Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'antonio conte'.
-
Derby D’Italie : La Curva Nord donne rendez-vous à la Juventus !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
En effet, lorsque le tableau d’affichage a marqué le temps supplémentaire de la seconde mi-temps, la Curva Nord s’est laissé aller à un chant "Stiamo arrivando… stiamo arrivando…" que l’on peut traduire par "On arrive…On arrive" Ce message, clair comme de l’eau de roche, est destiné à un destinataire tout aussi clairement visible : La Juventus au Stadium de Turin. Comme nous le révèle la Gazzetta Dello Sport: "A la reprise, il y aura à nouveau un Derby d’Italie auréolé de l’ombre du Scudetto. Et l’Inter s’est offerte, face à Frosinone, son huitième match de championnat sans encaisser de but, une série record qui égale celle d’Antonio Conte qui avait récolté 31 points récoltés en 12 journées. Dans l’ère des championnats à 3 points, c’est la seconde fois où l’Inter est parvenue à atteindre le palier des 30 points après 12 rencontres disputées." "A présent, Simone Inzaghi n’a plus qu’un seul objectif à atteindre, le plus grand : Car s’il est vrai que LA Mission de l’Inter cette saison est de remporté le Scudetto de la Seconde Etoile, il est tout aussi vrai qu’il ne lui manque que ce dernier pour entrer dans le Club des entraineurs gagneurs." "Et Favorite ou pas: "Questa Inter è Da Seconda Stella" (Cette Inter est de Seconde Etoile)." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 5 commentaires
-
- 12
-
-
- derby d’italie
- curva nord
-
(et 4 en plus)
Étiqueté avec :
-
La seconde muraille de Chine sera de sortie face à la Juve !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Grâce à l’excellent travail réalisé par Giuseppe Marotta et Piero Ausilio, l’Inter peut se vanter de disposer de deux lignes défensives qui pourraient être titularisées dans n’importe quel Club de la Botte. Révélation de la Gazzetta Dello Sport Simone Inzaghi, l’entraineur de l’Inter se trouvé déjà confronté à une petite urgence, mais il sait déjà sur quels hommes il pourra compter vu les blessures et forfaits de Benjamin Pavard et d’Alessandro Bastoni. La défense est pratiquement connue pour Turin : Inzaghi a les hommes sur qui compter et les titulaires se nomment Matteo Darmian, Stefan De Vrij et Francesco Acerbi qui, sera contraint de se décaler au poste de centre-gauche. Bisseck représente la seule alternative valide à disposition pour ce poste et c’est justement l’aspect qui préoccupe le plus Inzaghi car il fera face à série de trois matchs à l’extérieur à gérer. Et il est acté qu’il ne sera pas possible de procéder au système de rotation si cher à l’entraineur Nerazzurro: Bisseck aura son maillot de titulaire à Lisbonne, c’est déjà acquis, mais les autres choix se réduisent inévitablement. Prenez Darmian, le numéro 36 sera contrait de jouer de façon stable en défense. Cela signifie qu’il faudra aussi prendre con compte la condition physique approximative de Juan Cuadrado tandis que Denzel Dumfries sera appelé à faire de l’extraordinaire. C'est aussi positif pour Inzaghi que De Vrij soit revenu à son plus haut niveau: L'hollandais est de fait considérer comme une excellente "acquisition" car, l’été dernier, son départ était quasiment acté, il était en fin de contrat et son temps de jeu avec Inzaghi était tout autre que constant. Après sa prolongation, cette saison met en évide une croissance totale et une disponibilité n’a jamais fait défaut : Son rendement sur le terrain est similaire à celui de l’année du Scudetto sous Antonio Conte. De plus, De Vrij a également démontré qu’il était capable de couvrir le rôle de centre-latéral, un poste qui n’était certainement pas le meilleur possible vu ses caractéristiques. Inzaghi dispose donc de ressources pour se présenter à Turin avec une défense de haut niveau, car au net des Hommes qu’il a à sa disposition, il ne peut se féliciter que de disposer d’un rempart global aussi équilibré Faudra juste éviter toute nouvelle blessure en défense ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
-
- 7
-
-
-
- giuseppe marotta
- piero ausilio
- (et 11 en plus)
-
C’est un fait: Federico Dimarco doit énormément à Simone Inzaghi, avec lui, le gamin de Porta Romana a réalisé son rêve de s’affirmer sous la vareuse de l’Inter, et personne d’autre n’aurait pu le désirer aussi ardemment Comme le révèle le Corriere Dello Sport: "L’actuel entraineur de l’Inter l’a pris en considération dès ses premiers instants, lui, qui avait connu une saison en back-up d'Ivan Perisic et d'Alessandro Bastoni, est parvenu ensuite à devenir le patron sur son aile à force de courses, en devenant un élément fondamental dans l’organisation du jeu Nerazzurro" "Pour dire toute la vérité, Dimarco n’est pas le seul à avoir bénéficier de l’intuition d’Inzaghi : En ne se limitant qu’à l’Inter, il suffit juste de penser à Çalhanoğlu qui s’est transformé en l’un des Regista parmi les plus fort d’Europe, et à Lautaro qui, "sevré" de Lukaku, est devenu un attaquant de classe mondial. Le prochain sur la liste pourrait être Marcus Thuram qui pourrait devenir un attaquant des plus dangereux." "Et dire que ce rêve semblait à un certains moment s’éloigner de façon irrémédiable, quand en 2019, et rentré de Parme, Antonio Conte ne lui avait pas laissé de place. S’en sont suivi un prêt de six mois à Vérone. Mais ce refus de l’entraineur leccese a toutefois été une chance pour Dimarco qui a rencontré là-bas un autre entraineur fondamental dans son parcours de croissance : Ivan Juric, avec qui sous le maillot Gialloblù, il était devenu un joueur de Serie A et non plus un joueur prometteur." Trahi par Lukaku, Félicité par Roc Nation Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport: "Celui qui avait servi d’intermédiaire à son arrivée fut Romelu Lukaku, qui, suite à ses hystéries estivales, a également perdu ses historiques agents américains et énormément d’amis italiens. Parmi eux, on retrouve Federico qui était très lié au Belge et qui est l’un de ceux qui a le plus souffert de sa trahison lors de ce mercato : Le fait que Big Rom ait déserté son marge restera une blessure qui le marquera à vie." "Mais à présent, Dimarco vit aussi sous la lumière de la Roc Nation, lui qui est le seul joueur d'un Groupe qui voit en lui la toute-puissance du Made In Italy. Et ce n’est pas un hasard si hier, il a reçu les compliments de Jay-Z en direct de Los Angeles. Sans oublier également le petit message de Steven Zhang, qui le contact régulièrement et qui l’avait personnellement contacté pour son anniversaire, en lui rappelant également l’importance de cette Seconde Etoile bénie." 9 chances sur 1.000 C’est la statistique folle mise en évidence par l’Expected Goal. Et ce "Nove su mille ce la fanno (Neuf sur mille, ça le fera)" chanté par le Giuseppe Meazza s’appuie sur une réelle statistique car il s’agissait de la possibilité de voir le tir solaire de Dimarco battre Stefano Turati, le portier de la Frosinone passé par notre Curva Nord. Le destin s’amuse à l’Inter plus qu’ailleurs : "Face à qui d’autre qu’un collègue qui a fréquenté la même Curva Nord pouvait-il inscrire le but de sa vie ? Face à un joueur qui cherchera peut-être à percer ailleurs, mais qui comme lui à le Nerazzurro dans ses veines ?" "Car ce “0,009” mis en évidence par Expected Goal, soit le refuge de tout match analyst, a été calculé au moment même où Federico a fait partir son missile. Cette statistique détermine également la probabilité qu’un tir devienne un but en prenant en considération différent facteurs tels que l’angle d’attaque, la distance et bien plus. Et en combinant l’ensemble de ceux-ci, il s’avère qu’il n’existe aucun autre but plus inattendu que celui réalisé par Federico dans cette Serie A." Un amour fait pour durer L’Inter et Dimarco veulent se lier à vie, lui qui a un vrai Cœur Nerazzurro, à tel point que l’international Italien est tout proche d’apposer sa signature sur un nouveau contrant valide jusqu’en juin 2028: "Federico a cité toutes les étapes qu’il a franchi pour arriver au sommet, en réalisant un parcours difficile fait de romance, de longue formations pour revenir à la maison." "A présent, avec ses 26 ans à peine accompli, il est prêt à s’installer dans la durée et un nouveau contrat valide jusqu’au terme de la saison 2027-2028 pour un salaire de 4 millions d’euros est enfermé dans un tiroir de la Viale Della Liberazione, un contrat qui être prêt à la signature, ce qui atteste de son statut au sein du Club." "Mais aussi à l’extérieur, car il n’y a que très peu de latéraux gauche de son niveau en Europe et tout le monde l’a remarqué, même de l’autre côté du Globe où la Roc Nation, la célèbre agence fondé par le Roi des Rappeurs et Mari de Beyoncé, Jay-Z, gère son image au sein d’une écurie composé d’étoile de la NBA, MLB, NFL et.... du football." Comment jugez-vous la progression exponentielle de l’enfant du pays ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 3 commentaires
-
- 8
-
-
-
- federico dimarco
- simone inzaghi
- (et 16 en plus)
-
Piero Ausilio : "L'Inter est ma seconde famille"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Piero Ausilio, le Directeur Sportif de l’Inter s’est livré sur sa carrière Nerazzurra au cours d’une très longue interview octroyée à Radio TV Serie A avec RDS. Celui-ci s’est livré sans se cacher aux demandes d’Alessandro Alciato. Son long mariage avec l'Inter "Mes pensées fusent dans tous les sens, des matchs qui ont eu lieu à ceux qu’il y aura, je vis à un rythme qui ne me permet pas de me relaxer, mais c’est aussi bien de penser à d’autres choses, parfois, qui t'apporte plus de légèreté par moment. C’est un long parcours, difficile, fait de sacrifices et de beaucoup d’autres choses, comme ça se doit de l'être justement. Pour arriver au niveau de l’Inter actuel, il a fallu passer par un très beau parcours, avec un staff important et avec un propriétaire qui t’apportent énormément de motivation, avec un héritage important. Le tout nous a permis d'être à nouveau conquérant en très peu de temps." Quel type d’interiste es-tu ? "Je cherche à vivre le présent, à travers le travail et le sacrifice, je pense à comment apporter ma contribution pour ce club. J’ai commencé mon parcours il y a 25 ans, en grimpant les échelons qui m’ont formés et rendu plus fort. Aujourd’hui, vu aussi l’âge que j’ai, je me sens fort et compétent pour apporter une contribution à un club aussi important." Es-tu né interiste ? "Je suis né pour le plaisir du football, j’étais un malade du football. Je suis né et j’ai grandi à Pro Sesto, j’ai commencé ma carrière de manager là-bas car j’ai dû assez rapidement interrompre ma carrière de joueur." Un poster dans ma chambre ? "Je n’en avais pas car je n’avais pas de chambre. Je suis fier car j’ai conscience des sacrifices qu’ont fait mes parents : Mon enfance était très normal avec des parents travailleurs. J’ai rapidement fini mes études en 1998. Ensuite j'ai fait ma thèse en Droit en 2005 avec quelques contraintes car j’avais déjà commencé à travailler à l’Inter." "A 16 ans, j’étais en équipe première de la Pro Sesto, ensuite, j’ai connu une série d’interventions chirurgicale et j’ai raccroché. Ma chance a été de commencer à fréquenter l’environnement du Mercato avec le Président de la Pro Sesto." Comment a débuté la carrière de Manager ? "Je me considère extrêmement chanceux car j’ai toujours rêvé de faire ce travail. J’avais mes modèles, des personnalités qui étaient des références importantes. Je savais que j’allais devoir bien bosser pour gravir les échelons, je l’ai accepté et j’ai refusé d’emprunter des raccourcis. J’ai toujours tout pris comme cela arrivait, en faisant des sacrifices, j’ai également demandé des sacrifices à ma famille. Je ne les ai jamais considéré comme tels et cela ne le sera jamais car c’est ma vie et c’est ma passion : Je ne parviens pas à vivre ma carrière comme un métier, mais plutôt comme une grande responsabilité." Quel joueur étais-tu ? "J’allais devenir professionnel. J’étais très en avance vu mon âge, à 16 ans j’étais déjà en équipe première en Serie C1. Je ne sais pas si je serais parvenu au plus haut niveau, car il me manquait ce petit quelque chose pour la Serie A. J’ai été très bon pour tout reprendre à zéro après deux années de calvaire où j’ai dû faire face à pas mal de choses, ce n’était pas donné à tout le monde." Que retiens-tu de cette période de blessures ? "Après les premières interventions, je cherchais à revenir, à tout faire car c’était mon rêve. Je me tuais au travail, en physiothérapie et ensuite j’ai compris. Lorsque je rentrais sur le terrain, il y avait toujours cette seconde de trop où l’autre te découpe, c’était mieux d’arrêter. Être joueur amateur ne m’intéressait pas, je voulais toujours faire les choses au plus haut niveau et j’ai décidé de me lancer en Droit. Ensuite j’ai commencé à travailler comme Manager." "J’ai aussi cherché à être entraîneur mais le Président illuminé qu'était Peduzzi de la Pro Sesto m’avait dit que dans le Calcio, il n’y avait pas de grands managers et qu’il voyait ce talent en moi. J’ai pleuré à de très nombreuses reprises, il y a eu des moments douloureux, mais ce sont des situations qui se doivent d’être vécues car elles te rendent plus fort et te responsabilise : J’ai réussi à accorder la bonne attention à ces choses." Tes premières larmes à l’Inter ? "Je n’ai pas un souvenir triste en particulier. Je n’ai pas pleuré dans les Finales, j’avais juste un peu d’amertume, j’avais déjà l’envie d’en découdre dès le lendemain." Même pour la dernière disputée à Istanbul ? "Je dirais la même chose oui." En 1998, c’est ton premier contact avec l’Inter… "Je m’en souviens parfaitement, il y avait une négociation avec le Responsable du secteur des Jeunes de l’époque. On voulait que je débute immédiatement à temps plein, mais il me manquait un examen et j’ai réussi à négocier un contrat de 6 mois à temps partiel avec 4 heures seulement l’après-midi, ce qui m’a permis par la suite un temps plein de 8-10 heures." "J’ai passé tellement de soirée à Interello avec l’agent de sécurité qui venait m’apporter un sandwich. Cela ne m’a jamais pesé. Je me souviens de mon premier vrai match, dans un stade avec l’armoirie de l’Inter. Elle était là, présente au Parc des Princes, lors de la Finale de l’UEFA entre l’Inter et la Lazio." "Je me souviens de mon début dans la Direction Sportive, j’étais chanceux et c’était un plaisir : Moratti m’avait appelé alors que j’étais au Brésil, il me disait qu’il voulait que je suive l’équipe à Kiev en 2010. La rencontre qui fut décisive pour le Triplé. Depuis lors, je suis toujours l’équipe première." Est-ce possible de résister à la pression ? "Ce n’est pas facile, mais il n’y a qu’un seul secret : Je cherche toujours à donner le maximum, j’ai pu travailler avec trois propriétaire différents et importants. Ils m’ont tous mis à l’épreuve et je suis toujours resté car ils ont vu quelque chose en moi : la promesse du savoir-faire." "Ensuite rester n’est jamais acquis : Tu dois avoir l’envie de bien faire les choses, avec un bon groupe de travail, c’est là qu’est ta chance car seul tu ne sais rien faire, il faut être entouré de personnes compétentes et j’en ai connu tellement." Des personnes à remercier "Je dois énormément à Moratti qui m’a fait rentrer à l’Inter et qui m’a permis de grandir. Le vrai changement est arrivé avec Thohir qui m’a intronisé comme Directeur Sportif. Ensuite, nous avons connu des périodes très difficiles mais j’ai toujours ressenti le soutien de la Famille Zhang et de Steven, même s'il n’était pas là tout de suite. C’était important de ressentir cette confiance. Dès l’arrivée de Steven à Milan, nous avons débuté un nouveau parcours et j’ai ressenti une toute nouvelle confiance : je tiens à les remercier tous les trois." Ton plus beau moment dans l’absolu ? "Beaucoup de choses me lie au Secteur Giovanile (Jeunes), car nous faisions des choses folles et je voyais grandir les garçons : Nous avons remporté beaucoup de Scudetti durant ces 25 années et j’ai aussi apporté ma contribution lors des années Branca, car il m’avait donné aussi de grandes responsabilités. Le dernier Scudetto, celui remporté avec Conte, est celui que je considère le mien à 100%." La recrue dont tu es le plus fier "Elles sont nombreuses, toutes sont de belles histoires et ont leur particularité. Je risque de faire du tort à certains, mais celle de Lautaro est une histoire très particulière car il était, en fait, quasiment un joueur de l'Aletico Madrid. Lorsque j’avais pris l’avion, j’y allais avec 1% de chance de faire face à une situation compromise et 99% de risque de faire mauvais genre, mais ce furent quatre jours de folie. Il ne manquait que la signature avec l’Atletico. Il y avait par chance, une clause que Lautaro ne voulait pas et c’est là que nous avons entrepris un grand travails d’équipe : Zanetti m’a aidé, avec son agent Milito, car son Président était très coriace." "Une fois le tout terminé, j’avais assisté à une rencontre qui était un massacre car il avait inscrit un triplé et obtenu un pénalty. Nous nous sommes revenu le lendemain au tour de la table et nous l’avons payé un peu plus cher, mais nous sommes parvenus à le ramener à la maison. Même Balotelli me fait me rappeler de très beaux souvenirs, celui de l’avoir fait connaitre dans le football qui compte et il y su saisir sa chance à 70%." Et la négociation la plus compliquée ? "Il y en a tellement. Ce