de son émission FantAntonio sur 'Bobo TV'. "Il est pratiquement impossible pour que le Milan revienne de deux buts face à l'Inter lors du match retour de l'Euroderby. L'Inter doit jouer à 7, avec les garçons de la Primavera pour être éliminée. Et encore, il y a le risque que Milan ne puisse pas les battre! Avec ou sans Leao, ça ne change rien! Milan est inférieur à l'Inter. Le Portugais n'est pas Kakà ou Ronaldinho, je ne le vois pas ce niveau. Pour moi, seule une catastrophe doit arriver pour que l'Inter sorte. Après le match aller, la performance du mois dernier et les deux buts d'avance, à mon avis, il n'y a plus aucune chance pour les Rossoneri. Alors peut-être que pour la énième fois je me tromperai dans ma prédiction..." Sacré Cassano... Est-il fou ? Est-il génie ? Seul Dieu le sait Traduction alex_j via FCInterNews
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Voici les mots d'Antonio Cassano à BoboTV après la victoire 2-0 de l'Inter dans l'Euroderby. "Il n'y a jamais eu de match! Je pensais que l'Inter était plus forte que le Milan. Cette fois, nous avons vu un gouffre terrible et à tous les niveaux. Les Nerazzurri ont tout dominé. L'impression était que Milan n'avait pas d'armes, zéro : sans Leao, l'équipe de Pioli est linéaire et toutes les failles sont apparues, de la défense aux couloirs latéraux. Dzeko et Lautaro ont ridiculisé Tomori et Kjaer. Theo ? nul ! Giroud et les autres petits trucs ? Ouais... Le seul qui a essayé de faire quelque chose c'était Tonali." "Dans le football donc, tout peut toujours arriver. Mais franchement, je ça vois très dur pour les Rossoneri même si Leao revient. Ce 2-0 est un peu faible pour l'Inter : l'équipe d'Inzaghi a raté le 3-0 encore et encore." "Si on le critique souvent pour le championnat, il faut dire qu'Inzaghi ne commet pas d'erreurs en coupe! Comme Dzeko. Le mouvement bras dessus bras dessous avec Damrian était parfaitement chronométré, il ne se trompe pas. Si c'est cette Inter, pas de correspondance au retour! Cela dit, à mon avis, Inzaghi ne devrait pas être confirmé car il n'a pas bien fait ces 20 mois. Je séparerais les chemins même s'ils gagnent la Ligue des champions." Traduction alex_j via FCInterNews.
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S'exprimant dans 'Bobo TV', Antonio Cassano analyse le match contre la Roma. "Jusqu'à la 60e minute, c'était un très mauvais match même si l'Inter était à 1-0. C'était un sale match, beaucoup de fautes, beaucoup de choses que je n'ai pas aimées. Le match s'est terminé à 0-2 mais aucune équipe ne m'a exalté. On sait comment est la Roma. L'Inter pendant 60', je n'ai pas bien vu. Alors si vous me dites qu'elle a gagné à juste titre, oui. Mais c'était très lent, quand ils ont accéléré le rythme, ils avaient certainement des idées contrairement à la Roma dont on sait qu'elle ne joue pas. L'Inter a gagné à juste titre mais elle ne m'a pas exalté." "Concernant l'attaque, je dis que Dzeko joue et la gestion du dernier match me laisse penser qu'il jouera. Avec Dzeko, il se concentrera davantage sur la gestion du match et la possession de balle." "Pour les pronostics des demi-finales, entre City et le Real je dis City. Dans l'autre demi-finale je pense que l'Inter passera et j'espère qu'ils le feront. L'Inter a plus de joueurs, plus de qualité et est en en bien meilleure forme. A mon avis, ils font match nul 1-1 au match aller, puis l'Inter gagne 2-0 au match retour." Traduction alex_j via FCINterNews.
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Antonio Cassano : "Mourinho ? Il va laisser quelque chose ? Laisse moi rire !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Discours d'Antonio Cassano après la réponse de José Mourinho. L'ancien attaquant s'en prend à nouveau à l'entraîneur portugais qui, après Turino-Roma, avait eu son mot à dire sur les polémiques constantes de FantAntonio envers son travail. Comme d'habitude, tout dans la finesse! "Je le répète : en 18 ans de carrière, je n'ai jamais porté de coups avec qui que ce soit. J'ai foiré et j'ai toujours pris mes responsabilités. Mais je n'ai jamais porté de coups. De toute évidence, certains de ses lapins lui ont dit du mal et ont écorné ce cher José." "N'ai-je jamais rien gagné? Le football a toujours été pour moi amour, passion et plaisir. J'ai choisi la Roma pour ces raisons, sinon je serais allé à la Juve. Mourinho va demander à Conti, De Rossi et Totti ce que j'ai fait à Rome. Il a gagné mais il cause un gâchis : il fait des catastrophes, un spectacle dégueulasse." "L'Inter ? Il a gagné ce qu'il a gagné, pas moi, mais j'ai toujours joué pour divertir. Il a gagné en jouant au football crade. Il doit comprendre que, en tant qu'entraîneur, il est pauvre! Il parle, il joue au magicien avec des incompétents. Mais les gens ne sont pas stupides, ils ont compris qu'il était resté 30 ans en arrière. Il a eu la chance d'entraîner de grands champions en jouant à un football de merde." "Le Real Madrid ? J'ai très mal joué, je n'ai jamais joué à cause de mes défauts. Mais s'ils m'ont pris, parmi les Galactiques, cela signifie que j'étais un phénomène. Ils t'ont renvoyé de Madrid parce que tu jouais un football dégueulasse. Et je me souviens d'Inter-Samp, quand tu faisais du bruit, du cinéma, des menottes, incitant tout le monde. Tu ne sais pas parler de foot, José : je peux t'expliquer tout ce que tu veux parce que j'étais un grand footballeur. Michels, Sacchi, Guardiola : ils ont vraiment changé le football et on se souviendra d'eux. José, le jour où tu arrêteras d'entraîner, après trois jours, personne ne se souviendra de toi. Tu ne laisseras que des querelles et des emmerdes!" Sacré Cassano, "Le football a toujours été pour moi amour, passion et plaisir.", c'est sûr que pour lui le football n'était pas "Amour, Gloire et Beauté" Traduction alex_j vis FCInterNews.- 7 commentaires
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L'entraîneur a répondu à l'ancien attaquant pour toutes les fois où il l'a critiqué sur Bobo TV en disant que l'entraîneur se fiche de la Roma! Pas du genre à mâcher ses mots, José Mourinho a encore une fois justifié cette étiquette qui lui colle à la peau. Attaqué par Antonio Cassano cette semaine, qui avait déclaré sur la chaîne Youtube Bobo TV qu’il n’était pas "au niveau" pour entraîner le Real Madrid. Il se fiche de la Roma, il se fout de la gueule du monde. Il veut juste retourner en Angleterre, qui est un championnat qui compte." L'entraîneur de l’AS Rome a réagi après la victoire des siens ce samedi face au Torino (0-1). Et comme souvent, le Special One y est allé sans prendre de gants: Chacun est libre d’avoir ses préférences ou même de critiquer. Mais quand il s’agit des autres, comme Antonio Cassano, les choses sont différentes. Il s’amuse et les autres travaillent sérieusement. Cassano a joué pour la Roma, l’Inter et le Real Madrid. A Madrid on se souvient de lui pour son manteau, avec la Roma, il a remporté une Supercoupe sans jouer et avec l’Inter, il n’a même pas remporté la Coupe de Lombardie. »Vous savez ce que j'ai gagné avec l'Inter, le Real Madrid et la Roma. Il aura un problème avec moi, je n'en aurai pas avec lui. Je ne lui dirai qu'une chose : Attention Antonio, tu as 40 ans et j'en ai 60". Ça t'apprendra Antonio! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Antonio Cassano : "Inzaghi dégagera... Lukaku ? Il est lourd et triste !"
