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Benjamin Pavard s’est livré à une longue interview à DAZN : Champion du Monde 2018, celui-ci s’est livré sur son arrivée dans la Botte et le Volcanique Giuseppe Meazza Serie A "C’est un championnat que je suis depuis très longtemps, j’ai énormément d’amis qui jouent en Italie. Pour moi c’est un football qui est fort tactiquement, j’ai énormément à apprendre ici et je suis impatient de faire partie de ce grand club : L’Inter. Je joue au football pour gagner des titres, c’est ma raison de jouer et c’est ce qui me plait : A la fin de ma carrière, je serai fier de regarder dans ma vitrine tous les titres remportés : J’espère qu’il y en aura encore tellement car je suis une personne qui a faim de victoire. J’aimerais gagner de très nombreux titres avec l’Inter aussi et, en fin de saison, célébrer le Scudetto et mettre cette seconde étoile sur le maillot." Son arrivée en Italie "J’étais en Allemagne depuis sept années, le moment était arrivé pour un nouveau défi et l’Inter s’est présentée. C’est un grand Club Historique , une grande Histoire écrite par des Légendes comme Javier Zanetti qui travaille encoure aujourd’hui pour le club et envers qui j’ai le plus grand respect. Pour moi, il s’agissait d’une question de choix et de nouveau défi et l’Inter s’est présentée avec les mêmes ambitions : celle de gagner le plus de titre possible. J’espère pouvoir célébrer, en fin de saison, le plus de victoires possible, en compagnie de nos merveilleux Tifosi." Poste de prédilection "Ma position préférée est celle de central dans la défense à trois, c’est là que je me sens le plus à mon avantage." Le fait d’avoir été Latéral droit ? "Vous savez tous que je peux occuper cette position, mais ce n’est pas celle qui m’avantage le plus. Je suis à l’Inter pour m’exprimer au poste que je préfère et où je peux apporter ma contribution, mon expérience." Coupe du Monde 2018 "Lorsque tu vis ce type d’émotions, comme celle de remporter un Mondial, ce qui est le plus beau et le plus important des titres dans l’absolu, tu veux toujours en profiter avec tes supporters." Mon but face à l’Argentine ? "C’est un moment magique, unique pour moi, pour l’équipe et pour toute la France, c’est un instant qui restera gravé dans la mémoire des français et la mienne car c’était un très grand but dans un match important. D’un autre côté, et je ne m’en cache pas, je me dois de continuer à regarder de l’avant, je préfère penser au présent et à l’avenir, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis." Un jour vous avez déclaré : Je n’ai pas le talent de Messi, mais je suis fort mentalement : L’aspect mental est fondamental pour un joueur "Oui, absolument, pour un joueur de haut niveau c’est comme ça : Je ne suis pas un génie du football comme Messi, mais je suis un garçon qui a toujours bossé. Personne ne m’a jamais rien donné, tout ce que j’ai, je l’ai gagné par mon travail. Je n’ai jamais abdiqué, même lorsque je traversais des périodes difficiles. Je tiens ça de mon père qui a une grande force mentale et qui me la transmise." "Pour moi c’était important de l’avoir aussi bien dans les bons moments que dans les plus compliqués, c’est la Clé pour réussir une grande carrière dans le football." Un match à annuler "C’est difficile à dire. Je dirais la défaite face à Manchester City lors de la dernière Ligue des Champions." Le plus beau Stade "Celui de l’Inter : Le Giuseppe Meazza." Idole d’enfance "Sergio Ramos, j’aime son style de jeu et sa Grinta, c’est un exemple pour moi." Les sacrifices "Ce n’est pas un sacrifice, mais c’est un privilège d’être un joueur de haut niveau d’apporter de la joie aux supporters qui viennent dans le Stade. C’est vrai qu’il arrive que je rate des anniversaires, Noël, le Nouvel-An en Famille ou avec les amis. C’est compliqué, mais je n’ai pas à me plaindre car je fais le plus beau métier du monde." L’attaquant le plus dur à marquer "Je dois y penser… Je dirais Eden Hazard." Plat préféré "Les frites du Nord et de la Belgique." Quel équipier écoute la pire des musiques ? "Marcus Thuram, il écoute de tout, mais ce n’est pas Top. Ce que j’écoute n’est pas mal : Les années 80, 90, le Reggaeton." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Javier Zanetti est revenu sur sa carrière dans un podcast en compagnie de Giacomo Poretti "Je continue à m’entrainer, je joue avec mes enfants, cela fait partie de moi, je le fais car je me sens bien. Les temps ont tellement changé comparé à notre enfance, je jouais en Argentine sur un terrain de terre battue avec la boule au ventre avec de la peur à l’intérieur, c’est comme ça que j’apprenais à joueur. "Parfois, je parle à mon fils qui joue sur des terrains parfaits et qui se plaint même lorsqu'il pleut. Nous devons nous adapter à ce que nous vivons aujourd'hui. Quand j'étais enfant, j'encourageais l’Independiente en Argentine et je m’imaginer à commenter ce que je voyais pendant le match, c'est un moment que je n'oublierai jamais: J'étais tellement heureux avec peu de choses, les choses simples sont celles qui vous rendent le plus heureux, une époque fondamentale pour moi. Papa m'avait fait un terrain derrière la maison, ma mère vendait des bonbons, papa venait me voir, c'était la belle époque". Te surnommais-t ’on déjà El Tractor petit ? "J’ai toujours bien aimé courir derrière le ballon et cela n’a jamais changé, puis lorsque je suis arrivé en Italie, j’ai dû m’adapter." Ton idole d’enfance ? "C’était Bochini, le numéro 10 dell'Independiente, qui a ensuite remporté le Mondial avec Maradona : Il a fait une carrière similaire à la mienne avec l’Inter car il a joué toute sa vie à l’Independiente." Trop de parents en demandent tellement parfois à leur enfants.... "Parfois, je préfère m’éloigner pour ne pas entendre certaines choses : C’est le monde dans lequel nous vivons, il y a une misse sous pressions sur des jeunes enfants alors qu’à cet âge-là, il faut s’amuser, grandir avec les valeurs du sport : Si tu deviens professionnel, oui, là tu seras sous pressions, mais à un si jeune âge, il faut s’amuser, point." Y-a-t ’il des différences entre le football argentin et l’talien ? "Les premiers temps tout me semblait particulier car les Tifosi me félicitait car je gardais le ballon dans les pieds et mes équipiers enrageaient et m’insultaient car je ne leur donnais pas le ballon. Je me suis rendu compte que les deux football sont différents : Nous aimons aller de l’avant avec le ballon, avoir de l’espace et prendre le temps que l’Italie ne propose pas. En argentine, tu as plus d’espace, à l’Inter et en Italie, tu as beaucoup moins de temps pour y penser." Ton premier entraineur en Italie ? "Ottavio Bianchi, il m’a appelé et m’a mis face à une map d’un terrain de football en me demandant là où je préférais jouer, je lui ai dit à droite et il m’avait mis sur l’aile gauche là où évoluait Roberto Carlos." "La semaine suivante, c’était l’ouverture du championnat face à Vicenza, j’y ai ressenti cette émotion incroyable qu’est le Meazza et le destin à voulu que nous gagnions le match 1-0 et c’est là le début de mon Histoire avec l’Inter, la première de mes s 858 parties." Tu as eu tellement d’entraineurs, aussi parce que Moratti avait une de ces paires de couilles et qu’il changeait souvent d’entraineur... "Une année, j’en ai connu quatre, elle était difficile : Lorsque tu es dans une équipe comme l’Inter, tu es habitué à gagner : Moratti investissait tellement et il ne parvenait pas à gagner, ensuite le temps nous a permis de…" Te rappelles-tu tous les entraîneurs ? "Tout, vu tout ce qu’ils ont fait avec nous. Je me souviens de Simoni qui était pour nous un Père, il était parvenu à créer une Famille, ce qu’est pour moi l’Inter, il avait créé un groupe compact aussi via son Leadership qui était silencieux, il était très franc, il y avait une excellente ambiance. Hodgson? "J’ai eu un soucis avec lui, mais c’est moi qui m’étais planté. Lors de la première finale de Coupe UUEFA je n’avais pas compris mon remplacement : Bertin était monté et il ne restait qu’une minute de jeu avant d’aller aux tirs aux buts... Lors de ce remplacement, j'étais furieux de n'avoir rien capté mais nous nous sommes serrés dans les bras trois secondes plus tard et aujourd'hui, lorsque nous nous voyons, nous rions de cet épisode." "Et puis, bien sûr, Mourinho est , un très grand connaisseur, avec un grand charisme, un gagnant : J’étais en Argentine et il m’avait appelé pour me prévenir qu’il venait de signer avec l’Inter, il se présentait en me disant que je serai son capitaine et en s’excusant pour son italien qui pour moi était parfait : Il était en avance sur tous, d’une autre catégorie." Mon dernier entraineur ? "Mazzarri" Tu as l’intégrité morale et physique pour toi Javier : Avec un tel surnom, tu n’as connu qu’une seule blessure, mais elle était très sérieuse "Mère Nature m’a fait jouer jusqu’à mes 41 ans sans avoir connu la moindre blessure, sinon celle qui m’est tombé dessus à 39 ans, je m’étais rompu le tendon d’Achille et je m’étais immédiatement rendu compte que c’était quelque chose de grave." "Tous pensaient que ma carrière était finie, moi-même j’avais conscience de sa gravité, mais je pensais déjà à me faire opérer et à revenir. Je n’avais pas envie de partir de cette façon et je voulais offrir à mes Tifosi une nouvelle saison comme protagoniste et prendre ma retraite devant mes Tifosi : Le Sport est comme la Vie de tous les jours, tu dois surmonter les problèmes de la même façon : Je voulais revenir, et je suis revenu et je me suis offert encore une autre saison." Il y aussi l’aspect mental qui joue dans les blessures : Certains ne sont jamais parvenus à s’en sortir... "Si tu es fort mentalement, tu réussiras difficilement à te faire mal, si tu as la tête ailleurs, et c’est valable aussi dans la vie quotidienne, là ça peut influencer. Certains doivent travailler aussi sur le mental car il faut savoir être résistant, se relever si l’on tombe à terre. Les psychologues sont important dans les équipes d’aujourd’hui, ils sont les bienvenus, mais lorsque je jouais, ils n’étaient pas là : Ils sont utile pour ceux qui en ressente vraiment le besoin." Lorsque l’on parle de mental, on se doit de parler du Special One, On percevait que Mourinho était forcément spécial, je ne sais pas s’il a apporté quelque chose de nouveau au football, mais les joueurs de l’Inter semblaient transformés "Il nous a poussé à croire que nous pourrions gagner aussi au niveau européen, il nous a poussé bien au-delà de nos limites, il nous a fait croire que ce que nous faisions quotidiennement durant la semaine allait nous permettre d’atteindre de très grands résultat. Nous avions tous cette conviction, celle d’être sur la bonne voie, il a construit une équipe en deux ans et nous nous sentions imbattables. Pour que l’on s’incline, les autres se devaient de réaliser quelque chose d’extraordinaire, c’était un grand Maestro ? Lorsque je le vois en conférence, il propose une certaine façade car lorsqu’on le connait en réalité, il est très facile à vivre, compréhensif, il traite tout le monde sur le même pied d’égalité, il ne fait aucune différence, si tu jouais, c’est parce que tu le méritais : C’est un Leader né." Que peux-tu ressentir, même si tu ne l’as jamais fait, un joueur qui est sur le banc ? "Souvent, les personnes ne s’expriment pas sur ceux qui viennent du banc, mais ce sont eux qui te font gagner, eux qui te font bien t’entrainer, il faut avoir un très grand respect pour eux. J’allais vers le banc lorsque je marquais car pour moi ils étaient fondamentaux et ils pouvaient s’avérer eux aussi fondamentaux dans les périodes les plus importantes de la saison : Qui venait du banc te faisait gagner le match. A présent, il y a cinq remplacements, et tous sont bien mentalement lorsqu’ils montent car ils peuvent tout te faire gagner le match, peu importante la qualité individuelle." Des râleurs ? "L’équipe du Triplé par exemple était un groupe extrêmement fort : Tous se sentaient important. Nous avions un entraineur qui était parvenu à te transmettre que nous étions tous importants. Je dis toujours à l’équipe que le plus important reste le groupe, si chacun pense pour sa gueule, tu parviendras difficilement à l’emporter. Tu n’as jamais eu peur, Javier au cours de ta carrière, de ne jamais rien gagner ? "La peur fait partie du métier, mais si tu es serein envers toi-même, que tu fais tout pour que les autres aillent vers une certaine direction, tôt ou tard , le travail paye : Si tu te montres constant, résilient, tôt ou tard les résultats arrive, avec l’Inter j’ai connu mes dix premières années compliquées mais ensuite je suis parvenu à tout gagner les dix années suivante : La vie est comme, ce n’est pas uniquement