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  1. 81 minutes de colère, de frustration, pour les nombreuses attaques qui n'ont pas pu se concrétiser en présence d'une équipe de la Roma qui, en plus de placer le bus devant le but de Rui Patricio, n'a pratiquement pas existé, ne pensant qu'à perdre du temps et se défendre. Mais cela ne pouvait pas se terminer ainsi : Marcus Thuram s'en est donc chargé avec une frappe dans la surface pour percer le but des Giallorossi, donnant à l'Inter trois points qui lui permettent de revenir en tête du classement. Mérité et légitime, face à une Roma qui n'a pratiquement pas chatouillé Sommer. INTER-ROMA 1-0 BUTEURS : 81' Thuram INTER : 1 Sommer; 28 Pavard (46' 36 Darmian), 15 Acerbi, 95 Bastoni; 2 Dumfries (85' 6 De Vrij), 23 Barella, 20 Calhanoglu (75' 21 Asllani), 22 Mkhitaryan (75' 16 Frattesi), 32 Dimarco (32' 30 Carlos Augusto); 9 Thuram, 10 Lautaro Martinez. Banc: 12 Di Gennaro, 77 Audero, 5 Sensi, 14 Klaassen, 30 Carlos Augusto, 31 Bisseck, 42 Agoume, 70 Sanchez. Coach : Simone Inzaghi. ROMA : 1 Rui Patricio; 23 Mancini, 14 Llorente, 5 N'Dicka; 43 Kristensen, 4 Cristante, 16 Paredes (89' 17 Azmoun), 52 Bove (84' 22 Aouar), 59 Zalewski (75' 19 Celik); 90 Lukaku, 92 El Shaarawy (84' 11 Belotti). Banc : 63 Boer, 99 Svilar, 2 Karsdorp, 60 Pagano, 61 Pisilli, 64 Cherubini, 67 Joao Gabriel, 68 D'Alessio. Coach : Salvatore Foti. Arbitre : Maresca. Assistants: Peretti, Bresmes, Manganiello, Di Paolo, Dionisi. Spectateurs : 75 573 Avertis : Mancini (R), Pavard (I), N'Dicka (R), Paredes (R), Calhanoglu (I), Bastoni (I), Cristante (R) Corners : 7-1 17h45 - Les équipes rentrent aux vestiaires, dans quelques minutes coup d'envoi au Meazza. 17h48 - Suspendu, José Mourinho a pris place dans la tribune de presse du stade. 17h56 - Les équipes sont dans le tunnel menant au terrain. Echanges de regards entre les deux équipes. 17h58 - Les supporters de la Roma chantent leur refrain 'Roma, Roma, Roma...' 17h58 - Inter et Roma sur le terrain, rugissement ridicule sur le tir de Lukaku. 17h59 - C'est l'heure des salutations entre les équipes, un "high five" froid avec Lautaro pour Lukaku. 18h00 - Lautaro et Mancini devant Maresca pour le tirage au sort. 18h01 - Coup d'envoi de la Roma, Lukaku s'élance et est accueilli par une nouvelle trombe de sifflements : C'EST PARTI ! 3' - Dribble dans la moitié de terrain de l'Inter, puis faute de Thuram qui fait tomber Llorente. 4' - La passe de Mkhitaryan est trop profonde pour Barella qui n'y arrive pas. L'Inter a toujours le ballon. 6' - Barre transversale de Calhanoglu ! Tir soudain du Turc juste à l'extérieur de la surface, alors que Rui Patricio est battu, le ballon touche les montants. 7' - Joueur de la Roma à terre, sauvé sur le terrain. 8' - Zalewski sort après avoir été soigné suite à un coup subi par Thuram et revient peu de temps après. 10' - Action personnelle de Thuram qui cible Mancini puis obtient un corner. 11' - Faible tête de Lautaro sur le centre de Calhanoglu, Rui Patricio se sauve confortablement. 12' - Duel Barella-Bove, faute contre les Nerazzurri. 13' - Carton jaune pour protestation pour Mancini, qui s'est chauffé avec Maresca réclamant une faute de Thuram. L'arbitre le prévient : "La prochaine fois c'est rouge...". 15' - Arrêt de hockeyeur de Rui Patricio, qui bloque avec son pied un tir à bout portant de Thuram. 17' - Dimarco, servi par Mkhitaryan après un superbe numéro, tente une frappe enroulée. Une balle sortie de nulle part. 19' - Lautaro tente de prendre la tête, Llorente l'anticipe en corner. 21' - Barella au sol après un dur combat, Maresca laisse continuer. 24' - Dumfries tente de mettre le ballon au milieu de la surface, N'Dicka l'anticipe. Mkhitaryan tire à distance, au dessus. 25' - Bastoni reste au sol après un défi aérien avec Cristante, le défenseur récupère peu de temps après. 26' - Rui Patricio commence à perdre du temps, Maresca le sermone. 28' - Le milieu de la Roma est extrêmement fermé, il n'y a pas beaucoup d'espaces. 29' - Pavard tente une sorte de reprise dans la surface, le ballon finit à côté. 30' - Incroyable Llorente, deux minutes perdues à remettre une chaussure. 32' - Ballon perdu par Dumfries, remise en jeu pour la Roma. 33' - Pavard tente le coup de pied aérien mais finit par toucher Bove. Maresca sort le jaune. 35' - Affrontement dans la surface Bastoni-Llorente, pour Maresca c'est une faute du joueur de l'Inter. 38' - Dumfries cible Zalewski puis parvient à le mettre au milieu pour Lautaro qui le frappe violemment et l'envoie à côté. 39' - Dumfries se déchaîne, lancé dans son couloir il se concentre et cherche une combinaison qui ne porte pas ses fruits. 44' - Dumfries saute sur Zalewski qui le retient, le Néerlandais ne plonge pas et tente de la mettre au milieu. Les Nerazzurri protestent, Maresca alerte Acerbi. 45' - Trois minutes de temps additionnel. 46' - Belle récupération de Dimarco qui interrompt une manœuvre de la Roma. Ensuite, Mkhitaryan rate complètement la combinaison devant. 48' - Belle feinte de Thuram qui déclenche l'attaque de l'Inter, Barella conclut l'action en l'envoyant au dessus. 48' - Fin de la première mi-temps : 0-0. 19h00 - Darmian a retiré son dossard, il sera le premier changement du match. Pavard sort. 19h05 - L'Inter est sur le terrain depuis un moment, la Roma décide d'attendre... 19h07 - La Roma n'entre sur le terrain qu'à ce moment-là, au milieu des coups de sifflets de San Siro. 19h08 - Premier ballon de la seconde mi-temps pour l'Inter : C'EST REPARTI ! 47' - Thuram s'éloigne entre trois défenseurs, provoquant une faute de N'Dicka qui reçoit un avertissement. 48' - Acerbi tire un coup franc pour Thuram qui l'envoie juste au-dessus. 50' - Encore un jaune, cette fois pour Paredes qui fait tomber Lautaro. 53' - Barella et l'Inter redémarre très vite, Dumfries tente le centre avec Llorente qui anticipe Barella devant Rui Patricio. 55' - Thuram renversé par Paredes à l'entrée de la surface, Maresca dit que ce n'était pas une faute au milieu des manifestations à San Siro. Peu de temps après, un contact sur Paredes est sifflé. 56' - Carton jaune pour Calhanoglu, qui fait tomber Bove. Cette fois, les protestations sont toutes du côté des Giallorossi pour un carton rouge. 58' - La première intervention de Sommer de la soirée est une sortie pour anticiper El Shaarawy. 59' - Tacle de Thuram et tir de Lautaro bien contrôlés par Rui Patricio. 62' - Touché à la tête par un centre de Darmian pleine puissance, Zalewski reste au sol. 64' - Premier vrai danger pour la Roma. El Shaarawy renversé par Bastoni à l'entrée de la surface, coup franc dangereux. 65' - Paredes se charge du coup franc, le ballon est repoussé par le mur. 66' - Sommer réalise un superbe plongeon sur la tête de Cristante et le dégage, l'Inter repart avec Calhanoglu qui tente une frappe déviée par Mancini. Le portier de la Roma était à terre. 68' - Cristante se retrouve également parmi les sanctionnés : averti pour une faute sur Mkhitaryan. 71 ' - Dimarco tente un centre pointu, mais ni Thuram ni Dumfries n'atteignent le ballon. Les chœurs de San Siro s'élèvent bruyamment. 71 ' - Zalewski à nouveau à terre en raison d'un coup de Dumfries. 72' - Affrontement Thuram-Mancini, pour Maresca la faute est française. 74' - Frattesi, Asllani et Carlos Augusto se préparent. 75' - Celik entre en jeu à la place de Zalewski. Côté Inter, Calhanoglu est remplacé par Asllani ; Frattesi remplace Mkhitaryan 77' - Faute de Kristensen sur Dimarco, coup franc pour l'Inter. 78 ' - Dumfries anticipe Lukaku, ovation de San Siro. Ensuite, Lautaro n'atteint pas le centre de Bastoni depuis la droite. 80 '- Thuram efface un joueur, puis tente d'en éviter quatre d'un coup mais perd le ballon. 81' - BUT GOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOLLLL POUR L'INTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEERRRRRRRRRRRRR !!! MAAAAAAAAAAAAAAAARCUUUUUUUUUUUUUUSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS THURAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAMMMMMMMMMMMM !!! LE BUT DE THURAM : Centre de Dimarco lancé de l'arrière, Thuram bat Llorente et de deux pas envoie le ballon sous la barre transversale. Finalement le mur romaniste s'effondre. 83' - Dimarco sort, Carlos Augusto entre sur le terrain. 84' - Pour la Roma, Belotti et Aouar remplacent El Shaarawy et Bove. 85' - Réponse d'Inzaghi, De Vrij remplace Dumfries. 87 ' - Après une faute de Mancini sur Lautaro, Maresca avertit un membre du banc de la Roma. 89' - Carlos Augusto lance une centre pour Thuram, coupé par le Français et le ballon sort. Pour la Roma, Azmoun remplace Paredes. 90' - Une autre barre transversale, cette fois avec Carlos Augusto qui frappe les montants de loin avec un tir puissant. Cinq minutes de temps additionnel. 92 ' - Lautaro gaspille une attaque avec une talonnade dans le vide. 94 ' - La Roma s'essaie avec Cristante à distance, sans crainte. 95' - Centre de Mancini, le ballon sort. 95' - FIN DU MATCH !!! L'INTER BAT LA ROMA 1-0 ET REPREND LA TÊTE DU CLASSEMENT !!!
