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  1. Le but vainqueur de la Juventus contre l'Inter est venu d'une main d'Adrien Rabiot. Après celui avec Samp un autre épisode douteux et Il Giornale le souligne de manière assez ironique. "Arsenio Rabiot a encore frappé! Le Var le considère comme son ennemi préféré, le plus difficile à piéger. Les bras font corps avec le tronc quand il faut brouiller la vision des arbitres, faire vriller les arbitres de la Var grimaçant devant l'appareil maudit qui décide de tout et parfois nous ne comprenons pas. Tout impressionne, Arsenio-Adrien fait tout! Et même dans ce mouvement timide d'un bras qui apparaît et disparaît du corps. Ils l'appelleront un volleyeur honoraire. Nous sommes déjà au deuxième incident. La première fois contre la Sampdoria la semaine dernière." Traduction alex_j via FCInter1908.
  2. L'épisode autour du but de la Juventus a fait et fait encore beaucoup parler. Matrix s'en mêle! L'action est déclenchée par un ballon touché par le bras d'Adrien Rabiot, tout le monde l'a vu, tout le monde est d'accord, les images sont équivoques, sauf pour la VAR. A travers ses réseaux sociaux, Marco Materazzi ne cache pas sa colère et s'en prend directement à l'arbitre du match. "Et puis ils demandent pourquoi... Aviez-vous la vue masquée ?",a-t-il écrit en joignant une image fixe dans laquelle le contact avec le contact avec le bras apparaît tout à fait évident. Traduction alex_j via FCInterNews
  3. Après la tournée d'interviews, Simone Inzaghi prend place dans la salle de conférence du Meazza pour disséquer la défaite de son Inter face à la Juve lors du 180e derby italien de l'histoire de la Serie A. Il y avait de la nervosité sur le terrain face aux décisions de l'arbitre. Barella est sorti furieux... "Les garçons étaient bons aussi parce que ce qui s'est passé est inacceptable. En deuxième mi-temps, l'équipe a réussi à rester calme pour essayer d'égaliser. Après Monza, j'ai dit que je ne parlerais pas des arbitres mais ce que j'ai vu est trop grave. Il y a un manque de respect face à l'absence d'images. Il leur a fallu 4' pour se décider, il fallait voir. Ce résultat nous pénalise au classement, on sait ce qu'est le match contre la Juve signifie. Concéder un but comme celui-ci est inacceptable." Il était difficile de trouver la profondeur. "Ce n'était pas facile, ils ont défendu bas avec seulement quelques hommes, malgré ce qui s'était passé en première mi-temps, l'équipe a créé. Nous aurions pu tirer un match qui s'est plutôt dirigé vers la Juve par un épisode. Le résultat final ne reflète pas ce que nous avons vu sur le terrain." Brozovic et Calhanoglu ont trop marché sur leurs orteils. Pourquoi sortir de Barella ? "Brozo et Calhanoglu ont fait le match qu'ils étaient censés faire, l'un a dû emmener Soulé et l'autre a mis en place l'action. Barella a longtemps convaincu, il n'a raté que le match à Crémone, de plus il était averti et nerveux pour ce qu'il avait vu à la fin de la première mi-temps." Avez-vous demandé des explications à l'arbitre ? "Non, c'était tellement clair que ça ne semblait pas nécessaire de demander. Les esprits étaient chauds, cela n'a pas été discuté. Je demande le respect, deux choses très graves se sont produites en l'espace de deux mois et demi." Des doutes sur le bras de Rabiot ? "Inutile de mentionner, j'ai vu avec 20 images différentes." Marelli pense que le bras de Rabiot est là, même s'il n'est pas sûr. "J'écoute ce qu'il dit, mais ce but encaissé est inacceptable. On peut encaisser des buts pour des erreurs mais je ne peux pas accepter cela. C'est difficile pour moi de parler du match, ce qui s'est passé est trop grave." Allegri dit qu'il faut être des gentlemen et respecter les décisions des arbitres... "Je ne commente pas ce que disent les autres, mais les faits. J'ai vu les photos, à l'époque de la VAR encaisser un but comme celui-ci est inacceptable." La pause arrive au bon moment ? "Absolument oui pour récupérer les joueurs, on a des petits soucis avec Dimarco. Barella grince des dents depuis deux mois car il vit avec un problème. On attend Gosens, Bastoni et Skriniar avec beaucoup d'optimisme pour la reprise." Que fera-t-il pour éviter la négativité ? "Il ne faut pas se laisser entraîner dans la négativité comme cela s'est produit à Bologne. Je suis venu commenter le match de ce soir par respect pour vous, mais il m'est difficile d'en parler. Un but inacceptable, l'équipe méritait un autre résultat. Ce résultat nous ralentit, ce sera un tête-à-tête pour la Ligue des champions jusqu'au bout." Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. Xavi toujours empoisonné, comme possédé par une obsession : il n'y a pas d'arbitre qui le satisfasse!! Hier soir, c'était contre l'United. Hier soir encore, et comme toujours on pourrait dire, après le match nul 2-2 contre Manchester United, Xavi s'est encore plaint de l'arbitrage. Il est (encore) revenu sur l'épisode au Meazza face à nous. "J'ai dit à l'arbitre que c'était penalty. C'était très clair. C'est un penalty aussi gros qu'une cathédrale. Ce n'était pas dans une situation naturelle, l'arbitre m'a dit que oui, mais il est très clair pour moi que ce n'est pas le cas. Je ne sais pas quoi faire pour avoir un penalty pour une mais, nous l'avons déjà subi contre l'Inter. Ils (les officiels, ndlr) disent qu'ils l'ont vérifié, cela me semble incroyable." Faute de Varane ? Pas clair ! Voici les actions litigieuses: Minute 10: Lewandowski a réclamé une faute de Varane dans la surface. Le Polonais a demandé un penalty. Pour l'arbitre, il ne s'est rien passé. Minute 36 : Wan-Bissaka roule sur Jordi Alba. Barcelone réclame à nouveau un penalty mais l'arbitre décide de ne pas siffler. Minute 63 : Rashford est bousculé en bordure de la surface par Koundé. Était-ce une sanction ? Était-il hors de la zone? Pour l'arbitre, rien. Minute 85 : Penalty de Fred ? Tout Barcelone a revendiqué la main du Brésilien dans la zone de l'United. La VAR n'est pas apparue. Notons, au passage que, Maurizio Mariani était chargé de diriger le huitième de finale de la Ligue Europa entre Barcelone et Manchester United. Main de Dumfries ? Pas clair ! On voit un petit homme s'agitant. Xavi n'a pas compris une chose, on appelle cela la justice divine Traduction alex_j via FCInterNews et goal.com