que dans le monde du sport, la peur fait partie de la vie quotidienne. Comment vis-tu l’anxiété en cours de match : En 2010 par exemple, lors de Sienne-Inter, il y avait une pluie d’occasions mais rien ne rentrait jusqu’à dix minutes du terme, Il y avait même eu un milaniste qui avait tenté de te perturber sur ta passe magique vers Milito qui a marqué. J’étais parti à sa recherche et il n’était déjà plus là "Ce match là était bien plus difficile que la Finale de la Ligue des Champions car la tension était incroyable, surtout dans les dernières minutes. Nous avions marqué dans ce match et il restait encore quatre minute de jeu, ensuite Rosi, l’ailier romain a fait un centre qui, jusqu’au moment de sa sortie, a fait que j’ai regardé Maicon qui était devenu blanc (il rit tous) Julio César avait soupiré. Il y avait ce match là et la demi-finale retour à Barcelone, Je l’ai encore regardé, cela semblait être une éternité, un match qui ne se terminerait jamais : Au coup de sifflet final, la libération était totale. Ces trois journées magiques ont débutée avec la Coupe d’Italie: Ma femme était invitée à un concert de Dalla-De Gregori elle voulait y aller et je l'ai satisfaite, même si j'avais conscience que c’était la date de la finale, j'ai crié dans le bus du concert, quand nous avons marqué... "Ce sont des moments que nos épouses ne peuvent pas comprendre." Ensuite, il y a eu la Finale de Madrid, comment l’as-tu vécu ? "J’étais en chambrée avec Cordoba nous sommes tous les deux croyants et lui est dévoué à Sainte Rita. A minuit, nous sommes allés bruler un Cierge pour Sainte-Rita dans la Chambre et nous nous sommes endormis ensuite tous les deux : Heureusement que rien ne s’est enflammé car nous aurions pu être brûlé" "La Finale, avec comme premier impact le Bernabeu, était si belle, notre Curva était pleine, pleine de monde, Chacun d’entre nous avait face à lui des personnes qui pensait que nous ne pouvions pas ne pas leur offrir la Victoire, cette Victoire. Au moment où j’ai soulevé la Coupe, je n’étais plus moi-même et je n’étais as le seul, c’était un moment bien trop beau. Ensuite nous avons vu les images du Duomo à la télé, qui était comble, Milan plein d’Interiste, Seule l’Inter est comme ça, j’avais 37 ans et je disputais mon 700ème match avec l’Inter ce soir-là. L’arbitre laissait trois minutes de récupération et Julio Cesar prenant le ballon, j’étais déjà entrain de pleurer tandis que Samuel était encore contracté et Maicon faisait déjà la fête." Quel est l’impact de la Famille dans une telle carrière ? "L’harmonie à la maison est fondamentale car elle fait partie du métier. Moi et Paulo partageons toute une vie ensemble, elle avait 15 ans et moi 19, elle devait encore en terminer avec la scolarité lorsque nous sommes arrivé en Italie. Nous avons trois enfants, tous les trois sont nés à Milan : Sans Eux, sans Paula, je n’aurais jamais fait une telle carrière." Dévoué à Sainte Rita, à quel point la Foi compte dans ta vie ? "Je suis allé à Cascia, je vais souvent à l’Eglise et même à la Pinetina nous avons une Chapelle. Maicon ne venait pas, mais il nous regardait de la fenêtre. Pourtant les Brésiliens indiquent toujours le ciel avec leur doigts à chaque but (il rit) c’est quelque chose que je ne comprends toujours pas." Javier, je t’en prie, parle-moi de Taribo West "Un phénomène, trop divertissant, Durant 80 minutes, il pouvait être concentré pour faire ensuite ce que bon lui semblait lors des dix minutes restantes, un jour, il a pris le ballon et s’est barré. Taribo revenait ensuite et, faisait à sa mode, c’était trop marrante. Un jour, alors que Lippi parlait tactique, il lui a demandé de raccourcir. A un moment, le milieu de terrain passait à l’attaquant le ballon et Lippi lui avait dit aussi de faire court. Taribo avait refusé et avait répondu : "Dieu m’a dit que je ne devais pas faire court." et nous avons tout de même remporté la Coupe de l’Uefa avec Taribo. Lippi lui avait répondu : Mais Dieu ne m’a rien dit à moi." Le joueur le plus fort avec qui tu as joué ? "Ronaldo sans aucun doute." L’adversaire qui t’a mis le plus en difficulté ? "Un jour, Simoni m’avait demandé de marquer Zidane, c’était difficile durant toute la rencontre. Ensuite, je dirais Kakà du Milan." Et dans les Derby ? "Il y a eu des bagarres folles avec Gattuso et Nedved, mais toujours dans le plus grands des respects, il y aussi eu Maldini et c’était toujours dans les Derby. Lors de mon premier Derby, devant 80.000 personnes, je me souviens d’une faute qui valait un pénalty de Baresi sur moi, il m’avait relevé en sommant de me lever: C’était Baresi et c’était pénalty." Ces batards ne te l’avaient pas accordé "Selon moi, avec la Var, il m’aurait été accordé." Comment vis-tu ta popularité ? "Avec une totale normalité, j’ai un très grand respect pour les personnes et pour les Tifosi : Ils font de très grands sacrifices pour venir voir les entrainements, les matchs et qu’est-ce que ça change pour moi de m’arrêter un peu et de leur apporter du respect ? J’ai la chance d’être sur le terrain pendant 90 minutes, mais après le match, je lui l’un des leurs." Comment est la vie en Italie ? "Je suis amoureux de l’Italie, je me considère comme un Italien, mes trois enfants sont nés à Milan, j’ai pleuré lorsque l’Italie a été éjectée par la Suède de la Coupe du Monde au Meazza : L’Italie m’a ouvert ses portes alors que j’étais un inconnue, je lui dois tout, j’ai un très grand respect pour ce Pays et lorsque je vais à l’étranger, je me rends compte à quel point elle me manque. Mes grands-parents étaient originaires de la province de Pordenone." A quel point as-tu profité de la Victoire de l’Argentine en Coupe du Monde ? "J’étais parti tout le mois au Qatar en Famille et j’avais l’impression que toute l’Argentine était là, Dès mon arrivée, j'ai senti le désir des Tifosi de remporter la Coupe du monde, qui était attendue depuis tant d'années. Et voir Messi soulever le trophée. J'ai ensuite eu la chance d'entrer sur le terrain et de le remercier, au nom de tous les Argentins, pour la joie qu'il nous a donnée. Je retourne toujours là-bas à Noël, en short parce que c'est l'été. Et nous retournons en fin d’année scolaire. Maintenant, je travaille pour mes enfants comme Uber, je prends l'un et j'amène l'autre." Et ta Fondazione Pupi? "Elle est née en 2001 dans une période qui était difficile pour l’Argentine, je me sentais le devoir de faire quelque chose avec Paula pour notre pays, pour les personnes qui étaient en difficultés et nous avons trouvé cette façon de venir en aide à tant d’enfants afin qu’il puisse trouver la bonne voie. Nous avons aidé, jusqu’à présent, plus de milles enfants." Avec qui aurait-tu aimé jouer ? "Avec Maradona forcément, mais il avait arrêté aussi lorsque j’ai débuté ma carrière en équipe national. Pour tout ce qu’il représentait, j’aurais tant voulu jouer avec lui." Et qui aurais-tu voulu à l’Inter ? "Messi" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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La liste des candidats au Ballon d’Or 2023 a été dévoilée et celle-ci a mis en avant trois joueurs Nerazzurro de la saison 2022-2023 : Nicolò Barella et Lautaro Martinez, toujours présent cette saison, mais également André Onana qui a rejoint Manchester United. "Nous sommes fier de vous" Notre Club, très fier de cette reconnaissance s’est livré sur Twitter et sur son site officiel: "Le milieu de terrain italien et l’attaquant argentin ont été les protagonistes d’une très grande saison sous le maillot de l’Inter. Une saison au cours de laquelle l’équipe de Simone Inzaghi a disputé la Finale de la Ligue des Champions à Istanbul." "Une saison ou deux coupes ont été brandie : La Super Coupe d’Italie remportée à Riyadh 3-0 face au Milan et la Coupe d’Italie remportée à Rome contre la Fiorentina." "Lautaro a également atteint l’objectif extraordinaire d’être auréolé du titre de Champion du Monde avec l’Argentine lors du Mondial qatari. Nicolò, lui, a été primé comme Meilleur Milieu de terrain 2022/2023 par la Lega Serie A." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Javier a 50 ans : son interview à la Nacion
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Javier Zanetti fête ses 50 ans et accorde une longue interview au journal argentin La Nacion. Votre relation avec la langue chinoise. "C'est très difficile, c'est une culture complètement différente mais je peux dire quelques mots. La première fois que je suis allé en Chine, j'ai été surpris et à chaque fois que j'y retourne, je suis toujours excité. Les vols en provenance d'Europe arrivent très tôt, vers 5h30 du matin. Il y a 350 personnes qui m'attendent à l'aéroport, avec des photos, des drapeaux, des fleurs, et je ne joue plus, j'ai arrêté de jouer il y a presque 10 ans ! Et avec respect, sans cohue. Incroyable. Un jour, j'étais dans un hôtel et le téléphone dans ma chambre sonne. Ils me parlent en italien, ils me disent que je suis dans une pièce comme celle-ci et m'invite à entrer. Ça m'a semblé étrange, j'y suis allé, je suis entré... Ils avaient installé mon musée dans la pièce en question ! Il y avait des t-shirts, des affiches, des poupées, des drapeaux et ils voulaient faire des photos, des autographes… J'ai fini par leur demander les photos qu'ils avaient parce que je ne les avais jamais vues !" Une anecdote avec Mourinho ? "Il m'a appelé avant tout le monde quand il a choisi l'Inter. J'étais à Rome, également en escale pour Buenos Aires, et mon portable a sonné, c'était un appel d'un numéro portugais. J'ai répondu. 'Salut Javier, je suis José Mourinho. Je viens de signer avec l'Inter et je suis ton nouvel entraîneur, tu seras mon capitaine. J'ai hâte de commencer à travailler avec toi et je suis désolé pour mon italien.' Il parlait parfaitement l'italien et ne s'était pas encore envolé vers l'Italie. C'est là que j'ai réalisé à quel point il était préparé et impliqué, ça m'a frappé. 'C'est du sérieux', pensai-je alors." Vous avez trois restaurants à Milan : El Botinero, El Gaucho et El Patio del Gaucho. Est-il vrai que vous n'engagez que des Argentins ? "Ils sont tous argentins, tous sauf un infiltré brésilien que nous avons transformé en Argentin. Nous avons environ 25 salariés et j'aime l'idée de donner un coup de main aux Argentins qui cherchent du travail en Europe." Quand avez-vous eu une embrouille pour la dernière fois ? "J'étais très en colère à propos d'un fait impliquant la Juventus lorsque nous nous sommes qualifiés pour la dernière finale de la Coppa Italia il y a quelques mois. L'attitude des gens qui travaillent pour ce club m'a beaucoup agacé." Et la dernière fois que vous avez pleuré ? "Pour la joie au Qatar, après la finale. Tout le monde dans ma famille a pleuré en se serrant dans les bras." Vous êtes vice-président de l'Inter, adjoint de la commission des compétitions de la FIFA, du conseil de l'UEFA et représentant de la Conmebol à la FIFA. Existe-t-il une carrière d'entraîneur autre que l'Inter ? "Pour l'instant, les deux carrières, les fonctions multiples, peuvent aller en parallèle. Tant que les institutions me donnent de l'espace et m'écoutent pour que je puisse apporter le point de vue de l'ancien footballeur, je me sentirai très à l'aise. Je vois une réelle volonté de nous donner de l'espace. Quelque chose comme: 'Hé, écoutons ceux qui ont été footballeurs'. Sans avoir de nom de famille, attention, il faut toujours se préparer. Dans le management du football, comme dans une entreprise, vous il faut former des équipes. Et il faut avoir un leader, fixer des objectifs et des éléments qui assument leur rôle." Aimeriez-vous être président de l'Independiente, de l'AFA ou de la FIFA ? "De la FIFA, de la FIFA… J'aime plus le terrain international. La FIFA n'a jamais eu de président argentin, n'est-ce pas? Cela ne veut pas dire que je n'aimerais pas être président de l'AFA, ce serait aussi une bonne expérience mais J'ai déjà développé une vie très internationale. De la façon dont ma carrière a été et de toutes les relations que j'ai établies, la FIFA est un objectif et cela semblerait la poursuite la plus naturelle de mon profil." VAR oui ou VAR non ? "J'aime la technologie mais je pense qu'il y a quand même des choses à régler. Il faut ajouter de la transparence, je pense qu'il faut mieux l'expliquer aux fans. Et que les audios soient écoutés car cela clarifie les doutes. Sinon il y aura toujours polémique." Un chiffre : 1114. "Incroyable, incroyable... 