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  1. L'ancien président légendaire de l'Inter, Massimo Moratti, estime qu'Antonio Conte serait l'entraîneur avec les bonnes caractéristiques pour remporter à nouveau le titre de Serie A avec les Nerazzurri. S'adressant à la chaîne YouTube Inter69, l'ancien président a fait part de ses réflexions sur ce que signifierait un éventuel retour de Conte, tout en affirmant que l'actuel président de l'Inter, Steven Zhang, ne devrait pas être jugé trop sévèrement en ce moment. Alors que Conte n'a quitté Tottenham Hotspur qu'il y a quelques jours, la rumeur bat déjà son plein concernant la prochaine destination du joueur de 53 ans. L'ancien entraîneur de la Juventus et de l'Inter, qui a également connu du succès avec Chelsea et l'équipe nationale italienne, a été fortement lié à un retour chez les Nerazzurri en particulier. Pour sa part, Moratti estime que Conte pourrait être l'homme qui ramènera le titre aux Nerazzurri, ayant également été le dernier entraîneur à remporter le Scudetto avec le club lors de la saison 2020-21. Quant à savoir s'il pense ou non que Conte pourrait revenir à l'Inter cet été, Moratti a déclaré: "Je n'en ai pas parlé avec Marotta, donc je ne le saurais pas." « Est-ce que je le ramènerais ? » a posé l'ancien président. "Si l'équipe veut à nouveau gagner le Scudetto, il pourrait être le mieux placé pour le faire." Moratti a ensuite fait part de ses réflexions sur la situation financière actuelle de l'Inter, déclarant que "la situation du club est le reflet de l'ensemble de la situation économique internationale, ce qui place les clubs de football de ce niveau dans une position où ils appartiennent soit à de grandes entreprises, soit à des tops fonds internationaux". "Il est peu probable qu'une famille d'Europe ou d'Italie soit capable de posséder l'Inter, Milan ou la Juve", a expliqué l'ancien président dans son analyse de la situation. "En ce qui me concerne, Zhang a investi beaucoup d'argent dans l'Inter et a remporté le Scudetto et plusieurs autres trophées", a ajouté Moratti. "J'attendrais un peu avant de le juger trop sévèrement." Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  2. Antonio Conte est de retour en Italie après la fin de l'aventure à Tottenham : son sort semble déjà scellé! L'ancien entraîneur de l'Inter et de la Juventus est à Turin, où il a retrouvé sa famille après ses adieux à Tottenham. C'est ce qu'a révélé Tuttosport, qui analyse l'instant présent de l'ancien milieu de terrain: "Un adieu qui lui permettra de rester proche de sa fille Vittoria et de sa femme Elisabetta et surtout de retrouver cette paix intérieure qui avait totalement disparu entre la mort brutale de son ami proche et collaborateur du club londonien, Ventrone, celle de son ex associé Gianluca Vialli puis l'intervention chirurgicale pour la survenue d'un problème résolu justement avec l'opération qui a été suivie d'une convalescence trop rapide : au point d'entraîner un nouvel arrêt. En bref, Antonio Conte, au niveau de l'esprit et du corps, a su saisir les signaux et avec le bon courage pour affronter de la meilleure façon possible l'un des moments les plus difficiles de son existence". Selon le journal, la pause de Conte n'est pas destinée à durer quelques semaines ou quelques mois. Malgré les appariements avec les meilleurs clubs italiens, le joueur de Salento va rester au repos: "Tout va dans le sens d'une année sabbatique, pour recharger les batteries et profiter de ces affections trop éloignées depuis trop longtemps". La santé et les proches avant tout! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  3. Interviewé par le Corriere della Sera, l'ancien attaquant de l'Inter Christian Vieri s'est exprimé sur la belle saison de Naples et les performances de l'Inter d' Inzaghi qui n'a pas été à la hauteur de ses attentes en ce début de saison en championnat. Vous attendiez-vous à un Naples similaire ? — « C'est une voiture parfaite. Je n'ai jamais vu un club apparaître aussi fort après une véritable révolution technique». Giuntoli et Spalletti champions ? — «Giuntoli est un directeur sportif à l'ancienne, il va chercher lui-même les joueurs. Je suis content pour lui, on a joué ensemble à Allievi del Prato : c'était un vieil homme libre, tout en coups et en coups (rires) ». Et Spalletti ? — «Mon père Bob l'estime beaucoup, et mon frère m'a déjà beaucoup parlé de Luciano lorsqu'il était à Ancône. Les équipes de Spalletti jouent bien au football, ça a toujours été comme ça. Son empreinte est très reconnaissable. Il a acquis une expérience totale et sait parfaitement lire chaque détail dans les différents moments de la saison en général ». Est-ce un Napoli qui peut aussi rêver en Ligue des champions ? — "Ce ne serait pas une surprise pour moi, même s'il devra faire très attention à Milan." En parlant d'Inter, une saison difficile à décrypter. — «C'est inacceptable de perdre 9 matchs sur 27 en championnat. L'Inter est une équipe, ils ne peuvent pas laisser cette avalanche de points dans la rue. Je m'attends à beaucoup plus et il ne peut pas y avoir autant de discontinuité». Benfica est-il battable ? — « Un challenge très ouvert. Benfica est fort, c'est le Napoli du Portugal. Là, l'architecte est, sans surprise, Rui Costa, quelqu'un qui a fumé des cigarettes et fait du football toute sa vie (rires)». Lukaku est-il le vrai équilibreur de l'Inter ? — "Jusqu'à aujourd'hui, il a été absent, tout le monde attendait un autre Lukaku". Pendant ce temps, l'aventure de Conte à Tottenham est terminée. Êtes-vous surpris par un tel épilogue ? — «Antonio entre en conflit avec tout le monde, c'est son caractère. Si vous le prenez, vous n'avez pas à vous attendre à quelqu'un qui se tait et tout va bien avec lui. Il est toujours sur les nerfs, c'est sa façon d'être, on aime ou on aime pas. Vous savez qui vous obtenez. Tous les deux ans, vous vous disputez avec tout le monde ? Oui, il part toujours avec des problèmes ? Oui, tu sais qu'il est exigeant, sérieux. Et c'est lourd de l'avoir en société, ça ne permet pas de dormir tranquille. Ce sont des choix. Il y a des entraîneurs comme Conte et Mourinho qui martèlent à toute heure, mettent la pression et exigent toujours le meilleur. Et puis il y a ceux qui sont contents de tout, ils y restent. Chacun s'entraîne et voit le football à sa manière, et cela ne veut pas dire que tel ou tel entraîneur a raison." Chapitre national : que pensez-vous de Retegui ? — « C'est prometteur, impact positif. Un très beau but marqué contre l'Angleterre. Mancio avait encore une fois raison : s'il voit un bon joueur, il le lance sans trop de problème. Dans tous les cas, Mateo doit jouer et encore beaucoup s'améliorer». Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  4. Un retour d'Antonio Conte à l'Inter est-il vraiment envisageable ? C'est la question que se pose la Gazzetta dello Sport dans son édition en ligne. Analyse. "Il est inutile de cacher que l'adieu de Conte a laissé des séquelles dans viale della Liberazione Zhang, qui était proche de lui et qui en août 2020 avait gagné le 'pari' de le garder malgré les relations nulles avec Marotta, Ausilio et Baccin, espérait que l'entraîneur du Scudetto ne partirait pas une poignée de jours avant la fête pour un titre que la Pinetina n'avait pas vu depuis 11 ans. Et au lieu de cela, Conte avait dit au président qu'il ne resterait pas dans une équipe affaiblie qui perdrait bientôt Hakimi et, en août, Lukaku également. Les parties sont parvenues à un accord sur l'indemnité de départ mais la rupture a été violente et dans la Viale della Liberazione, peu ont regretté un adieu que plus d'un ont vécu comme une libération." "Maintenant que Simone Inzaghi est de nouveau en danger et que l'entraîneur du Salento est à nouveau libre, il est normal qu'on recommence à en reparler. Pour le faire revenir à Appiano Gentile, il faudrait cependant trouver un accord sur le programme technique car il est très difficile pour le désormais ex de Tottenham d'accepter de revenir dans un club qui, au lieu d'investir, est contraint de vendre quelques joueurs de valeur chaque année. Il faudra également un effort pour son engagement. En effet, quand il est arrivé en 2019 il gagnait 12 millions net plus 2 de bonus par saison et n'avait pas les avantages du Décret Croissance pour les 'cerveaux' rapatriés. À moins d'une surprise, il ne pouvait pas en avoir même maintenant. Beaucoup d'argent... En plus, il faudrait renouer les relations avec le domaine technique. Possible? Dans le football, ne jamais dire jamais…" "Commentaire sur l'équipe: Conte demandera certainement la confirmation de Romelu Lukaku dans l'équipe et avec lui, l'avenir de Marcelo Brozovic pourrait également changer. Les confirmations aussi de Nicolò Barella et Lautaro Martinez sont évidentes. Cependant, le problème des achats éventuels demeurerait toujours." Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. A travers un tweet sur son compte officiel, Tottenham a officiellement annoncé le départ d’Antonio Conte, l’Homme au quatre Scudetti "Nous pouvons vous annoncer que l’entraineur Antonio Conte a quitté le club d’un commun accord. Nous sommes parvenus à nous qualifier, pour la Ligue des Champions, lors de la première saison d’Antonio au Club et nous remercions Antonio pour sa contribution et lui souhaitons le meilleur pour l’avenir. Cristian Stellini prendra en charge l’équipe en qualité d’Acting Head Coach pour le reste de la saison en compagnie de Ryan Mason en qualité d'Assistant Head Coach." Daniel Levy, le Président : "Il nous reste 10 rencontre de Premier League et nous devons nous battre pour une place en Ligue des Champions, nous devons tous être soudé, nous devons tous aller de l’avant pour garantir le meilleur résultat possible pour notre club et pour nos loyaux et fantastiques supporters." Vers un retour en Serie A du Roi Antonio selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. C'est la Révélation de la Gazzetta Dello Sport: "Sans exploit en Ligue des Champions, où les Nerazzurri affronteront Benfica en quarts de finale, le sort de l'entraîneur de Piacenza semble déjà être scellé. Même une place dans le Top 4 de la Serie A et une qualification pour la prochaine Ligue des Champions ne lui suffiront pas pour éviter d'être licencié." "Avec 9 défaites en 27 matches de championnat, tout porte à croire que l'Inter et l'entraîneur de Piacenza se sépareront en juin. Mais plus que tout, la candidature de Roberto De Zerbi est la favorite de Giuseppe Marotta, Piero Ausilio et Dario Baccin suivi de celle de Thiago Motta, admiré pour sa croissance ces dernières années, mais il y a aussi celles de Diego Simeone et d'Antonio Conte." "Antonio a très mal rompu avec le Monde Nerazzurro: Il ne croyait plus au projet de Suning et il a refusé de rester pour cause de réduction d'effectifs tout en empochant 14,3 millions bruts d'indemnités de départ, une somme valide pour lui et son staff au moment d'acter son départ." "Même si l'on "oublie" Marotta, Ausilio et Baccin, est-il vraiment possible que Steven Zhang réengage Conte après cette rupture de confiance qu'il a reçu au printemps 2021 ? Et surtout, Conte accepterait-il de travailler dans une équipe de l'Inter qui a encore de grandes ambitions, mais qui n'a plus cette capacité d'investir comme à l'été 2019" ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  7. Devons-nous nous préparer à un jeu de chaise musicale sur le banc des entraîneurs de Serie A ? D’Antonio Conte à Simone Inzaghi, en passant par José Mourinho et Thiago Motta, cet été risque d’être animé dans la Botte ! Révélation de Fabio Caressa sur Sky Sport ®RTL-INFO "Je savais, avant même Noël, que l’histoire allait se finir comme ça avec Tottenham : Conte a un leadership obsessionnel qui part de la tête, il vous apporte les outils afin de pouvoir faire ressortir le meilleur de vous, mais cela fini par user ses équipes: Et si Antonio ne voit pas que le Club le soutenir sur certaine choses, cela ne lui convient pas, il n'est pas là pour jouer pour la cinquième place, il veut avoir au moins la possibilité de l’emporter, sinon il se barre." "Une nouvelle porte s’ouvre pour l’entraineur selon moi : Je crois que Conte est le seul qui pourrait faire remporter la Ligue des Champions au Paris-Saint-Germain : Antonio peut y parvenir, c’est le seul. Mais Paris misera sur Thiago Motta, il y a déjà eu une rencontre avec lui : Les choses peuvent aussi changer mais l’ancien milieu de terrain connait bien l’environnement et c’est un atout à mettre en avant." "Conte présent sur le banc du mercato des entraineurs change pas mal de chose, mais si Mourinho dit certaines choses sur Tottenham, qu'un autre type d'entraîneur arrive et que les Spurs ne gagnent toujours pas , et qu’ensuite Antonio Conte arrive et que la même situation se reproduit, peut-être que quelque chose ne va pas dans le Groupe et qu'il voulait que le club prenne ses responsabilités." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Interviewé par Tuttosport, Alessandro Altobelli analyse le passage de l'Inter en se tournant également vers l'avenir proche. Votre avis général ? "L'Inter a une bonne équipe mais je ne suis pas si satisfait des résultats. Vous ne pouvez pas perdre neuf matchs en championnat. Sur 27 matchs, c'est une défaite tous les trois matchs. Je n'aime pas non plus le fait que trop de buts soient encaissés, malgré leur propre force : les Nerazzurri ne paient pas pour leur propre valeur." Que pensez-vous de Lukaku? L'Inter devrait-il continuer à se concentrer sur lui ? "C'est un joueur particulier. Avec Conte, c'était un pilote, décisif pour gagner le Scudetto. Puis il est allé à Chelsea et cela ne s'est pas bien passé. Il a donc voulu retourner en Italie mais aujourd'hui, ce n'est plus ce Lukaku que tout le monde se souvient de sa première aventure Nerazzurri. Il ne passe pas un bon moment, il ne marque pas, il a du mal. De plus, il est également prêté : je pense que l'histoire de Lukaku avec l'Inter est terminée... à moins que d'ici à la fin, il ne nous fait voir des choses extraordinaires." Aujourd'hui, le principal attaquant de l'Inter est Lautaro. "Je l'aime beaucoup, je le considère comme l'un des meilleurs buteurs du championnat italien. Et cela se voit aussi dans le classement des buteurs. Il participe à l'action, chasse et défend. Pour moi, c'est un joueur complet. Je suis satisfait de lui. Alors c'est vrai, grâce aux qualités qu'il possède, il pourrait marquer plus, j'espère que ce saut de qualité viendra bientôt car avec les buts de Martinez, l'Inter pourrait aller loin dans les coupes et gagner plus de matchs en championnat." Dzeko a beaucoup tiré mais n'a pas marqué depuis début Janvier. "C'est vrai, mais je l'aime bien en tant qu'attaquant. Il sait ce qu'il a à faire, il connaît les moments du match. Il peut donner un coup de main à l'équipe." Le garderiez-vous à Milan encore un an ? "Je ne veux pas parler de chiffres mais seulement du plan technique, aussi parce que si nous regardons le côté économique, nous devrions remonter aux dix dernières années et voir combien de dettes l'Inter a contractées avec de mauvais achats. Cela dit, je garderais Dzeko." Et Corréa ? "L'Argentin avait très bien joué à la Lazio et Inzaghi le connaissait parfaitement. Il l'a amené à Milan avec l'idée qu'il pourrait être utile en tant que troisième ou quatrième attaquant. De toute évidence, cependant, ce n'est pas un joueur qui peut jouer en réserve. Avec la Lazio, il avait plus de confiance, il était en phase avec tout le monde, parmi les Nerazzurri, il n'a pas réussi. Je ne pense pas qu'il faille dire qu'il n'est pas un joueur de l'Inter, juste qu'il n'était pas le type de joueur auquel l'Inter s'attendait. Il aurait dû être prêté lorsqu'on l'a appelé mais cela ne s'est pas produit. Peut-être qu'il n'est pas de ceux qui peuvent jouer en tant que quatrième attaquant." Avec le recul, n'aurait-il pas été préférable de confier ce rôle à des gens comme Satriano ou Mulattieri qui s'en sortent si bien avec Empoli et Frosinone ? "Absolument. En fait, le moment est venu de donner plus d'espace à ces gars qui se montrent quand ils sont prêtés ailleurs. Si l'un sort de la Primavera de l'Inter et qu'on lui demande de jouer en équipe première, il donne le maximum, mille pour cent, même pour une minute. Contrairement peut-être à ceux qui sont achetés de l'extérieur, ils aiment être dans la formation de départ et ne donneraient rien s'ils entraient pour une très courte période." Que pensez vous d’Inzaghi? "Il a remporté trois trophées et est en quart de finale de la Ligue des champions. Mais à mon avis, il pourrait obtenir beaucoup plus de cette équipe." L'Inter peut-elle rêver de gagner la Ligue des Champions ? "Tout d'abord, je dirai que si les Nerazzurri ne triomphent pas, j'espère que Napoli pourra ramener la coupe en Italie car aucun club italien ne l’a ramenée depuis le triplé de Mourinho. Cependant, il ne faut pas penser que Benfica est une équipe facile à gérer, ni qu'il s'agit d'un simple duo. Les Portugais ne sont pas là par hasard. Ils ont éliminé la Juventus et ont terminé premiers du groupe devant le PSG. Ensuite, il est logique que si vous voulez aller loin, vous devez vous casser la tête et les éliminer. En demi-finale, il y aurait donc un derby italien et là tout dépendrait des performances futures. Il faut dire que l'Inter, ainsi que Milan et Naples, ont très bien fait en Ligue des champions jusqu'à présent. Qui sait..." Si Inzaghi devait mettre un terme à son expérience à l'Inter, sur qui parierez-vous ? "Je serais indécis concernant Mourinho et Conte. Je les considère comme deux grands entraîneurs, parmis ceux qui ont tant donné et gagné à l'Inter. Je suis sûr qu'ils gagneraient plus de trophées avec les Nerazzurri." Thiago Motta devra patienter. "Oui, je lui donnerais plus d'expérience, le temps est de son côté." Traduction alex_j via FCInterNews.