  2. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : sept clean sheet en dix journées de championnat. Lors du dernier match contre la Roma, l'Inter n'a concédé que deux ballons touchés dans la surface (Cristante les 2 fois). D’où le sentiment de grande sécurité accentué par un gardien, Yann Sommer, qui commet très peu de fautes. Comme le souligne la Gazzetta dello Sport, l'Inter est à toute épreuve : seulement 5 buts encaissés. Un mur. Meilleure défense d'Italie et aussi meilleure attaque : d'où la première place. Par rapport au passé récent, l'équipe d'Inzaghi a donc conservé son danger offensif inchangé, mais a appris à attaquer sans perdre l'équilibre, en lisant également les différents moments du match. Un signe de croissance qui reflète le travail acharné qui a lieu à Appiano, où se situe le Centre Sportif des Nerazzurri. L'Inter a grandi en tant qu'équipe et en tant qu'individus, également grâce aux alternatives "de luxe" dont peut se vanter l'entraîneur de l'Inter, Simone Inzaghi. Il fait bon d'être un supporter de l'Inter ! Quelques statistiques de l'Inter Serie A Plus grand nombre de points en Serie A : 25 - Inter Plus grand nombre de but en Serie A : 11 - Lautaro Martinez Plus grand nombre de passes décisives en Serie A : 5 - Marcus Thuram 4 - Federico Dimarco 4 - Felipe Anderson 4 - Jeremy Toljan Plus grand nombre de but + passe dé. en Serie A : 12 - Lautaro Martinez 9 - Marcus Thuram 9 - Oliver Giroud Plus grand nombre de cage inviolée en Serie A : 7 - Inter 7 - Juventus Meilleure attaque de la Serie A : 25 - Inter Meilleure défense de la Serie A: 5 - Inter
  3. Plusieurs Nerazzurri ont été interviewés, au micro DAZN, suite à la victoire de l'Inter sur la Roma (1-0), à commencer par l'unique buteur du match Marcus Thuram : "Comme contre le Benfica ou le Torino, c'est toujours un plaisir de marquer à domicile, devant les supporters. Chaque match à Giuseppe Meazza est spécial, je suis donc très content de marquer ici. J'ai travaillé dur avec mes coéquipiers, je marque et je fais des passes décisives mais le plus important, c'est que l'équipe gagne. Quand l'équipe gagne, je suis content." Et le fait d'être le joueur décisif dans une soirée où les regards étaient tous concentrés sur Romelu Lukaku? “Je ne m'occupe pas de ce genre de choses. Nous voulions les trois points et nous les avons. Donc je suis content." Hakan Calhanoglu : “J'ai joué plusieurs rôles. Ça dépend avec quel système nous jouons. Si nous avions joué à quatre derrière, cela aurait été différent. Avec le 3-5-2, je me sens vraiment à l'aise dans ce rôle de regista. J'ai grandi défensivement. Je n'avais pas ces caractéristiques avant. J'essaie aussi d'être plus agressif dans les duels devant la défense. Je suis un peu plus éloigné du but. Ça me manque d'être dans une position plus avancée où je peux tirer et marquer des buts. Mais maintenant, nous sommes concentrés sur le présent et sur le fait d'accomplir nos objectifs ensemble.” Comment vous trouvez Kristjan Asllani ? : “C'est un bon joueur, il a de la qualité. Il grandit.” Un commentaire sur Romelu Lukaku? : “Je ne veux pas faire de commentaires .” ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  4. Damien

    Inter - Roma (1-0)

  5. Simone Inzaghi et Lautaro Martinez se sont présentés à la traditionnelle conférence d’avant-match, dans le cadre de la première journée de cette Ligue des Champions 2023/2024, auréolé du titre de Vice-Champion d’Europe : Pour une meilleure lisibilité, les deux interviews sont scindées dans deux articles différents Quel a été le moment clé et quels sont les risques liées à ce type d’euphorie ? "Les mots de Guardiola font plaisir, nous savons tous comment s’est déroulé la Finale d’Istanbul et c’était un honneur de la disputer, un détail aurait pu en changer son issue. Nous avons remporté quelque chose de spécial ce soir-là, car l’étreinte des Tifosi était similaire à celles des victoires. Cette soirée est un si beau souvenir. Nous reprenons cette année face à une équipe forte, dans un environnement chaud. La Real Sociedad est avec Newcastle, l’équipe que j’aurais préféré éviter, mais nous la jouerons comme nous l’avions fait l’année passée. Nous voulons essayer de réitérer le parcours réalisé la saison passée." Que change pour vous le forfait de Çalhanoğlu? Avez-vous déjà pris une décision ? "C’est une absence importante, vous savez ce qu’il représente pour nous. Il nous manquera Cuadrado aussi, tout comme ceux qui ne sont pas dans la liste. Avec tant de matchs rapprochés, nous avons laissé les autres années des choses derrières nous, mais nous avons Asllani pour occuper ce poste et c’est un joueur important. Beaucoup d’équipes nous l’avaient demandé, mais nous l’avons gardé car je tiens énormément à lui." Asllani partira donc avec le maillot de titulaire ? "Oui, absolument. Il a joué de nombreuses partie comme titulaire, il est prêt à jouer. Demain, je prendrais, avec mon staff, mes décisions comme je l’ai toujours fait." Qu’avez-vous fait ces derniers jours ? "J’ai revisionné notre dernier match, les choses ou nous avons été bons et celle où nous aurions pût faire mieux. C’était une belle soirée pour nous, pour nos Tifosi, mais cela fait partie du passé. Ce qui compte, c’est le match de demain et ce sera une rencontre tout aussi intense contre la Real Sociedad." L’Inter est différente de l’année passée, est-ce que tout cela découle du parcours réalisé l’année dernière ? "Sans doute, mais pas seulement même si ce que nous avons réalisé l’année passée est quelque chose de spéciale. Notre derrière accolade avec les Tifosi n’était pas la plus facile, c’était une belle aventure, surtout en se souvenant des difficultés que nous avons du surmonter en phase de Groupe : Les garçons savent qu’en travaillant tous ensemble, il est possible de faire de très belles chose, comme nous l’avons déjà fait ces dernières années." Quel type d’équipe est la Real Sociedad ? "C’est une équipe très organisé avec un entraineur en place depuis de très nombreuses années ici, comme de nombreux joueurs : C’est une équipe organisée, je les ai vu contre la Roma. Ils ont changé de dispositif face au Real Madrid, mais elle a de très nombreux joueurs de qualité : Nous devrons réaliser un match important : Da Inter." Est-ce le moment pour titulariser immédiatement Frattesi et pour les débuts de Pavard ? "Mes propres joueurs ne le savent pas encore, je préfère en discuter avec eux en premier. Ils se sont tous bien entrainer, j’ai une idée en tête, mais j’attends demain pour la communiquer à mes garçons." A quel type de match faut-il s’attendre demain ? Un match nul pourrait-il vous convenir ? "On ne peut pas anticiper le résultat, ce sera une rencontre difficile car la Real Sociedad est une équipe solide, avec d’excellents joueurs qui ont de l’endurance, de la force et de la technique : Nous devrons nous montrer brave, nous entraider et défende ensemble pour ensuite, attaquer en équipe." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Dans une interview accordée à Radio Bruno Firenze, Massimo Moratti évoque la Viola et le mercato. Le match contre la Fiorentina. "J'ai toujours le sentiment que cette équipe peut jouer des tours à l'Inter. Les matchs contre la Fiorentina, c'est toujours difficile mais aussi des signaux pour la saison. Quand j'étais président, je me souviens que les saisons se passaient bien si on gagnait contre la Viola, et mal si on ne gagnait pas. J'espère donc que ça se passera bien pour l'Inter mais j'avoue que je crains la Fiorentina." Le mercato de l'Inter. "Je pense que l'Inter peut être considérée comme très renforcée, surtout au milieu du terrain où ils ont recruté de nombreux bons joueurs. Puis je l'ai vue sur le terrain et il m'a semblé que cette équipe joue vraiment bien." Lukaku ? "Il me semble qu'il a fait une grosse erreur en traitant avec l'Inter ET la Juventus... du moins en regardant la situation de l'extérieur. Mais de toute façon, il a terminé dans un club important, La Roma." Traduction alex_j via FCInterNews.