n’était pas facile par exemple d’arracher Pavard au Bayern car ils ne voulaient pas s’en priver. Même dans une négociation qui te semble sur la bonne voie, il peut toujours se passer quelque chose à une minute de la fin." Et le recrutement manqué ? "Il y en a eu, mais il vaut mieux ne pas s’en rappeler. J’ai envie de citer Pierluigi Casiraghi, mon second père d’un point de vue sportif et professionnel. Il avait cette vision, il voyait tout avant tout le monde : Il avait vu Fabregas alors âgé de 16 ans, j’avais tout fait pour le recruter, mais il n’y avait pas moyen. Il y a eu aussi d’autres joueurs avec qui nous avions négocié mais qui ont finalement signé ailleurs." Quelle est la plus grande déception de ta carrière ? "J’en ai connu plus d’une en carrière. Avec Lukaku, c’est une désillusion pour la façon dont cela s’est terminé, mais j’ai le respect d’essayer de ne pas m’exprimer sur un joueur d’un autre club. J’aime parler du présent et de l’avenir. Il fait partie du passé. Je me souviens d’un magnifique Scudetto et d’une très belle plus-value, et c’est la vérité, de deux finales perdues." Que s’est-il passé avec Lukaku ? Dites-nous la vérité… "Je préfère ne pas en parler, je dirais seulement qu’il faut faire preuve d’éducation et de respect en toutes choses. A un moment donné, les choses sont allées de l’avant, mais il y avait un manque d'éducation et de respect. Lorsqu’il y a une volonté de se dire les choses droit dans les yeux, il n'y a jamais de problème." "Quand on ne répond pas au téléphone, qu'on se refuse à me répondre ou qu'on répond par l'intermédiaire d'autres personnes, il est temps de passer à autre chose. C'était comme ça depuis le 8 juillet." L’appel où j’étais furieux ? "C'est une légende. Il y a eu ce coup de fil après plusieurs tentatives, mais il a été de courte durée. J’étais ferme, décidé, mais ce n’était rien de spécial, j'ai dit ce que je pensais en très peu de temps". Lukaku, Samardžić et Skriniar : quel été... "Ce sont des expériences, des défaites sur le terrain et sur le mercato, mais on en apprend toujours quelque chose." A combien de reprise as-tu fait l’objet de convoitises ? "C’est arrivé, mais je n’ai jamais eu l’envie de m’en aller, il y a eu des contacts, des situations, mais jamais une négociation ou même la projection d’un projet. Je n’ai jamais eu fondamentalement la pensée de quitter le club, c’est bien trop difficile. Je suis lié à trop de choses qui vont au-delà du Blason : C’est ma seconde famille. Pour moi, c’est différent de tous les autres. Le jour où le Président me dira qu’il est temps de passer à autre chose, je ne pourrais juste que lui dire un très grand merci". As-tu une date d’échéance en tête ? "J’ai songé à la retraite, mais j’aimerais encore continuer un peu après, mais pas trop non plus. Tant que tout va bien avec Steven…. Je me sens super bien ici avec Marotta et Baccin. Nous avons des secrétaires et des Scouts merveilleux, je m’appuie sur des personnes capables." Ausilio et Marotta "C’est un beau duo qui fonctionne car il y a du respect : Marotta comprend le Football, il a des années d’expériences, mais il a une grande qualité : il délègue et fait confiance aux personnes qui l’entourent. Moi aussi je transmets mon expérience aux personnes qui me sont proches. Je pense qu'il est intervenu pour dire non à un joueur deux ou trois fois au cours de ces cinq dernières années, mais uniquement parce qu'il connaissait déjà le joueur ou des aspects du personnage que je ne connaissais pas." "Sinon Il vous laisse travailler, et ensuite vous échangez vos points de vue : Cela permet au directeur sportif de se concentrer sur son travail, car je n'ai ni le temps ni l'envie de m'occuper des relations, de la communication et des autres choses. Je me concentre à 100 % sur l'entraîneur, les joueurs et les réunions avec les agents, sans me disperser sur des choses qui ne sont pas de mon ressort." Lautaro-Thuram ? "C’est un beau duo, mais j’aimerai plus parler d’un quatuor : Ils s’entendent à merveille, nous avons aussi Sanchez et Arnautovic qui vous ferons voir ce qu’ils ont sous le pied." La première fois que tu as pensé à Thuram ? "Après la vente de Lukaku à Chelsea. Il ne savait même pas qu'il pouvait être attaquant. Nous avions obtenu Dzeko gratuitement de la Roma, mais il nous manquait le deuxième attaquant pour compléter le rempart avec Lautaro. J'avais déjà parlé avec lui et son père, les négociations avançaient rapidement, notamment grâce à Mino Raiola, dont je profite de l'occasion pour m’en souvenir. Nous avions presque tout défini, mais le dimanche précédant la réunion finale, il s'est blessé au genou et nous avons dû changer d'objectif." "Ces réunions ont été notre base. J'ai été le premier à dire à Lilian que son fils pouvait devenir attaquant central, il me l'a d’ailleurs rappelé récemment. Notre projet était finalisé et centré sur lui." Onana et Sommer ? "Ce sont des gardiens différents, mais nous avions déjà décidé d’en changer après toutes ces années. Mais Samir va rester, nous avons un projet avec lui pour les deux prochaines années. Nous tenions à avoir une valeur sure, prête immédiatement. Nous aurions pu nous concentrer sur des gardiens plus jeunes, mais Sommer était ce qu'il nous fallait. Il avait déjà pris la peine d'apprendre l'italien pendant les négociations, c'est un professionnel fou". Plus stable le duo Ausilio-Marotta ou Thuram-Lautaro ? "J’espère que les deux pourront encore durer longtemps." A quel point le Mercato a-t-il changé ces dernières années ? "Enormément, tout comme la position des équipes italiennes comparées aux autres. Ici, les Italiens peuvent faire des investissements, mais toujours avec prudence et sans faire de folies. Dans le monde entier, il y a des clubs qui disposent de plus de ressources et vous pouvez sentir cette différence. Mais nous sommes restés bons parce que nous arrivons toujours à trouver des situations moins chères ou à anticiper le Mercato, en récupérant aussi des joueurs qui ne sont pas affirmé à 100% dans de plus grands clubs, en les faisant venir et en leur permettant d’atteindre des niveaux qui correspondent à leurs réelles qualités. Des choses intéressantes peuvent être trouvées en Angleterre." Les agents exagèrent-ils ? "Je parlerais toujours de manière subjective, sans généraliser. Il y a des agents qui aident aussi les clubs et d'autres qui ne s'intéressent qu'à leur propre portefeuille, perdant de vue les intérêts un peu plus globaux. Je travaille avec beaucoup d’entre-eux, j'en ai rencontré beaucoup. Pour certains j’ai moins de considération et pour d’autres beaucoup plus : on acquiert cela avec l'expérience". Le fait de ne pas être une personne médiatique est un choix réfléchi ? "J'aime être comme ça, ce n'est pas un choix. Chacun à sa place et selon moi, la Communication de l'Inter ne peut pas être faite par un Directeur Sportif qui doit s’exprimer quotidiennement. On parlerait toujours des mêmes choses, des choses que je ne tiens pas à exprimer sur la place publique. C’est bien plus intelligent que ce soit le rôle de l’Administrateur-Délégué du club car il peut s’exprimer à 360°." As-tu encore un compte fake Instagram sur les réseaux sociaux actif ? "Oui, bien qu'une phrase un peu ironique ait été extrapolée : Je ne contrôle absolument pas les épouses des joueurs, c'était une blague faite dans un contexte particulier. Elle est née dans un moment d'exposition médiatique excessive, le compte suit les clubs de football, les agents, un peu de tout." As-tu encore des rêves ? "Oui même si je ne me souviens pas de tous." Le prochain ? "C’est quelque chose qui n’est pas si éloigné, mais qui est bien évidemment sportif et qui demande du travail, de la volonté et de la continuité. J’aimerai arriver à la Seconde Etoile qui est là, et pour laquelle d’autres se battent aussi. L’important est de se battre jusqu’au bout, et si quelqu’un d’autres est meilleur, j’irai lui serrai la main." Vous n’étiez pas si loin à Istanbul... "J’avais ce sentiment avant même de disputer la rencontre. Pendant le match, nous semblions si forts et compétitifs, nous avions joué à armes égales avec l'équipe la plus forte du monde. Nous étions ambitieux, même si nous étions conscients qu'il y avait une équipe bien mieux armée que nous face à nous. Nous voulions vendre chèrement notre peau face à tous." "Je sais d'où nous sommes partis : au début de l'ère Suning, nous étions peut-être derrière la 50e place du classement des meilleurs clubs du monde, aujourd'hui nous oscillons entre la septième et la huitième place. Peut-être que cela nous donnera une chance de participer à la Coupe du monde des clubs, qui aura lieu dans peu de temps. Mais pensons déjà à nous qualifier pour les huitièmes de finale." Quel genre de personne est Inzaghi ? "Simple, humble, brillant. C'est l'une des personnes les plus gentilles que je connaisse dans le football. Il a sa propre routine, des exigences qui ne sont pas démesurées : il est brillant, talentueux et encore jeune. Il a le goût prononcé du football de qualité et fait en sorte que tout le monde se sente bien. Il a créé un bon groupe et cela se voit, les résultats ne sont pas seulement le fruit de la performance, mais aussi du fait de se sentir bien tous ensemble et d'avoir envie de partager son temps ensemble." A quel point a-t-il été proche du renvoi ? "Jamais. Je peux me montrer extravagant, mais ce n'est pas dans la culture de Zhang et ni même de Marotta. Je crois que Marotta n'a jamais remercié un entraîneur en 40 ans de football, et encore moins moi. C'était une période difficile, mais nous savions que nous avions besoin de cette force qu’est l’Union et de stimulations, tout en s’attardant sur les choses qui n'allaient pas." "Nous avons tous réussi à nous en sortir et à entamer ce voyage fou lors des deux derniers mois qui nous a menés à la cette qualification pour la Ligue des Champions, à la Finale de la Coupe d'Italie et à Istanbul. Nous n’avions jamais envisager son renvoi : Ce n'est pas dans la culture des dirigeants de l'Inter". Quel président est Steven Zhang ? "Il y a une fausse idée de Steven Zhang en tant que président. D'un point de vue technique, il n'est peut-être pas l’un de ces présidents qui peut juger des qualités d'un joueur et c'est une bonne chose, car les managers et l’entraîneur peuvent faire leur travail. Mais Il est très passionné, il se montre toujours très proche, il regarde tous les matchs et, à tout moment, et il vous apporte de la tranquillité et de la sérénité." "Lorsque des fautes sont commises, il ne se montre jamais exaspéré par la situation. L'échec de la vente de Skriniar par exemple, avec un autre président, aurait provoqués des comportements et des attitudes différentes. Il a immédiatement regardé bien plus loin Sa préoccupation était : OK, qui allons-nous mettre à la place de Skriniar ? C'est un Entrepreneur, il a une vision très large." "Il vous laisse faire ce que vous voulez, il vous apporte de la sérénité et de la sécurité." A quel point a changé Milan ces dernières années ? "J'ai toujours vécu en province, mais Milan a beaucoup changé. C'est une véritable métropole, en constante évolution et vivante. Milan est aussi très attractive pour beaucoup de travailleurs étrangers. Je le vois avec les footballeurs, et avec leurs femmes qui l'aiment et nous en jouons aussi. Cela te permet de bien vivre ton métier, tu n'as pas de grande pression. Il faudrait un peu plus de sécurité pour permettre à chacun d'exprimer ses désirs et ses envies". ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 8 commentaires
-
- 12
-
-
-
-
- piero ausilio
- radio tv serie a
-
(et 43 en plus)
Étiqueté avec :
- piero ausilio
- radio tv serie a
- alessandro alciato
- pro sesto
- serie c1
- serie a
- giuseppe peduzzi
- interello
- parc des princes
- coupe de luefa
- massimo moratti
- triplé
- erick thohir
- steven zhang
- marco branca
- scudetto
- antonio conte
- lautaro martinez
- javier zanetti
- diego milito
- mario balotelli
- benjamin pavard
- bayern munich
- pierluigi casiraghi
- cesc fabregas
- romelu lukaku
- lazar samardžić
- milan skriniar
- giuseppe marotta
- dario baccin
- marcus thuram
- alexis sanchez
- marko arnautovic
- edin dzeko
- mino raiola
- lilian thuram
- andré onana
- samir handanovic
- yann sommer
- suning
- coupe du monde des clubs
- simone inzaghi
- ligue des champions
- coupe ditalie
- a la une
-
Giuseppe Marotta s’est livré au cours d’une longue interview à la Gazzetta Dello Sport où il n’élude aucune question : "J’ai remporté mon premier Scudetto à Turin, avec Conte, lors de la saison sans engagement européen." Juventus "L’expérience me dit que pouvoir planifier une saison juste avec un championnat et la Coupe d’Italie représente un avantage. C’est pour cette raison que je vous dis que la Juve est favorite pour le Scudetto." Mais pourquoi donc, vous Dirigeants et Joueurs, vous vous livrez énormément sur la Seconde Etoile ? "Je dis Non à l’excès de prudence et d’humilité : Si tu es à l’Inter, tu te dois d’être ambitieux, de placer la barre très haut. Nous nous devons d’y croire : Dire "Nous sommes les Meilleurs" est différent car ce serait un signe d’arrogance." Pourquoi l’Inter devrait remporter ce Scudetto ? Donnez-nous une raison... "Parce que nous nous sentons fort et que nous avons une grande considération en nos propres moyens, considération qui est le fruit de la saison dernière en Coupe d’Europe. Je sais aussi à quel point les Tifosi tiennent à ce Scudetto qui coïncide avec la Seconde Etoile." Votre avis sur le début de saison ? "C’était l’année la plus importante en termes de renouvellement du noyau avec 12 nouvelles arrivées de joueurs. Et malgré tout, nous avons très bien débuté." Il y a tout de même Sassuolo et Bologne… "Ce sont des circonstances défavorables : C’est évident qu’il y a aussi eu des erreurs de commises, mais je ne crois pas qu’il s’agisse d’un relâchement depuis le 5-1 du Derby. Nous devons, au contraire, nous entraîner et combattre les baisses d’attention et la fatigue mentale." Torino, Salzbourg et la Roma, l’Inter est prête ? "Elle se doit de l’être, avec Ausilio, nous avons composé un noyau capable de répondre à ce type de sollicitations." Est-ce votre Inter la plus complète ? "Sûrement oui, et aussi la plus homogène car nous avons des garanties à tous les postes." En attaque aussi ? "Si l’on se fie aux statistiques, le rempart a fonctionné de fort belle manière : Il n’y a pas eu un seul match où nous sommes resté à sec. Je dirais même que nous avons pris des buts évitables : Le Scudetto se remporte avec celui qui a la meilleure défense." Votre première Inter, en 2018-2019, proposait plus ou moins la même masse salariale que l’équipe actuelle : 116 millions d’euros. Cette fois-ci vous êtes en courses pour le Scudetto : Qu’est-ce que cela veut dire ? "Il a fallu raisonner de cette façon : Redimensionner les couts était un des objectifs, mais la Compétitivité n’a jamais été revue à la baisse. Je dirais mieux : Les joueurs importants, par la force des choses, sont accompagnés d'une masse salariale importante. Et plus que la réduction des couts, je m’intéresse à la façon dont valoriser aux maximum nos ressources. Si tu es dans un grand club, un club qui veut gagner, il ne te sera jamais possible de descendre sous un certain niveau en termes de masse salariale." Pour quelle raison prolonger le contrat de Lautaro ? "Il est juste que le Club soit attentif à la situation de ses joueurs. D’une part tu défends ton patrimoine et d’autre part, tu renforces ce sentiment d’appartenance. Lautaro n’est pas Skriniar : Il a manifesté sa volonté pour prolonger, une volonté qui correspond à la nôtre, et cela veut dire que nous sommes sur le bon chemin et que notre union peut continuer sur le long terme." "Avoir des joueurs fidèles est une valeur ajoutée : S’il n’a pas un sentiment d’appartenance, un joueur ne comprendre jamais ce que veut dire disputer ou rempoter un Derby. Le Top, pour un club, est d’avoir un joueur qui renonce à partir dans des clubs plus importants pour rester lié à son club." Est-ce le joueur le plus important de notre Championnat ? Baggio a-t ’il raison ? "Oui, je ne vois personne d’autre en ce moment comme lui." Lukaku est-il un regret, une désillusion ou seulement un adversaire ? "C’est le passé! Lukaku est le passé : Il n’y a plus personne au sein du club qui pense encore à lui, Personne et je dis bien personne. Ensuite en tant qu’Homme de football, il y a des dynamiques à prendre en considération, ce n’est pas comme si c’était la première fois que cela m’arrivait." Vous êtes sur ? Vous avez un exemple similaire ? "Celui d’un joueur qui a fait semblant de vouloir prolonger et qui, en réalité, se voyait déjà ailleurs." Skriniar donc… "J’ai ressenti un très fort sentiment de désillusion car lorsqu‘un joueur ne prolonge pas, il ne va pas à l’encontre de sa classe dirigeante ou de son président, mais il va justement à l’encontre de l’Histoire et de la Valeur du Club : Il a fait du tort à l’Inter et non à quelqu’un. Il aurait pu prolonger, nous lui avions proposer tant de solution du genre comme celle de fixer une clause libératoire qui répondait aussi bien à ses exigences qu’à celles de l’Inter : Mais il a toujours dit non." Pour quelle raison l’Inter, à un moment l’été dernier, a déplacé le budget prévu pour l’attaque sur la défense ? "Car nous avons eu, dans le même temps, l’opportunité de recruter un profil de joueur important pour notre présent et pour le futur : Pavard représente une valeur patrimoniale très importante indépendamment de son rôle." Est-ce vrai que Thuram vous rappelle son père ? "Par l’Humilité, le Courage et la persévérance : Marcus a les même valeurs que Lilian, des valeurs qui sont à la base de son succès personnel." Croyez-vous-en une autre nouvelle Finale de la Ligue des Champions ? "Oui, j’y crois, car à la différence du Scudetto où c’est toujours le plus fort qui le gagne, la Ligue des Champions est un peu comme le Milan-Sanremo cycliste : Les circonstances favorables comptent." Votre avis sur Inzaghi ? "Son bilan est très positif, le Club est très content de lui: Il est arrivé à l’Inter avec une seule expérience professionnelle à son actif, à la Lazio : Il est jeune comparé à la moyenne des entraineurs de notre championnat, il peut encore se renforcer. Il est différent des autres entraîneurs que j’ai connu par le passé et c’est juste de de le définir de la sorte : Il est pour un football ouvert, spectaculaire qui diverti : Nous, nous sommes aussi l’Inter, le Spectacle doit se conjuguer avec les victoires, autrement bien jouer ne servirait à rien." Serez-vous actif sur le mercato hivernal ? On parle de Taremi comme objectif ? "Je ne crois pas. Toutefois, nous sommes l’Inter, et nous devons tours rester attentif à chaque situation et je tiens à dire une chose : Avant, les joueurs étaient réticent à accepter de rejoindre l’Inter, à présent, ils sont nombreux ceux qui veulent venir, et l’été dernier nous avons dû dire non à pas mal de personnes. Thuram, Sommer et Pavard avaient le choix : Cela veut dire que l’Inter est considéré comme crédible." A quel point a-t ‘il été difficile de clôturer le mercato estival dans le respect de l’équilibre des entrées et des sorties ? "L’Inter est aujourd’hui un modèle de soutenabilité. C’est inadmissible qu’une propriété doive continuellement injecter des fonds. Zhang l’a fait pour une somme avoisinant les 900 millions d’euros. Nous comme Managers avons un avantage, celui d’avoir la possibilité de travailler en toute sérénité et ce mérite à Zhang se doit d’être reconnu. Il n’y a plus un club actuellement qui peut se permettre de se passer du Player Trading. Un joueur important doit être vendu par an et le Tifoso a dû s’en faire une raison. Et bien plus que perdre un joueur, il faut se préoccuper de s’assurer une vie péréenne à l’équipe, en lui garantissant un présent et un futur." Où se situera l’Inter lors de la prochaine trêve hivernale à la mi-novembre ? "Je ne le sais pas, mais c’est bien mieux actuellement d’être dans la position du chasseur que du lièvre, tactiquement, c’est quelque chose que je préfère." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 6 commentaires
-
- 6
-
-
- giuseppe marotta
- scudetto
- (et 16 en plus)
-
Présent à l’occasion de la présentation du livre de Fabrizio Biasin , "Odio il calcio", Giuseppe Marotta s’est livré sur sa vie professionnelle et sur l’avenir de son aventure Nerazzurra : "Je me rappelle mon époque à Como, on parlait énormément du Sida et j’étais Directeur Sportif : Ils m’avaient dressé une banderole avec de l’ allitération." Mon diner avec Conte à Trento ? "Mais non, c’était un repas où nous étions une quinzaine de personnes! Aujourd’hui c’est devenu dangereux de blaguer ou d’être ironique, il faut être attentif envers la personne à qui l’on s’adresse et à la façon dont on s’exprime. J’aime le football, la passion se confond avec l’adrénaline d’aller sur le terrain samedi à Turin ou mardi contre Salzbourg sans savoir ce qu’il va se passer. Si je devais devenir un agent ou faire autre chose, j'en perdrais mon enthousiasme." Etes-vous devenu plus autoritaire que par le passé ? "Cela vaut dans la vie d’une façon générale. Arrivé à un certain âge, vous commencez à avoir une certaine expérience derrière vous. Elle vous apporte les bonnes choses comme les merdes que vous avez connu, les défaites que vous avez subi. Dans la vie, il faut savoir comprendre que l’on s’est planté et aujourd’hui, j’ai les connaissances nécessaire pour faire face à toutes les situations, pour savoir également faire face aux situations négatives." L’importance d’avoir une équipe B "Les secondes équipes sont pour moi un instrument indispensable dans le parcours des croissances des jeunes. Passer de la Primavera à l’équipe-première est une transition difficile, il serait utile de disposer d’une phase intermédiaire qui pourrait être l’U-23. Je fais mon mea-culpa également au club que je dirige car nous n’avons pas les installations nécessaire pour entraineur les U-23." Le Viola Park ? "C’est une structure unique en Europe, je tire mon chapeau à Commisso pour ce qu’il est parvenu à faire." Messi a-t’il un jour été dans les pensées de l’Inter ? "C’est arrivé à un moment oui..., mais avant mon arrivée." Qui est votre Messi ? "C’est Lautaro actuellement." Est-ce le joueur le plus fort que vous ayez eu ? "Je ne sais pas, il est difficile de définir la catégorie des plus forts : Lautaro était un jeu talent qui est devenu un Champion, il joue dimanche après dimanche en s’améliorant jour après jour, c’est une personne dont on entendra parler." Etes-vous serein sur la permanence de Lautaro ? "Oui, c’est un oui absolu! C’est évident que je ne vais pas vous faire d’annonce, nous sommes déjà en surexposition médiatique." Êtes-vous encore furieux par les choses que l’on peut lire dans les journaux ? "Non, car si vous répliquez à toutes les choses négatives qui en ressortent, et qui par chance ne sont que très peu nombreuse, la caisse de résonnance médiatique est encore plus importante. La catégorie des journalistes a aussi évolué, il y a peut-être moins de sélection aujourd’hui et les nouvelles doivent savoir sortir immédiatement de nos jours pour obtenir un maximum de lecture : C’est comme cela que des fake news sortes, cela fait partie d’un monde qui a évolué." Il suffit juste de voir la perception sur l’Inter d’une trêve internationale à une autre..... "Une différence de deux points te fait passer de phénomène à tout autre chose, mais cela fait partie du marché journalistique. Je pense au panorama télévisuel, l’autre jour il y avait Conte sur la Rai 2 et Corona sur la Rai 3. Ce sont deux sujets intéressant pour les passionnés de football, mais qui ne savait évidemment pas être suivi simultanément." Que pensez-vous du Scandale lié au Calcio Scommesse ? "J’assiste à un énième scandale, il me rappelle le Totonero des années 80." Qu’est-ce que le Pari ? "Pour moi c’est un vice, quelque chose de négatif, qui est à présent médiatisé comme une affaire d’État. Cela fait partie de la société, il nous faut savoir partager avec les jeunes, pour les soutenir dans leur processus de croissance. Ce sont des personnes qui peuvent changer d’un jour à l’autre en devant riche et célèbre. Et avec l’argent facile, ils peuvent se laisser aller à d’autres choses." Vous avez connu différentes générations de joueurs. A quels points les joueurs actuels ont changé ? "A présent, il y a des instruments avec lesquelles ils peuvent se divertir et faire des conneries. Les éléments de tentations, auparavant, étaient nettement moins nombreux. Aujourd’hui le téléphone est à toute les sauces : Il est source de satisfaction, de danger, d’adrénaline. Il y a des aspects positifs et d’autres facteurs de risques. C’est donc normal qu’il puisse y avoir une certaine fragilité de la part des joueurs, qui pour diverses raisons se laisser aller à la légèreté. La faute revient aux Dirigeants, mais aussi aux institutions sportives tel que les Clubs de football, aux agents et aux associations syndicales : Nous avons tous fait trop peu pour détourner ces tentations des garçons." Etudiez-vous un joueur sous cet aspect avant de le recruter ? "C’est difficile, mais il serait utile de faire un test d’entrée. Dans n’importe quel boite, vous avez un entretien d’embauche, mais pas dans le football. Ce n’est qu’après avoir recruté un joueur que vous prenez conscience de certains aspects négatifs qui pourraient représenter un problème. Imaginez un joueur suspendu pour des années : Cela représente un dommage économique pour le Club, qui en réalité n’a pas de grandes responsabilité. C’est une situation à étudier sous tellement d’angles de vue." L’Inter est-elle votre dernière équipe de votre carrière ? "Oui, Tout à fait oui, j’aimerais bien tenter l’aventure dans la Politique Sportive par la suite." Objectif Scudetto ? "Clairement : Décrocher la Seconde Etoile serait quelque chose d’historique à coudre sur le torse." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 2 commentaires
-
- 6
-
-
- giuseppe marotta
- fabrizio biasin
- (et 10 en plus)
-
La Présidence de la FIGC pour Giuseppe Marotta ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, la déclaration de notre Padrino à Fabrizio Biasin fait mouche : "L’Inter sera mon dernier club" et Tuttosport s’est penché sur la question! Selon le quotidien italien, notre Beppe pourrait finir sa carrière sportive de la plus belle des manières, en juin 2025 avec la Seconde Etoile offerte à l’Inter. De quoi viser la Présidence de la FIGC ? "Giuseppe Marotta en a remporté huit Scudetti dans sa carrière, sept en tant qu'Administrateur-Délégué de la Juventus entre 2012 et 2018 et le huitième avec l'Inter, celui de la saison 2020-2021 avec Antonio Conte sur le banc. Son contrat avec les Nerazzurri, renouvelé en février 2022 expirera le 30 juin 2025. Donc, au terme de la saison prochaine et qui sait, peut-être avec un doublé." "L'échéance de 2025 n'est certes pas certaine, même si l'avenir de Marotta à l'Inter pourrait être étroitement lié à celui de Steven Zhang, qui devra résoudre d'ici le printemps 2024 la question du financement avec Oaktree. Mais sa longue histoire dans le football, qui a commencé il y a 45 ans à Varèse, n'est pas destinée à s'achever." "Marotta est depuis des années président de l'ADISE, soit l'Association des Directeurs Sportifs, et en mai 2023, le Président de la République Sergio Mattarella lui a décerné le titre de "Cavaliere"." "Son autorité dans ce milieu, et pas seulement, est reconnue par tous. Son avenir possible au sommet du football italien est évoqué depuis des années, même lorsqu'il était encore à la Juventus. Nous devrons attendre encore un peu, mais le chemin, comme déclaré par le principal intéressé, est tout tracé". ®Antony Gilles – Internazionale.fr-
- 6
-
-
- figc
- giuseppe marotta
-
(et 6 en plus)
Étiqueté avec :
-
Notre Administrateur-Délégué Sport, Giuseppe Marotta, s’est livré à Trento à l’occasion du "Festival Dello Sport", organisé par la Gazzetta Dello Sport: "Devenir une Bandiera de l'Inter comme Dirigeant ? Je suis Honoré d'être à l'Inter, ensuite il y a tellement de facteurs qui ne dépendent pas que de moi." "Nous traversons une période positive qui est la continuité d’un cycle débuté il y a quelques années et, aujourd’hui, il y a une meilleure conscience en nos propres moyens." "Nous pouvons jouer un rôle de protagoniste, un rôle qui fait partie de notre Histoire, de l’Adn et du Palmarès du Club. Nous n'avons connu qu'un incident de parcours et , cela arrive dans chaque discipline sportive. Je me dois de dire que les prestations réalisées dernièrement ont été très positives, qui font de nous les protagonistes de la saison." La vraie Inter ? "Elle est souvent associée au slogan "Pazza Inter" qui est dans l’ADN du Club aussi par ces situations sur courant alternatif. Au-delà de cet aspect, dans une saison riche d’engagements en club et en équipe nationale, il est également normal d’un point de vue agonistique et physiologique que nous connaissons des baisses de tension et de fatigues, celles-ci doivent être gérée de la meilleure des façons. C’est ici que le Staff technique entre en action et que de nouvelles figures émergent car un sport comme le football est constamment à la recherche d’innovation." La Seconde Etoile ? "C’est une déclaration d’amour explicite, je crois qu’elle trouve son origine par-dessus tout dans les faits : Être ambitieux dans le sport est une vertu, Il faut toujours placer la barre très haut et ce n’est pas un défaut, mais une source de motivation pour faire que toutes les composantes du club, sur et hors du terrain, abonde vers le même objectif. L’ambition ne doit pas être confondue avec l’arrogance qui est un défaut : L’ambition te porte à être traitée d’antipathique, mais je crois justement aussi bien en la rivalité qu’en la compétitivité, et c’est normal qu’une personne comme moi qui gère un club, se doit de transmettre ce concept." Lukaku ? "Il ne sera certainement pas effrayé par l’accueil que va lui réserver le Meazza, il fait partie du passé. Lorsque tu vis des émotions, positives ou négatives, et lorsque tu vis dans un rapport de confiance, cela peut conduire ensuite non seulement à de la méfiance, mais aussi à de la déception. Cela fait aussi partie de la composante humaine et du sport, dans ce qu’il y a de plus spécifique dans un sport riche, où l’argent fait fois et où il ne s’agit pas d’une vertu mais d’un défaut. En ce qui me regarde et en ce qui regarde l’Inter, il fait partie d’un passé récent dans lequel je ne veux pas entrer, je regarde le présent et l’avenir." Ses déclarations "Je ne le vois pas capable de dire beaucoup de choses et il reste libre de le faire bien sûr. Lukaku peut bien sûr dire ce qu'il veut mais nous l'avons toujours respecté... et puis l'argent fait la différence dans le football." Est-ce que le fait qu’il soit sur le banc à Istanbul a joué ? "Je ne pense pas car une décision aussi importante que celle d’accepter une proposition de l’Inter ne peut pas dépendre uniquement dépendre d’un instant, mais bien d’une relation vécue durant plusieurs années et il y avait un grand rapport de confiance, de respect et de reconnaissance envers lui. Je ne vois absolument pas comment nous aurions pu créer une controverse, c’est une polémique, un débat stérile dans lequel nous ne tenons pas à nous engouffrer." Un appel aux Tifosi en vue du retour de Lukaku ? "J’ai entendu parler de ces 50.000 sifflets, et je considère cela comme une situation qui se doit d’être bien gérée, nous devons avoir la capacité de vivre dans le présent dans une période où nous devons unir nos forces. Le fait même que les supporters peuvent se laisser aller à ce type de chose pourrait créer une distraction dans un moment du match où il est important de soutenir les nôtres. Toutefois, et à juste titre, nos Tifosi ont le droit de manifester et de critiquer d’une façon démocratique et civilisé ce qu’il se passe sur le terrain de jeu, c’est un choix libre qui se doit être accepté." Le football d’aujourd’hui "Le phénomène du football arabe a amené des grands avantages économiques aux clubs européens, mais les évaluations devront être faite au moins après deux saisons. Ils ont offert des bouffées d’oxygènes à énormément de club. Toutefois, d’un point de vue qualitatif, nos championnat risque de se retrouver appauvri, même au niveau des droits télés." "Milan représente le Derby de la Ville et il a une saveur particulière. La Juventus est le club avec lequel nous disputons le Derby d’Italia, c’est un autre club tout autant historique et important. Tout dépend de la période, mais remporter un Derby peut te donner ce petit quelque chose en plus." Dans ce championnat ? "Avant tout, il faut gagner contre la Juventus." Roberto Mancini "Il me reste encore un peu d’amertume, je n’aurais jamais imaginé qu’il allait nous abandonner, je pensais qu’il allait continuer son parcours avec la Nazionale. Dans le même temps, j’accueille avec fierté et satisfaction le choix de Spalletti : Je l’ai vu très motivé et impliqué avec des sentiments nationalistes. J’ai connaissance des termes de son contrat et ce n’est certainement pas un contrat qui te change la vie, il a d’ailleurs gagné bien plus d’argent en Club : Il a pris cette décision en la considérant comme une mission." Soutenabilité "Face à la Pandémie, nous avons dû nous adapter à un concept mal utilisé jusqu’à présent qui est la soutenabilité : L’équation "Qui dépense le plus l’emporte n’existe pas dans le sport", mais il est tout de même exact qu’il faut un budget pour construire une équipe compétitive. C’est une chose d’épargner de l’argent et de ne pas le gaspiller, mais c’en est une autre de devoir chercher à réduire drastiquement les coûts car tu te retrouverais face à des difficultés pour constituer ton équipe, car il faut prendre en compte aussi bien la compétitivité en Italie, mais également à l’étranger." La Juventus et l’appel de Steven Zhang "Avec la Juventus, il s’est terminé un cycle, c’est un fait physiologique. Après mon annonce faite lors de l’après-match face au Napoli, j’ai reçu, le matin suivant un message de Steven Zhang. Et comme je ne l’avais pas enregistré, je pensais que c’était une connerie. J’ai donc appelé Urbano Cairo car je savais qu’ils étaient amis et il m’a confirmé qu’il s’agissait bien du numéro de Zhang." "Dès lors, nous avions fixée une rencontre et j’acceptais l’offre immédiatement : En tant qu’Homme de Football, j’ai accepté une proposition qui pourrait être considérée comme une forme de revanche : Celle de revenir sur le terrain immédiatement." Istanbul "La plus grande partie de nos garçons, si ce n’est Tous, disputaient pour la première fois la Finale de la Ligue des Champions et je pense qu’il s’agit d’une expérience importante pour comprendre ce que veut dire s’améliorer et, éventuellement, comprendre comment disputer une