  9. Andrea Ranocchia, dans une interview accordée aux micros de tuttomercatoweb.com a raconté le parcours qui l'a amené à décider de raccrocher les crampons durant cette saison. Votre dernière blessure, vous a-t-elle obligé de prendre votre retraite ? "Elle m'a donné le dernier coup de pouce, j'y pensais depuis un moment, mais sans la blessure j'aurais continué à Monza. Mais après cette blessure, j'ai aussi fait le calcul : c'était encore l'été, le marché était ouvert et donc je n'aurais pas mis le club en difficulté, d'ailleurs Galliani a fermé quelques jours plus tard pour Izzo. Et puis avec l'année de la Coupe du monde, et avec une blessure qui ne m'aurait pas permis d'être à nouveau disponible avant janvier-février, Monza aurait pu encore se renforcer en janvier." Avez-vous déjà pensé à arrêter quand vous étiez à l'Inter ? "Pas exactement, pas arrêter comme ça. J'ai cependant senti que je n'avais plus cette grande passion pour le football. Nous avons discuté à la fin de la saison et nous nous sommes dit que nous n'irions pas de l'avant ensemble. Et j'ai pensé qu’'après 12 ans, trouver un nouveau carré, un nouvel enthousiasme, peut-être que je trouverai un nouvel enthousiasme et de nouveaux stimuli.' Et au lieu de cela les sensations étaient toujours les mêmes, il y avait toujours un demi-doute. Puis tout mûrit quand je me suis blessé." Donc avec l'Inter, ça ne s'arrête pas parce que vous pensiez déjà à prendre votre retraite. "Lorsque nous nous sommes rencontrés, le club ne connaissait pas encore le budget disponible, il n'avait pas encore prévu l'avenir... Pour moi, l'opportunité de Monza arrive à la mi-juin et je dis oui." Peut-être qu'en attendant l'Inter, l'Inter se présenterait-elle à nouveau ? "Je ne le saurai jamais, quand Monza m'a appelé, j'ai saisi cette opportunité." Votre dernière saison à l'Inter était la première d'Inzaghi. "J'ai ruminé parce qu'on n'a plus gagné le championnat, c'était le 20e Scudetto et ça aurait eu un sens important. Mais on a gagné la Supercoupe, la Coupe d'Italie, je suis quand même parti avec deux trophées et ça va, je suis heureux. Ensuite, j'ai vraiment aimé le dernier adieu que le Meazza m'a fait : très émouvant, peut-être l'un des plus excitants de ma carrière. Je suis content de la façon dont cela s'est terminé avec l'Inter." Inzaghi souffre-t-il de ce moment de maigres investissements de l'Inter après les adieux de Conte ? "L'Inter est une équipe solide qui a remporté trois trophées sous Inzaghi. Ils sont maintenant en demi-finale de la Coupe d'Italie, en quart de finale de la Ligue des champions et sont deuxièmes du classement. Ensuite, bien sûr, vous vous attendez toujours ce que l’Inter gagne le championnat ou en tout cas qu'elle aille au bout de toutes les compétitions. Mais cette année, il n'est pas facile pour quiconque de suivre le Napoli qui joue dans un autre championnat. Il faut aussi donner du crédit à ceux qui sont premier avec 19 points d’avance. L'Inter d'Inzaghi est excellente, qui peut lui dire quelque chose ?" Mais à lire ses interviews, à souligner ce qu'il a fait, il donne l'impression d'être le premier à souffrir de ne pas avoir gagné le Scudetto. "C'est le football, l'un gagne et les autres sont derrière la scène. Au-delà du championnat à huis clos, je le répète, l'Inter est en lice dans les autres compétitions. Il faudra compter en fin d'année, pas après une défaite ou une victoire." Quand mûrit votre idée de terminer avec l'Inter ? "Après une discussion à la fin de l'année dernière. A cette occasion, nous nous sommes dit: ‘Voyons voir’. Ils devaient planifier une saison qui n'avait toujours pas de caractéristiques claires et j'ai commencé à regarder autour. Le tout dans une grande sérénité, comme toujours au cours de ces 12 années." Avez-vous déjà eu une brouille avec l'entreprise ? "Cela peut sembler étrange mais non, jamais. Je vais vous donner un exemple : mes négociations de renouvellement de contrat avec l'Inter ont duré entre 5 et 6 minutes, je ne pense pas que cela ait jamais duré plus longtemps. Ils ont fait une proposition, je l'ai modifiée à la marge et au bout de 10 minutes nous signions." Un autre pas en arrière. Avant Inzaghi, il y a Conte. Pourquoi disparaît-il au bout de deux ans ? Comment vous le communique-t-il ? "Je ne sais pas ce qui s'est passé à cette époque. Personne ne le sait en dehors du club et de Conte lui-même. Je ne voulais même pas demander, ce sont des relations personnelles et des décisions personnelles. Et puis chacun pense à son propre avenir. Pour moi c'est qu'il était un entraîneur fondamental." Qu'est-ce que Conte vous a donné de plus que ce que Spalletti vous a déjà donné ? "Mentalité, discipline, manière d'appréhender l'entraînement, manière d'appréhender le match. Il soigne l'apparence du joueur à 360°, il a un peu réaménagé l'environnement avec sa modalité et avec lui il a mené un parcours gagnant." La fermeture d'un cercle. "L'histoire de l'Inter au cours des 12 dernières années a été un peu étrange. Nous sommes passés de l'ère Moratti qui avait tout gagné, puis Thohir et ensuite Suning. Lorsque ces changements ont lieu, il faut du temps pour rétablir la stabilité dans l'environnement. Mais dans le football, vous n'avez pas le temps : vous avez une semaine, le temps qui passe d'un match à l'autre. Spalletti a posé la première pièce de la nouvelle Inter : il a été fondamental. C'est un entraîneur fort, qui entraîne les joueurs et forme un environnement. Mais ce sont des années où vous avez dû défier une Juventus qui était parmi les meilleures du monde et vous êtes aux prises avec une nouvelle voie : vous avez du mal. Cependant, c'est Spalletti qui nous a ramenés en Ligue des champions et aussi au niveau économique et blason, ça a commencé à se reconstruire. Puis Conte est arrivé qui a ajouté sa discipline, sa façon de penser. Et ça, c'est personnel. Je ne dis pas qu'il est le seul capable de gagner à l'Inter, mais à ce moment-là, il était doué pour mettre toutes les pièces dans le bon sens pour arriver au Scudetto." Mais vous ne pensez pas que les deux derniers Scudettos de l'Inter soient de Mourinho et Conte. "A ce moment, sa mentalité a fait grandir tout le monde, du club à l'entraîneur en passant par ceux qui travaillent autour de l'équipe. Maintenant, l'Inter est un club structuré du plus haut niveau et à mon avis, ce n'est qu'une question de temps avant de revenir pour gagner. On aurait pu gagner encore l'an dernier, elle a échoué de peu. On a eu un black-out entre février et mars et on a un peu brûlé là. Pas tellement dans les quatre derniers jours comme on dit, c'est plutôt en janvier/février qu'on a galéré. Cette année, cependant, Naples a fait un championnat à part : ils ont une mentalité, ils gagnent, ils ont du talent. Ce championnat est plus un mérite de Naples, il a créé un vide. Il y a aussi les démérites des adversaires, bien sûr, mais Spalletti a fait un excellent travail." Le travail de Spalletti à l'Inter a-t-il été sous-estimé ? "Son travail n'a pas été assez apprécié. Il pose les bases. C'est difficile pour une équipe d'une année sur l'autre de finir septième, ensuite premier puis de gagner le Scudetto. Le Napoli s'est construit au fil des ans, ils y arrivent toujours : deuxième, troisième, deuxième, puis troisième... Et il va mieux cette année. Mais oui, le travail de Spalletti a été largement sous-estimé à l'Inter." L'année de son retour en Ligue des champions, l'affaire Icardi éclate. A-t-elle été difficile à gérer ? "Très difficile. La vérité est que je n'aurais pas voulu être à sa place. Mais il était bon, il a atteint son objectif de terminer dans le top quatre. Avec un dernier match particulier, plein d'émotions, mais même là en la fin nous l'avons fait." Je reviens donc à la comparaison avec