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  1. Le 19 janvier 2024, aura lieu à Dubaï, la remise des prix du Globe Soccer Awards, qui mettra à l’honneur les meilleurs joueurs de l’année 2023. Parmi les différentes catégories, on retrouve dans le "Club de l’année" l’Inter, auteur d’une excellente fin de saison 2022/2023 avec deux titres nationaux à son actif et également la Finale de la Ligue des Champions. Au niveau des joueurs, sont nominés dans la liste du "Meilleur joueur de l’année" Lautaro Martinez et Nicolò Barella, déjà auréolés d’une place dans le Top 30 du Ballon d’Or! Yann Sommer se trouve également dans la liste des nominées pour le poste de "Meilleur gardien", accompagné d'un certain André Onana ! Simone Inzaghi est également nominé dans la liste du "Meilleur entraîneur" de la Planète ! Et l'on retrouve à nouveau notre Nicolò Barella, en course pour le titre de "Meilleur milieu de terrain" Not For Everyone! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Notre Administrateur-Délégué Sport, Giuseppe Marotta, s’est livré à Trento à l’occasion du "Festival Dello Sport", organisé par la Gazzetta Dello Sport: "Devenir une Bandiera de l'Inter comme Dirigeant ? Je suis Honoré d'être à l'Inter, ensuite il y a tellement de facteurs qui ne dépendent pas que de moi." "Nous traversons une période positive qui est la continuité d’un cycle débuté il y a quelques années et, aujourd’hui, il y a une meilleure conscience en nos propres moyens." "Nous pouvons jouer un rôle de protagoniste, un rôle qui fait partie de notre Histoire, de l’Adn et du Palmarès du Club. Nous n'avons connu qu'un incident de parcours et , cela arrive dans chaque discipline sportive. Je me dois de dire que les prestations réalisées dernièrement ont été très positives, qui font de nous les protagonistes de la saison." La vraie Inter ? "Elle est souvent associée au slogan "Pazza Inter" qui est dans l’ADN du Club aussi par ces situations sur courant alternatif. Au-delà de cet aspect, dans une saison riche d’engagements en club et en équipe nationale, il est également normal d’un point de vue agonistique et physiologique que nous connaissons des baisses de tension et de fatigues, celles-ci doivent être gérée de la meilleure des façons. C’est ici que le Staff technique entre en action et que de nouvelles figures émergent car un sport comme le football est constamment à la recherche d’innovation." La Seconde Etoile ? "C’est une déclaration d’amour explicite, je crois qu’elle trouve son origine par-dessus tout dans les faits : Être ambitieux dans le sport est une vertu, Il faut toujours placer la barre très haut et ce n’est pas un défaut, mais une source de motivation pour faire que toutes les composantes du club, sur et hors du terrain, abonde vers le même objectif. L’ambition ne doit pas être confondue avec l’arrogance qui est un défaut : L’ambition te porte à être traitée d’antipathique, mais je crois justement aussi bien en la rivalité qu’en la compétitivité, et c’est normal qu’une personne comme moi qui gère un club, se doit de transmettre ce concept." Lukaku ? "Il ne sera certainement pas effrayé par l’accueil que va lui réserver le Meazza, il fait partie du passé. Lorsque tu vis des émotions, positives ou négatives, et lorsque tu vis dans un rapport de confiance, cela peut conduire ensuite non seulement à de la méfiance, mais aussi à de la déception. Cela fait aussi partie de la composante humaine et du sport, dans ce qu’il y a de plus spécifique dans un sport riche, où l’argent fait fois et où il ne s’agit pas d’une vertu mais d’un défaut. En ce qui me regarde et en ce qui regarde l’Inter, il fait partie d’un passé récent dans lequel je ne veux pas entrer, je regarde le présent et l’avenir." Ses déclarations "Je ne le vois pas capable de dire beaucoup de choses et il reste libre de le faire bien sûr. Lukaku peut bien sûr dire ce qu'il veut mais nous l'avons toujours respecté... et puis l'argent fait la différence dans le football." Est-ce que le fait qu’il soit sur le banc à Istanbul a joué ? "Je ne pense pas car une décision aussi importante que celle d’accepter une proposition de l’Inter ne peut pas dépendre uniquement dépendre d’un instant, mais bien d’une relation vécue durant plusieurs années et il y avait un grand rapport de confiance, de respect et de reconnaissance envers lui. Je ne vois absolument pas comment nous aurions pu créer une controverse, c’est une polémique, un débat stérile dans lequel nous ne tenons pas à nous engouffrer." Un appel aux Tifosi en vue du retour de Lukaku ? "J’ai entendu parler de ces 50.000 sifflets, et je considère cela comme une situation qui se doit d’être bien gérée, nous devons avoir la capacité de vivre dans le présent dans une période où nous devons unir nos forces. Le fait même que les supporters peuvent se laisser aller à ce type de chose pourrait créer une distraction dans un moment du match où il est important de soutenir les nôtres. Toutefois, et à juste titre, nos Tifosi ont le droit de manifester et de critiquer d’une façon démocratique et civilisé ce qu’il se passe sur le terrain de jeu, c’est un choix libre qui se doit être accepté." Le football d’aujourd’hui "Le phénomène du football arabe a amené des grands avantages économiques aux clubs européens, mais les évaluations devront être faite au moins après deux saisons. Ils ont offert des bouffées d’oxygènes à énormément de club. Toutefois, d’un point de vue qualitatif, nos championnat risque de se retrouver appauvri, même au niveau des droits télés." "Milan représente le Derby de la Ville et il a une saveur particulière. La Juventus est le club avec lequel nous disputons le Derby d’Italia, c’est un autre club tout autant historique et important. Tout dépend de la période, mais remporter un Derby peut te donner ce petit quelque chose en plus." Dans ce championnat ? "Avant tout, il faut gagner contre la Juventus." Roberto Mancini "Il me reste encore un peu d’amertume, je n’aurais jamais imaginé qu’il allait nous abandonner, je pensais qu’il allait continuer son parcours avec la Nazionale. Dans le même temps, j’accueille avec fierté et satisfaction le choix de Spalletti : Je l’ai vu très motivé et impliqué avec des sentiments nationalistes. J’ai connaissance des termes de son contrat et ce n’est certainement pas un contrat qui te change la vie, il a d’ailleurs gagné bien plus d’argent en Club : Il a pris cette décision en la considérant comme une mission." Soutenabilité "Face à la Pandémie, nous avons dû nous adapter à un concept mal utilisé jusqu’à présent qui est la soutenabilité : L’équation "Qui dépense le plus l’emporte n’existe pas dans le sport", mais il est tout de même exact qu’il faut un budget pour construire une équipe compétitive. C’est une chose d’épargner de l’argent et de ne pas le gaspiller, mais c’en est une autre de devoir chercher à réduire drastiquement les coûts car tu te retrouverais face à des difficultés pour constituer ton équipe, car il faut prendre en compte aussi bien la compétitivité en Italie, mais également à l’étranger." La Juventus et l’appel de Steven Zhang "Avec la Juventus, il s’est terminé un cycle, c’est un fait physiologique. Après mon annonce faite lors de l’après-match face au Napoli, j’ai reçu, le matin suivant un message de Steven Zhang. Et comme je ne l’avais pas enregistré, je pensais que c’était une connerie. J’ai donc appelé Urbano Cairo car je savais qu’ils étaient amis et il m’a confirmé qu’il s’agissait bien du numéro de Zhang." "Dès lors, nous avions fixée une rencontre et j’acceptais l’offre immédiatement : En tant qu’Homme de Football, j’ai accepté une proposition qui pourrait être considérée comme une forme de revanche : Celle de revenir sur le terrain immédiatement." Istanbul "La plus grande partie de nos garçons, si ce n’est Tous, disputaient pour la première fois la Finale de la Ligue des Champions et je pense qu’il s’agit d’une expérience importante pour comprendre ce que veut dire s’améliorer et, éventuellement, comprendre comment disputer une autre finale." "L'Inter actuelle est la fille d’Istanbul et d’un processus de croissance de tout le Club : Il ne faut pas oublier que 12 joueurs sont arrivés durant l’été. Cela signifie que nous disposons d’un plus grand respect comparé à notre passé récent en termes d’amalgame : Nous avons créé une solide fondation d’Italiens et je peux dire avec fierté qu’il y en a 6 en Nazionale. Pour moi, cela signifie que l’on créé les conditions pour être compétitif et facilité la compréhension des nouveaux arrivants sur ce que représente l’Inter et sur ce que signifie jouer en Italie." Est-ce qu’un retour d’Onana est envisageable ? "Je ne parviens pas encore à percevoir le futur, mais le football est fait d’un tout. Et il y a aussi des joueurs qui reviennent en apportant des fois des résultats positif et d’autres fois des résultats négatifs. Nous ne savons pas le prédire, mais c’était très certainement une expérience aussi bien importante pour lui comme pour nous, sans oublier le fait que nous avons clôturé notre rapport avec une opération économiquement importante." Marcus Thuram "Au final, la décision revient toujours au joueur et ici même Thuram a été le principal protagoniste de son arrivée à