1114 matches officiels. Si vous regardez le top 10 des classements, j'apparais, ufff, dans le top 10 avec le plus de matches dans l'histoire du football mondial. Je n'arrive pas à croire ! Qu'ai-je fait ? La culture du travail, la passion et le fait d'avoir traversé tant de défaites. Les défaites sont ce qui vous améliore et vous font grandir. Celles qui vous mettent à l'épreuve pour voir ce que vous voulez faire." Vous avez remporté 17 titres en tant que footballeur et un autre en tant qu'étudiant : vous avez étudié le management du sport à Bocconi à Milan. "Quand j'ai arrêté de jouer, j'ai tout de suite compris que je devais me préparer, m'entraîner, étudier. Avec l'humilité de comprendre qu'une étape était terminée et qu'une autre commençait... continuer à étudier parce que le monde change tous les jours. Je ne veux pas être identifié uniquement comme un leader dans le football, dans le domaine exclusivement sportif. Je veux être utile pour le marketing, la finance, les relations publiques. Le club grandit dans d'autres domaines aussi, pour que le football soit durable, il y a d'autres domaines qui doivent se développer même dans un club." Quel match rejoueriez-vous ? "Deux. Un pour en profiter à nouveau et un autre pour changer le destin. Je rejouerais en finale de la Ligue des champions, en 2010, pour revivre cette nuit magique au Bernabéu. Et je donnerais tout pour rejouer et gagner le match contre la Suède, celui qu'il nous a mis dehors de la Coupe du monde au Japon." Avez-vous essayé de faire venir Bielsa à l'Inter ? "J'ai parlé à Marcelo pour voir s'il y avait une possibilité mais nous n'étions pas encore tout à fait clairs sur le type d'entraîneur que nous voulions. Il voulait savoir si nous pouvions le présenter comme une option et à ce moment-là j'ai dit oui." Vous avez une statue au Meazza, le numéro 4 est retiré et une tribune Talleres de Escalada porte votre nom. Quelle est la chose la plus excitante ? "Le respect des gens partout dans le monde; partout où je vais, des portes s'ouvrent pour moi, je ressens cette admiration. Et c'est au-dessus de tout trophée, de tout. Même les fans de Milan ne m'ont pas insulté... Ça m'arrive maintenant, je viens à travers les supporters de Milan et de la Juventus et ils me disent : 'Capitaine ici, Capitaine là-bas, je suis fan de Milan mais j'aurais aimé que tu joues pour mon club...' Et regarde, ils sont courageux là-bas." Traduction alex_j la Nacion via FCInterNews- 4 commentaires
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Javier Zanetti n’est pas un joueur ordinaire, c’est un « Clubman », là où certains changent de clubs tous les 2 ou 3 ans; lui joue actuellement sa 11ème saison sous le maillot de l’Internazionale Milano. Javier est un joueur extrêmement précieux de par ses interventions minutieuses et ses longues chevauchées qui lui ont d’ailleurs values d’être surnommé « Il Tractore » par les supporters des Nerazzurri. « Il Capitano », son autre surnom, est et restera à jamais l’une des légendes de l’Internazionale Milano. Javier Aldemar Zanetti naquit le 10 août 1973 à Buenos Aires. Il passa une enfance relativement tranquille dans les docks du district sud de la capitale Argentine. Il commença dès son jeune âge à jouer au Football sur les terrains de son quartier tout en allant à l’école et en aidant son maçon de père. Il débuta sa carrière professionnelle de footballeur à l’âge de 19 ans à l’AC Talleres, club de division 2 Argentine. Il ne fit aucune apparition avec l’équipe première au cours de la saison 1992/93. Mais cette année n’est pas ratée pour autant, loin de là même puisqu’il rencontre Paula, une jeune photographe amatrice, qui deviendra, par après, sa femme et qui lui donnera plus tard une fille, Sol. Pendant l’été 1993, il fut transféré dans un club voisin, le CA Banfield. Ce club du Sud de Buenos Aires évolue en 1ère division Argentine. Il joua son premier match de championnat pour Banfield face à Frente a River (0-0) le 12 septembre. En très peu de temps, Il progressa d’une façon fulgurante et devint un titulaire indiscutable. Il fut l’une des révélations du championnat Argentin 93/94. Il disputa lors cette saison 37 matches et inscrivit également son premier but le 29 septembre 1993 face à l’équipe de Newell’s. Il honore alors le 16 novembre 1994, à 21 ans seulement, sa première sélection en équipe nationale Argentine face au Chili. Lors de sa deuxième saison à Banfield, il joua un peu moins de matchs (29) mais marqua quand même 3 buts. En deux saisons au CA Banfield, il a donc joué 66 matches et marqué 4 buts dans le championnat d’Argentine. A la fin de cette saison, il fut rappelé par la sélection Argentine pour venir disputer la Copa America 1995 dans laquelle il disputa 3 matches puis joua la coupe des confédérations en Arabie Saoudite et joua là aussi 3 matches. En fin de Saison, Javier Zanetti fut acheté par l’Inter Milan pour 2.900.000$. L’inter Milan réalise là l’un de ses meilleurs transferts. Allait alors commencer une véritable histoire d’amour entre Javier et l’Internazionale Milano. Il débute avec son nouveau club lors de la 1ère journée du Calcio le 27 août 1995 face à Vicenza. Il ne manquera au final que 2 matchs de Série A au cours de sa 1ère saison. Il inscrivit d’ailleurs son premier but face à l’équipe de Cremonese. Dés sa première saison à l’Internazionale Milano, Il se révèle donc être un achat judicieux et démontre toute l'étendue de son talent de par un jeu solide au milieu de terrain, position qu'il occupe également en équipe nationale. Javier « Pupi » Zanetti ne quittera dès lors plus son côté droit, d’abord flanc il sera ensuite placé sur le côté droit de la défense. Pendant plus d’une décennie, il sera un titulaire indiscutable à l’Inter Milan. Il sera même nommé capitaine 3 ans après son arrivée à Milan. Javier va alors devenir l’emblème de l’Inter de Milan, épatant tout le monde de par sa longévité et son courage. Adulé des supporters nerazzurri, il va connaître beaucoup de moments forts avec ce club : - Ainsi il gagne la Coupe UEFA en 1998 face à la SS Lazio. Les Nerazzurri remportent ce match 3-0 avec notamment un magnifique but du capitaine emblématique du club, Javier Zanetti. Cela reste à ce jour son meilleur souvenir sous le maillot Nerazzurri - Javier Zanetti dispute également avec l’Inter une finale de coupe UEFA perdue (97), deux demi-finales Européennes (01/03), deux victoires en Coppa Italia (2005/2006) et également les Supercoppe Italiane (2005 & 2006), une finale de Coppa Italia perdue (2000) et un titre de champion d'Italie obtenu au tribunal. Il termine aussi à deux reprises 2ème de Série A (98/02) et plusieurs autres places d’honneur en coupe ou en championnat. - Après une grande déception relative à sa non-sélection pour le mondial en Allemagne, Javier débute sa 11° saison sous les couleurs Nerazzurre. Celle-ci allait se révéler être enfin la bonne. Malgré la mort d'un de ses mentors, Giacinto Facchetti, Javier et l'Inter débute la saison en fanfare avec une victoire très importante en Supercoppa. L'Inter assez rapidement dehors au niveau Européen cartonne et explose tous les records en Italie. Les Nerazzurri emmenés par leur Capitano Zanetti remporte le scudetto avec 5 journées d'avance et bien d'autres records dans l'escarcelle. Javier, une nouvelle fois, occupa un poste primordial dans le dispositif gagnant de Roberto Mancini et retrouva également le chemin des files presque 4 ans après son dernier but. Quelques statistiques de Javier à l’Inter : - Javier vit passer 13 coachs différents sur le banc de l’Inter. - Javier a disputé plus de 540 matchs officiels avec l'Inter. - Javier n’a récolté aucun carton rouge en Série A pour près de 400 matchs disputés. Dans toute sa période Nerazzurra, il n'aura été exclu qu'à une seule reprise. C’est un des joueurs les plus fair-play au monde. Pendant toute sa période interista, le talent et les performances de Javier furent également reconnues à l’étranger, notamment en Argentine : Javier fut appelé à disputer les Jeux Olympiques d’Atlanta pendant l’été 1996. Il y dispute tous les matchs en poste de milieu droit mais malheureusement la sélection Albiceleste, de Daniel Passarella, est défaite en finale par le Nigeria (3-2). Javier remporte donc une médaille d’argent aux jeux olympiques. A la fin de la saison 97/98, déjà bien remplie, Notre Capitano va avoir la chance de disputer sa première coupe du monde avec l’argentine. Javier et son équipe arrivent en quart de finale où ils sont défaits par les Pays-Bas ce qui reste comme l’une des plus grosses déceptions de Javier. En huitième de finale, l’Argentine avait battu l’Angleterre au penalty grâce notamment à un BUT splendide d’« Il tractore » sur une passe de Veron. Javier disputera 4 Cope America (95/99/04/07) avec l’Argentine mais il ne la gagnera jamais échouant en finale en 2004 face au Brésil d’Adriano et en 2007 face au Bresil de Maicon. Javier est rappelé en 2002 pour jouer sa 2ème coupe du monde. Malheureusement l’équipe de Javier ne franchit pas le premier tour bien qu’il ait pourtant joué tous les matchs de son équipe. Javier dispute également sa deuxième coupe des confédérations lors de l’édition 2005 en Allemagne malheureusement pour lui, l’épopée Argentine se termine également par une défaite en finale face au Brésil. Mais Javier retiendra également autre chose dans cette coupe des confédérations : il dispute face au Mexique le 26/06/2005 son 100ème match pour le compte de la sélection Argentine. Il devient ainsi le deuxième joueur le plus capé des Albiceleste derrière Diego Simeone, ancien interiste, 106 sélections. Javier Zanetti fut oublié par Pekermann dans la liste des Argentins sélectionnés pour le Mondial. Malgré son évidnete déception, Javier déclara qu'il n'allait pas pour autant laisser tomber son équipe nationale et qu'il comptait bien revenir défendre les couleurs Biancoceleste. Javier fut rappelé par Alfio Basile dès après le mondial. Javier redevint titulaire pour disputer la Copa America 2007. L'argentine fut une nouvelle fois battue en finale apr le Bresil, une énième déception pour Javier. Javier a, au jour d'aujourd'hui, disputé 110 rencontres avec l'équipe d'Argentine. Il a également Inscrit 5 buts (Vs Slovaquie (95); Vs Bosnie-Herzegovine (98); Vs Angleterre (98); Vs Uruguay (04) et Vs Japon (03)) Javier a disputé plus de 540 matchs officiels sous le maillot Nerazzurro pour 18 buts. Il est d'hors-et-déjà parmis les joueurs à avoir porté le plus souvent le Maillot de l'Inter. Seul 4 joueurs ont fait mieux que lui, Il devrait atteindre le podium au cours de cette année 2007/08, Ne restant devant lui que deux des plus grandes légendes de l'Inter, Beppe Bergomi et Giacinto Facchetti. Javier est tout simplement une légende de l’Internazionale Milano . . . et également un homme de cœur puisque, avec sa femme, ils ont créé la Fondation PUPI qui vient en aide aux enfants défavorisés d’Argentine. Merci pour Tout Javier, Tu seras toujours dans mon cœur. Note: Il a également été nommé par Pelé dans la liste des 100joueurs de tous les temps, encore une reconnaissance pour lui. Fiche complète du joueur
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Notre légendaire Javier Zanetti a parlé de Lautaro Martinez et Facundo Colidio sur ESPN Argentina. Voici ses mots. A propos de Lautaro Martinez. "Aujourd'hui, Lauti est une référence importante pour nous. C'est très difficile pour lui de partir, il sera très probablement le nouveau capitaine. Pendant la coupe du monde au Qatar, je lui ai parlé et nous avons une excellente relation. Il est positif, comme les autres, ils ont mis de côté l'intérêt personnel car le but était de devenir champions du monde. Et il l'a montré. Contre les Pays-Bas, il devait tirer un penalty décisif. Je lui ai dit que c'était très important parce que c'est la vérité, c'était important. Et quand il est revenu, il était tout fou." "Quand nous avons acheté Lautaro, nous n'avons pas considéré le court terme; plutôt le moyen terme, quatre ou cinq ans. C'est arrivé étant si jeune. Au début tu t'enthousiasmes mais il arrive qu'il y ait des hauts et des bas. Et à un certain moment tu trouves un équilibre. C'est également vrai pour la carrière de Lautaro aussi. L'Inter recherche des joueurs avec beaucoup de personnalité et la générosité, surtout pendant les moments difficiles. Les footballeurs argentins, on les aime pour ça, parce que nous nous adaptons à tout type de circonstance." La situation de Facundo Colidio. "Colidio a montré un grand développement à l'Inter. Il a joué avec la Primavera puis a été prêté en Belgique. A Tigre, il avait plus l'impression qu'il pouvait devenir un joueur de haut niveau, et c'est ce qu'il a prouvé. C'est pourquoi certains clubs veulent le signer. Peut-être River Plate. Nous avions un accord avec Boca Juniors mais le joueur voulait attendre et réfléchir à ses options. Maintenant, nous sommes en pourparlers avec River Plate." Concernant le montant de transfert, on parle de 5 millions d'euros. Traduction alex_j via FCInterNews et SempreInter.