Conte. Avait-il la possibilité de réclamer certains achats plus que ses prédécesseurs ? C'est ça la différence ? "Ces entraîneurs sont ceux qui ont une grosse histoire de victoires et de trophées. À mon avis, lorsqu'ils ont eu les premiers entretiens avec Conte, ils s'étaient déjà clarifiés sur de nombreux aspects. Il venait depuis des années au cours desquelles il avait entraîné et a gagné avec la Juve, il était un symbole de la Juve et à ce moment-là, si vous acceptez l'Inter, vous ne pouvez pas vous tromper d'un iota. Avant d'accepter une telle mission, je pense qu'ils ont mis les différents mouvements à faire sur papier." C'est le cursus qui fait la différence et vous amène à demander certaines garanties. "Oui. Probablement même Spalletti, en remportant le championnat et en devenant un entraîneur gagnant, demandera à la prochaine équipe qu'il entraîne des garanties différentes et plus importantes. Et à ce moment-là, il peut vraiment les exiger. C'est ainsi que cela fonctionne pour les grands entraîneurs et pour les meilleurs joueurs." Avant Spalletti, il y avait Pioli. Vous attendiez-vous à ce qu'il puisse gagner le Scudetto avec Milan ? "L'année dernière je lui ai écrit, je l'ai complimenté. Je l'ai eu quelques mois mais c'est un bon coach, qui construit un groupe et qui a un très bon staff. Gagner le championnat c'est difficile parce que tant de choses prennent le dessus en une année. Ce n'est pas de la chance, la décision de l'arbitre n'a rien à voir. Celui qui gagne le championnat c'est parce qu'il le mérite. Il était doué pour créer ce sentiment avec l'équipe. L'année dernière, vous avez pu voir qu'il avait créé cette relation de compacité avec l'équipe, cela a été perçu. Comme cette année, vous pouvez voir le sentiment entre Spalletti et son équipe." Et puis à Milan, il a su construire un projet, alors qu'à l'Inter, il était perçu comme un entraîneur de transition. "Oui, définitivement oui. Et puis il y a encore sa croissance en tant qu'entraîneur, quand on parle de Pioli à l'Inter on parle de 2016..." Avant Pioli la parenthèse de Boer. Il est difficile de trouver quelqu'un qui en parle en bien. "Je n'aime pas dire du mal des gens..." C'est compris. Mais ce n'est pas facile de bien en parler. "Un entraîneur qui ne connaît aucunement le football italien a du mal et il ne connaissait aucunement le football italien. Il ne connaissait pas les joueurs, il ne savait rien. La langue était un gros problème, faire passer des mots ou vos messages à l'équipe, c’est dur, ils parlent deux langues différentes. Et puis ce fut une période de grande confusion à l'Inter. Je vous dis la vérité, je ne me souviens même pas trop de son passage à l'Inter... Il a dû être avec nous deux des mois." Avant de Boer, il y a Mancini. Et c'est l'entraîneur qui vous fait asseoir sur le banc, vous obligeant à partir en prêt. "Quand il est arrivé, j'ai joué, puis on n'est plus reparti la saison suivante et donc au fil des semaines j'ai commencé à évaluer différentes solutions. Mais je m'entendais bien avec Mancio... C'était aussi une bonne expérience d'être coaché par lui parce que c'est un coach qui gagne et quand des coachs de ce calibre arrivent, ils te donnent quand même quelque chose. Après il y a le coach avec qui tu crées plus ou moins de feeling, mais pour moi c'était simplement un choix technique." Bref, sans rancune. "Là et puis ça te ronge, tu veux jouer. Mais aujourd'hui je peux dire que le sélectionneur de l'équipe nationale m'a coaché." Jusqu'à la première année avec Mancini, vous jouez en tant que titulaire, puis lorsque vous revenez de prêt, vous êtes en soutien. Pourquoi acceptez-vous ce nouveau rôle à ce moment ? "Les six mois en Angleterre m'ont un peu ouvert les yeux, ils m'ont fait comprendre qu'il y a aussi une autre façon de vivre et d'appréhender le football. C'était une belle expérience. Quand je suis revenu de Hull City, je ne savais pas si je resterais ou non, Spalletti venait d'arriver. Au bout d'un moment, Luciano me dit : ‘Écoute, je suis content si tu restes, donne-moi un coup de main.’ Une belle relation personnelle s'est immédiatement créée : j'ai encore de ses nouvelles deux à trois fois par mois, nous nous écrivons. La relation humaine est très importante pour moi, plus que la relation professionnelle. Parce qu'à ce moment-là, j'ai toujours pensé qu'une fois que j'aurais arrêté, ces relations resteraient. Et aujourd'hui c'est comme ça, ça veut dire que tu as montré quelque chose de bien, mais pas en jouant parce que tout le monde est bon pour jouer en Serie A, je veux dire sur le plan humain." Et avec Spalletti cette belle relation humaine se crée immédiatement. "Après ce discours, je suis allé parler au club. Eux aussi étaient contents de mon éventuel séjour et donc je suis resté à ce moment-là. Puis un autre type de relation s'est établi après, parce que je voulais gagner avec l'Inter. Et après Spalletti est venu Conte, je le lui disais depuis de nombreuses années et à la fin il est vraiment arrivé. Ensuite, tu gagnes le championnat et quand tu gagnes, tu te sens bien, même si tu ne joues pas 40 matchs. J'étais bien avec le groupe, l'environnement était idéal et ma famille allait bien à Milan. Il y avait la possibilité de gagner des trophées et à ce moment-là, il ne m'est jamais venu à l'esprit de partir." Et cela s'est également perçu dans la relation avec les fans. Dans la première partie, quand vous étiez titulaire, beaucoup de critiques. Puis, quand vous êtes revenu en acceptant de jouer moins, vous avez été élu symbole de l'interisme. "C'est comme ça que ça s'est passé. Mais cela aussi fait partie d'un parcours sportif, footballistique. Quand tu es dans une grande équipe, même si tu gagnes, tu es toujours sujet à la critique. L'Inter a lutté pendant de nombreuses années, la critique était normale. Et puis avec l'ère des réseaux sociaux tout s'est élargi à tous les niveaux. Mais ça s'est passé différemment pour moi et encore aujourd'hui quand je retourne au stade ils me saluent. Cela me vaut plus que 50 Scudetti... Je le répète : l'aspect humain est fondamental parce qu'alors la vie est longue. A 35 ans la partie sportive s'arrête, mais après t'en as beaucoup plus pour tout le reste." Revenons au début de votre aventure Interista. Vous arrivez avec Leonardo. "Oui, Benitez avait été viré trois jours plus tôt." Et vous, quel coach trouvez-vous ? "Je me suis tout de suite bien entendu avec Leo. Une bonne personne. Il est bon comme entraîneur, mais j'ai perçu que ce n'était pas tellement ce qu'il voulait faire. Et en fait, il a changé au bout d'un moment." Vient ensuite Gasp. Qui ne comprend pas ce groupe ou vice versa ? "C'était difficile pour ce groupe de comprendre Gasperini. Il arrive mais même là, je vous dis la vérité : ce furent des années très mouvementées et on a tout vécu comme ça, très vite. Au jour le jour." Avec qui avez-vous trouvé le plus de continuité dans cette phase ? "A cette époque je jouais. Je l'ai trouvée avec Mazzarri comme avec Stramaccioni, j'ai aussi joué avec Gasp." Toutes des personnalités très différentes. "C'était difficile, aussi parce que changer d'entraîneurs, de stratégies et de méthodes de travail à chaque fois n'est pas facile. Bien faire ces années-là était très difficile." Est-ce la raison de l'effondrement de l'Inter après le triplé ? "Oui. Ces dernières années, j'ai vu un super calendrier à l'Inter. Même les entraîneurs qui sont arrivés : Spalletti, Conte et Inzaghi ont toujours donné le sentiment de stabilité. Maintenant, Inzaghi a été critiqué, mais à mon avis c'est plus un truc de journaliste..." Dans quel sens? "Naples joue dans un championnat à lui. Mais pour le reste, l'Inter est là : ils ont atteint les demi-finales de la Coupe d'Italie, ils sont en quarts de finale de la