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  1. Jorge Nuno Pinto da Costa est le Président du Fc Porto depuis le 17d’avril 1982 et celui-ci s’est livré à la Gazzetta Dello Sport sur la rencontre à venir face à l’Inter et sur l’évolution du Calcio au cours de ces dernières décennies : "Le sentiment de Vendetta n’existe pas dans le football, l’Inter cherchera à faire de son mieux, et pour nous, ce sera exactement la même chose." Place à présent à la tentative de remontée sur l’Inter, mais vous avez déjà fait pleurer le Calcio : Auquel de nos clubs êtes-vous le plus lié ? "Dans le football, il n’y a de juste milieu, seule la victoire vous rend heureux et les parties face aux italiens sont toujours des rencontres enthousiasmantes car elles sont très compétitives et incertaines et je n'en attend pas moins dans ce huitième de finale." "Nous gagnons, nous perdons, mais ce qui compte c'est le fait de continuer à vous défier en Europe car nous sommes ambitieux, tout comme vous: Si je devais choisir une rencontre, j’en choisirais une lorsque je n’étais pas encore Président mais Administrateur-Délégué : La Coupe des Champions 1979-1980 et le 0-1 de San Siro face à Milan avec un but de Duda." Comment jugez-vous la différence entre le modèle de Porto et de l'Inter, où son propriétaire qui n’est pas italien, a bloquér les investissements ? "Notre situation est différente de celle de l’Inter et du Calcio d’une manière Générale : Porto appartient aux Socios, il s’est organisé pour rester à l’abri de tout investisseur. Chaque pays propose son propre modèle, je ne pourrais pas dire lequel est meilleur que l’autre, mais le nôtre se basera toujours sur ce sentiment d’appartenance: Ensuite, les joueurs qui sont ici sont dans de parfaites conditions pour s’améliorer, ils sont choisis sur base de certaines qualités et nous nous montrons patient." Au début de votre Mandat, le Calcio était la force dominante, à présent il l’est nettement moins, comment expliquer un tel déclin ? "Oui c’est vrai, lorsque je suis devenu Président, le Calcio était le plus dur du Monde, le système a bénéficié aussi aux Présidents qu’étaient les Berlusconi, Moratti et Agnelli, mais à présent tout ce pouvoir a été transféré en Angleterre et vos clubs ont perdu de leurs superbes car ils ne sont plus dirigés par des personnes ayant l’expérience de ceux que j’ai cité. Ceci étant dit, vous restez toujours parmi les meilleurs et ce n’est jamais facile de vous faire face comme le prouve l’Inter. En 41 ans de Présidence, ma plus grande fierté est celle d’être parvenu à nous maintenir toujours compétitif en Europe." Sergio Conceiçao vous a-t ’il parlé de son ami Inzaghi ? "Oui, et son vécu en Italie a été très formateur pour Sergio. Je ne connais pas énormément le travail d’Inzaghi mais pour entrainer un des plus grands clubs du Monde, tu te dois d’avoir des qualités : Plus que l’entraineur ou des individualités, j’ai peur du Collectif de l’Inter." Tôt ou tard, verrons-nous Sergio en Italie et peut-être à l’Inter ? "Il est compétent et passionné par son travail, c’est l’un des meilleurs entraineurs du football européen. Ce n’est pas moi qui le dit, mais ses résultats : Il a de la qualité pour travailler n’importe où, mais il se trouve déjà dans le bon club et j’espère qu’il restera." Il y a une connexion entre Porto et l’Inter qui se nomme José : Comment jugez-vous le Mourinho romain ? "Son succès ne me surprend pas : Il est au sommet depuis plus de deux décennies et après la Roma, il aura face à lui de nouveaux grands défis et d’autres grands clubs tout simplement parce que c’est un prédestiné." L’expérience et le Fair-Play d’un Président à l’ancienne ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. En effet, Simone Inzaghi doit avoir les oreilles qui sifflent, car s'il ne se montre pas à la hauteur des espérances placées en lui, il pourrait purement et simplement prendre la porte. Deux successeurs sont déjà désignés, deux personnalités d'ailleurs très bien connue de Romelu Lukaku! Antonio Conte Soit le retour de l'Homme du 19ème Scudetto, de l'Homme qui fait de Romelu Lukaku, le meilleur joueur de la saison du Tricolore et pour le Times: "Antonio Conte est de retour en fonction après avoir séjourné en Italie durant trois semaines suite à l'ablation de la vésicule biliaire, et cette pause a également renforcé son désir de rentrer chez lui à la fin de la saison" "Et si l'ancien entraîneur de l'Inter et de la Juventus se concentre évidemment sur le terrain, avec la rencontre face à l'Ac Milan à portée de main qui pourrait lui permettre de se qualifier, une élimination européenne de Tottenham verrait les chances de voir Conte et le club se séparer en fin de saison, à l'expiration de son contrat, augmenter." "Si les Spurs ont la possibilité de lui prolonger son contrat d'un an, l'entraineur a déclaré qu'il ne resterait la saison prochaine que s'il était heureux, et il est prévu qu'il retourne en Italie cet été. Et bien plus qu'une ambition légitime, c'est peut-être l'envie de rentrer au pays qui fera la différence. Conte vit à l'Hôtel depuis qu'il est arrivé à Londres et il a souvent fait part d'un manque familiale, une famille qu'il tente toujours de joindre dès que possible." Mais où entrainer la saison prochaine ? "L'Inter qu'il a emmené au Scudetto en 2021 s'est renseignée de manière informelle, il pourrait y avoir un intérêt de la Roma si José Mourinho part alors qu'il lui reste un an de contrat, comme cela a été évoqué en Italie. L'Ac Milan s'était intéressé à Conte en 2017, mais il risque d'être trop exigeant pour eux même s'ils se séparent de Stefano Pioli, actuellement sous pression suite à sa défaite 2-1 face à la Fiorentina et une cinquième place en Serie A. Si la Juventus aurait aimé recruter Conte, elle est plongée dans un scandale financier qui rend tout retour improbable". Thomas Tuchel Soit le pire choix possible pour Romelu Lukaku! Comme le révèle la Gazzetta Dello Sport: "L'allemand a étonné l'Europe du Football en remportant la Ligue des Champions avec Chelsea en 2020-21, mais le nouveau propriétaire des Blues l'a remercié en septembre dernier." "Après avoir pris quelques mois de repos, il est maintenant prêt à se lancer à nouveau dans la bataille. Et avec Mauricio Pochettino (qui le devance), il est le candidat le plus sérieux pour reprendre le banc du Real Madrid, même si Raul et Arbeloa sont également en lice, si jamais Carlo Ancelotti accepte l'offre de la Fédération Brésilienne de Football ou si Florentino Perez choisit, en fonction d'un manque de résultat, de se séparer de l'entraîneur italien à un an de la fin de son contrat ." "Tuchel a un profil international qui en impose, lui qui a déjà coaché le Borussia Dortmund, le Paris-Saint-Germain et les Blues de Chelsea. La fin de son aventure à Londres l'a amèrement déçu et il a en lui un grand désir de revanche. A Paris, certains regrettent de l'avoir limogé trop vite, tandis qu'en Angleterre, de nombreuses rumeurs font état d'une cour de la part de Tottenham si Antonio Conte ne prolonge pas l'aventure, sans oublier West Ham. "Tuchel a également ses admirateurs en Italie aussi : L'Inter le tient en très haute considération et si la fin de saison d'Inzaghi n'est pas à la hauteur des attentes, il pourrait faire partie du "Casting" de Giuseppe Marotta et Piero Ausilio. Mais attention à la Roma qui, si elle ne retient pas Mourinho, pourrait miser sur un entraîneur avec une carrière dans un grand club" Selon vous, Inzaghi sera-t'il limogé en fin de saison ? Si oui, qui de Conte ou de Tuchel recruter si cela s'avère possible ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  3. Battu par la Roma de Mourinho à l'Olimpico, Massimiliano Allegri s'est exprimé sur sa Juventus aux micros de DAZN. "On aurait pu faire mieux à certaines occasions. Puis même après l'expulsion dans les dernières minutes et c'est dommage car Moise Kean aurait pu nous donner un coup de main. Il s'est excusé car il a mis l'équipe en difficulté. Il a eu une mauvaise réaction sur une faute qui était pourtant en sa faveur." Voici l'action litigieuse, qui voit une faute sur Kean ? "Cependant, l'équipe doit rester calme. Parce qu'elle a marqué 50 points sur le terrain. Alors bien sûr, ce match pourrait nous amener à 38 et battre la Roma et se rapprocher de l'Atalanta. Et quand vous perdez un match comme celui-ci, c'est comme si le monde s'effondrait autour de vous. Même si en ce moment nous serions deuxièmes. De l'extérieur, tout le monde parle technique et tactique. Mais dans l'histoire du football il n'y a jamais eu d'histoire comme celle subie par la Juve cette année, il faut féliciter la Juve, nous avons plusieurs buts à atteindre. Vous n'avez pas à être frustré. Nous devons aller à fond dans le championnat et être dans les quatre premiers, pour le moment nous sommes deuxièmes. Nous devons réfléchir à ce que ces gars font, alors ils pourront dire ce qu'ils aiment, mais ça ne me convient pas." "L'objectif de la Juve est d'essayer de rattraper les équipes devant. Il reste 13 matchs à jouer, nous avons perdu des points ce soir et nous aurions pu garder la Roma à neuf points même avec un match nul. Le foot c'est bizarre. Nous méritions de gagner au match aller contre la Roma, mais dans le football, le mérite ne compte pas. Au football, si tu gagnes, tu es bon et si tu perds, tu es sûr d'avoir fait quelque chose de mauvais. Très simple." Heu, juste une question: à ce niveau là, c'est du déni ou de la mauvaise foi? Traduction alex_j via FCInter1908.