l’Inter, c’est son choix, malgré le fait qu’il avait reçu d’autres offres . Il a évidemment étudié quel pourrait être le meilleur club pour la suite de sa carrière et il est évident que le rôle de son père a exercé une influence : Nous sommes redevenu, l’Inter appétissante et je dois dire qu’aujourd’hui encore j’ai reçu énormément de proposition de joueurs qui veulent jouer chez nous : Cela veut dire que l’Inter est entrain de redevenir l’Inter d’autre fois." Davide Frattesi? "L’avantage que je puisse représenter moi est celui d’avoir un bon rapport avec l’Administrateur-Délégué de Sassuolo. Les indications pour ce joueur sont arrivée de l’Aire technique, nous bossons tous ensemble, moi, Ausilio, Baccin, l’entraineur, afin que chacun puisse apporter à notre cause ses propres talents : Le joueur a aussi été protagoniste dans le fait d’accepter cette destination. Même notre propriétaire, lorsque l’on a présenté cet investissement important, nous a donné le feu vert et nous sommes parvenus à mettre sur pied une opération importantes : Toutes les composantes sont importantes, même les épouses et les fiancées." Scamacca? "Nous avions débuté une négociation avec le club et aussi avec lui, et il y avait initialement une disponibilité de la part du joueur, qui a ensuite préféré emprunter une voie différente. C’est un choix qui se doit d’être respect et nous avons fait un pas de côté. Il n’y avait aucune compétition avec l’Atalanta pour propose plus, nous nous sommes justement retiré." Le Calcio Scommesse ? "Je ne tiens pas à m’exprimer sur une situation au cours d’une enquête. Je crois que parier est un vice antique de l’être humain et qu’il doit être vu comme tel et qu’il se doit d’être combattu d’un point de vue éthique. Les joueurs professionnels font partie d’une catégorie à part : Ils peuvent soudainement devenir riche et le temps qu’ils consacre à leur activité compétitive n’est pas aussi excessive, ils disposent donc d’énormément de temps libre." "Le problème est qu’il vaut savoir combler ces périodes avec des activités positives et il y a souvent un manque de valeurs, ils sont jeunes et ils doivent être aidé pour grandir. Je me dois de faire un Mea-Culpa au nom de la classe dirigeantes car les Institutions, les Clubs, les associations syndicales, nous avons tous, sans exceptions manqués et manquons encore à l’appel." "J’ai assisté, au tout début de ma carrière au scandale du Calcio Scommesse et les choses se répètent ici en 2023 : Cela veut dire que la matrice de prévention et d’acculturation fait défaut. Nous ne parvenons pas à faire ce qu’il faut et ces garçons tombent dans ce type de situations qui ne leur apporte bien, car ils vivent dans un monde doré." Mauro Icardi ou Romelu Lukaku? "Vu comment les choses se sont passées, c’est mieux Icardi." Allegri ou Conte ? "Le dénominateur commun est qu’ils sont tous les deux des gagneurs, ce qui est une caractéristique importante que se doit d’avoir un entraineur. Il y a les gagnants et ceux qui échouent : Chaque entraineur présente un profil différent et ils le savent eux même : Eux savent gagner et ils savent comment transmettre cette mentalité de gagnant, j’ai connu de belles expériences avec les deux." "Avec Conte c’est encore une plus belle expérience car nous sommes parvenu à gagner aussi avec l’Inter, ce qui est quelque chose d’extraordinaire : Ce sont deux grands professionnels qui m’ont offerts de très grandes émotions." Lautaro peut-il prétendre à un possible Ballon d’Or ? "Oui, absolument, je crois qu’il a toutes les qualités pour réaliser une excellente carrière qui coïncidera très régulièrement avec les nominations à des prix prestigieux : Je lui souhaite d’en avoir le plus possible. C’est un parcours assez long, mais il y a surtout le fait qu’il s’identifie aujourd’hui au rôle qu’il a à l’Inter, il s’agit de tout un ensemble de valeur qui sont favorable à sa croissance professionnelle." Son futur ? "Le club est attentif à toutes ses indications que je viens de citer. Aux côtés de Lautaro, il y a tout un ensemble de joueurs qui méritent également une attention particulière de notre part et, avec le Directeur Sportif Piero Ausilio, nous travaillons en ce sens avec un objectif : Toujours garder bien en vue quels sont les objectifs à atteindre. Les aspects contractuelles sont selon moi marginal comparé à l’engagement que nous nous attendons tous de la part des joueurs du noyau." Auriez-vous signé pour occuper la position actuel aussi bien en Ligue des Champions qu’en Championnat ? "Je suis satisfait car, au-delà des statistiques, j’analyse les prestations qui ont été proposées et celle-ci ne peuvent être que positives, également pour ce que devrait être notre futur. Je dois dire qu’il faut aussi absolument reconnaitre le mérite de notre entraineur qui a su faire fusionner un nouveau groupe et à en faire ressortir un modèle positif." Scudetto ou Ligue des Champions ? "Je vote pour le championnat. Le championnat est une course par étapes, le meilleur gagne toujours. En Ligue des Champions, il y a aussi des circonstances heureuses, le meilleur ne gagne pas toujours. Nous sommes très compétitifs pour le Scudetto, les valeurs qui ont émergé et les valeurs objectives le disent. En réalité, c'est plus difficile en Ligue des Champions.” Est-ce que vous vous retrouvez encore dans ce football ? "Les symptômes d’intelligence s’adaptent au temps. Nous sommes face à un monde totalement différent, il y a des innovations qui sont devenu réalités comme les algorithmes et l’intelligence artificiel. C’est aux managers à savoir s’adapter à l’époque actuelle." Quelle l’opération de Mercato qui aurait pu être la plus importante "Celle de Bellingham qui est un joueur vraiment très fort et qui représente le présent et le futur. Mon regret a été également de ne pas avoir recruté Haaland à la Juventus, on me l’avait proposé lorsqu’il était encore à Molde, mais c’est la vie." Où sera l’Inter dans un mois ? "Il est mieux, paradoxalement, d’être dans le rôle du chasseur que de celui du lièvre, et de devenir celui du lièvre à la fin car il l’emportera toujours. Mis à part cela, il faudra savoir gérer les moments de fatigue liés à la compression des rendez-vous qui s’enchaine. Je retiens que nous disposons d’un noyau compétitif, tel qu’il permettra à Inzaghi de le gérer de la meilleure des façons possible." Pourquoi allumer Lukaku et encenser Icardi Nos confères de la Gazzetta Dello Sport ont tenu à analyser la situation : La pensée de l’Administrateur-Déléguée est la même que celle de tous les autres Managers de la Viale Della Liberazione, car si le traumatisme de la rupture avec Big Rom est encore tout frais, la situation est différente entre l’argentin et le belge. Icardi avait manifesté son amour pour l’Inter jusqu’au bout, il a commis la faute de ne pas savoir dissocié le Vestiaire des déclarations de son épouse et agent Wanda Nara, ce qui lui a posé des problèmes avec ses équipiers, mais il a cherché une façon pour arranger les choses. Et cela, même lorsqu’il avait été écarté du noyau et que le numéro 9 lui a été retiré pour finir sur les épaules de Lukaku, même lorsqu’il avait fini par devoir s’entrainer tout seul. La situation est totalement différente pour le Belge qui, même s’il était fortement désiré par la Direction et Inzaghi, ne s’est jamais exposé avec Chelsea pour rester à l’Inter et, lorsque l’intervention de Roc Nation avait permis de favoriser l’accord entre les deux clubs, il s’était éclipsé, en ne répondant plus au téléphone également à ses équipiers, il a donc fait comprendre à tous qu’il avait tourné le dos au Monde Interiste ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Le Ballon d'or est une récompense attribuée au meilleur joueur de football de l'année. Créé en 1956 par le magazine France Football, ce titre est, à l'origine, attribué au meilleur joueur disposant d'une nationalité européenne évoluant dans un championnat européen. De 1995 à 2006, le « Ballon d'or » est attribué au meilleur joueur évoluant dans un championnat européen sans distinction de nationalité. Depuis 2007, il récompense le meilleur joueur au monde, c'est-à-dire sans distinction de championnat ni de nationalité. Appelé « Ballon d'or France Football » à sa création, le trophée est alors attribué par un jury international composé de journalistes spécialisés. En juillet 2010, il fusionne avec le titre de Meilleur footballeur de l'année FIFA pour devenir le « FIFA Ballon d'or », attribué par des capitaines de sélections nationales, des sélectionneurs et des journalistes. En septembre 2016, France Football et la FIFA décident d'arrêter leur partenariat pour l'attribution du Ballon d'or, celui-ci revient donc à son créateur historique[1]. Les votes ne seront attribués que par des journalistes internationaux. Lionel Messi est le joueur le plus titré depuis la création du Ballon d'or (sept trophées). Les derniers récipiendaires sont la joueuse américaine Megan Rapinoe et le joueur argentin Lionel Messi, lors de la cérémonie du Ballon d'or 2019 ; l'édition de 2020 ne s'étant pas tenue (Lewandowski ). Cette récompense est créée en 1956 par le magazine France Football, sous l'impulsion de ses journalistes Gabriel Hanot[2], Jacques Ferran, Jacques