Ligue des champions. Ils ont remporté la Super Coupe. Le journaliste ou le fan critiquera toujours, mais quand on va évaluer, ce sont les résultats qui comptent." Vous parliez de continuité arrivée avec Suning. "Le trio Marotta-Ausilio-Baccin a donné un tournant important. L'Inter a réalisé un important marché des transferts ces dernières années et à eux trois ont ramené l'Inter à des niveaux importants." Après Bari vous allez au Genoa où vous jouez six mois "Oui, et je me remettais d'une blessure parce qu'en deuxième année à Bari en milieu de saison, avec Ventura sur le banc, je me suis cassé le LCA. J'avais déjà été acheté par le Genoa et donc à ce moment-là je suis aller à Gênes pour se faire soigner. L'été suivant, j'ai commencé le camp d'entraînement avec le Genoa, Gasperini était sur le banc. Il se trouve alors que fin novembre Samuel se fait son croisé, des rumeurs circulaient déjà sur l'intérêt de l'Inter et en décembre Preziosi m'a appelé pour me dire qu'il m'avait vendu à l'Inter. Je vais tout de suite faire mes valises et aller à Milan." Pratiquement après la Coupe du monde des clubs. "Deux jours plus tard. Ils ont viré Benitez, ont pris Leonardo et le lendemain ils ont officialisé mon achat." Qu'est-ce que le football a représenté pour vous ? "Ça a représenté 30 ans de ma vie, c'est tout. Alors peut-être que j'y retournerai mais la passion remue tout : si ça ne sera pas là, je ferai autre chose." Belle interview, très pro et très gentlman ! Bonne suite Andrea! Traduction alex_j via FCInter1908.
  10. En effet, après 27 journées de championnat, le classement révèle que l’Inter se retrouve à la troisième place de la Serie A avec 50 points obtenus via 16 victoires, 2 matchs nul et 9 défaites, dont deux consécutives face à la Spezia et face à la Juve pour 47 buts inscrits contre 31 buts encaissés. Révélation de Fcinternews.it "Ces statistiques font réfléchir sur le courant alternatif de la saison proposé par Lautaro&Cie et plus spécialement si on les compare à la dernière décennies, toujours après 27 journées de Serie A: Pour retrouver quelque chose de pire, il faut retourner jusqu’à la saison 2013/2014 lorsque les Nerazzurri proposaient 44 points en Serie A pour un total de 44 buts inscrits et 29 encaissés, avec une 5ème place au classement avec 60 points obtenus, l'année suivante, l’Inter proposait 37 points pour 42 buts inscrit et 35 buts encaissé. Avec quel résultat ? une 8ème place avec 55 points obtenus." "En 2015/2016, l’Inter parvenait à terminer à la 4ème place de Serie A avec une récolte de 67 points et 48 points obtenus après 27 journées pour 34 buts marqués et 25 encaissés. En 2016/2017, les points en poche, à la même période, de la saison étaient de 51 points pour 46 buts marqués et 28 encaissés combinés à une 7ème place et 62 points obtenu sur l’ensemble de la saison, soit une nouvelle saison décevante." "La situation s’améliorera nettement mieux en 2017/2018 avec l’arrivée sur le banc de Luciano Spalletti et la qualification pour la Ligue des Champions lors de la fameuse confrontation directe de la dernière journée au dépend de la Lazio et le fameux ‘L'ha presa Vecino" avec 72 points en poche et une quatrième place. Toutefois à la 27ème journée, les points récoltés étaient de 52 (soit deux de plus que ceux récoltés actuellement) pour 42 buts inscrits et 21 encaissés. La saison suivante voit l'Inter s'offrir à nouveau la quatrième place avec 69 points en 2018/2019 et 50 points récoltés avec 40 buts inscrit pour 22 encaissés après 27 journées." "En 2019/2020, l’arrivée d’Antonio Conte offre à l’Inter une seconde place avec 82 points et 58 points d’engrangé après 27 journées pour 54 buts inscrits et 28 encaissés alors que l’année du Scudetto remporté avec 91 points proposera une tendance totalement différentes avec 65 points après 27 journées pour 65 buts inscrit et 26 encaissés." "Place enfin au passé très récent et la saison dernière de Simone Inzaghi où l’équipe est arrivée seconde avec 84 points et 55 points récoltés après 27 journées pour de championnat. Pour 56 buts inscrits (9 de plus comparé à maintenant) et 24 encaissés (7 de moins qu’actuellement): Cette dernière statistique doit inviter à un changement de cap immédiat car le mois d’avril s’annonce enflammé avec une saison tout entière remise en question." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Les propos du journaliste : "Le scénario voit Mourinho-Real Madrid, Ancelotti-Brésil et Conte qui feraient de fausses cartes pour revenir à l'Inter" S'adressant aux micros de TMW Radio, Fabio Santini , journaliste, a ainsi évoqué un possible retour d' Antonio Conte à l'Inter : « Conte gagne 15 millions nets par an à Tottenham. Je vois Mourinho-Real Madrid, Ancelotti-Brésil et Conte qui feraient de fausses cartes pour revenir à l'Inter : l'Inter n'a pas d'argent, ils ne peuvent pas supporter un entraîneur aussi fort avec une présidence aussi faible. Je n'exclurais donc pas les Romains, s'ils décident de réduire son salaire, ou une année sabbatique en bonus. Telle est la situation, voyons maintenant ce qui va se passer. Il a le profil adapté à une reconstruction. Si l'Inter voulait se reconstruire, il serait idéal. Je le vois bien à Rome pour ça. Reviendrait-il vraiment à l'Inter ? Oui, il y a déjà eu des contacts il y a quelque temps mais l'Inter n'y arrive pas." Antonio prépare t-il son retour en Série A? Traduction Lindt Via Fc Inter1908
  12. L'aventure d'Antonio Conte sur le banc de Tottenham semble toucher à sa fin après les derniers résultats décevants encaissés par les Spurs. L'entraîneur reviendra-t-il en Italie après son dernier intermède réussi sur le banc de l'Inter ? Comme le rappelle Calcio&Finanza, les clubs de Serie A pourraient profiter des avantages économiques de la loi des impatriés contenue dans le décret dit de croissance. Explications ! La règle, modifiée en 2019 pour inclure également les sportifs professionnels, offre des avantages fiscaux à ceux qui mettent leur résidence principale en Italie, les revenus produits en Italie ne pesant que 50% en termes fiscaux. L'accès au régime des travailleurs "impatriés" est soumis à trois conditions : avoir résidé à l'étranger au cours des deux périodes fiscales précédant le transfert vers l'Italie; l'obligation de rester en Italie pendant deux ans après le transfert de résidence; exercer l'activité principalement sur le territoire italien. Conte avait déjà exploité les avantages de son expérience à l'Inter (venant de Chelsea, ndlr). Toutefois, la disposition ne fait aucune référence à l'interdiction d'utiliser à nouveau l'avantage fiscal. Reste donc la question des "deux périodes fiscales" passées à l'étranger avant le retour en Italie. Pour être considéré comme résident à l'étranger, il suffit de produire des revenus pendant 183 jours hors d'Italie au cours d'une année civile. En ce sens, Conte a donc déménagé à Tottenham en novembre 2021: en 2021 il était donc considéré comme résident en Italie, alors qu'en 2022 il était en Angleterre. La question de 2023 demeure donc, et cela aussi en cas d'exonération en cas de séjour aux Spurs jusqu'à la fin du contrat, il suffirait de ne pas déplacer la résidence principale en Italie avant le 30 Juin prochain pour être considéré comme résident à l'étranger. De cette manière, Conte pourrait donc à nouveau profiter de la règle sur les immigrés, facilitant économiquement son retour en Serie A. Au cours des saisons 2019-2020 et 2020-2021, par exemple, il avait un salaire net de 11 et 12 millions d'euros brut. Grâce au Décret Croissance, le coût pour l'Inter était d'environ 14,4 et 15,7 millions, au lieu de 20,3 et 22,2 millions, avec une économie d'environ 12,4 millions d'euros sur deux saisons. Traduction alex_j via FCInterNews et Calcio e Finanza.