alex_j a posté un article dans Interviews
S'exprimant sur BoboTV sur Twitch, Antonio Cassano a commenté le match nul de l'Inter contre Salernitana comme suit. Comme d'habitude, il fait tout dans la nuance et la subtilité. Musique maestro! "L'Inter méritait de gagner, contre Salernitana, ils avaient beaucoup d'occasions. Ils ont fait l'impossible pour ne pas gagner, j'aimerais comprendre ce qui se passe avec Lukaku. Il est effrayé, triste, lourd et en difficulté. Il y a deux mois, j'étais convaincu de l'Inter serait en Ligue des champions, qu'ils pourraient terminer dans le top 4. La chose négative à propos de Lukaku, c'est que je le vois lourd. Correa est un top flop, il se chie dessus, il a peur. Je le connais depuis la Sampdoria et je l'ai toujours dit, c'est beau à voir mais il rate toujours le match, il a fait un match merdique pour l'Inter." "Même Lautaro a fait une impression négative au cours du dernier mois et demi, j'ai l'impression qu'après la gueule de bois de la Coupe du monde, il a des difficultés physiques. Le but mangé du 2-0 ? Cela ressemblait à nous quatre à Padel, le dernier contrôle était également mauvais. Il a marqué 6 buts en Ligue des champions dans sa carrière et il est impossible de dire qu'il fait désormais partie des 5 meilleurs mondiaux. J'ai l'impression qu'il reste une équipe au top, si vous le mettez à Chelsea ou au Bayern il marque 35-40 buts par saison." "Lukaku est un point d'interrogation, Dzeko a 37 ans, Correa marque 3 buts par saison. Avec 9 matchs à jouer, l'Inter est à -23 de Naples, de quoi parle-t-on ? Si on parle d'entraînement sportif, l'Inter n'a jamais été brillante, le seul vraiment brillant c'était en Supercoupe. Physiquement ils sont mauvais, il y a des blessés, tu arrives au moment crucial et physiquement pas au top, 23 points derrière le Napoli. Espérons que l'Inter continue, sinon je vois difficilement qu'Inzaghi finisse le championnat." "Je suis convaincu que si l'Inter sort contre le Benfica, Inzaghi partira pour moi. Ils risquent de ne pas aller en Ligue des champions, ce serait un bain de sang terrible." Traduction alex_j via FCInter1908.- 3 commentaires
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Antonio Cassano en est persuadé : "Inzaghi a été lâché par le vestiaire, il a perdu sa crédibilité en faisant un geste" S'adressant aux micros de BoboTV sur Twitch, Antonio Cassano a ainsi parlé de Simone Inzaghi et de l'Inter : « Je dis depuis deux mois qu'Inzaghi ne sera pas l'entraîneur de l'Inter l'année prochaine. Il aurait dû être licencié plus tôt: "Ne pas finir dans les 4 premiers est une catastrophe. Contre la Fiorentina, l'Inter aurait pu gagner, ils ont eu mille occasions. Ils auraient pu gagner 7-1, mais la Fiorentina a créé en équipe, ils ont bougé en équipe. Tout le monde a ramé du même côté." "Inzaghi a été lâché par le vestiaire, il a fait une chose pour perdre la crédibilité du groupe : il a mis son homme de confiance, Acerbi, et a enlevé De Vrij. Et à mon avis il a aussi des problèmes avec Brozovic, il a eu l'intuition de mettre Calhanoglu a la place du Croate. Barella n'est pas en forme. Lukaku est lourd, il aurait pu marquer 4 buts contre la Fiorentina. Il est content avec la Belgique, il est morose et effrayé à l'Inter. Quand il mis 3 attaquants, ils ne savaient pas quoi faire sur le terrain" "À mon avis, Marotta a des doutes. À moins qu'Inzaghi ne remporte la Ligue des champions, il rentre chez lui et Conte arrive. Pour moi, Conte est déjà idéalement à Appiano. Dans un moment de grande confusion, il n'y a pas d'entraîneur qui puisse mettre les choses en ordre. Le seul c'est Conte, il vous coupe en deux, allez à 1000 km/h et il décide. Le seul qui puisse redresser le bateau, je suis convaincu que Marotta a contacté Conte" "Y a-t-il besoin de faire des ventes? Gosens et Dumfries peuvent partir, je suis convaincu que Conte, sans ces deux-là, ne serait pas à 25 points de Naples. Conte se battrait pour le Scudetto. Marotta a renouvelé Inzaghi, il se couvre derrière le cul des autres. Mais Inzaghi voulait Correa à tout prix, il voulait Lukaku et pas Dybala. Il a renvoyé Sanchez, un joueur phénoménal. Il a pris Acerbi en coupant De Vrij, ça fait 4 erreurs sensationnelles. Et Marotta l'a soutenu, il sort bien quand l'Inter va bien, quand il y a des catastrophes il décharge sur d'autres personnes. Le petit jeu avec moi ne fonctionne pas. Inzaghi est à 70% à blâmer, et le reste pour Marotta" D'accord avec Cassano? Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Antonio Conte redeviendra entraîneur de l'Inter. C'est ce qu'a déclaré Antonio Cassano sur Bobo TV après la nouvelle de ses adieux à Tottenham. Antonio Cassano n'a aucun doute : Antonio Conte reviendra entraîneur de l'Inter. En direct sur Bobo TV sur Twitch , l'ancien attaquant des Nerazzurri s'est ainsi exprimé sur le possible limogeage du coach à Tottenham. La nouvelle a été rapportée en Angleterre par le Telegraph dans ces dernières minutes. « Conte limogé ? Cela ne me surprend pas. Regardez où cela peut aller maintenant. Je suis convaincu que l'Inter est l'option numéro un pour Antonio Conte. Les mots forts du week-end dernier ont mené dans cette direction », les déclarations de Cassano sur l'avenir de Conte. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Vieri : Cela aurait été différent aujourd'hui avec les réseaux sociaux: Tu peux te défendre! L'ancien attaquant des Nerazzurri est revenu sur l'épisode de "l'évasion" de la Pinetina avec son ancien partenaire Luigi Di Biagio et a expliqué que rien ne s'était passé comme ils l'avaient dit. Il y est revenu. Bobo Vieri , sur sa chaîne Twitch, lors de l'émission en direct avec Cassano, Adani et Ventola, a parlé de ce qui s'était passé avec Di Biagio lorsqu'ils ont quitté le camp d'entraînement de Pinetina au milieu de la nuit et ont été punis par l'Inter le lendemain. «Cette nuit-là, nous étions allés dormir à la maison. Gigi et moi allions dormir chez moi, mais à un moment il m'a demandé de l'accompagner chez lui. Accompagné de lui, je suis allé dormir chez moi. Mais on savait déjà qu'on n'avait pas dormi au camp d'entraînement à la veille du match contre Modène. Mais ils avaient écrit que nous avions été dans une discothèque. Heureusement, j'avais accompagné Gigi chez lui, sinon sa femme l'aurait traité de menteur. Mais ce jour-là, Cuper nous a quand même punis », a-t-il souligné. « Je lui ai dit monsieur s'il vous plaît laissez-moi jouer. Parce que contre Modène, j'ai marqué au moins trois buts, mais il a dit non. Gigi et moi avons raté ce match. Mais c'est arrivé parce que nous ne pouvions pas nous défendre, nous n'avions pas les moyens de le faire. Aujourd'hui, par contre, il y a les réseaux sociaux et avec eux tu peux dire ta vérité, tu peux te défendre », a conclu l'ancien attaquant. Chacun son époque Bobo! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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Antonio Cassano : "Inzaghi n'est pas apte à imposer un cycle gagnant !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Épisode spécial de Bobo TV après le KO de l'Inter contre la Spezia. Antonio Cassano analyse ainsi ce énième moment délicat vécu par les Nerazzurri. "On en est toujours au même point, l'Inter méritait de subir le match! Mais la question est : si vous encaissez deux buts à chaque fois que vous partez, quel est le problème ? Vous avez perdu huit matchs. Si vous commettez ces erreurs à chaque fois, il y a un problème et l'entraîneur doit le résoudre. Je continue à penser qu'Inzaghi n'est pas apte à constituer une équipe gagnante. Quelque chose doit changer parce que vous avez jeté en l'air un autre championnat. Ce n'est pas concevable. Inzaghi ne change jamais rien, ce sont ses idées et il ne les change pas. L'année dernière, il a perdu le championnat d'un point et cette année, il fait un gâchis. Soit il gagne la Ligue des champions, soit il est un raté. Ce match n'a pas d'importance qui que vous mettez sur le terrain, vous devez les trois points à la maison. Nzola joue dans le dernier quart de la Serie A, pourtant il s'est battu, a gardé le ballon, a créé le premier but. Lukaku a perdu confiance en lui depuis son retour. C'est trop nerveux, il joue avec la peur. Le but sur penalty était bon, mais force est de constater qu'il n'est pas en confiance." Traduction alex_j via FCInterNews.-
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Le journal La Repubblica ouvre ses micros à Antonio Cassano. Au cours de l'interview, Cassano revient sur ses nombreux non aux Bianconeri ainsi que d'autres sujets. Comme d'habitude, il fait dans la mesure, la retenue et la langue de bois. Musique maestro! Tu as rejeté la Juve plusieurs fois... "J'ai rejeté la Juventus quatre fois. La première, c'était en 2001. J'avais rendez-vous avec Luciano Moggi à Avellino. Mais je voulais jouer avec Francesco Totti, j'étais fasciné par Rome, la ville. La Juve ne m'a jamais fasciné, pas même pour une seconde, il n'y a pas que ça n'avait rien à voir avec mon idée du football. Là, je tiendrais trois jours: le premier jour, ils m'ont acheté, le deuxième ils m'ont présenté, le troisième ils m'ont mis à la porte. Gigi Buffon me disait: 'tu es un idiot, tu aurais pu gagner le Ballon d'Or avec nous.' J'lui ai répondu: 'Gigi, j'tampe pas la carte de pointage, faut qu'j'm'amuse à l'entraînement.'" Ton opinion sur la Juve et l'Inter... "La Juve avec Massimiliano Allegri a été nulle pendant un an et demi, il l'était il y a dix ans. Et il a l'effectif le plus fort du championnat. Cela vaut aussi pour, l'Inter, et je le dis en tant que fan de l'Inter, ce sont les deux équipes les plus fortes. Inzaghi est jeune mais j'ai l'impression que l'Inter est plus grande, plus forte que lui. Ils ont 18 points de retard sur Naples qui a le pouvoir des idées." Quand verrons-nous un autre grand numéro dix italien ? "En 2003, l'équipe nationale comprenait Vieri et Inzaghi, Totti, Del Piero, Cassano. Chiesa, Montella, Di Natale, Miccoli sont restés à l'entrée... Aujourd'hui, Di Natale marquerait 50 buts avec la Nazionale et aurait dix cadrés par match. Il n'y a plus de programmation. Ni les infrastructures car on grandit sur des terrains tout simplement délabrés, sales, puants, partagés entre cinq équipes. Alessandro Nesta sur Bobo TV m'a dit qu'il y a des coachs chez les U12 ou U13 qui se fichent de faire progresser des enfants, ils veulent juste aller coacher en Serie C ou D. Ça fait dix ans maintenant qu'on est nul comme formation, Roberto Mancini a fait un miracle en remportant l'Euro avec une équipe médiocre et en jouant un super football. Mais on ne dribble plus, il n'y a plus la culture de s'amuser avec le foot." Maintenant, tu aimes Bobo tv. "Je connais Bobo Vieri depuis plus de 20 ans, il dit qu'il m'a aidé pour mon premier but en équipe nationale, mais c'est à moitié faux, il n'a rien fait! Mais il m'a présenté Lele Adani et Nicola Ventola. Bobo a eu une idée brillante, réunissant différentes personnes: Ventola est particulièrement amical, drôle et compétent. Puis il a mis le fou sauvage, qui est moi, qui affronte la vie de front et qui pense et espère faire comprendre le football, à ma manière. Et puis Lele, le Messi des commentateurs. Nous n'avons pas de censure, personne ne nous dit quoi dire: les gens nous suivent pour cela, et aussi pour notre compétence." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Lors de Bobo TV et toujours avec son ton mesuré et dans la langue de bois, Antonio Cassano s'est exprimé sur le travail d'Inzaghi et de Marotta chez les Nerazzurri. Il a également évoqué deux noms possibles pour remplacer Inzaghi. Musique maestro ! "Le plus gros problème, c'est l'entraîneur ! Vous gagnez contre Porto et Milan parce que les joueurs se motivent. L'entraîneur n'est pas prêt à entraîner une équipe forte pour gagner. Il a beaucoup de défauts, il lui manque toujours quelque chose. Il a un standard pour sa façon de jouer. La Juve et l'Inter sont de loin les équipes les plus fortes. Inzaghi a une Ferrari en main et la fait passer en seconde alors que Spalletti a une Audi et fonce à toute vitesse. Maintenant, Inzaghi continue de prendre un chemin qui ne mène nulle part. Calhanoglu ne l'a pas découvert, Inzaghi, mais nous ici. Il est incapable de motiver, de donner quelque chose de plus. Dans le football moderne, l'entraîneur doit donner quelque chose de plus. Le vent la pluie, nous ne sommes pas concentré, c'est des conneries tout ça. Marotta, il devrait éviter de parler ! Il dit des conneries ou Juin arrive et lui donne le feu vert pour qu’il se casse ! Je ne peux pas penser qu'il gagne une autre Coppa Italia et qu’on parle d'un chemin positif. L'année dernière, il a perdu le Scudetto contre Milan, cette année contre Naples. S'il m'apporte la Ligue des champions là, et seulement là, je ne le changerai pas. Sinon, il est renvoyé. Il ne sait pas comment coacher une grosse équipe pour gagner. Conte gagne là où il va, Mourinho, Simeone font de même." "Le gros problème de l'Inter ne peut être attribué qu'à l'entraîneur, c'est le plus gros problème. La première année tu as perdu d'un point et il pourrait y avoir, cette année, une catastrophe hallucinante, en Février à -18. Nous ne plaisantons pas. Soit gagner la Ligue des champions, soit au revoir et merci. Je ne peux pas penser que mon équipe a 7 défaites. La Sampdoria ne marquant pas, même pas avec ses mains, ils ont fait 0-0, ils ont fait match nul contre Monza, ils ont perdu contre Empoli à domicile, Bologne lui a donné une tête comme ça. S'il devait quitter la Ligue des champions, Inzaghi devra sortir." "Il y a tellement d'entraîneurs que vous pouvez prendre. L'Inter veut changer de cap ? De Zerbi où es-tu à Brighton ? J'arrive en avion. Tu ne veux pas venir ici ? Je vais à Florence pour prendre Italiano. L'inter n'essaye pas de gagner, quand ils gagnent c'est parce qu'ils sont plus forts. Pas le bon entraîneur pour faire un cycle gagnant. Si vous perdez le scudetto d'un point avec la Juve, ça va. Si vous le perdez contre Milan et Napoli qui sont inférieurs, tout change. Ce n'est pas un entraîneur qui peut continuer avec l'Inter. Marotta et Inzaghi hors de mes couilles. Si j'étais président de l'Inter, je gicle Marotta puis Inzaghi. J'ai pris un risque avec Inzaghi et j'ai été nul, pourquoi ne devrais-je pas prendre de risque avec De Zerbi ?" Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.
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Intervenant lors de Bobo TV sur Twitch, Antonio Cassano a analysé le match nul, dans tous les sens du terme, de l'Inter sur le terrain de la Sampdoria. Comme d'habitude, ses tonalités sont très colorées. "L'Inter a été superficielle, plus que les autres fois. L'Inter méritait largement de gagner. Le problème est autre. Quand tu as un entraîneur comme Conte qui te donne autant de venin, que tu joues contre Empoli ou le Real Madrid, tu es tellement hargneux que tu ramènes les points à la maison. Le plus fou dans le match, ce ne sont pas les changements, mais le fait qu'à un certain moment, la Sampdoria a retiré un attaquant et un milieu offensif ! Tu veux jouer à 4 derrière avec Dimarco et Dumfries et retirer un défenseur central ? Tu veux changer ? Fais quelque chose de différent avec trois attaquants !" "Ce n'est pas possible à chaque fois, même l'année dernière, l'Inter est entré superficiellement. Dans une équipe de non-champions, c'est quoi le plus important ? La poigne. Conte pourquoi a-t-il gagné ? Parce qu'il était un phénomène pour diriger un groupe. En première mi-temps, j'aurais pris Barella et je l'aurais défoncé, il était foutu. On dirait Zidane ou Iniesta. Il ne fait pas de passe, il court comme un connard et agite les mains. Essaye de faire quelque chose ! Et puis autre chose. On a poussé Gosens mais il a raté les contrôles d'un mètre, les arrêts. Je le vois avec peur. Si tu vas à l'Inter, tu donnes quelque chose, tu fais une incursion ou un dribble." "J'ai vu une Inter qui se méritait mais douce et superficielle. Lautaro pensait également pouvoir marquer 2-3 buts. J'ai le vague sentiment que l'équipe a déjà renoncé au championnat. Ils gagnent contre le Napoli, puis 4 matches de merde; ils gagnent la Supercoppa, puis ils perdent d'autres matchs. Je suis convaincu que l'entraîneur va changer en juin car s'ils ne le changent pas, ce sera un bain de sang. Dans ces matchs, vous devez donner quelque chose en plus, si tu continues à jouer comme ça, cela signifie qu'Inzaghi doit évoluer. L'Inter est une énorme déception. Si elle remporte à nouveau la Coppa Italia, c'est toujours un bain de sang. Il voulait Correa et Lukaku, renvoyant Dybala et Sanchez ? Maintenant, tu en paies les conséquences parce que tu fais un désastre !" Traduction sans filtre alex_j via FCInter1908.
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Alors qu’Antonio Cassano a honte de l’Inter de Simone Inzaghi, Raffaele Caruso, éditeur à FCInterNews, nous explique pourquoi Monsieur Cassano ferait mieux de se taire. Au lieu d'être exalté, j'aurais honte parce que j'ai l'équipe la plus forte de la Serie A et je suis à -13 d'une équipe qui a la sixième masse salariale et qui a vendu 6 joueurs. Cette année, vous ne gagnerez probablement pas et vous aurez perdu contre une équipe bien inférieure. Spalletti a clairement indiqué qu'il était dix fois meilleur qu'Inzaghi sur le terrain. Nous connaissons tous Antonio Cassano et avons appris à le connaître au fil des ans. Ses sorties souvent piquantes voire violentes reflètent sa nature "rebelle" et, net de sa sincérité sportive, essayons d'analyser ses propos mais surtout quelle a été la saison de l’Inter sous Simone Inzaghi jusqu'à présent. Commençons par le championnat. Les 6 défaites en 21 matches, c'est trop pour une équipe qui vise à se battre pour le Scudetto. C’est clair. Le début du championnat (défaites contre la Lazio, Milan, Udinese et Roma) a immédiatement compromis le parcours des Nerazzurri, sans oubliés les deux KO ensuite contre la Juventus et Empoli. Celle contre l'équipe de Toscane, quelques jours après le succès à Riyad contre Milan, représente la passe à vide la plus sensationnelle de cette saison. Et pourtant, malgré ces 6 défaites, l'Inter est seule à la deuxième place du classement, à +5 de la cinquième place partagée par l'Atalanta et Milan. Complimenter ses adversaires n'est pas une coutume bien connue en Italie. Le Napoli a mené un championnat extraordinaire jusqu'à présent et les suivre aurait peut-être été impossible pour n'importe quel adversaire. Il suffit de prendre le classement des meilleurs championnats européens pour se rendre compte à quel point ce que l'équipe de Spalletti a fait est quelque chose d'inégalée. 100 points sont projetés à l'issue du championnat, même avec 5 ou 6 points de plus au classement, l'écart aurait quand même été important et la lutte pour le championnat déjà pliée. Bien sûr, les regrets subsistent pour quelques instants et pour certains matches, mais aujourd'hui il n'y a pas d'histoire. Pourtant, beaucoup, Cassano inclus, oublient de mentionner une chose dans leurs analyses. La seule défaite subie par Naples jusqu'à présent (à l'exception de celle survenue aux tirs au but en Coppa Italia contre Cremonese) est celle survenue au Meazza contre l'Inter, sans son meilleur joueur pendant 70 minutes, Lautaro Martínez. La seule occasion notable d'Osimhen et de ses coéquipiers n'est survenue qu'en fin de match avec un tir de Raspadori stoppé par Onana, pour le reste il n'y a pas eu de match et l'Inter a mérité trois points. Contrairement au Napoli et Milan, l'Inter est toujours en lice pour la Coupe d'Italie, elle disputera son match face à la Juventus en demi-finale après avoir déjà remporté une Super Coupe d'Italie cette saison, remportée facilement face à nos cousins à Riyad. Gagner aide à gagner, Inzaghi a remporté son troisième trophée depuis qu'il est sur le banc des Nerazzurri et tentera par tous les moyens de se répéter une fois de plus en Coupe d'Italie. Et puis il y a la Ligue des champions. Cher Antonio, comment un entraîneur qui a viré Barcelone de la Ligue des champions, ce Barcelone que tu as toujours exalté et maintenant premier d’Espagne +8 sur le champion d'Europe, le Real Madrid, peut-il avoir honte ? Dans un groupe, rappelons-le pour les plus distraits, dans lequel le Bayern Munich figurait également. Cela ne devrait pas être un alibi, mais Inzaghi a réussi à terminer la mission sans pratiquement compter, jusqu'à présent, sur Brozovic et Lukaku. Rappelons qu’ils sont deux pions fondamentaux pour l’échiquier tactique des Nerazzurri. Enfin, il y eut de nombreux obstacles à surmonter, le dernier étant le non- renouvellement de Milan Skriniar. Plus aurait pu être fait en championnat, même si la super performance du Napoli aurait pu casser de toute façon. On n'a pas de preuve, peut-être qu'une petite pression sur l'équipe bleue aurait pu faire la différence. Après l'arrêt forcé lié à la Coupe du monde, l'Inter a battu Naples, Milan à deux reprises et l'Atalanta en quart de finale de la Coppa Italia. D'ici mai, l'objectif numéro un est de marquer plus de points en championnat, de gagner une Coppa Italia et d'aller le plus loin possible en Ligue des champions. Les comptes seront fais en fin de saison, comme toujours, mais personne n'a à rougir pour l'instant. Fermons les yeux et imaginons un scénario. Et si Inter-Napoli arrivait en quart de finale de la Ligue des Champions ? Y-as-tu déjà pensé Antonio? Selon toi, l'équipe de Spalletti se qualifierait, Luciano étant "10 fois meilleur" que Simone. Nous avons quelques doutes, en fait nous sommes fermement convaincus que les Nerazzurri passeraient. Pourquoi? Le terrain a déjà parlé et l'Inter n'est pas inférieure au Napoli. Et à votre avis... comment cela finirait-il ? Traduction alex_j via FCInterNews.