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Javier Zanetti n’est pas un joueur ordinaire, c’est un « Clubman », là où certains changent de clubs tous les 2 ou 3 ans; lui joue actuellement sa 11ème saison sous le maillot de l’Internazionale Milano. Javier est un joueur extrêmement précieux de par ses interventions minutieuses et ses longues chevauchées qui lui ont d’ailleurs values d’être surnommé « Il Tractore » par les supporters des Nerazzurri. « Il Capitano », son autre surnom, est et restera à jamais l’une des légendes de l’Internazionale Milano. Javier Aldemar Zanetti naquit le 10 août 1973 à Buenos Aires. Il passa une enfance relativement tranquille dans les docks du district sud de la capitale Argentine. Il commença dès son jeune âge à jouer au Football sur les terrains de son quartier tout en allant à l’école et en aidant son maçon de père. Il débuta sa carrière professionnelle de footballeur à l’âge de 19 ans à l’AC Talleres, club de division 2 Argentine. Il ne fit aucune apparition avec l’équipe première au cours de la saison 1992/93. Mais cette année n’est pas ratée pour autant, loin de là même puisqu’il rencontre Paula, une jeune photographe amatrice, qui deviendra, par après, sa femme et qui lui donnera plus tard une fille, Sol. Pendant l’été 1993, il fut transféré dans un club voisin, le CA Banfield. Ce club du Sud de Buenos Aires évolue en 1ère division Argentine. Il joua son premier match de championnat pour Banfield face à Frente a River (0-0) le 12 septembre. En très peu de temps, Il progressa d’une façon fulgurante et devint un titulaire indiscutable. Il fut l’une des révélations du championnat Argentin 93/94. Il disputa lors cette saison 37 matches et inscrivit également son premier but le 29 septembre 1993 face à l’équipe de Newell’s. Il honore alors le 16 novembre 1994, à 21 ans seulement, sa première sélection en équipe nationale Argentine face au Chili. Lors de sa deuxième saison à Banfield, il joua un peu moins de matchs (29) mais marqua quand même 3 buts. En deux saisons au CA Banfield, il a donc joué 66 matches et marqué 4 buts dans le championnat d’Argentine. A la fin de cette saison, il fut rappelé par la sélection Argentine pour venir disputer la Copa America 1995 dans laquelle il disputa 3 matches puis joua la coupe des confédérations en Arabie Saoudite et joua là aussi 3 matches. En fin de Saison, Javier Zanetti fut acheté par l’Inter Milan pour 2.900.000$. L’inter Milan réalise là l’un de ses meilleurs transferts. Allait alors commencer une véritable histoire d’amour entre Javier et l’Internazionale Milano. Il débute avec son nouveau club lors de la 1ère journée du Calcio le 27 août 1995 face à Vicenza. Il ne manquera au final que 2 matchs de Série A au cours de sa 1ère saison. Il inscrivit d’ailleurs son premier but face à l’équipe de Cremonese. Dés sa première saison à l’Internazionale Milano, Il se révèle donc être un achat judicieux et démontre toute l'étendue de son talent de par un jeu solide au milieu de terrain, position qu'il occupe également en équipe nationale. Javier « Pupi » Zanetti ne quittera dès lors plus son côté droit, d’abord flanc il sera ensuite placé sur le côté droit de la défense. Pendant plus d’une décennie, il sera un titulaire indiscutable à l’Inter Milan. Il sera même nommé capitaine 3 ans après son arrivée à Milan. Javier va alors devenir l’emblème de l’Inter de Milan, épatant tout le monde de par sa longévité et son courage. Adulé des supporters nerazzurri, il va connaître beaucoup de moments forts avec ce club : - Ainsi il gagne la Coupe UEFA en 1998 face à la SS Lazio. Les Nerazzurri remportent ce match 3-0 avec notamment un magnifique but du capitaine emblématique du club, Javier Zanetti. Cela reste à ce jour son meilleur souvenir sous le maillot Nerazzurri - Javier Zanetti dispute également avec l’Inter une finale de coupe UEFA perdue (97), deux demi-finales Européennes (01/03), deux victoires en Coppa Italia (2005/2006) et également les Supercoppe Italiane (2005 & 2006), une finale de Coppa Italia perdue (2000) et un titre de champion d'Italie obtenu au tribunal. Il termine aussi à deux reprises 2ème de Série A (98/02) et plusieurs autres places d’honneur en coupe ou en championnat. - Après une grande déception relative à sa non-sélection pour le mondial en Allemagne, Javier débute sa 11° saison sous les couleurs Nerazzurre. Celle-ci allait se révéler être enfin la bonne. Malgré la mort d'un de ses mentors, Giacinto Facchetti, Javier et l'Inter débute la saison en fanfare avec une victoire très importante en Supercoppa. L'Inter assez rapidement dehors au niveau Européen cartonne et explose tous les records en Italie. Les Nerazzurri emmenés par leur Capitano Zanetti remporte le scudetto avec 5 journées d'avance et bien d'autres records dans l'escarcelle. Javier, une nouvelle fois, occupa un poste primordial dans le dispositif gagnant de Roberto Mancini et retrouva également le chemin des files presque 4 ans après son dernier but. Quelques statistiques de Javier à l’Inter : - Javier vit passer 13 coachs différents sur le banc de l’Inter. - Javier a disputé plus de 540 matchs officiels avec l'Inter. - Javier n’a récolté aucun carton rouge en Série A pour près de 400 matchs disputés. Dans toute sa période Nerazzurra, il n'aura été exclu qu'à une seule reprise. C’est un des joueurs les plus fair-play au monde. Pendant toute sa période interista, le talent et les performances de Javier furent également reconnues à l’étranger, notamment en Argentine : Javier fut appelé à disputer les Jeux Olympiques d’Atlanta pendant l’été 1996. Il y dispute tous les matchs en poste de milieu droit mais malheureusement la sélection Albiceleste, de Daniel Passarella, est défaite en finale par le Nigeria (3-2). Javier remporte donc une médaille d’argent aux jeux olympiques. A la fin de la saison 97/98, déjà bien remplie, Notre Capitano va avoir la chance de disputer sa première coupe du monde avec l’argentine. Javier et son équipe arrivent en quart de finale où ils sont défaits par les Pays-Bas ce qui reste comme l’une des plus grosses déceptions de Javier. En huitième de finale, l’Argentine avait battu l’Angleterre au penalty grâce notamment à un BUT splendide d’« Il tractore » sur une passe de Veron. Javier disputera 4 Cope America (95/99/04/07) avec l’Argentine mais il ne la gagnera jamais échouant en finale en 2004 face au Brésil d’Adriano et en 2007 face au Bresil de Maicon. Javier est rappelé en 2002 pour jouer sa 2ème coupe du monde. Malheureusement l’équipe de Javier ne franchit pas le premier tour bien qu’il ait pourtant joué tous les matchs de son équipe. Javier dispute également sa deuxième coupe des confédérations lors de l’édition 2005 en Allemagne malheureusement pour lui, l’épopée Argentine se termine également par une défaite en finale face au Brésil. Mais Javier retiendra également autre chose dans cette coupe des confédérations : il dispute face au Mexique le 26/06/2005 son 100ème match pour le compte de la sélection Argentine. Il devient ainsi le deuxième joueur le plus capé des Albiceleste derrière Diego Simeone, ancien interiste, 106 sélections. Javier Zanetti fut oublié par Pekermann dans la liste des Argentins sélectionnés pour le Mondial. Malgré son évidnete déception, Javier déclara qu'il n'allait pas pour autant laisser tomber son équipe nationale et qu'il comptait bien revenir défendre les couleurs Biancoceleste. Javier fut rappelé par Alfio Basile dès après le mondial. Javier redevint titulaire pour disputer la Copa America 2007. L'argentine fut une nouvelle fois battue en finale apr le Bresil, une énième déception pour Javier. Javier a, au jour d'aujourd'hui, disputé 110 rencontres avec l'équipe d'Argentine. Il a également Inscrit 5 buts (Vs Slovaquie (95); Vs Bosnie-Herzegovine (98); Vs Angleterre (98); Vs Uruguay (04) et Vs Japon (03)) Javier a disputé plus de 540 matchs officiels sous le maillot Nerazzurro pour 18 buts. Il est d'hors-et-déjà parmis les joueurs à avoir porté le plus souvent le Maillot de l'Inter. Seul 4 joueurs ont fait mieux que lui, Il devrait atteindre le podium au cours de cette année 2007/08, Ne restant devant lui que deux des plus grandes légendes de l'Inter, Beppe Bergomi et Giacinto Facchetti. Javier est tout simplement une légende de l’Internazionale Milano . . . et également un homme de cœur puisque, avec sa femme, ils ont créé la Fondation PUPI qui vient en aide aux enfants défavorisés d’Argentine. Merci pour Tout Javier, Tu seras toujours dans mon cœur. Note: Il a également été nommé par Pelé dans la liste des 100joueurs de tous les temps, encore une reconnaissance pour lui.
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Szymon Marciniak arbitrera la Finale de la Ligue des Champions
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Communiqué officiel de l'AFP: L'arbitre polonais Szymon Marciniak, désigné pour la finale de la Ligue des Champions le 10 juin, a présenté ses excuses vendredi après une polémique sur sa participation à un congrès organisé par l'extrême droite dans son pays, remontée jusqu'à l'UEFA. "Après réflexion et une enquête plus approfondie, il s'est avéré que j'ai été gravement induit en erreur et que j'ignorais totalement la véritable nature et les affiliations de l'événement", écrit M. Marciniak dans une déclaration communiquée par l'UEFA. L'arbitre a exprimé ses "plus sincères excuses" pour avoir participé lundi à un congrès organisé à Katowice par Slawomir Mentzen, un leader d'extrême droite qui avait déclaré en 2019 ne pas vouloir "de Juifs, d'homosexuels, d'avortement, de taxes et d'Union européenne". "Je ne savais pas que (cet événement) était associé à un mouvement d'extrême droite polonais. Si je l'avais su, j'aurais catégoriquement décliné l'invitation. Les valeurs promues par ce mouvement sont totalement contraires à mes convictions personnelles et aux principes que je m'efforce de défendre dans ma vie", poursuit Szymon Marciniak. L'UEFA, alertée jeudi par l'association de lutte contre le racisme et l'antisémitisme Nigdy Wiecej ("Plus jamais") et qui avait déclaré prendre l'affaire "très au sérieux", a donc confirmé la désignation du Polonais pour arbitrer Manchester City-Inter Milan, le 10 juin à Istanbul. L'instance européenne "prend acte" des "profondes excuses et de la clarification" de Szymon Marciniak et affirme avoir contacté Nigdy Wiecej, qui "a demandé" le maintien de l'arbitre en estimant que son éviction "nuirait à la promotion de la lutte contre les discriminations". L'UEFA, elle même critiquée lors de l'Euro-2020 pour avoir refusé que la ville de Munich illumine son stade d'arc-en-ciel pour dénoncer les lois homophobes hongroises à l'occasion d'Allemagne-Hongrie, rappelle son propre engagement contre "la haine, la discrimination et l'intolérance". En Pologne, plusieurs voix s'étaient également élevées en faveur de Szymon Marciniak, qui avait arbitré en décembre la finale de la Coupe du Monde, remportée par l'Argentine. "C'est le meilleur arbitre au monde, respectant chaque personne et veillant à ce respect sur le terrain et dans la vie. On ne peut pas le juger sur la base d'un seul et injuste avis", a déclaré sur Twitter le Premier Ministre Mateusz Morawiecki. Vendredi matin, la Fédération polonaise de football (PZPN) avait déclaré "qu'après avoir parlé avec l'arbitre et examiné les preuves recueillies", elle rejetait "toutes les accusations" envers cet arbitre. "Il ressort (...) qu'il ne connaît pas Slawomir Mentzen et n'a jamais parlé avec lui", a avancé PZPN. ®AFP- 3 commentaires
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Javier Zanetti : City est une équipe à respecter, mais
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Javier Zanetti, Vice-Président de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré à Tyc Sport sur Lautaro Martinez, Lionel Messi et la Finale à venir face à Manchester City Lauti "Lautaro Martinez a une mentalité impressionnante, il inspire le respect sur et hors du terrain, il est heureux à l’Inter, je suis serein." Messi "Le Fair-Play-Financier complique les choses. A présent, l’Inter fait les choses bien: Elle porte en avant un projet économique et sportif en adéquation avec ce qu’elle peut dépenser et acquérir et qui ne le voudrait pas de Messi ? Mais nous ne sommes pas dans la capacité de l’embaucher, tout le monde le veut, mais peu savent le rémunérer et c’est juste que cela soit ainsi pour ce qu’il représente et ce qu’il faut : Nous parlons d’un Champion du Monde en titre et il ne peut pas faire partie de notre projet actuellement." Valentin Carboni "C’est un garçon très intelligent, il vient d’une famille de footballeurs et depuis qu’il nous a rejoint, il n’a jamais cessé de s’améliorer. Cette année il a d’ailleurs conservé une présence fixe en équipe première. C’est un joueur qui a la capacité de faire la différence à n’importe quel moment de la partie. Il pourra réaliser un très beau Mondial U-20 et il a un futur important face à lui, le fait qu’il puisse devenir protagoniste lors de ce Mondial l’aidera énormément pour le futur." Je l’ai laissé rejoindre l’Argentine car je crois qu’il a besoin de temps de jeu : C’est une Coupe du Monde et il y a aussi ce besoin de respecter la Seleccion : J’ai échangé avec Mascherano et cela s’est fait de cette façon : Nous en sommes fier, nous le voyons heureux, c’est aussi important pour la Nazionale et j’espère qu’il pourra aller jusqu’en Finale. Valentin fait partie de l’Inter et s’il ne parvient pas à se qualifier pour la Finale avec l’Argentine, même si j’espère qu’il y parviendra, il sera surement de retour avec nous, pour être à disposition pour la Finale de la Ligue des Champions." Le Real Madrid "Je suis serein pour Lautaro car il est fier et je ressens sa fierté lorsque je le vois avec nous : Je ne suis pas inquiet en sachant ce qu’il représente pour nous et comment il se sent à l’Inter : J’ n’ai également jamais eu écho d’une possibilité de voir le Real avoir envie de Lautaro. La chose qui compte est sa mentalité de gagnant, il est prêt à faire face et à surmonter chaque difficultés. Avant la Coupe du Monde, il avait du mal car il avait disputé toutes les rencontres. A son retour à Milan, il est revenu jouer avec humilité et grandeur." City "Tout le monde pense que City est l’équipe favorite, mais l’Inter a toutes les cartes en main pour y parvenir. City est une équipe à respecter, mais si nous sommes parvenus à accéder à la Finale, c’est par nos mérites et tout peut arriver dans une rencontre sec, nous chercherons à annihiler leur puissance." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