  13. C'est une révélation de Tuttosport: L'avenir de Simone Inzaghi dépendra essentiellement des résultats du mois d'avril : "L'Inter joue le tout pour le tout en championnat dont l'objectif fondamental est de se maintenir dans le top 4 , sans oublier la possibilité de poursuivre la route aussi bien en Coupe d'Italie qu'en Ligue des Champions." "Il reste une année au contrat de Simone Inzaghi avant son expiration le 30 juin 2024 et ses 5,5 millions d'euros de salaire, ce qui rend un éventuel licenciement d'Inzaghi coûteux, mais soutenable": Le Club prend en considération les deux championnats perdus et les neuf défaites en championnat de cette saision, avec un calendrier qui est loin d'être facile d'ici à la fin de la saison." Vincenzo Italiano, Roberto De Zerbi, Thiago Motta et Antonio Conte sont les possibles successeurs mais "si Simone Inzaghi atteint la finale de la Ligue des Champions, il sera impossible de ne pas le voir sur le banc des Nerazzurri l'année prochaine." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Antonio Conte redeviendra entraîneur de l'Inter. C'est ce qu'a déclaré Antonio Cassano sur Bobo TV après la nouvelle de ses adieux à Tottenham. Antonio Cassano n'a aucun doute : Antonio Conte reviendra entraîneur de l'Inter. En direct sur Bobo TV sur Twitch , l'ancien attaquant des Nerazzurri s'est ainsi exprimé sur le possible limogeage du coach à Tottenham. La nouvelle a été rapportée en Angleterre par le Telegraph dans ces dernières minutes. « Conte limogé ? Cela ne me surprend pas. Regardez où cela peut aller maintenant. Je suis convaincu que l'Inter est l'option numéro un pour Antonio Conte. Les mots forts du week-end dernier ont mené dans cette direction », les déclarations de Cassano sur l'avenir de Conte. Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  15. Un Antonio Conte plutôt furieux après le match contre Southampton, match terminé sur un 3-3 alors que les Spurs avaient pris les devants 1-3 et ont été rejoints dans les dernières minutes. Des propos qui feront certainement débat et qui pourraient avoir des répercussions sur l'avenir de l'entraîneur. Musique maestro ! "Le problème, c'est qu'on a montré qu'on n'était pas une équipe. On est 11 joueurs mais je vois sur le terrain des joueurs égoïstes, des joueurs qui ne veulent pas s'entraider et qui ne jouent pas avec leurs cœurs. Mais ici, ils y sont habitués depuis longtemps. Le club a la responsabilité du marché des transferts, les entraîneurs viennent ici et ils ont la responsabilité. Et les joueurs ? Les joueurs ? Où sont les joueurs ? Ils ne veulent pas jouer sous pression. Ils ne veulent pas jouer sous pression. L'histoire de Tottenham, c'est ça, 20 ans et rien n'a jamais été gagné. Pourquoi ? Est-ce juste la faute du club ou de tous les entraîneurs qui viennent ici ? Jusqu'à présent, j'ai essayé de cacher la situation. Il reste maintenant 10 matchs. Est-ce que les gens pensent que tu peux te battre ? Se battre pour quoi avec cette attitude, cet esprit, cet engagement ? Pour la septième ? Huitième place ? Je suis vraiment choqué. S'ils veulent continuer comme ça, ils peuvent changer d'entraîneur, beaucoup d'entraîneurs, mais la situation ne change pas comme ça." Bizarre, bizarre, bizarre, ça me rappelle quelque chose. Ceci dit, a-t-il complètement tort ? Traduction alex_j via FCInterNews.
  16. Les chiffres derrière l'explosion post-match de Simone Inzaghi. L'Inter a tamponné son laissez-passer pour les quarts de la Champions et aujourd'hui Tuttosport a analysé les investissements réalisés par le club ces dernières années. Voici les comptes, de l'Inter de Conte à celle d'Inzaghi. "’Un Scudetto qui a causé des problèmes économiques.’ La déclaration d'Inzaghi depuis le ventre du Dragão a retenti fort, très fort. Une phrase étudiée et réfléchie par l'entraîneur, évidemment raisonnée en regardant combien l'Inter a investi depuis son arrivée sur le banc, à l'été 2021, et combien le club avait dépensé les deux années précédentes (2019-2021), celles avec Antonio Conte sur le banc. Une phrase correcte ?" "En regardant les coûts des joueurs dans les derniers bilans du club et le montant des différents salaires, oui. Et évidemment en considérant les investissements réalisés pour les achats uniquement, même si sur les deux périodes de deux ans, l'Inter a certainement vendu plus sous Inzaghi que sous Conte. Il faut rappeler que le COVID-19 a amené toutes les équipes et surtout l'Inter du Suning contrainte par les directives rigides du gouvernement chinois, à fermer les vannes et obliger ses dirigeants à s'orienter vers l'autofinancement." "Donc si, d'une part, la phrase d'Inzaghi de ces derniers mois ‘mon historique parle pour moi : là où j'entraîne, les revenus augmentent, les pertes sont divisées par deux et les trophées arrivent’ se reflètent dans les comptes de l'Inter. Cependant, il faut aussi souligner comment deux grosses ventes de Marotta et Ausilio (Lukaku (113 millions) et Hakimi (68) , ndlr) ont été faites à l'été 2021, donc après la conquête du Scudetto par Conte et au début de l'œuvre d'Inzaghi. Mais il est également vrai que Lukaku (76 millions) et Hakimi (43) eux-mêmes étaient arrivés pour Conte et Inzaghi ne les avait pas en place." "Revenant à la phrase initiale d'Inzaghi, voici les investissements entrants de l'Inter lors des deux directions techniques. Pour Conte, le club a dépensé environ 275 millions pour les joueurs de l'équipe A, auxquels il faut ajouter 35 millions supplémentaires pour les jeunes joueurs comme Brazao ou Agoume. Les principales dépenses, en plus des deux déjà citées (Lukaku et Hakimi), concernaient Barella (48,5), Eriksen (27) et Sensi (27), sans oublier les 21 millions pour Lazaro et Pinamonti. Les coups sûrs pour Inzaghi ont été Correa (32,6) et Gosens (26,7), ainsi que Dumfries (13,1), Asllani (14) et le prêt de Lukaku (8). Pour le reste, faibles dépenses (Dzeko 2,7), beaucoup d'éléments à zéro euro (Onana, Calhanoglu et Mkhitaryan plus Acerbi en prêt) et de nombreux départs pour alléger la masse salariale (Sanchez, Perisic, Vidal, Vecino, Ranocchia et Nainggolan)." Alors, quelle conclusion s’impose ? Traduction alex_j via FCInter1908.