  4. Battu par la Cremonese, la Roma de José Mourinho n’a pas su profiter du faux pas de l’Inter pour prendre la seconde place de la Serie A. Expulsé également, José Mourinho s’est lâché à Dazn: "L’entraineur portugais a été expulsé après avoir discuté avec le quatrième arbitre. Selon ce dernier, Mourinho lui aurait manqué de respect suite à la faute sur Kumbulla." Une pique bien placée Mon expulsion ? "Vous me connaissez depuis un an et demi et des personnes me connaissent depuis tant d’années : Si je suis émotif, je ne suis pas un fou : Pas fou. Pour que j’ai ce type de comportement, c’est que quelque chose s’est passé: J’ai besoin de comprendre aussi si je peux faire quelque chose d’un point de vue légal car Piccinini m’a sorti le rouge sur demande du quatrième arbitre Serra , mais ce dernier n’a pas eu l’honnêteté de lui dire comment il m’a traité et ce qui est donc à l’origine de ma réaction." "J’aimerais savoir s’il existe un enregistrement audio de ce qu’il m’a dit : Je ne veux pas dire que lui vient de Turin et qu’il joue pour la Juve non, je veux dire que, peut-être et pour la première fois en carrière, un arbitre qui était le quatrième arbitre, m’a parlé d’une façon injustifiable: Lorsque je suis allé dans le vestiaire des arbitres après le match, Piccinini était-là et, il m'a vu entrer, il m'a vu m'excuser auprès de l'arbitre à qui j'avais parlé de manière "irrespectueuse". Maintenant, il m'a vu entrer et j'ai dit à Serra d'être honnête, de dire ce qui s'est passé. Il a tout oublié, il a des problèmes de mémoire. J'ai seulement fait un commentaire, je n'ai pas demandé d'explication." Et devinez quel est le prochain match de la Roma entraînée par notre ancien Nerazzurro... ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Bonne nouvelle, la victoire contre Porto a permis à l' Inter de faire un petit un bond en avant dans le classement UEFA. Par rapport au dernier classement, notre Bien Aimée a gagné trois positions, se hissant à la 12e place en compagnie de la Roma et de l'Atletico Madrid qui continuent leur glissade. Cependant, comme le note le Corriere dello Sport, "Les Nerazzurri pourront encore améliorer leur classement, augmentant ainsi les chances d'être placés dans le deuxième pot lors du tirage au sort de la prochaine phase de groupes de la Ligue des champions. De cette manière, elle réduirait considérablement le risque de se retrouver dans un groupe de la mort comme celui de cette année. La première condition, cependant, est de finir dans le top 4 de la Serie A." conclut le journal romain. Note: une rapide lecture du tableau ci-dessous nous montre que nous "payons" l'année du Scudetto où l'Inter fut sortie piteusement de la phase de groupe. En effet, si elle avait été qualifiée pour les huitièmes, alors elle aurait gagné 9 000 points supplémentaires et aurait dépassé la Vielle Dame avec 94 000 points. Ceci dit, nous voyons également la nécessité vitale d'avoir un investissement digne de ce nom pour rester dans le top-16 de l'UEFA ranking, place où doit figurer notre Ben Aimée. Traduction alex_j via FCInterNews.
  6. C'est une révélation de la Repubblica: José Mourinho pourrait faire son retour à Milan, toujours du côté Nerazzurro! En effet, sa relation avec son Directeur Sportif, Tiago Pinto, est celle de deux personnes qui,: "Sur de nombreux sujets ont des visions opposées, mais qui doivent coexister et le faire dans l'intérêt commun." " "A la fin de la saison, je parlerai" - Telles sont les paroles de José Mourinho à l'issue du match face à Vérone qui ont fait grand bruit et il est clair que n'importe qui penserait immédiatement à un départ de la Roma, compte tenu aussi des rapports qui ne sont pas vraiment idylliques avec Tiago Pinto" "Et cette situation le rend très attractif sur le marché: Ces dernières heures, il a d'ailleurs surgie la suggestion milanaise d'un possible retour à l'Inter, mais il reste toutefois de comprendre les plans à venir du Club Nerazzurro. D'autres rumeurs font état de l'intérêt du Real Madrid et du Paris-Saint-Germain, mais celles-ci sont basées sur l'estime que portent Florentino Perez et le Directeur Sportif parisien Luis Campos au portugais, eux qui sont bien plus proche personnellement de lui, alors qu'à Rome, la relation glaciale avec les Friedkin continue de se cristalliser". Seriez-vous pour un retour de notre Historique et Légendaire entraîneur ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  7. Stéphane Dalmat s’est livré suite à la contre-performance de l’Inter sur le terrain de la Sampdoria "Bonjour à tous, J’espère que vous allez bien, aujourd’hui, en France, c’est la journée de l'Amour, je ne sais pas si en Italie, il existe quelque chose de similaire, soit… Hier, j’ai vu un très mauvais match : Faire un match nul face à la Sampdoria qui doit tout faire pour se sauver et ne quasiment rien voir.... Je pense que cette partie représente tout ce que nous avons vécu durant la saison : Une Inter qui est capable de faire des rencontres grandioses et elle l’a prouvé sur certains matchs en Ligue des Champions, en Super Coupe, en Championnat pour ensuite tout gâcher toute seule, et je pense que ce sera comme ça pour le reste de la saison. Je pense que ce groupe, que ce noyau n’a pas cette qualité, elle a de la qualité c’est certain et chez de très nombreux joueurs, mais si un ou deux joueurs ne vont pas bien, elle n’a pas d’autres joueurs capable de les remplacer , pour prendre leur relève: Le noyau de cette équipe n’est pas aussi fort, elle a 11 joueurs de haut niveau, pas de très haut niveau pour dire la vérité, mais de haut niveau et si l’un de ces joueurs n’est pas en condition, on a pas le choix de faire rentrer des joueurs qui ne sont pas capable de changer la physionomie de la rencontre, mais c’est comme ça. Le plus important au jour d’aujourd’hui est de finir à la seconde place, nous avons perdu deux points et derrière il y a la Roma, le Milan et je pense à l’Atalanta, mais je n’en suis pas certain qui ne sont qu’à trois points: La fin du championnat sera très très difficile car nous avons vu dans chaque match, même contre les plus petites équipes que c’est toujours compliqué et ce n’est pas valable que pour l’Inter mais pour toutes les équipes, que ce soit le Milan, l’Atalanta, que la Roma, tous ont eu des problèmes contre les plus petites équipes. Pour moi, le Napoli est déjà Champion, on le sait déjà depuis si longtemps, pour eux le Championnat est déjà terminé , mais l’Inter se doit de lutter, de se battre pour la seconde place jusqu’au bout du bout : C’est le minimum pour oublier cette saison et ensuite, on verra pour la Ligue des Champions car c’est une compétition différente , pour elle, je ne sais pas, on verra, il faut y aller tout doucement, c’est comme ça. Je vous souhaite une très bonne journée , si en Italie vous le fêtes également, je vous souhaite une très bonne soirée et comme je le dis toujours Forza Inter , je vous aime tous." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Alors que l'Inter n'a toujours pas reçu les paiements de DigitalBits, le club de la capitale romaine n'a actuellement aucun problème. Calcio e Finanza nous explique pourquoi. Dimanche prochain, avant le match Roma-Vérone, l'As Roma Business Club Crypto Summit aura lieu au Stadio Olimpico. Une rencontre dont figurera Daniele Mensi, directeur général de DigitalBits, sponsor maillot du club depuis l'été 2021. Il n'y a actuellement aucun problème concernant les paiements entre la marque de crypto-monnaie et la Roma, contrairement à ce qui se passe avec nous. DigitalBits est notre sponsor principal depuis Juillet 2022 et notre club n'a encore reçu aucun paiement de la société. En effet, il nous manque 17,6 millions d'impayés par DigitalBits qui, après avoir payé 5,1 millions pour la saison 2021-2022, n'a pas payé les 1,6 million de bonus ainsi que les deux premiers versements de la nouvelle saison, pour un montant de 16 millions. Ceci a conduit à retirer DigitalBits des LED sur le bord du terrain, du contenu numérique, sur le site Web ainsi que sur les maillots de l'équipe féminine. Ces derniers mois, beaucoup se sont demandé quelles sont les différences entre la Roma et l'Inter ? Pourquoi les Giallorossi n'ont eu aucun problème jusqu'à présent, à tel point qu'ils ont invité Mensi comme conférencier à l'événement susmentionné contrairement aux Nerazzurri ? Tout d'abord, l'une des réponses résiderait dans les chiffres : le club Giallorossi a signé un contrat d'un montant total de 35 millions pour la période de trois ans allant de 2021-2022 à 2023-2024, tandis que l'Inter en tant que sponsor principal a un contrat pour 80 millions pour les saisons 2022-2023 à 2024-2025. Par conséquent, l'engagement avec notre club est beaucoup plus lourd à porter et ce, amplifier par les difficultés de l'ensemble du secteur de la crypto-monnaie ces derniers mois. Pas seulement cela, cependant. Comme l'a appris Calcio e Finanza, une autre grande différence est liée aux délais de paiement. En effet, le contrat entre Roma et DigitalBits prévoit un montant à la hausse avec une dernière étape particulièrement élevée liée à la saison 2023-2024: on commence avec 6 millions au total lors de la première saison pendant que la dernière année aura des valeurs beaucoup plus élevées; forte différence. L'accord entre l'Inter et la marque de crypto prévoit une hausse mais de manière moindre, on parle d'un contrat de trois ans de 23, 27 et 30 millions d'euros respectivement. Afin d'éviter d'éventuels problèmes durant la dernière année du contrat comme c'est le cas avec l'Inter mais aussi l'Atletico Madrid, voir après, la direction de Roma, conformément aux bonnes pratiques de gestion, regarde déjà autour d'elle pour ne pas se trouver prise au dépourvue si le choix serait d'interrompre l'accord avec DigitalBits. Un nom comme remplaçant possible serait Toyota. Comme indiqué par Mundo Deportivo, le sponsor du maillot WhaleFin a décidé de mettre fin au partenariat avec l'Atletico et disparaîtra du maillot; coup de massue. Rappelons que WhaleFin est la plate-forme la plus importante d'Amber Group, une entreprise de classe mondiale visant à offrir des outils innovants et de niveau institutionnel aux investisseurs privés dans l'achat et la vente de crypto-monnaies. Le sponsoring qui liait WhaleFin à l'Atletico avait une durée de cinq ans, pour une contrepartie de 40 millions d'euros par saison. L'Atletico a encaissé la première rente mais WhaleFin n'a pas l'intention de poursuivre l'aventure. Ou plutôt, il ne peut pas car on estime que le marché de la crypto-monnaie s'est effondré de 70% ces derniers mois. Cela a conduit l'entreprise à prendre la décision de ne pas continuer à payer. Pour résilier le contrat, WhaleFin s'accroche à une clause qui, de l'avis de l'entreprise, lui permettait de le faire en cas de baisse du marché, comme cela se produit actuellement, même si l'Atletico évalue cette possibilité. Il est pas exclu que le club procède à une action en justice. En tout cas, l'Atletico Madrid ne perd pas de temps et recherche déjà un sponsor de maillot pour remplacer WhaleFin à partir de la saison 2023-2024. Traduction alex_j via Calcio & Finanza.