Goddet et Jacques de Ryswick[3]. À l'origine, le prix est réservé aux joueurs européens[4]. En 1995, le mode d'éligibilité est modifié, permettant à tout footballeur jouant dans un club européen d'obtenir ce trophée tant convoité, à l'image du Libérien George Weah devenu Ballon d'or la même année. En 2007, l'ouverture devient totale : à partir de cette date, le Ballon d'or récompense le meilleur joueur du monde, quelle que soit sa nationalité et quel que soit le club au sein duquel il évolue, même si ce dernier n'est pas européen. « Ballon d'or» est désormais une marque déposée de France Football[5]. Jusqu'en 2009, le classement est établi en fonction du vote d'un panel international de journalistes. Lors de la création du « FIFA Ballon d'or », à la suite d'un accord signé entre Amaury Sport Organisation et la FIFA, le nouveau système de notation prévoit un classement établi en fonction du vote des 208 sélectionneurs des pays membres de la FIFA, des 208 capitaines des sélections ainsi que d'un panel de 208 journalistes représentant les pays qui composent la FIFA[6]. Ces membres du jury nomment trois joueurs (parmi une liste de vingt-trois prédéfinie) par ordre décroissant ; le premier reçoit 5 points, le deuxième 3 points et le troisième 1 point. Le trophée est attribué au joueur ayant recueilli le plus de points. En 2014, un Ballon d'or d'honneur a été attribué à Pelé, lui qui n'avait pas pu être honoré en son temps[7]. En 2020, France Football annonce que le Ballon d'Or ne sera pas attribué « fautes de conditions équitables suffisantes », en raison de la pandémie de Covid-19[8]. En 2018, France Football crée le Ballon d'or féminin et le Trophée Kopa, du nom de Raymond Kopa. Le premier récompense la meilleure joueuse de l'année civile écoulée et est attribué par un panel de journalistes internationaux spécialisés dans le football féminin votant parmi une liste de 20 sélectionnées, alors que le second sacre le meilleur joueur de moins de 21 ans de l'année civile écoulée et est décerné par les anciens lauréats du Ballon d'or qui choisissent parmi 10 nommés. Palmarès du Ballon d'Or : Année /Joueur récompensé / Pays / Club : 2021 Lionel Messi Argentine Paris-Saint-Germain 2019 Lionel Messi Argentine FC Barcelone 2018 Luka Modrić Croatie Real Madrid 2017 Cristiano Ronaldo Portugal Real Madrid 2016 Cristiano Ronaldo Portugal Real Madrid 2015 Lionel Messi Argentine FC Barcelone 2014 Cristiano Ronaldo Portugal Real Madrid 2013 Cristiano Ronaldo Portugal Real Madrid 2012 Lionel Messi Argentine FC Barcelone 2011 Lionel Messi Argentine FC Barcelone 2010 Lionel Messi Argentine FC Barcelone 2009 Lionel Messi Argentine FC Barcelone 2008 Cristiano Ronaldo Portugal Manchester United 2007 Kaka Brésil Milan AC 2006 Fabio Cannavaro Italie Real Madrid 2005 Ronaldinho Brésil FC Barcelone 2004 Andreï Shevchenko Ukraine Milan AC 2003 Pavel Nedved Rép. Tchèque Juventus 2002 Ronaldo Brésil Real Madrid 2001 Michael Owen Angleterre Liverpool 2000 Luis Figo Portugal Real Madrid 1999 Rivaldo Brésil FC Barcelone 1998 Zinedine Zidane France Juventus 1997 Ronaldo Brésil Inter Milan 1996 Matthias Sammer Allemagne Borussia Dortmund 1995 George Weah Libéria Milan AC 1994 Hristo Stoitchkov Bulgarie FC Barcelone 1993 Roberto Baggio Italie Juventus 1992 Marco van Basten Pays-Bas Milan AC 1991 Jean-Pierre Papin France Marseille 1990 Lothar Matthäus Allemagne Inter Milan 1989 Marco van Basten Pays-Bas Milan AC 1988 Marco van Basten Pays-Bas Milan AC 1987 Ruud Gullit Pays-Bas Milan AC 1986 Igor Belanov URSS Dynamo Kiev 1985 Michel Platini France Juventus 1984 Michel Platini France Juventus 1983 Michel Platini France Juventus 1982 Paolo Rossi Italie Juventus 1981 Karl-Heinz Rummenigge Allemagne Bayern Munic 1980 Karl-Heinz Rummenigge Allemagne Bayern Munich 1979 Kevin Keegan Angleterre Hambourg SV 1978 Kevin Keegan Angleterre Hambourg SV 1977 Allan Simonsen Danemark Borussia Möchengladbach 1976 Franz Beckenbauer Allemagne Bayern Munich 1975 Oleg Blokhine URSS Dynamo Kiev 1974 Johan Cruyff Pays-Bas FC Barcelone 1973 Johan Cruyff Pays-Bas FC Barcelone 1972 Franz Beckenbauer Allemagne Bayern Munich 1971 Johan Cruyff Pays-Bas Ajax Amsterdam 1970 Gerd Müller Allemagne Bayern Munich 1969 Giovanni Rivera Italie Milan AC 1968 George Best Irlande du Nord Manchester United 1967 Florian Albert Hongrie Ferencvaros 1966 Bobby Charlton Angleterre Manchester United 1965 Eusebio Portugal Benfica Lisbonne 1964 Denis Law Ecosse Manchester United 1963 Lev Yachine URSS Dynamo Moscou 1962 Josef Masopust Tchécoslovaquie Dukla Prague 1961 Omar Sivori Argentine Italie Juventus 1960 Luis Suarez Espagne FC Barcelone 1959 Alfredo Di Stefano Argentine EspagneReal Madrid 1958 Raymond Kopa France Real Madrid 1957 Alfredo Di Stefano Argentine Espagne Real Madrid 1956 Stanley Matthews Angleterre Blackpool
  4. Présent à la Cérémonie du Ballon d’Or, le seul et unique Ronaldo s’est livré sur la Serie A à Sport Mediaset "Je suis l’Inter et le Calcio, je regarde énormément le Calcio. Je suis propriétaire de deux équipe, l’une au Brésil, l’autre en Espagne, mais je regarde tous les matchs, je suis un malade du Calcio. J’ai regardé l’Inter lors de ces deux matchs contre Barcelone et elle a réalisé une très belle performance: Deux rencontres de Géants face à une grande équipe." Milan et le Napoli sont devant… "Oui, mais le Championnat est encore très long." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Lautaro Martinez s’est livré à DAZN dans le cadre de l’émission "Careers". Il y a retracé toute sa carrière depuis sa plus tendre enfance: "Lorsque je jouais au Liniers, mon père m’accompagnait, il y avait joué. J’ai conservé tant de beau souvenirs, l’émotion d’un enfant qui voulait tant apprendre et devenir un joueur professionnel. J’avais les cheveux longs, mais j’ai dû les couper car lorsque j’allais en piscine, on voulait que je mette un bonnet, mais cela me plaisait. J’étais déjà attaquant, mais tout petit j’étais un libéro comme mon père, ensuite j’ai commencé à jouer sur les ailes car j’étais plus rapide et j’aimais marquer. Mon père voulait que je sois attaquant." Tu as un frère…. "Lui aussi a obtenu quelque chose qu’il a toujours recherché, tout le monde pratique du sport dans la famille, mais lui s’est lancé dans le basket, car nous habitions une maison avec un terrain juste à côté. Il a essayé le football, en allant dans les buts, mais ça ne lui disait rien. Il a ensuite débuté le basket et est à présent devenu un joueur pro. Il a signé récemment un contrat pro et je suis très fier de lui, il a tellement travaillé." N'as-tu jamais songé à pratiquer un autre sport ? "Oui, je me suis essayé au basket: J’ai ensuite dû faire un choix et le football est une vie pour moi, c’était simple de choisir, mais le basket m’a toujours énormément plus." Ton début au Racing… "C’est un moment unique dans la vie d’un joueur. J’ai fait mes débuts en remplaçant avec un joueur qui a écrit l’Histoire du Calcio, Diego Milito, et c’est aujourd’hui mon ami, nous sommes toujours en contact: Il m’a toujours apporté son aide lorsque j’en avais besoin, j’ai appris énormément de lui. C’est quelque chose que je garderais toujours avec moi. Je savais ce que représentait le football et le Racing pour lui. Il a quitté le terrais sous les applaudissements et j’avais le rêve de pouvoir faire de même un jour. Je crois qu’avec le travail que j’ai réalisé, que j’y suis déjà parvenu et j’en suis très fier." La célébration du Toro "Elle est née à cause d’un équipier, on faisait un effet miroir et j’ai ensuite ajouté les cornes du taureau : J’ai continué à le faire et ce surnom me plait bien, on me l’a donné depuis tout petit et c’est resté ancré : Cela fait 15 ans que l’on appelle de cette façon, cela me plait bien, j’aime bien." La Copa America "C’est une émotion unique : L’Argentine n’avait plus soulevé un titre depuis 28 ans, c’était aussi le rêve de Messi. C’était encore plus notre rêve car nous traversions tous une période difficile : Je voulais donner à l’Argentine la possibilité de surpasser cette mauvaise période que nous connaissons tous avec la pandémie et après tant d’années, c’était écrit que nous devions soulever la Coupe au Maracanà, cela restera toujours un beau souvenir." Tu fais partie des grands joueurs argentins... "Je ne sais pas si c’est le cas, tant de grands joueurs sont passés sans pour autant gagner, je suis content d’avoir apporté ma contribution à ce rêve qui nous appartient à tous. Ce tournoi était important et nous l’avons remporté en pratiquant un grand football et en ayant un grand esprit d’équipe." Le Ballon d’Or de Messi "Je ne peux rien dire sur lui : C’est le meilleur joueur du Monde, il en a remporté sept. C’était important pour lui de remporter aussi cette Copa America, il le dit lui-même : Je le félicite." La Famille "Cela me donne envie de pleurer, c’était une année difficile. Tu as toujours ta famille derrière toi, elle est ma vie, lorsque je rentre à la maison, je les retrouve, c’est ma vie.Lorsque je marque je regarde toujours vers le ciel car depuis la naissance de ma fille, tout a changé dans ma vie, je suis plus mature sur et hors du terrain : C’est une guerrière, elle est toujours derrière moi pour m'empêcher de tomber et me garder toujours les pieds sur terre : Pour un joueur, la Famille est fondamental." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Alessandro Bastoni s’est livré sur son passé, son présent et son futur, sur et hors du terrain à la Repubblica. La Famille Quand as-tu compris que tu voulais devenir footballeur ? "A Parme en Serie A, la première fois où j’étais titulaire, je me suis dit : "Ale, si tout va bien, c’est fait". Nous avons gagné à Turin et j’ai finalement pu charrier mon père." Il a joué pour Cremonese...... "Quand j'étais enfant, il faisait son malin à chaque fois. Maintenant, c'est moi qui lui rappelle qu'il n'a pas joué la moitié d'un match en Serie A, mais il se croit toujours plus fort que moi. Nous en plaisantons parce que nous savons que nous en sommes arrivés ici ensemble." Sur vos protège-tibias, on retrouve l’image de vos frères…. "Oui et je les embrasse en avant-match, j’ai choisi le numéro 95 car c’est l’année de naissance de mon frère aîné. Le cadet m’a dit : "Et moi?" C’est comme ça que j’ai eu cette idée : Il n’y a pas de jalousie entre nous et j’en suis chanceux." Jouer vous encore au football ensemble ? "Le plus grand est arrivé jusqu’en Serie C et il a ensuite choisi les études, le plus jeune a une aversion pour le football : Il me demande de lui raconter quelque choses pour répondre aux demandes de ses amis." Après l’Euro, êtes-vous retourné là où tout a commencé ? "C’était beau car je me suis identifié aux enfants, j’étais un petit compétitif qui rêvait, comme eux, de devenir footballeur." Comment transforme-t-on le talent en succès ? "Chez les plus jeunes de l’Atalanta, j’ai rencontré des garçons bien plus talentueux que moi, je m’entrîinais avec les plus grands ce qui était difficile. Mon père m’a appris à ne jamais abandonner. Il m’a accompagné durant tant d’années de Cremona à Zingonia en aller-retour : 130 kilomètres sans jamais me le faire ressentir. Avec une autre famille, j’aurais eu un autre métier aujourd’hui." Etiez-vous un Tifoso enfant ? "Papa est de sang interiste et il m’a transmis sa foi, lorsque je commets une erreur en plein match, il m’en veut." Votre mère, lors de la fête du Scudetto vous a offert de la Pizza et vous a essuyé votre bouche avec une serviette… "Elle a toujours été proche de moi. J’aime être avec elle et aller manger un plat de Tortelli. Fais maison: comme ça le nutritionniste n’enrage pas!" Les modèles Vous avez les pieds et la vision d’un meneur de jeu : Qui vous a imaginé au poste de défenseur ? "J’ai toujours joué derrière, les qualités techniques sont apparues à l’Atalanta avec Mino Favini et Gianluca Polistina. Je passais des heures à m’améliorer." Quelle est votre idole footballistique ? "Sergio Ramos : J’admire tout de lui, comment il est sur le terrain, sa personnalité : Pour mon anniversaire, il m’a offert son maillot et j’ai aussi pu échanger avec lui." Que vous êtes-vous dit ? "Belle demande, on parlait espagnol et j’ai perçu la personne, plus que le joueur, il est comme Materazzi." Ramos et Materazzi : La fourberie s’apprend-t’elle ou est-elle innée ? "Cela peut se travailler, mais ce n’est pas simple, tout comme la légende qui dit que les bons joueurs sont techniquement bons sont mous caractériellement." Voudriez-vous être plus vicieux ? "Non, il y a eu une période où je prenais trop d’avertissements, je crois que je peux m'améliorer en tout grâce à d’exceptionnels équipiers." L'Inter d'Inzaghi Jusqu’où peut arriver cette Inter ? "C’est beau d'avoir le Scudetto sur le torse, nous prouverons à tous, et de toutes les façons possible, que nous le conserverons : Il y a aussi la Ligue des Champions." Comment avez-vous réagi lorsque vous êtes passé de l’Ajax à Liverpool, suite à une erreur de tirage...... "Je n’ai pas juré, si c’est votre question: J’ai aussi écrit la préface d’un livre pour un Curé. Blague à part, nous devrons réaliser deux grands matchs : Jouer à Anfield sera extraordinaire." Vous divertissez-vous sur le terrain ? "Oui, Inzaghi nous donne la liberté qui nous permet de nous souvenir que le football est un jeu : Même lorsque tu es mené." Face à Cagliari, vous êtes rentré dans la surface en dribblant une série d’adversaire…. "J’aime énormément sortir de ma zone, et lorsque je vois une possibilité, je tente de marquer. Cela ne s’est pas bien passé, j’espère que cela ira mieux la fois prochaine." Hors du terrain En dehors du terrain, vous semblez toujours être un bon pochtron, est-ce une réalité ou les réseaux sociaux exagère-t ’il la réalité ? "Hélas, les réseaux sociaux n’exagèrent rien, disons que j’aime beaucoup me divertir." Qui est le meilleur aux fléchettes ? "Brozo est le champion indiscuté." Gasperini, Conte, Inzaghi, Mancini. Partant des caractères : quels duos formeriez-vous ? "Je mettrais Gasperini avec Conte et Mancini avec Inzaghi : Les deux premiers sont toujours sur la brèche. Inzaghi et Mancini, en plus d’être fort engagés, attachent une importance au contact humain : Le résultat est que nous somme plus relaxé lors des moments cruciaux." Conte blindait la défense en abaissant le cendre de gravité de l’équipe : Inzaghi, en revanche, augmente le pressing...... "Aujourd’hui, nous avons moins la possibilité de partir en contre : Edin et Romelu sont différents et nous nous sommes adaptés." L’Italie Ressentez-vous la responsabilité de devoir reprendre l’héritage de Leonardo Bonucci et Giorgio Chiellini en défense ? "Oui, je ressens cette urgence, je suis impatient de me montrer protagoniste aussi en équipe nationale." La seule erreur de votre carrière fut lors d’Italie-Espagne à l’Euro, mais vous avez immédiatement démontré être capable de retrouver immédiatement votre niveau : D’où puisez-vous cette maturité ? "C’est caractériel, je suis serein : En plus du football, j’ai en tête d’autres pensées qui m’apaise : A partir de ma fille qui va naître en janvier." Comment allez-vous l’appeler ? "C’est ma compagne qui me le dira lorsqu’elle l’aura trouvé. Elle partage mes valeurs : Léducation, la reconnaissance, la générosité, elle étudie le design, elle aimerait trouver un bon job : Ses réalisations sont aussi importantes que les miennes." Si l’Italie ne devait pas se qualifier en mars, l’absence en Coupe du Monde passerait à 12 années : Cette pensée vous effraie-t ’elle ? "Non, même pas dans l’antichambre de nos cerveaux : Nous sommes Champions d’Europe en titre, nous devons y parvenir." Qui méritait le Ballon d’Or ? "Vu que je n’étais pas en course : Lewandowski ou Jorginho". Allez-vous encore tirer les penalty en équipe nationales ? "Certainement, tout comme Lautaro : Il n’y a que celui qui n’en a jamais tiré qui n’en a jamais raté." Ses anciens équipiers Échangez-vous avec Eriksen ? "Oui, c’est lui qui nous a rassuré et non l'inverse : Je lui souhaite de vivre la vie qu’il désire : En plus du fait d’être un champion, c’est une belle personne." Et avec Hakimi et Lukaku ? "Hakimi est mon compagnon de Playstation, et il est très mauvais. Quant à Romelu, je lui souhaite bonne chance pour sa nouvelle aventure." Le schéma de la rampe de lancement pour Barella, lors d’Inter-Juve (2-0), a-t-il été importé d’Angleterre par Conte ? "Non, nous l’avons toujours testé : J’ai gagné notre dernière partie d’entrainement avec celui-ci. Le problème est que les adversaires nous étudient : Nous devons imaginer de nouvelles choses." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. Nos deux stars figurent parmi les 30 finalistes du prestigieux prix France Football. Lautaro Martinez est 21e, tandis que Nicolo Barella est 26e des votes pour le Ballon d'Or 2021 qui était la 65e édition organisée par France Football. Le duo Interiste figure parmi la liste des 30 finalistes grâce à leur succès avec nous et leurs équipes nationales respectives. Voici le message de l’Inter sur Tweeter : "21e pour Lautaro et 26e pour Barella au classement France Football. Ces ballers !" Lautaro qui est 21ème a remporté le Scudetto en 2021 et a aidé l'Argentine à remporter la Copa America, deux victoires tant attendues. Les buts de l'attaquant ont joué un rôle clé, avec 17 en Serie A en 2020-2021 et trois en Copa America, dont un en demi-finale contre la Colombie. C'est également la première apparition de Barella sur cette liste, 26e. Le milieu de terrain a toujours bien performé tout au long de la campagne ayant mené au Scudetto et a marqué trois buts en cours de route. Le joueur de 24 ans était également un pilier de l'équipe italienne de Roberto Mancini qui a gagné l'EURO 2020 à Wembley en juillet. Barella est entré lors de la victoire en quart de finale contre la Belgique. Le Ballon d'Or est basé sur les votes de 180 journalistes de 180 pays différents. La même méthode est utilisée pour le trophée Yashin et les récompenses pour les entraîneurs. Les critères que les journalistes sont invités à prendre en compte lors du vote sont : performances individuelles et par équipes en 2021 ; le talent et la nature sportive du joueur ; la carrière du joueur. Chaque électeur sélectionne cinq joueurs parmi les 30 nominés et leur attribue des points, avec six pour le premier, quatre pour le deuxième, trois pour le troisième, deux pour le quatrième et un pour le cinquième. Traduction alex_j via le site officiel et sempreinter.