  17. Pour le plus grand plaisir d'Antonio Conte ? En effet, Tuttosport a fait le point sur la situation entourant le poste d'entraîneur de l'Inter et sur la récente sortie de Simone Inzaghi: "Derrière le coup de gueule de Simone Inzaghi après Porto, on retrouve une "brouille" entre l'entraîneur de l'Inter et l'Administrateur-Délégué Giuseppe Marotta." "Je connais le chemin parcouru par l'Inter. Au cours des douze dernières années, l'Inter a remporté un Scudetto, ce qui lui a causé quelques problèmes financiers, alors qu'au cours des dix-huit derniers mois, elle a remporté trois trophées, une Coppa Italia et deux fois la Super Coupe. A présent, elle est quart de finale de la Ligue des Champions. Je parlerai de tout cela quand j'en aurai envie, je le dois à moi-même et à ma famille". ...Plus qu'un petit caillou, Simone Inzaghi a donc enlever un bloc de granit vu que la nuit du Dragão l'a fait entrer dans l'Histoire de l'Inter qui n'avait plus rejoint le Top 8 de la Ligue des Champions depuis 2011, alors qu'à l'époque, c'était considéré comme une normalité. et l'entraineur a vu dans ce succès l'occasion de mettre un point final à cette histoire." "Il y a dix-huit mois, on m'a appelé pour ramener l'Inter en huitièmes de finale, on me l'a demandé et nous avons réalisé un travail important fait de titres, de victoires et de quelques défaites comme cela peut arriver. Mais nous sommes deuxièmes du championnat, nous avons fait de bonnes choses et maintenant nous sommes en quarts de finale de la Ligue des champions, c'est bien d'en profiter. Nous allons penser à le préparer et nous verrons par la suite, ces gars ont montré qu'ils étaient capables de tout. Il ne faut pas non plus oublier que nous sommes toujours deuxièmes du championnat. Et il s'est montré insistant: en le disant deux fois de suite: "En championnat, nous sommes deuxièmes"." "Ce message est destiné au monde extérieur, mais aussi au cœur du club car les critiques publiques de Beppe Marotta après la défaite à Bologne pourraient constituer un point de non-retour. En effet, l'Administrateur-Délégué avait souligné que la Serie A et le Scudetto devaient être le fil conducteur de l'Inter, et non les Coupes et Supercoupes d'Italie. Ensuite s'en est suivi la défaite contre Spezia, la huitième du championnat, ce qui est objectivement bien trop, au cours de laquelle personne au club n'a caché sa déception face à ce qui s'est passé sur le point de penalty entre Lautaro et Lukaku, avec la non-imposition d'un tireur de penalty désigné. Pour accompagner cela, l'entraîneur s'est vu rappeler publiquement aussi les nombreux points perdus face aux petites et moyennes équipes, ce qui a creusé l'écart avec Naples, battu pourtant lors de la confrontation directe au Giuseppe Meazza." L'ombre de Conte "Pour rendre la situation encore plus explosive, les rumeurs sur un éventuel retour de Conte, "l'homme fort" qui a remporté le très convoité Scudetto, ont été souligné d'une façon vicieuse par Inzaghi en soulignant une saignée, une marée de millions qui a coûté au club. L'exploit de Porto a toutefois marqué un répit entre les toasts, les accolades et les tapes dans le dos : "Le mérite de cette qualification est à l'équipe et à Inzaghi, qui a lui aussi subi des critiques injustes", avait déclaré publiquement Giuseppe Marotta encore présent au Dragão." "Mais dimanche, la Juve sera au Meazza et c'est un autre poids lourds que l'Inter affrontera probablement sans Gosens et Bastoni, pour lequel des examens sont prévus aujourd'hui afin d'évaluer l'étendue de la blessure au fléchisseur gauche subie à Porto" ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  18. L'avenir de l'attaquant Romelu Lukaku à l'Inter pourrait être en jeu lors du huitième de finale retour de la Ligue des champions ce soir contre Porto. Selon l'édition imprimée d'aujourd'hui du journal turinois Tuttosport, via FCInterNews , qui note que les 20 millions d'euros à gagner en termes de prix pour atteindre les quarts de finale correspondent à peu près au coût du prêt du Belge à Chelsea. Le coût total du prêt de Lukaku de Chelsea, y compris les frais de prêt si tous les modules complémentaires doivent être déclenchés et le salaire brut du joueur de 29 ans pour la saison, s'élèverait à environ 20 millions d'euros, note Tuttosport. Les 20 millions d'euros que l'Inter gagnerait en revenus en apparaissant en quarts de finale de la meilleure compétition européenne devraient avoir une incidence sur la façon dont le club aborde la prochaine fenêtre de transfert estivale. Tuttosport suggère que ce pourrait être l'avenir de Lukaku qui est le plus en jeu pour l'été. Le journal note également qu'étant donné qu'Antonio Conte est constamment lié à un retour chez les Nerazzurri, maintenant que son séjour à Tottenham Hotspur semble toucher à sa fin, le retour de l'entraîneur pourrait être opportun si l'Inter décide de prolonger le prêt de Lukaku la saison prochaine. Seriez vous heureux de retrouver Antonio Conte et Romelu Lukaku ensemble à l'Inter la saison prochaine? Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  19. Avant le 8e de finale retour contre le FC Porto, Simone Inzaghi sait que sa place est en jeu au milieu d'une saison qui n'est pas à la hauteur des attentes. La sanction pourrait être immédiate. Simone Inzaghi est prévenu, en cas d'élimination contre Porto, il pourrait être renvoyé par sa direction. À force d'enchaîner les contre-performances en championnat, la pression est de plus en plus importante sur ses épaules. Malgré le court avantage obtenu lors du match aller (victoire 1-0), Simone Inzaghi se présente en terre portugaise en ayant perdu la confiance des supporters Nerazzurri et peut-être même de sa direction. Cette saison, l'ancien attaquant italien a pourtant réussi à gagner un titre, en s'imposant contre le voisin milanais en Supercoupe d'Italie (3-0). Un trophée qui n'a pas eu le mérite de calmer les supporters de l'Inter. Déçus par le jeu proposé et l'écart de points avec le leader napolitain (18 points de retard), ils sont nombreux à demander son départ. Après une nouvelle contre-performance sur la pelouse de la Spezia, si élimination contre Porto il y a, les dirigeants Interistes pourraient bien lui indiquer la porte de sortie. L'ombre d'Antonio Conte Il faut dire que du côté de Milan, un homme est encore dans la tête et dans le cœur de tous les supporters. Tout juste auréolé du titre de champion d'Italie, c'est Antonio Conte lui-même qui avait décidé de claquer la porte, remettant en cause la gestion du club par ses dirigeants. Mais l'actuel entraîneur de Tottenham a laissé un vide que n'a pas réussi à combler Inzaghi. Si l'effectif a connu quelques mouvements (notamment le départ de Lukaku), il est reproché à Inzaghi ne pas avoir remporté le titre la saison passé mais surtout d'être aussi éloigné du Napoli cette année. La comparaison avec son prédécesseur est constante depuis bientôt deux ans et force est de constater que Simone ne rivalise pas avec Antonio Conte. S'il a dû composer avec l'absence de plusieurs joueurs pendant la saison (Brozovic, Lukaku) et des problèmes internes (Skriniar), les résultats inconstants de l'Inter Milan ne s'expliquent pas. Énervé, le groupe de supporters de la Curva Nord a d'ailleurs publié un message critique à l'encontre de son entraîneur après le match nul contre la Sampdoria, le 14 février dernier (0-0 face à la lanterne rouge) : "Monsieur Inzaghi n'est probablement plus capable de motiver les joueurs pour les matchs contre les "petites" équipes.(...) Nous sommes l'Inter, et c'est l'adversaire qui devrait nous craindre, nous devrions attaquer et démontrer notre supériorité et au lieu de cela, nous ressemblons à une équipe de milieu de tableau à qui un match nul à l'extérieur peut convenir." Une éclaircie en Ligue des champions Son équipe a cependant le mérite de répondre présent lors des grands matchs, comme elle l'a montré contre Naples et Barcelone notamment. Face aux Catalans, Simone Inzaghi a su trouver les solutions pour poser des problèmes et ne pas s'incliner, malgré avoir concédé trois buts au Camp Nou. Et c'est l'un des autres défis de cette équipe : savoir voyager comme elle sait recevoir. Cette saison, l'Inter Milan rencontre une étonnante difficulté à performer loin de Giuzzeppa Meazza. Les Nerazzurri affichent en effet le 9e bilan du championnat sur les matchs à l'extérieur avec une défense qui s'avère plus que friable (24 des 30 buts encaissés l'ont été à l'extérieur). Simone Inzaghi le sait, ce déplacement à Porto pourrait être le dernier. Mais heureusement pour lui, ses joueurs semblent être motivés et transformés dès que l'on parle de Coupe. Seule équipe du Top 5 de Serie A encore en course en Coupe d'Italie, les vainqueurs de la Supercoupe d'Italie en janvier dernier pourraient bien être ce que l'on appelle une équipe de Coupe. Et pour Massiomo Moratti, avoir Simone Inzaghi en tant qu'entraîneur est un grand avantage. "Inzaghi sait comment s'y prendre en confrontation directe. L'année passée, il a joué au même niveau que le vrai Liverpool et il y a trois mois, il a éliminé le FC Barcelone en phase de groupe" a affirmé Moratti dans la Gazzetta dello Sport. Alors malgré les critiques et les rumeurs sur un possible départ, Inzaghi pourrait rester à l'Inter en réussissant un bon parcours européen, en assurant la 2e place du championnat et en remportant la Coupe d'Italie. Des objectifs à la portée de son équipe mais pas encore assurés. Avec son destin entre les mains, c'est désormais à lui de faire de la fin de saison de son équipe, une réussite. En résumé: Source le Figaro Sport. Voir l'article ici.