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Diego Simeone souhaite que l’Inter se qualifie
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Il "Cholo" Diego Simeone s’est livré à la Gazzetta Dello Sport à quelques heures de l’EuroDerby Della Madonnina et si il est l’actuel entraineur de l’Atletico Madrid, cela ne l’empêche pas de se livrer sur le Choc des Titans attendu par toute la Botte EuroDerby "A ce niveau, on ne peut pas dégager un favori, ce seront les tout petits détails qui vont compter, même si je me souhaite que l’Inter se qualifie." Vous êtes un Totem à l’Atletico et une Bandiera de l’Inter et de la Lazio : N’avez-vous jamais songé à venir en Italie pour entrainer ? "Oui, et je l’ai fait à Catane et j’y d’ailleurs beaucoup muri dans mon approche pour aborder une équipe, dans mes idées, je ne sais pas encore pour combien de temps je serais entraineur, j’ai 53 ans : Il me reste encore 5 autres années ? Ce qui est évident c’est que notre métier est stressant... Mais je pense qu’il suffit que de quelques jours de repos pour que j’ai à nouveau l’envie de retrouver le terrain, c’est comme une drogue pour nous." "J’ai déjà rencontré aussi des tifosi de l’Inter et de la Lazio qui me demandent de revenir...Qui sait…J’en serai ravi bien évidemment." Almeyda, Sensini, Simeone, Veron, et après le Scudetto Crespo et Lopez: Votre Lazio était très Argentine... "C’est vrai, mais il y avait d’autres joueurs tout aussi fort, c’était une guerre à chaque entrainement: Je me souviens une fois d’un sprint de Mancini, je ne lui avais pas passé le ballon et il était devenu furieux : Je lui avais dit, je n’aurais pas su te trouver en profondeur et lui me répondais : Tu aurais dû faire ta passe dans le dos de la ligne défensive et pas me lancer en profondeur et il avait raison." "Cette phrase m’a marqué à tel point qu’aujourd’hui, je l’enseigne à mes joueurs: Nous n'étions pas tous de grands amis, mais quand on y repense de bons entraîneurs sont sortis de ce groupe. Veron et moi ne nous entendions pas, nous ne nous parlions pas, mais sur le terrain nous nous comprenions. Je pense à la passe décisive sur le but qui nous a permis de battre la Juve à Turin. Un but décisif pour le Scudetto." Après douze saison passées à l’Atletico, avez-vous encore la motivation pour y rester toujours en poste ? "Il me reste encore une autre année de contrat, on verra ce qui se passera : Je trouve la motivation car dans un tel club, les joueurs changent et tu dois toujours adapter la façon d’évoluer sur le terrain, et le football change constamment." En quel sens ? "La nouvelle génération est différente et la façon de l'entraîner et de l'amener sur le terrain change également: Je pense à Godin et à cette génération de joueurs avec laquelle nous avons gagné il y a quelques années à l'Atlético : Aujourd'hui, ils seraient dépassés, non seulement en termes d'âge, mais aussi en termes de comportement sur le terrain. Tout va plus vite. Et en tant qu'entraîneur, je dois aussi me mettre à jour et évoluer dans mes méthodologies." Diego Simeone peut-il devenir le "l'Alex Ferguson" de l’Atletico selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Javier Zanetti était l'invité de Madero Sports et ce, pour parler de l'Argentine et de l'Inter. Extraits. La coupe du monde 2022. "J'étais au Qatar et je travaillais aussi pour la Fifa mais j'ai vécu le triomphe argentin en tant que fan et avec ma famille. C'était très émouvant. Tout le monde voulait que l'Argentine devienne championne et que Messi puisse soulever la Coupe. Nous avons souffert dans certains matches mais ça fait partie du football. J'espère que le match qui va maintenant se jouer en Argentine sera une fête pour tous ceux qui n'ont pas eu l'occasion d'être au Qatar. Être champion du monde aidera Scaloni mais l'Argentine a une histoire dont elle devra toujours être la protagoniste. J'espère que c'est le point de départ, comme on l'a aussi dit lors de la victoire de la Copa America. Espérons que nous continuerons à gagner." Revenons en 1998. Zanetti a marqué contre l'Angleterre lors de la Coupe du monde. "Personne n'aurait pu imaginer ce match préparé. Nous avions des tireurs de coups francs comme Veron. Passarella a beaucoup insisté sur ce match et je pense qu'il a réussi car cela n'était jamais arrivé depuis toutes ces années que nous le préparions. Cela nous a fourni un match nul et puis nous avons gagné aux tirs au but." "Messi ? Il a eu ce qu'il méritait. Quand il a été critiqué dans notre pays, je ne comprenais pas. Mais ne pas savoir attendre nous a conduit à ça, à critiquer le meilleur joueur au monde. Pour moi, il a été le meilleur au monde pendant un certain temps et cela l'aurait été même sans gagner une Coupe du monde ou une Copa América." De l'Argentine à l'Inter en passant par Lautaro Martinez. "Quand nous l'avons pris, l'idée était ce que nous voyons maintenant. Nous n'espérions pas un résultat immédiat mais y arriver dans 4-5 ans. C'était la vision. Il se révèle être une référence pour le club et en nationale. Il a beaucoup grandi, il a mûri. Nous sommes très heureux de sa croissance. Ce sentiment d'appartenance à l'Inter est reconnu par nous, par les gens. Vous pouvez voir qu'il est heureux." "Inter- Benfica ? C'est difficile mais il fallait prévoir que, dans ces circonstances, tu vas affronter une équipe forte. Il faut les respecter mais on a les armes pour faire deux grands matches et passer. On sait que ce n'est pas facile, la Ligue des Champions est une compétition qui se joue sur des détails mais je suis convaincu que nous pouvons mieux nous préparer ce défi et passer." Napoli ou Derby en demi de la C1 ? "Ça a été une année compliquée en championnat. Naples fait un tournoi extraordinaire, ils font très peu d'erreurs. Nous manquons de continuité. Nous avons mérité la Supercoppa, nous sommes en demi-finale de la Coppa et nous avons la chance d'atteindre les demi-finales de la Ligue des champions. Est-ce que j'aimerais un Derby ou le Napoli en demi-finale ? J'aimerais jouer, puis quand nous y serons, nous y penserons. Vaincre Benfica serait déjà être une grande chose." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Interviewé par le Süddeutsche Zeitung, Robin Gosens, l’ailier de l’Inter est revenu sur sa non sélection avec l’Allemagne dans le cadre de la Coupe du Monde qui a sacré l’Argentine: "Ne pas participer à la Coupe du Monde a été une grande désillusion, cela a été le pire moment de ma carrière sportive jusqu’à présent. Maintenant j’ai très envie d’être là pour l’Euro qui se jouera à domicile." "Je dois reprendre ma place, je suis en chasse pour cela car, pour légitimer certaines espérances, je dois me battre pour redevenir titulaire à l’Inter, j’ai la prétention d’être au moins un candidat sérieux à prendre en considération. Pour moi, l’équipe nationale reste le Maximum, en passant à l’Inter je pensais avoir que mes chances de me retrouver régulièrement convoqués augmenter. Mais ce n’est pas ce qu’il s’est passé et les reproches sont envers moi-même.' "Hansi Flick m’a déjà dit clairement qu’il joue avec une défense a quatre et qu’il voit, en mes points forts, la possibilité de jouer sur l’aile gauche, ou d’une façon plus avancée dans une défense à trois et je ne crois pas ne pas être inapte pour une défense à quatre : Je sais comment cela fonctionne car j’y ai déjà joué." Gosens, le Psycho de l’équipe En effet, Robin Gosens a récemment suivi un cours de psychologie à distance et souhaite maintenant l'utiliser en tant que Professionnel car cela lui a permis de traverser des périodes difficiles: "Je dirais surtout que cela m'a aidé à gérer mes relations avec les autres. J'essaie maintenant de comprendre mes coéquipiers à d'autres niveaux. Si quelqu'un ne propose pas ce que vous avez l’habitude d’attendre de lui, durant plusieurs jours de suite à l’entrainement, il peut y avoir une justification derrière tout cela et j’essaie de prendre le temps de parler, de discuter mais sans le mettre au pied du mur." De cette façon, je saurai peut-être pourquoi il court moins, et j'aurais une bonne raison de ne pas me mettre en colère." Un message subliminal destiné à Simone Inzaghi ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Notre ancien défenseur Walter Samuel s'est exprimé au micro de la chaîne YouTube du journaliste Gianluca Rossi. Il évoque divers sujets. "Je me souviens grâce à une grande gratitude des supporters de l'Inter qui se souviennent encore de moi aujourd'hui et me saluent quand ils me voient. Je suis heureux d'avoir contribué à une petite partie de l'histoire des Nerazzurri." Deux mots aussi sur le Triplete. "En une semaine on a tout joué, on a joué la finale de la Coupe d'Italie, puis la finale de la Ligue des Champions, et la Serie A à Sienne. On aurait pu tout perdre. Nous avons commencé à jouer et à y croire, remportant un Triplete auquel peut-être personne ne s'y attendait." Sur votre choix de rester à Milan. "Beaucoup de mes anciens coéquipiers sont restés à Milan, même Chivu. Il fait beau et on s'entend bien. On a toujours gardé l'idée de rester ici parce qu'on va bien, ça sera difficile de partir. Nous serions toujours heureux de rester, il y a une belle complicité. Mes enfants vont souvent au stade, avec moi et seuls aussi." Passons ensuite à l'analyse de la situation actuelle. "Ils ont beaucoup de qualité mais ils sont, peut-être, trop irréguliers. Ils sortent des grands matchs comme contre Porto et puis ils peinent en championnat. C'est vraiment dommage parce que maintenant tu te bats avec quatre ou cinq équipes pour la Ligue des champions. Porto? Je vois le match positivement car ce sont des matchs ponctuels et l'Inter a un avantage. Je m'attends à un bon match, je ne vois pas tout en noir, j'ai la foi dans cette équipe." Lautaro est-il déjà un champion ? "Nous l'apprécions dans l'équipe nationale, c'est un grand joueur, jeune, il a encore beaucoup à donner. Je le vois enthousiaste à l'idée d'être à l'Inter. L'Argentine ? En tant que joueur, je n'ai pas eu la chance de gagner en équipe nationale. En 2022, nous l'avons fait et c'était fantastique pour tout le peuple argentin. Le mérite, c'est tous les joueurs qui ont toujours cru en nous. Nous aussi, nous avons pris beaucoup d'épaisseur." Un possible futur en tant qu'entraîneur. "Pour l'instant ça va, j'aimerais bien dans le futur mais je dois encore aller jusqu'au bout. Je sens que je dois encore beaucoup apprendre et je le fais avec Scaloni. Après avoir joué pour l'Inter, ce n'est pas une obligation de l'entraîner à l'avenir. Cambiasso, il est peut être un entraîneur capable, il est très calme. Lui aussi attendra le bon moment, l'entraînement n'est pas une obligation et c'est aussi juste de profiter de la famille." Au final, un excursus sur le rôle du défenseur. "Je ne sais pas s'il y a un Samuel aujourd'hui, les temps sont différents. Nous étions plus solides et concentrés sur l'homme. On avait plus de liberté. Peut-être que le dernier était Chiellini. Aujourd'hui, il faut se présenter et rester debout comme le fait Bastoni, je l'aime beaucoup, il est confiant, il court beaucoup. J'ai essayé d'être toujours là et de me sentir bien. Je n'ai jamais fait de tacles durs, en fait nous aussi nous en avons pris car nous avons affronté des attaquants qui frappaient. Je pense à Vieri, Lucarelli, Toni, contre eux c'était très dur parce qu'ils étaient très forts." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Javier Zanetti raconte tout à 'Que Mola'. Entre passé, présent et futur, voici l'intégralité de l'interview de notre ancien capitaine. Un adjectif pour Javier Zanetti aujourd'hui ? "Disons qu'aujourd'hui je suis un manager qui a une vision plus large que lorsque j’étais joueur." Votre jeunesse argentine, que pouvez-vous nous dire ? "Si je pense à mon enfance, j'ai de merveilleux souvenirs, liés avant tout à ma passion qui est le football. Depuis que je suis enfant, je courais après le ballon et rêvais avec mes amis de devenir professionnel un jour. J'ai pu faire de ce rêve une réalité. Dans mon quartier, je porte avec moi toutes les choses positives qui m'ont accompagné en tant que footballeur et aujourd'hui en tant que manager. Ce sont des valeurs importantes auxquelles je tiens et que je porte partout." A propos du potrero, le terrain du quartier ? "Ce serait l'oratorio des Italiens, où l'on passe de merveilleux moments entre amis. Vous rêvez, vous apprenez à jouer, vous aidez des amis dans le besoin, vous vous disputez, vous plaisantez. Ce sont des moments qui vous font vraiment grandir." Comment êtes-vous arrivé dans l’équipe jeune de l'Independiente ? "Je suis fan depuis que je suis enfant, j'y suis arrivé parce que je rêvais de porter ce maillot. A travers un tournoi dans mon quartier, les managers m'ont vu et m'ont emmené. Là j'ai commencé ma carrière dans une équipe professionnelle." Cependant, vos débuts professionnels étaient contre Banfield et votre premier match contre River Plate. "Oui, j'ai fait les jeunes là-bas. En réalité, les débuts sont en deuxième division, où j'ai fait un an, puis Banfield m'achète et je fais deux ans en première division. Les débuts sont contre River Plate et après ces deux années, l'appel inattendu de l'Inter m'a pris par surprise. C'était ma grande opportunité d'entrer dans ce football européen et de me comparer à de grands champions." Dans ce transfert est né le mythe chiffre 4… "Oui, c'était le maillot que j'ai toujours porté, il était libre à l'Inter et je l'ai pris de près parce que je l'aimais. Je l'ai gardé tout au long de ma carrière. Avec ce numéro, j'ai passé des moments inoubliables avec l'Inter. Pour moi, elle signifie famille, amour, c'est ma maison. Être lié au club est encore très important pour moi." Vous souvenez-vous de votre premier jour à l'Inter ? "Honnêtement, je ne pouvais pas imaginer à ce moment-là que ma carrière aurait été ici en intégralité. Je savais que je venais dans un grand club, avec une belle histoire et avec de grands champions de différents pays. Je voulais laisser ma marque, je savais c'était ma chance. Le saut était très grand, de Banfield à l'Inter, mais je savais que je devais donner tout ce que j'avais à l'intérieur et apporter mon essence sud-américaine pour que l'Inter apprécie mes qualités." En parlant d'essence sud-américaine, l'Inter l'a dans son ADN et l'avait déjà à l'époque. "Oui, il y a une tradition sud-américaine, beaucoup de joueurs ont bien réussi entre autres. Ensuite, FC Internazionale, même de par son nom, signifie aussi ouvrir les portes aux joueurs non italiens." "Dès le premier entraînement, nous avons la possession du ballon. Il ne le perd jamais, il reste toujours attaché à son pied. Ce jour-là, j'ai pensé qu'il entrerait dans l'histoire de l'Inter." Vous souvenez-vous qui a dit ces choses ? "Oui, le capitaine de l'époque, Beppe Bergomi, une personne qui m'a beaucoup aidé, il m'a tout de suite intégré dans la réalité du football italien, il m'a raconté l'histoire de l'Inter. Avec Giacinto Facchetti, ils ont été importants pour moi dans mon premiers pas dans cette société." À propos de l'âme argentine. Que pensez-vous de Batistuta et Crespo ? "Deux grands attaquants, parmi les principaux de l'histoire du football argentin. Batistuta avait une puissance physique incroyable, il a marqué de toutes les manières. Crespo était très intelligent à l'intérieur et à l'extérieur de la surface, il savait se démarquer avec des mouvements qui permettaient de le trouver et toujours là prêt à marquer." L'Argentine est championne du monde, je vous demande trois noms à mettre dessus. Le meilleur de tout les temps. "Messi, Diego Maradona et Kempes, qui a été l'architecte d'une course extraordinaire en 78 qui nous a fait gagner la première Coupe du monde." Le championnat argentin évolue, s'oriente vers un format européen. "C'est certainement un plus, le football argentin peut beaucoup grandir. Il faut copier les bonnes choses d’Europe et c'était un choix important pour l'avenir du football argentin." Trois raisons pour lesquelles un enfant passionné de football devrait suivre le football argentin. "Parce que c'est très excitant, il y a beaucoup de jeunes qui peuvent émerger et qui font déjà de grandes choses et parce que ça rappelle le potrero, où on voit des joueurs s'amuser. Des joueurs qui possèdent potrero." La Copa Libertadores comme la Ligue des Champions ? "En termes d'importance oui, mais cela se passe d'une manière différente. Parce que les stades sont différents, parce que les gens le vivent différemment. Mais c'est une coupe très convoitée et dernièrement elle a vu la domination des équipes brésiliennes qui s'investissent beaucoup. L'Argentine est un peu en retard, mais je pense que Boca, River et Racing peuvent être des protagonistes." Comment est né votre surnom d'El Tractor ? "Je suis né en Argentine, un commentateur m'a donné ce surnom parce qu'il a dit que lorsque je partais avec boulet et chaîne, je ressemblais à un tracteur que personne n'arrêtait. C'est ainsi que le surnom est né." Comment la formation vous a toujours aidé, dans une longue carrière où vous avez aussi changé de rôle. Vous étiez également milieu de terrain… "Beaucoup. L'entraînement est la chose la plus importante, j'ai toujours essayé de le faire en me donnant à 100% parce que je savais que dimanche je serais prêt pour un grand match. L'entraînement aujourd'hui me fait me sentir à nouveau bien et quand j'ai joué, je pensais que c'était le plus important." Votre but en équipe nationale a sauvé la vie de Marek Kopals. "C'est arrivé lors de la Coupe du monde 98, nous jouions contre l'Angleterre. J'ai découvert après qu'il regardait le match, grâce à mon but, nous sommes allés en prolongation puis aux tirs au but. S'il était parti après 90 minutes, il aurait explosé avec sa voiture là où il y avait une bombe. Disons que mon but l'a fait rester à la maison et l'a empêché de prendre cette voiture." Vous avez déjoué une attaque sans le savoir. Une magie en effet… "Oui, ça ne s'explique pas. Puis il m'a écrit une lettre pleine d'émotions, me remerciant. Quand on vous raconte ces choses, vous comprenez jusqu'où va la passion du football. Sa passion l'a fait rester à la maison plus longtemps, au-delà les 90 minutes." Parlons de Ronaldo. "Pour moi, il était l'un des plus forts avec qui j'ai eu l'opportunité et l'honneur de jouer. Un joueur extraordinaire dans tous les sens. Il vient de Barcelone dans sa meilleure période, avec nous, il a été dévastateur. À l'entraînement, il était difficile d'arrêter lui et dans le jeu aussi." Angelillo a été important pour vous amener à l'Inter… "Il m'a vu et m'a identifié comme un joueur de l'Inter, je le remercierai toujours. Grâce à lui, Mazzola et Suarez m'ont vu, je suis arrivé dans ce grand club. Angelillo est une légende, capitaine, qui a laissé sa grande enseigne à l'Inter." Que signifie cette photo de vous sur le chantier ? "Mon père était maçon, pendant un an je l'ai aidé et ce fut l'un des meilleurs moments de ma vie. Là j'ai compris beaucoup de choses, combien mon père et ma mère se sont sacrifiés pour que mon frère et moi ne manquions de rien. J'ai commencé à comprendre les vraies valeurs de la vie, les fondamentaux pour l'être humain." Est-il vrai que vous risquiez physiquement de ne pas faire partie des sélections professionnelles ? "J'étais très fragile, c'est pourquoi l’Independiente m'a laissé partir en disant que je n'étais pas prêt à jouer au football à ce moment-là. J'ai accepté leur décision mais je ne le nierai pas en tant que fan, c'était un coup dur pour moi. Je rêvais de faire mes débuts avec eux. Mais il fallait que ça se passe différemment et puis quand on a affronté Banfield, les managers d'Independiente avaient les mains dans la nasse. C'est une des choses qui peuvent arriver dans le football." Parlons de l'asado. "Cela fait partie de notre culture, c'est un groupe. A l'Inter, nous nous sommes amusés avec ce groupe, ce n'est pas un hasard si nous avons tout gagné." Parlons de Mourinho. "José a été important pour moi dans ma carrière, une relation qui va au-delà de la relation professionnelle. Il y a une relation humaine très forte qui dure dans le temps, on se parle souvent, on s'envoie des textos. C'était un super leader pour ce groupe-là." Dans l'hymne Pazza Inter, le début est avec le commentaire de votre but. "Un moment de plaisir, cette chanson tous ensemble. Je remercie Scarpini pour le commentaire très émouvant, il a été décidé de commencer l'hymne avec ça." En Argentine, vous êtes passés maîtres dans le commentaire… "Oui, car ils vous font vivre de grandes émotions, qui vous viennent en regardant ou en écoutant les matchs." Parlons de Maldini. "Avec Paolo, il y a toujours eu une grande relation et au-delà de la rivalité un grand respect qui dure encore aujourd'hui et qui durera. Il représente l'un des joueurs que tout le monde respecte dans le monde du football pour sa façon d’être et de jouer." Vous êtes deux capitaines très représentatifs du derby milanais. "Nous nous sommes affrontés plusieurs fois, Paolo était un adversaire très loyal et je l'ai toujours apprécié pour ça." Un conseil pour les jeunes joueurs, pour ceux qui n'ont pas tout de suite un grand talent ou pour ceux qui en ont déjà un. "Le conseil est très simple, dans les deux cas : ne jamais cesser de rêver ! Les rêves peuvent se réaliser mais pour les réaliser, il faut beaucoup de travail, de sacrifice et de résilience car il y aura des moments diffcile à affronter. Une fois fait, vous ressortez plus fort de ces moments." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Lautaro Martinez est en pleine éclosion, Champion du Monde avec l’Argentine, il a pris le rôle du Boss en attaque et celui-ci c’est livré à Footsteps, le nouveau podcast Nerazzurro disponible sur la plateforme Recast Quel est le lieu qui te tien le plus à cœur ? "Bahia Blanca avec mon frère, nous prenions deux ballons et nous avions tracé notre propre terrain, nous y jouions avant de partir à l’école, en rentrant aussi et après nos entrainement : Notre mère nous venait toujours nous chercher là-bas lorsqu’i était temps d’aller manger." L’étape la plus importante de ta carrière ? "J’ai commencé comme professionnel à Buenos Aires avec l'Avellaneda, une ville qui a tant de passion pour le football et il y est vraiment vécu d’une façon spéciale : Ce sont des si beaux souvenirs. Le Liniers est le club où je suis "né", celui qui m’a fait grandir comme joueur et comme homme." "Ma famille a aussi été importante, elle m’est venue en aide lorsque j’en avais besoin et à présent, c’est à mon tour de l’aider. Milan m’a donné tant d’amour depuis mon premier jour et je suis arrivé dans une équipe gigantesque, c’est un club important composé de joueurs importants et les Tifosi m’ont fait sentir important dès mes premiers jours, c’est si beau : Ils m’ont toujours respecté et je leur donne, toujours tout, sur le terrain." Qu’est-ce qui est le plus déterminant pour toi ? "L’humilité, le respect et le travail." Quel est le moment qui a été le plus émotionnel pour toi ? "Celui qui me reste le plus en tête est mon début avec mon équipe nationale : C’était une période où il y avait tant de si bons joueurs, ils m’ont donné cette opportunité et cela restera gravé dans mon cœur pour le reste de ma vie." Quel est ton joueur de référence ? "Pour le rôle qu’il a occupé, je dirais toujours Radamel Falcao, pour ses mouvements sur le terrain, dans la surface, il a toujours été mon idole." Quelle est la personne qui t’influence le plus ? "Toute ma famille, sans eux, je n’aurai pas su réaliser mon rêve. Ensuite, il y a un entraineur du Racing qui m’a donné un coup de main gigantesque lorsque je suis arrivé là-bas: Je ne parvenais pas à rester loin de ma maison, j’ai énormément souffert mais il a été si proche de moi. Il y a aussi tous les autres entraineurs et avec qui j’apprends toujours, je cherche à écouter et à voir ce qu'ils font et comment ils travaillent pour m'améliorer." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Présent à Coverciano pour la Panchina d’Oro, le sélectionneur National de l’Argentine Championne du Monde, Lionel Scaloni s’est livré sur le numéro 10 Nerazzurro à TMW "Pour moi, il a toujours été fondamental, je lui veux que du bien et il a toujours été mon attaquant préféré : Au Mondial, il a connu un petit pépin et j’ai dû penser à faire ce qu’il y avait de mieux pour l’Equipe. Et lui le sait parfaitement bien : Il répond toujours présent lorsque je fais appel à lui et, il a apporté ce petit plus lors du pénalty face au Pays-Bas." "Je l’aime et je suis heureux qu’il ait pris en main aussi l’Inter : J’ai vu qu’il lui avait aussi été confié le Capitanat : Je suis très content pour lui, il est dans une Grande équipe et je suis fier car c’est un très "Bravissimo" joueur." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Javier Zanetti est l'invité spécial de Supertele, une émission DAZN animée par Pierluigi Pardo. La conversation avec le journaliste commence évidemment par le derby remporté par les Nerazzurri face à Milan puis évolue sur d'autres sujets. À quel point une victoire dans le derby change votre lundi ? "C'est un lundi différent, gagner un derby a une saveur particulière, surtout parce que nous l'avons gagné à juste titre." Y a-t-il un mystère à l'Inter ? Dans certains matchs, c'est très fort, mais pour d'autres, c'est faible. "Nous aurions certainement pu avoir quelques points de plus mais cela fait partie d'un chemin que cette équipe suit avec une certaine continuité. Un drop peut se produire avec autant de matches serrés. Je vois une équipe qui est protagoniste, qui veut toujours jouer le match et qui sait réagir. L'Inter, de la première année d'Antonio (Conte, ndlr), a toujours eu une continuité ces quatre dernières saisons. Je suis surpris quand je vois des critiques très exagérées envers une équipe qui fait les choses de la meilleure façon possible. Nous pouvons nous améliorer, nous en sommes conscients, par contre nous disons que Naples fait quelque chose d'extraordinaire." Vous pensez à Spalletti ? "Il y a beaucoup de Luciano dans ce Napoli. Il a fait un excellent travail à l'Inter, c'est un entraîneur qui laisse sa marque dans les équipes." Terminer deuxième vaut-il un Scudetto pour vous ? "Nous devons faire de notre mieux jusqu'à la fin. Nous avons la Ligue des champions, la demi-finale de la Coppa Italia contre la Juve, nous devrons faire de notre mieux." Qui choisirez-vous comme symbole de l'Inter cette saison ? "Je vais demander à Darmian son maillot à mettre dans mon musée. C'est un joueur silencieux, toujours au service de l'équipe. Il donne toujours du sien, c'est un gars sérieux et professionnel. C'est quelqu'un qui fait la différence dans n'importe quel groupe." L'Inter vaut Naples, quelle est la raison de cet écart ? "C'est la continuité et il y a le regret d'avoir laissé des points en cours de route. Le championnat est compétitif, il y a beaucoup de matches. Naples, donc, ne s'est pas trompé, les battre a été très dur pour nous." Vous attendiez-vous à un Milan aussi prudent hier ? "J'ai entendu la nouvelle avant le match, puis ce changement s'est produit pendant le match. Mais il y a aussi les mérites de l'Inter qui a pu voir, dès la première minute, qu'elle pouvait gagner le match. Milan est toujours une équipe à respecter, puis il y a des moments. Je connais Pioli, Maldini, ils ont la personnalité pour s'en sortir." Lautaro peut-il être le vrai capitaine? "Honnêtement, je suis très content de sa carrière à l'Inter. Sa performance ne cesse de croître. Maintenant, c'est aussi une confirmation pour l'équipe nationale argentine. Il est important pour l'Inter, et il le montre à chaque fois qu'il entre sur le terrain. C'est un mec généreux, il ne va pas perdre. Hier il a dit que le derby milanais se vit comme en Argentine, il a raison car l'environnement est très chaud." La situation de Skriniar, aurait-elle pu être mieux gérée ? "Je ne sais pas. La chose est simple : nous avons proposé le renouvellement dans nos possibilités (économique, ndlr), il l'a évalué et a dit non. Ça va, nous devons accepter sa décision. Je pense que le plus important, c'était la réponse de tout le milieu. Il va falloir mettre le joueur dans la situation de donner le meilleur de lui-même. L'important c'est le bien du club, il a été le premier à le comprendre. L'inter va continuer, Skriniar va porter un autre maillot à partir de juillet et nous lui souhaitons le meilleur. Il est essentiel pour nous qu'il se comporte comme hier." Pourquoi avez-vous décidé de retirer le brassard à Skriniar ? "C'est un thème avant tout lié à l'avenir, Marotta a été clair. Nous en avons tous discuté et nous avons convenu que c'était le meilleur choix, un choix qu'il a compris de suite. L'Inter va de l'avant. Hier, le capitaine était Lautaro, qui est le présent et l'avenir." Quel est le joueur le plus intéressant de la Serie A ? "En regardant surtout Napoli, je dis qu'Osimhen se révèle être un grand attaquant, il est important pour son équipe." Souvenirs de la coupe du monde. "C'est impossible de rester sobre en tant que champion du monde (rires, ndlr). J'ai vécu la Coupe du monde avec de grands sentiments pour mon pays, pouvoir assister au tournoi avec ma famille m'a permis de célébrer chaque instant. Après la finale, je me suis senti heureux parce que nous attendions depuis 1986. Ceux qui aiment le football attendaient que Messi devienne champion du monde, c'est ce que j'ai entendu des fans au Qatar." Messi ou Maradona ? "Au-delà de ce qu'il a fait sur le terrain, Diego avait un charisme incroyable. On aime Messi parce que c'est comme ça qu'il se montre. En tant qu'Argentin, je suis ravi d'avoir eu Diego qui restera unique." L'histoire Messi-Inter était-elle vraie ? "En raison de la relation que nous entretenons, nous avons parlé quand il y avait cette possibilité. J'ai été surpris quand il a dit au revoir à Barcelone. Mais de manière réaliste, nous ne pouvons pas rivaliser avec des clubs comme le PSG ou les clubs anglais." Comment voyez-vous Mourinho à Rome ? "Êtes-vous surpris par ce Mourinho ? José arrive toujours à donner quelque chose d'important à ses garçons, il les stimule pour leur bien." Zaniolo va quitter la Serie A. "Je suis désolé parce que ce n'est pas bon pour lui de quitter l'Italie. Ce sont des choix qu'il faut respecter. Je ne sais pas ce qui s'est passé au niveau environnemental, mais il n'y a pas de sérénité autour de lui." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Notre légende Javier Zanetti a accordé une interview à Tuttosport dans laquelle il évoque sa fidélité au club qui l'a fait grandir. Javier, quand l'étincelle vous a-t-elle frappé pour le football ? "J'avais trois ans et ils m'ont donné un ballon que je n'ai jamais lâché. Dans le quartier Dock Sud à Avellaneda, à deux cents mètres de la maison, il y avait une place et un petit terrain et tout a commencé là. Nous vivions près du stade de l'Independiente et ma mère était une grande fan. En Argentine, le magasinier avertit la curva lors de l'entrée de l'équipe sur le terrain. Lorsqu'il a fait, tout a explosé. Je frissonnai et je me disais 'Je me demande si je ressentirai aussi cette émotion'. Je l'ai fait." Était-ce le coup de foudre avec l'Inter ? "Je suis arrivé à Cavalese, parmi les journalistes, avec un sac qui contenait mes chaussures. Ils m'ont pris de Banfield, une équipe inconnue, tandis que Rambert venait d'Independiente où il avait remporté le championnat en tant que meilleur buteur. De plus, Roberto Carlos et Paul Ince sont également arrivés cette année-là. J'étais le quatrième étranger et à l'époque seuls trois pouvaient entrer sur le terrain mais le destin voulait que je joue tout de suite. Un lien très fort est né. Ils m'ont fait me sentir comme chez moi ici." La rumeur avec le Real, en 2001, une aventure ? "J'avais parlé à Valdano, leur entraîneur: il me voulait à Madrid. Presque tout était fait mais j'ai décidé de rester et j'ai prévenu Moratti." Combien avaient-ils offert ? "Un contrat bien plus important que celui que j'avais à l'Inter. Cependant, en plus de l'argent, j'ai pensé à la famille, à la relation avec les fans et au fait que je voulais laisser ma marque à Milan. Et je me suis dit 'Si je vais au Real, je suis un parmi tant d'autres.' J'aurais certainement gagné quelque chose, mais je voulais le faire ici. C'était un choix fort, mais il y a plus..." Histoires. "Manchester United et Barcelone m'ont aussi "tenté". Je ne me souviens plus si c'était en 2001 ou 2002. J'étais avec Paula, ma femme, et j'ai trouvé Ferguson dans un aéroport et il m'a dit bonjour, m'a demandé quand mon contrat était terminé. Mais j'étais heureux à Milan, malgré ces années très compliquées pour l'Inter. Ailleurs j'aurais eu une carrière plus importante, mais je ne me serais pas retrouvé comme à l'Inter." Comment cela s'est-il terminé avec Barcelone ? "Que j'ai "lancé" Puyol ? Il me le dit toujours. Il était dans l'équipe jeune et avait également commencé à faire quelques apparitions dans l'équipe première. Un jour, Van Gaal l'a appelé et lui a dit: 'Je veux signer l'arrière droit le plus fort du monde qui est Zanetti. Si nous ne le signons pas, je te garderai avec moi'. Et Carlos me remercie chaque fois qu'il me voit…" Qu'y avait-il dans cette étreinte avec Messi à Lusail ? "Beaucoup : je l'ai vu débuter en équipe nationale et il méritait cette coupe. Je l'ai remercié car il a couronné le rêve de tous les Argentins. À Doha, à cette époque, il y avait une atmosphère particulière : tout le monde voulait que Leo soulève la coupe." Avez-vous un meilleur ami dans le football? "Avec Zamorano qui est le parrain de Sol et Cordoba qui est le parrain de "Nacho", ainsi que mon colocataire à l'Inter, la complicité va au-delà de ce qu'ont été nos carrières." Vous êtes-vous senti trahi par Hodgson et Lippi ? "J'ai fait une erreur avec Hodgson parce que je n'ai pas compris qu'il m'a remplacé en finale contre Schalke parce qu'il voulait que Berti tire le penalty. Cette querelle s'est arrêtée là et même maintenant, quand on se rencontre, on en rigole. Par contre, je n'ai pas aimé l'attitude de Lippi, quand ça va mal, il ne faut pas chercher des coupables, mais des solutions. Peut-être, avec le recul, l'a-t-il fait pour partir." Traduction alex_j via FCInter1908.
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L'année 2022 s'achève et elle ne fut pas si mauvaise pour el Toro. Aujourd'hui se termine une année pleine de satisfactions sportives pour Lautaro Martinez qui dans la dernière partie de 2022 a couronné le rêve de tout footballeur en devenant champion du monde avec l'Argentine. Notons qu'il avait déjà remporté la finale de Wembley contre l'Italie en Juin avec l'Albicéleste. Avec l'Inter, el Toro a mis en vitrine tout autant de trophées, la Supercoupe d'Italie et la Coupe d'Italie, un butin suffisamment riche pour envoyer un petit remerciement à 2022 désormais terminé. "Gracias 2022", écrit notre attaquant sur Instagram en postant un montage qui le voit encourager l'équipe nationale et le club avec les différents trophées en main. Moralité: c'est sûr, en portant le maillot 22 de l'Albicéleste ça a dû aider pour 2022. Traduction alex_j via FCInternews.
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Javier Zanetti se livre sur le Sacre Argentin
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Interviewé par Tyc Sports, le Vice-Président de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr, Javier Zanetti s’est livré sur Lautaro Martinez et l’Argentine: "La Finale était comme une fête jusqu’à la 79ème minute de jeu, ensuite Kylian Mbappé a marqué deux buts et j'ai dit à mon fils de rester calme, que nous allions gagner. Lorsque Montiel a marqué son tir au but, c'était une émotion indescriptible." "C'était un privilège d'être monté sur le terrain en finale, j'ai embrassé tout le monde, je les ai félicités. Ils ont réalisé le rêve de tous les Argentins. Je cherchais Leo et je ne le voyais pas , je disais au revoir à Lauti, quand Léo m’appelé et que je l’ai vu et nous nous sommes embrassés. J'ai dit à ses enfants qu'ils ne savent pas quel père ils ont, non pas en tant que joueur mais en tant que personne. J'ai eu la chance de pouvoir jouer avec lui, nous avons traversé des périodes difficiles. S'il y en a un qui méritait d'être champion du monde, c'est bien Messi, il a souffert en silence et il le méritait". Lautaro ? "Je l'ai serré dans mes bras, il était très excité par la victoire. Il est arrivé à la Coupe du Monde avec quelques problèmes physiques. S'il était parvenu à concrétiser l'une de ses occasions face à l'Arabie saoudite, sa Coupe du monde aurait sans doute été différente, mais cela fait partie du football: L'important était d'avoir 26 joueurs et que tous savaient qu’ils pouvaient s’entraider." "Lauti a aussi pris ses responsabilités lors du penalty, en demi-finale, contre les Pays-Bas et c’était loin d’être quelque chose de facile à faire. Lui l’a fait et nous a tous rendu fier, il est très jeune et pour son premier mondial, il est déjà sacré Champion du Monde." ®Antony Gilles – Internazionale.fr-
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L’Inter a célébré, comme de coutume, les fêtes de fin d’années, et l’ensemble de notre Management s’est livré à Sky Sport avec un Steven Zhang particulièrement en forme dans une reprise de "Noi Siamo L’Inter". Steven Zhang "Nous nous retrouvons pour le première fois pour faire la fête après le Covid-19, nous avons vécus trois années difficiles qui ont mis en péril le moral de tous et qui ont touché toutes des vies à travers le monde. Durant cette période compliquée, nous avons remporté trois trophées." "Lorsque je suis arrivé je pensais que cela allait être compliqué ou impossible de les remporter. En revanche, nous sommes parvenus à Gagner et nous sommes qualifiés pour la seconde année de suite en huitième de finale de la Ligue des Champions. Le mérite en revient au travail de tous." "Je suis extrêmement heureux pour Lautaro qui a remporté le Mondial, il a mérité ce titre avec l’Argentine, je suis fier de lui : Chaque victoire doit être une source d’inspiration pour nous tous. Nous l’avons vu grandir à l’Inter pas après pas." Lukaku ? "C’est un grand joueur, j’espère qu’il pourra se ressaisir, il travaille et s’améliore au quotidien." Alessandro Antonello, Administrateur-Délégué Corporate "Dans très peu de temps le championnat va reprendre et j’espère que l’équipe pourra repartir avec l’enthousiasme de vouloir atteindre ses objectifs : Le Management travaille en coulisse pour garantir au Club sa stabilité et pour permettre à l’Inter de se fixer et d’atteindre des objectifs toujours plus importants." Les stades qatari ? "J’y ai vécu deux quart de finale, ce sont des enceintes avant-gardiste. Le Qatar a donné l’exemple de comment il est possible de construire des stades en proposant une expérience différentes de toute celles qui étaient déjà proposées. J’espère que nous pourrons en faire de même ici, à Milan, en respectant les indications de la Commune, nous voulons construire notre nous stade dans le quartier de San Siro, à Milan." "Notre Benchmark est de disposer d’un stade moderne similaire à ceux de la Premier League, celui de Tottenham, par exemple est l’un des plus iconiques. Jeudi, le Conseil Municipal fera part de son retour suite au débat public : Si la décision est telle qu'il sera