  5. Au début, c'était le but d'Acerbi annulé de manière inexplicable par Sacchi, cela aurait fait 3-1 pour les Nerazzurri à Monza à quelques minutes de la fin. Ensuite le match s'est terminé comme nous le savons tous. C'était le premier épisode qui a pénalisé l'Inter dans ce cauchemar de 2023, cauchemar pour la relation entre les Nerazzurri et les "arbitres". Lundi soir, dernier morceau d'une mosaïque alarmante, à savoir le penalty non accordé à Darmian sur cause d'une faute de Murillo. Mais allons-y dans l'ordre, musique. Fabbri, pendant Inter-Vérone, fait tout. Il n'a pas expulsé Hien qui avait déjà été averti, il a invalidé le doublé régulier de Lautaro et n'a pas accordé un penalty net malgré la main de Hien sur un tir de Mkhitaryan. L'équipe d'Inzaghi gagne 1-0 et le penalty passe à la trappe. Après, c'est Maresca dans le derby en Supercoppa, Barella arrêté net en face à face avec le gardien, ensuite c'est Rapuano contre Empoli, Skriniar expulsé en première mi-temps, après on arrive contre Crémone. A nouveau, un penalty non accordé par Mariani après un contact entre Chiriches et Dzeko, pas de scandale car l'Inter gagne finalement. Râler n'aurait pas été mal! Un autre tour, un autre penalty non sifflé. En fait deux. Il reste le derby, cette fois en championnat, et Massa arrive pour arbitrer, soit disant. Cage dans la surface pousse Dzeko avec deux mains, on joue. On continue. En seconde période, Kalulu frappe Lautaro au milieu de la surface, pas de sifflet ici aussi. Et nous arrivons à Gênes. A moins de 5 minutes de jeu, Darmian entre dans la surface et est renversé par Murillo. Il ne semble pas y avoir de doute ici car le Colombien laisse la jambe tendue et l'Interista est clairement gêné. Même ici, cependant, Maresca ne bronche pas. On a vu des pénalties sifflés pour beaucoup moins que ça. La tendance est claire : que la faute soit claire, acceptable ou douteuse, le coup de sifflet ne vient jamais. Une statistique pour le moins singulière en ce début d'année 2023. Pas de complot mais il y a une difficulté évidente à siffler quand le penalty est en faveur d'un joueur portant le maillot des Nerazzurri. Au fait, que fait la direction ? Traduction alex_j via FCInterNews.
  6. Simone Inzaghi s'est exprimé concernant le but injustement refusé de Big Rom lors du dernier derby milanais. Ses propos ont été rapportés par DAZN au format BordoCam, les voici "Est-ce que c'est pour nous, ceux qui sifflent avant la fin de l' action ?" En effet, l'imposant attaquant belge aux manières expéditive avait protégé son ballon et avec l'expérience avait maintienu Thiaw à distance: Et il s'agit-là d'un duel classique entre attaquants et défenseurs que nous retrouvons tous les week-ends." "Toutefois, le coup de sifflet de Massa intervient avant que le ballon tiré par Lukaku ne rentre dans le but, avec un Big Rom à terre. Et ce coup de sifflet a rendu toute utilisation de la Var impossible puisque la phase jeu a changé de facto." "Même Federico Dimarco est resté sans voix: "Mais pourquoi il siffle avant ?" " "Un scénario similaire à celui de Monza, lorsque l'arbitre Sacchi a sifflé une faute inexistante avant la tête victorieuse d'Acerbi." Traduction alex_j via FCInterNews.
  7. Alors que la Coupe du Monde commence le Dimanche 20 Novembre 2022, FCInterNews par l'intermédiaire d'Alessandro Cavasinni pousse un coup de gueule concernant le traitement médiatique de l'Inter, tout en soulignant que la direction interiste a sa part de responsabilité. Heureusement que maintenant nous entrons en hibernation et nous ne revoyons, du moins en ce qui concerne le terrain, qu'au début de Janvier 2023. Parce que franchement, nous commencions déjà à en avoir assez de ce cirque médiatique habituel toujours sur le pied de guerre pied quand il s'agit de l'Inter et puis soudainement en paix quand, d'un autre côté, il y aurait d'autres équipes à taper dessus. Le dernier exemple en date c'est le fameux match de Sozza lors de Milan-Fiorentina (celui de l'Inter-Roma) pas du tout correctement assisté par Fabbri à la VAR. On sortait d'une journée de championnat en milieu de semaine où un entraîneur, Thiago Motta pour ne pas le nommé, avait focalisé l'après-match d'un match perdu 6-1 sur un épisode douteux qui a découlé sur le 2-1. Un éclat recueilli et relancé bien au-delà du bon goût au regard du déroulement du match au Meazza. Et ce qui s'est passé après Fiorentina-Inter est encore clairement gravé dans les mémoires, avec un tas de polémiques disproportionnées et d'épisodes d'arbitrage passés au crible pendant des jours et des jours, comme s'ls n'avaient que ça à faire. Au-delà du fond, la forme impressionne et interroge. Hier et aujourd'hui, après le Milan-Fiorentina 2-1, rien de cela! Ceux qui s'indignaient du coup de Dzeko ou du presque rouge de Dimarco, ont cette fois décidé de faire un minute de silence, sans déclencher aucune discussion sur l'arbitrage et sans craindre on ne sait quels complots. C'est aussi la faute à l'Inter qui continue de sous-estimer l'impact de la communication en l'an de grâce 2022, enfin presque 2023. La perception conditionne et n'est absolument pas naïve du tout. Elle se répercute chez les protagonistes et chez les supporters, elle crée des spirales émotionnelles capables de modifier même les événements sur le terrain. Une défense saine serait souhaitable, bien sûr, mais il manque évidemment quelque chose de ce point de vue dans les salles de Viale della Liberazione. Pourtant ils l'appelaient "Ligue Marotta". Traduction alex_j via FCInterNews.
  8. C'est officiel, Szymon Marciniak arbitrera le match Barça - Inter au Camp Nou. Ce sera au Polonais Szymon Marciniak à qui incombera la tâche ardue de diriger le délicat match entre Barcelone et l'Inter. Ce match est programmé au Camp Nou Mercredi soir et fait suite à huit jours ininterrompus d'interminables polémiques concernant l'arbitrage dans le monde Blaugrana de Jean la Porte (Joan Laporta, ndlr, mais je n'ai pas pu m'en empêcher). Marciniak sera assisté dans ses fonctions par Paweł Sokolnicki et Tomasz Listkiewicz en tant qu'arbitres assistants, tous deux polonais également. Pendant ce temps, le rôle de quatrième arbitre sera rempli par Tomasz Musiał pour compléter une équipe entièrement polonaise sur le terrain. Dans la cabine de la VAR, Marek Kwiatkowski supervisera le match pour s'assurer que toutes les erreurs claires et évidentes sont corrigées, tandis qu'il sera assisté dans ses fonctions par l'Anglais Stuart Atwell. Question: vous le sentez ce petit verre de Vodka avec Robert Lewandoski en cas de victoire? Traduction alex_j via Sempreinter.