  20. En effet, suite à un Selfie lors d'une ballade à Londres avec son épouse sur Instagram, l’Homme de notre 19ème Scudetto a reçu plusieurs messages de Tifosi Comme le confirme nos confrères de Fcinternews.it, Antonio Conte fait face à de récentes rumeurs faisant état qu’il aurait le mal du pays. Conte a donc voulu démontrer que cela ne se passe pas aussi mal que ce qui est rélayé par la presse. Toutefois comme en témoigne ce cliché sur Instagram reprenant un selfie du Couple, les Tifosi lui demande de revenir à Milan, lui disent qu’l’est attendu, le tout entre quelques cœurs au couleurs de notre Club. Vous rangez-vous du côté de cette frange de notre tifoserie ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  21. Il y a toujours Antonio Conte dans les pensées de l'Inter d'après Tuttosport. "L'ex-entraîneur pourrait également prendre une année sabbatique mais la parade nuptiale des Nerazzurri a commencé en catimini pour évaluer quelles sont les véritables orientations de l'homme qui a amené le 19e Scudetto. La prochaine sera celle de la deuxième étoile, un exploit qui donnerait une place à part dans l'histoire des Nerazzurri au Suning et aux dirigeants actuels, tous liés à l'Inter par un contrat expirant en 2025." Cette saison, une performance décevante malgré la construction d'une équipe prête à remporter le Scudetto, aussi bien expliquée par les arrivées de Lukaku et Mkhitaryan ou l'échec de la vente de Skriniar au PSG cet été. Huit KO en championnat et à l'extérieur, 24 buts encaissés: mauvais chiffres. "Inzaghi jouera beaucoup mardi au Dragão contre Porto où il devra défendre le match aller 1-0 avec les dents. Un éventuel autre succès en Coupe d'Italie n'est pas considéré comme décisif dans les choix sur l'avenir de l'entraîneur mais un beau parcours en Ligue des Champions ça ne suffirait peut-être pas. Et cela surtout si Steven Zhang se voyait offrir en alternative l'homme qui, en plus de remporter le dernier Scudetto, a réussi à tirer le meilleur parti de Romelu Lukaku qui, en pleine Inter avec Conte, a disputé les meilleures saisons de sa carrière. Et pour Conte, gagner la deuxième étoile serait un énorme stimulant." Traduction alex_j via FCInterNews.
  22. Tancredi Palmeri : "S'il finit en dessous de la deuxième place et ne va pas en quart de finale de la Ligue des Champions, Simone Inzaghi risquerait énormément sa place". Lors de son éditorial pour Sportitalia, Tancredi Palmeri , journaliste, évoquait ainsi la possibilité d'un retour d'Antonio Conte à l'Inter : "Conte travaillerait toujours avec Marotta. Peut-être avec Ausilio et un peu moins avec Zhang . Mais quel serait le sens de revenir en sachant qu'il faut prendre en compte une situation financière difficile? Si, en revanche, Conte décide d'accepter tout marché possible, alors un retour n'est pas à exclure. Et Inzaghi ? Le bon sens suggérerait son remplacement uniquement en cas d'échec de qualification pour la Ligue des champions". Pour ou contre un retour de Conte? Traduction Lindt1908 Via Inter1908
  23. Le Corriere della Sera n'en doute pas, notre ex-manager Antonio Conte va quitter Londres, son mariage avec Tottenham arrivant à expiration. Peut-il revenir à l'Inter ? Réponse ! Selon le CdS, il reste maintenant à comprendre non pas si mais quand le divorce entre les parties sera consommé. La situation est qualifiée de "fluide" par le CdS, étant donné qu'il ne peut être exclu que la propriété des Spurs, une fois qu'il aura été constaté que l'Italien n'a pas l'intention de poursuivre la collaboration avec les Spurs, ne décide pas pour la rupture immédiate. Alors, quel sera le prochain chapitre de la carrière de Sieur Conte ? Son nom, a une nouvelle fois été lié à l'Inter qui, comme la Juve, doit faire face avec les difficultés budgétaires quotidiennes. En un mot, Conte devrait prendre du recul en termes d'exigences salariales s'il veut vraiment retourner en Italie, sinon il devra regarder autour de lui et élargir les frontières. Conclusion: pas de problème pour élargir les frontières! Traduction alex_j via FCInterNews.
  24. Antonio Conte, en conférence de presse, est revenu sur l'énervement de Richarlison, qui pour beaucoup s'en est pris durement à Conte en parlant d'une saison "de merde". Explication de texte. "Il ne m'a pas critiqué, il a dit que sa saison était de la merde et il a raison car il a eu tellement de blessures. Il a bien commencé avec nous, puis il s'est blessé. Il est allé à la Coupe du monde, il s'est encore blessé. Il est de retour et il est absent depuis un mois. Il n'a marqué aucun but en Premier League, deux en Ligue des champions, et le gars a été franc sur sa saison. Je pense que nous avons réalisé que nous avions tort parce que si vous dites 'je' et pas 'nous', ça veut dire que vous ne pensez qu'à vous. A mes joueurs je répète que si l'on veut construire quelque chose d'important, se battre pour être compétitif et gagner un trophée, il faut parler à 'nous'. Richarlison a compris et s'est excusé, ce qui est bien car j'ai encore une fois eu l'occasion de préciser ce que doit être l'esprit d'équipe." Et toc! Bon, ceci dit, on attend toujours les trophées européens avec son 'nous'. Traduction alex_j via FCInter1908.
  25. Que peuvent bien avoir en commun José Mourinho, Antonio Conte, Achraf Hakimi, Romelu Lukaku et à présent, Ivan Perisic ? Après leur départ de l’Inter, TOUS, ont regretté très amèrement ce choix ! Révélation de Marco Barzaghi Dans une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, Marco Barzaghi journaliste à Sky Sport, s’est livré sur Ivan Perisic, éliminé hier, en Ligue des Champions avec son équipe de Tottenham face à l’Ac Milan… "Je vous l’aviez dit qu’il serait difficile, dès la phase aller, de revoir le Perisic de la saison dernière et qu’il y avait toujours la phase descendante: Perisic aussi aimerait revenir, d’autant plus qu’il a compris qu’Antonio Conte partira à la fin de la saison et que les choses pourraient sérieusement se compliquer pour lui." "Ivan, comme Hakimi , aimerait revenir, comme le confient ses anciens coéquipiers: A présent, il se mord les doigts car il ne pensait pas vivre une expérience aussi modeste en Premier League" Who’s Next ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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