  7. C’est la révélation de ce début de journée: "L’Inter souhaite recruter Gianluca Scamacca dans les plus brefs délais" "Les sensations sont positives et l’accord devrait arriver très prochainement : Les Hammers veulent un transfert définitif et demandent 30 millions d’euros, mais une offre de 25 millions d’euros plus 5 millions d’euros pourrait faire l’affaire : Scamacca a déjà fait part de sa pleine disponibilité pour rejoindre l’Inter, un accord ayant été trouvé. La Roma n’est pas parvenue à relancer en laissant la voie libre à l’Inter." "Scamacca devrait devenir très prochainement être à la disposition de Simone Inzaghi." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Du Japon où l'Inter fait sa la tournée estivale, viennent les mots de Simone Inzaghi pour la chaîne Youtube "Soccerking" lors d'un événement organisé à Osaka. La saison 2022-2023. "L'année dernière a été une excellente année qui nous a permis de gagner la Coupe d'Italie, la Super Coupe d'Italie, puis nous avons atteint la finale de la Ligue des champions. Cette saison a été un énorme succès. C'est une source de fierté." Les objectifs pour 2023-2024. "Bien sûr, nous aimerions nous confirmer en Europe, nous allons essayer en sachant que ce sera très difficile. Le grand objectif du club c'est le Scudetto. Nous essayons de nous préparer et de nous renforcer du mieux que nous pouvons. Nous avons l'espoir de remporter le titre." Le rôle de l'entraîneur. "C'est important. J'aime entraîner mais pour moi les joueurs sont les principaux acteurs et sont fondamentaux. J'ai beaucoup de monde dans le staff qui m'aide." Le football italien. "Au-delà du cliché sur le catenaccio, je dirais que le football italien progresse beaucoup. En fait, l'Inter, la Roma et la Fiorentina ont atteint leurs finales de coupe respectives la saison dernière. Le football italien a le vent en poupe. En Serie A, il y a 20 équipes, dix jouent à 4 derrière, dix jouent à trois. Le 3-5-2 m'a donné de grandes garanties mais nous, les entraîneurs, nous sommes prêts à tout. Pendant les premières années à la Lazio, j'ai joué avec une défense à 4." L'Inter au Japon. "Nous ne sommes ici que depuis un jour et je ne suis jamais allé au Japon. Je suis content d'être ici car je voulais connaître ce pays. J'ai beaucoup aimé Osaka, je sais qu'il y a beaucoup de fans interistes ici. Les voir est une grande satisfaction." Les joueurs japonais. "Il y en a beaucoup qui vont bien, on en a eu en Italie. Je pense à Kamada, il est maintenant en négociations avec de nombreux clubs. Je l'ai affronté quand il jouait à l'Eintracht, c'est un adversaire de qualité." Traduction alex_j via FCInterNews.
  9. C'est l'information de la journée signée Sport Mediaset: "Gianluca Scamacca est une cible concrète pour l'Inter Milan, qui cherche un attaquant après l'échec des négociations pour ramener Romelu Lukaku chez les Nerazzurri" Selon Sport Mediaset, Scamacca est en partance de West Ham et nos Nerazzurri pourraient même déposer sur la table une offre estimée entre 18 et 20 millions d'euros pour convaincre le club anglais. La Roma s'intéresse aussi à Scamacca, mais l'insertion de l'Inter "risque de bouleverser les plans des Giallorossi". Giuseppe Marotta et Piero Ausilio n'ont pas de temps à perdre car "Simone Inzaghi a besoin d'un attaquant et la piste Scamacca pourrait s'avérer la plus viable. Il coûte moins cher que Balogun et à peu près autant que Morata, mais il comtpe sept ans de moins que ce dernier et a donc a plus de chances de se révéler être un bon investissement" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. Voici les mots de Massimo Moratti déclarés à sportpaper.it. Concernant la situation liée à Romelu Lukaku. "Je ne m'attendais absolument pas à une telle situation, j'ai été très surpris. C'est normal que la Juventus le veuille, diminuer l'Inter est l'un des objectifs des Bianconeri! Les supporters sont à juste titre en colère contre la décision de Lukaku, précisément parce que c'était sa décision, cela a surpris et agacé les supporters." De nombreux noms sont évoqués pour l'attaque de l'Inter, qui aimeriez-vous ? "Je n'ai pas de préférences. Beaucoup dépendra de la volonté et des besoins de l'entraîneur. Très probablement, un attaquant sera choisi qui sera utile pour manœuvrer. Il sera certainement difficile de trouver un attaquant avec les caractéristiques de Lukaku." Un footballeur avec les caractéristiques d'Icardi ? "Cela faisait un moment que je n'avais pas vu jouer l'Argentin, si je revoyais le Icardi d'autrefois, je l'aurais certainement pris." L'Inter avait-elle raison de vendre Onana ? "Malheureusement, dans le football d'aujourd'hui, l'aspect économique compte beaucoup. Ce sont des situations plus liées à l'économique qu'à la technique." Que pensez-vous de la Roma de Mourinho ? "Mourinho a déjà beaucoup fait, certainement la quatrième place serait réalisable avec un attaquant de niveau comme Morata ou Scamacca. L'ancien joueur de Sassuolo pourrait beaucoup grandir avec Mou. Morata est expérimenté et peut peut-être être plus utile à l'équipe." Un regard sur le passé, renverriez-vous Ronaldo au lieu de Cuper ? "Après les années, je peux dire que je ne pense pas que ce soit un départ lié à Cuper. Après les graves blessures subies, je pense que Ronaldo voulait changer de décor. Je le répète, je ne pense pas que Ronnie ait choisi de partir à cause de la venue de Cuper. De plus le Brésilien me connaissait bien et savait que les entraîneurs ne duraient pas longtemps avec moi. (rires)" Traduction alex_j viaFCInterNews.
  11. En marge de l’évènement "Sport e Musica nell'era della performance. Basta ancora il solo talento?" qui s’est tenu au Triennale di Milano, le Taulier des Directeur Sportif en Italie s’est livré, hier soir, sur le mercato Nerazzurro C’était une fameuse journée pour l’Inter…. "Les prolongations de Çalhanoğlu et Bastoni étaient deux situations bien préparées depuis longtemps: L’officialisation est finalement arrivée et j’en suis heureux car nous comptons construire le présent et le futur de l’Inter autour d’eux. C’était vraiment quelque chose de voulu, ensemble, d’allonger la durée des contrats en mérite aux prestations des dernières saisons. C’est une reconnaissance pour le travail qu’ils ont réalisé à l’Inter ces dernières années." Était-ce difficile pour Frattesi car on parlait aussi d’un Grand Derby ? "Comme pour toutes les négociations et code promo premier bet, il y a toujours des difficultés et lorsqu’il s’agit de Sassuolo, les difficultés augmentent. Lorsque tu as un club qui prend un joueur, les autres disent qu’ils n’étaient pas intéressés, mais en réalité, il était suivi depuis tant de temps. Ce n’était pas une thématique d’une ou deux équipes, c’est un joueur très fort qui a énormément grandi, un joueur de la Nazionale, et il a attiré l’attention d’énormément d’équipes italiennes." "Nous y avons travaillé et nous avons forcément su nous montrer convaincant car ce garçon nous a donné un coup de main en voyant, en l’Inter, le projet le plus convaincant : Et nous sommes très heureux d’avoir pu porter à terme cette opération." Il reste un autre poste vacant au milieu : Est-ce pour Samardžić ou pour d’autres profils ? "Plus que d’un poste libre, je parlerai plutôt de situation qui peuvent prendre en considération plus qu’un nom : Il y a tant de garçons dont il est important de régler la situation en sortie, et une fois cette situation de réglée, nous pourrons mieux comprendre comment compléter ce secteur qui reste compétitif malgré le fait que Brozovic soit parti." Deux sont partis : Brozovic et Gagliardini, deux arriveront ? "Nous débuterons la saison avec six milieux : En accord avec Simone et Marotta, nous chercherons à composer le meilleur noyau possible pour faire face à toutes les compétitions : Il devra s’agir de joueurs importants. Je cherche à doubler les postes avec 20 joueurs de terrains et trois gardien, nous nous préparons à cela pour le début de la saison." Aimeriez-vous ravoir Lukaku rapidement comme Inzaghi ? Est-ce qu’une semaine de négociation va débuter avec Chelsea ? "Je ne parle pas de temps mais d’idée est Lukaku est une idée importante partagée par tous dans l’Aile Sportive, mais c’est un joueur de Chelsea : Les dialogues avec le club anglais ne se sont jamais interrompu et j’ai bien conscience que le joueur ne sera plus donné en prêt pour une seconde année : Nous évaluons donc la façon dont il nous sera possible de le recruter à titre définitif : Lukaku sait parfaitement bien que nous tenons à le faire revenir à l’Inter et que nous cherchons à trouver une solution." Le Mercato laisse suggérer d’autres ventes, comme Onana ? "C’est le gardien de l’Inter, et nous tenons à aller de l’avant avec des joueurs forts, Onana est un point de force de l’équipe : S’il arrive des offres nous les écouterons. Au jour d’aujourd’hui aucune n’est arrivée ou du moins aucune ne répond à nos attentes : Le discours Onana se termine ici : C’est le gardien de l’Inter. Nous n’attendrons pas jusqu’à la fin du Mercato, mais d’ici à une vingtaine de jour. Et c’est valable pour tout le monde, si nous recevons des offres importantes, nous les évaluerons