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Javier Zanetti était l'invité de Madero Sports et ce, pour parler de l'Argentine et de l'Inter. Extraits. La coupe du monde 2022. "J'étais au Qatar et je travaillais aussi pour la Fifa mais j'ai vécu le triomphe argentin en tant que fan et avec ma famille. C'était très émouvant. Tout le monde voulait que l'Argentine devienne championne et que Messi puisse soulever la Coupe. Nous avons souffert dans certains matches mais ça fait partie du football. J'espère que le match qui va maintenant se jouer en Argentine sera une fête pour tous ceux qui n'ont pas eu l'occasion d'être au Qatar. Être champion du monde aidera Scaloni mais l'Argentine a une histoire dont elle devra toujours être la protagoniste. J'espère que c'est le point de départ, comme on l'a aussi dit lors de la victoire de la Copa America. Espérons que nous continuerons à gagner." Revenons en 1998. Zanetti a marqué contre l'Angleterre lors de la Coupe du monde. "Personne n'aurait pu imaginer ce match préparé. Nous avions des tireurs de coups francs comme Veron. Passarella a beaucoup insisté sur ce match et je pense qu'il a réussi car cela n'était jamais arrivé depuis toutes ces années que nous le préparions. Cela nous a fourni un match nul et puis nous avons gagné aux tirs au but." "Messi ? Il a eu ce qu'il méritait. Quand il a été critiqué dans notre pays, je ne comprenais pas. Mais ne pas savoir attendre nous a conduit à ça, à critiquer le meilleur joueur au monde. Pour moi, il a été le meilleur au monde pendant un certain temps et cela l'aurait été même sans gagner une Coupe du monde ou une Copa América." De l'Argentine à l'Inter en passant par Lautaro Martinez. "Quand nous l'avons pris, l'idée était ce que nous voyons maintenant. Nous n'espérions pas un résultat immédiat mais y arriver dans 4-5 ans. C'était la vision. Il se révèle être une référence pour le club et en nationale. Il a beaucoup grandi, il a mûri. Nous sommes très heureux de sa croissance. Ce sentiment d'appartenance à l'Inter est reconnu par nous, par les gens. Vous pouvez voir qu'il est heureux." "Inter- Benfica ? C'est difficile mais il fallait prévoir que, dans ces circonstances, tu vas affronter une équipe forte. Il faut les respecter mais on a les armes pour faire deux grands matches et passer. On sait que ce n'est pas facile, la Ligue des Champions est une compétition qui se joue sur des détails mais je suis convaincu que nous pouvons mieux nous préparer ce défi et passer." Napoli ou Derby en demi de la C1 ? "Ça a été une année compliquée en championnat. Naples fait un tournoi extraordinaire, ils font très peu d'erreurs. Nous manquons de continuité. Nous avons mérité la Supercoppa, nous sommes en demi-finale de la Coppa et nous avons la chance d'atteindre les demi-finales de la Ligue des champions. Est-ce que j'aimerais un Derby ou le Napoli en demi-finale ? J'aimerais jouer, puis quand nous y serons, nous y penserons. Vaincre Benfica serait déjà être une grande chose." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Interviewé par le Süddeutsche Zeitung, Robin Gosens, l’ailier de l’Inter est revenu sur sa non sélection avec l’Allemagne dans le cadre de la Coupe du Monde qui a sacré l’Argentine: "Ne pas participer à la Coupe du Monde a été une grande désillusion, cela a été le pire moment de ma carrière sportive jusqu’à présent. Maintenant j’ai très envie d’être là pour l’Euro qui se jouera à domicile." "Je dois reprendre ma place, je suis en chasse pour cela car, pour légitimer certaines espérances, je dois me battre pour redevenir titulaire à l’Inter, j’ai la prétention d’être au moins un candidat sérieux à prendre en considération. Pour moi, l’équipe nationale reste le Maximum, en passant à l’Inter je pensais avoir que mes chances de me retrouver régulièrement convoqués augmenter. Mais ce n’est pas ce qu’il s’est passé et les reproches sont envers moi-même.' "Hansi Flick m’a déjà dit clairement qu’il joue avec une défense a quatre et qu’il voit, en mes points forts, la possibilité de jouer sur l’aile gauche, ou d’une façon plus avancée dans une défense à trois et je ne crois pas ne pas être inapte pour une défense à quatre : Je sais comment cela fonctionne car j’y ai déjà joué." Gosens, le Psycho de l’équipe En effet, Robin Gosens a récemment suivi un cours de psychologie à distance et souhaite maintenant l'utiliser en tant que Professionnel car cela lui a permis de traverser des périodes difficiles: "Je dirais surtout que cela m'a aidé à gérer mes relations avec les autres. J'essaie maintenant de comprendre mes coéquipiers à d'autres niveaux. Si quelqu'un ne propose pas ce que vous avez l’habitude d’attendre de lui, durant plusieurs jours de suite à l’entrainement, il peut y avoir une justification derrière tout cela et j’essaie de prendre le temps de parler, de discuter mais sans le mettre au pied du mur." De cette façon, je saurai peut-être pourquoi il court moins, et j'aurais une bonne raison de ne pas me mettre en colère." Un message subliminal destiné à Simone Inzaghi ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Notre ancien défenseur Walter Samuel s'est exprimé au micro de la chaîne YouTube du journaliste Gianluca Rossi. Il évoque divers sujets. "Je me souviens grâce à une grande gratitude des supporters de l'Inter qui se souviennent encore de moi aujourd'hui et me saluent quand ils me voient. Je suis heureux d'avoir contribué à une petite partie de l'histoire des Nerazzurri." Deux mots aussi sur le Triplete. "En une semaine on a tout joué, on a joué la finale de la Coupe d'Italie, puis la finale de la Ligue des Champions, et la Serie A à Sienne. On aurait pu tout perdre. Nous avons commencé à jouer et à y croire, remportant un Triplete auquel peut-être personne ne s'y attendait." Sur votre choix de rester à Milan. "Beaucoup de mes anciens coéquipiers sont restés à Milan, même Chivu. Il fait beau et on s'entend bien. On a toujours gardé l'idée de rester ici parce qu'on va bien, ça sera difficile de partir. Nous serions toujours heureux de rester, il y a une belle complicité. Mes enfants vont souvent au stade, avec moi et seuls aussi." Passons ensuite à l'analyse de la situation actuelle. "Ils ont beaucoup de qualité mais ils sont, peut-être, trop irréguliers. Ils sortent des grands matchs comme contre Porto et puis ils peinent en championnat. C'est vraiment dommage parce que maintenant tu te bats avec quatre ou cinq équipes pour la Ligue des champions. Porto? Je vois le match positivement car ce sont des matchs ponctuels et l'Inter a un avantage. Je m'attends à un bon match, je ne vois pas tout en noir, j'ai la foi dans cette équipe." Lautaro est-il déjà un champion ? "Nous l'apprécions dans l'équipe nationale, c'est un grand joueur, jeune, il a encore beaucoup à donner. Je le vois enthousiaste à l'idée d'être à l'Inter. L'Argentine ? En tant que joueur, je n'ai pas eu la chance de gagner en équipe nationale. En 2022, nous l'avons fait et c'était fantastique pour tout le peuple argentin. Le mérite, c'est tous les joueurs qui ont toujours cru en nous. Nous aussi, nous avons pris beaucoup d'épaisseur." Un possible futur en tant qu'entraîneur. "Pour l'instant ça va, j'aimerais bien dans le futur mais je dois encore aller jusqu'au bout. Je sens que je dois encore beaucoup apprendre et je le fais avec Scaloni. Après avoir joué pour l'Inter, ce n'est pas une obligation de l'entraîner à l'avenir. Cambiasso, il est peut être un entraîneur capable, il est très calme. Lui aussi attendra le bon moment, l'entraînement n'est pas une obligation et c'est aussi juste de profiter de la famille." Au final, un excursus sur le rôle du défenseur. "Je ne sais pas s'il y a un Samuel aujourd'hui, les temps sont différents. Nous étions plus solides et concentrés sur l'homme. On avait plus de liberté. Peut-être que le dernier était Chiellini. Aujourd'hui, il faut se présenter et rester debout comme le fait Bastoni, je l'aime beaucoup, il est confiant, il court beaucoup. J'ai essayé d'être toujours là et de me sentir bien. Je n'ai jamais fait de tacles durs, en fait nous aussi nous en avons pris car nous avons affronté des attaquants qui frappaient. Je pense à Vieri, Lucarelli, Toni, contre eux c'était très dur parce qu'ils étaient très forts." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Javier Zanetti raconte tout à 'Que Mola'. Entre passé, présent et futur, voici l'intégralité de l'interview de notre ancien capitaine. Un adjectif pour Javier Zanetti aujourd'hui ? "Disons qu'aujourd'hui je suis un manager qui a une vision plus large que lorsque j’étais joueur." Votre jeunesse argentine, que pouvez-vous nous dire ? "Si je pense à mon enfance, j'ai de merveilleux souvenirs, liés avant tout à ma passion qui est le football. Depuis que je suis enfant, je courais après le ballon et rêvais avec mes amis de devenir professionnel un jour. J'ai pu faire de ce rêve une réalité. Dans mon quartier, je porte avec moi toutes les choses positives qui m'ont accompagné en tant que footballeur et aujourd'hui en tant que manager. Ce sont des valeurs importantes auxquelles je tiens et que je porte partout." A propos du potrero, le terrain du quartier ? "Ce serait l'oratorio des Italiens, où l'on passe de merveilleux moments entre amis. Vous rêvez, vous apprenez à jouer, vous aidez des amis dans le besoin, vous vous disputez, vous plaisantez. Ce sont des moments qui vous font vraiment grandir." Comment êtes-vous arrivé dans l’équipe jeune de l'Independiente ? "Je suis fan depuis que je suis enfant, j'y suis arrivé parce que je rêvais de porter ce maillot. A travers un tournoi dans mon quartier, les managers m'ont vu et m'ont emmené. Là j'ai commencé ma carrière dans une équipe professionnelle." Cependant, vos débuts professionnels étaient contre Banfield et votre premier match contre River Plate. "Oui, j'ai fait les jeunes là-bas. En réalité, les débuts sont en deuxième division, où j'ai fait un an, puis Banfield m'achète et je fais deux ans en première division. Les débuts sont contre River Plate et après ces deux années, l'appel inattendu de l'Inter m'a pris par surprise. C'était ma grande opportunité d'entrer dans ce football européen et de me comparer à de grands champions." Dans ce transfert est né le mythe chiffre 4… "Oui, c'était le maillot que j'ai toujours porté, il était libre à l'Inter et je l'ai pris de près parce que je l'aimais. Je l'ai gardé tout au long de ma carrière. Avec ce numéro, j'ai passé des moments inoubliables avec l'Inter. Pour moi, elle signifie famille, amour, c'est ma maison. Être lié au club est encore très important pour moi." Vous souvenez-vous de votre premier jour à l'Inter ? "Honnêtement, je ne pouvais pas imaginer à ce moment-là que ma carrière aurait été ici en intégralité. Je savais que je venais dans un grand club, avec une belle histoire et avec de grands champions de différents pays. Je voulais laisser ma marque, je savais c'était ma chance. Le saut était très grand, de Banfield à l'Inter, mais je savais que je devais donner tout ce que j'avais à l'intérieur et apporter mon essence sud-américaine pour que l'Inter apprécie mes qualités." En parlant d'essence sud-américaine, l'Inter l'a dans son ADN et l'avait déjà à l'époque. "Oui, il y a une tradition sud-américaine, beaucoup de joueurs ont bien réussi entre autres. Ensuite, FC Internazionale, même de par son nom, signifie aussi ouvrir les portes aux joueurs non italiens." "Dès le premier entraînement, nous avons la possession du ballon. Il ne le perd jamais, il reste toujours attaché à son pied. Ce jour-là, j'ai pensé qu'il entrerait dans l'histoire de l'Inter." Vous souvenez-vous qui a dit ces choses ? "Oui, le capitaine de l'époque, Beppe Bergomi, une personne qui m'a beaucoup aidé, il m'a tout de suite intégré dans la réalité du football italien, il m'a raconté l'histoire de l'Inter. Avec Giacinto Facchetti, ils ont été importants pour moi dans mon premiers pas dans cette société." À propos de l'âme argentine. Que pensez-vous de Batistuta et Crespo ? "Deux grands attaquants, parmi les principaux de l'histoire du football argentin. Batistuta avait une puissance physique incroyable, il a marqué de toutes les manières. Crespo était très intelligent à l'intérieur et à l'extérieur de la surface, il savait se démarquer avec des mouvements qui permettaient de le trouver et toujours là prêt à marquer." L'Argentine est championne du monde, je vous demande trois noms à mettre dessus. Le meilleur de tout les temps. "Messi, Diego Maradona et Kempes, qui a été l'architecte d'une course extraordinaire en 78 qui nous a fait gagner la première Coupe du monde." Le championnat argentin évolue, s'oriente vers un format européen. "C'est certainement un plus, le football argentin peut beaucoup grandir. Il faut copier les bonnes choses d’Europe et c'était un choix important pour l'avenir du football argentin." Trois raisons pour lesquelles un enfant passionné de football devrait suivre le football argentin. "Parce que c'est très excitant, il y a beaucoup de jeunes qui peuvent émerger et qui font déjà de grandes choses et parce que ça rappelle le potrero, où on voit des joueurs s'amuser. Des joueurs qui possèdent potrero." La Copa Libertadores comme la Ligue des Champions ? "En termes d'importance oui, mais cela se passe d'une manière différente. Parce que les stades sont différents, parce que les gens le vivent différemment. Mais c'est une coupe très convoitée et dernièrement elle a vu la domination des équipes brésiliennes qui s'investissent beaucoup. L'Argentine est un peu en retard, mais je pense que Boca, River et Racing peuvent être des protagonistes." Comment est né votre surnom d'El Tractor ? "Je suis né en Argentine, un commentateur m'a donné ce surnom parce qu'il a dit que lorsque je partais avec boulet et chaîne, je ressemblais à un tracteur que personne n'arrêtait. C'est ainsi que le surnom est né." Comment la formation vous a toujours aidé, dans une longue carrière où vous avez aussi changé de rôle. Vous étiez également milieu de terrain… "Beaucoup. L'entraînement est la chose la plus importante, j'ai toujours essayé de le faire en me donnant à 100% parce que je savais que dimanche je serais prêt pour un grand match. L'entraînement aujourd'hui me fait me sentir à nouveau bien et quand j'ai joué, je pensais que c'était le plus important." Votre but en équipe nationale a sauvé la vie de Marek Kopals. "C'est arrivé lors de la Coupe du monde 98, nous jouions contre l'Angleterre. J'ai découvert après qu'il regardait le match, grâce à mon but, nous sommes allés en prolongation puis aux tirs au but. S'il était parti après 90 minutes, il aurait explosé avec sa voiture là où il y avait une bombe. Disons que mon but l'a fait rester à la maison et l'a empêché de prendre cette voiture." Vous avez déjoué une attaque sans le savoir. Une magie en effet… "Oui, ça ne s'explique pas. Puis il m'a écrit une lettre pleine d'émotions, me remerciant. Quand on vous raconte ces choses, vous comprenez jusqu'où va la passion du football. Sa passion l'a fait rester à la maison plus longtemps, au-delà les 90 minutes." Parlons de Ronaldo. "Pour moi, il était l'un des plus forts avec qui j'ai eu l'opportunité et l'honneur de jouer. Un joueur extraordinaire dans tous les sens. Il vient de Barcelone dans sa meilleure période, avec nous, il a été dévastateur. À l'entraînement, il était difficile d'arrêter lui et dans le jeu aussi." Angelillo a été important pour vous amener à l'Inter… "Il m'a vu et m'a identifié comme un joueur de l'Inter, je le remercierai toujours. Grâce à lui, Mazzola et Suarez m'ont vu, je suis arrivé dans ce grand club. Angelillo est une légende, capitaine, qui a laissé sa grande enseigne à l'Inter." Que signifie cette photo de vous sur le chantier ? "Mon père était maçon, pendant un an je l'ai aidé et ce fut l'un des meilleurs moments de ma vie. Là j'ai compris beaucoup de choses, combien mon père et ma mère se sont sacrifiés pour que mon frère et moi ne manquions de rien. J'ai commencé à comprendre les vraies valeurs de la vie, les fondamentaux pour l'être humain." Est-il vrai que vous risquiez physiquement de ne pas faire partie des sélections professionnelles ? "J'étais très fragile, c'est pourquoi l’Independiente m'a laissé partir en disant que je n'étais pas prêt à jouer au football à ce moment-là. J'ai accepté leur décision mais je ne le nierai pas en tant que fan, c'était un coup dur pour moi. Je rêvais de faire mes débuts avec eux. Mais il fallait que ça se passe différemment et puis quand on a affronté Banfield, les managers d'Independiente avaient les mains dans la nasse. C'est une des choses qui peuvent arriver dans le football." Parlons de l'asado. "Cela fait partie de notre culture, c'est un groupe. A l'Inter, nous nous sommes amusés avec ce groupe, ce n'est pas un hasard si nous avons tout gagné." Parlons de Mourinho. "José a été important pour moi dans ma carrière, une relation qui va au-delà de la relation professionnelle. Il y a une relation humaine très forte qui dure dans le temps, on se parle souvent, on s'envoie des textos. C'était un super leader pour ce groupe-là." Dans l'hymne Pazza Inter, le début est avec le commentaire de votre but. "Un moment de plaisir, cette chanson tous ensemble. Je remercie Scarpini pour le commentaire très émouvant, il a été décidé de commencer l'hymne avec ça." En Argentine, vous êtes passés maîtres dans le commentaire… "Oui, car ils vous font vivre de grandes émotions, qui vous viennent en regardant ou en écoutant les matchs." Parlons de Maldini. "Avec Paolo, il y a toujours eu une grande relation et au-delà de la rivalité un grand respect qui dure encore aujourd'hui et qui durera. Il représente l'un des joueurs que tout le monde respecte dans le monde du football pour sa façon d’être et de jouer." Vous êtes deux capitaines très représentatifs du derby milanais. "Nous nous sommes affrontés plusieurs fois, Paolo était un adversaire très loyal et je l'ai toujours apprécié pour ça." Un conseil pour les jeunes joueurs, pour ceux qui n'ont pas tout de suite un grand talent ou pour ceux qui en ont déjà un. "Le conseil est très simple, dans les deux cas : ne jamais cesser de rêver ! Les rêves peuvent se réaliser mais pour les réaliser, il faut beaucoup de travail, de sacrifice et de résilience car il y aura des moments diffcile à affronter. Une fois fait, vous ressortez plus fort de ces moments." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Lautaro Martinez est en pleine éclosion, Champion du Monde avec l’Argentine, il a pris le rôle du Boss en attaque et celui-ci c’est livré à Footsteps, le nouveau podcast Nerazzurro disponible sur la plateforme Recast Quel est le lieu qui te tien le plus à cœur ? "Bahia Blanca avec mon frère, nous prenions deux ballons et nous avions tracé notre propre terrain, nous y jouions avant de partir à l’école, en rentrant aussi et après nos entrainement : Notre mère nous venait toujours nous chercher là-bas lorsqu’i était temps d’aller manger." L’étape la plus importante de ta carrière ? "J’ai commencé comme professionnel à Buenos Aires avec l'Avellaneda, une ville qui a tant de passion pour le football et il y est vraiment vécu d’une façon spéciale : Ce sont des si beaux souvenirs. Le Liniers est le club où je suis "né", celui qui m’a fait grandir comme joueur et comme homme." "Ma famille a aussi été importante, elle m’est venue en aide lorsque j’en avais besoin et à présent, c’est à mon tour de l’aider. Milan m’a donné tant d’amour depuis mon premier jour et je suis arrivé dans une équipe gigantesque, c’est un club important composé de joueurs importants et les Tifosi m’ont fait sentir important dès mes premiers jours, c’est si beau : Ils m’ont toujours respecté et je leur donne, toujours tout, sur le terrain." Qu’est-ce qui est le plus déterminant pour toi ? "L’humilité, le respect et le travail." Quel est le moment qui a été le plus émotionnel pour toi ? "Celui qui me reste le plus en tête est mon début avec mon équipe nationale : C’était une période où il y avait tant de si bons joueurs, ils m’ont donné cette opportunité et cela restera gravé dans mon cœur pour le reste de ma vie." Quel est ton joueur de référence ? "Pour le rôle qu’il a occupé, je dirais toujours Radamel Falcao, pour ses mouvements sur le terrain, dans la surface, il a toujours été mon idole." Quelle est la personne qui t’influence le plus ? "Toute ma famille, sans eux, je n’aurai pas su réaliser mon rêve. Ensuite, il y a un entraineur du Racing qui m’a donné un coup de main gigantesque lorsque je suis arrivé là-bas: Je ne parvenais pas à rester loin de ma maison, j’ai énormément souffert mais il a été si proche de moi. Il y a aussi tous les autres entraineurs et avec qui j’apprends toujours, je cherche à écouter et à voir ce qu'ils font et comment ils travaillent pour m'améliorer." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Présent à Coverciano pour la Panchina d’Oro, le sélectionneur National de l’Argentine Championne du Monde, Lionel Scaloni s’est livré sur le numéro 10 Nerazzurro à TMW "Pour moi, il a toujours été fondamental, je lui veux que du bien et il a toujours été mon attaquant préféré : Au Mondial, il a connu un petit pépin et j’ai dû penser à faire ce qu’il y avait de mieux pour l’Equipe. Et lui le sait parfaitement bien : Il répond toujours présent lorsque je fais appel à lui et, il a apporté ce petit plus lors du pénalty face au Pays-Bas." "Je l’aime et je suis heureux qu’il ait pris en main aussi l’Inter : J’ai vu qu’il lui avait aussi été confié le Capitanat : Je suis très content pour lui, il est dans une Grande équipe et je suis fier car c’est un très "Bravissimo" joueur." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Javier Zanetti est l'invité spécial de Supertele, une émission DAZN animée par Pierluigi Pardo. La conversation avec le journaliste commence évidemment par le derby remporté par les Nerazzurri face à Milan puis évolue sur d'autres sujets. À quel point une victoire dans le derby change votre lundi ? "C'est un lundi différent, gagner un derby a une saveur particulière, surtout parce que nous l'avons gagné à juste titre." Y a-t-il un mystère à l'Inter ? Dans certains matchs, c'est très fort, mais pour d'autres, c'est faible. "Nous aurions certainement pu avoir quelques points de plus mais cela fait partie d'un chemin que cette équipe suit avec une certaine continuité. Un drop peut se produire avec autant de matches serrés. Je vois une équipe qui est protagoniste, qui veut toujours jouer le match et qui sait réagir. L'Inter, de la première année d'Antonio (Conte, ndlr), a toujours eu une continuité ces quatre dernières saisons. Je suis surpris quand je vois des critiques très exagérées envers une équipe qui fait les choses de la meilleure façon possible. Nous pouvons nous améliorer, nous en sommes conscients, par contre nous disons que Naples fait quelque chose d'extraordinaire." Vous pensez à Spalletti ? "Il y a beaucoup de Luciano dans ce Napoli. Il a fait un excellent travail à l'Inter, c'est un entraîneur qui laisse sa marque dans les équipes." Terminer deuxième vaut-il un Scudetto pour vous ? "Nous devons faire de notre mieux jusqu'à la fin. Nous avons la Ligue des champions, la demi-finale de la Coppa Italia contre la Juve, nous devrons faire de notre mieux." Qui choisirez-vous comme symbole de l'Inter cette saison ? "Je vais demander à Darmian son maillot à mettre dans mon musée. C'est un joueur silencieux, toujours au service de l'équipe. Il donne toujours du sien, c'est un gars sérieux et professionnel. C'est quelqu'un qui fait la différence dans n'importe quel groupe." L'Inter vaut Naples, quelle est la raison de cet écart ? "C'est la continuité et il y a le regret d'avoir laissé des points en cours de route. Le championnat est compétitif, il y a beaucoup de matches. Naples, donc, ne s'est pas trompé, les battre a été très dur pour nous." Vous attendiez-vous à un Milan aussi prudent hier ? "J'ai entendu la nouvelle avant le match, puis ce changement s'est produit pendant le match. Mais il y a aussi les mérites de l'Inter qui a pu voir, dès la première minute, qu'elle pouvait gagner le match. Milan est toujours une équipe à respecter, puis il y a des moments. Je connais Pioli, Maldini, ils ont la personnalité pour s'en sortir." Lautaro peut-il être le vrai capitaine? "Honnêtement, je suis très content de sa carrière à l'Inter. Sa performance ne cesse de croître. Maintenant, c'est aussi une confirmation pour l'équipe nationale argentine. Il est important pour l'Inter, et il le montre à chaque fois qu'il entre sur le terrain. C'est un mec généreux, il ne va pas perdre. Hier il a dit que le derby milanais se vit comme en Argentine, il a raison car l'environnement est très chaud." La situation de Skriniar, aurait-elle pu être mieux gérée ? "Je ne sais pas. La chose est simple : nous avons proposé le renouvellement dans nos possibilités (économique, ndlr), il l'a évalué et a dit non. Ça va, nous devons accepter sa décision. Je pense que le plus important, c'était la réponse de tout le milieu. Il va falloir mettre le joueur dans la situation de donner le meilleur de lui-même. L'important c'est le bien du club, il a été le premier à le comprendre. L'inter va continuer, Skriniar va porter un autre maillot à partir de juillet et nous lui souhaitons le meilleur. Il est essentiel pour nous qu'il se comporte comme hier." Pourquoi avez-vous décidé de retirer le brassard à Skriniar ? "C'est un thème avant tout lié à l'avenir, Marotta a été clair. Nous en avons tous discuté et nous avons convenu que c'était le meilleur choix, un choix qu'il a compris de suite. L'Inter va de l'avant. Hier, le capitaine était Lautaro, qui est le présent et l'avenir." Quel est le joueur le plus intéressant de la Serie A ? "En regardant surtout Napoli, je dis qu'Osimhen se révèle être un grand attaquant, il est important pour son équipe." Souvenirs de la coupe du monde. "C'est impossible de rester sobre en tant que champion du monde (rires, ndlr). J'ai vécu la Coupe du monde avec de grands sentiments pour mon pays, pouvoir assister au tournoi avec ma famille m'a permis de célébrer chaque instant. Après la finale, je me suis senti heureux parce que nous attendions depuis 1986. Ceux qui aiment le football attendaient que Messi devienne champion du monde, c'est ce que j'ai entendu des fans au Qatar." Messi ou Maradona ? "Au-delà de ce qu'il a fait sur le terrain, Diego avait un charisme incroyable. On aime Messi parce que c'est comme ça qu'il se montre. En tant qu'Argentin, je suis ravi d'avoir eu Diego qui restera unique." L'histoire Messi-Inter était-elle vraie ? "En raison de la relation que nous entretenons, nous avons parlé quand il y avait cette possibilité. J'ai été surpris quand il a dit au revoir à Barcelone. Mais de manière réaliste, nous ne pouvons pas rivaliser avec des clubs comme le PSG ou les clubs anglais." Comment voyez-vous Mourinho à Rome ? "Êtes-vous surpris par ce Mourinho ? José arrive toujours à donner quelque chose d'important à ses garçons, il les stimule pour leur bien." Zaniolo va quitter la Serie A. "Je suis désolé parce que ce n'est pas bon pour lui de quitter l'Italie. Ce sont des choix qu'il faut respecter. Je ne sais pas ce qui s'est passé au niveau environnemental, mais il n'y a pas de sérénité autour de lui." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Notre légende Javier Zanetti a accordé une interview à Tuttosport dans laquelle il évoque sa fidélité au club qui l'a fait grandir. Javier, quand l'étincelle vous a-t-elle frappé pour le football ? "J'avais trois ans et ils m'ont donné un ballon que je n'ai jamais lâché. Dans le quartier Dock Sud à Avellaneda, à deux cents mètres de la maison, il y avait une place et un petit terrain et tout a commencé là. Nous vivions près du stade de l'Independiente et ma mère était une grande fan. En Argentine, le magasinier avertit la curva lors de l'entrée de l'équipe sur le terrain. Lorsqu'il a fait, tout a explosé. Je frissonnai et je me disais 'Je me demande si je ressentirai aussi cette émotion'. Je l'ai fait." Était-ce le coup de foudre avec l'Inter ? "Je suis arrivé à Cavalese, parmi les journalistes, avec un sac qui contenait mes chaussures. Ils m'ont pris de Banfield, une équipe inconnue, tandis que Rambert venait d'Independiente où il avait remporté le championnat en tant que meilleur buteur. De plus, Roberto Carlos et Paul Ince sont également arrivés cette année-là. J'étais le quatrième étranger et à l'époque seuls trois pouvaient entrer sur le terrain mais le destin voulait que je joue tout de suite. Un lien très fort est né. Ils m'ont fait me sentir comme chez moi ici." La rumeur avec le Real, en 2001, une aventure ? "J'avais parlé à Valdano, leur entraîneur: il me voulait à Madrid. Presque tout était fait mais j'ai décidé de rester et j'ai prévenu Moratti." Combien avaient-ils offert ? "Un contrat bien plus important que celui que j'avais à l'Inter. Cependant, en plus de l'argent, j'ai pensé à la famille, à la relation avec les fans et au fait que je voulais laisser ma marque à Milan. Et je me suis dit 'Si je vais au Real, je suis un parmi tant d'autres.' J'aurais certainement gagné quelque chose, mais je voulais le faire ici. C'était un choix fort, mais il y a plus..." Histoires. "Manchester United et Barcelone m'ont aussi "tenté". Je ne me souviens plus si c'était en 2001 ou 2002. J'étais avec Paula, ma femme, et j'ai trouvé Ferguson dans un aéroport et il m'a dit bonjour, m'a demandé quand mon contrat était terminé. Mais j'étais heureux à Milan, malgré ces années très compliquées pour l'Inter. Ailleurs j'aurais eu une carrière plus importante, mais je ne me serais pas retrouvé comme à l'Inter." Comment cela s'est-il terminé avec Barcelone ? "Que j'ai "lancé" Puyol ? Il me le dit toujours. Il était dans l'équipe jeune et avait également commencé à faire quelques apparitions dans l'équipe première. Un jour, Van Gaal l'a appelé et lui a dit: 'Je veux signer l'arrière droit le plus fort du monde qui est Zanetti. Si nous ne le signons pas, je te garderai avec moi'. Et Carlos me remercie chaque fois qu'il me voit…" Qu'y avait-il dans cette étreinte avec Messi à Lusail ? "Beaucoup : je l'ai vu débuter en équipe nationale et il méritait cette coupe. Je l'ai remercié car il a couronné le rêve de tous les Argentins. À Doha, à cette époque, il y avait une atmosphère particulière : tout le monde voulait que Leo soulève la coupe." Avez-vous un meilleur ami dans le football? "Avec Zamorano qui est le parrain de Sol et Cordoba qui est le parrain de "Nacho", ainsi que mon colocataire à l'Inter, la complicité va au-delà de ce qu'ont été nos carrières." Vous êtes-vous senti trahi par Hodgson et Lippi ? "J'ai fait une erreur avec Hodgson parce que je n'ai pas compris qu'il m'a remplacé en finale contre Schalke parce qu'il voulait que Berti tire le penalty. Cette querelle s'est arrêtée là et même maintenant, quand on se rencontre, on en rigole. Par contre, je n'ai pas aimé l'attitude de Lippi, quand ça va mal, il ne faut pas chercher des coupables, mais des solutions. Peut-être, avec le recul, l'a-t-il fait pour partir." Traduction alex_j via FCInter1908.
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L'année 2022 s'achève et elle ne fut pas si mauvaise pour el Toro. Aujourd'hui se termine une année pleine de satisfactions sportives pour Lautaro Martinez qui dans la dernière partie de 2022 a couronné le rêve de tout footballeur en devenant champion du monde avec l'Argentine. Notons qu'il avait déjà remporté la finale de Wembley contre l'Italie en Juin avec l'Albicéleste. Avec l'Inter, el Toro a mis en vitrine tout autant de trophées, la Supercoupe d'Italie et la Coupe d'Italie, un butin suffisamment riche pour envoyer un petit remerciement à 2022 désormais terminé. "Gracias 2022", écrit notre attaquant sur Instagram en postant un montage qui le voit encourager l'équipe nationale et le club avec les différents trophées en main. Moralité: c'est sûr, en portant le maillot 22 de l'Albicéleste ça a dû aider pour 2022. Traduction alex_j via FCInternews.
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Javier Zanetti se livre sur le Sacre Argentin
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Interviewé par Tyc Sports, le Vice-Président de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr, Javier Zanetti s’est livré sur Lautaro Martinez et l’Argentine: "La Finale était comme une fête jusqu’à la 79ème minute de jeu, ensuite Kylian Mbappé a marqué deux buts et j'ai dit à mon fils de rester calme, que nous allions gagner. Lorsque Montiel a marqué son tir au but, c'était une émotion indescriptible." "C'était un privilège d'être monté sur le terrain en finale, j'ai embrassé tout le monde, je les ai félicités. Ils ont réalisé le rêve de tous les Argentins. Je cherchais Leo et je ne le voyais pas , je disais au revoir à Lauti, quand Léo m’appelé et que je l’ai vu et nous nous sommes embrassés. J'ai dit à ses enfants qu'ils ne savent pas quel père ils ont, non pas en tant que joueur mais en tant que personne. J'ai eu la chance de pouvoir jouer avec lui, nous avons traversé des périodes difficiles. S'il y en a un qui méritait d'être champion du monde, c'est bien Messi, il a souffert en silence et il le méritait". Lautaro ? "Je l'ai serré dans mes bras, il était très excité par la victoire. Il est arrivé à la Coupe du Monde avec quelques problèmes physiques. S'il était parvenu à concrétiser l'une de ses occasions face à l'Arabie saoudite, sa Coupe du monde aurait sans doute été différente, mais cela fait partie du football: L'important était d'avoir 26 joueurs et que tous savaient qu’ils pouvaient s’entraider." "Lauti a aussi pris ses responsabilités lors du penalty, en demi-finale, contre les Pays-Bas et c’était loin d’être quelque chose de facile à faire. Lui l’a fait et nous a tous rendu fier, il est très jeune et pour son premier mondial, il est déjà sacré Champion du Monde." ®Antony Gilles – Internazionale.fr-
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L’Inter a célébré, comme de coutume, les fêtes de fin d’années, et l’ensemble de notre Management s’est livré à Sky Sport avec un Steven Zhang particulièrement en forme dans une reprise de "Noi Siamo L’Inter". Steven Zhang "Nous nous retrouvons pour le première fois pour faire la fête après le Covid-19, nous avons vécus trois années difficiles qui ont mis en péril le moral de tous et qui ont touché toutes des vies à travers le monde. Durant cette période compliquée, nous avons remporté trois trophées." "Lorsque je suis arrivé je pensais que cela allait être compliqué ou impossible de les remporter. En revanche, nous sommes parvenus à Gagner et nous sommes qualifiés pour la seconde année de suite en huitième de finale de la Ligue des Champions. Le mérite en revient au travail de tous." "Je suis extrêmement heureux pour Lautaro qui a remporté le Mondial, il a mérité ce titre avec l’Argentine, je suis fier de lui : Chaque victoire doit être une source d’inspiration pour nous tous. Nous l’avons vu grandir à l’Inter pas après pas." Lukaku ? "C’est un grand joueur, j’espère qu’il pourra se ressaisir, il travaille et s’améliore au quotidien." Alessandro Antonello, Administrateur-Délégué Corporate "Dans très peu de temps le championnat va reprendre et j’espère que l’équipe pourra repartir avec l’enthousiasme de vouloir atteindre ses objectifs : Le Management travaille en coulisse pour garantir