  8. Edin Dzeko s’est livré dans la Gazzetta Dello Sport à quelques jours du Derby d’Italie. Auteur de 7 buts et de 3 passes décisives, toutes compétitions confondues sous le maillot de l’Inter, l’international bosniaque se livre à cœur ouvert: "Sur le terrain, je ne suis pas Dzeko, je suis Edin, je suis l’enfant qui a commencé à jouer car je ne savais pas faire sans courir derrière un ballon à la maison. Et pour moi c’est encore ce football : Je deviens fou lorsque je vois un ballon. Je tiens aussi à m’excuser pour mon retard à l’interview, mais je n’avais jamais vu autant de trafic à milan. Je savais que j’arrivais dans un grand club, j’avais comme objectif de me faire apprécier immédiatement : C’est vraiment ce que je voulais. Le reste provient des champions que j’ai retrouvé ici." Reprenons dans l’ordre chronologique: Face au Sheriff vous avez marqué un but, montré décisif en défense et délivré une passe décisive à Arturo Vidal, détaillez-nous ces trois faits de jeu... "Le but est une joie extrême car tant de personnes en attendent toujours plus de moi. Mais c’est normal car je suis un attaquant, ce sprint en défense a été mis en avant, et c’est normal aussi, car si nous ne l’emportions pas, mon but aurait servi à rien." L’Inter est une machine à but, elle se produit des actions en continue, est-ce l’équipe la plus offensive dans laquelle vous avez évolué ? "Oui, avec le Manchester City de Roberto Mancini. Nous attaquons avec énormément d’hommes, nous sommes pro positif, cela s’est aussi vu en Ligue des Champions. Et c’est aussi pour cela que nous prenons plus de buts que ce que nous devrions : C’est sur ce point-là qu’il faut grandir." Justement, Dimanche, c’est la Juve, la Maîtresse de la contre-attaque... "C’est le Derby d’Italie, les points en jeu sont important: Il n’y a pas tant à inventer: Nous devrons neutraliser ce qu’ils ont l’habitude de bien faire, à savoir les contre-attaques." Celui qui perd risque de se retrouver à une distance de 10-13 points de la tête, est-ce déjà une rencontre décisive ? "Le championnat ne se gagne pas en octobre ou en novembre, l’Inter et la Juve le savent bien. Mais si tu perds encore d’autres points maintenant, cela va commencer à devenir difficile de les rattraper." Dzeko contre Chiellini. Est-ce le défenseur le plus fort que vous avez rencontré ? "Il est l’un des meilleurs à son poste sur cette dernière décennie, il est déterminant pour la Juve, C’est un dur, c’est du lourd, il est toujours en train de t’attaquer, même trop. C'est face à lui que j’ai inscrit mon premier but en Italie, mais il m’a empêché de marquer tellement de foi. Je pourrais me passer de lui ce dimanche: Je veux que l’on gagne, même si je ne marque pas." Vous êtes à 7 points du Napoli, est-ce un écart qui respecte la valeur des deux équipes ? "Ils ont gagné tous leur matchs, je les félicite. Mais il suffit d’un rien, d’une étincelle pour revenir sur eux." Racontez-nous l’appel de de l’Inter... "Saviez-vous qui était celui qui m’avait téléphoné ? Kolarov ! C’était lui qui m’avait dit que l’Inter était intéressée et qu’il y avait la possibilité de réaliser le transfert." "Ils te veulent ici, viens !" m'avait-il dit, et me voici." Comment vivez-vous cette comparaison continue avec Lukaku ? "Il a réalisé des choses importantes ici, l’Inter doit lui dire merci, il a remporté un Scudetto avec Conte. Ensuite, il a pris ses décisions et honnêtement, je suis habitué à toujours aller de l’avant." On parle de tant de différence entre vous, mais vous avez tout de même quelque chose en commun ? "Oui, le numéro de maillot." L’Inter, dimanche, doit gagner parce que…. Complétez la phrase... “Il réfléchit…. Gagner démontrera que nous sommes les Champions d’Italie: Si tous les joueurs apportent leurs contributions, pour le bien de l’équipe et pas pour son bien personnel, nous pourrons l’emporter, peu importe la façon : Qu’il s’agisse d’une stratégie offensive ou défense, peu importe, ce qui compte, c’est de l’emporter." Vous avez déjà inscrit six buts en championnat, l’année dernière, vous n’en aviez inscrit que sept au final: Qu’est-ce qui a changé ? "Je n’avais pas sû donner la meilleure version de moi-même, mais il y avait tant de facteurs externes qui ont joué." Est-ce vrai que l’on vous a demandé à vous porter candidat à la Présidentielle de la Bosnie ? "Non et je n’y pense même pas. Je ne me vois pas en politique. Par contre, j’aimerai encore jouer cinq saison au football avant de penser au futur : Qui sait si je pourrais toutes les faire à l’Inter, n’est-ce pas ?" Quel est votre rapport avec Milan ? "Je n’ai pas encore trouvé de maison, actuellement je vis proche du siège du Club." Ibra est-il votre voisin ? "Je ne le sais pas. Je croise souvent Iličić, qui est un ami cher. Milan est bien plus petite que Rome, la vie quotidienne est bien plus facile, tu sais te déplacer facilement pour rejoindre le centre de la ville." Vous, Giroud et Ibra: Milan propose des attaquants qui ont plus de 35 ans, est-ce un hasard ? "Non, ce n’est absolument pas un hasard. Il y en a aussi qui ont déjà arrêté à notre âge. Si nous sommes encore là, malgré notre âge, cela veut dire que nous sommes toujours fort et que nous pouvons encore nous montrer décisif. Je n’ai pas encore tout donné et c’est pour cette raison que je suis ici, encore à jouer : Je ne suis pas encore pleinement satisfait de ma carrière." Etes-vous lassé par les références continuelles sur votre âge ? "Non, la carte d’identité ne fait pas tout. Vous voyez uniquement ce qu’il se passe sur le terrain, mais je travaille tous les jours, avant et après l’entrainement pour rester en forme. Et mentalement, je cherche toujours à éviter tous les sujets qui me prennent de l’énergie." Avez-vous un exemple ? "Ben, les demandes sur mon âge, il rit." A qui donneriez-vous le Ballon d’Or ? "Messi va encore le gagner." Pourquoi en avez-vous toujours été écarté ? Pourquoi êtes-vous toujours perçu comme un ton en dessous de Lewandowski ou de Benzema? "Peut-être que le fait de ne pas être parti au Real Madrid a joué ou peut-être qu’il m’aurait fallu juste un peu plus de continuité. J’ai inscrit tant de buts dans ma carrière, j’en ai marqué partout. Et ce n’est pas encore fin, car lorsque je raccrocherai, c’est que j’aurais tout donné, ce n’est pas encore le cas." Dire que vous auriez pu disputer ce match, dimanche, avec le maillot Bianconero…Pourquoi l’affaire a-t ’elle capotée ? "Première chose: Je ne regarde jamais en arrière, je suis très fier d’être à l’Inter, stop. Seconde chose: C’était la Roma qui avait commencé à discuter et à se mettre d’accord avec la Juve, je n’étais pas au courant de la négociation, je suis rentré en scène seulement plus tard." "Le transfert a sauté car la Roma n’était pas parvenu à me trouver un remplaçant." Qu’-est-ce qui vous a marqué le plus à la Roma, malgré le cas relatif au Capitanat ? "Beaucoup de choses m’ont plu, beaucoup personnes m’ont déçu, mais je préfère penser aux six belles années que j’y ai vécu." Sans aucun titre pourtant... "J’aurai aimé gagner quelque chose, ma seconde année était celle où nous avions une équipe très forte, mais cela devient difficile d’y parvenir lorsque tu vends les joueurs les plus important. A présent, je suis venu ici à l’Inter justement pour combler cette lacune, je veux apporter ma contribution pour gagner. Je veux y parvenir, même si ce n’est jamais facile : Si l'Inter avait gardé Conte, Lukaku et les mêmes joueurs que l'an dernier, une nouvelle victoire du Scudetto n'aurait pas été une fatalité." Auriez-vous aimé être un peu plus entraîné par Mourinho ? "Il m’a vraiment entraîné durant un mois. Je vais vous dire la vérité: Je me suis diverti: Mourinho est Mourinho, pour toujours: Iil est dans le privé comme il est publiquement. Tu as droit à tout avec lui, il sait aussi bien blaguer que s’enrager. C’était de très beaux entrainements, l’équipe se divertissait bien." Qu’est-ce qu’Inzaghi a de Mourinho ? "Mou mise sur la solidité pour développer son jeu, Inzaghi aime plus jouer offensivement." On le dépeint comme un grand frère pour vous, est-ce la vérité ? "Oui, c’est le cas, il est aussi très sincère et direct: Il te dit toujours la vérité, parfois cela peut te plaire, d’autre fois non. C’est aussi ce à quoi je m’attends, car savoir la vérité est toujours bénéfique: Si quelqu’un ne te dit jamais les choses telles quelles sont, tu ne pourras jamais t’améliorer." Vous l’avez connu en qualité d’adversaire lors des Derby l'avez-vous trouvé tel que vous l'attendiez ? "Je me l’imaginais exactement comme cela: Aussi dans sa façon de jouer, j’étais marqué par les qualités de sa Lazio : Je me suis tout de suite dit : Si ici nous jouons de la même façon, je vais bien m'amuser." Vous avez joué avec Aguero, en quoi Lautaro lui ressemble-t ’il ? "Le fait est qu’ils sont argentins…. Blague à part, Lautaro est très jeune et il dispose d’une très grande marge d’amélioration. Je me sens bien avec lui, ce n’est pas seulement un grand joueur, c’est aussi quelqu’un qui pense au bien-être collectif. Regardez-le, A chaque fois que quelqu’un inscrit un but, il exulte comme si c’était lui qui l’avait inscrit. C’est ce type de joueur qu’il faut avoir pour gagner." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Que ce soit avec l’Inter ou avec l’Argentine, le résultat est toujours le même: Lautaro Martinez confirme son éclosion au plus haut niveau! Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Avec la Seleccion, Lautaro a des statistiques effrayantes: 16 buts en 32 matchs, soit un but tous les deux matchs. Mais ce n’est pas surprenant étant donné qu’il propose plus ou moins la même tendance avec l’Inter: Il suffit de compter le nombre de minutes effectives sur le terrain depuis ses débuts. De 2018 à ce jour, il a évolué sous le maillot Nerazzurro pour un total de 9.203 minutes de jeu, au net des remplacements, c’est comme si Lautaro avait disputé 102 matchs entier de 90 minutes. Pour ce temps de jeu, il a inscrit avec l’Inter 54 buts, soit également un but tous les deux matchs "complet"." "Inzaghi le considère comme l’Homme idéal pour le Scudetto: Ils se sont immédiatement trouvés et compris en été: La mentalité offensive proposée sur le terrain par l’entraîneur fascine le joueur, lui qui est capable, vu sa façon de jouer, d’attaquer la profondeur, lui qui consent à offrir de multiples solutions de jeu. C’est également la raison pour laquelle il est difficile de renoncer à l’argentin, c’est également pour cela qu’Inzaghi l’attend à bras ouvert pour la partie face à la Lazio qui sera un voyage émotif mais également une rencontre à la hauteur d’une Coupe d’Europe que l’Inter tient enfin à remporter, quelque chose qui, jusqu’ici, lui a toujours échappé." 30 Juin 2026 Cette date est la date de fin du contrat que Lautaro Martinez va très prochainement parapher. La fumée blanche est de sortie et l’annonce officielle est toute proche, programmée même pour la Rosea: "A l’Inter, personne n’a jamais songé à le remettre en discussion. Il figure d’ailleurs parmi les 30 nommés au Ballon d’Or. La semaine prochaine et plus vraisemblablement, dans les jours précédents la rencontre face à la Juventus, aura lieu l’annonce relative à la prolongation de son contrat." "Le joueur percevra 6 millions d’euros net + bonus par saison, il ne manque juste qu’un petit passage technique pour officialiser le tout. En paraphant le contrat, l’argentin prouve également son attachement au club, lui qui aurait pût ne pas vouloir le signer et attendre l’occasion du mercato qui, tôt ou tard, serait arrivée. Le Club apprécie sa disponibilité et Lautaro accueille avec satisfaction les efforts que le club lui a consenti dans cette période, qui est d’ordre générale, très compliquée d’un point de vue financier." L’honneur Sud-Américain "25.000km en 13 jours, telle sera la distance parcouru par Lautaro Martinez, l’homme qui marque sur les deux continents, qui fait pleurer et qui se réserve également une place dans son avion avec les yeux fixés vers Rome : Lautaro dribble l’océan et veut rassurer l’Inter: Face à la Lazio, il sera présent, face à la Lazio, il sera à disposition et il l’a déjà dit en personne à Simone Inzaghi." "Le carton jaune providentiel que l’Inter attendait n’est pas arrivé et l’attaquant devrait disputer la prochaine rencontre opposant l’Argentine face au Pérou lorsque nous serons déjà dans la journée de vendredi en Italie. Et il sera présent également à Rome samedi, car il a déjà démontré qu’il était apte à dribbler la fatigue liée à un vol transatlantique. Le staff d’Inzaghi a d’ailleurs, entre ses mains, les statistiques relatives à la dernière trêve internationale qui a eu lieu au mois de septembre." Comment jugez-vous ce sentiment de dévotion et d’appartenance du Toro argentin envers nos couleurs ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. La Belgique affrontera l'Italie en quarts de finale de l'Euro 2020 ce Vendredi alors qu'une "génération dorée" tente à nouveau de remporter, enfin, un titre majeur. Roberto Martinez a déclaré ceci lors d'une interview accordée à Goal (seules les parties dédiées à Lukaku sont traduites). Question: Si je vous donnais 100 €, les parieriez-vous sur Romelu Lukaku gagnant le Ballon d'Or? "Je partagerais 50 € pour Romelu Lukaku et 50 € pour Kevin De Bruyne. Je pense que les deux, dans leurs rôles, ont été les meilleurs du football mondial. J'espère donc qu'ils pourront obtenir les récompenses qu'ils méritent." Sur le but dédié à Christian Eriksen. "Cela vous montre qui est Romelu. C'est une personne attentionnée. Il y a des valeurs qui sont plus importantes que simplement gagner ou perdre. La façon dont vous gagnez est la façon dont vous vivez la vie. Et je pense que c'était un moment merveilleux que Romelu Lukaku avait traduit comme: 'L'importance de ce moment est que Christian aille bien'. Et nous voulions célébrer avec lui." Sur la progression de Romelu Lukaku. "Nous parlons d'un Romelu Lukaku qui est plus qu'un buteur depuis qu'il a rejoint l'Inter. Il est arrivé dans le bon club, au bon moment, avec le bon entraîneur, Antonio Conte, et a développé cette incroyable maturité. Ce n'est pas seulement le buteur que nous connaissons tous. C'est quelqu'un qui peut affecter le jeu, il peut affecter les joueurs autour de lui. Il peut vraiment vraiment influencer ce que vous allez faire sur le terrain." "Il n'a toujours que 28 ans, les records de buts sont incroyables, mais je pense que Romelu Lukaku est devenu un footballeur très mature au cours des 14 derniers mois." De son côté, s'adressant au magazine italien L'Uomo Vogue, le joueur de 28 ans a parlé de l'expérience de la défaite de la finale de la Ligue Europa en 2020 et de l'effet que cela a eu pour galvaniser son désir de concourir pour les trophées. "Si je regarde en arrière, par rapport à il y a deux ans en Angleterre, je suis passé au sommet. Maintenant, nous sommes champions d'Italie et c'est magnifique. Ma priorité maintenant est de profiter du moment, de célébrer avec mes coéquipiers. L'amour des fans ici en Italie est différent : ici, il est plus chaleureux et sincère qu'en Angleterre, les gens ici expriment vraiment leur affection pour les joueurs et pour l'équipe. La saison dernière a été fantastique." "Après la finale de la Ligue Europa, j'étais très triste, mais malgré la défaite contre Séville, j'ai reçu de l'affection et de la compréhension de la part des fans. Puis j'ai réalisé que je devais faire tout ce qui était en mon pouvoir, à partir de ce moment, pour aider amener l'Inter à la victoire, pour pouvoir aider l'équipe, l'entraîneur, mes coéquipiers." Moralité: Une petite finale Belgique - Angleterre avec un Romelu Lukaku crucifiant the Three Lions en guise pied de nez aux fans anglais?
  11. La situation à l'Inter a radicalement changé une fois que les Nerazzuri ont signé Romelu Lukaku. Sans aucune hésitation, on peut désormais dire que son arrivée au Giuseppe Meazza a été un tournant pour le triple champion d'Europe. Courte analyse. L'international belge a bouleversé ce club, devenant ainsi le joueur le plus important de son unité et l'un des buteurs les plus prolifiques d'Italie. L'Inter est devenue une véritable puissance, remportant la Serie A tout en détrônant la Juventus après neuf longues années, et Lukaku doit être le plus crédité pour cela. Il n'est pas étonnant que notre n°9 soit l'un des maillots de football les plus populaires au monde. En 94 matches pour l'Inter, il a marqué 63 buts et fait 16 passes décisives, créant de nombreuses occasions pour ses coéquipiers et aidant l'équipe dans des missions défensives. Lukaku fait partie des meilleurs joueurs d'Europe, et il n'est pas étonnant que nous puissions trouver son nom sur la liste des favoris du Ballon d'Or. Selon les cotes des paris en football, le Belge ne fait pas partie des cinq meilleurs candidats mais n'est pas si loin pour remporter le BO à 16/1. Le jeune PSG Kylian Mbappe est le n°1 de la liste à 7/2, avec Lionel Messi à 15/4 et Robert Lewandowski à 4/1 assez près de la sensation française. Cristiano Ronaldo est 8/1, tandis qu'un autre jeune, Erling Haaland, reste à 9/1, le même que Bruno Fernandes de Manchester United. S'il y parvient, Lukaku deviendra le premier vainqueur belge, ce qui est assez étonnant, compte tenu de tous les grands joueurs de ce pays européen. En ce moment, leur équipe nationale est probablement la meilleure de l'histoire, avec de solides chances de remporter l'EURO 2020, et Lukaku est leur maillon essentiel sur le terrain aux côtés de Kevin De Bruyne. Les Red Devils, le surnom de la Belgique dans ce cas pas de MU attention, sont le troisième favori pour remporter le championnat continental, avec une cote de 6/1. L'Angleterre avec 18/4 et la France 5/1 sont légèrement en avance, tandis que l'Allemagne 7/1, l'Espagne 15/2 et le Portugal 8/1 suivent. De nombreux experts ne sont pas d'accord avec ces cotes, suggérant que cet équipage est, en fait, la meilleure équipe de tout le tournoi. L'impact de Lukaku sur les résultats de la Belgique peut être facilement étayé en regardant ses statistiques lorsqu'il joue pour l'équipe nationale. En 91 matchs, il a marqué 59 buts, ce qui est un rythme étonnant pour un gars jouant à ce niveau. En outre, nous devons dire que Martinez a des attaquants de classe mondiale à sa disposition, mais son choix principal est toujours Lukaku, qui a cimenté sa place dans le 11 de départ. Le style de jeu de la Belgique est offensif, ce qui convient parfaitement à l'attaquant de 28 ans. Il a derrière lui des milieux de terrain très doués qui lui fournissent parfaitement des passes utiles, et d'un autre côté, Lukaku lui-même leur ouvre également des chances. À cause de tout cela, lui et Harry Kane sont les deux meilleurs favoris pour remporter le Soulier d'Or à l'EURO 2020. Les chances pour les deux de terminer premiers sont les mêmes 7/1, tandis que Mbappe vient après 9/1. Cristiano Ronaldo a 10/1 et Karim Benzema 16/1. Memphis Depay des Oranje a une note de 20/1 et Antoine Griezmann a une note de 22/1. Ce sera plutôt agréable de voir la bataille de tous ces gars, et nous avons hâte que le tournoi commence. À propos, la Belgique débute l'EURO 2020 contre la Russie le 12 juin à Saint-Pétersbourg. Les fans de l'Inter auront la chance de voir beaucoup d'action, en particulier avec leur favori impliqué. Pourtant, il y a quelque chose qui les effraie quand on parle de Lukaku: le mercato. Après avoir connu deux merveilleuses saisons en Italie, le Belge est à nouveau sur le radar des équipes d'élite européennes, qui manquent d'attaquants de qualité ces derniers temps. Man City, Barcelone, Real Madrid, Chelsea, toutes ces équipes ont des problèmes au poste d'attaquant ou en auront après cet été. C'est pourquoi ils ont suivi de près Lukaku et ses performances. S'il continue de briller tout au long de l'EURO 2020, nous pourrions nous attendre à voir certains de ces clubs le suivre, ce qui sera un gros casse-tête pour les fans de l'Inter et le conseil d'administration.