toutes. Il n’y a pas de date butoir, mais nous ne voulons pas nous priver de quelqu’un." Avez-vous été lassé par les dernières sorties sur les réseaux sociaux de Brozovic avant sa cession ? "Les déclarations sur les réseaux sociaux ne m’intéressent que très peu, ce qui m’intéresse c’est ce qu’a fait Brozo au cours de ses huit années à l’Inter : Elles ont toutes étaient importantes même ce n’est pas non plus comme si toutes étaient excellentes : Ce sont surtout ces dernières saisons qui ont été importantes. Je le remercie pour cela, à présent Brozovic est le passé et Frattesi représente le présent et le futur, comme tous les autres joueurs qui sont restés." Aurez-vous un budget de plus-values solide via la vente des jeunes joueurs ? "Nous avons besoin de travailler dans le respect des paramètres qui nous ont été donnés : L’Inter, comme tous les clubs de l’UEFA, travaille dans le respect de cette règle : Tu dépenses ce que tu gagnes. Si tu parviens à gagner plus alors tu peux dépenser plus, mais il est possible de se montrer très imaginatif : Chaque année nous parvenons à être compétitif et nous avons remportés et disputés deux finales : Nous voulons continuer à être compétitif aussi pour les prochaines années : La qualité d’une équipe ne s’établi pas uniquement sur la somme qu’elle dépense, mais bien plus sur la base d’autres facteurs." Où en est la situation avec Handanovic ? "Son contrat a pris fin, mais nous procéderons à des évaluations à la lumière de ce qu’il se passera dans les prochains jours." Trubin ? "C’est un joueur de talent comme tous les autres joueurs, l’Inter a le devoir de l’observer, et de le surveiller : Il fait partie de ce type-là." Est-ce qu’il s’agira d’un mercato toujours actif dans les prochaines semaines ou est-ce que toutes les opérations seront réalisées en fin de mercato ? "Je vous promets que nous ne ferons rien jusqu'à la fin du mois d'août, à condition que ce soit la dernière discussion et que nous en reparlions en septembre" (il rit) Kovacic ? "Je l'apprécie. D'abord parce que c'est un gars formidable. Ensuite, il y a la satisfaction de l'avoir découvert. Je regrette de ne pas pouvoir eu le temps l'apprécier, non pas parce que quelqu'un m'a forcé à le vendre, mais quand une offre importante arrive comme celle du Real Madrid pour un jeune garçon, et que cette offre vous permet de résoudre certaines situations, il est difficile de dire non. Il est également difficile pour le joueur de dire non au Real Madrid lorsqu'il l'appelle." "À l'époque, nous n'étions pas structurés pour le conserver et le prolonger, car nous devions composer une équipe très compétitive. Aujourd'hui, nous aurions la force de le garder. Nous devons chaque année maintenir un équilibre et un sacrifice par an doit avoir lieu : Cette année Brozovic est parti, et après tant d’années nous nous sommes mis d’accord pour changer quelques personnalités." "Nous avons aussi immédiatement investi aussi sur Frattesi et des jeunes en développement comme Asllani : Nous allons de l’avant." Inconnue mystère "Je dois vous confesser quelque chose : Je n’ai pas de compte Instagram Officiel, je m’en suis créé un pour contrôler les épouses car certaines m’avait créés des problèmes. Tu comprends énormément de choses via les épouses et les fiancées, tu cernes aussi la personnalités des joueurs. J’ai aussi suivi des joueurs, même d’autres équipes. Mais je l’ai créé car l’épouse d’un joueur me posait énormément de problèmes." Frattesi ? "Il représente l’idée que nous avons d’un joueur, il a démontré son talent déjà en Primavera, c’est là qu’il s’est fait connaitre avec la Roma et a fait parler de lui. Ensuite, il a connu un parcours compliqué dans des compétitions inférieures. Il s’est retrouvé à Sassuolo dans une opération comme certains le font pour rejoindre par la suite la Serie B. J’ai eu la possibilité de le voir à Monza et il est revenu assiéger la Serie A, en ayant une croissance constante avec Sassuolo : Il s’est toujours nourrit de ses détracteurs pour s’améliorer, il a de l’ambition et une volonté d’émerger qui ne s’est jamais perdue." "Il a encore une belle marge de croissance, il est jeune. Mais Sassuolo n’est pas l’Inter, la scène change, le stade change, les ambitions changent, les objectifs changent : C’est une chose de vouloir jouer pour faire une belle impression, c’en est une autre de jouer pour gagner des titres, comme cela doit être le cas lorsque tu es à l’Inter : Je suis certain que ce garçon a toutes les qualités et caractéristiques requises pour répondre à ce que nous recherchions." Les Giovanile? "J’ai toujours été chanceux car j’ai énormément travaillé avec les jeunes, j’en ai visionné énormément. Je me souviens du premier talent qui m’a frappé, je venais d’être nommé Responsable du secteur des Jeunes et Beppe Baresi et moi avions convenu de parvenir à convaincre le Président Moratti d’investir davantage sur les jeunes joueurs. "Il nous a accordé un très gros budget et nous sommes partis à leur recherches. L’un des premiers que nous avions acheté se nommait Pandev, il avait tout de suite montré qu’il était très fort. Je l’avais découvert un peu par hasard, mais ce qui compte, c’est l’instinct, le moment clé, celui où tu ressens l’émotion que te procurer un joueur. Nous l’avions recruté aux confins de la frontière hongroises. Et à partir de lui, il y en a eu énormément d’autres en 25 années passées à l’Inter." "Chaque fois que je recroise l’un de ses garçons, ils viennent me saluer, cela me fait plaisir." Est-ce vrai que Kvaratskhelia était sur votre Agenda, il y a quatre ans ? "Oui, mais pas que sur le mien,ce garçon était connu de tous. Des rendez-vous ont eu lieu à l’époque, j’avais même rencontré l'agent personnellement, mais si vous jouez en 3-5-2 avec Conte et Inzaghi, vous avez du mal à l’insérer." "Il y avait aussi la Juventus et la Roma, puis Naples a profité d'une très bonne situation et s'en est bien sorti. Il lui a aussi fallu du courage. Ce n'était pas un joueur très connu, mais tout le monde le connaissait. Tous nos recruteurs le considéraient comme un talent important, qui aurait mérité un investissement. Mais il n'était pas considéré comme adapté à notre système de jeu." Le Fair-Play-Financier "Le football d’aujourd’hui est différent, il y a des systèmes de contrôles qui ne te permettent plus d’investir autant que tu le voudrais, indépendamment des possibilités. Si aujourd’hui il y avait encore un Moratti passionné et avec l’envie de dépenser, les règles actuelles l’en empêcherait : Tu dois dépenser ce que tu gagnes en respectant le palier de 30 millions d’euros sur le triennal." "Si tu ne parviens pas à te créer des opportunités pour les recettes, alors tu dois renoncer à quelque chose : Le Système européen tient compte d’énormément de paramètres, nous vivions avec cette réalité depuis 2014 et ce sera toujours comme ça à présent." La Premier League ? "Juste pour les seuls droits télés, le rapport est de 1/4: La dernière équipe de la Premier League gagne plus que la première de la Serie A. Nous devons utiliser d'autres stratégies : Nous avons de bons Dirigeants, de bons entraîneurs, de bons secteurs de jeunes. Nous avons aussi besoin d'imagination et d'une prise de décision rapide. Eux, sont plus lents dans ce domaine, et nous parvenons parfois à nous faufiler et à ramener le joueur à la maison. Même si, en toute honnêteté, il faut dire que lorsqu'on est sur le même joueur, c’est très rare que nous parvenions à l’emporter." Balotelli "En ce qui concerne les footballeurs, vous abordez les choses de différentes manières. Parfois, nous avons pris des joueurs tout en sachant qu'ils n'étaient pas les meilleurs, mais parce que nous ne pouvions pas faire autrement : Il y en a des exemples de mauvais achats ou de prêts permanents. Peut-être même partagées avec les entraîneurs, qui échappent souvent à toute responsabilité. Parfois, on se trompait parce qu'on avait des attentes qui n'ont pas été satisfaites." "Parfois, on s'imposait encore plus durement, parce qu'on a pris trop confiance en certains joueurs." Mon geste le plus romantique ? "C’est bien connu c'est moi qui ai découvert Balotelli, j'aurais tout misé sur lui, c'était mon Recoba. A ce moment-là, c'était comme un fils. Il est inexplicable que, par rapport au talent qu'il avait, il ne soit pas devenu une folie du football mondial pendant 20 ans." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. Ci Siamo : Après le transfert acté et confirmé de Marcelo Brozovic à l’Al-Nassr, le All-In aura lieu aujourd’hui pour Davide Frattesi "Brozovic a accepté l’offre d’Al-Nassr après avoir été longtemps courtisé, ce vendredi aura lieu la visite médicale ce qui débloque maintenant le Mercato en entrée de l’Inter. Il va y avoir l’assaut décisif sur Frattesi, il y a déjà un accord de principe avec Sassuolo pour le joueur : Les 23 millions d’euros de Brozovic plus Mulattieri. L’Inter veut anticiper le Milan et la Roma et une rencontre aura lieu ce vendredi entre Marotta, Carnevali et l’agent du joueur, surtout que l’Inter ne compte pas souffler Musah au Milan." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. Homme de ce début de mercato en Italie, Davide Frattesi prends des vacances bien méritée après avoir disputé le Final Four de la Ligue des Nations avec l’Italie. Celui-ci s’est livré au cours d’une très longue interview à la Gazzetta Dello Sport où il estime être dans "l’été le plus important de sa vie" Davide, contrôlez-vous votre téléphone ces derniers temps ? "Pas vraiment car j’ai demandé à mon agent, Riso, de me prévenir uniquement lorsque tout sera quasiment réglé et je me suis évité une autodestruction : Lui est hermétique, ses collaborateurs en ont peur, sont terroriséset il ne m’a encore rien dit : Heureusement que j’ai ma grand-mère Stefania. Chaque jours elle m’envoie les articles de presse qu’elle s’est chargée de filtrer, c’est fantastique" Que ressentez-vous à la lecture d’un Derby de Mercato entre l’Inter et le Milan pour vous ? Et il y aurait aussi la Juve : Les trois grands clubs historique veulent Frattesi. "C’est une belle sensation, je ne peux le nier, mais je suis aussi un peu anxieux, j’aimerai que la situation s’éclaircisse. Je pense à mon grand-père Carmine qui lisait les journaux, il aimait le football et il aurait été si fier aujourd’hui." Vous comprendrez que je ne vais pas vous demander comment se comporte la Mer à Ibiza…. Est-ce que l’Inter a l’avantage ? "Ahahah... Vous comprendrez que cette fois, je ne peux pas m’exprimer aussi librement que lors d’autres interviews, ce ne serait pas correcte de citer une équipe car les négociations peuvent s’interrompre de façon imprévue. Toutefois, je vais me montrer extrêmement sincère : J’ai déjà choisi mon équipe." "Je suis certain que mon agent trouvera la façon de me satisfaire, dans le cas contraire, je le balancerais à la mère. Je connais et je ressens aussi l’intérêt des autres équipes pour moi." Quel a été le facteur déterminant de votre choix ? "Mon poste : Je suis un Mezzala et je veux exploiter mes caractéristiques, je pense que c’est normal : Vous vous aimez écrire, si l’on vous propose, un jour, de présenter une émission à la télévision, peut-être que vous y penserez, mais vous chercherez tout de même à continuer à écrire. Et ce concept est similaire pour moi." Vous pourriez retrouver Barella à l’Inter qui affectionne être au centre à droite, est-ce que cela pourrait être problématique ? "Absolument pas, je peux partir sur la gauche, et si je dois centrer, je peux frapper avec mon bon pied, il m’arrive de faire des dégâts avec l’autre." N’êtes-vous pas effrayé par la concurrence interne ? "Non, cela me conditionnera bien plus positivement : Si je dois prouver quelque chose, cela me permet de me donner plus." La Ligue des Champions sera disputée par les équipes milanaises et non la Juve, est-ce que cela a impacté votre choix ? "J’y pense, j’aimerai la jouer, mais ce n’est pas la première chose que j’ai en tête, ce qui compte le plus c’est le projet, qu’il s’agisse d’une équipe qui est déjà bâtie pour gagner ou en plein reconstruction : Je resterai motivé de la même façon. Je ressens, à 23 ans, le moment de prendre certaines responsabilités." La vente de Tonali a ouvert, de façon inattendue, un canal avec le Milan qui recherche un grand milieu de terrain, vous faites aussi l’objet d’offres en provenance de l’étranger. Est-ce qu’il y a quelque chose qui pourrait vous renfermer ? "Je peux seulement vous dire ce que j’ai garanti à Giovanni Carnevali: Si des offres irrenonçables arrivent, elles seront écoutées : irrenonçables hein." Le 4-2-3-1 n’est pas idéal vu votre profil… "Sassuolo a évolué de cette façon lors de ma première saison avec des bons résultats grâce à Dionisi. Il n’en reste pas moins qu’à trois au milieu, je peux donner plus." Marchisio vous a publiquement envoyé à la Juve, Carnevali a rencontré la Direction turinoise, vous seriez-vous en concurrence pour ce maillot avec on Milinkovic: Que ressentez-vous . "Marchisio est à part car nous sommes amis : Saviez-vous que nous avions la même peur de l’avion ? Dans l’avion pour Ibiza, j’ai fait un saut dans la cabine de pilotage pour savoir si des turbulences étaient prévues. Et pour Milinkovic, ben c’est l’un des plus grands, il a plus de talent que moi mais si je suis en ballotage avec lui cela veut dire que le travail forte ses fruits : Je travaille comme une bête, j’ai une faim incroyable." Votre ami Scamacca pourrait aller à la Roma, seriez-vous ouvert à l’idée d’couter les sirènes tentatrices de la Capitale ? "Non, j’ai appris à raisonner avec le cerveau, je cherche à être plus bien plus lucide dans mes choix et dans la gestion de mes émotions." Il y a un an, vous vouliez fuir Sassuolo, avez-vous bien fait d’y rester ? "Oui, sans l’ombre d’un doute, j’ai énormément de reconnaissance pour ce club, je le porterai toujours au fond de mon cœur. A présent, je suis prêt à partir : Dionisi a été très important dans ma croissance : Lui et le Club ont compris qui j’étais et m’ont attendu pour me remettre sur les bons rails. Il y a des moments dans la vie qui vous marque le plus et cela s’est produit pour moi l’été dernier." Davide, on sait que vous allez porter le maillot d’un Top Club, mais si vous vous plantez lors d’un match, vous ferez face à une pluie de critique… "Et c’est ce qui est beau, je veux faire de mon mieux de la première à la dernière rencontre." Un maillot rayé de bleu, de blanc ou de rouge ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. A travers sa dernière vidéo sur Instagram, Stéphane Dalmat a réglé ses comptes avec Antonio Cassano et sur les buzz de ce dernier.... https://www.instagram.com/reel/Ctt6WtbIVwr/?utm_source=ig_web_copy_link&igshid=MzRlODBiNWFlZA== "Antonio Cassano, Je te respecte beaucoup, tu as été un bon joueur, tu es allé jouer à la Roma, au Real Madrid (un peu) et ensuite tu es revenu en Italie et tu as joué avec la Nazionale et tu avais un talent très très impressionnant. J’ai même joué une fois contre toi lorsque tu étais à Bari, tu étais très jeune. A présent, je t’écoute lorsque tu postes sur Instagram, et je dois dire que tu fais beaucoup de buzz sur beaucoup de choses, tu critiques de très nombreux joueurs qui sont pour moi bien plus fort, qui ont prouvé, qui ont gagné des choses, bien plus importantes que toi. Je le répète, tu es un très grand joueur, un très très bon joueur et tu aurais pu faire bien plus. J’écoute les personnes qui disent différentes choses comme toi, lorsque tu parles sur Bobo TV, je sais que tu es un ami de Bobo (ndlr: Christian Vieri), je t’écoute, mais là non, ça ne le fait pas car tu te permets de critiquer des joueurs qui ont fait bien plus que toi, ce n’est plus possible. On ne se connait pas, on a jamais eu de rapports ensemble, mais je ne sais pas, aujourd’hui, il m’est arrivé un déclic, j’étais sur mon téléphone à écouter une connerie que tu as dit. Et excuse moi pour mon italien, mais je ne suis pas sur que tu parles aussi bien le français que moi je parle l’Italien. Si tu veux me prouver que tu parles aussi bien le français que moi je parle l’italien, envoi moi un message et fais moi voir que tu parles le français comme moi je parle l'italien mais arrête s’il te plait : Reste à ta place. Je le répète encore, oui tu as été un grandissime joueur et j’ai pris de plaisir à te voir jouer quelque fois, mais pas toujours, car tu pouvais faire des choses extraordinaires comme de très mauvaises choses, mais stop, arrête, arrête de critiquer des gens bien plus fort que toi. C’est le seul message que je voulais faire passer car je ne suis pas une personne qui critique les autres comme ça, là ça m’a un peu énervé de te voir te comporter comme ça, sur de très nombreuses personnes. Arrête avec ta carrière, même si tu as eu une belle carrière, à présent tu ne la fais plus que par des buzz à parler, à parler, à critiquer, à les briser sur les autres. C’est la seule chose que j’avais à te dire, je l’ai dit, si ça ne te plait pas, je m’en bats les couilles mais je te le dis : Je te souhaite une bonne journée, une belle soirée, je n’en sais rien Ciao !" Emballé c’est pesé ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Selon Calcio&Finanza, le cout historique d’Edin Dzeko qui est arrivé à l’Inter en provenance de la Roma lors de la saison 2021/2022 équivaut à 2,779 millions d’euros réparti sur les deux années disputées: Cela veut dire que le taux d’amortissement, pour la saison se terminant au 30 juin 2023, s’élevait à 1,39 millions d’euros. A cette somme, il faut déterminer le poids de Dzeko sur les comptes de l’Inter: Il faut donc ajouter le salaire brut du joueur, soit 9,25 millions d’euros ce qui équivaut à un salaire net de 5 millions d’euros. Edin Dzeko coutait donc 10,64 millions d’euros par saison aux Nerazzurri. Et c’est cette somme qui sera économisée par l’Inter pour la saison à venir. Une somme qui pourrait éventuellement être investie dans le recrutement d’un nouvel attaquant qui viendra épauler Lautaro Martinez dans l’attente de savoir ce qu’il se passera avec Romelu Lukaku. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Simone Inzaghi peut être très fier de sa performance! L'International Federation of Football History & Statistics, mieux connue sous l'acronyme IFFHS, a établi le classement des 20 meilleurs clubs d'Europe et du Monde pour la période allant du 1er juin 2022 au 31 mai 2023. Dans le classement établi par l'organisme reconnu et autorisé par la FIFA qui s'occupe des statistiques et des archives du football, l'Inter s'est brillament mise en valeur: Les Nerazzurri occupent la quatrième place en Europe (et la cinquième dans le monde) avec 249 points. Le Real Madrid est en tête (331), suivi de Manchester City (279) et de Benfica (257). Parmi les autres Italiens, Naples occupe la septième place, la Fiorentina la neuvième, la Roma la douzième, la Juventus est seizième et Milan dix-septième. Le tout avec 12 cartouches dans le derche en Serie A! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  17. En effet, alors que Piero Ausilio s'est envolé pour l'Angleterre afin de rencontrer la Direction de Chelsea, le Telegraph a fait état d'une offre de Newcastle pour s'attacher les services de Nicolò Barella: Une proposition de 50 millions de livres-sterling pour être précis Toutefois, comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, "Cela n'aura aucun effet sur l'Inter, qui campe sur ses positions. Pour le président Steven Zhang et l'Administrateur-Délégué Beppe Marotta, Barella n'a pas de prix, il est tout simplement intransférable. Et même si les voies du Mercato sont infinies, tout comme les tentations possibles venant des riches clubs internationaux, la position du Club Nerazzurro, au moins pour Nicolò, semble décisive et inflexible". Le milieu de terrain sarde sort d'une nouvelle saison extraordinaire et d'une croissance vertigineuse, y compris au niveau international: "Ses performances en Ligue des Champions ont fait plisser les yeux à tous les grands noms du football européen et ont évidemment fait grimper le cout estimé de sa valeur. Selon les principaux sites spécialisés, Barella vaut désormais au moins 80 millions d'euros. Juste ou pas, peu importe. Aujourd'hui, tout ce qui compte, c'est ce que pense l'Inter : Il est INTRANSFERABLE." L'importance de Barella dans le monde Nerazzurro n'est pas seulement technique, mais aussi charismatique: "Barella est un rouage fondamental de l'équipe de Simone Inzaghi, Premier défenseur en cas de forte pression, mais aussi premier assaillant dans le camps de l'adversaire, avec des insertions sans ballon." Dans le vestiaire, il a un leadership reconnu, preuve en est la Grinta qu'il peut transmettre au public du Meazza. En 2019, il a attendu l'Inter, malgré la pression de la Roma et du Napoli sur Cagliari: "Nicolò rêvait du maillot Nerazzurro depuis son enfance, et dès que l'occasion s'est présentée, il a poussé pour épouser le projet de l'Inter. Et avec l'Inter, il est devenu grand : il a remporté un Scudetto, deux Coupes d'Italie, deux Supercoupes. Il a goûté à la magie des soirées de Ligue des champions, grâce auxquelles il a ensuite gagné une place dans le milieu de la sélection italienne, Championne d'Europe en 2021." "Bare est le symbole du présent et du futur de l'Inter" - Tout simplement intransférable! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  18. Récompensé du Golden Rudder à Arezzo, Antonio Conte a eu son mot à dire sur la finale de la Ligue des Champions. "Tout d'abord, je félicite l'Inter qui a fait quelque chose de grand, et mention spéciale aux joueurs, à l'entraîneur et au club. Félicitations également à la Roma et la Fiorentina. Pep Guardiola a dit que nous, dans le football italien, nous nous sous-estimons, nous nous maltraitions. Je suis d'accord et je pense que les entraîneurs sont très bons, étant donné que nous étudions toujours. Cette année, les équipes italiennes en Europe ont montré que nous n'étions pas loin." "J'étais sûr à 200% que Manchester City souffrirait contre l'Inter. Lorsque vous faites face à des équipes hautement et bien préparées, ce n'est jamais facile. City a ressenti le poids d'être favori et le fait que l'Inter ait montré qu'elle pouvait rivaliser avec les grands noms européens montre que le football italien n'est pas en crise. Nous devons continuer sur cette voie, il y a beaucoup de félicitations à l'Inter, à la Roma et à la Fiorentina." "Romelu a démontré même au cours de ces 30 minutes au cours desquelles il est entré en finale, c'était la partie du match où elle était la plus dangereuse. Mettre un joueur de sa force peut avoir un impact. Cette année, il a eu des problèmes physiques mais vous ne pouvez pas douter de sa valeur." Traduction alex_j via FCInterNews.
  19. Notre ancien président Massimo Moratti a accordé une interview à il Giornale. Voici ses mots et réflexions. Déçu ? "L'occasion manquée est ce qui reste à l'esprit mais le football est comme ça. N'en faisons pas un drame." C'était quel match ? "City n'était pas ce à quoi nous nous attendions et ils ont joué médiocrement. Cela vous fait penser que vous auriez pu ramener le match à la maison. Mais, dans l'ensemble, ce n'était pas un bon match." Avez-vous eu des nouvelles de quelqu'un du club ? "Le pire, dans ces cas-là, c'est de recevoir les coups de téléphone de consolation. Je n'ai entendu parler que de mes enfants." Qu'est ce qui ne s'est pas bien passé? "Je me répète : si on veut prendre un bon match en exemple, on ne choisit certainement pas celui-là. C'était un match qui ne pouvait se décider que par épisodes. Les deux équipes étaient très discrètes. Même City a montré qu'il souffrait." Si l'écart sur le terrain était relatif, celui financier demeure. Gagnez-vous au football si vous avez plus d'argent ? "Je n'ai pas vu beaucoup de différences sur le terrain, surtout si l'on pense aux centaines de millions dépensés par City. D'un point de vue tactique, l'Inter a très bien fait." Pioli, à Milan, a déclaré qu'il est aujourd'hui difficile d'être compétitif sur deux fronts. Est-ce plus le cas pour les Italiens ? "Je crois que l'Inter a plutôt montré que cela pouvait être fait. La mauvaise passe a été vécue en milieu d'année mais ce n'était pas dû à ce double front. Si à un moment donné quelque chose manque, c'ést la confiance." Était-ce le mérite d'Inzaghi de sortir de ce moment ? "Guardiola a essayé de le dire avec élégance: l'Inter est la deuxième équipe la plus forte d'Europe et le mérite revient au club, aux joueurs et à l'entraîneur. Il a su tenir le coup pendant la période au cours de laquelle il a été sévèrement critiqué. Par moi également." Alors avez-vous changé d'avis à propos d'Inzaghi ? "Bien sûr." Vous êtes amoureux de l'Inter mais cela ne vous dérangera certainement pas de continuer à être le dernier président à avoir remporté la Ligue des champions... "Il y a de la fierté à penser que ma famille a été la dernière à réussir. Mais c'est un sentiment qui peut être renforcé si vous continuez à gagner, sinon tout s'oublie." Si l'Inter avait gagné, Lautaro aurait-il été candidat au Ballon d'Or, lui qui a aussi remporté la Coupe du monde ? "Je ne sais pas, ils ne l'ont pas donné à Milito... Lautaro est très fort, mais il peut s'exprimer à des niveaux encore plus élevés." Au-delà des épisodes malheureux à Istanbul, Lukaku vous le gardez ? "Je ne lui ferais pas toutes ces critiques. Bien sûr, sa tête a mal fini et c'est peut-être son péché mortel. Mais quand lui et Mkhitaryan sont arrivés, qui est très fort pour moi, l'équipe a changé de rythme et était plus dangereuse. Pour l'avenir, Lukaku est toujours utile mais je ne connais pas les comptes." En parlant d'attaquants, avez-vous été impressionné par les adieux d'Ibra au football ? "Ça m'a beaucoup marqué. C'est un garçon avec une belle personnalité, un gentil garçon." Que pensez-vous les adieux de Milan à Maldini ? "Je suis tellement désolé, je suis son ami. Je sais qu'il était très bon." Pendant ce temps, le football italien a fait son triplé à l'envers : trois finales avec la Roma, la Fiorentina et l'Inter. Et trois défaites... "Oui mais regardons. L'un aux tirs au but, l'un à la dernière minute, l'autre dans la façon dont on connait. Arriver avec trois équipes en finale, c'est très digne. Le football italien s'est bien battu." Au-delà de la finale à Istanbul, y a-t-il quelqu'un qui ferait bonne figure dans l'équipe du Triplete ? "Si je devais choisir un nom à ramener mon Inter, je choisirais Barella. Les attaquants sont bons, mais je pense qu'Eto'o et Milito étaient inégalables." Avez-vous vu vos anciens joueurs dans les tribunes du stade olympique Atatürk ? "Quelle belle image. Une fois de plus, nous avons compris la valeur de cette équipe qui avait quelque chose de grand à exprimer." Êtes-vous toujours en contact ? "Oui, on discute. De temps en temps, ils viennent me rendre visite, ils sont liés à moi." Il y a quelque temps, vous disiez qu'aujourd'hui l'âme des fans reste de votre Inter. Avez-vous vu les 45 000 devant l'écran géant de San Siro ? "Chapeau bas pour ceux qui savent se laisser gagner par leur passion." Sera-t-il plus facile de repartir de cette finale que le 5 mai ? "Aujourd'hui, la conviction d'avoir fait quelque chose d'exceptionnel demeure car atteindre la finale de la Champions n'arrive pas souvent dans la vie. Le mérite et la confiance qui lui sont attachés demeurent. L'équipe peut repartir mais sans rien prouver et sans complexe." Traduction alex_j via FCInter1908.