autre finale." "L'Inter actuelle est la fille d’Istanbul et d’un processus de croissance de tout le Club : Il ne faut pas oublier que 12 joueurs sont arrivés durant l’été. Cela signifie que nous disposons d’un plus grand respect comparé à notre passé récent en termes d’amalgame : Nous avons créé une solide fondation d’Italiens et je peux dire avec fierté qu’il y en a 6 en Nazionale. Pour moi, cela signifie que l’on créé les conditions pour être compétitif et facilité la compréhension des nouveaux arrivants sur ce que représente l’Inter et sur ce que signifie jouer en Italie." Est-ce qu’un retour d’Onana est envisageable ? "Je ne parviens pas encore à percevoir le futur, mais le football est fait d’un tout. Et il y a aussi des joueurs qui reviennent en apportant des fois des résultats positif et d’autres fois des résultats négatifs. Nous ne savons pas le prédire, mais c’était très certainement une expérience aussi bien importante pour lui comme pour nous, sans oublier le fait que nous avons clôturé notre rapport avec une opération économiquement importante." Marcus Thuram "Au final, la décision revient toujours au joueur et ici même Thuram a été le principal protagoniste de son arrivée à l’Inter, c’est son choix, malgré le fait qu’il avait reçu d’autres offres . Il a évidemment étudié quel pourrait être le meilleur club pour la suite de sa carrière et il est évident que le rôle de son père a exercé une influence : Nous sommes redevenu, l’Inter appétissante et je dois dire qu’aujourd’hui encore j’ai reçu énormément de proposition de joueurs qui veulent jouer chez nous : Cela veut dire que l’Inter est entrain de redevenir l’Inter d’autre fois." Davide Frattesi? "L’avantage que je puisse représenter moi est celui d’avoir un bon rapport avec l’Administrateur-Délégué de Sassuolo. Les indications pour ce joueur sont arrivée de l’Aire technique, nous bossons tous ensemble, moi, Ausilio, Baccin, l’entraineur, afin que chacun puisse apporter à notre cause ses propres talents : Le joueur a aussi été protagoniste dans le fait d’accepter cette destination. Même notre propriétaire, lorsque l’on a présenté cet investissement important, nous a donné le feu vert et nous sommes parvenus à mettre sur pied une opération importantes : Toutes les composantes sont importantes, même les épouses et les fiancées." Scamacca? "Nous avions débuté une négociation avec le club et aussi avec lui, et il y avait initialement une disponibilité de la part du joueur, qui a ensuite préféré emprunter une voie différente. C’est un choix qui se doit d’être respect et nous avons fait un pas de côté. Il n’y avait aucune compétition avec l’Atalanta pour propose plus, nous nous sommes justement retiré." Le Calcio Scommesse ? "Je ne tiens pas à m’exprimer sur une situation au cours d’une enquête. Je crois que parier est un vice antique de l’être humain et qu’il doit être vu comme tel et qu’il se doit d’être combattu d’un point de vue éthique. Les joueurs professionnels font partie d’une catégorie à part : Ils peuvent soudainement devenir riche et le temps qu’ils consacre à leur activité compétitive n’est pas aussi excessive, ils disposent donc d’énormément de temps libre." "Le problème est qu’il vaut savoir combler ces périodes avec des activités positives et il y a souvent un manque de valeurs, ils sont jeunes et ils doivent être aidé pour grandir. Je me dois de faire un Mea-Culpa au nom de la classe dirigeantes car les Institutions, les Clubs, les associations syndicales, nous avons tous, sans exceptions manqués et manquons encore à l’appel." "J’ai assisté, au tout début de ma carrière au scandale du Calcio Scommesse et les choses se répètent ici en 2023 : Cela veut dire que la matrice de prévention et d’acculturation fait défaut. Nous ne parvenons pas à faire ce qu’il faut et ces garçons tombent dans ce type de situations qui ne leur apporte bien, car ils vivent dans un monde doré." Mauro Icardi ou Romelu Lukaku? "Vu comment les choses se sont passées, c’est mieux Icardi." Allegri ou Conte ? "Le dénominateur commun est qu’ils sont tous les deux des gagneurs, ce qui est une caractéristique importante que se doit d’avoir un entraineur. Il y a les gagnants et ceux qui échouent : Chaque entraineur présente un profil différent et ils le savent eux même : Eux savent gagner et ils savent comment transmettre cette mentalité de gagnant, j’ai connu de belles expériences avec les deux." "Avec Conte c’est encore une plus belle expérience car nous sommes parvenu à gagner aussi avec l’Inter, ce qui est quelque chose d’extraordinaire : Ce sont deux grands professionnels qui m’ont offerts de très grandes émotions." Lautaro peut-il prétendre à un possible Ballon d’Or ? "Oui, absolument, je crois qu’il a toutes les qualités pour réaliser une excellente carrière qui coïncidera très régulièrement avec les nominations à des prix prestigieux : Je lui souhaite d’en avoir le plus possible. C’est un parcours assez long, mais il y a surtout le fait qu’il s’identifie aujourd’hui au rôle qu’il a à l’Inter, il s’agit de tout un ensemble de valeur qui sont favorable à sa croissance professionnelle." Son futur ? "Le club est attentif à toutes ses indications que je viens de citer. Aux côtés de Lautaro, il y a tout un ensemble de joueurs qui méritent également une attention particulière de notre part et, avec le Directeur Sportif Piero Ausilio, nous travaillons en ce sens avec un objectif : Toujours garder bien en vue quels sont les objectifs à atteindre. Les aspects contractuelles sont selon moi marginal comparé à l’engagement que nous nous attendons tous de la part des joueurs du noyau." Auriez-vous signé pour occuper la position actuel aussi bien en Ligue des Champions qu’en Championnat ? "Je suis satisfait car, au-delà des statistiques, j’analyse les prestations qui ont été proposées et celle-ci ne peuvent être que positives, également pour ce que devrait être notre futur. Je dois dire qu’il faut aussi absolument reconnaitre le mérite de notre entraineur qui a su faire fusionner un nouveau groupe et à en faire ressortir un modèle positif." Scudetto ou Ligue des Champions ? "Je vote pour le championnat. Le championnat est une course par étapes, le meilleur gagne toujours. En Ligue des Champions, il y a aussi des circonstances heureuses, le meilleur ne gagne pas toujours. Nous sommes très compétitifs pour le Scudetto, les valeurs qui ont émergé et les valeurs objectives le disent. En réalité, c'est plus difficile en Ligue des Champions.” Est-ce que vous vous retrouvez encore dans ce football ? "Les symptômes d’intelligence s’adaptent au temps. Nous sommes face à un monde totalement différent, il y a des innovations qui sont devenu réalités comme les algorithmes et l’intelligence artificiel. C’est aux managers à savoir s’adapter à l’époque actuelle." Quelle l’opération de Mercato qui aurait pu être la plus importante "Celle de Bellingham qui est un joueur vraiment très fort et qui représente le présent et le futur. Mon regret a été également de ne pas avoir recruté Haaland à la Juventus, on me l’avait proposé lorsqu’il était encore à Molde, mais c’est la vie." Où sera l’Inter dans un mois ? "Il est mieux, paradoxalement, d’être dans le rôle du chasseur que de celui du lièvre, et de devenir celui du lièvre à la fin car il l’emportera toujours. Mis à part cela, il faudra savoir gérer les moments de fatigue liés à la compression des rendez-vous qui s’enchaine. Je retiens que nous disposons d’un noyau compétitif, tel qu’il permettra à Inzaghi de le gérer de la meilleure des façons possible." Pourquoi allumer Lukaku et encenser Icardi Nos confères de la Gazzetta Dello Sport ont tenu à analyser la situation : La pensée de l’Administrateur-Déléguée est la même que celle de tous les autres Managers de la Viale Della Liberazione, car si le traumatisme de la rupture avec Big Rom est encore tout frais, la situation est différente entre l’argentin et le belge. Icardi avait manifesté son amour pour l’Inter jusqu’au bout, il a commis la faute de ne pas savoir dissocié le Vestiaire des déclarations de son épouse et agent Wanda Nara, ce qui lui a posé des problèmes avec ses équipiers, mais il a cherché une façon pour arranger les choses. Et cela, même lorsqu’il avait été écarté du noyau et que le numéro 9 lui a été retiré pour finir sur les épaules de Lukaku, même lorsqu’il avait fini par devoir s’entrainer tout seul. La situation est totalement différente pour le Belge qui, même s’il était fortement désiré par la Direction et Inzaghi, ne s’est jamais exposé avec Chelsea pour rester à l’Inter et, lorsque l’intervention de Roc Nation avait permis de favoriser l’accord entre les deux clubs, il s’était éclipsé, en ne répondant plus au téléphone également à ses équipiers, il a donc fait comprendre à tous qu’il avait tourné le dos au Monde Interiste ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 5 commentaires
-
- 10
-
-
-
- giuseppe marotta
- romelu lukaku
-
(et 20 en plus)
Étiqueté avec :
- giuseppe marotta
- romelu lukaku
- lautaro martinez
- giuseppe meazza
- roberto mancini
- italie
- luciano spalletti
- steven zhang
- ligue des champions
- andré onana
- marcus thuram
- davide frattesi
- sassuolo
- piero ausilio
- dario baccin
- gianluca scamacca
- calcio scommesse
- mauro icardi
- antonio conte
- ballon d’or
- erling haaland
- simone inzaghi
-
C’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport qui est revenu sur la conférence de presse du Diable Rouge : "Il ne manquait qu’une une page, pour que tout soit encore plus compliqué et elle est arrivée directement de Belgique, où Romelu Lukaku est en stage avec son équipe nationale pour préparer le match contre l'Autriche à Vienne. Et le géant de la Roma est revenu sur l'été le plus chaud de sa vie. Celui où il s'est promis d'abord à l'Inter, puis à la Juventus, pour finalement atterrir à la Roma. Une triangulation qui en a laissé plus d'un pantois, à commencer par les clubs concernés". Quelle serait donc la version de Big Rom ? Lukaku a laissé entendre qu'à la fin de la saison dernière, il avait déjà mûri l'idée de quitter l'Inter, notamment en raison du voile d'amertume que certains choix d'Inzaghi avaient fait naître en lui. Puis il y a eu les longues négociations avec la Juve, la proposition d'Al Hilal "Un grand club, dans les années à venir et le championnat arabe sera l'un des plus grands. Mais j'ai fait un choix personnel, j'ai préféré rester en Europe et signer avec Roma". Mais la voici plus en détail lors de son échange avec Sporza.be : "Ils ont écrit que j'allais dans un certain club. Quelle connerie !" C'est quoi la plus grosse connerie que j'ai lue ? "Que j'allais soi-disant aller dans un certain club, mais ça n'avait aucun sens. La plupart des gens me connaissent et vous savez que je n'aime pas tourner autour du pot. Je parlerai en temps voulu, et j'attendrai le bon moment. Mais si je racontais vraiment comment s'est passé l'été dernier, tout le monde serait choqué. On a écrit tellement de conneries sur moi. À certains moments, j'ai vraiment cru que j'allais exploser, il y a cinq ans, je l'aurais probablement fait. Maintenant, je me concentre sur ce que je fais de mieux : jouer au football". Il est également revenu sur la Finale de la Ligue des Champions Les occasions de but manquées en finale de la Ligue des champions contre Manchester City ? "Les premiers jours, je me suis senti un peu mal à l'aise, mais je ne pensais pas à ce qui s'était passé les jours précédents. J'en parlerai plus tard. Quand je parlerai de l'approche de la Finale de la Ligue des Champions, vous comprendrez pourquoi je n'étais pas là dans ma tête." L’Inter "réagit" Selon nos confrères de Fcinter1908.it, la réaction de l'Inter a été un mélange d'indifférence (Romelu qui ?) et d'irritation. Il n'y a eu pas de révélations fracassantes car Big Rom n'explique rien, et s'il voulait le faire, il faudrait qu'il trouve une bonne excuse pour se mettre du bon côté. De toute façon, le moment choisi est également déroutant : pourquoi maintenant ? A cela s'ajoute une phrase qui est le coup de pouce classique : "Les occasions de but manquées lors de la finale de la Ligue des champions contre Manchester City ? Les premiers jours, je me suis senti un peu mal à l'aise, mais je ne pensais pas à ce qui s'était passé les jours précédents. J'en parlerai plus tard". Il semble inutile de reporter le rendez-vous de clarification à un lendemain indéterminé. Ici, Big Rom nous dit déjà explicitement qu'il avait la tête ailleurs lors d'une finale de la Ligue des champions. Pour un footballeur professionnel, c'est un aveu assez grave. Après ces déclarations, Big Rom s'est retranché dans le silence. Et de tous les choix faits par le joueur, c'est certainement le meilleur. L'Inter n'a pas apprécié les propos de Romelu Lukaku lors de sa conférence de presse au camp d'entraînement belge. Comme le rapporte La Gazzetta Dello Sport, en effet, le club Nerazzurro a laissé filtrer sa vérité sur ce qui s'est passé ces derniers mois avec l'attaquant qui, tout en professant son amour pour le club, avait des contacts avec l'AC Milan et la Juventus: "Il y avait des contacts déjà des avec le Milan avant les demi-finales de la Ligue des Champions. Et la Juve... " car Lukaku - l'Inter l'a compris plus tard discutait avec au moins deux autres clubs bien avant la finale de la Ligue des champions. Avec quels clubs ? Avec la Juventus, bien sûr, parce qu'elle tient Massimiliano Allegri en haute estime. Et aussi avec le Milan, même les rivaux de l'Inter pour lesquels il a lui-même (non, Romelu) professé son "amour" Probablement même avant les deux demi-finales avec Milan. Reconstitution des faits Les propos tenus par Romelu Lukaku lors de la conférence de presse d'hier ont fait et font encore couler beaucoup d'encre et les Tifosi de l'Inter n'ont pas apprécié une phrase en particulier, celle concernant la finale d'Istanbul : "Les premiers jours, je me suis senti un peu mal à l'aise, mais je n'avais pas en tête ce qui s'était passé les jours précédents. J'en parlerai plus tard" Mais que s'est-il vraiment passé ces jours-là ? La Gazzetta Dello Sport le reconstitue : "Dans la semaine qui précède la finale, Lukaku est convaincu qu'il sera titulaire. Et, à vrai dire, certains coéquipiers, dirigeants et de nombreux supporters pensent la même chose. Au lieu de cela, Inzaghi opte pour Dzeko, l'homme qui a contribué à passer la phase de groupes et à se hisser en finale, lui qui était toujours titulaire à partir des huitièmes de finale." "Et on sentait déjà quelque chose à l'entraînement, et même Romelu : Il n'y a pas de certitude. Toutefois, l’attaquant belge ne demande pas à Inzaghi de discuter : il travaille et se donne à fond, mais il n'y a pas de face-à-face avec l'entraîneur ou son staff avant la finale. Entre les deux, il y a une clarification après la réunion technique, quelques heures avant la finale, lorsque Simone annonce la composition de l'équipe (à côté de Lautaro, il y a de la place pour Dzeko)." "L'entraîneur explique la raison de ce choix, de nature technique, au natif d’Anvers, qui est naturellement très contrarié et ne le prend pas bien. Entré en jeu à la 55e minute de la seconde mi-temps, il aura trouvé le temps de "parer" involontairement un tir de Dimarco qui aurait permis à l'Inter d'égaliser. Mais ça, c'est une autre histoire..." "Car oui Lukaku s'attendait à être la référence , lui qui était remis de sa double blessure à la cuisse gauche, n'acceptait pas de partager son temps de jeu avec Edin Dzeko, un attaquant qui compte près de 350 buts chez les professionnels, 150 en Serie A, plus 65 en équipe nationale : bref, pas le dernier arrivé.... Mentalement, Romelu a souffert de ne plus être la Prima Donna, comme lors des deux années interiste qu’il a connu avec Antonio Conte où il avait fait un tabac (64 buts)." "La saison dernière, grâce aux blessures et aux choix d'Inzaghi, il est redevenu celui des expériences peu satisfaisantes à Chelsea et Manchester. Et après son post d'amour aux supporters de l'Inter suite à l'élimination contre City, il a éteint son téléphone, sauf pour réapparaître avec une explication partielle de ce qui s'est passé en Belgique, près de quatre mois plus tard". "Car Les jours passent. Les équipiers se marient. Par exemple Dimarco, son grand ami. Et nous sommes le 24 juin, étrangement Lukaku est absent du mariage, sans l’avoir ne communiqué ni au marié ni aux autres compagnons : Le tout aurait été difficile, peut-être, à expliquer. Certains commencent à comprendre, ce qu’il se passe au sein même de l'Inter. Mais personne ne veut y croire jusqu'au bout, malgré les mouvements un peu suspects de l'avocat Sébastien Ledure. Et l’Inter continue à négocier, n'accordant même pas immédiatement le maillot numéro 9 à Thuram, parce qu'ils sont encore convaincus qu'ils parviendront au recrutement définitif du Belge." "Mais Lukaku est déjà "parti" Pas Romelu, qui curieusement, depuis la Turquie où il était en vacances, a envoyé aux dirigeants des vidéos de ses entraînements sur la plage. Mais Lukaku en revanche au téléphone n'a pas répondu, quand le directeur sportif Piero Ausilio et ses coéquipiers, Lautaro surtout, ont essayé de l'appeler. "Mais de tout cela, c'est de l'histoire connue." Nous sommes en octobre à attendre le 29 soit le jour de son Retour au Giuseppe Meazza pour assister au retour de Romelu et de Lukaku : Les deux ensemble car il sera très curieux de voir ce qu’il se passera et pas seulement pour les sifflets des