  9. S'adressant au diffuseur italien Canale 5, Graziano Cesari, ancien arbitre de Serie A, a défendu la décision de l'arbitre Slavko Vincic et du VAR pour ne pas accorder un pénalty. L'Inter aura retenu son souffle pendant que la VAR examinait une situation où Dumfries avait clairement toucher le ballon avec son bras. Au final, aucun penalty n'a été donné mais cela a fait l'objet de vives protestations de la part de tous les joueurs et du staff barcelonais. Pendant ce temps, Hakan Calhanoglu a reçu un carton jaune pour un tacle glissé sur Busquets mais le tacle était suffisamment en retard et dangereux et il n'aurait été pas injuste qu'il soit expulsé. "Je donnerais à l'arbitre une note de 5,5/10. Trop d'interventions ont été nécessaires par la VAR pour des choses qui ne sont généralement pas vues." "Le bras gauche d'Ansu Fati interrompt et modifie la trajectoire du ballon sur le but de Barcelone. La main mène au but est c'est normal que le 1-1 soit refusé." "A la 69e minute, Hakan Calhanoglu risque un carton rouge. Pour moi c'était un carton rouge car sa jambe est haute et risque de blesser Busquets." "Il n'a pas de certitude que Dumfries touche le ballon. Sans certitude, un penalty ne devrait pas être donné." De son côté, l'UEFA confirme l'arbitre Pol Van Boekel pour la VAR lors du match Roma - Betis. Alors que Barcelone prépare une plainte officielle auprès de l'UEFA pour la gestion de la VAR, depuis Nyon ils semblent avoir les idées claires sur la considération envers Pol van Boekel. Au point que, 48 heures après le match, Van Boekel reprendra immédiatement son travail devant les moniteurs, une nouvelle fois dans un match entre un Italien et un Espagnol : il sera en fait l'employé de la VAR qui assistera le Matej Jug lors du match de Ligue Europa entre Roma et Betis Seville. Traduction alex_j via Sempreinter et FCInterNews.
  10. On ne s'en lasse pas, les rageux catalans fulminent contre l'arbitrage. Xavi a fait un geste suggérant que l'Inter avait acheté le match. Biasin lui a rappelé une chose importante. Le penalty non sifflé suite à la supposée main de Dumfries à la 92 a fait exploser Xavi après le match : "Pour moi, c'est un fait très clair ! Des arbitrages comme aujourd'hui enlèvent l'envie de voir du football !". Rappelons qu'il a été averti pendant le match et il a été protagoniste d'un geste visant à imiter un pot-de-vin. Ce geste est sans équivoque suggérant que l'Inter a payé les arbitres. Mais cela est très, très difficile. Xavi a oublié une chose très importante et Fabrizio Biaisin le lui a rappelée. "Maintenant, après avoir dit que dans moins d'une semaine les Nerazzurri seront accueillis par une ambiance infernale au Camp Nou, après avoir dit que Xavi peut légitimement s'énerver, force est de lui faire remarquer un fait. Il est convaincu que l'Inter a a payé l'arbitre, mais nous en sommes certains depuis un certain temps, cher Xavi, comprenons nous bien, il n'y a pas un sou ici !" Le Barça, équipe reconstruite par Joan Laporta en hypothéquant les actifs du club avec l'obligation économique avant sportive de gagner immédiatement, se retrouve fragile. La semaine prochaine, avec l'Inter au Camp Nou puis le déplacement au Bernabeu, il comprendra de quoi il est fait. La prochaine fois Xavi, tais toi quand tu parles! Traduction alex_j via FCInterNews, FCInter1908 et Sempreinter.
  11. La défaite controversée de l'Inter face à la Juventus en 2018 a été regardée avec horreur par feu Diego Maradona, a révélé son fils, Diego Jr, sur Canale 8. Maradona était loin d'être impressionné par le mauvais arbitrage de Daniele Orsato qui n'a pas expulsé Miralem Pjanic après un tacle sévère sur Rafinha. De plus, il n'était pas du tout surpris de voir les Bianconeri obtenir une décision favorable dans un match décisif pour le titre. "J'ai vu ce match avec papa à Dubaï. La Juventus était surclassée, mais quand Pjanic est resté après son tacle sur Rafinha, il s'est tourné vers moi et m'a dit: 'Tu verras, maintenant ils vont trouver un moyen de les laisser gagner.' Et ce fut ainsi. Je ne pouvais pas y croire, Diego a vu des choses avant nous. Nous sommes des humains et il venait d'un autre monde." S'il est vrai que Diego Maradona venait d'une autre planète, nous pouvons également dire qu'il avait l'habitude de ce genre de décisions.