  9. Longue conversation de Walter Samuel, dit the Wall, avec ses collègues de la RSE. Il a évoqué la coupe du monde, le Triplété, Massimo Morrati et sa famille. Votre sentiment sur le fait d’voir gagné cette coupe du monde. "Peut-être, comme certains amis me l'ont dit, n'avons-nous pas encore réalisé ce que nous avons fait ? Les protagonistes sont les joueurs mais c'est aussi une source de fierté pour nous qui faisons partie du staff technique. Ceux qui ne sont pas argentins ont du mal à comprendre. C'est vrai, les problèmes du pays n'ont pas été résolus, mais ce succès a donné de la joie à ceux qui en avaient besoin." Vos souvenirs de l'époque romaine. "En tant que défenseur, je ne voulais pas encaisser de buts, j'avais une grande concentration. Ce n'était pas facile de s'installer. Balbo et Batistuta, les Argentins qui étaient en Italie depuis plus longtemps, m'ont aidé. Capello m'a mis au centre de la défense à 3, ça s'est bien passé parce que la première année on a gagné le Scudetto." Quel technicien a eu une influence particulière sur vous ? "A l'époque de l'Inter, José Mourinho a beaucoup changé, à commencer par sa façon de travailler avec le ballon. Il avait confiance en lui et a transmis sa volonté de gagner : c'est très important. Sur le plan technique, cependant, je dis Marcelo Bielsa parce qu’il m'a tellement fait grandir. Peut-être que je suis injuste envers les autres entraîneurs mais il m'a appris à surgir de la ligne défensive, à jouer le ballon entre les lignes, à ne pas perdre les duels avec la tête. C'était vraiment un loco." Avez-vous beaucoup de vrais amis dans le football ? "J'ai beaucoup d'amis dans mon pays, ceux que je connais depuis toujours. J'en ai aussi dans le foot, le problème c'est toujours la distance. Diego (Milito, ndlr) et Pupi (Zanetti, ndlr) je les vois souvent, tout comme Burdisso." L'expérience de Bâle, pourquoi avez-vous décidé d'y terminer votre carrière ? "J'ai vécu deux années spectaculaires en Suisse. La Sampdoria me voulait mais j'avais du mal à rester en Italie, alors j'ai répondu oui à la proposition d'un ami. Au final, j'ai parlé à l'entraîneur de l'époque, Paulo Sousa, et avec le président et ça a pris. Si mes genoux ne m’avaient pas trahi, j'aurais fait quelques années de plus." Quand dirigerez-vous une équipe en tant que manager ? "Je ne sais pas, le moment viendra. J'aimerais entraîner, je ne le cache pas. En Suisse ? J'ai passé un bon moment, je n'aurais aucun problème à entraîner là-bas." Le message de Moratti arrive : "Je voulais t'embrasser et te féliciter pour ce que tu as accompli avec l'Argentine. Tu mérites tout pour ton sérieux. Mon cycle de victoires commence quand je t'ai signé. Enfin, l'Inter a commencé à gagner, je suis particulièrement reconnaissant envers toi." "Moratti transmet la tranquillité, il était très proche de nous même sans être là. L'Inter est un milieu familial, où l'on se sent bien. Neuf ans dans un club, c'est long mais j'ai passé un bon moment et je ne peux pas m'en plaindre. Nous avions tout, ils nous ont très bien traités. Puis, heureusement, nous nous sommes toujours battus pour gagner. Au-delà des victoires, l'important est de se sentir bien dans un club." En 2010, le Triplete arrive. "C'était comme la Coupe du monde, nous aurions pu gagner les trois compétitions comme les perdre en deux semaines. L'équipe y croyait, pour beaucoup d'entre nous déjà vieux, c'était une opportunité unique. Nous avons essayé, heureusement, ça s'est bien passé. C'était quelque chose d'historique, qui restera à jamais. Même si d'autres équipes réussissent à le faire, nous resterons toujours premiers. C'est quelque chose qui vous rend fier rien que d'en parler." Quels souvenirs gardez-vous du Real Madrid ? Les célèbres galactics... "Sur le terrain j'ai beaucoup souffert parce qu'on a encaissé tellement de buts. En club c'est impressionnant, c'était comme aller au théâtre. Je me suis retrouvé avec des stars comme Figo, Ronaldo et Zidane, très simple et modeste." Humilité, sérieux et loyauté : sont-ce les trois caractéristiques dans lesquelles vous vous reconnaissez ? "Je me vois, je ne change pas ma façon d'être pour ce que j'ai fait dans le football. J'ai beaucoup gagné mais j'ai aussi eu de gros revers, l'année au Real a été dure, par exemple, puis je me suis cassé les deux genoux." Quel papa es-tu ? "Depuis que j'ai fini de jouer, j'ai toujours été impliqué dans le monde du football. L'équipe nationale me permet de passer plus de temps avec mes enfants. Ensuite, je suis peut-être absent de la maison pendant 1 à 2 mois. J'aime être un papa, je vais souvent chez ma fille à Madrid. Mes enfants étaient aussi importants au Qatar, quand j'ai regardé dans les tribunes et que je les ai vus, j'ai eu un fort sentiment." Comment Messi a-t-il vécu la Coupe du monde ? "Il le méritait plus que quiconque pour le joueur qu'il est, ses coéquipiers le disent aussi. C'est un garçon tranquille, un professionnel exemplaire et très compétitif. Il a endossé le rôle de leader, sur et en dehors du terrain. Nous pensons que nous, Argentins, nous avons de la chance que lui et Maradona soient Argentins." Traduction alex_j via FCInterNews.
  10. Solide seconde derrière l'intouchable et surprenant Napoli qu'elle a pourtant battue, l'Inter a retrouvé le chemin la menant au succès! Révélation de Tuttosport "La trêve internationale relative à la Coupe du Monde a apporté une adaptation importante pour l'Inter: L'équipe de Simone Inzaghi "s'est retrouvée" dans les matchs qui l'oppose aux grandes équipes, ce qui était pourtant son talon d'Achille lors de cette première partie de saison." "Avec un bilan de quatre victoires, six buts marqués et zéro encaissé, l'Inter qui croule pourtant sous les matches, est devenu une solide endurcie, surtout dans les confrontations directes avec l'année 2023 qui ne peut que lui apporter de la satisfaction, avec comme premier fait d'arme, la victoire en début d'année sur le Napoli." "S'en est suivi la victoire dominatrice de la Super Coupe d'Italie face à l'Ac Milan et la victoire en quart de finale de la Coppa Italia contre l'Atalanta, sans oublier la Victoire du second Derby Della Madonnina en l'espace de trois semaines." "C'est un revirement flagrant comparé à ce qui avait été vu avant la Coupe du Monde, et une Inter qui n'avait battu que l'Atalanta au terme d'un match des plus douloureux et en comptabilisant que des défaites face à l'Ac Milan, la Lazio, la Roma et la Juventus avec 10 buts encaissés." Pensez-vous que l'Inter puisse performer et rattraper le Napoli ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  11. Javier Zanetti est l'invité spécial de Supertele, une émission DAZN animée par Pierluigi Pardo. La conversation avec le journaliste commence évidemment par le derby remporté par les Nerazzurri face à Milan puis évolue sur d'autres sujets. À quel point une victoire dans le derby change votre lundi ? "C'est un lundi différent, gagner un derby a une saveur particulière, surtout parce que nous l'avons gagné à juste titre." Y a-t-il un mystère à l'Inter ? Dans certains matchs, c'est très fort, mais pour d'autres, c'est faible. "Nous aurions certainement pu avoir quelques points de plus mais cela fait partie d'un chemin que cette équipe suit avec une certaine continuité. Un drop peut se produire avec autant de matches serrés. Je vois une équipe qui est protagoniste, qui veut toujours jouer le match et qui sait réagir. L'Inter, de la première année d'Antonio (Conte, ndlr), a toujours eu une continuité ces quatre dernières saisons. Je suis surpris quand je vois des critiques très exagérées envers une équipe qui fait les choses de la meilleure façon possible. Nous pouvons nous améliorer, nous en sommes conscients, par contre nous disons que Naples fait quelque chose d'extraordinaire." Vous pensez à Spalletti ? "Il y a beaucoup de Luciano dans ce Napoli. Il a fait un excellent travail à l'Inter, c'est un entraîneur qui laisse sa marque dans les équipes." Terminer deuxième vaut-il un Scudetto pour vous ? "Nous devons faire de notre mieux jusqu'à la fin. Nous avons la Ligue des champions, la demi-finale de la Coppa Italia contre la Juve, nous devrons faire de notre mieux." Qui choisirez-vous comme symbole de l'Inter cette saison ? "Je vais demander à Darmian son maillot à mettre dans mon musée. C'est un joueur silencieux, toujours au service de l'équipe. Il donne toujours du sien, c'est un gars sérieux et professionnel. C'est quelqu'un qui fait la différence dans n'importe quel groupe." L'Inter vaut Naples, quelle est la raison de cet écart ? "C'est la continuité et il y a le regret d'avoir laissé des points en cours de route. Le championnat est compétitif, il y a beaucoup de matches. Naples, donc, ne s'est pas trompé, les battre a été très dur pour nous." Vous attendiez-vous à un Milan aussi prudent hier ? "J'ai entendu la nouvelle avant le match, puis ce changement s'est produit pendant le match. Mais il y a aussi les mérites de l'Inter qui a pu voir, dès la première minute, qu'elle pouvait gagner le match. Milan est toujours une équipe à respecter, puis il y a des moments. Je connais Pioli, Maldini, ils ont la personnalité pour s'en sortir." Lautaro peut-il être le vrai capitaine? "Honnêtement, je suis très content de sa carrière à l'Inter. Sa performance ne cesse de croître. Maintenant, c'est aussi une confirmation pour l'équipe nationale argentine. Il est important pour l'Inter, et il le montre à chaque fois qu'il entre sur le terrain. C'est un mec généreux, il ne va pas perdre. Hier il a dit que le derby milanais se vit comme en Argentine, il a raison car l'environnement est très chaud." La situation de Skriniar, aurait-elle pu être mieux gérée ? "Je ne sais pas. La chose est simple : nous avons proposé le renouvellement dans nos possibilités (économique, ndlr), il l'a évalué et a dit non. Ça va, nous devons accepter sa décision. Je pense que le plus important, c'était la réponse de tout le milieu. Il va falloir mettre le joueur dans la situation de donner le meilleur de lui-même. L'important c'est le bien du club, il a été le premier à le comprendre. L'inter va continuer, Skriniar va porter un autre maillot à partir de juillet et nous lui souhaitons le meilleur. Il est essentiel pour nous qu'il se comporte comme hier." Pourquoi avez-vous décidé de retirer le brassard à Skriniar ? "C'est un thème avant tout lié à l'avenir, Marotta a été clair. Nous en avons tous discuté et nous avons convenu que c'était le meilleur choix, un choix qu'il a compris de suite. L'Inter va de l'avant. Hier, le capitaine était Lautaro, qui est le présent et l'avenir." Quel est le joueur le plus intéressant de la Serie A ? "En regardant surtout Napoli, je dis qu'Osimhen se révèle être un grand attaquant, il est important pour son équipe." Souvenirs de la coupe du monde. "C'est impossible de rester sobre en tant que champion du monde (rires, ndlr). J'ai vécu la Coupe du monde avec de grands sentiments pour mon pays, pouvoir assister au tournoi avec ma famille m'a permis de célébrer chaque instant. Après la finale, je me suis senti heureux parce que nous attendions depuis 1986. Ceux qui aiment le football attendaient que Messi devienne champion du monde, c'est ce que j'ai entendu des fans au Qatar." Messi ou Maradona ? "Au-delà de ce qu'il a fait sur le terrain, Diego avait un charisme incroyable. On aime Messi parce que c'est comme ça qu'il se montre. En tant qu'Argentin, je suis ravi d'avoir eu Diego qui restera unique." L'histoire Messi-Inter était-elle vraie ? "En raison de la relation que nous entretenons, nous avons parlé quand il y avait cette possibilité. J'ai été surpris quand il a dit au revoir à Barcelone. Mais de manière réaliste, nous ne pouvons pas rivaliser avec des clubs comme le PSG ou les clubs anglais." Comment voyez-vous Mourinho à Rome ? "Êtes-vous surpris par ce Mourinho ? José arrive toujours à donner quelque chose d'important à ses garçons, il les stimule pour leur bien." Zaniolo va quitter la Serie A. "Je suis désolé parce que ce n'est pas bon pour lui de quitter l'Italie. Ce sont des choix qu'il faut respecter. Je ne sais pas ce qui s'est passé au niveau environnemental, mais il n'y a pas de sérénité autour de lui." Traduction alex_j via FCInterNews.