supporters. Car il ne faut pas oublier que Lukaku a essayé d'envoyer des signaux indirects à l'Inter. L'idée, étant qu’une une fois la fracture consommée, était-il possible qu’il existe une marge de négociation quant à un retour ? C'était d'ailleurs l'époque où l'Inter avait pris Thuram mais pas encore Arnautovic, et où le secteur offensif n'était donc pas encore au complet. Mais Lukaku a trouvé face à lui un mur : Aucune ouverture : Ni de la part du président Zhang, qui avait pourtant dit oui à l'investissement pur et simple. Ni de la part des dirigeants, qui se sentaient menés en bateau à un moment délicat de la campagne d'achat/vente" ni même de la part du Vestiaire. La plus grosse preuve de fermeté est venue du Vestiaire Et même s’il n’y a encore rien eu d'officiel, pour l'amour du ciel, il n'en fallait pas plus pour que les dirigeants mesurent l'état d'esprit de Lautaro et de ses coéquipiers. Et il a tout de suite été clair qu'au-delà des difficultés environnementales, il serait compliqué de réintégrer dans une équipe un joueur qui, pour la deuxième fois en deux ans, avait trahi. De plus, il n'aurait pas été facile à gérer pour Inzaghi, qui avait laissé filtrer urbi et orbi son mécontentement à l'égard de l'entraîneur car l’amour n'a certainement jamais éclaté entre Lukaku et Inzaghi. A vrai dire, plus de la part du Belge que de l'entraîneur, qui avait pourtant placé Big Rom en tête de ses désirs sur le marché lors de la planification pour 2023-24 alors que le belge se plaignait déjà de lui au début de l’année 2023. Et La non-participation de l'Inter à la finale de la Ligue des champions à Istanbul contre Manchester City n'a été que la goutte d'eau qui a fait déborder un vase déjà bien rempli. Romelu Lukaku et l'Inter Milan, une histoire qui finit mal. Pour la Rosea Notre Curva Nord ne fait pas semblant "Infame dégoutant, ce que tu as à dire ne nous intéresse pas, tes justifications ne nous intéresse pas, nous ne voulons même pas entendre le son de ta voix. Si tu as des couilles (nous en doutons) viens au Meazza : Milan t’attend !" Suivi de Fabrizio Biasin "L'Inter d'Istanbul avait un plan :Résister aux coups portés par l'équipe la plus forte du monde et, en cas de « résistance », tenter de la frapper en deuxième partie du match. Un plan qui avait du sens et qui fonctionnait même. A la 57e minute à 0-0 Inzaghi lance Lukaku : "Vas-y, maintenant c'est ton tour". On lui a donné l'opportunité d'être le Héros de la Finale, il ne l'a pas saisie. Manquer des buts est la chose la plus normale au monde, cela arrive aussi à de grands attaquants comme lui, mais n'inventons pas des choses qui n'existent pas. Ps. Ci-dessous le message de Lukaku trois jours après la finale : "Nous nous battrons à nouveau". Mais bien sûr.... ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 13 commentaires
-
- 8
-
-
-
-
-
- romelu lukaku
- curva nord
- (et 13 en plus)
-
Le journal Tuttosport, via FCInterNews, affirme que malgré le fait que les Nerazzurri sont toujours bien placés pour se battre pour le titre Serie A : “A chaque fois qu'ils perdent, c'est un psychodrame.” "Au début de la saison, il y avait le sentiment que l'Inter - et Inzaghi - ne pouvait pas mal faire. Les Nerazzurri ont balayé tous les opposants dans leurs premiers matchs de Serie A, culminant pas une victoire 5-1 dans le derby contre l'AC Milan." "Mais depuis deux semaines, l'atmosphère autour du club a changé considérablement." "La première raison a été de lâcher des points en championnat à domicile contre Sassuolo et Bologne." "Pourtant les Nerazzurri ont produit un jeu vraiment impressionnant pour battre Benfica en Ligue des Champions. Cela tendait vers une retour d'élan et de crédibilité." "Mais globalement, l'état d'esprit s'est dégradé à cause des points perdus en championnat." "Notamment parce que Milan- malgré leur lourde défaite lors du Derby - a actuellement deux points d'avance sur les Nerazzurri." Du point de vue de Tuttosport: "il est peut être temps d'avoir un peu de recul." Le journal remarque: "il y a déjà de gros doutes quant à la capacité de gagner le titre en série A avec Inzaghi. Et c'est très exagéré à ce stade." Tuttosport affirme : "Les Nerazzurri ont montré suffisamment de choses dans leur huit premiers matchs de la saison pour suggérer qu'ils puissent tenir le rythme pour la course au titre." "L'Inter a payé chèrement quelques moments de déconcentrations et d'erreurs individuelles. Mais en dépit de cela, ils sont toujours au coude à coude avec le Milan, qui a remporté des victoires semaines après semaines. Et devant des équipes comme la Juve et le Napoli." "Inzaghi a également été comparé de manière défavorable avec son prédécesseur Antonio Conte. Mais en réalité, l'ancien coach a eu plus que sa part de résultats décevants." "Avec Inzaghi, à chaque fois que l'Inter échoue à prendre les trois points, il semble y avoir une inquisition. Au lieu de cela, Inzaghi mérite un plus grand bénéfice du doute. Ce serait plus juste de laisser simplement l'entraîneur faire son travail en paix." ®Zanetti63 - Internazionale.fr
-
Samir Handanovic de retour à l'Inter!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C'est l'information relaye par Il Giornale: "Resté sans contrat après 11 saisons passée à l'Inter, le gardien slovène espérait continuer à jouer, mais les propositions reçues ces dernières semaines ne l'ont pas satisfait: Samir Handanovic quitte le football joué mais il continuera à vivre à Milan et à travailler avec le club Nerazzurro". Confirmation de Sky Sport "Après ses adieux à l'Inter , le gardien n'a pas jugé satisfaisantes les offres qu'il a reçues pour poursuivre sa carrière. C'est pourquoi Handanovic a décidé de dire adieu au football, mais pas à son lien avec l'Inter. En effet, le Slovène occupera vraisemblablement un poste institutionnel chez les Nerazzurri : un rôle de collaborateur, mais rien n'est encore défini." "Les parties vont en effet se reparler pour définir les détails, Handanovic attendant la proposition contractuelle avant de prendre une décision. En attendant, l'ancien capitaine de l'Inter participera demain, 14 septembre, en compagnie de Materazzi, à la réunion de la Curva Pre Derby" Un monument! "Le gardien fait ses adieux au football joué après avoir disputé 566 matches de Serie A, dont 380 sous le maillot de l'Inter, ce qui fait de Handanovic le gardien le plus présent de l'histoire de l'Inter, dépassant Walter Zenga et devenant le dixième joueur dans l'histoire du club. En plus d'être le gardien ayant arrêté le plus de penalties en Serie A (32 sur un total de 92 encaissés), il a été promu Capitaine en février 2019 : au cours des trois dernières années, il a remporté cinq trophées avec l'Inter. Le Scudetto sous Antonio Conte et les 4 coupes sous Simone Inzaghi." ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 7 commentaires
-
- 11
-
-
- samir handanovic
- walter zenga
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Walter Sabatini détruit Romelu Lukaku et encence l’Inter
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
Intervenu sur TVPlay, Walter Sabatini, est revenue sur la trahison de Romelu Lukaku vis-à-vis de l’Inter "Ce qu’a fait Lukaku est immonde, les dirigeants doivent avoir des principes éthiques, tout comme les joueurs. C’était une équipe qui lui avait donné sa confiance, qui l’avait rendu heureux sous la gestion de Conte et qui l’avait protégé lorsqu’il jouait mal : L’Inter avait toujours eu un comportement louable à son égard. Sa tentative de fuite m’a scandalisé, c’est une question d’éthique." Le Scudetto? "L’Inter est en ce moment l’équipe la plus forte, elle dispose d’une profondeur de noyau impressionnant . En ce moment, tout ce que fait Lautaro devient de l’Or." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 5 commentaires
-
- 9
-
-
-
- walter sabatini
- romelu lukaku
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Le nouveau visage de l’Inter de Simone Inzaghi
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Une version "2.0" qui pourrait rimer avec le "20"ème Scudetto, car l’Inter a débuté de la meilleure des manières cette nouvelle saison, avec tout le sérieux que l’on peut attendre d’un Vice-Champion d’Europe! Voici l’analyse de la Gazzetta Dello Sport qui fait suite aux trois victoire en trois matchs et une première place en compagnie du Milan avec le maximum de points avant le Derby de la Madonnina de la reprise: "L'Inter n'a pas encaissé de but en trois journées, ce qui ne lui était plus arrivé depuis 57 ans, avec Helenio Herrera assis sur le banc. De plus, personne d'autre dans le Big 5 des meilleurs championnats européen n'a réussi à faire la même chose. Simone Inzaghi peut par-dessus tout être satisfait de la façon dont l'Inter se défend car elle n’est jamais placée dans une situation de crise, jamais mise en difficulté et Yann Sommer en est le premier reconnaissant, lui qui peut se sentir comme au Paradis dans la cage de l’Inter." "Ce zéro est savoureux car il gomme les doutes, il rassure: Lors de la tournée estivale, et alors que la tournée au Japon battait son plein, l'entraîneur et le club ont tenu à comprendre où investir la majeure partie des fonds restants. Et l'idée qui est ressortie très clairement de cette réunion était la suivante : "Nous avons besoin d'un défenseur. Nous devons nous occuper de cet aspect, parce que par caractéristiques, nous sommes une équipe qui n'aura jamais de problèmes pour marquer des buts". C’est pour cette raison que Benjamin Pavard est arrivé, avec un investissement de 30 millions d'euros." "Mais le travail va au-delà du Français, qui n'a d'ailleurs jamais été vu sur le terrain jusqu'à présent. Il va même au-delà d'Acerbi, le meilleur joueur de ce secteur la saison dernière, aujourd'hui encore à zéro minute de jeu à cause d'une blessure: Le travail est global, l’Inter différente car elle a changé sa façon de jouer par rapport à la saison dernière." "Et les différences ont également profité à sa phase défensive. L'Inter a très vite appris à attaquer l'adversaire en haussant son pressing. L’année dernière, lorsqu’elle avait tenté de le faire, elle n’y était pas parvenue lors de la première partie de la saison, mais aujourd'hui, le timing est parfait, le pressing est exercé en équipe et, sans surprise, avec une récupération du ballon est beaucoup plus importante et surtout, cela marche et la défense n’est presque jamais en difficulté." "L'autre clé réside dans le travail réalisé les milieux de terrain. Car même si l'équipe adverse parvient à surmonter cette première phase de pression, l'écran de protection offert par Çalhanoğlu et ses compagnons est remarquable et ce n'est pas un hasard si nous parlons de Çalhanoğlu : Sa qualité de construction du jeu ne fait l'objet d'aucun doute et ce début de saison met en évidence une capacité de couverture surprenante et pas seulement au niveau de ses tacles, pas uniquement dans les contre-attaques : l'ancien joueur du Milan se montre également exceptionnel dans la lecture des lignes de passe adverses." "Il y a finalement les individualités tel que Darmian qui est un véritable ordinateur de fiabilité : Pavard aura vraiment du mal à prendre sa place. De Vrij est redevenu le défenseur du Scudetto sous Conte, physiquement en forme, mentalement toujours sur le ballon. Et enfin Bastoni, n'a jamais baissé son niveau de concentration et a également progressé en termes de marquage." "Sans oublier le lourd héritage dont hérite Yann Sommer, un héritage qu’il a repris avec l'aisance des plus grands. Son nom n'est peut-être pas celui des couvertures de presse et son style n'attire pas l'œil des photographes. Mais derrière l'invincibilité de l'Inter lors des trois premières rencontre, on retrouve également le gardien suisse qui a été le Visage du cauchemar du dernier échec mondial de notre équipe nationale pour nous, les Tifosi." "Après le bref règne d'André Onana, il semblait difficile de trouver un nouveau numéro un capable de se mettre immédiatement au diapason de cet environnement et auprès des Tifosi, mais Yann Sommer a réussi le faire à sa manière : avec discrétion et travail. Yann a déjà convaincu le monde Nerazzurro en trois matches. A Cagliari, il a démontré l’étendue de son talent pour parer le tir d’Azzi, contre la Fiorentina, il a bloqué Sottil à deux reprises." "Derrière la Muraille défensive l'Inter présente un nouveau gardien, expérimenté et fiable: Et ce n'était pas gagné d'avance" ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 5 commentaires
-
- 11
-
-
- simone inzaghi
- scudetto
- (et 15 en plus)
-
C’est l’analyse de la Gazzetta Dello Sport : "Après avoir atteint la Finale de la Ligue des Champions, l’Inter, malgré le départ de nombreux "Bigs", s’est construite avec l’objectif d’exceller en Italie et de remporter le Scudetto, après deux années "à sec" "Il n’y a pas de place au doute ou à l’incertitude : Le Scudetto est l’objectif déclaré par le Club, qui l’a annoncé dès le début de la Conférence de presse de la présaison, un concept répété par le Président Steven Zhang également durant la tournée au Japon, où il a démontré son désir de faire le Bis, après le Tricolore obtenu en 2020-2021 et chaque décision a été prise dans l’optique du Scudetto." "Si le Club a décidé de rajeunir son noyau, il y a tout de même inséré des éléments qui présente la "Certification" de l’expérience en la Serie A : Davide Frattesi, Juan Cuadrado, Lazar Samardzic et également Gianluca Scamacca, dont la négociation a très bien avancée. Il y a également l’insertion d’éléments en provenance de l’étranger : Marcus Thuram, Yann Sommer, qui est attendu pour ce samedi et également Yann Aurel Bisseck. Il ne s’agira donc pas d’une année de transition ou de reconstruction, c’est certain et ce même si des éléments de valeur, des personnalités charismatiques et d’expérience comme André Onana, Milan Skriniar, Marcelo Brozovic, Romelu Lukaku et Edin Dzeko ont fait leurs valises." "Suning n’a plus la capacité de dépenser comme en 2019 lorsqu’il avait enrôlé Antonio Conte accompagné d’une campagne de recrutement somptueuse et la Pandémie n’avait pas encore frappé. Mais cela ne veut également pas dire que Zhang, même s’il doit veilleur étroitement sur les comptes, ne fait pas tout son possible pour l’emporter. Il a également demandé un effort supplémentaire à Giuseppe Marotta, à Piero Ausilio et à Dario Baccin au niveau des idées à présenter en faisant preuve d’ingéniosité car dès le 2 septembre, le Mercato aura fermé ses portes et ce "poids" sera reporté sur les épaules de Simone Inzaghi qui partira à la conquête du premier Tricolore de sa carrière. "L’Inter visera la Seconde Etoile, mais sans sacrifier les autres compétitions et plus particulièrement la Ligue des Champions où elle se présentera en qualité de finaliste d’Istanbul. L’Objectif déclaré du Scudetto servira aussi à éviter que tout à chacun ne pense trop aux impératifs liés à l’Euro comme cela s’était passé jusqu’en février dernier." "Lors des deux dernières saisons, la salle des Titres de la Viale Della Liberazione s’est enrichie de quatre trophées : Deux Coupes d’Italie et Deux Super Coupes d’Italie et le parcours européen a été à la hauteur du Prestige du Club, mais la Propriété et la Direction gardent, en travers, la perte du Scudetto dans le duel face au Milan lors de la saison 2021-2022 et le départ manqué dans la course au titre de la saison écoulée." Validez-vous le projet de Suning dont le comportement est aux antipodes de celui de Nenking, qui a coulé un FC Sochaux-Montbéliard au bord de la faillite ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 15 commentaires
-
- 9
-
-
- scudetto
- suning
-
(et 24 en plus)
Étiqueté avec :
- scudetto
- suning
- ligue des champions
- steven zhang
- serie a
- davide frattesi
- juan cuadrado
- lazar samardžić
- gianluca scamacca
- marcus thuram
- yann sommer
- yann aurel bisseck
- andré onana
- milan skriniar
- marcelo brozovic
- romelu lukaku
- edin dzeko
- antonio conte
- jindong zhang
- giuseppe marotta
- piero ausilio
- dario baccin
- simone inzaghi
- euro 2024
- coupe ditalie
- super coupe ditalie
-
C'est la révélation de la Gazzetta Dello Sport: "Lautaro Martinez, qui devrait être le prochain Capitaine de l'Inter, veut retrouver son équipier avec qui il a remporté le Scudetto sous les ordres d'Antonio Conte" La saison de l'Inter commence et le brassard de capitaine sera porté par Lautaro Martinez. Le choix d'Inzaghi "qui en discutera avec l'équipe" ne fait guère de doute, car l'Argentin est reconnu par tous comme un leader et celui-ci milite également pour le retour de Lukaku à Milan. Le Toro suivi de près le nouveau buzz estival autour de son jumeau d'attaque Lukaku. Messages et coups de fil pour comprendre l'état de la situation et maintenant que le ciel s'éclaircit, l'Argentin ne peut que se réjouir comme tous les Interistes car la saison dernière Edin Dzeko coupait en deux la LuLa. Mais cette fois, dans les plans d'Inzaghi, c'est l'ancien duo qui débutera en tant que titulaire avec Marcus Thuram dont Inzaghi a loué le "talent et la structure physique" qui devrait en être le premier remplaçant. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
- 1 commentaire
-
- 3
-
-
- lautaro martinez
- scudetto
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Début de la négociation officielle pour Romelu Lukaku
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