  12. C’est une information en provenance de Tuttosport, Gianluca Rocchi se déplacera à la Pinetina à la suite des dernières sorties entre Giuseppe Marotta et Nicola Rizzoli En effet, l’Inter est actuellement victime de plusieurs situation en sa défaveur Ce mardi, en Ligue des Champions, Mendy avait commis une faute sur Hakimi sur l’occasion qui a amené à l’ouverture du score. Là encore, pas d’appel à la Var, ni même d’intervention directe de Clément Turpin.....Mais cette situation n’est pas un cas isolé A Gênes, où arbitrait Davide Massa, le contact Bani-Lukaku n’a pas amené à un penalty, malgré tout l’Inter s’était imposée A Kiev, le placage que n’aurait pas renié le Tournoi des six nations a vu Bondar commettre une faute non sanctionnée sur Romelu Lukaku. Face au Shakhtar, une faute a donc été ignorée par l’arbitre bulgare Georgi Kabakov Dernièrement, face à Parme au Meazza, Balogh a visé l’Homme et non le ballon en la personne d’Ivan Perisic… Piccinini n’a pas sifflé faute et n’a pas consulté la Var. S’il est clairement évident qu’avoir un penalty n’est pas synonyme de but, car il faut tout de même le convertir, cela n’empêche pas qu’il aurait s'agi d’une occasion franche qui pourrait renverser complètement la physionomie d’une rencontre "Gianluca Rocchi, consultant en relation institutionnel de la Can, se rendra à la Pinetina après le 23 novembre pour analyser les erreurs d’arbitrage en Italie. Il s’y présentera lorsque tous seront rentré à Appiano, joueurs internationaux y compris." La citation du jour En regard à la rencontre entre l'Inter et Parme: "J'ai vu la rencontre de l'Inter, il y avait un penalty net pour l'Inter. Il n'y avait pas besoin de la Var, c'était un penalty net mais personne n'a rien dit et la Var n'est pas intervenue...Ensuite, elle intervient pour rien au milieu du terrain. Il faut se mettre d'accord car on ne comprend pas à quoi elle sert" - Sinisa Mihajlovic Pensez-vous que la Classe Arbitrale sera plus attentive lors des prochains matchs de l'Inter ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  13. Dans son édition matinale, Il Corriere Dello Sport a confirmé la délicate désignation arbitrale de la rencontre entre la Lazio et l'Inter, véritable Finale de Série A. Ce ne sera pas Daniele Orsato, parti au Qatar, mais Gianluca Rocchi, le seul arbitre italien de terrain qui représentera l'Italie en Coupe du Monde. "Dans un championnat qui a aboli les matchs de barrage, le calendrier a pensé lui-même, à en placer un par le biais de cette Finale : Lazio-Inter. Un match qui vaut pour la Champion’s League. Pour un match d’une telle ampleur, la Fédération a décidé d'envoyer le seul arbitre de terrain qui ira au Mondial 2018. "Gianluca Rocchi, de Florence, est pour la Fédération la meilleure désignation possible, étant donné qu’il représentera l’Italie en Russie. Rocchi aurait dû arbitrer Roma-Juve à la place de Tagliavento, mais vue l’importance de la rencontre, les rôles ont été inversés." Rocchi 2 : Le Retour En effet, lors du match aller, Rocchi était déjà l’arbitre de la rencontre. L’Inter et la Lazio avait partagé l’enjeu, 0-0 et il avait réalisé une prestation convaincante, en utilisant, de la bonne façon la VAR pour corriger une décision arbitrale. En effet, sans la VAR et la demande de Rocchi, la Lazio aurait obtenu un penalty pour une faute de main de Milan Skriniar dans la surface de réparation. Sur base des images vidéo, Rocchi avait pris la décision de ne pas accorder de penalty à la Lazio, car la faute n'était pas volontaire et que le ballon avait touché en premier le pied de l'interiste. Passons aux stats: Rocchi a arbitré quatre fois la Lazio : à deux reprises, il a arbitré la Lazio face au Milan, dont la demi-finale de la Coupe d’Italie avec la victoire des Cugini. Rocchi a aussi arbitré le Derby de Rome perdu par la Lazio 2-1. Et également Lazio-Udinese (3-0). Concernant l’Inter, outre le match face à la Lazio, il a également arbitré les Nerazzurri lors de la 30ème journée de Série A, avec une victoire Nerazzurra (3-0) sur Vérone. Rocchi devra cependant faire sans l’un de ses juges de ligne habituel En effet, à part Di Liberatore qui l’accompagnera en Russie, le second juge de ligne devrait être Di Fiore, voire Manganelli. Tonolini, le juge de ligne habituel de Rocchi ne pourra pas être à l’Olimpico, pour la simple est bonne raison qu’il provient de Milan. Au niveau de la VAR, l’arbitre désigné est Irrati, l’un des trois spécialistes envoyés par l’Italie en Russie. Un match de barrage pour la Champion’s League, avant de débuter la Coupe du Monde, What’Else ! ®Antony Gilles - Internazionale.fr Sur le même sujet :
  14. Lors du Derby d’Italie, qui s'est tenu ce samedi 28 avril, il était déjà écrit qu'Orsato et la Juve allaient avoir la peau d’une Inter héroïque. L’Inter a joué un bon match, sans doute le plus beau et le plus rude de sa saison, mais elle a perdu. Pourquoi ? Car, elle a joué presque toute la partie en 10 contre 11 et qu’elle était menée au score lors de cette expulsion. Nous pouvons tous nous rassembler, se faire « moquer », mais la vérité est qu’il n’y a aucun commentaire à réaliser sur une partie qui n’as pas eu lieu, c’était un non-match, avec un vainqueur désigné à l’avance, sauf que le Courage de nos Nerazzurri a bien failli bouleverser certains plans. Ce samedi, la mise en scène réalisée dans la Scala du Calcio, pourrait être comparé à un mélange de Retour vers le futur et de Ghostbuster, à savoir voire resurgir "les fantômes du passé", Ce match est, à présent, une référence qui fait resurgir une toute histoire autre sportive de la Juventus, une histoire d’un arbitre qui prends plusieurs décisions controversées et qui sont toutes en faveur de l’équipe Turinoise. Comme quoi, 20 ans après l’épisode Ronaldo-Iuliano, rien n’a changé…. Gagner sans gloire et rêver du Triplé À la fin, les " vainqueurs" sur papier, ceux qui empochent les trois points sont les Bianconeri gagnent, ceux qui se plaignent et qui restent une victime non-consentantes, restent les Nerazzurri. Et la presse s’en donne à cœur joie, avec un tel match, aucune chance de perdre les 10 millions de clients/lecteurs potentiels qui choisissent de ne pas rester trop écarté du sujet. Revenons sur le match Suite à une indécision de la défense Nerazzurra, Douglas Costa ouvre "méritoirement" le score pour la Juventus. Trois minutes plus tard, le spectacle peut commencer Un duel d’homme a lieu, Daniele Orsato averti Vecino pour une faute qui mérite un carton « Orange », en effet, même si Mandzukic s’en sort avec dix points de sutures, Vecino ne part pas délibérément pour blesser le joueur. D’ailleurs, le premier réflexe de l’arbitre est d’avertir Vecino. Mais le mal et fait