  12. Après avoir "perdu" Milan Skriniar, l'Inter s'attèle à prolonger Stefan De Vrij, mais comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, un plan B est mis en place, juste au cas où: "Les négociations avaient commencé l'été dernier avec Rafaela Pimenta, qui était l'ancienne agent du Néerlandais, et elles se poursuivent maintenant avec Federico Pastorello." "Le club a proposé un contrat de deux ans pour le même salaire, soit environ quatre millions plus les bonus et en cas de refus, l'Inter se tournera vers Chris Smalling, qui n'a pas encore activé son option de prolongation avec la Roma: L'objectif est assez claire: "Eviter une nouvelle affaire Skriniar, car après les adieux du défenseur slovaque, l'Inter se passerait volontiers de perdre Stefan De Vrij qui était titulaire l'ensemble de la saison dernière dans le trio arrière, mais qui est désormais devenu le back-up de Francesco Acerbi." "Le club de Viale Della Liberazione a déjà fait ses démarches et attend désormais une réponse du joueur et de son entourage d'ici la fin du mois de février, pas plus car si Stefan dit non, Giuseppe Marotta, Piero Ausilio et Dario Baccin veulent être prêts à " réagir " immédiatement et peut-être miser sur un autre agent libre : Chris Smalling de la Roma." "Le Néerlandais, qui a fêté ses 31 ans le 5 février, s'est vu proposer une prolongation de contrat par l'Inter en juillet dernier et dans les mois qui ont suivi, il lui a été présenté un contrat de deux ans pour le même salaire, soit quatre millions d'euros nets par saison plus des bonus. L'été dernier, De Vrij était encore représenté par Pimenta, mais quelques mois plus tard, la relation professionnelle entre les deux personnalités s'est rompue et ses intérêts sont désormais représenté par Federico par Pastorello." "C'est avec lui que la Direction Nerazzuzza a échangé ces dernières semaines, expliquant que le club a l'intention de lui donner le temps de regarder autour de lui et de se décider, mais qu'en même temps, pour des raisons de calendrier, ils s'attendent à recevoir une réponse sur une prolongation jusqu'au 30 juin 2025 d'ici la fin du mois de février. Pastorello, qui était à Milan lundi et mardi de la semaine écoulée pour la clôture du Mercato a publié vendredi une photo de sa rencontre avec De Vrij, et a exprimé à la Rai son désir de respecter la date limite fixée par le club." "Le dialogue est plus détendu et plus fluide entre De Vrij et l'Inter qu'il ne l'était avec Skriniar, notamment parce que le Slovaque avait une offre millionnaire déposée par le Paris-Saint-Germain, alors que Stefan n'a pas une telle offre d'un grand club. Du moins pour le moment. Il évalue les demandes de clubs espagnols et anglais, mais il n'a jamais caché qu'il était heureux à Milan. Ce qui le rend perplexe, c'est plutôt son utilisation actuelle : Cette saison, il est devenu le back-up d'Acerbi et il espère certainement que la situation changera à l'avenir." "Mais puisque l'ancien joueur de la Lazio se dirige vers la confirmation, et même s'il y aura des négociations avec Claudio Lotito, Stefan se donne le temps de la réflexion: Il lui reste encore trois bonnes semaines devant lui avant de dire oui ou non lors de cette rencontre au sommet avec l'Inter. Il est envisageable qu'à la suite de la manche aller face au Fc Porto, dans le cadre des huitièmes de finale de la Ligue des Champions, que la réponse sera communiquée: Dans le cas d'une fumée blanche et avec la confirmation d'Acerbi où le club s'active pour faire diminuer l'exigeance laziale de 4 millions d'euros, les postes en défense centrale seront déjà bien défini." "Dans le cas contraire, il restera bien sur Chris Smalling, qui n'a pas encore donné son accord à la Roma pour déclencher un renouvellement unilatéral d'un an pour percevoir le même salaire que celui qu'il perçoit actuellement, soit un peu moins de 4 millions d'euros. C'est pourquoi l'Inter a décidé de se précipiter sur De Vrij : ils ne veulent pas laisser le défenseur central anglais leur filer entre les doigts." Tant qu'à éviter une Skriniar, autant éviter également une Bremer... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  13. Intervenu dans le cadre de l’émission Pressing, Sandro Sabatini, journaliste, a raconté ce qu'il savait de l'avenir de Nicolò Zaniolo, en racontant cette anecdote : "C'était presque fait avec Tottenham! Paratici agit toujours de la sorte : Il envoie des petits messages et il l'a fait aussi à l'époque d'Icardi à l'Inter." Icardi ? "Quand il était à l'Inter, Paratici a écrit à Wanda pour lui dire de rompre avec le club. Il a fait la même chose avec Zaniolo pour Tottenham. Seulement Zaniolo a eu un moment d'indécision quand on lui a fait croire qu'il y avait une possibilité d'aller au Milan". Et l’ancien de notre Primavera en paye le prix à présent comme le révèle la Gazzetta Dello Sport! "Nuit de peur pour Nicolò Zaniolo qui, immédiatement après la défaite de la Roma à Naples, s'est retrouvé avec plusieurs individus qui l'ont suivi jusqu'à son domicile et l'ont invité à dégager: Zaniolo, qui rentrait chez lui, s'est retrouvé à devoir faire face à un groupe de personnes armées avec des intentions peu amicales : Il a été poursuivi et menacé de mort. La frayeur était manifestement telle que le romain a demandé l'intervention de la police." "En quelques minutes, une patrouille s'est précipitée au domicile du joueur, pour analyser la situation et garantir la sécurité et la tranquillité d'esprit à sa Famille. Le message, cependant, était très clair : Si Zaniolo vient à rester à la Roma jusqu'en juin, les prochains mois pourraient devenir très compliqués pour lui. Une intimidation inacceptable, qui fait maintenant l'objet d'une enquête de police" Hey les gars, on a mieux chez nous si vous voulez ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Stephane Dalmat, joueur ô combien talentueux qui a évolué sous la vareuse interiste et qui a marqué les Tifosi par son engagement sous nos couleurs, s’est livré à Internazionale.fr sur la saison actuelle de l’Inter Quelle est votre analyse suite à l'écrasante victoire de l'Inter en Super Coupe? "C’était un très grand match de l’Inter : Une victoire net et sans bavure, c’est un plaisir de voir l’Inter à ce niveau et gagner un trophée en plus : Bravo !" Pensez-vous que l'inter puisse encore croire au Scudetto ? "Pour le Scudetto et pour être honnête non, car l’Inter est trop irrégulière : On l’a vu hier avec la défaite contre Empoli et Naples fait une saison quasi parfaite : A moins d’un cataclysme, je ne vois pas l’Inter gagner le Scudetto." Vous, qui avez connu l'Inter de l'intérieur, quel est le poids de ce maillot, que représente-t ‘il ? "C’est un Honneur pour moi d’avoir porté le maillot de l’Inter : Quand on voit tous ces grands noms l’avoir porté, c’est extraordinaire. Mais il faut être bien armé psychologiquement car il y a un public très exigeant mais magnifique." Pensez-vous que le Napoli pourra réaliser un second tour du même niveau ? "Malgré la défaite contre l’Inter ils ont prouvé qu’ils restent dans la continuité de la première partie de saison. Ce serait une grosse faute professionnelle s’il ne gagnait pas le Scudetto, mais en football tout peut arriver." L'Italie et plus particulièrement l'Inter risque de perdre, à nouveau un de ses champion en la personne de Skriniar, comment l'expliquer ? "L’argent comme toujours : Il y a cette puissance financière des clubs anglais et des Qataris." Selon vous, est-ce une perte irremplaçable ? "Non car Skriniar est un très bon joueur mais il n’est pas au niveau d’un Thiago Silva, d’un Marquinhos, d’un Coulibaly ou d’autres donc je pense que l’Inter peut trouver son équivalent voire quelqu’un de meilleur." Quel joueur vous a le plus marqué depuis le début du championnat ? "Dzeko, malgré son âge avancé, prouve qu’il est encore très fort, bien sûr moins qu’à la Roma mais ça reste la satisfaction de l’Inter surtout avec l’âge qu’il a : chapeau !" Stephane Dalmat, simply The Best ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. En effet, c’est la grande révélation de la journée signée la Gazzetta Dello Sport : "Si l’on ne considère pas la saison 2016-2017, vu que Steven Zhang n’était pas encore aux manettes, nous assistons à la pire phase aller de l’Inter du Suning : Bien pire que les 39 points récoltés lors de la seconde saison de Luciano Spalletti." "A présent, remporter les deux coupes italiennes ne suffira plus : Il a été demandé à Inzaghi tout autre chose : Ne pas se terminer en Zone Champion’s serait considéré comme une faillite : Qui plus est, la façon dont l’équipe devra y parvenir sera également analyser: Les joueurs devront y parvenir sans faire preuve d’une anxiété exacerbée et sans même plonger dans des température sibériennes comparé au Napoli : Ils devront jouer les 19 prochaines matchs avec l’état d’esprit d’une équipe qui se bat pour remporter le Scudetto même si à présent la seconde étoile n’est plus qu’un mirage." "La qualification pour les quarts de finale de la Ligue des Champions est, par contre, bien plus réaliste vu qu’elle permettrait d’engranger à minima 5 millions d’euros entre les primes en provenance de l’UEFA et les recettes du Giuseppe Meazza car si Porto représente un danger, il n’est pas imbattable." "S’il faudra parvenir à comprendre comment l’équipe peut se montrer si agressive face au Napoli et le Milan comparé à des équipes d’un blason inférieur comme le sont Monza, Vérone, Parme et Empoli, il sera important de compter sur des individualités retrouvés que sont Robin Gosens, Denzel Dumfries et Romelu Lukaku: Romelu semble en avoir terminé une fois pour toute avec ses pépins physique, il doit à présent se mettre des minutes dans les jambes et lancer la machine à but et à Appiano, il y a un programme bien spécifique qui l’attend pour l’installer d’une façon durable au cœur de l’attaque car on ne peut pas compter éternellement sur Edin Dzeko." " Si à ses côtés on retrouvera Lautaro Martinez qui va de certitudes en certitudes, Joaquin Correa réalise continuer a aligner les flops : la destinée des deux argentins est diamétralement à l’opposée. Le troisième argentin, lui, reste un regret car il y a quelques mois il aurait fallu parvenir à trouver une voie de sortie au Tucu afin de ne pas de gâcher la chance Paulo Dybala." Une soufflante aux joueurs Simone Inzaghi s’est entretenu avec les joueurs en leur disant qu'ils devaient absolument réagir après la défaite face à Empoli en Serie A et se ressaisir à l’occasion de la rencontre face à Cremonese Le natif de Piacenza a "insisté sur le fait que louper la Ligue des champions serait un "désastre" car si l'Inter avait abordé le match contre Empoli avec le sentiment qu'il restait un faible espoir de rattraper Naples en tête du classement de la Serie A, ce sentiment laisse à présent la place à l’incertitude de parvenir à terminer dans le Top 4. Et vu la victoire d’une dominante Lazio sur l'AC Milan, combinée aux résultats de la Roma et de l'Atalanta ce week-end, cela signifie que finir dans les quatre premiers est encore moins certain pour les Nerazzurri." "Cet échec ne serait rien de moins qu'un "désastre", une "faillite" pour les Nerazzurri sur le plan financier car le club a planifié son budget en fonction de la manne financière provenant de l’UEFA pour la participation à la plus grande compétition de clubs d'Europe qui parviennent à s’y qualifier: S'en priver, ce serait un énorme coup dur." C’est également pour cette raison qu’Inzaghi a insisté auprès de ses joueurs sur le fait qu'ils ne pouvaient pas se permettre de considérer la défaite d'hier contre