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Antonio Cassano: "L'Inter doit changer d'entraîneur en Juin !"
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Comme à son habitude et avec son style qui lui est propre, Antonio Cassano analyse le derby della Madonnina sur son profil Instagram. Florilège. "L'impression que j'ai, c'est que le Milan a gâché trois ans de travail! C'était une première mi-temps pénible où l'équipe était passive car il ne voulait pas faire n'importe quoi. C'était un très mauvais match et cette équipe commence à m'inquiéter. Voyons si Pioli s'en sortira." "L'Inter? Ce qui me dérange le plus, c'est l'entraîneur. Il dit qu'ils ont gagné deux derbies en 20 jours mais il a -13 sur le Napoli. Tu es content de quoi ? L'année dernière, il a offert un Scudetto à Milan et cette année Naples tue le championnat. À mon avis, nous devons changer d'entraîneur en Juin, il n'y a pas beaucoup d'alternatives." Cassano! S'il avait mis autant d'ardeur sur le terrain qu'il met dans ses interviews, il aurait eu une destinée à la Batigol traduction alex_j via FCInterNews.- 20 commentaires
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Giuseppe Marotta, "Il Padrino" s’est livré en exclusivité au Corriere Della Sera, place à une interview qui en révèle plus sur le meilleur Administrateur-Délégué italien en activité! Quel est votre premier souvenir ? "A 4 ans, au jardin d'enfants d'Avigno, avec ma chasuble bleue et un panier à goûter". Comment était votre enfance ? "Le football a été immédiatement le fil conducteur de mon existence : Ma chance a été d’habiter a 500 mètres du stade d’Ossola et de la fenêtre de ma maison, je voyais les terrains d’entrainement de l’équipe, qui, à cette époque, évoluait en Serie A. J’en étais fasciné et je m’étais juré : Un jour, j’irais moi aussi monter sur ce terrain." A quel moment êtes-vous parvenu à rejoindre ce monde si convoité ? "Je devais avoir huit ans. Je me suis placé devant la porte du vestiaire et j'ai demandé à Angelino, le magasinier, si je pouvais assister à l’entrainement : Après quelques tergiversations, il a accepté à une condition: Le marché était que je l'aiderais à nettoyer les chaussures, dégonfler les ballons, mettre les maillots à laver. En contrepartie, il m’était autorisé de porter la tenue de Varese et d’observer les séances. Ensuite, je suis passé à autre chose." C’est-à-dire? "A 11 ans, et précisément le 4 février 1968, j’étais le ramasseur de balle lors du match Varese-Juventus remporté 5-0, c’était un résultat historique avec un triplé de Pietro Anastasi." Maroni était-il déjà un étudiant engagé ? "Il avait déjà l'étoffe d'un politicien à l'époque, il était dans le mouvement estudiantin. Il avait deux ans de plus que moi et il venait déjà à l'école avec des journaux politiques, et moi avec la Gazzetta. On évoluait ensemble dans la même équipe de football de notre lycée, avec "Attila"." Qui ? "Fontana, c’était son surnom, il y avait aussi Beppe Bonomi qui était le Président de la Sea. J’évoluais au poste de milieu de terrain et, à 16 ans, j’ai débuté ma carrière comme dirigeant." C'était précoce... "A 19 ans, je suis devenu le responsable du secteur jeunesse, en abandonnant d’une certaine façon mon autre activité." Qu’était-elle ? "Je travaillais dans un quotidien local de l’époque , Il Giornale, j’écrivais des articles sur les A, un, peu à la Sconcerti. À 25 ans, j'étais déjà Président du Club". Qui a été votre premier recrutement ? "Michelangelo Rampulla de Pattese." En 1987, vous êtes passé à Monza, la créature actuelle de Silvio Berlusconi et d’Adriano Galliani... "Je succédais à Adriano, qui avait quitté l'équipe l'année précédente. C'est une expérience importante car avec Piero Frosio sur le banc, nous sommes parvenu à gagner le Championnat de Serie C." À Venise, est-ce exact que vous avez remonté le Grand Canal sur le Bucintoro ? "C’était pour célébrer la promotion en Serie A, c’était un grand honneur. Savez-vous où j'ai vécu ? Au Palazzo Albrizzi, où pendant un temps Foscolo, amant de la comtesse, avait élu domicile". Alvaro Recoba a été le joueur le plus efficace cette saison-là… "C'était l'une des rares fois où les qualités d’une individualité ont fait mentir le Principe de Michael Jordan selon lequel avec le talent on gagne des matchs mais c’est en travaillant en équipe que l’on remporte des championnats." Quel est le joueur qui vous a le plus diverti ? "Le Cassano de la Sampdoria, j’avais accepté le défi de Garrone de gérer aussi l’équipe en Serie B. En huit ans, je l’ai amené aux préliminaires de la Ligue des Champions. Je n’en oublie pas Alessandro Del Piero, Gianluigi Buffon et Ronaldo." Et le plus indiscipliné ? "Arturo Vidal, c’est un homme qui a une double vie." Est-ce que l’appel de la Juventus a été le point culminant de votre carrière ? "Pour un dirigeant qui arrive de la Province, les grandes équipes comme la Juve auparavant et l’Inter maintenant représente la concrétisation d’un rêve d’enfant." N’est-ce qu’une coïncidence si le système dit "Paratici", basé sur les plus-values, a explosé après votre départ ? "Mes années à la Juventus font partie du passé et je ne peux en garder que des souvenirs positifs. Je ne m'intéresse pas au travail réalisé par les autres, je pense à mon présent Nerazzurro." Un processus de reconstruction est en cours à Turin, après le tremblement de terre relatif aux enquêtes. Pourriez-vous y revenir si l’offre vous était soumise ? "Je suis heureux du chemin que j'ai entrepris. À l'Inter, je me sens bien et je me concentre pour contribuer à de nouveaux succès". À quel trophée êtes-vous le plus attaché ? " Le championnat de Serie B gagné avec la Sampdoria, au premier Scudetto avec la Juventus et au Scudetto remporté avec l’Inter." Mais n’avez-vous jamais été contacté pour vous lancer dans le monde politique ? "Bien évidemment, et il faut toujours avoir un rêve de réserve dans son placard, le mien est d’y entrer sans carte de Parti, d’y offrir ma contribution en termes de compétence, d’expertise et d'expérience". Mais politiquement parlant, votre ami Giorgetti tente de vous séduire... "Non, regardez ici, il m'a envoyé un message pour me taquiner et me dire qu’il m’avait piqué Carlos Alcaraz du Racing car Giancarlo est un supporter de Southampton." Pour qui votez-vous ? "Je suis un modéré du centre, ce n'est pas un hasard si l’on m'a surnommé le Kissinger du football." Aviez-vous eu peur lorsque vous étiez hospitalisé en 2021 à cause du Covid-19 ? "Oui, car je n’avais aucune idée de l’évolution de la maladie: J’ai dû porter un masque à oxygène durant quelques jours, c’était des moments difficiles." Le Seul, l’Unique : Il Padrino Marotta ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Antonio Cassano s'attaque à Massimiliano Allegri et Cristiano Ronaldo. Florilège. Adepte de punch lines plus moins bien vues ou drôles, Fantantonio n'a pas épargné deux de ses cibles historiques, à savoir l'entraîneur de la Juventus Massimiliano Allegri et Cristiano Ronaldo. Selon Cassano, "Max doit s'en aller, car il n'est pas bon! hé oui, quand il a gagné il avait 50 champions! Maintenant il doit donner quelque chose de plus et ce sont les résultats. Il n'en est pas capable. Il devrait partir mais je doute qu'il renonce à l'argent." Quant à Ronaldo, il pense que "c'est fini depuis trois ans, ça va à un à l'heure! Maintenant, il refuse également de jouer. Je ne comprends pas pourquoi avec tout cet argent il ne décide pas de tout plaquer et de partir en vacances avec sa belle famille." Comme ça, c'est dit. traduction alex_j via FCInter1908.