C’est la révélation de la Gazzetta Dello Sport, la négociation entre l’Inter et Chelsea pour Romelu Lukaku va rentrer officiellement dans le vif du sujet, après de très nombreux jours où les différentes presses nationales se sont fait plaisir de fantasmer : "L’avocat Sébastien Ledure aura droit à son premier appel officiel, ouvrant la négociation pour le retour du Belge à l’Inter." Des intentions aux fait, "l’Inter rentre en action aujourd’hui et cet après-midi un rendez-vous est fixé avec l’avocat du belge tout désigné pour faire évoluer la situation avec la bénédiction de l’Inter et de Chelsea." De plus, à la suite du déplacement de Piero Ausilio à Londres, il y a trois semaines, les différentes parties ont décidé d’éviter tout face à face mais de "travailler dans l’ombre et le contact entre Ledure et Chelsea aura lieu par téléphone." L’objectif initial est de faire sortir Chelsea de sa tanière en prenant officiellement connaissance de ses exigences: "Chelsea aurait volontiers vendu Lukaku à Al-Hilal pour 50 millions d’euros, mais Lukaku ne voit que l’Inter" et il n’a pas l’intention d’accepter l’offre saoudienne : Le belge a également gentiment refusé l’approche du Milan et n’a jamais eu de contact direct avec la Juventus. Aujourd’hui, Chelsea répètera la base de départ de la négociation : 45 millions d’euros. Dans le même temps, le club anglais prendra connaissance, par l’Avocat, des intentions proposées par l’Inter : Les Nerazzurri se sont convaincus d’aller au-delà du prêt avec obligation d’achat, en proposant une acquisition immédiate du joueur, le tout "fort de la volonté de Romelu qui ne se présentera pas à Cobham le 12 juillet pour le stage de présaison de Chelsea : Il continuera à travailler en Sardaigne." L’Inter compte sur les fonds de la vente d’André Onana qui devrait devenir, d’ici à mercredi, un joueur de Manchester United ; Les Nerazzurri voudrait ne pas aller outre les 35 millions d’euros bonus compris. De son côté, Lukaku est prêt à faire un nouveau pas en faveur de l’Inter en réduisant son salaire annuel d’un million d’euros, lui qui bénéficie encore du Décret Croissance : "Il percevrait à nouveau le salaire de sa première expérience sous Antonio Conte soit 7,5 millions d’euros hors-bonus, soit un de moins comparé à la saison qui vient de se terminerait, ce qui est considéré comme une passe décisive pour l’Inter." De son côté, l’Inter serait déjà active sur la durée de validité du contrat : Romelu dispose d’un accord avec Chelsea jusqu’au 30 juin 2026, l’Inter serait disposer à aller jusqu’au 30 juin 2027, ce faisant le coût d'amortissement annuel serait également plus faible puisque l'achat serait étalé sur une année supplémentaire. ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
-
- 5
-
-
-
- romelu lukaku
- chelsea
- (et 7 en plus)
-
En marge de l’évènement "Sport e Musica nell'era della performance. Basta ancora il solo talento?" qui s’est tenu au Triennale di Milano, le Taulier des Directeur Sportif en Italie s’est livré, hier soir, sur le mercato Nerazzurro C’était une fameuse journée pour l’Inter…. "Les prolongations de Çalhanoğlu et Bastoni étaient deux situations bien préparées depuis longtemps: L’officialisation est finalement arrivée et j’en suis heureux car nous comptons construire le présent et le futur de l’Inter autour d’eux. C’était vraiment quelque chose de voulu, ensemble, d’allonger la durée des contrats en mérite aux prestations des dernières saisons. C’est une reconnaissance pour le travail qu’ils ont réalisé à l’Inter ces dernières années." Était-ce difficile pour Frattesi car on parlait aussi d’un Grand Derby ? "Comme pour toutes les négociations et code promo premier bet, il y a toujours des difficultés et lorsqu’il s’agit de Sassuolo, les difficultés augmentent. Lorsque tu as un club qui prend un joueur, les autres disent qu’ils n’étaient pas intéressés, mais en réalité, il était suivi depuis tant de temps. Ce n’était pas une thématique d’une ou deux équipes, c’est un joueur très fort qui a énormément grandi, un joueur de la Nazionale, et il a attiré l’attention d’énormément d’équipes italiennes." "Nous y avons travaillé et nous avons forcément su nous montrer convaincant car ce garçon nous a donné un coup de main en voyant, en l’Inter, le projet le plus convaincant : Et nous sommes très heureux d’avoir pu porter à terme cette opération." Il reste un autre poste vacant au milieu : Est-ce pour Samardžić ou pour d’autres profils ? "Plus que d’un poste libre, je parlerai plutôt de situation qui peuvent prendre en considération plus qu’un nom : Il y a tant de garçons dont il est important de régler la situation en sortie, et une fois cette situation de réglée, nous pourrons mieux comprendre comment compléter ce secteur qui reste compétitif malgré le fait que Brozovic soit parti." Deux sont partis : Brozovic et Gagliardini, deux arriveront ? "Nous débuterons la saison avec six milieux : En accord avec Simone et Marotta, nous chercherons à composer le meilleur noyau possible pour faire face à toutes les compétitions : Il devra s’agir de joueurs importants. Je cherche à doubler les postes avec 20 joueurs de terrains et trois gardien, nous nous préparons à cela pour le début de la saison." Aimeriez-vous ravoir Lukaku rapidement comme Inzaghi ? Est-ce qu’une semaine de négociation va débuter avec Chelsea ? "Je ne parle pas de temps mais d’idée est Lukaku est une idée importante partagée par tous dans l’Aile Sportive, mais c’est un joueur de Chelsea : Les dialogues avec le club anglais ne se sont jamais interrompu et j’ai bien conscience que le joueur ne sera plus donné en prêt pour une seconde année : Nous évaluons donc la façon dont il nous sera possible de le recruter à titre définitif : Lukaku sait parfaitement bien que nous tenons à le faire revenir à l’Inter et que nous cherchons à trouver une solution." Le Mercato laisse suggérer d’autres ventes, comme Onana ? "C’est le gardien de l’Inter, et nous tenons à aller de l’avant avec des joueurs forts, Onana est un point de force de l’équipe : S’il arrive des offres nous les écouterons. Au jour d’aujourd’hui aucune n’est arrivée ou du moins aucune ne répond à nos attentes : Le discours Onana se termine ici : C’est le gardien de l’Inter. Nous n’attendrons pas jusqu’à la fin du Mercato, mais d’ici à une vingtaine de jour. Et c’est valable pour tout le monde, si nous recevons des offres importantes, nous les évaluerons toutes. Il n’y a pas de date butoir, mais nous ne voulons pas nous priver de quelqu’un." Avez-vous été lassé par les dernières sorties sur les réseaux sociaux de Brozovic avant sa cession ? "Les déclarations sur les réseaux sociaux ne m’intéressent que très peu, ce qui m’intéresse c’est ce qu’a fait Brozo au cours de ses huit années à l’Inter : Elles ont toutes étaient importantes même ce n’est pas non plus comme si toutes étaient excellentes : Ce sont surtout ces dernières saisons qui ont été importantes. Je le remercie pour cela, à présent Brozovic est le passé et Frattesi représente le présent et le futur, comme tous les autres joueurs qui sont restés." Aurez-vous un budget de plus-values solide via la vente des jeunes joueurs ? "Nous avons besoin de travailler dans le respect des paramètres qui nous ont été donnés : L’Inter, comme tous les clubs de l’UEFA, travaille dans le respect de cette règle : Tu dépenses ce que tu gagnes. Si tu parviens à gagner plus alors tu peux dépenser plus, mais il est possible de se montrer très imaginatif : Chaque année nous parvenons à être compétitif et nous avons remportés et disputés deux finales : Nous voulons continuer à être compétitif aussi pour les prochaines années : La qualité d’une équipe ne s’établi pas uniquement sur la somme qu’elle dépense, mais bien plus sur la base d’autres facteurs." Où en est la situation avec Handanovic ? "Son contrat a pris fin, mais nous procéderons à des évaluations à la lumière de ce qu’il se passera dans les prochains jours." Trubin ? "C’est un joueur de talent comme tous les autres joueurs, l’Inter a le devoir de l’observer, et de le surveiller : Il fait partie de ce type-là." Est-ce qu’il s’agira d’un mercato toujours actif dans les prochaines semaines ou est-ce que toutes les opérations seront réalisées en fin de mercato ? "Je vous promets que nous ne ferons rien jusqu'à la fin du mois d'août, à condition que ce soit la dernière discussion et que nous en reparlions en septembre" (il rit) Kovacic ? "Je l'apprécie. D'abord parce que c'est un gars formidable. Ensuite, il y a la satisfaction de l'avoir découvert. Je regrette de ne pas pouvoir eu le temps l'apprécier, non pas parce que quelqu'un m'a forcé à le vendre, mais quand une offre importante arrive comme celle du Real Madrid pour un jeune garçon, et que cette offre vous permet de résoudre certaines situations, il est difficile de dire non. Il est également difficile pour le joueur de dire non au Real Madrid lorsqu'il l'appelle." "À l'époque, nous n'étions pas structurés pour le conserver et le prolonger, car nous devions composer une équipe très compétitive. Aujourd'hui, nous aurions la force de le garder. Nous devons chaque année maintenir un équilibre et un sacrifice par an doit avoir lieu : Cette année Brozovic est parti, et après tant d’années nous nous sommes mis d’accord pour changer quelques personnalités." "Nous avons aussi immédiatement investi aussi sur Frattesi et des jeunes en développement comme Asllani : Nous allons de l’avant." Inconnue mystère "Je dois vous confesser quelque chose : Je n’ai pas de compte Instagram Officiel, je m’en suis créé un pour contrôler les épouses car certaines m’avait créés des problèmes. Tu comprends énormément de choses via les épouses et les fiancées, tu cernes aussi la personnalités des joueurs. J’ai aussi suivi des joueurs, même d’autres équipes. Mais je l’ai créé car l’épouse d’un joueur me posait énormément de problèmes." Frattesi ? "Il représente l’idée que nous avons d’un joueur, il a démontré son talent déjà en Primavera, c’est là qu’il s’est fait connaitre avec la Roma et a fait parler de lui. Ensuite, il a connu un parcours compliqué dans des compétitions inférieures. Il s’est retrouvé à Sassuolo dans une opération comme certains le font pour rejoindre par la suite la Serie B. J’ai eu la possibilité de le voir à Monza et il est revenu assiéger la Serie A, en ayant une croissance constante avec Sassuolo : Il s’est toujours nourrit de ses détracteurs pour s’améliorer, il a de l’ambition et une volonté d’émerger qui ne s’est jamais perdue." "Il a encore une belle marge de croissance, il est jeune. Mais Sassuolo n’est pas l’Inter, la scène change, le stade change, les ambitions changent, les objectifs changent : C’est une chose de vouloir jouer pour faire une belle impression, c’en est une autre de jouer pour gagner des titres, comme cela doit être le cas lorsque tu es à l’Inter : Je suis certain que ce garçon a toutes les qualités et caractéristiques requises pour répondre à ce que nous recherchions." Les Giovanile? "J’ai toujours été chanceux car j’ai énormément travaillé avec les jeunes, j’en ai visionné énormément. Je me souviens du premier talent qui m’a frappé, je venais d’être nommé Responsable du secteur des Jeunes et Beppe Baresi et moi avions convenu de parvenir à convaincre le Président Moratti d’investir davantage sur les jeunes joueurs. "Il nous a accordé un très gros budget et nous sommes partis à leur recherches. L’un des premiers que nous avions acheté se nommait Pandev, il avait tout de suite montré qu’il était très fort. Je l’avais découvert un peu par hasard, mais ce qui compte, c’est l’instinct, le moment clé, celui où tu ressens l’émotion que te procurer un joueur. Nous l’avions recruté aux confins de la frontière hongroises. Et à partir de lui, il y en a eu énormément d’autres en 25 années passées à l’Inter." "Chaque fois que je recroise l’un de ses garçons, ils viennent me saluer, cela me fait plaisir." Est-ce vrai que Kvaratskhelia était sur votre Agenda, il y a quatre ans ? "Oui, mais pas que sur le mien,ce garçon était connu de tous. Des rendez-vous ont eu lieu à l’époque, j’avais même rencontré l'agent personnellement, mais si vous jouez en 3-5-2 avec Conte et Inzaghi, vous avez du mal à l’insérer." "Il y avait aussi la Juventus et la Roma, puis Naples a profité d'une très bonne situation et s'en est bien sorti. Il lui a aussi fallu du courage. Ce n'était pas un joueur très connu, mais tout le monde le connaissait. Tous nos recruteurs le considéraient comme un talent important, qui aurait mérité un investissement. Mais il n'était pas considéré comme adapté à notre système de jeu." Le Fair-Play-Financier "Le football d’aujourd’hui est différent, il y a des systèmes de contrôles qui ne te permettent plus d’investir autant que tu le voudrais, indépendamment des possibilités. Si aujourd’hui il y avait encore un Moratti passionné et avec l’envie de dépenser, les règles actuelles l’en empêcherait : Tu dois dépenser ce que tu gagnes en respectant le palier de 30 millions d’euros sur le triennal." "Si tu ne parviens pas à te créer des opportunités pour les recettes, alors tu dois renoncer à quelque chose : Le Système européen tient compte d’énormément de paramètres, nous vivions avec cette réalité depuis 2014 et ce sera toujours comme ça à présent." La Premier League ? "Juste pour les seuls droits télés, le rapport est de 1/4: La dernière équipe de la Premier League gagne plus que la première de la Serie A. Nous devons utiliser d'autres stratégies : Nous avons de bons Dirigeants, de bons entraîneurs, de bons secteurs de jeunes. Nous avons aussi besoin d'imagination et d'une prise de décision rapide. Eux, sont plus lents dans ce domaine, et nous parvenons parfois à nous faufiler et à ramener le joueur à la maison. Même si, en toute honnêteté, il faut dire que lorsqu'on est sur le même joueur, c’est très rare que nous parvenions à l’emporter." Balotelli "En ce qui concerne les footballeurs, vous abordez les choses de différentes manières. Parfois, nous avons pris des joueurs tout en sachant qu'ils n'étaient pas les meilleurs, mais parce que nous ne pouvions pas faire autrement : Il y en a des exemples de mauvais achats ou de prêts permanents. Peut-être même partagées avec les entraîneurs, qui échappent souvent à toute responsabilité. Parfois, on se trompait parce qu'on avait des attentes qui n'ont pas été satisfaites." "Parfois, on s'imposait encore plus durement, parce qu'on a pris trop confiance en certains joueurs." Mon geste le plus romantique ? "C’est bien connu c'est moi qui ai découvert Balotelli, j'aurais tout misé sur lui, c'était mon Recoba. A ce moment-là, c'était comme un fils. Il est inexplicable que, par rapport au talent qu'il avait, il ne soit pas devenu une folie du football mondial pendant 20 ans." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 9 commentaires
-
- 9
-
-
-
- piero ausilio
- hakan çalhanoğlu
-
(et 32 en plus)
Étiqueté avec :
- piero ausilio
- hakan çalhanoğlu
- alessandro bastoni
- davide frattesi
- sassuolo
- italie
- lazar samardžić
- marcelo brozovic
- roberto gagliardini
- simone inzaghi
- giuseppe marotta
- romelu lukaku
- chelsea
- andré onana
- uefa
- samir handanovic
- anatoliï volodymyrovytch troubine
- mateo kovacic
- real madrid
- kristjan asllani
- as roma
- monza
- giuseppe baresi
- goran pandev
- khvicha kvaratskhelia
- antonio conte
- juventus
- naples
- fair-play-financier
- massimo moratti
- premier league
- serie a
- mario balotelli
- alvaro recoba
-
C'est une information de Calciomercato.com, la Juve et Chelsea ont tenté, sans vergogne, procéder à l'échange Dusan Vlahovic-Romelu Lukaku "Le club anglais aurait sondé la Juventus pour un éventuel échange avec Vlahovic. Car Big Rom est une ancienne "cible" des Bianconeri, qui ont déjà essayé de se l'offrir en 2019, lorsque le Belge a choisi de rejoindre l'Inter de Conte" et il aurait également déjà eu l'approbation d'Allegri. Mais, comme il l'avait fait avec le Milan Ac, sa réponse a été un "NON" sec : "Romelu ne veut que l'Inter." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
- 5 commentaires
-
- 15
-
-
-
-
-
-
- romelu lukaku
- juventus
-
(et 4 en plus)
Étiqueté avec :
-
Récompensé du Golden Rudder à Arezzo, Antonio Conte a eu son mot à dire sur la finale de la Ligue des Champions. "Tout d'abord, je félicite l'Inter qui a fait quelque chose de grand, et mention spéciale aux joueurs, à l'entraîneur et au club. Félicitations également à la Roma et la Fiorentina. Pep Guardiola a dit que nous, dans le football italien, nous nous sous-estimons, nous nous maltraitions. Je suis d'accord et je pense que les entraîneurs sont très bons, étant donné que nous étudions toujours. Cette année, les équipes italiennes en Europe ont montré que nous n'étions pas loin." "J'étais sûr à 200% que Manchester City souffrirait contre l'Inter. Lorsque vous faites face à des équipes hautement et bien préparées, ce n'est jamais facile. City a ressenti le poids d'être favori et le fait que l'Inter ait montré qu'elle pouvait rivaliser avec les grands noms européens montre que le football italien n'est pas en crise. Nous devons continuer sur cette voie, il y a beaucoup de félicitations à l'Inter, à la Roma et à la Fiorentina." "Romelu a démontré même au cours de ces 30 minutes au cours desquelles il est entré en finale, c'était la partie du match où elle était la plus dangereuse. Mettre un joueur de sa force peut avoir un impact. Cette année, il a eu des problèmes physiques mais vous ne pouvez pas douter de sa valeur." Traduction alex_j via FCInterNews.