au Club sa stabilité et pour permettre à l’Inter de se fixer et d’atteindre des objectifs toujours plus importants." Les stades qatari ? "J’y ai vécu deux quart de finale, ce sont des enceintes avant-gardiste. Le Qatar a donné l’exemple de comment il est possible de construire des stades en proposant une expérience différentes de toute celles qui étaient déjà proposées. J’espère que nous pourrons en faire de même ici, à Milan, en respectant les indications de la Commune, nous voulons construire notre nous stade dans le quartier de San Siro, à Milan." "Notre Benchmark est de disposer d’un stade moderne similaire à ceux de la Premier League, celui de Tottenham, par exemple est l’un des plus iconiques. Jeudi, le Conseil Municipal fera part de son retour suite au débat public : Si la décision est telle qu'il sera impossible de construire le stade dans le quartier de San Siro, l’Inter et le Milan mettront en place le plan B qui deviendra le plan A : Nous avons déjà localisé d’autres secteurs et nous sommes éventuellement prêt à évaluer ces alternatives." Giuseppe Marotta, Administrateur-Délégué Sport "Nous voulons reprendre la compétition avec une grande motivation agonistique et avec l’envie de s’offrir de grandes satisfactions. Notre club, vu l’Histoire qu’il représente, se doit d’être ambitieux. L’ambition est un motif d’orgueil, pas de fierté. Le 4 janvier, nous devrons nous montrer compétitif en cherchant à obtenir un grand résultat face au Napoli, qui a démontré être jusqu’à présent, l’équipe la plus forte." Le sacre argentin ? "Je suis très heureux pour Lautaro et Correa, la Victoire d’une Coupe du Monde représente l’objectif le plus important dans la carrière d’un joueur. Je suis confiant sur le fait que Lautaro va se montrer surmotivé et qu’il prouvera à tous, au Meazza, toute l'étendue de ses qualités." Lukaku ? "Il aime l’Inter, nous nous en rendons comptes en passant des jours entier ici avec lui. Il a connu des pépins musculaires, mais je pense qu’il s’est parfaitement rétabli: Il doit retrouver une bonne condition physique, et il est très motivé, nous nous attendons à des choses importantes de sa part." "Le Palmarès de l’Inter est riche et j’espère qu’en 2023, nous pourrons y ajouter des titres que nous n’avons pas remporté en 2022." Simone Inzaghi, entraîneur de l'Inter "C’est une soirée spéciale, je tiens à tous vous remercier car cela fait 18 mois que je suis à l’Inter et que j’ai été très bien accueilli, en premier par le Président, et ensuite et comme toujours par la Direction qui est toujursavec nous : Marotta, Antonello, Ausilio, Baccin, Zanetti. Tous m’ont fait sentir comme à la maison depuis le début, je remercie aussi les joueurs." "L’équipe a présenté à mon staff une très grande disponibilité, nous avons réalisé une saison gratifiante avec deux titres de glanés et un Scudetto disputé jusqu’à la toute dernière journée. A présent, tout recommence et nous devons faire de notre mieux, pour nous-même et pour nos Tifosi qui ne nous ont jamais abandonné, même dans les moments les plus difficiles, ils ont toujours été à nos côtés." "Rien n’est perdu et nous chercherons à repartir du bon pied." Alessandro Bastoni et sa bande qui se tape l'incruste "Je profite de l’occasion pour souhaiter à tous un Joyeux Noël et pour vous dire que nous ferons tous pour nous relancer et faire un beau championnat." Celui-ci était en compagnie de Milan Skriniar et Hakan Çalhanoğlu avec le slovaque qui tenait à souligné : "Objectivement, nous sommes d’accord, nous allons tout donner pour gagner." Suivi d’un "D'accord" de l'international turc. Le Saviez-Vous ? Pour La Gazzetta Dello Sport: "Steven Zhang a bien l'intention de garder l'Inter pour longtemps. L’idée de Zhang est la suivante : Prolonger les termes de l'accord avec Oaktree, qui d'ici 2024, intérêts compris, doit récupérer une somme de 295 millions d'euros de la part du Suning, avec les actions du club comme gage." "Et il est évident qu’il n’attendra pas cette date pour savoir de quoi sera fait l’avenir de l’Inter, un double chemin pour l’Inter s’offrira à lui: Steven Zhang travaille afin de s'assurer un avenir à moyen et long terme à la tête du club. Le président envisage donc d'aller au-delà de 2024 dans sa relation avec le même fonds d’investissement." "L'autre solution consiste à refinancer la Dette auprès d'un autre fonds ou de parvenir trouver un partenaire pour soutenir le club. L'objectif est clair : Avancer avec Oaktree et repousser significativement l'échéance afin de garantir la stabilité du club, en se rapprochant de l'objectif fixé d’être une Entreprise durable et autosuffisante." Le message est clair, tout comme la gueule de bois à venir de notre Président ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Notre international turc s’est livré sur la seconde partie de saison à venir, entre sa relation avec Simone Inzaghi, Romelu Lukaku, Lautaro Martinez et la Couse au Scudetto, Hakan n’élude aucune question: "Je me sens bien, j’ai aussi bossé durant les vacances pour rester en forme, je veux être encore plus important pour l’Inter. Ici, j’ai immédiatement été aidé et on m’a fait me sentir chez moi. Je tiens à renvoyer l’ascenseur pour cette confiance en remportant un autre titre, peut-être le Scudetto." Vous êtes à 11 points du Napoli, Leader, croyez-vous en une remontée ? "Oui, c’est certain que j’y crois: Si on redémarre avec la même qualité que celle proposée lors de nos derniers matchs avant la trêve, nous pouvons y arriver." Le 4 janvier, c’est immédiatement Inter-Napoli... "Ce sera une rencontre décisive qui fera comprendre tant de chose au reste du Championnat : La remporter s’avère importantissime. Nous jouerons à domicile, nous serons les Favoris. Je m’y prépare de la bonne façon, je veux le bien de l’équipe : Je veux montrer ce que j’ai en moi." Avez-vous déjà reçu un appel d’Ausilio en rapport avec le renouvellement de votre contrat qui expirera en 2024 ? "Non, pas encore, j’ai envie d’en parler, mais j’attends que ce soit lui qui m’appelle." Milan Skriniar va-t-il rester à l’Inter ? "J’espère que oui, c’est un très grand joueur, un des leaders de notre équipe avec Samir. C’est à lui de prendre sa décision avec le Club, mais j’espère qu’il restera." Quels sont vos rapports avec Simone Inzaghi ? "Excellent, c’est l’une des personnes qui m’a le plus voulu à l’Inter, il a montré immédiatement qu’il croyait en mes qualités dès mon premier jour: Il m’a aussi félicité pour la façon dont j’ai su remplacer Brozovic. Nous avons remporté deux coupes ensemble, il ne nous reste que le Scudetto." Avez-vous regardé la Coupe du Monde remporté par l’Argentine de Lautaro ? "Je n’ai regardé que la Finale qui était une très belle partie, mais dans le tournoi, il manquait ma Turquie et l’Italie. Je suis heureux pour Lautaro, nous sommes amis et je sais à quel point il tenait à ce Mondial. Je l’attends à Appiano comme Champion du Monde pour que l’on puisse faire tous ensemble la fête." Comment avez-vous retrouvé Romelu Lukaku à son retour du Qatar ? Il devrait être disponible dès janvier… "Je l’espère… Il rit. C’est évident qu’avec lui, nous sommes une équipe différente, plus forte. Mais nous avons de toute façon de très grands joueurs. Il faut aussi remercier Dzeko qui, avec ces buts, nous a permis de rester à flot alors que nous traversions des périodes difficiles. Si nous sommes quatrième, nous le devons énormément à lui, c’est un Exemple. Il sera encore important tout comme Correa et tout ceux qui rentreront en cours de match : Nous devons tous être unis." En Ligue des Champions, vous ferez face à Porto... "Remporter la Ligue des Champions est l’un de mes rêves: Cette année, j’y crois! Je ne sais pas bien la raison, mais j’ai ce présentiment particulier : Nous avons su prendre le meilleur dans un groupe très difficile, nous avons relevé la tête après notre défaite face au Bayern, nous avons prouvé de quoi nous étions capable: Porto est une équipe forte, mais si nous jouons nos matchs comme ceux que nous avons disputé face à Barcelone, nous pourrons nous qualifier au tour suivant." Le 18 janvier, ce sera la Super Coupe face au Milan "Les finales sont spéciales et elle se disputent avec un état d’esprit différent : Nous irons à Riyad pour la remporter." Lorsque vous avez quitté Milan, votre ancien club, il a remporté le Scudetto, avez-vous des regrets ? "Je respecte le Milan, j’ai de bons rapports avec Pioli, Maldini et Massara. En gentleman, je les ai félicité pour le Scudetto remporté l’année dernière : Les amis n’ont pas de couleurs, mais pour moi, Milan représente le passé, je pense exclusivement à l’Inter à présent." Qui arrivera en premier à décrocher la Seconde Etoile : L’Inter ou le Milan ? "Il sourit…. Dieu seul le sait." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Javier Zanetti : "Un grand jour pour l'Argentine ! Léo Messi m'a dit..."