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Antonio Cassano : "L'Inter, c'est ça! Dimarco ? Exceptionnel !"
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Un fois n'est pas coutume sur BoboTV, Antonio Cassano a fait l'éloge de l'Inter qui, selon lui, a eu un tournant contre Barcelone. "Contre la Salernitana, il n'y a jamais eu de match. L'Inter a trouvé une continuité après les derniers matches. Contre Barcelone, au Meazza, quelque chose s'est produit. Je pense que le tournant est arrivé car je vois plus de confiance chez de nombreux joueurs. L'Inter, c'est ça. J'avais tort en disant qu'Inzaghi devrait être viré." "Ceci dit, clairement ça ne suffit pas, ils sont à 8 points du premier. S'ils terminent quatrièmes, alors le strict minimum aura été fait car cette équipe doit jouer pour les premières places. Vous pouvez perdre le Scudetto comme l'année dernière, mais vous devez vous battre jusqu'au dernier jour et ne pas être absent en Mars." "Exceptionnel Dimarco! Il m'impressionne, il n'a pas raté une minute cette saison. Mention aussi pour Calhanoglu! Brozovic reste le phare, mais le Turc devant la défense est celui qui sait tout faire. Et puis je viens au gardien. Il fallait faire des choix et, en ce moment, Onana donne plus de sérénité qu'Handanovic. Il est réactif, c'est lui qui a faim. Samir se comporte comme un professionnel mais Onana a aussi donné un changement sur le plan défensif." Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.-
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Deux ex de la Louve et de l'Inter se taclent par médias interposés. Extraits ! Gabriel Batistuta répond à Antonio Cassano! En s'exprimant sur le podcast Mucchio Selvaggio, Cassano avait déclaré qu'il n'aimait pas du tout l'Argentin. Le gredin caractériel avait dit : "C’était horrible quand j’étais avec Batistuta et Marco Delvecchio à Rome. Batistuta d’une manière particulière parce qu’à son arrivée à la Trigoria (ville sportive de la Roma, ndlr) il n’a pas payé un café ni salué aucun serveur. C’était à une époque où il gagnait dix millions d’euros." Interrogé par La Nazione, Batistuta répond ainsi : "Être considéré comme désagréable par Cassano me semble un beau compliment..." "Je vais vous dire une chose : dès que je suis arrivé à Rome, je l'ai vu perdu, il ne pouvait pas s'installer, j'ai parlé à ma femme, nous l'avons emmené chez nous. Maintenant je vois qu'il parle comme ça. Je suis vraiment déçu. Ça me rend tendre. Il n'a pas profité de la possibilité que le football lui a donné de grandir en tant que personne." Et toc! A propos de Batistuta, Diego Maradona a déclaré que: "Batistuta a la frappe la plus puissante du football mondial, il pourrait marquer avec un ballon de rugby. Parfois, il passe le match sans toucher un ballon, et puis il inscrit un triplé en dix minutes." A-t-il dit ma même chose de Cassano ? Traduction alex_j et Batistuta9 via FCInterNews et FCInter1908.
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Stéphane Dalmat, Paolo Condo et Antonio Cassano s'expriment sur Inter - Bayern
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Stéphane Dalmat, Paolo Condo et Antonio Cassano s'expriment sur la défaite de l'Inter contre le Bayern. S'exprimant sur Instagram, Stéphane Dalmat a estimé que la défaite des Nerazzurri reflétait un manque de qualité dans leur équipe malgré les bons début d'André Onana. "Hier, j'ai vu un match dans lequel l'Inter a mal joué. C'est vrai que le Bayern Munich est fort, mais Liverpool aussi. Et en voyant Naples battre Liverpool 4-1, je me dis que par rapport à l'Inter, il y a un problème de qualité. Sans Lukaku c'est une Inter différente. Romelu est le seul qui peut faire la différence et faire peur aux adversaires, il leur manque d'autres joueurs de haut niveau, il faut avoir des joueurs comme ça au niveau de la Ligue des champions. André a eu un match extraordinaire et a montré qu'il pouvait être le gardien titulaire, je n'ai rien vu de mal de sa part." S'adressant au diffuseur italien Sky Sport Italia, Paolo Condo estime que l'Inter s'est bien comportée contre le Bayern Munich, en particulier en seconde période, mais qu'il leur manquait un joueur mortel en contre-attaque. "L'Inter n'aurait probablement pas pu sortir de son mauvais moment qui a commencé avec les défaites contre le Milan et la Lazio, face à un adversaire du plus haut niveau. Il y avait peut-être un peu d'illusion qui a été provoquée en se souvenant de leurs performances impressionnantes la saison dernière contre le Real et Liverpool. Compte tenu des espaces laissés derrière les Allemands, un joueur contre-attaquant comme Lukaku aurait été très utile. Sans le Belge, l'Inter devra être absolument bonne pour ramasser quelques points à Plzen puis revenir avec son avant-centre lors des deux matches contre Barcelone qui devrait décider de la deuxième place du groupe." S'exprimant dans un post sur son compte Instagram, Antonio Cassano a estimé que la qualité de la performance des champions allemands devait être prise en compte avant de juger les Nerazzurri, et que les Bavarois étaient tout simplement trop fort. "J'ai entendu beaucoup de critiques, beaucoup de choses ont été dites contre l'entraîneur et les joueurs. Le Bayern est beaucoup plus fort, il pratique un autre sport. l'Inter a des problèmes, ils n'ont pas bien joué, c'est vrai, mais le Bayern est l'une des trois équipes les plus fortes du monde. Je ne peux pas mettre trop de critiques sur l'Inter ou sur l'entraîneur, ils ont fait ce qu'ils pouvaient, l'adversaire était tout simplement trop fort." Traduction alex_j via Sempreinter.- 6 commentaires
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S'exprimant sur Instagram, Antonio Cassano a réaffirmé ses opinions précédentes selon lesquelles Alessandro Bastoni n'est pas à un niveau suffisamment bon défensivement parlant. Cassano a déjà clairement exprimé son point de vue sur Bastoni, affirmant lors d'apparitions précédentes que Bastoni est surestimé et non un défenseur de haut niveau. Le joueur de 23 ans est conscient des critiques de Cassano et a répondu sur les réseaux sociaux. Malheureusement, Cassano estime que la réponse devrait venir sur le terrain plutôt que sur les réseaux sociaux, ce qu'il n'a pas vu de Bastoni qui faisait partie d'une défense très fragile des Nerazzurri contre Milan. "L'Inter a du mal, surtout derrière. Au lieu de me faire **** sur les réseaux sociaux pour des likes, Bastoni devrait se réveiller et se concentrer sur le marquage des attaquants !!" "Il fait des erreurs désastreuses. L'Inter concède beaucoup d'occasions. Quand vous donnez des occasions comme celle-là aux meilleurs joueurs, vous concédez trois buts !!" "En pré-saison, c'était comme ça. Bastoni doit se réveiller au lieu de prêter attention aux likes et aux followers des réseaux sociaux !!" Traduction alex_j via Sempreinter.