- 9 commentaires
-
- 6
-
-
-
-
- antonio conte
- uefa champions league
- (et 5 en plus)
-
Objectif Seconde étoile pour la saison 2023/2024 !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, qu’il s’agisse de Steven Zhang ou de Simone Inzaghi, la performance européenne de l’Inter, cette saison, a mis en valeur la qualité de son noyau et l’objectif de la saison à venir est clairement défini : La Seconde étoile. Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, si la désillusion est toujours présente suite à la Finale de la Ligue des Champions, l’objectif principal de l’Inter reste le même : le Scudetto qui ouvre la voie à la Seconde étoile. Le parcours de l’équipe en Coupe d'Europe confirmant le fait que l’organigramme Nerazzurro est l’un des meilleurs d’Italie. "Pour faire quelque chose de plus grand il faut que les meilleurs joueurs soient maintenus dans le noyau, il s’agira d’un mercato fait de choix dans les pures limites d’un fair-play financier à respecter." - Steven Zhang. Et le focus dédié ciblera un rempart bien spécifique : l’attaque qui était le point faible de cette Finale de la Ligue des Champions. D’autant plus qu’à Appiano et encore plus à la Viale della Liberazione, tous sont convaincus d’avoir jeté par la fenêtre le Scudetto 2021/2022 qui s’est retrouvé à Milanello bien plus par un démérite Nerazzurro que par un mérite Rossonero, tout comme cette troisième place cette saison qui ne satisfait personne, si ce n’est qu’elle permet à l’Inter d’axer le plus important : La qualification à la Ligue des Champions 2023-2024. Car si le Napoli a maintenu un rythme de croisière probablement intraitable, l’équipe qui a su mettre les nerfs à vif au mastodonte City, aurait dû terminer la saison avec un écart bien inférieur aux 18 points de retard qui la sépare de l’équipe de Luciano Spalletti, avec par-dessus tous les 12 défaites au compteur en 38 journées. Elle aurait dû être en lice pour le Scudetto au moins jusqu’à la fin du mois de mars. Toutefois, comme le révèle la presse italienne, grâce au chemin parcouru dans les différentes Coupes et avec 2 trophées en plus dans l’armoire, Simone Inzaghi s’est assuré le renouvellement de son contrat. Steven Zhang, lui, est également confiant sur le fait que ce qu’il s’est passé à Istanbul, une fois la défaite digérée, aura un effet positif sur tous car ce KO face à City ne pourra que faire augmenter la confiance du groupe en ses propres moyens, le rendre plus fort et lui faire augmenter "sa colère compétitive" afin de pouvoir prendre sa revanche. A son niveau, Simone Inzaghi, qui est reconnu comme l’Homme des Coupes, souhaite à présent s’inscrire dans la lignée des entraineurs qui ont remporté le Scudetto, une lignée qui outre les solides Massimiliano Allegri et Antonio Conte, a vu Maurizio Sarri, Stefano Pioli et Luciano Spalletti faire considérablement accroitre cette liste. ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
-
- 5
-
-
- steven zhang
- simone inzaghi
- (et 9 en plus)
-
Le style de jeu prôné par Simone Inzaghi : analyse
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Thymoté Pinon décrypte ce principe de verticalité, signature du jeu de l'Inter Milan de Simone Inzaghi. Nommé à la tête de l'Inter Milan en 2021 pour prendre la suite d'Antonio Conte, Simone Inzaghi s'est inspiré du système de jeu de son prédécesseur en reprenant notamment le principe de projection rapide en attaque. Un style de jeu engagé et volontaire qui comporte aussi quelques failles. Si on attendait bien Manchester City en finale de la Ligue des champions, on s'attendait moins à voir l'Inter Milan face aux Mancuniens. Il y a deux ans, l'équipe milanaise, désormais entraînée par Simone Inzaghi, était au bord du gouffre au niveau financier et enregistrait le départ de nombreux cadres de l'équipe (Eriksen, Lukaku, Hakimi) mais surtout de son maître tacticien, Antonio Conte, en partance pour Tottenham. Mais, sans révolutionner le jeu de l'Inter, Simone Inzaghi a permis au club de se maintenir à un très haut niveau en remportant notamment deux Coupes et deux Supercoupes d'Italie. Il s'est notamment appuyé sur l'héritage d'Antonio Conte en reprenant un de ses grands principes de jeu : la verticalité. Le technicien italien s'appuie sur une grande capacité de projection vers l'avant de son équipe. Un système de jeu efficace en attaque mais qui peut se retourner aussi contre l'Inter dans des phases de transition. Source: Thymoté Pinon et Valentin Gouriou, l'Equipe. Voir l'article ici.-
- 4
-
-
- simone inzaghi
- analyse
-
(et 5 en plus)
Étiqueté avec :
-
Ancien footballeur pro devenu consultant, Alexandre Teklak s’est livré à une interview exclusive pour Internazionale.fr, lui qui est devenu consultant sportif à Eleven Sport et à la RTBF où il fait part de ses excellentes analyses dans le cadre des matchs d’Europa et de Conférence League. Comment jugez-vous la saison actuelle de l’Inter ? "C’est une saison un peu contrastée, l’Inter a très bien réussi dans tout ce qui est match de Coupe, un peu comme Inzaghi sait le faire. C’est plutôt un entraineur de Coupes, sans être péjoratif, c’est un entraineur qui, sur des évènements ponctuels, parvient à faire la différence. La preuve , l’année dernière il a gagné la Coupe d'Italie, il est en finale aujourd’hui, il est en finale de la Champion’s League, il a remporté la Super Coupe." "Au contraire de Conte qui est un entraineur bâtisseur sur le long terme et qui est plutôt prêt pour acquérir des titres sur le long terme comme l'est un championnat, je pense qu'Inzaghi est un peu un entraineur qui est capable de briller sur des compétitions où c’est quitte ou double. Il l’a fait avec la Lazio aussi à l’époque. C’est vraiment devenu un spécialiste des Coupes, et ce n’est pas par hasard. Quand tu en gagnes une, deux, on peut se dire que c’est le hasard qui a fait que... mais ici il le fait depuis quelques saisons, pour moi, c’est ce qui caractérise la saison de l’Inter avec Inzaghi, paradoxalement avec celles sous Antonio Conte." "Maintenant c’est une saison en dents de scie même si cela va mieux ces dernières semaines, car l'Inter a des joueurs comme Lukaku, notamment, qui reviennent bien qui pèsent à nouveau. Mais c’est vrai qu’ils ont connu beaucoup de soucis avec des résultats très inégaux et je pense à la défaite à domicile face à Monza 0-1." "Je me suis dis 'On est en préparation pour la Ligue des Champions' mais voilà, l’Inter joue avec son bonheur et ils auront la rencontre à Turin et le match face à l’Atalanta qui restent à disputer pour se qualifier en Ligue des Champions. Il y aura City aussi, mais ce n’est pas normal d’avoir attendu si longtemps pour assurer la place en Ligue des Champions car, cette année, il y avait la place pour l’acquérir beaucoup plus tôt même si Naples a survolé la compétition." "Honnêtement, au vue des oppositions qu’ils ont eu à l'Inter, vu le noyau qu’ils ont, je trouve que c’est quand même tardif. Je peux l’expliquer aussi par le fait qu’il y a un noyau " vieux" et il n’y a rien à faire quand on veut aborder plusieurs compétitions, il faut le préserver. Toute proportions gardées, l’Inter a un peu le même problème que le Real : un noyau vieillissant. Ce sont des équipes qui sont capables d’avoir un objectif majeur, mais pas trois ou quatre dans une saison, c’est difficile." "Lorsque l’on regarde la saison du Real, elle a fait un peu une saison similaire en termes de prix remportés au niveau des Coupes, il y a une saison en Liga complétement manquée, gâchée pour un club comme le Real. L’Inter, toute proportions gardées j’insiste un peu, vit une saison similaire au niveau des résultats et je l’explique par ça : prenez la moyenne d’âge." "Ce sont des supers joueurs, vous vous rendez comptes aussi qu’avec ces mecs-là, si vous ne les faites pas tourner, vous les blessez. Ici on arrive en fin de saison, on voit que Mkhitaryan s’est fait mal en demi-finale retour, Dzeko qui va jouer ce soir a aussi eu quelques bobos. Tout le long de cette saison a été jalonnées par des petits bobos que les joueurs importants, les cadres ont eu parce qu’à un certain âge, jouer au très haut niveau toutes les compétitions, tout le temps, ce n’est plus possible et je pense qu’Inzaghi l’a très bien compris, aussi dans sa rotation car il n’avait pas trop le choix." Pensez-vous que la Coupe du Monde a eu un impact ? Qu’elle a faussé un peu les tournois ? "Oui, la Coupe du Monde a eu sa part d’influence sur toutes les équipes. Surtout au retour de Coupe du Monde pour la plupart des équipes où il y a eu beaucoup d’engagés. Oui, il y a pu y avoir un impact, forcément pour les Italiens, non, pour l’Inter je ne le sais pas, mais ils n'étaient pas tous concernés par la Coupe du Monde, pas du tout même. Toutefois, par l'entracte qu'elle a provoqué, oui." Et des matchs tous les trois jours… "Le problème a été l’accélération de match et là évidemment dans un calendrier qui est déjà surchargé... faut savoir ce qu’on veut, car même si les dirigeants pensent construire des noyaux très larges, pléthoriques pour aborder toutes les compétitions, les aborder toutes avec le même niveau de performances est impossible car on ne sait pas disposer de deux équipes de même niveau dans son noyau, en tout cas l’Inter n’a pas ça, ça lui couterait beaucoup trop cher." Malheureusement nous n’avons pas le propriétaire qui va avec pour l’instant… c’est assez compliqué… "Mais City est capable d’avoir ça , ils ont deux équipes, une pour la Premier League quasiment et une pour la Champion’s League mais c’est la seule équipe, c’est une exception." En parlant justement de City, pensez-vous que ce club a un point faible ? Ou est-ce que la Finale est déjà perdue d’avance pour l’Inter ? "Perdue d’avance non, même si c’est vrai que cette année City écrase tout, ils sont terriblement efficaces, ils ont un peu revu leur système avec la présence d’Haaland aussi, parce qu’ils sont capables, à présent, de varier aussi leur manière de marquer, ils peuvent partir de beaucoup plus bas, ils n’ont plus besoin d’une construction élaborée, très élaborée comme Guardiola les aiment lorsqu’il joue avec un faux neuf." "ici, ils ont vraiment dans des situations avec Haaland et une manière de marquer qui est différente. C’est évidemment un gros avantage pour Guardiola même s’il doit laisser tomber un petit peu et parfois ses préceptes et ses principes. Je dirais plutôt s’en éloigner un tout petit peu et les varier un tout petit peu, mais c’est le gros avantage de City. C’est vrai que j’ai aussi vu des matchs où Haaland était bien bloqué comme face à Rudiger lors du match aller au Real, ceci dit, le gros soucis avec cette équipe, c’est qu’elle est capable de marquer de manière très différente et d’être dans un mouvement perpétuel. C’est une équipe qui est très difficile à jouer techniquement." "Elle a des faiblesses et pour moi ce sont les situations de contre-attaques car elles portent beaucoup de joueurs vers l’avant. Une fois qu’Haaland manque d’efficacité, c’est un soucis aussi pour cette équipe, car il est vraiment très important. Ils ont tout de même des difficultés parfois à pouvoir, sur la longueur d’un match, contenir les contre-attaques des adversaires. Ce n’est pas une équipe qui n’a aucune faiblesse, c'est une équipe qui peut aussi à un moment donné s’agacer, par exemple, de la roublardise de l’adversaire, du fait que le rythme soit faible dans le match." Ce qui est un peu la force des clubs italiens… "Oui et c’est quelque chose qui pourrait très vite les agacer, car ils sont parfois impatient et il ne faut pas oublier non plus la plus grande faiblesse de City cette année est qu’ils doivent la gagner : Guardiola a beau relativiser dire oui… Toujours un peu avec son dogme caractéristique, il doit la gagner ! Cela fait presque 10 ans qu’il est là, ils ont investi beaucoup d’argent dans le club pour y parvenir." "Je crois qu’ils la veulent à tout prix et c’est l’occasion où jamais. Ils se sont plantés, il y a deux ans, face à Chelsea, City n'a plus trop le droit à se planter à nouveau. Pour moi, c’est ce côté impatient, ce côté obligation à devoir aller la chercher qui peut jouer pour l’Inter, car l’Inter va être l’outsider de Luxe." "Quelque soit le résultat de l’Inter, elle n’a rien à perdre et tout le monde dira que c’est déjà formidable d’avoir atteint la Finale de la Ligue des Champions, c’est déjà le cas maintenant et je pense que c’est un grand avantage pour l’Inter de ne pas être "Obligé de" alors que pour City oui, car si City la perd, vu la force en présence, vu leur noyau vu toutes ce qui entoure ce titre en Ligue des Champions, ce sera de nouveau un camouflet pour Guardiola et ce sera de nouveau une Finale de perdue." "Il ne faut pas minimiser aussi l’aspect psychologique de cette rencontre qui aura beaucoup d’influence, parce que c’est vrai que l’Inter est un peu une équipe d’emmerdeurs." C'est un peu le cas aussi… Il y a une cohésion d’équipe chez nous, car si l'on se base que sur le plan individuel,on ne fait pas le poids : Est-ce que le 3-5-2 est une bonne idée face à City ? "Je pense que l’Inter est très dépendante de ce que va produire comme foot et comme prestation son trio au milieu de terrain car, pour moi, c’est le poumon de l’équipe: Pas seulement parce que ce sont de très bons joueurs, mais aussi parce qu’ils abattent un travail exceptionnel. Que ce soit Çalhanoğlu, Mkhitaryan et Barella c’est vraiment incroyable ce qu’ils sont capable de faire surtout dans les contre-efforts défensif et là ils sont vraiment redoutable." "Quand je vois comment ils se sont mis minable dans le Derby sur les deux matchs et les prestations encore qu’ils ont eu, je me dis que ça peut vraiment embêter le milieu de terrain de city. De Bruyne n’aimera pas avoir ce type d’opposition, pas du tout même, il n'aimera pas ce type de marquage et d’une manière générale tous les joueurs de City n’aimeront pas." "Je pense que derrière, Acerbi a prouvé aussi que ce ne sera pas un problème pour lui de jouer contre Haaland: L'Inter ne va pas non plus ouvrir le jeu avec 50 mètres dans son dos, ils vont rester organisé et pour moi l’Inter a des atouts à faire valoir. Je ne vois pas l’Inter s’écrouler contre City, je ne vois pas ça, je vois une équipe qui est vraiment capable de les emmerder." Passons à Lukaku, la Serie A est-elle le mieux pour lui ? Ou est-ce mieux qu’il retourne à Chelsea ? "Je pense que sa saison a été marquée en plusieurs temps, son premier temps est évidemment son retour de la Coupe du Monde, fragilisé moralement, fragilisé physiquement et je connais un tout petit peu Romelu et son caractère, il a voulu forcer les choses et aller plus vite au niveau de son retour et il s'est passéce qu'il s’est passé. Maintenant, il est en forme , il joue, il veut reprendre sa place de titulaire." "Il ne faut pas oublier non plus qu’il joue dans un club qui possède deux paires d’attaquants, et l'on oublie trop souvent de le dire mais pour un Club comme l’Inter: 4 attaquants de ce niveau-là, c’est tout de même rare, c’est très rare : Il faut bien se rendre compte qu'il s'agit de Correa, Dzeko, Lautaro qui est un super joueur et Romelu : Vous imaginez quand même ! " "Vous êtes là, vous commencez le match avec Dzeko et à un moment donné vous faites monter Romelu pour les vingt dernières minutes avec Correa, ou un autre si Correa est déjà titulaire, mais vous voyez ce que je veux dire en termes de possibilités: C’est énorme ce qu’Inzaghi a à sa disposition , il ne faut pas le négliger non plus, ce sont quatre attaquants de grandes qualités." "Maintenant en ce qui concerne Romelu en tant que tel, il a