  12. Certains joueurs sont simplement destinés à être aimés, que ce soit au sommet de leur carrière ou plus tard, lorsque les gens se sont rendu compte qu'ils n'appréciaient pas pleinement ce qu'ils regardaient. Bien sûr, les gens voient ces joueurs et les évaluent très bien, personne ne doute de leurs capacités, mais très peu voient tout à fait à quel point ils sont bons et à quel point ils sont importants pour leur équipe, ou une équipe. Il y en a quelques-uns qui, pour une raison quelconque, ne sont pleinement appréciés que lorsqu'il est tard, voire trop tard. Certains joueurs de classe mondiale sont exclus des conversations pour une raison quelconque, mais celui dont nous allons parler était tout simplement le meilleur joueur du monde, seulement dans une mauvaise génération. En 2010, Lionel Messi et Cristiano Ronaldo venaient de marquer 80 buts entre eux pour le Barça et le Real, et ils volaient haut, ensemble, au sommet de la hiérarchie footballistique, mais ils n'étaient pas les meilleurs joueurs du monde à l'époque, à cette époque. Malgré les buts et l'adulation, aucun d'eux n'a pu mettre le doigt sur la saison de Wesley Sneijder pour l'Inter. Le Néerlandais était le joueur clé d'une équipe de l'Inter qui a dominé le football italien, et a décroché le Triplete sous Jose Mourinho. Il a été le catalyseur du jeu offensif de l'Inter, menant des joueurs comme Samuel Eto'o, le léthal Diego Milito, Goran Pandev et Dejan Stankovic. L'équipe de Mourinho a joué presque exclusivement sur la contre-attaque, que ce soit dans un 4-2-3-1, un 4-3-1-2 ou même un 4-4-1-1 quand ils avaient besoin de jouer plus bas. Dans l'un des trois systèmes, Sneijder a toujours été le point focal du flanc, étant l'homme qui a amené l'Inter au niveau suivant, offensivement parlant comprenons nous. Sa capacité à choisir une passe courte ou longue était la clé, surtout lors de la rupture, essayant de jouer contre Eto'o ou Pandev sur les flancs, et son partenariat avec Milito a si bien fonctionné. Le meneur de jeu était la star de cette équipe, mais reprenons quelques années en arrière et découvrons comment il s'est retrouvé en tant qu'homme clé de Jose Mourinho pour les Nerazzurri . Sneijder a gravi les échelons à l'Ajax, et dès son plus jeune âge il a impressionné les joueurs et les entraîneurs. Il était clair pour tous de voir que ce jeune enfant avait quelque chose de spécial à son sujet, entrant dans la première équipe avec son camarade jeune diplômé Rafael van der Vaart, et jouant aux côtés de Zlatan Ibrahimovic et du futur coéquipier de l'Inter, Maxwell. Comme c'est le cas avec presque tous les jeunes talentueux de l'Ajax, les grands clubs européens finiront par l'appeler, et cela s'est concrétisé lorsque l'Ajax a vendu Sneijder au Real Madrid pour 27 M€, ce qui faisait de lui le deuxième footballeur néerlandais le plus cher de tous les temps. Los Blancos ont beaucoup fait confiance au joueur, et ses débuts à Madrid n'auraient pas pu être mieux. Quatre buts lors de ses trois premiers matches signifiaient que Sneijder devenait un héro du début de saison pour le Real Madrid, rejoignant les Néerlandais Royston Drenthe et Arjen Robben dans le cadre de trois des quatre plus grosses transactions réalisées par Madrid cet été. Mais malgré sa bonne forme et sa volonté de rester, le nouveau patron Manuel Pellegrini l'a transféré car il ne jouerait tout simplement pas de matches parce que Kaka, Karim Benzema et Cristiano Ronaldo venaient d'être achetés. Sneijder a admis qu'il ne voulait pas partir, mais ce qui s'est passé ensuite était sans aucun doute la meilleure chose qui lui soit jamais arrivée. Mourinho avait été déterminé à l'emmener au Meazza tout au long de l'été 2009, et quand Jose veut un joueur à ce point, vous savez qu'il va faire des merveilles avec lui. Sneijder a rejoint l'Inter pour un montant de 15 M€, ce qui, selon les normes d'aujourd'hui, est l'un des hold-ups du siècle, mais à l'époque, c'était un énorme changement. Le milieu de terrain avait un point à prouver. Il a été lâché sans doute par le plus grand club du monde, mais était sur le point de devenir l'homme principal de l'Inter. C'était sa chance de prouver que les sceptiques avaient tort et d'avoir enfin une équipe construite autour de lui et de ses qualités. Mourinho avait passé la première saison en Italie à essayer de rassembler les pièces d'une équipe qui pourrait sérieusement se battre pour la Ligue des champions. Le milieu de terrain de l'Inter était très solide sur le plan défensif, mais il manquait un lien créatif, quelqu'un qui pouvait transformer la défense en attaque avec une passe. Sneijder était ce joueur. Il avait la capacité de changer la "chance" de cette équipe. La flexibilité de l'Inter a été favorisée par un afflux de nouvelles signatures. Le duo du Genoa Diego Milito, l'un des finisseurs les plus cool d'Europe, et Thiago Motta, qui a ajouté de la profondeur au milieu de terrain. À leurs côtés, le Brésilien Lucio, partenaire Walter Samuel, fut sollicité du Bayern Munich pour seulement 8 M€. Un recrutement intelligent, en quelques sortes. À mi-saison, Pandev a rejoint l'Inter en provenance de la Lazio. Mais le plus gros coup était de faire entrer Eto'o dans l'échange qui a vu Ibrahimovic rejoindre Barcelone. Combinez tout cela avec Sneijder étant effectivement le chef d'orchestre de Mourinho, et vous aviez une équipe qui avait tout ce qu'il fallait pour réussir. Dans la première moitié de la campagne de Serie A 2009-2010, l'Inter n'a perdu que deux fois et dans les deux cas, Sneijder n'était pas présent. La première défaite est survenue face à la Sampdoria lorsque Mourinho a opté pour un 4-2-3-1 avec Esteban Cambiasso et Patrick Vieira au milieu de terrain. L'absence de Sneijder s'est fait sentir dans l'équipe et quand il est revenu pour le prochain match contre l'Udinese, il a enroulé une frappe dans le coin inférieur à la 92e minute pour garder l'Inter en tête du classement alors qu'Octobre se pointait. L'influence du Néerlandais sur le côté s'est poursuivie avec deux passes décisives lors de la victoire 5-0 à l'extérieur contre Genoa, mettant en place à la fois Vieira et Mario Balotelli, et contre Catane à domicile, où son coup franc d'environ 30 mètres s'est avéré être décisif. À la suite de ces deux brillantes performances, il a été victime d'une blessure qui lui a fait manquer six matchs de la fin Octobre à Décembre. Sa blessure signifiait qu'il ne pouvait jouer que deux matchs dans ces trois mois, deux matchs nuls 1-1 contre la Roma et l'Atalanta, et il a aggravé sa blessure avec les Pays-Bas, ce qui lui a de nouveau fait manquer plus de matchs avant l'hiver. Pause. Après la pause, l'Inter et Sneijder ont continué dans la même forme dans laquelle ils étaient, invaincus lors des 11 premiers matchs de 2010, même si cinq d'entre eux étaient des matchs nuls (dont trois 0-0, merci la défense). Cependant, alors qu'ils naviguaient en Serie A, Mourinho et son groupe de frères ont tourné leur attention vers un prix plus important, un prix qui avait échappé à l'Inter pendant 45 ans : la Ligue des champions. L'Inter avait été dotée d'un groupe plutôt facile à l'exception des champions en titre, le FC Barcelone, mais lorsqu'ils ont terminé deuxième du groupe F, ils ont tiré au sort contre l'ancien employeur de Mourinho, Chelsea, ce qui promettait d'être une partie équilibrée et incroyable. Le match aller au Meazza a vu les Nerazzurri sortir avec une victoire 2-1, avec Milito et Esteban Cambiasso sur la feuille. Bien que Sneijder n'ait pas inscrit de but ou fait d'assists, il était toujours crucial pour la performance de l'équipe. Ses passes et ses coups de pied arrêtés ont créé le danger, mais c'est au match retour où son influence s'est vraiment fait sentir. Le magnifique ballon traversant du Néerlandais sur Branislav Ivanovic a permis à Eto'o de faire glisser le ballon devant Petr Cech et de permettre d'affronter en quart de finale contre le CSKA Moscou. Ses performances en Ligue des champions ont conduit beaucoup à le placer parmi les premiers du Ballon d'Or aux côtés de Messi et Ronaldo. Les merveilleuses performances de Sneijder en Serie A alors que les Nerazzurri n'ont perdu que 12 points sur 33 dans la dernière ligne droite de la saison. Milito a terminé en tant que joueur de l'année en Serie A et deuxième du classement Capocannoniere avec 22 buts (sept derrière Antonio Di Natale) et cette équipe Bleue et Noire volait haut, très haut. Le CSKA a été expédié avec deux victoires 1-0 qui n'ont peut-être pas été les plus jolies, mais un but vital à l'extérieur de Sneijder les a envoyés en demi-finale pour affronter Barcelone, une revanche du choc de la phase de groupes. Le Barça a pris les devants grâce à Pedro Rodriguez, mais cela a été aussi bon que cela a été pour eux lorsque Sneijder a intensifié et conduit l'Inter à une victoire 3-1. Il a marqué à peine 10 minutes plus tard pour égaliser avant de relancer complètement le jeu et même construisant le troisième but important, non, capital de Milito. Des performances comme celle-ci ont rendu Sneijder spécial. L'Inter avait le dos au mur pendant une grande partie du match, mais il avait toujours la capacité et la présence d'esprit de créer et de marquer. Après ce match, les gens ont commencé à vraiment croire qu'il avait une chance de remporter le Ballon d'Or, d'autant plus qu'il venait d'orchestrer la défaite de deux de ses rivaux à Xavi et Messi. Alors que l'Inter terminait la Coppa Italia et le Scudetto pour leur cinquième titre consécutif, ils ont jeté leur dévolu sur la Ligue des champions. Un doublé de Milito a rendu la Old Big Ears à notre équipe Bleue et Noire pour la première fois en près d'un demi-siècle, mais alors que l'Argentin a été élu homme du match officiel de l'UEFA, c'est Sneijder qui fut vu homme du match par les fans, ce qui en dit long sur la façon dont les fans l'ont évalué. C'est là que ça devient poétique. Mourinho, qui avait été fortement lié au poste du Real Madrid, venait de remporter son deuxième titre en Ligue des champions avec deux clubs différents, au domicile du club qui le courtisait depuis des mois. C'était un envoi approprié et une introduction emphatique à la vie à Madrid, mais c'était une autre sorte de poésie pour Sneijder car ce jeu symbolisait le chemin parcouru depuis son départ du Real Madrid. Il avait été contraint de quitter le club pour faire de la place à Kaka et envoyé à l'Inter où il avait été autorisé à devenir le joueur de classe mondiale que tout le monde savait qu'il serait. Il était le point focal du chef-d'œuvre de Jose et a montré à quel point il était bon au Santiago Bernabeu, dans l'arrière-cour du Real Madrid. Gagner la Ligue des champions à Madrid signifiait beaucoup pour Sneijder, mais cela lui a également permis de remporter le Ballon d'Or. Nous savons tous que ce que vous gagnez est tout aussi important que votre qualité de jeu, et il n'y avait rien de plus que Sneijder aurait pu faire pour être en pole position. Pourtant, bien qu'il ait guidé les Pays-Bas en finale de la Coupe du monde, en terminant deuxième, il n'a pas remporté le prix, ce prix individuel qu'est le Ballon d'Or. En fait, il n'est même pas arrivé deuxième ou troisième. Il est arrivé quatrième. Même Xavi, qui a terminé troisième, a déclaré qu'il était ridicule que son rival ne soit pas dans les trois premiers. Les performances de Sneijder à la Coupe du monde ont été assez bonnes pour lui gagner ce titre seul: marquant cinq fois, remportant l'Homme du match en quatre matchs et étant nommé deuxième meilleur joueur du tournoi. Qu'aurait-il pu faire de plus? Nous savons tous à quel point il était bon pour l'Inter et pour les Pays-Bas, mais le voir briser le monopole de Messi et Ronaldo aurait été cool à voir. Sneijder restera à jamais dans les mémoires comme l'homme qui aurait dû remporter le Ballon d'Or 2010, mais à ceux qui n'ont pas eu le plaisir de le regarder en direct ou en live, en particulier lors de la saison 2009-2010, allez sur YouTube et retrouvez des "vieux" Inter clips pendant cette saison. Il était magnifique, tout comme toute l'équipe. C'était vraiment dommage que le Néerlandais n'ait pas obtenu la reconnaissance qu'il méritait, mais les fans de football n'oublieront jamais à quel point il était bon à ce moment-là. La saison 2009-2010 était la sienne et il a gouverné l'Italie, l'Europe et le Monde en l'espace de 12 mois. C'était une campagne de classe mondiale d'un joueur de classe mondiale. Cet article est une traduction de "Remembering Wesley Sneijder’s poetic campaign at Inter" écrit par de Tom Scholes et publié sur gentlemanultra.com le 18 Décembre 2017.