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Javier Zanetti a accordé une interview aux micros de la Repubblica après la victoire de l'Argentine à la Coupe du monde au Qatar. Voici ses mots. Zanetti, quelle est l'image qui vous reste de ce triomphe, de ce retour à la gloire de l'Argentine ? "Voir mes enfants en larmes, pleurer d'émotion. Nous étions tous ensemble, toute la famille ici à Doha. Ce fut un moment unique et inoubliable." Que signifie cette victoire pour l'Argentine ? "C'est un rêve. Un rêve que ces garçons ont donné à un peuple, à une nation, à quarante-cinq millions d'Argentins qui ne voulaient rien de plus que pouvoir célébrer cette coupe." Avez-vous parlé à Messi ? "Oui, je suis entré sur le terrain et allé vers lui. C'était un moment très émouvant : on s'est embrassés, on a ri. Je lui ai dit que j'étais heureuse, qu'il le méritait, que c'était son destin." Et a-t-il dit quelque chose ? "Juste une chose : enfin, enfin." Que représente ce succès pour Messi, pour sa carrière et son histoire sportive ? "Il méritait ce triomphe plus que quiconque. Le voir soulever la Coupe du monde était l'image, je pense, que le monde entier voulait voir, c'était juste que cela arrive à un garçon et à un joueur comme lui." Si c'est arrivé, c'est aussi grâce à Scaloni. Quels mérites a-t-il ? "Sa grandeur est celle d'être un entraîneur humble, un homme simple : mais grâce à ce don, il a montré dès le début qu'il avait quelque chose de spécial, qui pouvait nous donner ce but." Vous y avez cru dès le début de cette Coupe du monde, c'est vrai ? "Oui, j'y ai cru parce que j'ai compris qu'il y avait ce sentiment collectif de quelque chose de grand, cette illusion : tant de gens qui sentaient que le moment était peut-être venu. Avez-vous vu combien de personnes étaient venues d'Argentine ici à Doha ?" Selon vous, cet enthousiasme collectif a-t-il atteint l'équipe ? "Bien sûr, il a entraîné les joueurs dans des moments difficiles. Je vous assure qu'une équipe s'en aperçoit." Des moments difficiles qu'il y a eu surtout au début. "L'équipe a sorti ses tripes, ils ont vécu une Coupe du monde grandissante. Il a perdu au début, mais cette défaite lui a fait du bien, il a créé un lien. Un moteur, jusqu'à aujourd'hui, où tout s'est terminé comme il se doit. Nous attendions cette joie depuis trop, trop d'années." Que manquait-il jusqu'à aujourd'hui ? "Parfois la chance, d'autres fois peut-être avons-nous rencontré des équipes plus fortes que nous. Nous avions de grandes équipes, j'ai personnellement joué avec des joueurs incroyables. Mais parfois les épisodes nous ont été défavorables : le foot c'est comme ça. Mais aujourd'hui, nous célébrons." Continuez à dire "nous" : vous sentez vraiment que cette Coupe du monde est la vôtre, n'est-ce pas ? "Oui, mon en tant que fan. L'équipe a gagné sur le terrain, mais en dehors nous sommes quarante-cinq millions de champions du monde." Traduction alex_j via FCInter1908.- 4 commentaires
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Marco Materazzi : "Ce soir, je soutiens le Maroc et ensuite..."
alex_j a posté un article dans Interviews
Après la qualification de l'Argentine en finale, ce soir place à France-Maroc. Pour parler de la Coupe du monde, la Gazzetta dello Sport a interviewé Marco Materazzi. Marco, si tu devais affronter cette équipe de France quelle serait ta première pensée ? "Leur force. Ils ont tout : la technique et le physique, comme en 2006. Il faut donc essayer de les limiter, résister, allonger le match et peut-être profiter du moment où ils peuvent concéder quelque chose." On ne sait pas si Aguerd et Saiss pourront jouer. Quel serait l'impact sans les deux ou même un seul d'entre eux ? "Dans ces cas-là, le banc parvient toujours à donner le meilleur de lui-même. Mais Saiss est aussi le capitaine : son absence serait plus impactante, c'est lui le leader. En 2006, sans Cannavaro, cela aurait été encore plus difficile." Au lieu de cela, Nesta avait été blessée et tu as pris sa place. "Contre la République tchèque, je suis entré assez froid et j'étais aussi inquiet. Puis j'ai tout de suite fait un bon arrêt sur Nedved et je me suis calmé." Pourquoi les défenseurs-buteurs sont-ils si rares ? "Parce qu'il y a une tendance, notamment en Italie, à défendre par secteur et avec l'aide de milieux de terrain, dans la conviction que cela aide à gagner. Chez les jeunes, nous devrions faire plus de un-contre-un : ce serait utile pour les attaquants et les défenseurs." Tu supportes qui pour la Coupe du monde ? "Aujourd'hui pour le Maroc, mais je pense que c'est le moins fort des quatre. J'espère que l'Argentine gagnera, je serais content pour Messi : il a ravi le football pendant de nombreuses années, il le mérite." Traduction alex_j via FCInterNews.- 4 commentaires
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Petit couac pour Marcelo Brozovic
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, la demi-finale cauchemardesque de Marcelo Brozovic, face à l’Argentine au Qatar, n’aura duré que 50 minutes de jeu…Epic Brozo ayant été "anormalement" remplacé par Bruno Petkovic. Révélation de Zlatko Dalic en après-match "Marcelo a senti une tension musculaire, cela lui a un peu tiré dans le muscle et j’ai décidé de ne pas le conserver jusqu’au terme de la rencontre: J’ai préféré le conserver pour la petite finale" a-t'il déclaré à l' HRT. ®Antony Gilles – Internazionale.fr-
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Brozo et Toro en demie de la coupe du monde !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Les deux premiers quarts ont été joués hier et la Croatie affrontera l'Argentine pour une place en finale. Lautaro Martinez qui n'a pas brillé jusqu'à présent, et ce malgré les explications d'un astrologue, a marqué le pénalty décisif pour envoyer l'Albicéleste en demie. Voici ses mots au micro de Gol Mundial. "Je pense que nous avons eu de la chance, mais nous ne méritions pas d'aller aux tirs au but. Nous avons été supérieurs pendant les quatre-vingt-dix minutes. On avait une grande personnalité et surtout un gardien redoutable. J'ai pris la responsabilité d'un penalty décisif, comme celui de la Copa América. Dans cette marche vers le point, j'étais très calme car j'ai confiance en mon travail. Quand j'ai attrapé le ballon, j'ai pensé à ma fille. Elle a changé ma vie. Je travaille la tête baissée, je méritais d'être ici." La Croatie n'en peut plus d'attendre et évidemment Marcelo Brozovic a hâte de se remettre sa joie d'avoir atteint la troisième demi-finale de l'histoire de la Croatie en Coupe du monde (1998, 2018 et 2022). La dernière ayant été obtenue contre le Brésil aux tirs au but. Sur son profil Instagram, Epic Brozo crie "Demi-finale" et poste une photo de tout le groupe en liesse. Traduction alex_j via FCInterNews.- 6 commentaires
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L'Argentine est arrivée en demi-finale de la Coupe du monde et Javier Zanetti exprime sa joie au micro de Rai Sport. Soirée incroyable, avez-vous pu dormir? "Non, assez peu, mais heureux! C'était une soirée de Coupe du monde. Cette Argentine est une équipe nationale compacte, après la première défaite contre l'Arabie saoudite, ces gars se sont encore plus unis. Beaucoup d'Argentins sont venus ici au Qatar parce que tout le monde a le même rêve de les joueurs." Quelle est l'importance du résultat de l'équipe nationale pour le pays ? "Beaucoup car nous sommes dans une période de grande crise sociale et éducative. Ce n'est pas facile de vivre en Argentine. Les gars veulent donner une grande joie au peuple argentin." À propos de Messi. "Il est beaucoup plus mature, un vrai leader. Tous les gars le suivent, il se rend compte que la Coupe du monde est spéciale et il donne tout." Êtes-vous déplacé? "Beaucoup, j'étais avec ma famille et mes amis. Après 2-2, mon fils pleurait, c'est pourquoi je voulais que l'Argentine passe." Sur le geste de Leo Perisic envers Neymar. "Seul le football vous donne ces émotions. Je comprends la déception de Neymar, eux aussi voulaient gagner la Coupe du monde. Je suis désolé pour lui, mais c'est bien que le fils de Perisic, qui a Neymar comme idole, soit allé le consoler." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Alessandro Bastoni s’est livré du stage de préparation hivernal de l’Inter, à Malte, au Corriere Dello Sport: Quel effet cela vous fait-il de ne pas être au Qatar et de regarder la Coupe du Monde à la télé ? "Comme pour tous mes équipiers en équipe nationale, j’aurai voulu y participer et représenter notre pays. Je peux seulement remettre les compteurs à zéro et tenter le coup dans 4 ans. Le coup a été rude, encore plus en sachant que cela arrive pour la seconde fois d’affilée pour l’Italie. Nous étions des joueurs averti, avec un grand sens des responsabilité, mais nous avons manqué cet objectif." Remporter la Nation League peut-elle atténuer ce flop ? "Jusqu'à ce que la prochaine Coupe du monde arrive et que nous nous y qualifions, il sera difficile d'oublier. Néanmoins, nous ferons tout pour gagner cet autre trophée. Ce serait un moyen de nous prouver, également à nous-mêmes, quelle est notre valeur réelle. Supportez-vous une équipe nationale en particulier ? "J’ai toujours eu une grande passion pour Lionel Messi, je dirais donc Forza Argentina. Et j’en serai aussi fier pour Lautaro, c’est évident." L’Inter, repartie d’Udine, avait-elle touché le fond de ce début de saison ? "Nous nous sommes raccrochés à nous-mêmes, à un groupe qui est solide et fort. Nous nous sommes ressaisis, en réalisant que ce n'est qu'unis et ensemble que nous pourrions nous sortir de cette situation. Nous nous sommes parlé, nous avons essayé d'identifier les problèmes et, aujourd'hui encore, nous essayons de les résoudre une fois pour toutes". Une des images d’Udine a été votre réaction suite à votre remplacement en première mi-temps : S'agissait-il d'un de ces gestes ou d'une de ces attitudes que vous vous étiez promis de ne plus jamais manifester ? "Toute réaction est mauvaise. Cela s'applique également à cette situation, cela découle de la nervosité que j'éprouvais à l'idée de ne pas être capable de faire ce que je sais faire: Je sais de quoi je suis capable normalement. Encore une fois, il était important de se parler. À partir de ce moment-là, nous sommes sortis plus solidaires que nous ne l'étions auparavant." Si vous êtes parvenu à vous redresser au niveau des résultats, il reste tout de même encore des choses à corriger, comme le trop grand nombre de buts encaissés lors des matchs à l'extérieur. Comment l’expliquer ? "Il est difficile d'y trouver une réponse, car il n'y a pas de raison technique. Je pense que c'est avant tout un aspect mental. Dans ces cas, la recette consiste uniquement à travailler." L'Inter joue-t-elle le tout pour le pour contre Naples pour le Scudetto ? "Nous sommes, à présent, à un grand tournant de la saison : Ne pas réaliser un résultat positif à la maison serait un coup très dur à digérer et cela deviendrait extrêmement compliqué de résorber ce retard." Après le Scudetto avec Conte, après la Super Coupe et la Coppa Italia avec Inzaghi, considéreriez-vous comme une déception une année blanche dans l'armoire à trophées ? "Nous ne pouvons pas nous cacher : Nous sommes conscients de la force et des valeurs de notre équipe. Notre objectif est toujours d'aller jusqu'au bout dans toutes les compétitions auxquelles nous participons. C'est pourquoi ce serait une grande déception si finalement nous nous retrouvons les mains vides." Vous vous êtes spécialisé dans les passes décisives : C’est aussi arrivé ici à Malte : lors du match amical contre Gzira United, vous en avez-même réalisé deux... "Je dois remercier la Primavera de l'Atalanta, en particulier Favini, l’ancien responsable de l'académie des jeunes de Bergame qui est aujourd’hui décédé : C’était le numéro un. Avant même l'aspect physique, il vous enseignait la technique de base. Et c'est une approche fondamentale, à mon avis, pour jouer au football. Pour le reste, c'est une question de mentalité et d’une attitude que j'ai toujours eues depuis que je suis enfant." Celui qui en profite le plus est votre ami : Nicolò Barella... "Disons qu’avec lui, je connais les mouvements qu’il réalise tout le temps : On s’en rend compte que lorsque je lui donne un caviar... (il rit). Quoi qu'il en soit, lorsque j'ai le ballon au pied, je regarde toujours ce que fait Barella : Nous nous connaissons à la perfection. C'est le premier que je recherche car, grâce à l’un de ses mouvements, soit il se libère, soit quelqu'un d'autre le fait. Son jeu est toujours décisif pour notre phase de développement d’une action." La défense à trois renforce-t-elle vos caractéristiques ? "Evidemment car j'ai la possibilité de monter sans avoir la préoccupation excessive de ce qui pourrait arriver si je commettais une erreur. J'ai la sensation que l’on couvre mes arrières et d'avoir plus de liberté. De plus, c'est une tactique qui devient de plus en plus populaire : On l’a également vu en équipe nationale. Ce que je pense est que si vous jouez de la bonne façon, avec des joueurs qui ont un certain type de préparation mentale, vous disposez d’un gros avantage car les attaquants sont forts en phase de possession, tandis que lorsqu'il s'agit de défendre, ils sont bien plus paresseux et en forçant des situations, le défenseur qui va de l’avant se retrouve souvent démarqué." En un an et demi, vous avez dû composer avec trois ailiers gauches différents : Perisic, Dimarco et Gosens. Avec qui vous sentez-vous le plus à l'aise et comment modifiez-vous votre façon de jouer, compte tenu des différentes caractéristiques ? "La grandeur d'un footballeur, c'est aussi de pouvoir changer son jeu en fonction des personnes qu'il côtoie. Par exemple, Dimarco, qui possède une qualité particulière en matière de centres, préfère recevoir le ballon sur ses pieds. Gosens, en revanche, attaque la profondeur et le ballon doit être devant lui." En parlant de comparaisons, quelles sont les différences entre Conte, Inzaghi et Mancini ? "Avec Conte, tu entrais sur le terrain en sachant parfaitement ce que tu dois faire, car tout avait été étudié de manière maniaque. Les deux autres sont très similaires en termes de préparation des matches, d'attitude sur le terrain et d'approche des joueurs. Dans le sens où ils sont très calmes et ouverts au dialogue. Je peux ajouter que, au niveau du jeu, Inzaghi m'a beaucoup apporté, car la propension à jouer des coudes est née avec lui." En parlant de Conte, est-il vrai qu'il vous aurait voulu à Tottenham ? "Il y a eu des contacts, mais je suis heureux d'être resté à l'Inter." Skriniar devrait donc être tout aussi heureux de rester… "Je ne peux que lui conseiller de faire ce qu'il pense être juste. Nous sommes tous adultes et chacun doit faire ses propres évaluations, avec sa famille. L'important est qu'il soit convaincu du choix final. Je ne peux pas juger, seulement espérer qu'il reste ici". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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L'Argentine est en huitième sans un Lautaro brillant. Si l'Inter le félicite malgré tout sur Twitter, un astrologue explique pourquoi Lautaro ne va pas bien. L'Argentine obtient la qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe du monde et la première place du groupe. Un "exploit" après le KO subi lors du premier match face à l'Arabie Saoudite. L'Albiceleste "sans" Lautaro Martinez, laissé sur le banc au profit de Julian Alvarez, a battu la Pologne 2-0 malgré le penalty raté en première mi-temps. Wojciech Szczesny a hypnotisé Lionel Messi qui a raté son penalty. Tout s'est passé en seconde période quand Mac Allister a donné l'avantage aux Sud-Américains à la 46e minute, puis Alvarez lui-même a clôturé le match à la 68e minute. El Toro entre seulement à la 78e minute et a raté une belle occasion. Même si notre Lauti n'a pas particulièrement brillant, l'Inter l'a félicité via Twitter. "Félicitations à Lautaro Martinez pour la qualification en huitième de finale de la Coupe du Monde 2022 avec l'Argentine" peut on lire. Si le choix de l'entraîneur de ne pas mettre Martinez titulaire a provoqué l'étonnement en Argentine, certains disent que c'était mieux ainsi. Pas pour une explication scientifique, car nous savons que la science n'a pas grand-chose à voir avec le football, mais une explication astrologique... une question d'alignement des planètes! En Argentine, ils ont interrogé un astrologue et sans sourciller, il a expliqué que Scaloni avait raison de ne pas parier sur Lautaro lors du match contre les Polonais. Voici l'explication: "Ce qui arrive à Lautaro est simple, il a Mars et Pluton contre lui, et il faut y ajouter le karma de Saturne. Mais ce sera différent en huitièmes de finale ! Dans ce cas, le signe du Lion entre dans les bonnes grâces de Jupiter." Et si les étoiles le disent... Moralité de l'histoire: si vous voulez réussir, évitez de vous mettre Mars (dieu de la guerre) et Pluton (dieu des enfers) sur le dos. Traduction alex_j via FCInterNews et FCInter1908.