impossible de construire le stade dans le quartier de San Siro, l’Inter et le Milan mettront en place le plan B qui deviendra le plan A : Nous avons déjà localisé d’autres secteurs et nous sommes éventuellement prêt à évaluer ces alternatives." Giuseppe Marotta, Administrateur-Délégué Sport "Nous voulons reprendre la compétition avec une grande motivation agonistique et avec l’envie de s’offrir de grandes satisfactions. Notre club, vu l’Histoire qu’il représente, se doit d’être ambitieux. L’ambition est un motif d’orgueil, pas de fierté. Le 4 janvier, nous devrons nous montrer compétitif en cherchant à obtenir un grand résultat face au Napoli, qui a démontré être jusqu’à présent, l’équipe la plus forte." Le sacre argentin ? "Je suis très heureux pour Lautaro et Correa, la Victoire d’une Coupe du Monde représente l’objectif le plus important dans la carrière d’un joueur. Je suis confiant sur le fait que Lautaro va se montrer surmotivé et qu’il prouvera à tous, au Meazza, toute l'étendue de ses qualités." Lukaku ? "Il aime l’Inter, nous nous en rendons comptes en passant des jours entier ici avec lui. Il a connu des pépins musculaires, mais je pense qu’il s’est parfaitement rétabli: Il doit retrouver une bonne condition physique, et il est très motivé, nous nous attendons à des choses importantes de sa part." "Le Palmarès de l’Inter est riche et j’espère qu’en 2023, nous pourrons y ajouter des titres que nous n’avons pas remporté en 2022." Simone Inzaghi, entraîneur de l'Inter "C’est une soirée spéciale, je tiens à tous vous remercier car cela fait 18 mois que je suis à l’Inter et que j’ai été très bien accueilli, en premier par le Président, et ensuite et comme toujours par la Direction qui est toujursavec nous : Marotta, Antonello, Ausilio, Baccin, Zanetti. Tous m’ont fait sentir comme à la maison depuis le début, je remercie aussi les joueurs." "L’équipe a présenté à mon staff une très grande disponibilité, nous avons réalisé une saison gratifiante avec deux titres de glanés et un Scudetto disputé jusqu’à la toute dernière journée. A présent, tout recommence et nous devons faire de notre mieux, pour nous-même et pour nos Tifosi qui ne nous ont jamais abandonné, même dans les moments les plus difficiles, ils ont toujours été à nos côtés." "Rien n’est perdu et nous chercherons à repartir du bon pied." Alessandro Bastoni et sa bande qui se tape l'incruste "Je profite de l’occasion pour souhaiter à tous un Joyeux Noël et pour vous dire que nous ferons tous pour nous relancer et faire un beau championnat." Celui-ci était en compagnie de Milan Skriniar et Hakan Çalhanoğlu avec le slovaque qui tenait à souligné : "Objectivement, nous sommes d’accord, nous allons tout donner pour gagner." Suivi d’un "D'accord" de l'international turc. Le Saviez-Vous ? Pour La Gazzetta Dello Sport: "Steven Zhang a bien l'intention de garder l'Inter pour longtemps. L’idée de Zhang est la suivante : Prolonger les termes de l'accord avec Oaktree, qui d'ici 2024, intérêts compris, doit récupérer une somme de 295 millions d'euros de la part du Suning, avec les actions du club comme gage." "Et il est évident qu’il n’attendra pas cette date pour savoir de quoi sera fait l’avenir de l’Inter, un double chemin pour l’Inter s’offrira à lui: Steven Zhang travaille afin de s'assurer un avenir à moyen et long terme à la tête du club. Le président envisage donc d'aller au-delà de 2024 dans sa relation avec le même fonds d’investissement." "L'autre solution consiste à refinancer la Dette auprès d'un autre fonds ou de parvenir trouver un partenaire pour soutenir le club. L'objectif est clair : Avancer avec Oaktree et repousser significativement l'échéance afin de garantir la stabilité du club, en se rapprochant de l'objectif fixé d’être une Entreprise durable et autosuffisante." Le message est clair, tout comme la gueule de bois à venir de notre Président ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Notre international turc s’est livré sur la seconde partie de saison à venir, entre sa relation avec Simone Inzaghi, Romelu Lukaku, Lautaro Martinez et la Couse au Scudetto, Hakan n’élude aucune question: "Je me sens bien, j’ai aussi bossé durant les vacances pour rester en forme, je veux être encore plus important pour l’Inter. Ici, j’ai immédiatement été aidé et on m’a fait me sentir chez moi. Je tiens à renvoyer l’ascenseur pour cette confiance en remportant un autre titre, peut-être le Scudetto." Vous êtes à 11 points du Napoli, Leader, croyez-vous en une remontée ? "Oui, c’est certain que j’y crois: Si on redémarre avec la même qualité que celle proposée lors de nos derniers matchs avant la trêve, nous pouvons y arriver." Le 4 janvier, c’est immédiatement Inter-Napoli... "Ce sera une rencontre décisive qui fera comprendre tant de chose au reste du Championnat : La remporter s’avère importantissime. Nous jouerons à domicile, nous serons les Favoris. Je m’y prépare de la bonne façon, je veux le bien de l’équipe : Je veux montrer ce que j’ai en moi." Avez-vous déjà reçu un appel d’Ausilio en rapport avec le renouvellement de votre contrat qui expirera en 2024 ? "Non, pas encore, j’ai envie d’en parler, mais j’attends que ce soit lui qui m’appelle." Milan Skriniar va-t-il rester à l’Inter ? "J’espère que oui, c’est un très grand joueur, un des leaders de notre équipe avec Samir. C’est à lui de prendre sa décision avec le Club, mais j’espère qu’il restera." Quels sont vos rapports avec Simone Inzaghi ? "Excellent, c’est l’une des personnes qui m’a le plus voulu à l’Inter, il a montré immédiatement qu’il croyait en mes qualités dès mon premier jour: Il m’a aussi félicité pour la façon dont j’ai su remplacer Brozovic. Nous avons remporté deux coupes ensemble, il ne nous reste que le Scudetto." Avez-vous regardé la Coupe du Monde remporté par l’Argentine de Lautaro ? "Je n’ai regardé que la Finale qui était une très belle partie, mais dans le tournoi, il manquait ma Turquie et l’Italie. Je suis heureux pour Lautaro, nous sommes amis et je sais à quel point il tenait à ce Mondial. Je l’attends à Appiano comme Champion du Monde pour que l’on puisse faire tous ensemble la fête." Comment avez-vous retrouvé Romelu Lukaku à son retour du Qatar ? Il devrait être disponible dès janvier… "Je l’espère… Il rit. C’est évident qu’avec lui, nous sommes une équipe différente, plus forte. Mais nous avons de toute façon de très grands joueurs. Il faut aussi remercier Dzeko qui, avec ces buts, nous a permis de rester à flot alors que nous traversions des périodes difficiles. Si nous sommes quatrième, nous le devons énormément à lui, c’est un Exemple. Il sera encore important tout comme Correa et tout ceux qui rentreront en cours de match : Nous devons tous être unis." En Ligue des Champions, vous ferez face à Porto... "Remporter la Ligue des Champions est l’un de mes rêves: Cette année, j’y crois! Je ne sais pas bien la raison, mais j’ai ce présentiment particulier : Nous avons su prendre le meilleur dans un groupe très difficile, nous avons relevé la tête après notre défaite face au Bayern, nous avons prouvé de quoi nous étions capable: Porto est une équipe forte, mais si nous jouons nos matchs comme ceux que nous avons disputé face à Barcelone, nous pourrons nous qualifier au tour suivant." Le 18 janvier, ce sera la Super Coupe face au Milan "Les finales sont spéciales et elle se disputent avec un état d’esprit différent : Nous irons à Riyad pour la remporter." Lorsque vous avez quitté Milan, votre ancien club, il a remporté le Scudetto, avez-vous des regrets ? "Je respecte le Milan, j’ai de bons rapports avec Pioli, Maldini et Massara. En gentleman, je les ai félicité pour le Scudetto remporté l’année dernière : Les amis n’ont pas de couleurs, mais pour moi, Milan représente le passé, je pense exclusivement à l’Inter à présent." Qui arrivera en premier à décrocher la Seconde Etoile : L’Inter ou le Milan ? "Il sourit…. Dieu seul le sait." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Javier Zanetti : "Un grand jour pour l'Argentine ! Léo Messi m'a dit..."
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Javier Zanetti a accordé une interview aux micros de la Repubblica après la victoire de l'Argentine à la Coupe du monde au Qatar. Voici ses mots. Zanetti, quelle est l'image qui vous reste de ce triomphe, de ce retour à la gloire de l'Argentine ? "Voir mes enfants en larmes, pleurer d'émotion. Nous étions tous ensemble, toute la famille ici à Doha. Ce fut un moment unique et inoubliable." Que signifie cette victoire pour l'Argentine ? "C'est un rêve. Un rêve que ces garçons ont donné à un peuple, à une nation, à quarante-cinq millions d'Argentins qui ne voulaient rien de plus que pouvoir célébrer cette coupe." Avez-vous parlé à Messi ? "Oui, je suis entré sur le terrain et allé vers lui. C'était un moment très émouvant : on s'est embrassés, on a ri. Je lui ai dit que j'étais heureuse, qu'il le méritait, que c'était son destin." Et a-t-il dit quelque chose ? "Juste une chose : enfin, enfin." Que représente ce succès pour Messi, pour sa carrière et son histoire sportive ? "Il méritait ce triomphe plus que quiconque. Le voir soulever la Coupe du monde était l'image, je pense, que le monde entier voulait voir, c'était juste que cela arrive à un garçon et à un joueur comme lui." Si c'est arrivé, c'est aussi grâce à Scaloni. Quels mérites a-t-il ? "Sa grandeur est celle d'être un entraîneur humble, un homme simple : mais grâce à ce don, il a montré dès le début qu'il avait quelque chose de spécial, qui pouvait nous donner ce but." Vous y avez cru dès le début de cette Coupe du monde, c'est vrai ? "Oui, j'y ai cru parce que j'ai compris qu'il y avait ce sentiment collectif de quelque chose de grand, cette illusion : tant de gens qui sentaient que le moment était peut-être venu. Avez-vous vu combien de personnes étaient venues d'Argentine ici à Doha ?" Selon vous, cet enthousiasme collectif a-t-il atteint l'équipe ? "Bien sûr, il a entraîné les joueurs dans des moments difficiles. Je vous assure qu'une équipe s'en aperçoit." Des moments difficiles qu'il y a eu surtout au début. "L'équipe a sorti ses tripes, ils ont vécu une Coupe du monde grandissante. Il a perdu au début, mais cette défaite lui a fait du bien, il a créé un lien. Un moteur, jusqu'à aujourd'hui, où tout s'est terminé comme il se doit. Nous attendions cette joie depuis trop, trop d'années." Que manquait-il jusqu'à aujourd'hui ? "Parfois la chance, d'autres fois peut-être avons-nous rencontré des équipes plus fortes que nous. Nous avions de grandes équipes, j'ai personnellement joué avec des joueurs incroyables. Mais parfois les épisodes nous ont été défavorables : le foot c'est comme ça. Mais aujourd'hui, nous célébrons." Continuez à dire "nous" : vous sentez vraiment que cette Coupe du monde est la vôtre, n'est-ce pas ? "Oui, mon en tant que fan. L'équipe a gagné sur le terrain, mais en dehors nous sommes quarante-cinq millions de champions du monde." Traduction alex_j via FCInter1908.- 4 commentaires
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Marco Materazzi : "Ce soir, je soutiens le Maroc et ensuite..."
alex_j a posté un article dans Interviews
Après la qualification de l'Argentine en finale, ce soir place à France-Maroc. Pour parler de la Coupe du monde, la Gazzetta dello Sport a interviewé Marco Materazzi. Marco, si tu devais affronter cette équipe de France quelle serait ta première pensée ? "Leur force. Ils ont tout : la technique et le physique, comme en 2006. Il faut donc essayer de les limiter, résister, allonger le match et peut-être profiter du moment où ils peuvent concéder quelque chose." On ne sait pas si Aguerd et Saiss pourront jouer. Quel serait l'impact sans les deux ou même un seul d'entre eux ? "Dans ces cas-là, le banc parvient toujours à donner le meilleur de lui-même. Mais Saiss est aussi le capitaine : son absence serait plus impactante, c'est lui le leader. En 2006, sans Cannavaro, cela aurait été encore plus difficile." Au lieu de cela, Nesta avait été blessée et tu as pris sa place. "Contre la République tchèque, je suis entré assez froid et j'étais aussi inquiet. Puis j'ai tout de suite fait un bon arrêt sur Nedved et je me suis calmé." Pourquoi les défenseurs-buteurs sont-ils si rares ? "Parce qu'il y a une tendance, notamment en Italie, à défendre par secteur et avec l'aide de milieux de terrain, dans la conviction que cela aide à gagner. Chez les jeunes, nous devrions faire plus de un-contre-un : ce serait utile pour les attaquants et les défenseurs." Tu supportes qui pour la Coupe du monde ? "Aujourd'hui pour le Maroc, mais je pense que c'est le moins fort des quatre. J'espère que l'Argentine gagnera, je serais content pour Messi : il a ravi le football pendant de nombreuses années, il le mérite." Traduction alex_j via FCInterNews.- 4 commentaires
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Petit couac pour Marcelo Brozovic
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, la demi-finale cauchemardesque de Marcelo Brozovic, face à l’Argentine au Qatar, n’aura duré que 50 minutes de jeu…Epic Brozo ayant été "anormalement" remplacé par Bruno Petkovic. Révélation de Zlatko Dalic en après-match "Marcelo a senti une tension musculaire, cela lui a un peu tiré dans le muscle et j’ai décidé de ne pas le conserver jusqu’au terme de la rencontre: J’ai préféré le conserver pour la petite finale" a-t'il déclaré à l' HRT. ®Antony Gilles – Internazionale.fr-
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