Empoli comme autre chose qu'un faux pas temporaire, et qu'ils devaient réagir pour se remettre sur les rails contre Cremonese ce week-end." Validez-vous le comportement de notre Direction : La C1 ou la Porte vu que le Napoli réalise une saison digne du Bayern de Munich en Serie A ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Francesco Toldo, le gardien légendaire de la Nazionale Italienne et finaliste de l’Euro 2000, mais aussi Numéro Un de la Fiorentina et de l'Inter s’est livré à l’Ansa. Et 12 ans après avoir arrêté toute activité professionnelle, Toldone se décrie de la sorte : "Je n'ai aucune nostalgie", même s’il suit les matchs de la Coupe du monde depuis son canapé et aime deviner où l'attaquant tirera le penalty, "et je le devine presque toujours". Par le passé, l’issue d’un pénalty semblait toujours acquise, mais cette Coupe du Monde semble marquer une tendance vers une issue moins prévisible du tir des 11 mètres: "Il est toujours intéressant de comprendre ce qui se passe, de prêter attention aux détails. Il ne s'agit pas seulement d'une question de chance, mais de "se mettre dans la tête" du tireur. Après tout, il y a trois possibilités : A droite, à gauche et au centre. Et ll te faut de l'intuition, ce n'est qu'avec beaucoup d'expérience que tu peux comprendre les intentions du tireur. Ce sont des moments où les deux se regardent dans les yeux et s'envoient des messages." "Il y a aussi la lecture du corps, pour deviner comment il va se déplacer: Et ce langage corporel, vous savez le lire en tant que gardien de but car pour le tireur, c'est un test mental, même pour le plus confiant des attaquants. Certains joueurs peuvent même être conditionnés par des erreurs commises dans leur jeunesse. Dans ces moments-là, l'attaquant doit éliminer sa peur". "Pour le gardien, par contre, c'est un peu comme le jeu du chat et de la souris, sauf que le "chat" est le gardien de but et il s'agit de travailler davantage sur le mental que sur le corps. Si vous restez immobile, vous pouvez rendre nerveux celui qui doit tirer. Cela m'est arrivé avec Kluivert qui, voyant que je ne bougeais pas, a tellement incliné son tir qu'il a touché le poteau. La même chose est arrivée à Kane face à un Lloris fixé sur sa ligne de but et lui qui n’a pas cadré." La taille des gardiens de buts "Oui, c'est aussi une question de centimètres, étendre les bras, bouger, avoir une certaine attitude peut conditionner l'attaquant. Je me souviens de Grobbelaar de Liverpool contre la Roma, ou de Dudek contre l'Ac Milan. Les gardiens de but sud-américains sont un vrai spectacle de ce point de vue.... Finalement, c’est bien plus facile de les parer en match qu'à l'entraînement." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. En effet, en cette période de fin d’année, l’Inter va devoir se retrousser les manches pour renouveler et conserver une bonne partie de sa "Muraille de Chine". En considérant Federico Dimarco comme un pur ailier et non plus un défenseur, on retrouve 5 des 6 défenseurs de l’Inter actuelle en fin de contrat au 30 juin 2023, exception faite d’Alessandro Bastoni dont le contrat expirera au 30 juin 2024 Révélation de Fcinternews.it MILAN SKRINIAR "Ce n'est pas un mystère que sa signature est une priorité pour le club, après un été passé sur le pas de la porte à attendre la bonne offre du Paris-Saint-Germain, qui n'est jamais arrivée. Bien qu'il ait été carrément écarté du marché, le Slovaque est toujours en fin de contrat et les négociations se poursuivent. L'Inter attend une réponse à l'offre de 6 millions plus bonus dans les prochains jours, l'intention est de le sécuriser en lui confiant également le brassard de capitaine et les sensations restent bonnes, surtout vu son désir de rester à Milan." STEFAN DE VRIJ "Jusqu'à très récemment, il semblait destiné à faire ses valises en juin 2023. Arrivé libre, il serait reparti avec le même statut. Mais après un changement d'agent (Federico Pastorello s'occupe désormais de ses intérêts) et son désir exprimé de rester à l'Inter malgré la possibilité de choisir des destinations plus lucratives ailleurs, le canal de discussion avec le club s'est rouvert. La direction et Simone Inzaghi le garderaient volontiers dans l'effectif, mais cela nécessiterait un recul du Néerlandais, qui se contenterait de gagner le même salaire qu'actuellement (4,2 millions plus les bonus). Il est peu probable qu'il obtienne ce contrat, car l'offre sera moins élevée (pas plus de 3,5 millions). La durée ne pose aucun problème : Deux ans avec une option pour un troisième sont acceptés par les deux parties. Les discussions sont en cours, mais les chances de revoir l'ancien joueur de la Lazio la saison prochaine restent élevées." DANILO D'AMBROSIO "Son renouvellement sera discuté plus tard, le sentiment est qu'il n'y aurait aucun problème ni de la part du joker de Caviano ni du club pour trouver un accord, le tout en se basant sur les sommes actuelles pour une autre saison, lorsque le joueur fêtera son 35e anniversaire. Son rôle de leader dans le vestiaire, sa polyvalence tactique, le soin maniaque qu'il apporte à son physique et sa grande volonté d'accepter sereinement les choix de l'entraîneur font de lui un élément précieux de l'équipe." MATTEO DARMIAN "Comme D'Ambrosio, le natif de Legnano veut aussi rester à Milan. Les pourparlers avec l'agent Tullio Tinti ont déjà commencé, et l'accord devrait prévoir une année supplémentaire avec une option pour une deuxième saison à un prix inférieur à celui du contrat actuel (soit 1,5-2 millions plus les primes). Joueur éclectique s'il en est, l'ancien joueur de Manchester United s'est taillé un rôle d'une fiabilité absolue dans l'équipe d'Inzaghi, après avoir été sollicité par Antonio Conte. Encore une fois, il n'y a aucune raison de penser que les parties ne parviendront pas à une signature." FRANCESCO ACERBI "Par rapport à ses équipiers du même secteur, sa situation est différente. Le défenseur central est toujours sous contrat avec la Lazio jusqu'au 30 juin 2025, mais il est peu probable qu'il revienne à Rome, où les relations avec les Tifosi ne sont pas vraiment idylliques. Actuellement prêté à l'Inter avec un droit d' achat fixé à 4 millions, il est peu probable que le club le rachète pour ce montant. Mais l'excellent impact de son arrivée sur l'équipe et la confiance de l'entraîneur font que la Direction tentera d'arracher une remise aux Biancocelesti. L'intention est de répéter les opérations d'Edin Dzeko avec la Roma et d'Arturo Vidal avec le Barcelone : Soit un transfert gratuit avec le versement de bonus faciles à atteindre. Il ne sera pas facile de convaincre Claudio Lotito, mais le défenseur a déjà décidé de rester à Milan et il faudra en tenir compte." ALESSANDRO BASTONI "La Direction della Viale della Liberazione est moins pressée, mais cela ne signifie pas que le débat sur le renouvellement peut être remis à plus tard pour longtemps. Le défenseur central a déjà refusé les avances de Tottenham l'été dernier afin de rester sous le maillot Nerazzurro, et il ne s'attend pas à ce que son club s'aligne sur les offres arrivées de la Premier League. Mais le salaire devra également être revu à la hausse pour honorer le statut actuel de l'ancien joueur de l'Atalanta. Nous en reparlerons au début de l'année 2023, lorsque la discussion commencera avec l'agent Tinti car l'Inter ne veut pas risquer de perdre l'un de ses principaux talents, et le joueur en question n'a pas l'intention de changer de maillot." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. Avec l'Inter ne jouant plus un match pour le reste de 2022 en Europe et en Serie A, le moment semble maintenant opportun pour revoir ses progrès jusqu'à présent cette saison. Voici l'analyse de Sempreinter. Deux salles, deux ambiances avec un certain retard en Serie A, tandis qu'en Europe ils ont passé le "groupe de la mort" et affronteront Porto en huitièmes de finale. Voici cinq choses que nous avons apprises de l'Inter jusqu'à présent cette saison. 1) L'ère Handanovic se termine avec une passation à Onana Malgré quelques échanges, il semble que la signature estivale Andre Onana ait désormais officiellement remplacé Samir Handanovic en tant que gardien numéro un. Après quelques années, le grand Slovène, qui était sans aucun doute la star de l'Inter pour les plaisanteries, a finalement semblé se retirer pour un gardien plus jeune. L'ancien stoppeur de l'Ajax a saisi pleinement l'occasion et a semblé donner un nouvel élan à l'Inter dans cette position. Enfin, sa présence a certainement donné à la défense de l'équipe un regain de confiance. 2) Romelu Lukaku – Le flop de la saison ? Bien qu'il puisse être un peu difficile de qualifier Lukaku de véritable flop alors qu'il est à peine entré sur le terrain cette saison, le retour du Belge a été sérieusement décevant. L'Inter avait hâte d'accueillir à nouveau l'attaquant létal qui a joué un rôle énorme dans le Scudetto 2021. Au lieu de cela, ils ont rencontré une ombre blessée de son ancien lui. Alors qu'Edin Dzeko et Lautaro Martinez ont bien joué, ce serait formidable au cours de la seconde moitié de la saison d'avoir un Big Rom en pleine forme et tirant pour donner à l'Inter une chance de gloire. 3) Interprète vedette en Barella Alors que Federico DiMarco et Lautaro Martinez ont connu d'excellents débuts de saison, il est très juste de dire que Nicolo Barella a été la star de la saison de l'Inter jusqu'à présent. L'ancien maestro de Cagliari a été exceptionnel depuis le début de la saison, ajoutant même des buts à son jeu pour correspondre à sa ruse et à son sprint. L'international italien a aidé l'Inter à faire face à la blessure de Marcelo Brozovic et à la forme à l'envers toujours inconsistante de Hakan Calhanoglu. Meilleur milieu de terrain central du football mondial en ce moment ? Il est définitivement en haut du classement! 4) Les malheurs en Serie A signifient que le but est d'être dans les quatre premiers Les cinq défaites de l'Inter en championnat jusqu'à présent signifient qu'ils sont déjà loin du rythme dans la course au Scudetto. La saison dernière a été une énorme déception car l'Inter semblait contrôler la course pour conserver le Scudetto jusqu'après Noël, lorsque le Milan a inversé la tendance après avoir remporté le Derby. Ce trimestre, l'Inter n'a même pas été proche. Les défaites contre le Milan, la Juventus et la Roma ainsi que celles contre la Lazio et l'Udinese ont forcé à l'Inter de se concentrer désormais sur sa qualification pour la Ligue des champions la saison prochaine. À moins d'un miracle, l'Inter semble prêt pour une autre année sans Scudetto cette année. 5) Phase de groupes de la Ligue des champions : le point culminant de la saison jusqu'à présent Outre deux défaites logiques contre le Bayern Munich, les victoires et les performances de l'Inter en Europe ont certainement été les points forts de la saison. Le doublé sur Plzen a été confirmé par deux scores stellaires pour calmer et expédier les grosses dépenses de Barcelone vers la Ligue Europa. Voir les progrès de l'Inter après le tirage au sort en Août était une chimère étant donné le pouvoir financier du Barça et du Bayern. Mais les Nerazzuri, comme ils l'ont fait la saison dernière, ont trouvé un moyen sous Simone Inzaghi d'atteindre les phases à élimination directe. Avec le Porto entraîné par l'ancien ailier de l'Inter Sergio Conceicao qui sera le prochain adversaire européen après la Coupe du monde, l'Inter aura toutes les chances de se qualifier pour les quarts. Êtes-vous d'accord ou pas d'accord avec cette analyse ? Traduction alex_j via Sempreinter.