  20. Il Giornale a interviewé notre ancien président Ernesto Pellegrini et a recueilli son ressenti avant la finale de la Ligue des champions à Istanbul. Malheureusement, vous ne pourrez pas assisté au match. "J'ai été invité mais malheureusement je n'ai pas pu y aller car j'ai quelques problèmes personnels. Ainsi, je préfère rester ici au calme, et le voir à la télé. Bien sûr, je suis désolé, j'étais présent à Madrid et l'Inter a gagné, espérons qu'ils gagnent cette fois aussi. De toute façon, je ne joue pas et je ne peux pas influencer le résultat, disons-le. Bien sûr c'est un match difficile, je n'ai pas de doutes. L'Inter n'est pas favorite. City est considéré comme une équipe d'une autre planète. Cependant je suis confiant car j'ai très bien vu notre équipe ces derniers mois tant physiquement que mentalement. Nous pourrions avoir une vraie surprise." Qui voudriez-vous aligner ? "Le coach s'en chargera. Heureusement qu'il est très bon, positif, et dans les matchs à élimination directe, ceux où on gagne ou on perd, il a aussi de la chance. Alors je lui fais confiance aussi..." Par rapport à "votre" Inter, quelles différences voyez-vous ? "Une équipe un peu différente... Pendant mon temps, l'Inter n'avait que 3 étrangers car à l'époque seuls trois pouvaient jouer. Mieux ou pire? Trois peut-être pas, mais peut-être 5 serait le nombre parfait. Une équipe composée uniquement d'étrangers n'est pas beau à voir, ce n'est pas une grande satisfaction pour quelqu'un qui est né fan de l'Inter, mais c'est comme ça maintenant... avant c'était un autre type de football, Rummenigge, Matthäus, Brehme... Cependant, j'espère aussi célébrer cette victoire car le 16 juin nous aurons une soirée avec 400 personnes au dîner et un concert de Gianna Nannini pour les 58 ans de la Fondation Pellegrini." Comment est le football italien selon vous ? "Hormis l'équipe nationale qui n'a pas eu beaucoup de chance, la Roma, l'Inter et la Fiorentina se sont qualifiées pour la finale. Bref, les équipes italiennes se sont très bien comportées sur la scène européenne. Il ne manque pas grand-chose. L'équipe nationale de Mancini a besoin de récupérer un peu." Que pensez-vous du San Siro ? "Il ne faut pas le démolir. C'est un monument, il y a trop de souvenirs de l'après-guerre à aujourd'hui. C'est un beau stade, il y avait tellement de rêves. J'aimerais qu'il ne soit pas démoli." Avec qui verrez-vous le match ? "Avec mon gendre, un grand fan de l'Inter. Et avec mon neveu Guglielmo qui a 7 ans et demi. Il vient toujours avec le maillot de l'Inter et dit à ses amis que quand il sera grand, il veut être président de L'Inter comme son grand-père bien-aimé Ernesto. Et il est né le jour de la fondation de l'Inter, le 9 mars, est-ce un signe du destin ?" Traduction alex_j via FCInterNews.
  21. Longue interview accordée au Corriere della Sera par Diego Milito. Voici ses mots. Sur la finale de 2010. "C'est difficile d'exprimer les émotions que j'ai ressenties. Ce que je peux dire sera toujours peu. Une joie qui restera avec moi pour le reste de ma vie." Le premier souvenir qui vous vient à l'esprit de la finale face au Bayern ? "La joie des supporters après le deuxième but. Si je ferme les yeux, je peux encore voir leurs visages. À ce moment-là, nous avons réalisé que nous pouvions vraiment le faire." Cette fois, l'Inter défie Manchester City. Comment gagner un match comme celui-ci ? "Il n'y a pas de formule exacte. Il faut soigner les détails, aller sur le terrain avec détermination, savoir saisir les opportunités." Mais existe-t-il une recette pour gérer l'anxiété et la pression la veille ? "Ce n'est pas facile, il y a tellement de pensées, l'adrénaline circule déjà. Mais j'ai réussi à dormir, j'étais calme. Le sentais qu'on pouvait gagner ce match." Qu'avez-vous ressenti en sachant que Mourinho ne reviendrait pas à Milan avec vous ? "Un mélange d'émotions : nous étions contents d'avoir gagné, mais tristes de ne pas continuer à travailler avec lui. Ses adieux ont été un coup dur, il a été une référence." Avez-vous été surpris de le voir à la Roma, votre rivale de l'époque ? "Non. Il y a des imoments et des instants. Rome est une place parfaite pour lui." Mou ou Inzaghi : de qui te sens-tu le plus proche pour le caractère ? "J'ai un faible pour José, je lui serai toujours reconnaissant. Il y a avec lui un lien d'affection qui rend la comparaison difficile. Simone est un excellent coach, parfois injustement critiqué. Il fait de grandes choses à l'Inter." Quel rôle avez-vous joué pour la venue de Lautaro à l'Inter ? "Zanetti m'a appelé, nous avons longuement parlé. Vous pouviez déjà voir ses talents, il n'avait pas besoin de moi pour le publiciser. Il y a eu une offre d'un autre club (l'Atletico Madrid, ndlr), on n'a pas fermé tout de suite et l'Inter a pris le relais. Ils étaient bons pour agir rapidement. Lautaro m'a demandé des conseils, car nous vivons à Milan, mais il était content de l'opportunité. Je n'ai pas eu à le convaincre." Qu'est-ce que tu aimes chez lui ? "Il a les qualités des grands attaquants, il est complet. Il peut jouer seul, comme s'il était un neuf, mais il s'adapte aussi à jouer avec un autre attaquant, par exemple Dzeko ou Lukaku. Il a tout." Comment a-t-il progressé après la Coupe du monde remportée avec l'Argentine ? "Cette victoire lui a donné tellement de confiance." Que voyez-vous dans l'attaquant Lautaro del Milito ? "Je n'aime pas les comparaisons. Je peux juste dire que nous avons une attitude similaire : nous sommes des combattants, nous travaillons pour atteindre nos objectifs, nous essayons d'obtenir ce que nous voulons. Avoir cet état d'esprit est essentiel." Quelle relation avez-vous ? "Je le connais depuis qu'il est très jeune, presque un enfant. Au Racing, il a fait ses débuts dans l'équipe première en entrant sur le terrain à ma place. Une sorte de passation de pouvoir. C'est un garçon extraordinaire, je l'adore. Le voir grandir, savoir où il en est maintenant, me rend heureux." La dernière fois que vous avez parlé ? "Je lui ai écrit après la finale de la Coppa Italia, comme je le fais pour tous les matches importants. Nous parlons souvent." Lautaro à Istanbul défiera Haaland. Le Norvégien est-il le meilleur attaquant du monde ? "L'un des meilleurs, pas le meilleur. Il y a justement Lautaro, Benzema et d'autres grands joueurs. Bien sûr, il voit facilement le but, l'Inter devra faire attention." Pour le contenir, laisseriez-vous Skriniar de retour jouer en tant que titulaire ? "L'Inter a atteint la finale sans lui, ils peuvent facilement continuer à se passer de lui. Alors il verra avec Inzaghi." Le chat WhatsApp des "joueurs triplés" est-il toujours actif ? "Oui bien sûr. Après l'Euroderby avec Milan, nous avons félicité Zanetti, qui est dans le club." Qui de cette équipe de l'Inter aurait joué dans votre équipe ? "Je ne veux pas citer de noms, mais Inzaghi a beaucoup de joueurs très forts." Que pensez-vous de Retegui, le natif avec qui Mancini espère résoudre le problème d'avant-centre de l'Italie ? "J'aime bien, il a grandi vite. Il a des qualités, la bonne mentalité. Je suis sûr qu'en été, il sera appelé par une équipe européenne, peut-être de la Serie A." Reviendrez-vous à l'Inter, peut-être avec un rôle de directeur sportif ? "Je n'ai pas l'habitude de me proposer mais oui, je serais prêt à m'impliquer. En tout cas, mon lien avec l'Inter sera toujours spécial." Traduction alex_j via FCInter1908.
  22. Simone Inzaghi s'affiche aujourd'hui en conférence de presse à la veille du match contre Manchester City. L'entraîneur répond aux questions des journalistes. Voici ses propos rapportés en direct sur FcInterNews.it. Qu'attendez-vous de ce match ? "Nous savons quel match nous devrons jouer. City est l'équipe la plus forte du monde, ils l'ont prouvé même dans les très rares défaites qu'ils ont subies. Cependant, nous connaissons notre chemin, nous sommes fiers d'être ici et nous ferons tout pour être pleinement concentrés, en limitant les erreurs car nous affrontons une équipe très forte." Être un outsider vous a-t-il encore plus rapproché ? "Demain sera le 57e match pour nous. Un très long voyage dans lequel nous avons eu des moments difficiles et nous avons grandi à travers des défaites méritées et imméritées. Nous avons perdu des joueurs importants pendant longtemps, mais les garçons se sont tous ressaisis et avec un engagement fou, nous sommes arrivés à Istanbul. Dans la dernière période, nous avons eu peu de temps pour réfléchir à ce que nous avons fait car nous devions affronter la finale de la Coupe d'Italie et arracher la qualification pour la Ligue des champions. Nous sommes très concentrés sur le combat contre un adversaire vraiment fort." Le milieu de terrain sera-t-il la clé ? "Ce sera très important mais au-delà de ça demain les jambes, la tête et le coeur seront importants. Les jambes pour faire une course de plus, la tête pour la lucidité car l'approche sera fondamentale, le coeur car dans ces matches c'est ça qui vous fait trouver une énergie que vous ne pensiez pas avoir." Vous avez la possibilité d'écrire l'histoire. "Absolument, ce sera difficile mais nous allons essayer. Ensemble, c'est le mot qui nous a amenés ici et c'est le mot avec lequel nous jouerons la finale." Votre frère Pippo dit qu'il n'est pas sûr que vous dormirez. "Nous savons ce que ce match représente pour l'Inter et nos supporters qui nous ont beaucoup aidés dans cette route européenne. Les deux derbies en demi-finale sont l'emblème mais je n'oublierai pas Plzen, Barcelone, Porto. Demain ce match et ce sacrifice supplémentaire, nous le devons à nos fans." Comment avez-vous maintenu cette tranquillité dans le groupe ? "J'ai la chance d'entraîner un groupe de vrais hommes que je ne changerais avec personne. Ce groupe me procure une grande joie et nous l'avons également donné à nos fans. Les garçons sont sereins, ils s'entraînent au mieux. Nous avons des doutes sur certains joueurs, Mkhitaryan et Correa qui semblent se remettre." Comment va Mkhitaryan ? "Aujourd'hui, c'est la dernière séance d'entraînement. Hier, il a fait son premier set complet après 22 jours. Il y a de bonnes sensations mais je déciderai." Avez-vous lu les mots du président sur votre « force tranquille » ? "Ils me font plaisir après un parcours avec des trophées et des victoires mais il y a aussi eu des moments difficiles et vos appels téléphoniques m'ont toujours donné une grande force. Il en va de même pour mon staff." Que ferez-vous demain pour canaliser Haaland ? "Nous connaissons la force de City et Haaland. Clairement, il sera un élément spécial comme tous leurs joueurs. Nous avons préparé quelque chose mais toute l'Inter devra se défendre et devra le limiter lui et tout le City." Cette défense de City concède peu. Qu'en pensez-vous? "C'est une défense solide qui a concédé très peu en Ligue des champions. Ils ont construit d'une manière et défendu d'une autre ces derniers temps mais nous savons qui nous rencontrerons demain. Nous essaierons de jouer le jeu dont nous avons besoin en une finale." Comment vous êtes-vous préparé aux tirs au but ? "Nous les avons toujours essayés au cours de l'année et nous le ferons encore aujourd'hui." Les deux autres équipes italiennes ont perdu leur finale. Pensez-vous que vous devez montrer quelque chose de différent pour le football italien ? "Ce serait important pour tout notre mouvement. Je suis désolé pour la Roma et la Fiorentina qui ont malheureusement perdu. Quelle que soit la fin, je pense que cette année, une étape importante a été franchie avec trois finalistes italiens. C'était un signal formidable." Qui alignerez-vous demain entre Brozovic et Mkhitaryan ? "Au cours des deux derniers mois, j'ai dû faire des choix, malheureusement dans les cinq premiers mois, je n'ai pas pu le faire comme maintenant. Pour demain, nous évaluerons l'état de Mkhitaryan qui ne peut pas être à 100%. Mais hier, il a donné bons résultats." Vous êtes un spécialiste de la coupe, comment préparez-vous psychologiquement les joueurs ? "J'ai la chance d'entraîner des joueurs qui savent jouer ces matches car nous n'avons pas de joueurs qui ont atteint la finale. Cependant, beaucoup ont joué des matches importants. Nous avons des champions du monde et d'Europe. Il nous faudra clairement être très lucide et bon, bien gérer les détails car ils font la différence dans ces matches." Traduction alex_j via FCInterNews.