et "un joueur Juventine" est blessé, et ce dernier reste étrangement et anormalement longtemps sur le terrain... Quoi de mieux, pour passer le temps que d’utiliser la Var ? Problème la Var peut être consultée en cas de discussion sur un penalty, des buts inscrits sur hors-jeu (comme ce fut le cas pour Icardi lors du Derby Della Madonnina) ou inscrit sur base d’une irrégularité, voire l’expulsion directe d’un joueur (Dans le cas où l’arbitre expulse le mauvais joueur, il peut visionner les images pour corriger le tir), mais en aucun cas, la Var ne peut être employée pour revisionner une faute similaire à celle de Vecino. Dans un tel cas, la Var aurait dû être employé à l’encontre de Barzagli et de Pjanic, plus tard dans le match, il n’en a rien été. Après visionnage, Orsato estime que l'intervention est passible d'expulsion. C'est donc un rouge prétentieux qui tue le match dès le quart d’heure. L’erreur principale d’Orsato a été de ne pas sortir un rouge direct. À partir du moment où il sort le jaune, il se devait de conserver ce jugement. Conséquence sur le match, une pluie de carton est annoncée sur le Meazza, les deux équipes s’affrontent avec nervosité et Orsato décide de compliquer la vie à la Bande à Icardi qui ne sait plus saquer depuis plusieurs matchs à enjeux. La Juve aurait dû finir à 9, l’Inter aussi, mais dans les arrêts de jeu de la seconde mi-temps... Pjanic avait été averti en première mi-temps. Auteur d’une première faute passible d’un jaune sur un Nerazzurri, ce dernier se voit immunisé. En seconde mi-temps, le fantôme Ronaldo-Iuliano est de retour et Pjanic utilise son collier d’immunité : Sous les yeux d’Orsato, Pjanic se permet de foncer sur Rafinha avec ses genoux et le coude, le Nerazzurri fini au sol. Cette faute, et la presse est unanime méritait amplement un second avertissement. Allez demander au Torino ce qu’ils pensent de ce type de faute, eux qui ont été victime, dans le sens d’inverse, de l’expulsion de l’un des leurs, pour une faute similaire, contre la Juventus, à savoir une faute de Baselli sur Pjanic, dans un match arbitré par Orsato… Plus que des paroles, l’image parle d’elle-même… De même Barzagli a également était l’auteur d’une faute de niveau "Orange" sur Mauro Icardi en première période. Le niveau de dangerosité était similaire à celui de Vecino, si l’interiste a été exclu, le juventine aurait dû l’être également, car il s’en prend au pied d’appui et Icardi aurait pu quitter le terrain réellement blessé. Mais il est interdit de s’en prendre à un Bianconero déjà averti, surtout que si Pjanic avait été expulsé, l’Inter aurait affronté une Juventus, à arme égale, réduite à dix également, mais surtout l’Inter avait créé l’exploit de revenir non seulement au score, mais de prendre l’avantage à la marque, à ce moment-là, l’impact psychologique aurait été énorme. Mais l’arbitrage en Italie est ce qu’il est : Pjanic a descendu Rafinha et le deuxième jaune pour le bosniaque semblait inévitable, pourtant, c’est bel et bien D’Ambrosio qui reçoit un avertissement pour protestation, avec en conséquence, une suspension pour le prochain match de championnat. Dans un match faussé, Notre Inter, dont on dit qu’elle a le mental fragile a fait preuve de courage, à l’image de son Capitaine, qui a prouvé à tous, qu’il a notre maillot dans le sang. Elle a disputé une rencontre avec courage, avec de la qualité et ce match aurait pût rentrer dans la légende Nerazzurra. Tout vol en éclat L’Inter est épuisée sur le terrain en cette fin de rencontre et la Juve joue l’attaque totale. Luciano Spalletti prend alors deux décisions qui vont lui coûter le match, mais il fallait procéder à des remplacements, jouer à 10 contre 11 face à une équipe qui joue l’attaque totale est très dur à encaissé pour une équipe qui n’a eu de cesse de se donner. Luciano assumera également son erreur de jugement en conférence de presse son erreur, allant même à dire qu’il est prêt à en assumer les conséquences. Quelles erreurs ? Les remplacements : Rafinha sort pour Valero. L’idée était bonne : Renforcer le milieu de terrain avec un joueur défensif plutôt qu’offensif. Ensuite, l’erreur à ne surtout pas commettre : Remplacer Mauro Icardi et aligner Davide Santon. Ce changement consistait à la base à blinder notre défense et à contenir les assauts finaux de la Vieille Dame en jouant en 5-2-2 (ou 5-4-0 c’est selon) avec le duo Candreva-Perisic en "pointe". Notre Inter a donc été retouchée au milieu de terrain, améliorée sur l'aile droite et déforcée en attaque, la conséquence est simple, le bloc de la Juve, avec le départ d’Icardi et de Rafinha a pu monter d’un cran et cela se sera avéré payant. La charge virile de Skriniar, en toute fin de rencontre, aurait pu et aurait du, vu l’impartialité d’Orsato être sanctionné d’un carton rouge directe. En effet, sans cette charge, l’argentin partait seul au but défier un fantomatique Handanovic. Cependant, cet épaule contre épaule est également une preuve de la force mentale de l’Inter. Tu peux nous provoquer, nous n’hésitons pas à te rentrer dedans, nous ne nous laisserons jamais abattre. Skriniar a continué à jouer, Higuain, lui se tenait son épaule…pauvre chou… Spalletti a merdé c’est un fait, mais Spalletti est la pierre angulaire, à partir de laquelle le club doit se reconstruire avec patience. Il est clairement impossible de croire que l’on peut remporter un Scudetto, voir disputer les premiers rôles de Serie A, en une saison, et en ne faisant pas preuve de stabilité et en révolutionnant à tout va. Ce football, cette Serie A, ne tourne pas rond et répond à une logique de Patronage qui ne crée que des fans vulgaires, des personnes qui ont perdu cette étincelle pour le Calcio. Preuve en est la vague d’insultes dont a une nouvelle fois été victime Davide Santon, « coupable » idéal sur les deux buts inscrit par la Juve en fin de match. Seuls les fans bien éduqués peuvent se rendre compte que ce résultat est le fruit d’un match hypocrite. La Juventus aurait pu concéder la plus cuisante de ses défaites lors d’un Derby d’Italie, et au lieu de la jouer correcte, elle est partie dans la provocation, avec Higuain qui a titillé le Meazza en imitant la célébration de Mauro Icardi, honteux ! Ce genre de match vous fait perdre l'amour de ce sport et augmente certaines vérités dont le Calcio n’a pas vraiment besoin. Une vérité qui se reflète sur les terrains Européens : Comment une équipe qui remporte six titres de suite, dans un Championnat aussi tactique et complexe, n’est pas capable de remporter la Ligue des Champions ? La réponse est toute simple : En Europe, la Juventus n’est pas protégée, et lorsque tu disputes une rencontre à armes égales devient également très