  19. Tuttosport nous livre une statistique impitoyablement intéressante concernant les performances à domicile et à l'extérieur de l'Inter d'Inzaghi. Atalanta-Inter devrait être l'occasion pour l'équipe d'Inzaghi de se relancer pour les matches à l'extérieur où les Nerazzurri ont perdu face à la Lazio, la Juventus, l'Udinese et le Milan. Voici l'analyse de Tuttosport. "L'Inter d'Inzaghi est un rouleau compresseur chez elle. Depuis qu'Inzaghi a repris les rênes de l'équipe, donc à partir de l'été 2021, l'Inter a joué 26 matchs à domicile en championnat et a enchaîné 20 victoires, 3 nuls et 3 défaites pour une moyenne de 2,42 points par match (67 buts marqués contre 20 encaissés). Seuls le PSG et Manchester City, en Europe, ont fait mieux au cours de cette même période (Août 2021 / Novembre 2022). L'écart avec les équipes italiennes est également très net: Milan a une moyenne de 2,23, Napoli de 2,12, la Juventus et la Fiorentina de 2 (toutes les autres sont à moins de 2 points)." "En revanche, à l'extérieur l'Inter d'Inzaghi a récolté quatre défaites et seulement trois victoires en sept matchs, contre Lecce, Sassuolo et la Fiorentina, pour une moyenne de 1,29 de points par match de seulement. Elle est loin des équipes en tête de ce classement, à savoir PSG à 2,75, Naples à 2,71, Real et Barcelone à 2,57, mais également des autres équipes italiennes, Lazio, Atalanta, Roma, Milan et Juventus, toutes au-dessus de 1,30. En ne prenant en compte que les équipes qui ont participé à la Ligue des champions, seuls quatre ont jusqu'à présent réalisé une pire performance à l'extérieur que de l'Inter, à savoir Séville(1,14), Bayer Leverkusen (1), Leipzig (0,86) et de manière incroyable Liverpool (0,83)." Traduction alex_j via FCInterNews.
  20. C'est une révélation de la Gazzetta Dello Sport, la défaite au Stadium de Turin est loin d'être digérée par la Direction Nerazzurra: "Hier, en cette journée de veille de match, une réunion s'est tenue à Appiano Gentile, et le fil conducteur était le suivant : "Ce n'est pas assez". "L'Inter ne peut plus commettre de faux pas en championnat, après avoir rechuté à Turin en commettant des erreurs et en proposant une attitude qui semblait être derrière elle après un mois d'octobre presque parfait. Deux réunions ont eu lieu hier à la Pinetina : la première entre la Direction et Simone Inzaghi, la seconde entre l'entraîneur et l'équipe: Il a été exigé à tous de se donner plus" Ici ce n'est pas la Lazio "Les dirigeants ont souligné à Inzaghi leur mécontentement quant aux performances de l'équipe en championnat, qui sont loin d'être à la hauteur des attentes, contrairement à la Ligue des Champions. et deux concepts principaux ont été souligné: On ne vit pas sur base d'un résultat obtenu, comprenez un résultat positif obtenu ou un objectif atteint ne peut pas "adoucir" l'approche du match à venir. L'autre point abordé, qui avait déjà émergé avec la déclaration de l'Administrateur-Délégué Giuseppe Marotta il y a deux jours, est la différence de performance entre les matchs à domicile et à l'extérieur." "Ce comportement est intolérable et "un remède" doit être trouvé rapidement, surtout compte tenu du match à l'extérieur de ce dimanche à Bergame, une rencontre source d'inquiétude, surtout en termes de classement: Inzaghi, pour sa part, a assuré que des changements technico-tactiques seront effectués, afin de garantir une plus grande solidité à l'équipe. Il ne s'agit pas de changer de module, mais simplement de mieux se comprendre." "Et c'est à Inzaghi, quelque chose qui est cher à au Dirigeants, de trouver LA solution: Il se doit de trouver le moyen de corriger la mire fixé sur le navigateur. Comme il l'était déjà parvenu à le faire après les défaites contre l'Udinese et la Roma: Le match d'aujourd'hui contre Bologne sera déjà un test et une occasion de se remettre sur les rails pour réduire "en faux pas" la rencontre face à la Juve." "En effet, avant le Derby d'Italie, l'Inter était de nouveau sur les rails avec une prise de conscience en championnat, en plus de son parcours particulier en Ligue des Champions. Toutefois, pour l'équipe, les "bonus sont terminés".... Et hier, Inzaghi a demandé un changement de rythme à son équipe sur quatre points : Arrêter les baisses de concentration, faire plus attention au marquage préventif, élever le niveau de méchanceté, retrouver la compacité." Pensez-vous que l'Inter se retrouvera après la trêve internationale vu ce début de saison totalement anormal ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  21. Juventus-Inter est un carrefour fondamental pour nous. Il faut gagner pour ne pas perdre du terrain de le top avec l'espoir de récupérer des points avant la trêve de la Coupe du monde. Voici les mots de Simone Inzaghi lors de la conférence de presse avant le match contre les Bianconeri. "On sait ce que représente le match, le derby est très important pour nos supporters et notre club. La Juve est en aussi bonne santé que l'Inter Milan, ils ont gagné 4 des 5 derniers matchs. On va retrouver une équipe en convalescence dans un stade chaleureux. Mais on va y aller pour jouer notre jeu avec une grande concentration." Qui perd est hors pour le Scudetto? "Demain ce sera un match très important, il reste encore 25 matchs à faire. Il y aura une pause, puis on reviendra avec plus d'un groupe disponible, on connaît l'importance du match de demain." Qui est le favori demain ? "Cette année, nous avons souffert dans les affrontements directs. Le dernier avec la Roma. Nous avions montré que nous nous rétablissions. Nous avons eu des affrontements avec le Bayern et Barcelone avec des résultats différents. la Juve est en bonne santé mais nous aussi. Nous avons eu des chemins différents en Ligue des champions mais on la respecte et on respecte la force de cette équipe. Ils ont de la qualité même chez les jeunes joueurs, on a beaucoup de respect mais pas de peur." Toujours sans Lukaku : y a-t-il des mises à jour ? "Sans Lukaku, sans D'Ambrosio, avec Bastoni à évaluer car il avait de la fièvre ce soir. Il ne s'est pas entraîné aujourd'hui, voyons s'il faut le mettre ce soir ou demain. Un entraîneur veut avoir toutes les flèches. Il y a des difficultés pour Lukaku à cause de cette cicatrice. La semaine prochaine il refait un examen, cette fois je pense qu'il ne peut pas récupérer pour le dernier match. Désolé pour le garçon, malheureusement on ne peut pas l'utiliser. On va l'attendre après la pause, il peut nous donner un super coup de main." Top défense de la Juve : comment l'attaquer ? "Il va falloir avoir de la mobilité, ils ont d'excellents défenseurs, c'est la meilleure défense d'Italie, il va falloir être bon pour faire une bonne possession de balle, ils défendent bien en équipe." Allegri dit de l'Inter favorite pour le Scudetto : comment évaluez-vous ces mots ? "Chacun a son opinion, j'ai dit ce que je pensais de la Juve, ils ont une équipe 1, ils ont une équipe 2 très forte. Ils lancent de jeunes joueurs à répétition, ils ont la plus profonde équipe de Serie A et ils ont de jeunes joueurs qui sont jouent très bien." L'Inter va bien, la pause est-elle un regret ? "Bon constat, l'équipe va bien. Il reste 3 matchs d'ici à la fin, on a des soucis récurrents depuis le début de l'année avec des joueurs très importants, l'espoir est de finir ces 3 matchs dans les meilleures conditions et revenir en Janvier avec tous les joueurs." Trop de buts encaissés à l'extérieur : comment le staff gère-t-il une chose aussi étrange ? "A Munich, j'ai vu beaucoup de choses positives, le Bayern avec City est l'équipe la plus forte d'Europe, un penalty a été refusé, Lautaro a eu l'occasion de le débloquer. Les buts à l'extérieur ? On analyse les données, il faut travailler les détails, la différence est considérable." Brozovic joue-t-il demain ? "Un joueur très important pour nous. Pendant ces deux jours, je dois être honnête, il m'a surpris par la façon dont il a travaillé. Ce n'est pas 60 jours comme Lukaku mais presque 40, c'est beaucoup mais pendant ces deux jours, il a bien travaillé. Je ne pense pas qu'il soit titulaire mais on verra comment se passe le match. Pour nous c'est un joueur fondamental, une absence dont on a peu parlé, heureusement parce que ses coéquipiers ont bien fait." Comment éviter l'excès de confiance ? "On sait qu'on retrouve une équipe qui sort encore plus déçue de la Ligue des champions. J'ai de l'estime pour Allegri, il a gagné, il arrive à tirer le meilleur des équipes, il va falloir faire une belle course. Il va falloir avoir beaucoup de concentration et beaucoup de personnalité. Ce sera un public assez chaud." Question Fcinter1908.it - Sacchi a critiqué la façon de jouer de l'Inter contre le Bayern : avez-vous envie de dire quelque chose ? "Je ne réponds pas. Je réponds pour le match à Munich. J'avais beaucoup d'indications, les jeunes ont joué ensemble avec d'autres qui n'ont pas joué comme Gagliardini et Darmian. Pour le match à Munich, je suis désolé pour le résultat. Cela n'a pas importe parce que nous étions déjà qualifiés. J'en ai retiré beaucoup d'indications positives." Traduction lex_j via FCInter1908.