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Le Vice-Présidence de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr s’est livré à la Gazzetta Dello Sport directement du Qatar où il assiste à la Coupe du Monde : "Nous sommes comme ça les argentins, lorsque nous sommes dans le dur, sans aucune possibilité d’erreurs, c’est là que nous donnons le meilleur." Qu’avez-vous ressenti sur ce but de Messi ? "Une libération, pour moi et pour tout mon pays : En première période, nous n’étions même pas parvenu à réaliser un tir cadré, nous flirtions avec la possibilité d'être éliminés, ce qui aurait été un coup très dur à encaisser, surtout après que tout le monde nous ait donnés comme favoris. Ce but nous a permis de de tout débloquer, notre jeu et notre mental, car inconsciemment, la Vérité est que notre équipe nationale est inconsciemment dans l’obligation de l’emporter." "Ce discours aurait aussi été de mise pour l’Italie si elle avait été présente : L'objectif n'est jamais seulement de participer pour les grandes équipes. A présent, notre Coupe du Monde a commencé avec le but de Leo. Après cet épisode lié au but, l’équipe a commencé à jouer et a mérité sa victoire." Qu’y-avait-il derrière cette célébration de Messi ? "Le visage, regardez son visage, il semblait en transe, c’était incroyable : Leo a égalé Diego pour le nombre de buts inscrit en Coupe du Monde le lendemain du jour de l’anniversaire de sa mort : Tout semblait vraiment écrit de là-haut, tout était décidé à l'avance". Peut-être que Maradona lui a vraiment donné un coup de main… "C’est comme si Diego n’était jamais partie : Diego est l’essence même du football, il est toujours avec nous, il suffit d’écouter les chants des Tifosi argentins au stade qui nomment Messi, Maradona, le père de Maradona, la mère de Maradona pour pousser tout le monde vers la Victoire. Là, dans ce refrain, se trouve tout ce que la Seleccion représente pour le peuple argentin". Scaloni a déclaré ces derniers-jours : "Endosser le maillot de l’Argentine est une chose de totalement différente comparé à celui d’autres équipes nationales". Qu’est-ce que cela signifie ? "C’est assez simple : On ne se contente pas d'aller sur le terrain avec nos maillots et nos chaussettes et notre short, ce n’est pas suffisant pour nous. Nous portons en nous Diego à chaque fois, comme lors de la finale de 78, de la finale de 86. Nous avons sur nos épaulses l’espoir de tant de supporters à chaque match. Avez-vous vu combien d'Argentins sont présents à Doha, malgré la situation difficile de mon pays ? C'est incroyable. Il en va aussi de notre responsabilité qui se doit d’être importante : Car ils nous poussent, nous encouragent, nous soutiennent et c’est tout à fait normal : Ils veulent voir aussi des résultats et il ne faut pas croire que les joueurs ne le ressentent pas du tout." Qui est pour vous l’Homme de cette Coupe du Monde ? "Mbappé : Il l’a déjà prouvé lors des premières rencontres, il casse les matchs, il les brise. Il est si rapide avec le ballon au pied alors que d’autres ne le sont que sans le ballon. Et le fait qu’il le soit avec est une toute autre histoire et cela fait toute la différence. A quelques détails près, le français me rappelle Ronaldo il Fenomeno". En général les Stars répondent présent à l’appel... "Ce mondial sera décidé par leurs prestations : Je n’imagine pas de rencontres décisive où ils ne seront pas protagonistes : Mbappé est au rendez-vous. Il y a Ronaldo, Messi aussi: Celui qui aura la plus grande capacité à transcender ses équipiers emportera avec lui la Coupe à la Maison." Qui peut aller jusqu’au bout ? "Je vois trois équipe en meilleure position : Le Brésil, la France et nous l’Argentine." Pourtant, le fond de jeu de la Seleccion n’est pas visible... "En fait, je dirais que l’Argentine est entrain d’améliorer son fond de jeu : l’intensité augmente et la condition physique se doit d’augmenter également, sinon ce serait difficile de pouvoir aller de l’avant." Que se passe-t ‘il avec Lautaro ? "Cette Coupe du Monde peut encore être la sienne : Il va se débloquer rapidement, c’est garanti, peut-être même déjà face à la Pologne. Lauti ne doit pas s’inquiéter car c’était deux rencontres loin d’être simple à gérer pour un attaquant, cela ne l’aurait été pour personne et je ne vois pas de problème, j’ajouterai quelqu’un d’autre." Je vous en prie... "Di Maria : Pour l’Argentine il est devenu absolument décisif : C’est quelqu’un qui sait inventer le geste pour débloquer la rencontre, épouser les équilibre, sa condition physique est en augmentation, il est arrivé ici très limite, il ne peut que s’améliorer." Qui vous a le plus surpris, jusqu’à présent, dans le tournoi ? "En terme d’équipe, je dirais le Maroc : Compacts, concentrés, je ne les attendais pas à ce niveau, et contre la Belgique j'ai été impressionné. J’ai aussi été surpris par déclarations de De Bruyne après leur premier match où il dit que la Belgique ne fera certainement pas aussi bien qu'en 2018. Comment pouvez-vous dire cela, après une victoire ? C’est étrange..." Etrange comme l’exclusion d’André Onana du Cameroun... "On cherche à comprendre, et je vais bien discuter avec le joueur, ce qui est certain, c’est qu’il y a eu une discussion." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Javier Zanetti encense Lautaro Martinez !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Interviewé par La Nacion, Javier Zanetti s’est livré sur Lautaro Martinez , la flèche Argentine, qui une candidate très sérieuse au titre Mondial. "J’espère que Lauti va inscrire de très nombreux buts. Avec nous, à l’Inter, il a connu une croissance exponentielle, et il a complété son jeu jusqu’à devenir un point de référence dans le Club et en Nationale. Il a un grand futur, et il n’a pas exprimé tout son potentiel : Ce sera son premier mondial et je lui ai conseillé de bien s’amuser." "Il a une culture de travail très importante et cela lui permet aussi d’influencer et de faire la différence dans le jeu: Lorsqu’on le voit jouer, on croirait voir un Vétéran." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 8 commentaires
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Ex-Inter: Wanda Nara allume Mauro Icardi sur son départ de l'Inter
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
C'est une information relayée par football-italia.net: "Wanda Nara confirme avoir rompu avec Mauro Icardi, ajoutant qu'il était "plus facile" pour lui de la rendre responsable de son départ de l'Inter." En effet, Wanda Nara a été l'agent de Mauro Icardi pendant de nombreuses années. Elle avait en premier lieu rompu avec son premier mari, Maxi Lopez, alors qu'Icardi jouait à la Sampdoria avant son transfert à l'Inter en 2013. Ce qui avait provoqué un tollé en Italie vu le lien d'amitié qui liait les deux argentins Son interview au Vanity Fair "Mauro m'a demandé de devenir son agent et je suis devenue assez douée pour ajouter ou annuler des clauses: J'ai de la personnalité et de l'intelligence, mais je suis une personne calme, lui a une forte personnalité" Sur le départ de l'Inter Pour rappel "Maurito" a quitté l'Inter pour le Paris-Saint-Germain après que sa relation avec l'entraîneur Luciano Spalletti et le reste de l'équipe implose: "Il a tout fait par lui-même: Je mettais sur papier ses désirs. Bien sûr, il est plus facile de blâmer une fille, surtout dans un monde sexiste comme le football. Il y a quelques années, j'ai dû envoyer un homme me remplacer pour signer un contrat parce qu'un président de club refusait de traiter avec une femme." Un beau gâchis étant donné qu'Icardi a marqué 124 buts en 219 apparitions avec les Nerazzurri en y devenant Capitaine en 2015. Rupture, vraiment ? "C'est rare de voir une femme de footballeur travailler. Je me suis occupée de mes enfants et de mon mari pendant longtemps, mais maintenant je veux retrouver mon temps-libre et continuer à poursuivre ma profession. On m'a proposé de nombreux rôles à la télévision en Argentine, mais Mauro n'a pas aimé. Cela ne signifie pas que j'ignorerais ma famille. Mauro s'entraîne deux heures par jour et il pourrait m'aider, mais il n'aimait pas l'idée de ne pas me voir concentrée sur la famille." "D'un autre côté, je pense que l'indépendance est vitale. Mauro essaie sans cesse de me reconquérir. L'autre jour, il est venu me chercher à l'aéroport avec une voiture pleine de fleurs et m'a emmenée dîner en me disant : "Je n'abandonnerai pas. Cependant, je sais déjà que si nous nous remettons ensemble et que je reçois une nouvelle offre, tout recommencera." Reste juste à présent à savoir quel type de rôle lui était proposé.... ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 12 commentaires
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Ô Surprise : Joaquin Correa est blessé !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C’est une information en provenance de Tyc Sports, l’international argentin évoluant à l’Inter est blessé: "Sonnette d’alarme pour la sélection Argentine et aussi pour l’Inter : Joaquin Correa qui a marqué hier en match amical n’est pas à 100% en raison d'un problème physique. Parmi les appelés pour la Coupe du monde au Qatar, le Tucu sera celui qui sera constamment évalué dans les heures à venir par le Staff médical de l'Albiceleste." Selon TyC Sports, "L'attaquant de l'Inter qui a terminé le match amical contre les Émirats-Arabes-Unis fait face à une gêne persistante au genou gauche." En même temps associer 100% et Joaquin Correa…. ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 20 commentaires
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L'AFA, l'Association argentine de football, a tenu à remercier publiquement notre légende Lothar Matthäus qui a donné au musée des "Légendes", fin Août 2022, le maillot de Diego Armando Maradona lors de la finale de Mexico 1986. Une vidéo touchante qui a rappelé à tous la grande amitié entre l'ancien numéro 10 de l'Inter et ancien numéro 10 de Naples. Le maillot porté par Diego Maradona pendant la finale de la Coupe du monde de 1986 était de retour entre des mains argentines, ce Jeudi 25 Août 2022, grâce à notre légende de l'Inter Lothar Matthäus. Matthäus. Lothar avait échangé de maillot avec Maradona à la mi-temps du match et a a retourné l'item historique dans une cérémonie tenue à l'ambassade d'Argentine à Madrid. "Ça a toujours été un honneur de jouer contre lui. Comme joueur et comme homme, il a toujours été quelqu'un de très important pour moi. Il sera toujours dans nos coeurs." Matthäus a reçu une plaque de l'ambassade d'Argentine en reconnaissance de sa carrière et de son esprit sportif. Traduction alex_j vias FCInterNews et rds.ca. Petite auto-promotion:
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