compliqué. Jindong Zhang furieux Dans un pays, la Chine où le Respect et les Règles prédominent, voir l’Inter se faire "voler" de la sorte, n’a pas plus au numéro Un du Suning : Benvenuto à l’Inter Signore Zhang ! Est-ce que cette rencontre changera sa vision des choses sur notre club et la Serie A en particulier, rien n’en est moins sûr… Ce qui est sûr par contre, c’est que les relations entre la Direction Interiste et Juventine sont à nouveau détériorées, comme à l’époque où le club était présidé par Massimo Moratti L’Inter a des raison d’être furieuse contre Daniele Orsato, un arbitre peut apprécié pour son passé récent. Orsato est, actuellement, celui qui a réduit quasiment à néant les rêves de qualification en Champion’s League, de l’équipe à Spalletti. Mais il a également permis à l’Ac Milan de se sauver « ses fesses » lors du Derby retour de la saison passée. Il est également celui qui a permis l’exclusion pour plusieurs match d’Icardi, lors du précédent Derby d’Italie en étant pourtant pas l’arbitre principal de la rencontre… Comme le révèle le Corriere della Sera, le Club Nerazzurro n’entend pas rester une victime consentante, ce que l’on aurait pu croire après la déclaration "diplomatique" de Steven Zhang. L’Inter veut faire entendre sa voix auprès du Procureur Fédérale Giuseppe Pecoraro, à la FIGC. Jindong Zhang a également l’intention de dénoncer cette situation auprès de l’AIA et d’autres autorités plus importantes dans le domaine du football, mais il semblerait qu’Orsato soit dans les bons papiers de Pierluigi Collina. L’ancien arbitre respecté de tous, qui occupe à présent une place importante à l’UEFA dans le cadre, justement de l’arbitrage. De son côté, la Juve ne se cache plus d’adopter un comportement inadéquat, sur le terrain avec un Higuain qui, au culot, imite la célébration de buts d’Icardi, De plus, un échange, filmé devant la presse entre Allegri et « Taglia », le quatrième arbitre pose question. De même, Allegri a préféré miser sur le basket en interview d’après-match, lorsqu’il s’est retrouvé dans les cordes, face aux critiques d’un Ex-Nerazzurro : Daniele Adani. Traduction raccourcie de la vidéo : « C’était du bon travail » (Allegri) « Promis » Tagliavento. Ces deux déclarations « raccourcie » peuvent être sujette à plusieurs interprétations. Rizzoli doit intervenir On apprend également que Nicola Rizzoli a pris l’option de laisser une journée de championnat de repos à Daniele Orsato ou de l’envoyer s’occuper de la Var lors de la prochaine journée de Serie A. L’Inter a voulu réagir tête froide Ce dimanche, la Direction Interiste s’était donnée rendez-vous à Milan, après avoir revisionné le match, Luciano Spalletti, Piero Ausilio et Giovanni Gardini n’ont pu contenir leur calme. Une colère qui se fait également ressentir au niveau du Suning, car Jindong Zhang a très mal vécu la rencontre, A un point tel qu’un communiqué du club a été réalisé. Pour autant, l’Inter peut conserver 10% d’espoir de se qualifier pour la Champion’s, il faut espérer que la Lazio ne réalise pas un six sur six lors de ces deux prochains matchs. L’Inter, elle, devra réaliser un neuf sur neuf pour avoir l’espoir de jouer sa « Finale », un match où le vainqueur sera qualifié pour la Champion’s League. Pour se faire, l’Inter devra espérer un faux-pas de la Lazio, dont le match le plus dur sera face à l’Atalanta. La blessure de Ciro Immobile, qui est incertain également face à l’Inter, pourrait avoir une incidence sur cette incroyable fin de saison L’Inter et Le Napoli, même combat ? Maurizio Sarri, l’entraîneur du Napoli s’est également livré sur la rencontre à Sky Sport : "Le Napoli est l’équipe qui est revenu le plus souvent au score en Serie A, nous ne sommes donc pas une équipe de débiles. Il existe des arguments qui peuvent confirmer certaines théories. Vous connaissez le fond de ma pensée. Quoiqu’il en soit, aujourd’hui, le Napoli, a fait un très mauvais match. Mais certaines situations peuvent avoir d’importantes répercussions." Orsato ? Comment peut-on récupérer cette passion pour la Serie A ? "Je veux penser uniquement qu’au terrain. C’est qu’clair qu’en Angleterre, voir chaque année un champion différent te permet d’avoir plus d’affections pour les équipes de Premier League, il faut y réfléchir. Ici, la situation est très différente et le risque est de perdre des milliers de passionnés, car ils savent qu’ils n’auront aucune chance de titres et que des dés sont pipés à l’avance. Cette situation appauvri le système au final et cela appauvri également les « Riches » et se répercute également sur l’équipe nationale." Solidarité Nerazzurra Brozovic s’est fendu d’un message sur Instagram : pour lui, peu importe ce qu’il s’est passé lors du match, c’est bel et bien l’Inter qui en est ressortie victorieuse en disputant la rencontre, durant plus de 70 minutes en infériorité numérique, suite à une expulsion qui fait débat. Rafinha, qui est l’ultime joueur à être arrivé à l’Inter est tombé amoureux de l’Inter. La flèche de Cupidon porte la marque des Tifosi qui font preuve d’affection pour le joueur. Le brésilien souhaite continuer son aventure à Milan car il a compris ce sens d’appartenance unique qui n’appartient qu’à l’Inter et au groupe Nerazzurro : "À la suite d'un des derbys les plus électriques d'Italie, le footballeur brésilien a ressenti un amour très important envers sa personne. Et le Brésilien a tenu à renvoyer l’ascenseur aux Tifosi sur les réseaux sociaux : "En si peu de temps, je ressens un sentiment que je ne peux pas expliquer. Je suis Fier de faire partie de cette équipe, plus unis que jamais, je n’arrêterai jamais d’y croire." La déclaration de Rafinha a des implications qui vont au-delà d'une relation de plus en plus proche avec les Tifosi de l'Inter. Il représente une énième phrase qui démontre son attachement à l’Inter et sa volonté de rester à Milan, également au terme de la saison. Cette situation n'est pas du tout évidente compte tenu de la somme plutôt élevée exigée par le Fc Barcelone lors du transfert en Italie en janvier, néanmoins, l’Inter tentera de satisfaire Rafinha et, ce après le 20 mai. Le club commencera à traiter avec les Catalans pour étudier les formules possibles pour conserver le Brésilien à Milan. Ausilio l'a placé parmi les objectifs prioritaires de la prochaine saison et s'entretiendra avec Barcelone pour les convaincre de répondre aux besoins de l'Inter et de ceux de Rafinha qui se sent de plus en plus partie de la famille Nerazzurri. En fin de match, le Capitaine Mauro Icardi a fondu en larmes. Après avoir vu la victoire de l’équipe d’Allegri, cette image est très similaire à celle de Ronaldo le 5 mai 2002, période où l'attaquant n'a pas pu se retenir sa tristesse de voir un objectif fixé lui échapper, une similitude qui n’échappera à personne, puisqu’il s’agissait également de la dernière journée de championnat et que le match se tenait au Stadio Olimpico…Espérons juste, que cette fois-ci l’histoire finale sera différente : Ronaldo, Champion du Monde, allait signer au Real durant le Mercato estival qui avait suivi… Icardi, suite à ce match, s'est avéré être un vrai interiste, Il Capitano, un surnom qui, ces dernières années, pouvait seulement être attribué à Javier Zanetti.. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’il a repris le brassard de Capitaine de notre Vice-Président, de notre Parrain, de Pupi. Le groupe a brillé samedi, même dans le drame. Icardi est resté seul sur le terrain avec Ivan Perisic pour recevoir une standing ovation des Tifosi. Icardi n’a pas eu honte de pleurer devant quatre-vingt mille personnes et des millions de fans qui suivaient son désir à la télévision. Paulo Dybala est allé le serrer dans ses bras et l’a soutenu également au retour au vestiaire…. C’est dans ce genre de moment qu’un joueur peut révéler sa vrai nature et Icardi a prouvé son amour pour l’Inter. Il l’a d’ailleurs toujours déclaré en public : "Porter le brassard du capitaine et jouer en Ligue des Champions avec Inter est le désir que j'ai toujours eu. » Rester Zen immédiatement en après-match La Direction Interiste a également pris la décision d’envoyer Steven Zhang, le Numéro deux du Club. Soyons réaliste, Erick Thohir n’en a plus rien à faire de l’Inter. Luciano Spalletti a été également envoyé pour les interviews. Il s’agit là d’une décision prise avec une grande lucidité, afin de pouvoir protéger les êtres humains que sont nos joueurs. En effet, le but était de protéger nos joueurs d’une déclaration à la Buffon lors du match de Madrid, car des sanctions similaires à celles de 1998 étaient à prévoir en cas de faux-pas…. L’Inter a fait le choix de laisser parler la presse et de faire gérer sa tension par Luciano Spalletti, notre entraîneur a d’ailleurs su se montrer adroit vis-à-vis des chroniqueurs de la Rai. Ces trois points de perdu laisse la Juventus s’envoler vers un septième Scudetti depuis une partie surréelle et remplie d’émotions : Des émotions qui traversent tout le peuple Nerazzurro mais qui confirme l’évidence : Il était écrit que l’Inter ne pouvait pas gagner ce match et ne devait surtout pas être capable d’arracher un point à la Juventus. Une vieille Dame qui voit un bien aigri Gianluigi Buffon, faire le show sur les réseaux sociaux. Joao Cancelo, de son côté a également brillé sur les réseaux sociaux : Enrico Varriale, chroniqueur sportif italien a également tenu à s’exprimer sur le Derby et sur le sort du Napoli : "Ce soir, j’ai vraiment tout vu et tout entendu. Du sang, de la discrimination lors de la faute Barzagli sur Icardi, qui aurait dû valoir un second avertissement au joueur turinois, et donc une expulsion. Pourquoi personne ne s’exprime sur le fait que Pjanic pas été exclu pour un double avertissement ? Pjanic, à plusieurs reprises aurait dû être expulsé. C’est normal que le Napoli a fini par céder, il était confronté à quelque chose que l’on ne sait pas combattre." NB : Le Napoli a d’ailleurs, pour une toute autre raison, disputé l’intégralité de son match face à la Fiorentina à 10 contre 11. Mourinho avait raison… En 2010, alors que l’Inter venait d’être sacrée Championne d’Europe, Josè Mourinho s’était entretenu une dernière fois avec Massimo Moratti. Lors de cette entrevue, le lusitanien avait déclaré "Ils vont vous faire payer pour ce que nous venons de réaliser". Réponse de Moratti : "Je sais". Huit ans plus tard, nous en avons la confirmation. Pour clôturer ce spectacle à la Scala, la Curva Nord pourrait être vidée de ses supporters pour deux rencontres. En effet, le Procureur Fédéral a accepté le fait de se pencher sur les épisodes découlant des échanges entre Matuidi et les Ultras de l’Inter. L’Inter était déjà « avertie » suite à un comportement similaire de ses Tifosi, au terme du match Inter-Napoli. L’Inter ne sera jamais la Juve, preuve en est, lorsque l’Inter dispute une Finale Européenne, elle, elle la gagne ! Piu Che Mai, Fiero d’Essere Interista ! Tableau Récapitulatif Résumé du match Réactions de Tramontana Inter 2-3 Rubentus Buteur(s) : 15’ D.Costa (J), 52’ Icardi (I) ,65’ aut Barzagli (J), 87’ Aut Skriniar (I), 89' Higuian(J) Inter (4-2-3-1): Handanovic; Cancelo, Skriniar, Miranda, D'Ambrosio (94’ Karamoh ) ; Brozovic, Vecino; Candreva, Rafinha ( 80’ Borja Valero), Perisic; Icardi (85’ Santon) Sur le banc : Padelli, Berni, Lisandro Lopez, Ranocchia, Dalbert, Eder, Pinamonti Entraineur : Luciano Spalletti Rubentus(4-3-3): Buffon; Cuadrado, Rugani, Barzagli, Alex Sandro; Khedira( 61’ Dybala), Pjanic( 80’Bentancur), Matuidi; Douglas Costa, Higuain, Mandzukic(65’ Bernardeschi). Sur le banc: Szczesny, Pinsoglio, Lichtsteiner, Benatia, Howedes, Asamoah, Marchisio Entraineur: Massimiliano Allegri Arbitre: Orsato di Schi(f)o Averti(s): 5’ Cuadrado (J), 15’Vecino (I), 21’ Pjanic (J), 45’Barzagli (J), 52’ Mandzukic (J), 57’ D’Ambrosio, 77’ Alex Sandro (J) Espulsé(s): 18’ Vecino (I) ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Daniele Orsato, l’arbitre qui a conditionné le Derby d’Italie opposant l’Inter à la Juve, traverse actuellement des journées difficiles… En effet, à Recoaro, son lieu de résidence, l’arbitre vie actuellement sous tension. Comme le déclare le Corriere di Verona : “Les Orsato di Recoaro sont nombreux, géographiquement bien dissimulés et pratiquement introuvables, mais des milices de la haine, sont parvenu à retrouver sa trace. Le nom milice est important, car ce type de personne ne peut être associé au nom de Tifoso d’un quelconque club, que ce soit, l’Inter, le Napoli, ou autre. Dans ce lieu de résidence, on trouve une route qui se termine, une église, une boulangerie et une aire pour enfant où deux têtes blondes ont dû rentrer chez eux précipitamment, lorsque leur mère a réalisé qu’il y avait la présence de journalistes, qui n’avaient aucune idée de l’identité de ces derniers." Cette dernière, anxieuse, a déclaré : "Je suis l’épouse de Daniele Orsato et Non, je ne fais pas de déclarations. Je ne dirais rien" Avez-vous peur ? "Ne voyez-vous pas à quel point nous en sommes arrivés". Cette déclaration est réalisée en même temps qu’un geste rapide de ses mains, preuve qu’il y a bien une source d’angoisse, malgré le fait qu’il s’agisse d’un environnement paisible. Ici, apparemment, il n’y a rien à craindre, nous sommes dans les montagnes, il y a des prairies verdoyantes triomphantes, aucun véhicule. C’est la raison pour laquelle nous nous sommes installés ici, si vous vous