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Antonio Cassano : "Dybala, un phénomène ? Cette Inter me plait ! "
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S'exprimant sur la chaîne Twitch de Christian Vieri, Antonio Cassano a fait part de ses réflexions sur la saga concernant Dybala en se demandant si l'Argentin en valait la peine, puis nous partage ses impressions sur l’Inter. A propos de Dybala. "L'Inter l'a gardé en attente, puis a pris Lukaku et lui a dit de trouver un autre club. Avec tout le respect que je lui dois, il est allé à la Roma pour seulement 5 M€ nets par saison alors qu'il en demandait 10. Ce n'est pas un phénomène !" "S'il est un phénomène, pourquoi aucune des meilleures équipes ne le voulait, pas même Arsenal ou Manchester United? L'Inter n'a jamais été vraiment intéressée, ils en ont fait un grand spectacle pour ensuite signer Lukaku à la place." "Les Nerazzurri ont laissé partir Sanchez, qui était meilleur que Dybala. Milan a préféré attendre deux mois pour signer De Ketelaere, alors qu'il est passé dans une équipe qui a terminé sixième la saison dernière, où il gagne des salaires à peine astronomiques." Son analyse sur l’Inter. "J'ai aimé ce que j'ai vu de l'Inter, bien qu'ils aient eu très peu de problèmes contre la Spezia qui semblait intimidé par le Meazza." "Lautaro Martinez continue de très bien faire. L'Inter sait comment il veut jouer, les schémas de jeu et le mouvement. Ils sont forts et candidats au Scudetto avec le Milan et la Juventus, et cela ne fait pas de mal qu'ils aient des joueurs comme Joaquin Correa et Edin Dzeko que tout le monde ne peut pas se permettre." "Je pense que lorsque nous arriverons en mai, nous les verrons dans la chasse à tous les trophées. J’en suis certain !" Traduction alex_j via Sempreinter.- 10 commentaires
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Antonio Cassano a répliqué suite aux propos tenus par Giuseppe Marotta, ce vendredi 8 octobre 2021 au Festival du Sport "Cassano, par exemple, de joueur talentueux, il n'est jamais devenu un Champion." "Il n'a jamais réussi à accompagner les qualités techniques aux qualités humaines" Giuseppe Marotta "Je connais très bien Marotta et il doit me dire merci s’il a pu signer à la Juventus. C'était désastreux à la Sampdoria, alors que l’on disait qu’il était bon dans les journaux. C’est un incompétent du football, il ne connait pas les joueurs, il me demandait même qui étaient ceux qui venait le saluer." "Je n’ai rien à apprendre de Marotta au niveau humain. La différence entre Antonio Cassano est Marotta est unique : J’étais un phénomène, je ne me suis jamais vendu, je n’ai jamais appelé les journalistes pour que l’on parle en bien de moi. Il n’a rien a voir avec le football, c’est un grand politicien du football." "Je vais vous raconter une anecdote car cela me touche humainement. Je tiens à être précis contre ceux qui parlent en mal de moi. Peut-être qu’il est encore aux prises avec la bonne âme de Garonne : Marotta voulait me vendre à la Fiorentina à l’insu du Président. Le Président m’avait appelé et je lui avais dit que je resterai à la condition qu’il dégage Marotta et il l’a renvoyé, il est peut-être empoissonné par cela." "Marotta doit me dire merci vu ce qu’il en a résulté à la Sampdoria, j’étais un phénomène, lui n’a jamais été un dirigeant capable : Tout le monde du Calcio en a conscience, il se vend bien avec les journalistes. Au niveau humai, Cassano n’a rien à apprendre de personne et encore moins de lui." L’avis de Biasin "Quand je vous dis que la trêve internationale fait mal" De combien de titres peut se vanter le "génie" barese vis-à-vis de ceux remportés par Il Padrino ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Giuseppe Marotta s’est livré à cœur ouvert sur le parcours de sa carrière et sur son avenir, avec et sans, l’Inter au Festival du Sport La victoire du Scudetto "Le 2 mai, nous l’avions mathématiquement remporté. Lorsque j’ai entrepris cette aventure, l’objectif était de ramener la Coupe à la maison. C’était une libération après tant de difficultés." Le moment clé du championnat remporté "Contre la Juve, nous avions compris que nous serions protagoniste : Nous étions le chasseur, puis le lièvre, et nous avions pris conscience que nous pourrions aller très loin." Le Championnat et la Ligue des Champions "La différence entre la Serie A et la Ligue des champions est que le second doit être un tournoi où tu es dans les meilleures conditions : Les victoires en Ligue des Champions ne sont pas toujours celles des équipes les plus forte, tandis qu’en Championnat, c’est l’équipe la plus forte qui le gagne. Le Giro n’est pas Milan-Sanremo. Le jour de notre élimination, il y avait tant d’amertume, mais nous l’avons concentré sur l’objectif Scudetto." Les difficultés financières et le départ d’Antonio Conte "La décision finale est le fruit des échanges des jours précédents. On n’entrevoyait plus un parcours commun, mais cela fait partie du sport et de la vie : Si une personne décide d’interrompre tout rapport, il est important de respecter sa décision et de regarder devant soi avec optimisme. Dirigeants, joueurs, entraîneurs passent, mais le club reste. Nous avions besoin d’aller de l’avant en ayant, ici, la conscience d’être un grand club et nos professionnels ont remporté le Scudetto avec un très grand mérite." Le choix de Simone Inzaghi "La décision de Conte n’était pas si prévisible, celle nous a un peu surpris et nous avions dû agir rapidement en définissant le meilleur profil . J’ai décidé de miser sur un entraîneur jeune qui avait déjà derrière lui un parcours important: Il était en pleine négociation avec la Lazio et l’opportunité s’est présentée : En lui soumettant notre projet et son sérieux, il nous a immédiatement suivi, et nous sommes reparti de là. Nous venions de recruter un entraîneur capable de se calquer sur le dispositif tactique de Conte, afin de ne pas devoir le modifier, même s’il y allait y avoir d'autres changements." Le malaise d’Eriksen "C’était un moment dramatique pour une personne que je connaissais et qui risquait de mourir, là aussi les informations nous sont parvenues rapidement. Le Professeur Volpi s’était mis immédiatement en contact avec les médecins qui étaient allé sur le terrain, pour avoir un premier diagnostic suite à ce qu’il s’était passé. Encore aujourd’hui, nous sommes dans une phase d’hypothèse, mais la chose la plus belle est que le joueur avait donné des signes de réveils. La nouvelle la plus belle est qu’il continue à vivre, au-delà du vide laissé à l’intérieur du vestiaire, qui est d’une importance relative. En ce moment, c’est difficile d’émettre des hypothèses, nous attendons l’évolution de la situation. Nous évoluerons la situation au moment opportun." Lukaku "L’expérience me fait dire qu’il faut toujours se préparer aux imprévus. Lukaku a manifesté son intention d’être transféré à Chelsea. Devant une situation de ce type, tu ne peux qu’accéder à sa demande. Il y a eu, à ce moment-là un début de négociation avec le club qui le désirait aussi, c’est comme cela que nous avons agi. Nous avons établi notre prix et pensé aux alternatives. Ce sont des dynamiques qui peuvent arriver dans le football. Je ne me suis pas senti trahis ou contrarié, j’ai évalué l’opportunité comme celle de pouvoir injecter une somme importante pour les caisses du club. Nous avons fait valoir notre requête économique et nous avons réalisé une belle opération." L’option Vlahovic et le choix de Dzeko "Dzeko était un choix prioritaire, nous avions déjà tenté notre chance l’année dernière : Il disposait d’une promesse de la Roma pour être libre gratuitement en cas de demande. Notre demande est arrivée et le sérieux de nos entretiens a facilité la définition de la négociation." "Je considère Vlahovic comme un grand talent, il y a une différence entre talent et champions. Nous nous sommes retrouvé dans une situation de négociation engagée. Nous n’étions dans les conditions, même si j’avais imaginé miser sur deux attaquants : Le premier était Dzeko, le second Vlahovic. Un était prêt pour l’immédiat, l’autre pour le futur. Cela aurait été le mieux, et je suis content de ce qu’offre Dzeko." Les difficultés financières "La pandémie a accéléré le processus: L’Inter, le Milan et la Juventus ont perdu, globalement, un milliard d’euros: Cela signifie que le modèle actuel ne te donne plus de garantie sur la continuité." "Il faut trouver des remèdes, car je dois dire qu’il n’est pas juste de toujours dépendre des augmentation des capitaux en provenance des actionnaires. Le football romantique du mécénat est révolu, nous besoin d’arriver à un modèle différent. La Famille Zhang a injecté 700 millions d’euros environs et c’est normal de revoir, tôt ou tard les conditions économique." "Le travail du Management est celui de concilier les objectifs sportifs et l’équilibre financier. Par le biais de ces deux opérations nous sommes désormais chanceusement serein, nous pouvons donc poursuivre les objectifs préfixés déjà l’année dernière étant donné que l’ossature est restée et que ceux qui sont arrivés nous donnes satisfactions. Il faut savoir contenir les coûts et faire comprendre aux joueurs que nous traversons une période de grande difficultés : Revoir les salaires est fondamental pour parvenir à un équilibre." Y-aura-t ’il des ventes importantes à l’avenir ? "Je peux les exclure, je tiens à rassurer nos Tifosi : l’Inter existera dans le futur aussi, la compétitivité est garantie. Ce n’est pas celui qui dépense le plus qui l’emporte toujours, il existe un patrimoine de ressources humains connu de tous qui n’est pas mis en lumière, une équipe invisible qui se trouve derrière ceux qui sont sur le terrain le dimanche : Si cette équipe est forte, tu peux allez très loin, et cela va bien au-delà de ton nom et des joueurs." Est-ce possible de voir un nouveau partenaire arriver au Club ? "Ce sont des évaluations qui doivent être analysées par l’actionnaire. Par expérience, je dis toujours qu’un club doit rester dans les mains d’une famille, d’une entreprise. Le fait de devoir vendre une partie des actions des fins d’un actionnariat minoritaire existe, mais je ne pense pas que cela soit la meilleure façon pour résoudre les problèmes car l’impact d’un partenaire minoritaire ne te garantit pas le changement de modèle radical, ce ne serait qu’un bien-être