voulu refaire sa place, peut-être un peu trop vite et il est parti de blessure en blessure et de rechute en rechute et ça, ça a été son grand soucis parce que la pression aidant, le fait aussi que sa Coupe du Monde soit manquée, le match contre la Croatie qui lui reste dans la tête : Tout a joué beaucoup contre lui et il l’a dit récemment, que cela lui a pesé énormément car si vous n’êtes pas bien dans votre tête, le reste ne sait pas suivre, même au niveau de la prise en charge d'une blessure." "Et une compétition exigeante comme l’est la Serie A a fait aussi qu’il s’est reblessé, qu’il n’a jamais été prêt. Maintenant il commence à l’être, ici, il enchaine les matchs et surtout les bouts de matchs et je sais, à ce niveau-là qu’Inzaghi est beaucoup critiqué mais je trouve qu’il les a bien gérer : Il a bien géré la rotation et l’intégration de Romelu pour ne pas qu’il aille trop loin d’une part et pour qu’il se sente bien physiquement d’autre part." "On l’a vu ces derniers temps, il marque au meilleur moment pour lui car c’est maintenant le Money Time, c’est maintenant ici que tout ce décide et c’est surtout maintenant que les contrats sont revus : Il y a quelques semaines l’Inter avait dit non, Romelu on n’en veut plus: Aujourd’hui, ils ont changé de fusil d’épaule et c’est d’ailleurs la même chose à l’égard d’Inzaghi Je pense qu’il y a vraiment une progression dans sa saison qui est bonne avec la possibilité , aujourd’hui, de rester à l’Inter et surtout d’apporter un plus sportivement à l’équipe." "Maintenant, pour sa situation avec Chelsea, je pense que l’Inter a de l’argent, mais l’Inter est en dette et doit faire attention. Oui, elle est en auto-financement…. "Je le sais, je pense qu’ils vont être tributaire un peu de ce que Chelsea va exiger : L’Inter est une équipe spécialiste pour faire des prêts , je crois que c’est Marotta qui en est le Directeur comme c’était le cas du temps de la Juve." Tout à fait, avec Piero Ausilio… "Marotta est un adepte de ce genre de manœuvre , vous me direz si je me trompe mais je suis quasiment certain qu’à l’époque de la Juve, c’est lui qui va rechercher Pirlo car plus personne n’y croit." Oui, il a fait la même chose avec Pogba…. "C’est un très grand spécialiste, il s’est parfois trompé, je ne dis pas qu’il a toujours tout réussi, mais il a quand même bien plus réussi que raté au niveau de ses prêts et de certains fin de contrat qu’il a été chercher." Oui, c’est lui qui a reconstruit l’équipe de l’Inter à son arrivée et on voit la différence avec la Juve à l’heure actuelle…C’est sa plus grosse perte... "Tout à fait, la Juve a beaucoup perdu avec son départ et l’Inter a beaucoup gagné, je sais qu’on ne parle pas beaucoup de lui mais c’est un Dirigeant Sportif qui a été l’architecte de l’Inter." Il est le plus respecté, encore plus que Steven Zhang…. "Cela ne m’étonne pas je crois vraiment que sa présence a été la clé du succès de l’Inter et pour revenir sur le prêt, sur la continuité de Romelu à l’Inter le problème sera à Chelsea : Qu’est-ce qu’ils vont vouloir, qu’est-ce que le nouveau propriétaire va vouloir : Accepteront-ils encore un prêt ou alors vont-ils vouloir le vendre définitivement sachant que Romelu n’a peut être pas envie de retourner à Chelsea." "Cela pourrait dépendre du nouvel entraineur de Chelsea , peut être qu’il aura une bonne connexion avec Lukaku, Dieu seul le sait : Je n’en sais rien, c’est trop tôt pour le savoir: Je pense qu’aujourd’hui vu la manière avec laquelle joue Lukaku, et son amour pour l’Inter et pour la Serie A, qu’il a envie de se faire pardonner quelque chose vu la façon dont il est parti." Oui, il était fort aimé, on a vécu son départ comme une trahison, pour certains ils sont encore rancuniers "Je sais, en Italie, ils ont la rancune tenace et il y en a encore beaucoup qui lui en veulent d’être parti car certains disent "Oui mais l’Inter avait des problèmes financiers et c’est pour ça qu’il est parti" mais je pense que ce n’était pas que pour ça, cette raison-là n’est pas vraie, c’est du Pippo." A l’Inter, lorsque Conte est parti, s’il avait dit à ce moment-là: Je veux quitter le club aussi, je demande à être transféré il n’y aurait eu aucun soucis", mais lui avait fait une interview une semaine avant son départ pour dire : "Ne vous inquiétez pas Conte est parti et je reste", c’est pour cela que la pilule n’est pas passée... "Je pense que Romelu a commis à la fois une erreur de communication, mais aussi une erreur de choix car on s’est ce qu’il est advenu de sa saison à Chelsea. Donc aujourd’hui, il se fait petit, il se met minable car il sait aussi ce qu’il doit à l’Inter et c’est pour ça qu’il a à tout prix voulu y revenir." "C’est aussi pour cela qu’aujourd’hui il est en forme et c’est pour cela qu'à chaque fois qu’il marque un but, il le fait avec beaucoup de respect et aussi avec une certaine forme de redevance si vous voyez ce que je veux dire, on le sent dans sa communication avec les supporters, il est toujours en train de les mettre en avant : Il marque toujours beaucoup de sollicitude à leur égard." Il est très communicatif… "C’est normal et il doit se rattraper et il est authentique car je le connais un peu, les critiques des supporters l’ont touchés, l’ont blessés , surtout lorsqu’ils l’ont traité de Traitre, mais voilà…" Face à la Salernitana c’était d’ailleurs l’un des seuls joueurs à aller voir les supporters lorsque l’on s’est inclinés sur leur terrain, il les "a porté", s’est excusé et ça lui permet de revenir aussi dans les bonnes grâces des Tifosi... "Tout à fait et il n’était pas obligé de le faire, il y a d’autres joueurs qui ne se seraient pas comportés comme cela et je pense que ça compte beaucoup pour lui : Il aime l’Inter et je pense que l’Inter l’aimera de nouveau et que tout se passera bien pour lui." "Vous savez l’Inter a perdu un peu son lustre d’antan: On n’était plus habituée à la voir dans les compétitions européenne comme elle le faisait à l’époque de Mourinho mais quand on voit cette équipe aujourd’hui, elle n’est pas là par hasard , elle n’est pas arrivée en Finale de Ligue des Champions par hasard." Dernière question : votre prono pour ce soir, pour la Finale de la Coupe... "Je trouve que la Fiorentina est une superbe équipe, on voit le boulot d’Italiano. Je l'’ai suivi aussi avec la Conference League, c’est une super équipe de foot, elle joue très bien au foot, elle a un gros problème : Elle se crée plus d’occasions qu’elle ne marque de buts mais elle s’en crée vraiment beaucoup, énormément grâce à un football léché et elle pourrait être un bon adversaire pour l’Inter." "Elle est un peu similaire à City, ça pourrait être une mini-répétition de ce qu’il pourrait se passer face à City, sans exagérer bien sûr et c’est une Finale . Je pense qu’on va assister à un beau match et cette année, j’ai rarement vu des mauvais matchs de sa part, c’est une équipe agréable à voir , mais j’aurais un petit penchant pour l’Inter, un petit." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 6 commentaires
-
- 10
-
-
-
-
- alex teklak
- alexandre teklak
-
(et 38 en plus)
Étiqueté avec :
- alex teklak
- alexandre teklak
- eleven sport
- rtbf
- europa
- simone inzaghi
- coupe ditalie
- super coupe ditalie
- ligue des champions
- antonio conte
- lazio rome
- romelu lukaku
- manchester city
- naples
- real madrid
- liga
- henrikh mkhitaryan
- edin dzeko
- erling haaland
- josep guardiola
- antonio rüdiger
- chelsea
- hakan calhanoglu
- nicolo barella
- kevin de bruyne
- francesco acerbi
- serie a
- joaquin correa
- lautaro martinez
- giuseppe marotta
- juventus
- piero ausilio
- andrea pirlo
- paul pogba
- steven zhang
- josé mourinho
- fiorentina
- vincenzo italiano
- conference league
- salernitana
-
Christian Vieri : "L'Inter ? Un grand amour !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Christian Vieri a rappelé son passage chez nous et évoqué l'élan de forme de l'équipe de Simone Inzaghi lors de la Milan Football Week organisée par La Gazzetta dello Sport. Le maillot des Nerazzurri "C'est certainement celui que j'ai porté le plus longtemps. C'était un grand amour. Je suis arrivé avec Ronaldo, je voulais jouer avec lui, former le duo d'attaquants le plus fort du monde. Puis après on a eu beaucoup de blessures. Ce furent dix années importantes." Lukaku "Lukaku va plutôt bien. J'attends de plus en plus de lui. Avec Conte il a été dévastateur et je m'attendais à au moins 25-30 buts. Peut-être que j'exagère mais je le voyais clairement. Si vous me demandez s'il m'a déçu, je dis oui. Mais maintenant il va plutôt bien. Pas comme lorsqu'il jouait avec Conte car à l'époque il semblait parfait au niveau physique." Lautaro "Oui, il est une certitude mais il est parmi les meilleurs attaquants du monde depuis quelques années maintenant. Il ne me l'a pas fait savoir à cette Coupe du Monde de folie. A mon avis, il n'a pas joué de grands matchs mais il fait de grandes choses avec l'Inter." Traduction alex_j via FCInterNews.- 10 commentaires
-
- 7
-
-
- christian vieri
- ronaldo
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Après le discours d'Alessandro Antonello, Beppe Marotta était l'invité à l'événement "Il Foglio Sportivo a San Siro" qui a vu tour à tour de nombreux protagonistes du monde du sport. Voici ses mots, celui qui vient d'être nommé chevalier de la République italienne : "Ça veut dire que l'âge avance", sa plaisanterie. Comment vous sentez-vous après la nuit dernière ? "Nous nous sentons heureux mais pas euphoriques car nous avons gagné le match aller et ne sommes pas encore qualifiés. La performance a été positive, de bon augure pour le match retour que nous devons affronter dans le respect de l'adversaire. J'avais obtenu un résultat qui a été inversé dans le passé, à la Juve par exemple." Qu'aviez-vous de plus que Milan ? "Je pense que l'approche a été décisive, nous avons pris les devants, 2-0, et cela a déstabilisé Milan qui est une équipe forte." Regret? "À mon avis, la performance qui a généré ce résultat est importante. Nous avons été faciles pour contrôler les pièges du Milan en deuxième phase, c'est réconfortant en vue du match retour. Milan aura une charge plus forte." Inzaghi sera-t-il l'entraîneur de l'Inter la saison prochaine ? "Je pense que oui, les évaluations ne se font pas sur un épisode ou un match, mais sur la façon dont nous travaillons et sur le professionnalisme. Inzaghi est bon. Il y a une petite ombre mais pas seulement pour l'Inter qui n'a pas été protagonistes en championnat, où le Napoli a fait un parcours extraordinaire. Nous n'étions que des spectateurs comme les autres top teams. Pour le reste, la saison est positive." Hier, deux joueurs libres comme Dzeko et Mkhitaryan ont marqué. "C'est un modèle que nous avons adopté dans l'objectif de durabilité. Avec Ausilio et Baccin, nous sommes allés à la recherche de ces profils qui ne coûtaient rien, mais qui représentaient des joueurs de valeur. Je fais également référence à Onana, Acerbi et Darmian. De nombreux éléments qui ont un impact d'un point de vue économique." Onana partira-t-il pour 40 millions d'euros ? "C'est difficile d'émettre des hypothèses mais nous n'avons reçu aucune offre et le gardien veut rester ici. Nous ne voulons pas le mettre sur le marché." Giuntoli vous a-t-il surpris ? "C'est un professionnel prudent, il fait des évaluations risquées dans un contexte où il a pu très bien travailler. Spalletti, que je connais très bien, est aussi très bon. Naples le méritait." La Sampdoria est malheureusement en B. "Je suis vraiment désolé parce que la Sampdoria est une belle réalité dans le football. Je suis désolé que tu risques d'être exclu du football qui compte mais je n'en connais pas les causes. Je suis aigri et inquiet, ça m'énerve, imaginez que ça puisse disparaître." Un souvenir de Perrone. "Nous avons le même âge, j'ai vécu de nombreux moments d'amitié avec lui." Lapo Elkann a déclaré que la Juve avait beaucoup perdu avec vottre départ et que vous aviez beaucoup donné à l'Inter. "Je crois que ce sont des coïncidences. Comme beaucoup d'autres managers, j'exerce mon travail avec passion et dévouement. Ce sont des prérogatives fondamentales pour obtenir des résultats, les détails font la différence. Quiconque veut être manager ne doit pas lésiner sur le temps disponible mais il faut faire attention. Le fait que la Juve ne va pas bien et l'Inter soit son contraire est une coïncidence." L'épilogue de Conte à Tottenham vous a-t-il surpris ? "Je suis désolé parce que ce passage n'était pas si bon, cela a aussi influencé sa décision. C'est un grand professionnel, il vit son travail avec une grande intensité. S'il a décidé de s'installer avec Tottenham, il avait ses raisons, pour moi il reste un des plus importants." Spalletti, quel avenir ? "C'est un autre entraîneur important. Je l'ai rencontré en 1998, puis à l'Inter. C'est un entraîneur complet, avec un leadership solide et des compétences technico-tactiques. Il méritait ce championnat." Traduction alex_j via FCInterNews.
- 17 commentaires
-
- 6
-
-
-
-
-
- beppe marotta
- simone inzaghi
- (et 10 en plus)
-
Daniele Alfieri éditorialiste pour FCInterNews fait une analyse du doublé de Big Rom contre Sassuolo. L'Inter a déjà en tête le deuxième des deux Euroderbys, ou pourquoi pas la finale à Istanbul ? La réponse tombe sur le terrain avec la cinquième victoire d'affilée en championnat, la septième compte tenu également les succès en demi-finale des deux coupes contre la Juventus et le Milan. Un résultat encore plus lourd, étant donné que Sassuolo, bien qu'il n'ait pas grand chose à demander dans ce championnat, n'est pas arrivé au Meazza avec les meilleures intentions envers l'équipe d'Inzaghi. Tout autre, si l'on s'en souvient, l'esprit de l'équipe de Dionisi le 22 Mai dernier au Mapei lors de la dernière journée contre nos cousins. Justement Milan avait évidemment plus d'une pensée pour l'Euroderby, comme en témoigne la deuxième débâcle en quatre jours contre la Spezia, avec le même résultat que Mercredi, 0-2. Le tabou noir et vert de l'Inter a été donc lui aussi déboulonné. Une seule victoire des Nerazzurri lors des matches disputés au Meazza ces sept dernières années, celle du 7 avril 2021, avec un 2-1 et un doublé de la LuLa, mettant une autre brique vers le 19ème Scudetto, celui de Conte. Ce pire, pour Sassuolo, a un nom, un prénom et un surnom : Lautaro Martinez rebaptisé il Toro depuis qu'il a 17 ans (Conte a essayé de l'adoucir en l'appelant Lauti mais avec de mauvais résultats). L'entrée du Diezà la place de Correa, remplacé à la mi-temps pour lui épargner les huées de tout le Meazza, il a provoqué les premières secousses en contaminant ses coéquipiers de sa combativité, puis en mettant définitivement l'arrière-garde verts et noirs dans les cordes, Tressoldi exagérant avec un but contre son camp. Dionisi s'est mis à l'abri en remplaçant le défenseur et Sassuolo (le hasard) est revenu dans le match, alors que l'Inter a peut-être vraiment fait l'erreur de penser déjà à Milan. Brozovic et Lukaku n'y pensent pas tellement sachant qu'ils partiront probablement du banc, donc le Belge a encore le souffle pour sprinter dans la surface de réparation et clôturer le match avec un doublé, le même jour où il avait déjà soufflé la 30e bougie. Le chiffre d'affaires qui gagne ne change pas, pas même Mardi prochain lorsque les as de la coupe Calhanoglu et Dzeko seront de retour. Maintenant, nous pouvons y penser au retour de l'Euroderby. Road to Istanbul! Traduction alex_j via FCInterNews - texte de Daniele Alfieri
- 3 commentaires
-
- 8
-
-
- romelu lukaku
- sassuolo
- (et 7 en plus)