  22. L'ancien entraîneur de l'AS Roma, de la Juventus et de l’AC Milan, Fabio Capello, estime que l'Inter Milan est conscient de ses forces, mais que la Juventus peut réaliser une grande performance lors du Derby d'Italie de dimanche. L'ancien manager anglais s'est entretenu avec le diffuseur italien Sky Sport Italia avant le match de dimanche entre la Juventus et l'Inter à l’Allianz de Turin. "C'est une Inter qui connaît ses forces et qui se déplace bien sur le terrain. Nous l'avons vu lors des deux matchs contre Barcelone, notamment celui au Camp Nou", a déclaré Capello en direct à l'antenne, comme le rapporte L'Interista.it. "Je vais donner confiance à Massimiliano Allegri, car je crois que la Juventus peut faire un bon match. Méfiez-vous des jeunes joueurs", a conclu l'ancien entraîneur de la Juventus. Les éternels rivaux s'affronteront dans le Derby d'Italia le dimanche 6 novembre à 20h45 (heure locale, ndlr.) à l'Allianz Stadium de Turin. En tant que joueur, Fabio Capello a remporté quatre championnats de Serie A, trois avec la Juventus et un avec l’AC Milan, et deux Coppa Italia, une avec l'AS Roma et une autre avec l’AC Milan. Pendant sa carrière en tant qu’entraîneur il a remporté cinq championnats de Serie A, quatre avec l’AC Milan et un avec l'AS Roma. Il a aussi gagné quatre Super Coupes d’Italie, trois avec l’AC Milan et un avec la Roma. L'ancien international italien a fait un passage dans l'équipe nationale anglaise en tant que Manager de 2008 à 2011. ®Oxyred – Internazionale.fr via SempreInter
  23. Massimo Moratti a accordé une longue interview au Corriere della Sera et revenu sur sa vie, l’Inter de son père, le Calciopoli et certains joueurs emblématiques. Massimo Moratti, vous êtes né trois semaines après la fin de la guerre. Quelle est votre premier souvenir? "Un matin, j'avais quatre ans. Je sentais que c'était un jour important. Et mon frère Gian Marco allait à l'école avec une chaussette rouge et une autre bleue." Distraits. "Joyeux. Nous étions une famille joyeuse. Papa travaillait toute la journée, mais tous les soirs on se retrouvait à écouter la radio : Franca Valeri, Alberto Sordi…" Comment était ton père Angelo ? "Fantastique. Je n'ai jamais, de toute ma vie, trouvé un homme à son niveau. Et toute ma vie j'ai essayé de l'imiter; même en sachant que c'était impossible. Brillant, charmant, plein d'esprit, sympathique, humainement très riche... " Pas seulement humainement. "Mais c'est venu de la pauvreté. Mon grand-père avait la pharmacie de la Piazza Fontana à Milan. Mon père a quitté la maison à 14 ans, sa mère était morte, et il ne voulait pas vivre avec sa belle-mère, aussi dure que celle des contes de fées." Il y avait cinq enfants dans la maison : outre toi et Gian Marco, trois sœurs. "Notre mère Erminia était aussi une personne joyeuse. Elles plaisantaient tout le temps avec papa. Ils s'aimaient." Comment était Milan dans les années 50 ? "Encore à moitié détruite. Imaginez. Mais nous savions que l'avenir serait meilleur que le présent." Pour qui les Moratti ont-ils voté ? "Démocrates. Nous étions antifascistes et anticommunistes." N'y avait-il vraiment rien de mal à cela ? "Il y avait quelque chose qui n'allait pas. Nordahl." L'avant-centre milanais ? "Grand, grand, imparable. J'avais physiquement peur de lui. Je l'ai vu au San Siro et j'ai rêvé de lui la nuit. Nordahl était l'homme noir de mon enfance." Alors ton père a acheté l'Inter. "Mais on est allé le voir avant. Je me souviens du 6-5 du derby de 1949. Au stade, il y a eu une bagarre, des chapeaux ont volé." Quel était votre footballeur préféré ? "Benito Lorenzi, dit Veleno. En dehors du terrain, il était très gentil car il s'occupait des enfants de Valentino Mazzola, Sandro et Ferruccio. Mais sur le terrain, ça devenait terrible. Il provoquait la foule avant et après avoir marqué. C'est Lorenzi qui a surnommé Boniperti Marisa, malgré ses amis. Boniperti était très en colère." Le footballeur le plus fort que vous ayez jamais vu ? "Je vais vous en dire deux : Angelillo et Ronaldo. Deux histoires parallèles. Comme Herrera et Mourinho." C'est-à-dire? "Angelillo était une pure classe. Il a fait un championnat extraordinaire, avec 33 buts. Puis il est tombé éperdument amoureux d'une chanteuse, et s'est perdu. Nous l'avons vendu et avec le produit nous avons acheté Luisito Suarez : très intelligent." Et Ronaldo ? "Il est venu me voir quand il jouait pour le PSV, avec une petite amie néerlandaise... Quand il est arrivé à l'Inter, il était le joueur le plus fort du monde. Après les blessures, il n'est jamais revenu à ce niveau." Senti trahi lorsqu'il est allé au Real Madrid, après que l'Inter l'ait attendu ? "Non. Je m'étais identifié à lui, dans sa douleur. J'ai trouvé juste qu'il veuille changer, après avoir tant souffert." Herrera, comment l'as-tu trouvé ? "Un journaliste de la Gazzetta dello Sport nous l'a rapporté, je pense Franco Mentana, le père d'Enrico. Le Magicien et Mourinho avaient beaucoup de choses en commun." Quoi? "Ils ont beaucoup travaillé et étudié. Ils connaissaient la psychologie et la médecine. Quand José est arrivé, notre médecin a dit : enfin un coach qui m'aide." Brera dit que Herrera s'est également servi de certaines tablettes dans les vestiaires... "Brera a plaisanté. Mon père ne l'aurait jamais permis. Et le Magicien avait beaucoup de respect pour mon père, presque de la crainte." En 1964, l'Inter remporte sa première Coupe d'Europe. "A la première participation. En battant le Real Madrid 3 à 1, qui a toujours gagné. Mais Herrera a mis Burgnich sur Di Stefano et Tagnin sur Puskas... Une joie indescriptible." L'année suivante, il remporte la Coupe à San Siro, but de Jair. "Il pleuvait, le ballon est passé sous le ventre du gardien de Benfica. C'est aussi un moyen de gagner." Qui était ton héros ? "Mariolino Corso. Jamais vu un ailier avec une telle classe. J'ai adoré Recoba parce que j'ai vu l'imprévisibilité de Corso en lui." Mais ensuite, l'Inter l'a vendu. "Et mon père a acheté Cagliari quand il a appris qu'il était sur le point de vendre Riva à la Juve. Le lendemain matin, les dirigeants sardes ont informé Agnelli que l'affaire ne pouvait plus être conclue: le club avait un nouveau propriétaire. L'avocat n'a même pas demandé qui il était. Il a compris." Et Cagliari remporta sensationnellement le Scudetto. "Avec Domenghini que l'Inter avait vendu pour Boninsegna." Que s'est-il passé le 5 mai 2002, la défaite face à la Lazio qui vous a coûté le Scudetto ? "Les joueurs ont cru avoir reçu des signaux de leurs collègues de la Lazio, ils ne se seraient pas engagés pour ne pas favoriser la Roma. Mensonges ! J'en étais convaincu avant même le coup d'envoi, et je les ai prévenus : ‘Personne ne nous donnera rien.’ Pourtant, ils sont entrés sur le terrain avec une confiance excessive. Et ils n'ont jamais réussi à prendre le jeu en main. Je me sentais tellement responsable que je me suis dit : ‘Je ne quitterai pas le football avant d'avoir une revanche.’ " Sur le terrain, il y avait Cholo Simeone. "Et il a marqué contre nous. Grand combattant." Votre avant-centre était Bobo Vieri. "Un anticonformiste, toujours critique du management; mais pas un mauvais garçon. À l'Inter, il a fait tout ce qu'il pouvait faire; pourtant il n'a rien gagné." Puis vint Ibra. "Très beau. J'avais l'habitude de consulter les joueurs les plus importants pour la campagne de transfert, et avec Zlatan, nous avions un rituel. Il me disait: ‘On pourrait même se passer de Cambiasso l'année prochaine...’. Je rigolais. Ensuite, j'allais chez Cambiasso qui me disait: ‘L'année prochaine, autant se passer d'Ibra...’" Ibra et Cambiasso ne s'aimaient pas. "Mais sur le terrain, ils se donnaient à mort l'un pour l'autre." Et dans l'affrontement entre Ibra et Lukaku, avec qui seriez-vous rangé ? "Cela ressemblait à un match de boxe entre deux champions du monde. Lukaku est un trésor... Je me serais placé entre les deux, au risque d'en prendre une des deux." Mazzola a déclaré qu'il avait quitté l'Inter parce qu'elle avait consulté Moggi. "Ça ne s'est pas passé comme ça. C'est vrai que Moggi voulait venir à l'Inter, et je ne lui ai jamais dit explicitement que je ne voulais pas ; mais je ne l'aurais jamais pris." Pourquoi? "Parce que la Serie A a été manipulée; et nous étions les victimes. La Juve devait gagner; et si la Juve n'a vraiment pas gagné, c'était au tour du Milan. Dommage : car la plus grande forme de malhonnêteté est de tromper les sentiments des gens." Facchetti était en charge de l'Inter. "Un homme splendide. Une fois, je lui ai dit: ‘Giacinto, est-il possible que tu ne puisses pas trouver un arbitre, un seul, prêt à nous aider, à leur place?’. Il a répondu: ‘Vous ne pouvez pas me demander une telle chose’." La Juve a remporté deux championnats et un lui a été attribué. Le revendiquez-vous ? "Absolument oui. Je sais que les joueurs de la Juventus se fâchent. Cela m'amène à le revendiquer avec plus de conviction. Ce scudetto était la compensation minimale pour les vols que nous avons subis. Cela vaudrait beaucoup plus." Puis vinrent les championnats de Mancini et Mourinho. Comment avez-vous choisi Mou ? "En écoutant une de ses interviews télévisées, entre une demi-finale et une autre de la Ligue des champions 2004. Son Porto avait fait match nul avec le Deportivo La Corogne, le retour a été très difficile. Et il a dit : ‘Mais en tant que Deportivo, je pense déjà à la finale.’ J'ai beaucoup aimé sa bravade." Et ce fut le triplete : championnat, Coppa Italia, Champions. "Mission accomplie. J'étais fier que la même famille ait remporté la Coupe près d'un demi-siècle plus tard. Pour la première fois, je me sentis digne de mon père même s'il reste inaccessible. Aujourd'hui encore, il m'arrive de trouver des gens qui me parlent de lui, qui lui doivent quelque chose." Combien d'argent l'Inter vous a-t-elle coûté toutes ces années ? "Vous ne pouvez pas me demander cela. Je ne sais pas, et je ne te le dirais pas. Le football n'est pas une entreprise ; c'est passionné. Et les passions n'ont pas de prix." Maintenant, l'Inter est chinoise, peut-être pour un peu plus longtemps. "Les Zhang, à la fois le père et le fils, m'ont toujours semblé de bonne foi. Au début, ils m'ont demandé de parler aux joueurs, de les motiver. Mais aujourd'hui, il est impossible de tenir longtemps dans le football. Les pertes doublent ou presque doublent chaque année : 50 millions, 100 millions, 150 millions…" Comment cela finira-t-il ? "Peut-être qu'un fonds américain viendra. Mais attention aux spéculations. Le football n'est pas fait pour gagner de l'argent. Les Américains aimeraient en faire un spectacle. Show-business. Mais je ne sais pas si ce sera un jour possible en Italie." Qui remportera le championnat ? "Cela pourrait vraiment être l'année de Naples. Milan fait aussi peur. L'inter a une structure solide mais ensuite elle se perd au plus beau." Que pensez-vous de Berlusconi? "Je le considère comme un ami. En tant qu'entrepreneur, je le respecte beaucoup." Et en tant qu'homme politique ? "Je ne voudrais pas perdre son amitié." Est-il vrai que vous avez refusé de vous présenter à la mairie de Milan ? "Oui, trois fois. Et peut-être que j'avais tort. C'est un peu un regret. J'aurais bien aimé." Quand est-ce arrivé pour la première fois ? "En 1993. Je suis allé demander conseil au Milanais que j'estimais le plus." Qui? "Cardinal Martini. Une personne merveilleuse. Il m'a déconseillé." C'est la dernière fois ? "Le chef du Parti démocrate était Veltroni. Cette fois, le cardinal Martini m'a dit d'accepter. Pourtant j'ai abandonné, même si je me sentais coupable." Pourquoi ? "J'ai pensé à mes cinq enfants. Auraient-ils préféré un papa maire, ou un papa qui leur a appris un métier, qui leur a laissé une entreprise ? Et puis je n'ai pas voulu profiter de la popularité acquise grâce à l'Inter." Comment avez-vous rencontré votre femme Milly ? "Alla Capannina. Elle était belle. Je l'ai invitée à danser. C'était en 1966, elle avait vingt ans mais elle faisait plus jeune. Nous nous sommes mariés en 1971, nous avons toujours tout partagé. Sauf pour une chose." Qui est? "Quand j'ai acheté l'Inter, je n'ai rien dit. Elle l'a appris à la télé. J'ai donné l'ordre de bloquer les ascenseurs car j'avais peur qu'elle monte pour m'arrêter. Puis je suis allé à la maison. Je n'ai trouvé personne. J'ai trinqué avec la serveuse." Comment trouvez-vous Milan aujourd'hui ? "Toujours la meilleure ville au monde pour travailler". Pourquoi? "Parce qu'ils fonctionnent tous. Et parce que les Milanais ont le sens de la participation. Comme quand ils ont nettoyé la ville maculée par les black-blocs en un après-midi." Et le nouveau stade ? "Ne me convainc pas. Détruire San Siro serait un crime. On dit : ‘donc les clubs gagnent 30 millions par an.’ Mais que sont 30 millions par rapport à l'histoire ? Vous verrez qu'à la fin personne n'osera démolir notre temple." Traduction alex_j via Le Corriere della Sera.
  24. Après sa qualification en huitièmes de finale de la Champions League en battant le Viktoria Plzen, FCInterNews, par le biais de Raffaele Caruso, a diffusé cet éditorial aujourd'hui. Nous sommes le 25 août 2022. L'Inter, dans le troisième chapeau, est tombée dans le groupe D avec le Bayern Munich et Barcelone. Le visage de Javier Zanetti, immortalisé par des caméras et devenu un mème viral en quelques instants, est celui typique de tout fan des Nerazzurri sur la surface de la terre. Encore une fois l'urne n'est pas en réellement faveur des Nerazzurri. Seulement 24 heures passent et l'Inter perd à l'Olimpico contre la Lazio. Une semaine passe et l'Inter perd Lukaku à cause d'une blessure et aussi le derby contre le Milan. Quelques jours de plus passent et l'Inter perd ses débuts en Ligue des champions contre le Bayern Munich. Nous sommes le 7 septembre, alors que Barcelone en Espagne défait le Viktoria Plzen 5-1 et marche sur la Liga. La saison ne démarre pas de la meilleure des manières et se compromet même au bout d'un mois. Il y a ceux, avant tout des vrais supporters pas les autres, qui n'ont pas accepté l'Inter avec son ADN, cet ADN merveilleusement imprévisible et fou. Après avoir facilement liquidé le match d'entraînement de Plzen en République tchèque, Barcelone arrive le 4 octobre au Meazza dans ce qui est en fait un même d'un match aller et retour à élimination directe de la Ligue des champions. Pendant ce temps, l'Inter a perdu contre l'Udinese et la Roma en championnat et, pour ne rien rater, aussi son esprit combatif, Marcelo Brozovic. Inzaghi ne fait pas confiance au tout jeune Asllani et décide donc de s'appuyer sur les qualités de Hakan Calhanoglu. Comme dans l'un des plus beaux films hollywoodiens de tous les temps, c'est le Turc qui décide du match d'une belle faute sans frais; il est parfois aussi juste de s'en souvenir, contrairement à d'autres. L'Inter remporte les trois points. Cependant, la meilleure nouvelle vient de la performance unanime de l'équipe, auteure d'une performance de sacrifice et de compacité à revoir. Jusqu'à présent, le 4 octobre représente le tournant de la saison de l'Inter qui revient gagner en championnat et sans oublier l'habitude de faire perdre quelques cheveux à ses fans. Elle arrive au Camp Nou consciente d'être à égalité avec le super Barcelone de Xavi, du moins ainsi peint par les initiés du monde entier, vous savez, ceux qu'on appelle experts. Peut-être, à vrai dire, le Barcelone de Xavi s'avère-t-il plus "bon", pour ainsi dire, en dehors du terrain. Bon à provoquer, à protester pendant une semaine, à demander l'intervention des hauts dirigeants de l'UEFA. Bref, l'exact opposé de l'histoire d'un club historique, parmi les plus grands de l'histoire du football. Car oui, Barcelone est un grand club. L'Inter d'Inzaghi, cependant, ne tombe pas dans le piège. Ils ont les idées claires et se rendent au Camp Nou pour sortir une performance à enregistrer dans le livre de l'histoire pour l'éternité. Ça se termine 3-3, beaucoup se réjouissent du point gagné qui vaut en réalité 10. Mais il y a ceux qui ont un goût amer dans la bouche à cause d'une victoire qui était entre les mains de l'Inter pendant plusieurs minutes. Il reste donc 180 minutes à jouer, dont 90 à domicile. Il y a aussi Zanetti assis dans les gradins et son visage est décidément différent de celui du 25 août. L'Inter ne s'est pas trompée et a démoli le Viktoria Plzen dans une soirée parfaite. Inzaghi n'est pas sur le banc, mais Lukaku est là pour la première fois depuis deux mois. Vous souvenez-vous de ce film hollywoodien qui était l'un des meilleurs de tous les temps ? L'Inter sort un autre chef-d'œuvre. Quatre buts au Meazza et un poker gagnant signé en 4 minutes après le retour de Big Rom. C'est une fête totale à Milan alors qu'à Barcelone la mission désespérée de Xavi à encourager Plzen depuis le Camp Nou n'a pas porté ses fruits. Dans l'après-match, tout le monde fait la fête, mais deux de plus que tous. Steven Zhang et Inzaghi. Monsieur Inzaghi l'a encore fait, pour la deuxième année consécutive l'Inter fait partie des 16 équipes les plus fortes d'Europe. Autrefois c'était normal pour une équipe comme la nôtre, maintenant nous devons nous battre pour l'être. Pour cela, les mérites et les compliments doivent être faits deux fois. Bon travail, tout le monde. Nous ne sommes que le 27 octobre, la saison est encore longue. Mais qu'est-ce que c'est bon d'être fans de l'Inter ! Traduction alex_j via FCInterNews.
  25. En effet, la onzième victoire d’affilée, toute compétition confondue du Napoli ont marqué les Bookmakers dans la course au Scudetto L’équipe de Luciano Spalletti est donnée à 2,25 par 888sport.it et 2,40 par Planetwin365 (contre 3,25 il y a une semaine) Le Milan lui passe à 3,20 tandis que l’Inter complète ce podium en étant jugée à 5,75. La victoire de la Lazio face à l’Atalanta lui permet de passer à 16 alors qu’elle était donnée à 50 en début de saison, ils se partagent cette position La Roma est donnée à 14 contre 13 pour la Juve Selon vous, le Napoli va-t’il tenir la cadence ou, comme ce fut le cas à l’Inter, l’équipe de Spalletti va-t-elle s’effondrer en seconde partie de saison ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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