momentané." "Il est nécessaire d’identifier un modèle de soutenabilité et de sécurité de référence, vous l’obtenez si vous disposez d’un projet. Nous sommes parvenus à reprendre notre projet et à le remettre sur les rails. Nous avions des choix difficiles devant nous car nous avions décidé d’engager Conte tout en continuant à rémunérer Spalletti qui avait encore deux ans de contrat, mais nous l’avons fait car la consigne de notre priorité était de gagner." "Tu construis une équipe conquérante si tu as une vision précise et si l’équipe a conscience de faire face à un objectif, qu’elle dispose d’une vision du futur. Nous avons construit nos victoires en nous basant sur la force de nos hommes et le mérite en revient principalement à Conte qui a transmis des valeurs qui représente un patrimoine. J’ai en tête Marchionne qui déclarait qu’un Manager avait deux grands droits: Le droit de choisir des valeurs et choisir des hommes. Si tu en disposes, l’aspect économique est relégué au second plan car tu traverses un moment de difficulté que tu sauras le surmonter en te basant sur les valeurs que tu portes avec toi. Et nous en avons connu des difficultés." Les contrats des joueurs "Les joueurs ne l’ont peut-être pas bien compris, car ils vivent dans un monde doré. Ils gagnent tellement qu’ils ne sont pas habitués à faire face aux problématique familiales qui sont vécu quotidiennement : Ce sont des garçons très jeunes qui doivent être éduqués. Les réponses ont été d’un côté positive, et d’un autre coté négative, à nous de les former, de leur donner cette culture." "Il y a eu une prise de conscience de la part des joueurs, mais le drame a davantage été vécu dans le contexte de préserver sa propre santé. Néanmoins, nous avons respecté les contrats des joueurs: nous les avons tous payés, nous n’avons pas obtenu un euro de ristourne, mais nous l’avons fait eu égard aux performances réalisées lors de la saison 2019/2020 et de cette dernière années. Nous avons décidé, après une discussion courtoise avec les joueurs de ne pas les pousser trop fort à faire quelque choses qu’ils ne se sentaient pas capable de faire." Un message d’Adriano Galliani est arrivé "Nous avons été victime ensemble du Covid, il était dans un état bien pire que le mien. Lorsque des choses de ce genre arrivent, tu apprécies encore plus les valeurs de la vie et tu apprécies le fait d’être là, c’est valable aussi pour lui qui a quelques années de plus. L’autre jour au Meazza, il m’avait raconté qu’il s’énervait toujours lorsqu’arrivait un résultat négatif. Dernièrement Monza avait perdu 3-0 à Lecce et il avait vécu une soirée en toute insouciances, c’est le revers de la médaille de ce que nous avons connu. Je peux aussi m’énerver mais j’affronte la vie avec une vision différente. Dans le football, il faut toujours donner le maximum, mais la culture de la défaite est utile. Au mieux tu la maîtrises, au mieux tu vis." Un message de Simone Inzaghi arrive aussi "C’était l’un de mes joueurs à la Sampdoria, je le remercie aussi lorsqu’il me dit que je suis très visionnaires. Je suis principalement amoureux de mon travail, je l’avais fait aussi par hobby et ensuite, c’est devenu mon travail depuis 45 ans. Je me suis toujours plus appliqué à rester humble et respectueux, tout en ayant l’ambition de toujours vouloir gagner." Un dernier message arrive en provenance de son frère Salvatore. "Cela me fait me rappeler de mon adolescence où j’’étais déjà malade du Calcio et où j’écoutais à la radio "Tutto il calcio minuto per minuto". J’aimais imiter les chroniqueurs." La prolongation de Barella "C’est l’un des cas qui de talent est devenu Champion. J’ai eu à faire à Cassano que je viens de rencontrer à l’Hôtel, je lui ai toujours dit qu’il n’était jamais devenu un Champion. Le talent est inné et fait partie de son ADN. Encore aujourd’hui je n’ai pas revu de joueurs potentiellement plus fort que lui, mais celles-ci n’ont jamais été accompagné de qualités humaines, d’un comportement sérieux, discipliné, d’une vision de la vie et de la professions. Il a la conscience d’être resté un joueur qui n’a pas atteint le top niveau." "Barella a confirmé déjà à Cagliari et à présent à l’Inter que je suis devant un champion et il est juste de le gratifier économiquement pour ce qu’il réalise. Ce n’est pas une prolongation mais une reconnaissance adaptée à un style de joueurs important qui font partie de l’Inter. Nous en reparlerons dans les prochaines semaines. Nous ne devons certainement pas le laisser s’enfuir et ce sera si beau qu’il devienne notre prochain Capitaine. C’est une qualification qui ne s’offre pas, tu dois démontrer avoir des qualités de leader." "Piero Volpi, le médecin de notre Club a toujours été le Capitaine dans les équipes de football car c’est un Leader : Barella peut commencer à le devenir." Cassano et Gheddafi à la Sampdoria "Il n’y a pas de mots, c’était une expérience sympathique, très belle aussi, mais je devais toujours rester très attentif à ce qu’il se passait." Les objectifs de la saison "Les attentes de tous sont de nous voir comme celui à battre, un rôle que nous sommes heureux d’endosser : Nous sommes l’Inter et nous devons placer la barre très haut, mais vu que nous sommes dans un sport d’équipe, nous avons besoin aussi d’évaluer nos propres capacités tout comme celle des adversaires avec qui nous luttons." "Il peut arriver que certaines années tu investisses 100 millions, mais que les autres investissent 150 millions ou qu’ils parviennent à réaliser des opérations plus importantes et s’en retrouvent plus fort. Nous sommes dans une saison qui ne comprends pas qui est le plus fort: Le Sheriff a six point et il l’a emporté à Madrid. Dans le Championnat il y a les fameuses sept sœurs avec le Napoli comme équipe gagnante. Je crois qu’il est bien prématuré de procédé à une évaluation sur ce qui s’avèrera définit en mai. Je tiens toujours à la culture de la victoire." "Je prends toujours en considération ceux qui ont la culture de la victoire la plus forte, donc la Juventus et le Milan. Naples a clairement un grand mérite, mais gagner est toujours quelque chose de difficile et qui va au-delà de qu’une équipe propose et met en pratique : Il y a des valeurs qui s’acquièrent avec le temps, il n’y a pas que le seul choix de l’équipe." "Tu dois prendre en considération tous les aspects complémentaires, si tu réussi à améliorer la qualité des terrains, des médecins, tes physiothérapeute, de l’alimentation, tu l’emporteras certainement plus facilement." Osimhen "C’était une opération très onéreuse, et ce n’est pas un inconnu, les circonstances nous ont amené à suivre une route plutôt qu’une autre." Son arrivée à l’Inter, les cas Nainggolan et Icardi "Je ne tiens pas à critiquer celui qui a géré cela avant moi. Icardi était sincèrement un grand talent, il était devenu un joueur optimal en étant investi d’une responsabilité dont il n’était pas encore en capacité de recouvrir, je me réfère au brassard de capitaine. Lorsque je l’ai connu, il se comportait bien avec moi, mais il y a eu des évaluations qui différaient. Je dis toujours que la vision que vous devez avoir se doit d’être précise. L’entraineur et le club procèdent à des évaluations et il a été évalué qu’il devait y avoir une équipe avec des valeurs à respecter." "Conte les a d’ailleurs interpréter de la meilleur des façons.: Il nous a laissé quelque chose d’important, il a posé les fondations et c’est tout aussi vrai que nous avons recruté un entraîneur qui a de grandes qualités, certains aspects sont essentiels." L’arrivée à l'Inter en provenance de la Juventus "Je suis resté émerveillé par la rapidité dont tout cela s’est produit. Dès le lendemain de mon départ, Steven Zhang m’a écrit un message en m’invitant à une réunion avec lui. Je voulais forcément me reposer, mais j’ai saisi directement cette opportunité. Je laissais la Juve et je trouver l’Inter, nous étions à armes égales. Je me suis lancé dans ce métier avec des caractéristiques que j’ai en moi depuis plus que quarante ans et qui se sont toujours enrichie dans chaque club." "L’expérience est une autre caractéristique importante dans le vie de tous, surtout dans le milieu professionnel. A 24 ans, à Varese, j’ai perdu un championnat d’une façon retentissante, alors que si je reviens en arrière, ce tournois, nous l’aurions remporté avec 15 points d’avances." La conscience d’avoir tant gagné te permet d’affronter les difficultés avec une grande détermination. C’est ainsi que je me suis relancé en illustrant mon projet à l’Inter, un projet que le club a épousé, c’était un projet difficile car il consistait à laisser Spalletti à la maison et prendre Conte allait demander du courage." La méfiance initiale à l’égard de l’environnement "Le Derby d’Italie apporte avec lui une grande rivalité. Je n’ai jamais connu de grande difficulté car je suis toujours parvenu à m’accorder avec les personnes, j’ai rencontré un club préparé, composé de bonnes personnes qui avait besoin de nouvelles motivations." Ses débuts "J’ai terminé le Liceo Classico et j’ai commencé à Varese. Certains faits de la vie m’ont ouvert la voie à suivre, je suis devenu directement Directeur Sportif car le précédent avait été victime d’une blessure et le Président m’avait demandé si je me sentais capable d’occuper un tel poste." Le poster de Rivera lorsqu’il était jeune "Je m’identifie à lui, j’ai été footballeur durant une courte période, j’ai arrêté car je me rendais compte que j’avais quelques limites, je me considérais perdu. Mais j’ai joué jusqu’au niveau des Primavera et j’occupais le même poste que Rivera. Il y avait une émulation, je voulais l’imiter comme footballeur. Mon rêve, depuis ma plus tendre enfance était de devenir un dirigeant, ma première expérience fut un oratoire. C’était la première étape de ma profession de dirigeants, je commençais aussi à organiser des toujours à comprendre le sens de la compétition, de la victoire, C’est à partir de là que j’ai commencé mes activités et que j’ai rangé mon poster de Rivera." Son surnom: le “Jeune Kissinger" "Il m’a été attribué par Colantuoni, qui me disait de l’appeler Avocat car pour devenir Président, il fallait une signature et pour devenir avocat, il avait dû passer trois diplômes. Je considère la diplomatie comme une vertu qui ne cache pas derrière un aspect décisionnel très fort. Décider n’est pas simple. Tu