parlez à mon mari, je vous prie de patienter, ici, mais de rester dehors. L’arrivée d’Orsato Daniele Orsato vient soudainement de derrière, comme tout droit sorti de l’un de ces ravins que l’on peut croiser sur la route, il porte une vareuse bleue au couleur de l’Italie et pousse ses enfants à l’intérieur de son domicile. "Je suis bouleversé et je ne veux pas qu’ils s’en rendent compte." Si je suis inquiet ? "Téléphonez à la Fédération si vous avez des questions à me poser, je n’ai rien à déclarer. Orsato reprend la même gestuelle que son épouse pour montrer l’environnement : Vous ne voyez pas où nous vivons ?" Par téléphone, le Coordonnateur Rizzoli, ne souhaite pas s’exprimer d’avantage sur le sujet, mais il confirme également les craintes de ce qui est évident :"Il suffit de regarder comment vit Orsato." Remarque : il n’y a aucune personne ici, sinon des amis de la Famille Orsato, qui se sente menacé par ce nuage de haine qui perce l’idylle d’un village qui voit sa sérénité en prendre un coup. Néanmoins Des policiers ont été mis en place et assurent un service discret mais attentif de vigilance, de patrouille, parfois, ils vont même à faire le tour de la région. Le football n’est qu’un sport, certes, le Derby d’Italie fait couler beaucoup d’encres et en fera encore couler, mais en aucun cas un match de football ne peut faire couler une quelconque goutte de sang. Le comportement de ces énergumènes ne peut être tolérable et toléré, ces derniers sont plus à étiqueté d’hooliganisme. Mais face à ce genre d’énergumènes, hélas Daniele Orsato, a donné, un motif, un bâton pour se faire battre, à savoir un arbitrage controversé dans le match « maudit » de la Serie A. Pour arbitrer un Derby d’Italie, il faut en avoir et savoir se faire respecter, voir être déjà respecté. Ce n’est peut-être pas pour rien qu’à une époque, les arbitres désignés étaient du niveau de Pierluigi Collina…. Le Corriere della Sera, qui confirme le quotidien de Vérone, Orsato s’est réfugié en Famille et cherche à rester à son domicile. "Pourtant Orsato reste un arbitre de qualité en Italie, il sait au fond de lui qu’il s’est loupé, samedi soir en n’expulsant pas Pjanic. La confirmation est d’ailleurs arrivée de la Direction de l’AIA, l’association italienne des arbitres." Pour cette dernière, il est conseillé de laisser Orsato au repos pour la prochaine journée, ou de l’envoyer à la Var. Il semble par contre extrêmement compliqué qu’il soit désigné comme arbitre principal pour les affiches Roma-Juve de la 37ème journée de Série A et également de la dernière rencontre Lazio-Inter. Orsato aura très certainement besoin de repos, lui qui sera de la partie au Mondial en Russie : La FIFA a diffusé la liste des arbitres retenus exclusivement pour gérer la Var, qui fera ses grands débuts en Coupe du Monde. Parmi les 13 arbitres désigné, on y retrouve : Massimiliano Irrati, Daniele Orsato et Paolo Valeri. Le seul arbitre de terrain italien, mais qui pourrait être également désigné à se retrouver à la Var, se nomme Gianluca Rocchi, il sera assisté des juges de ligne : Elenito Di Liberatore et Mauro Tonolini. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Il y a tellement de déception et d'amertume qui ont découlé du Derby d’Italie. De la déception pour le résultat, mais également de la colère en regard à la direction du match réalisé par Orsato. Alessandro Antonello, le Président-Directeur Général de l’Inter, s’est livré à Inter Tv Deux jours après le match contre la Juventus, avez-vous dissipé votre colère, suite aux événements qui ont eu lieu au Meazza ? "Absolument pas, l'entraîneur avait demandé à l'équipe d'être très féroce sur le terrain et c'était le cas. Des choses inacceptables sont arrivées et nous sommes très en colère. Le club mérite le respect, tout comme nos Tifosi." Le risque est peut-être d'avoir un contre-coup, alors qu’il ne reste plus que trois matchs à disputer avant le terme de la saison…Comme Steven Zhang l'a déclaré après le match, il est essentiel de gagner les prochains pour essayer d’atteindre la Ligue des Champions…. "Il n'y aura absolument pas de baisse de tension, les gars ont montré sur le terrain ce qu'ils peuvent faire. Ce sont de grands professionnels, nous attendons une réaction rapide. Le but reste inchangé et nous le démontrerons dimanche prochain contre l'Udinese " Hier, Vous étiez, avec toute la Direction, à Appiano Gentile. Qu’elle a été l’importance de cette journée vis-à-vis de l’équipe, qui doit recharger ses batteries en vue de la prochaine rencontre, qui peut s’avérer cruciale pour cette saison ? "Je tiens à souligner que moi-même et toute la direction avons toujours été proches de l'équipe, tout au long de la saison. Même si certains veulent faire passer un message différent, mais je peux vous garantir que nous sommes tous unis et concentrés afin que nous puissions atteindre l'objectif saisonnier, qu’'est la Champions League ". Quel message voulez-vous envoyer à l'entraîneur, à l'équipe et aux Tifosi ? "Nous avons perdu une bataille, mais ce n’est pas de notre faute. Mais nous voulons gagner notre guerre sportive, pour nous et pour nos Tifosi". L'équipe, à 10 contre 11 était supérieure à la Juventus au niveau du jeu. Est-ce une bonne satisfaction ? "Nous sommes fiers de la performance de nos garçons, qui ont mis de la passion et de l'âme sur le terrain, même en infériorité numérique. Notre public était alors exceptionnel, il nous a soutenus du début à la fin ". Avez-vous vu la vidéo d'Allegri et Tagliavento qui circule sur le web et qui exaspère les Tiifosi ? Pjanic a même déclaré que l’arbitre avait faire usage de compensation, dans la distribution de ses cartons jaunes. Tout cela ne semble-t-il pas exagéré ? "Ce qui s'est passé a été visionné en Mondovision, il a été vu par 80 000 personnes au stade, dans 170 pays connectés, et devant plus de 700 millions de personnes. Ce n'était sûrement pas une belle publicité pour le football Italien, en fait, c’est peut-être une risée européenne. En passant en revue tous les épisodes, il est clair que certaines choses étaient complètement contre l’Inter, qu’avez-vous à dire à ce sujet ? "Nous avons décidé de nous exprimer seulement aujourd'hui pour éviter de faire des commentaires chauds, en étant influencés par les émotions du moment. Nous avons passé en revue tous les épisodes et nous ne pouvons pas expliquer, pourquoi au cours d'une même partie, deux poids et deux mesures ont été utilisés. Dans le monde du football, beaucoup de choses changent mais il semble que certaines d'entre elles restent inchangées. Cependant, nous sommes fiers de notre Histoire." ® Antony Gilles – Internazionale.fr
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