  23. En effet, le prestigieux magazine Forbes a dévoilé sa liste des clubs les plus riches du Globe. Si, bien sûr, la Premier League domine ce classement, il y a lieu de se pencher sur la belle performance Nerazzurra, malgré un contexte d'auto-financement ! Le Real Madrid est le club le plus cher du monde, lui qui a connu une croissance de 19% pour culminer à une valeur de 6 milliards de dollars. Et si tous les Grands Clubs prennent de la valeur, la seule qui a connue une décroissance se nomme la Juventus pour ne pas changer, elle qui paye au prix fort ses affaires internes pour quitter le Top 10 et un bond négatif de 12%. La bonne nouvelle italienne revient à la ville Milanaise qui voit le Milan pointer à la 14ème place immédiatement suivi de l'Inter, 16ème, pour une croissance positive de 3%. Le classement des 30 clubs de foot les plus chers au monde en 2023 selon Forbes : 1. Real Madrid : 6,07 milliards de dollars 2. Manchester United : 6 Mrds $ 3. FC Barcelone : 5,51 Mrds $ 4. Liverpool : 5,29 Mrds $ 5. Manchester City : 4,99 Mrds $ 6. Bayern Munich : 4,86 Mrds $ 7. PSG : 4,21 Mrds $ 8. Chelsea : 3,21 Mrds $ 9. Tottenham : 2,8 Mrds $ 10. Arsenal : 2,26 Mrds $ 11. Juventus : 2,16 Mrds $ 12. Borussia Dortmund : 1,93 Mrds $ 13. Atletico Madrid : 1,54 Mrds $ 14. AC Milan : 1,4 Mrds $ 15. West Ham : 1,08 Mrd $ 16. Inter : 1,03 Mrd $ 17. Los Angeles FC : 1 Mrd $ 18. Los Angeles Galaxy : 925 M$ 19. Atlanta United : 850 M$ 20. Crystal Palace : 806 M$ 21. New York City : 800 M$ 22. Newcastle : 794 M$ 23. Leicester : 781 M$ 24. Aston Villa : 756 M$ 25. Everton : 744 M$ 26. Olympique Lyonnais : 734 M$ 27. Roma : 724 M$ 28. DC United : 700 M$ 29. Toronto FC : 690 M$ 30 Austin FC : 680 M$ A noter également la belle 27ème place de la Roma avec une croissance de 11% pour une valeur totale de 724 millions de dollars. Le bon le plus impressionnant est à mettre à l'actif de Newcastle avec une croissance de 51% pour déjà pointer à la 22ème position pour une valeur de 794 millions de dollars. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  24. La cocarde est restée sur les maillots de l'Inter qui a battu la Fiorentina 2-1 et remporté la neuvième Coppa Italia. Simone Inzaghi s'affirme comme un spécialiste des finales et met son quatrième trophée dans sa vitrine depuis son arrivée à l'Inter. Il s'est présenté dans la salle de conférence de l'Olimpico pour parler de ses émotions à travers les questions des journalistes présents, dont le correspondant de FcInterNews. Les quatre trophées remportés avec l'Inter ont été un exploit, parlez-nous de votre joie . "La satisfaction est énorme, nous arrivons bien en cette fin de saison. Nous savions que ce serait une finale très difficile, j'ai essayé de laisser les garçons seuls. J'ai tellement ressenti ce match, je le voulais, car nous avons dépensé beaucoup pour obtenir. On a mal débuté, il ne faut pas encaisser de but dans une finale après 3'. Les gars ont été lucides à la reprise, pas en deuxième mi-temps parce qu'on a souffert. La Fiorentina c'est de la qualité, on a souffert en équipe. J'ai félicité tout le monde." Vous avez dit 'j'apporte des trophées aux clubs et j'augmente le bilan', vous aviez raison. "Cela ne m'a pas semblé une réaction épidermique, c'était un moment difficile mais j'étais serein et calme même après ce KO contre la Roma. J'ai la chance de former de grands professionnels qui ont fait un effort fou, je les embrasse un par un, tout comme j'embrasse nos supporters. Quand ils sont entrés en jeu après 15', nous sommes entrés en jeu." Comment gagnez-vous-il toutes ces finales ? "J'ai la chance d'entraîner des équipes importantes, d'abord la Lazio entre l'équipe des jeunes et l'équipe première, puis l'Inter. J'ai des joueurs qui n'abandonnent pas. Je n'ai jamais encaissé de but en finale dans les 3 premières minutes mais nous sommes restés lucides, une belle première mi-temps. J'ai une équipe qui ne rate pas certains matchs." Quel message avez-vous envoyé à City ? "Ils auront vu une bonne finale, un bon spot pour le foot. Deux équipes en mission, on est bien arrivés. Maintenant il va falloir être bon pour profiter de la soirée et ensuite se concentrer sur le championnat. Ensuite on ira à Istanbul pour jouer une finale inattendue mais souhaitée de toutes nos forces." L'équipe n'a pas lâché après le désavantage. "Ça fait deux mois qu'on joue à ce niveau. Dans les difficultés l'équipe ne s'est pas désunie, en finale le but encaissé peut faire réfléchir. On a gagné une finale qui nous tenait beaucoup à cœur." Zhang et Marotta vous ont confirmé à 100%, mais vous avez raison : est-ce un problème ? "Ce n'est pas un problème. Mon problème est de jouer ces matches de la meilleure façon possible, je ne me suis jamais senti sur la sellette. Le contrat peut être dissous en quelques jours, la confiance a toujours été là et et gardée quand nous étions en difficulté. Mon staff et moi étions bons à écouter peu quand les choses n'allaient pas bien, maintenant nous devons terminer notre mission." Est-il clair dans le vestiaire que City n'est pas favori en finale ? "L'équipe est consciente, on est sur une série de résultats positifs, au-delà du KO à Naples. L'équipe grandit, maintenant il faut bien récupérer car dans moins de 48h on sera sur le terrain avec une dure Atalanta. Mais ces soirées te font récupérer plus vite." Traduction alex_j via FCInterNews.
  25. C'est officiel, l'Inter sera devant la Juve à l'UEFA Ranking la saison prochaine. À partir de la saison 2023-2024, lorsque les points gagnés lors de la saison 2018-2019 ne seront plus comptabilisés, l'Inter dépassera officiellement la Juventus au classement des clubs UEFA. Ces quatre dernières années, les Nerazzurri ont en effet marqué 81 points (25+9+18+29) contre 80 pour les Bianconeri, un total qui pourrait augmenter en cas de succès en finale contre Manchester City le 10 Juin prochain. Il en irait de même pour la Roma qui, en remportant la première Ligue Europa de son histoire, dépasserait la Vieille Dame. Notons que cette dernière risque une année à zéro point la saison prochaine en cas d'expulsion des Coupes, affaire entre les mains de la justice sportive. En effet, voici la une du Corriere dello Sport qui indique "Juve, les ennuis continuent. Le club tremble désormais car il risque une double peine". Ce sera le fil rouge du journal romain en kiosque ce matin. Moralité de l'histoire: tout arrive à celui qui sait (honnêtement) attendre. Traduction alex_j via FCInterNews.
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