peux également devenir un leader sans devoir imposer ton timbre de voix, mais en faisant ressortir ta force intérieure : Pirlo était un leader silencieux. Il avait une si grande valeur dans le vestiaire et cela venait de sa communication non-verbale." Pensez-vous pouvoir confirmer à nouveau la victoire du Scudetto ? "Absolument, notre objectif est la seconde étoile." Le prêt de Recoba au Venezia "Gagner à Venise était si beau, j’habitais dans la région de Carampagne, j’allais au siège et cela avait une valeur inestimable. En plus tu gagnes un championnat et tu te sauves en recrutant Recoba, et je vais vous dévoiler le comment : A l’époque j’étais plus conditionné qu’aujourd’hui. Avec Zamparini, j’avais songé à Orlandini, j’avais appelé Oriali qui était le Directeur Sportif et nous nous organisions pour le contrat." "Il m’avait appelé et il m’avait dit que Tanzi avait été échangé avec Giusti. A ce moment-là, Regalia qui était un grand Manager m’avais appelé et j’en avais profité pour lui parler. Il m’a dit qu’il avait observé Recoba la veille, j’avais rappelé Zamparini pour lui dire que je ne voulais plus viser Orlandini mais que je songeais à un objectif encore plus important : Recoba. J’ai négocié et conclu avec Mazzola, je ne l’avais vu qu’en coups de vent, mais il nous a littéralement porté au maintien." A quel point étiez-vous proche de l’Inter de Pellegrini ? "Je l’ai rencontré une fois, l’alternative était moi ou Dal Cin. Je me souviens toujours d’une particularité avec Pellegrini : Je me suis toujours dit que si j’étais arrivé déjà à l’Inter à ce moment-là, que je me serais brûlé les ailes, tu dois embarquer dans le train au moment opportun. Âgé de 25 ans, je me serais perdu à l’Inter, je n’avais pas la connaissance que j’ai actuellement. J’ai fait un parcours graduel: De la province aux grandes provinces, de la Juventus, à l’Inter, C’est un parcours chanceux." Un regret sur le mercato ? "Il y en a tellement, le dernier est que j’avais eu l’opportunité de prendre Haaland pour deux millions d’euros. Parfois, tu as besoin d’avoir la volonté de miser sur un budget supplémentaire : Si c’est un champion, tu as besoin de le recruter. C’est ici qu’intervient la créativité financière pour réaliser des opérations, nous aurions pu l’avoir pour rien, et il est actuellement l’un des joueurs parmi les plus important au monde. A présent, il ne peut plus venir en Italie." "En 2000, il y avait dans le top 10 des meilleurs chiffres d’affaires cinq équipes italiennes, aujourd’hui, il ne reste que la Juventus. Nous avons un grand retard sur la Premier League. Aujourd’hui, nous sommes devenu un championnat de transition: Regardez Lukaku, nous sommes dans une réalité qui te porte à gouîer aux Champions qui, une fois leur position renforcée, cherchent à obtenir de meilleurs salaires ailleurs." "Nous sommes obligé de faire preuve d’ingéniosité, nous avons travaillé avec Ausilio sur cette vertu, cela va aussi de pair avec la Nazionale qui nous a offert de grande satisfactions. L’Italie met toujours en vitrine de grands entraîneurs et des grands joueurs. Nous avons besoin d’avoir la force les faire mûrir en équipe première, et ici doit entrer également la culture de la défaire. "Les joueurs qui se font siffler se font brûler les ailes et c’est quelque chose qui doit être combattu. L’Espagne a montré l’exemple avec ses jeunes sur le train. Aujourd’hui le Tifoso est plus ouvert et plus compréhensif vis-à-vis des difficultés du clubs. Dans notre cas, lorsque Conte et les joueurs sont parti, il y a eu un dialogue avec la Curva et nous leur avons fait comprendre que c’était pour le bien de l’Azienda. Ils l’ont compris et nous sommes toujours restés proche, ils nous sont toujours soutenu et c’est un très bel exemple de ce que doit être le rapport entre les Tifosi et le Club." Ronaldo à la Juve "J’avais fait part de mon évaluation, tout le monde aurait voulu s’offrir Ronaldo, je l’ai connu six mois avant mon départ. J’apprends toujours des champions, même comme dirigeants. Il a une culture du travail maximale, il est très soigneux sur sa propre condition physique et caractérielle. Toutefois, il devait être contextualisé et selon moi, cela passait aussi par des évaluations économico-financière : Mais j’entretiens encore aujourd’hui un grand rapport cordial avec la Juventus." Choisissez vos meilleurs acquisitions lors de votre carrière, poste par postes "J’avais recruté Rampulla de Pattese et je le conserve pour des raisons affectives. J’en ai trouvé un comme Buffon par exemple. J’ai vendu Taibi à United et c’était un flop, au final il n’était pas prêt. En défense, Bonucci fait preuve d’un très grand leadership, et il venait aussi du vivier interiste. Je le prends lui et Barzagli, à droite Hakimi et à gauche Alex Sandro." "Je dois vous dire qu’Evra était aussi très important dans l’économie du vestiaire : Il arrivait en provenance de United et il apportait avec lui des caractéristiques de champion dans le groupe. A la Juve, j’ai connu des champions, à l’Inter, je rencontrais des joueurs qui n’avaient plus gagné depuis tellement d’années et c’est pour cela qu’il était utile d’avoir un grand entraîneur." "A la Juve, j’ai connu des joueurs qui ont remporté la Coupe du Monde, des championnats: Khedira me disait qu’ils agissaient pareil au Real, j’en avais pris note et je l’ai retenu. Cela vaut aussi pour Evra ou Daniel Alves, tu apprends quelques choses des champions. Evra avait un certain âge mais en dehors du terrain, il avait tant à donner. C’est là que tu retrouves de la richesse et Conte a commencé à le faire , il l’avait transmis aux joueurs." "Nos joueurs à l’Inter n’avaient pas de palmarès et les difficultés étaient donc importantes. Aujourd’hui, ils ont une meilleure connaissance de ce qu’il faut avoir pour gagner. Au milieu du terrain, Barella représente une jeunesse devenue réalité. Je le choisi lui comme Pirlo et Pogba qui était arrivé gratuitement pour être revendu 110 millions d’euros. J’ai à mes côtés une équipe de travail qui me porte à faire des choix, mes décisions sont le fruit de ce travail : Pogba était quelqu’un de rare : pris gratuitement et rendu contre 110 millions d’euros. J’ajouterai Cuadrado comme ailier au milieu." "En attaque, j’en ai deux. Le plus difficile fut l’opération Dybala, je l’ai recruté grâce à mon rapport avec Zamparini qui était devenu le propriétaire de Palerme: Il m’avait contacté un jour pour me dire de me dépêcher car il était tout proche de signer avec Thohir. C’est grâce à notre amitié que j’ai su concrétiser cette opération. Je retire Ronaldo car c’est trop facile. L’autre personnalité avec qui je m’était lié d’affection était Recoba, mais j’aurais pu dire Pazzini ou Vieri. Même Lukaku mais cela aurait été trop facile : Peut-être que je dirais Higuain vu comment cela été devenu difficile." Une parenthèse sur Hakimi: Serait-il resté si Lukaku serait parti avant ? "Comme je l’ai dit, lorsque les joueurs sont intéressés par un salaire plus alléchant, il est très difficile de les garder." Pogba pourrait-il revenir en Italie ? "Je pense que ce serait difficile, même s’il y a aussi l’outil du Décret Croissance, qui s’il est boycotté, il nous a tout de même permis de réduire le coût du travail. Mais face à la valeur qu’il représente, je ne pense pas que quelqu’un puisse se permettre de l’engager." Dybala a l'Inter? "C’était possible lorsque l’on avait parlé d’une possible négociation entre lui et Icardi, mais je pense qu’il va signer avec la Juve pour prolonger." Lautaro Martinez est-il la pierre angulaire du futur ? "Il prouve qu’il est un joueur sur qui l’ont peut baser le présent et le futur, il est brave, professionnel, je souhaite que son futur soir à l’Inter, nous ferons tout. Très prochainement nous annoncerons sa prolongation car il est important: Je tiens à poser les bases pour un futur composé d’un juste équilibre entre des joueurs d’expérience et les plus jeunes." Quelle est votre évaluation sur la situation du club ? "L’Inter continuera à voyager haut avec une sécurité financière. Le modèle ne peut plus être celui qui existait auparavant, le tout doit retrouver une normalité. Mais nous ne pouvons pas nous imaginer que la famille Zhang, qui veut aller de l'avant et je peux le dire avec certitude, doivent toujours nous assainir. Nous voulons nous battre pour des objectifs de plus en plus ambitieux, mais nous voulons construire à partir de l'arrière, du secteur Giovanile, pour disposer d’une équipe qui pourra atteindre des objectifs importants." Votre meilleur entraîneur en carrière ? "Je prends Conte car il a gagné à Turin et à Milan et c’est statistiquement important. J’ai connu tant de très bons entraîneurs en carrière, et j’ai dû congédier des entraîneurs qui étaient humainement très bons mais qui n’étais pas des gagnants. Je pense qu’un entraîneur est bien plus souvent gagnant lorsqu’il est dans une situation des plus inconfortable. Ce rôle qui l’occupe doit être vécu comme une stimulation." "Je ne peux pas nier que Conte est un dur à cuire, mais il nous a prouvé qu’il était un gagneur. Il est très extrêmement exigeant avec une culture de la victoire comme peu en ont. Je dois vous dire qu’Inzaghi, vu comment j’apprends à le connaitre suit ce profil : Nous ne pouvions pas faire meilleur choix." Jusqu’à quand resterez-vous à l’Inter ? "Je me sens très bien ici, moi-même, tout comme l’équipe dirigeants avons parlé avec Steven Zhang. Lorsqu’il reviendra en Italie, je pense au mois de décembre, nous parlerons du futurs, les feux sont tous au vert, je dois vous dire également que j’ai plus une vision d’ensemble de la vie. Aujourd’hui c’est ce défi, puis il y en aura d’autre." "L’Inter sera mon dernier club, il n’y en aura plus de place pour un autre par la suite. Je me sens épanoui dans mon parcours et c’est bien que je puisse songer à des défis différentes, je me sens redevable envers le monde du ballon rond qui m’a enrichi en tant qu’homme, et cela va au-delà des récompenses." "A présent, ma capacité à faire face aux difficultés de la vie trouve son origine que je suis sûr de les surmonter grâce à ce que le sport m’a donné. Je veux y rester mais plus avec le stress d’aujourd’hui, et je pense également qu’il est juste de ralentir mes activités en songeant à ma santé." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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