  13. Il y a 30 ans, le Meazza célébrait le Ballon d'Or de Lothar Matthäus. Petite rétrospective. Né en 1961, la carrière de Lothar Matthäus dura de 1979 à 2000. L'Allemand a joué avec l'Inter de 1988 à 1992, quatre saisons qui l'ont vu marquer 53 buts en 153 matches. Avec le numéro 10 sur le dos, il était un milieu de terrain complet, doté de puissance et de technique. Lors de sa première saison en Serie A, il a inspiré les Nerazzurri à un triomphe, le Scudetto du record, le 13e de l'histoire du club. Il a également remporté la Supercoppa Italiana et la Coupe UEFA avec nous. En 1990, après le succès de la Coupe du monde de l'Allemagne de l'Ouest en 1990 en Italie (à cette époque, il y avait l'Allemagne de l'Ouest et l'Allemagne de l'Est, ndlr), France Football lui décerna le Ballon d'Or. Matthäus devient ainsi le premier joueur de l'Inter à remporter ce prestigieux prix. Matthäus l'a soulevé au Meazza le 10 mars 1991 avant le match Inter vs Juventus (un match que les Nerazzurri ont remporté 2-0). Les stands ont été remplis comme une merveilleuse cérémonie avec des enfants avec des maillots de l'Inter et de l'Allemagne qui s'est déroulée sur le gazon du Meazza. Matthäus est l'un des quatre joueurs à avoir disputé cinq Coupes du monde (les autres sont Antonio Carbajal, Rafael Márquez et Gianluigi Buffon), l'Allemand ayant disputé un record de 25 matchs en Coupe du monde au cours de sa carrière. Après avoir fait 150 apparitions, il reste le joueur le plus capé d'Allemagne. Il a marqué 23 fois pour son pays, qu'il a aidé à remporter à la fois le championnat d'Europe (1996) et la Coupe du monde (1990). En 2018, Lothar Matthäus a été intronisé à l'Inter Hall of Fame . En 2020, France Football a nommé l'Allemand dans la "Ballon d'Or Dream Team" au côté de Il Fenomeno Ronaldo.
  14. Longue interview accordée par Roberto Boninsegna, ancien milieu de l’Inter, au micro de Tuttosport. Le thème abordé est Romelu Lukaku, l'incroyable meneur de l’équipe entrainée par Antonio Conte. Vous attendiez-vous à ce que le Belge soit aussi décisif avec le maillot de l’Inter ? "Lukaku est aujourd'hui, le meilleur attaquant d'Europe. Il est sans égal. Il marque, joue pour le collectif sans oublier le point de repère qu'il est sur le terrain,capable d'apporter de la profondeur à l'équipe. Personnellement, j'étais déçu à l'époque du départ d'Icardi mais je reconnais qu'actuellement Lukaku réalise des choses extraordinaires." L'Inter à t-elle gagné au change en remplaçant Icardi par Lukaku ? "Je pense que oui. Avec Lautaro, ils forment une bonne paire d'attaque, l'un compensant les faiblesses de l'autre. À mon avis, c’est le meilleur duo d’Europe." Y'a t-il des différences entre les attaquants actuels et ceux de votre temps ? "Aujourd'hui, c'est plus facile de scorer du fait que le marquage individuel n'existe plus. Les défenseurs fonctionnent en zone et ainsi vous n'avez plus le stoppeur et libéro adverse sur votre dos. Sans rien enlever aux qualités de Lukaku, à l'époque il était impossible d'atteindre le but en partant du milieu de terrain. Celui qui avait la responsabilité de vous marquer vous suivait partout, pendant les pauses fraicheur et parfois même jusqu'aux vestiaires. Aujourd'hui un attaquant de par son placement à la possibilité de choisir son vis-à-vis." Auparavant, ils tentaient de l'arrêter en employant la manière forte. "C'est ridicule la manière dont les défenseurs opèrent face à lui, cette façon de l'accompagner sans aller au duel. De cette conduite ils facilitent la vie à Romelu qui n'a plus qu'a tirer et marquer. Ça me fait rire de voir certaines scènes dans lesquelles le défenseur n’a ni le courage, ni la force de l'affronter. Je ne vais pas m'en plaindre puisque cela m'arrange en tant que tifoso de l'Inter." Croyez-vous à une "Lukaku dépendance" ? "Je pense qu'en ce moment l'Inter est supérieure à la Juventus. Les bianconeri ont des problèmes dans leur effectif que les nerazzuri n'ont pas, notamment au milieu de terrain. Concernant votre fameuse dépendance, je crois qu'elle est réciproque et que Romelu bénéficie également du travail de l'équipe." Pensez vous que Lukaku peut prétendre au Ballon d'Or dans le cas ou il remporterait le Scudetto ainsi que l'Euro l'été prochain ? «S’il continue ainsi, il est sur la bonne voie». Le mérite t-il plus que Cristiano ? "Actuellement, oui sans doute. Cristiano subit en ce moment les méformes de son équipe ce qui a une influence directe sur ses performances. Permettez-moi de développer : l'Inter joue avec trois défenseurs centraux et deux pistons de côtés. La Juve quant a elle crée son jeu à partir d'ailiers qui ne devraient pas tenir ce rôle." Pensez vous que l'Inter est au maximum de sa forme ? « Les Nerazzurri ont désormais récupéré certains joueurs qui avaient été mis de côté. Actuellement seuls les meilleurs sont sur le terrain, les autres entrent dans la rotation. C’est très important. Le milieu composé d'Eriksen, Barella et Brozovic est très fort. Il ne faut pas oublier que l’Inter a un effectif supérieur à tout autre club en Italie." @KarimGipuzcoa - Internazionale.fr
  15. Le célèbre journaliste Paolo Condo pense que notre attaquant Romelu Lukaku doit travailler pour être considéré comme un candidat crédible pour le prochain Balon d'Or. "Lukaku devrait-il être parmi les candidats du Balon d'Or? Du point de vue d'un joueur individuel, absolument, oui. Mais un candidat au Balon d'Or a besoin d'une équipe qui l'emmène, ou qu'il emmène cette équipe, au bout des compétitions européennes", a-t-il expliqué dans une interview à Radio Nerazzurra. "Si Lukaku emmène l'Inter en demi-finale de la Ligue des champions et que la Belgique réussit très bien à l'Euro, car ils ont de grands joueurs, cela ferait sûrement de Lukaku un candidat crédible." "Je veux dire que vous avez besoin de l'équipe pour vous y emmener. Il est essentiel que l'Inter soit capable de surmonter cette situation compliquée. Heureusement, maintenant, ce n'est plus un groupe impossible." Condo a ensuite évoqué la possibilité que le Real Madrid et le Borussia Mönchengladbach fassent un match nul entre eux lors du dernier match de la phase de groupes de la C1 empêchant l'Inter de passer. "Je crois au nul qui finit par se dessiner dans les dernières minutes. Si à 15 minutes de la fin, la situation est qu'ils ne s'élimineront pas tous les deux, alors c'est ok." "Pour cette raison, comme je l'ai dit à Sky l'autre jour, j'ai décrit une situation dans laquelle il serait bon pour l'Inter de mener à la fin du match contre le Shakhtar mais avec un résultat ouvert." "S'ils sont à 1-0, cela laisse un peu d'imprévisibilité car à ce moment-là, si le Real était toujours à 0-0, ils sauraient qu'un but du Shakhtar suffirait à les éliminer et qu'ils ne peuvent donc pas se permettre d'arrêter de jouer." En conclusion, Condo a parlé du milieu de terrain offensif de l'Inter Christian Eriksen et de ses difficultés. "Depuis qu'il a signé son contrat, il n'a pas répondu aux attentes et cette saison, il n'a pas marqué en 11 apparitions." "J'étais un grand supporter d'Eriksen et j'ai également clairement exprimé le fait que j'aimais l'idée d'une Inter avec la qualité du Danois en tant que milieu offensif." "Il ne fait aucun doute que la performance de l'Inter sans Eriksen est bien meilleure qu'avec Eriksen. Chaque entraîneur impose le style de football qu'il aime et le football qu'il considère le plus fonctionnel et le plus efficace et, à juste titre, il ne se soucie pas des autres opinions." "Donc, de ce point de vue, Conte a bien fait. Ce que l'Inter doit faire, c'est gagner."
  16. Romelu Lukaku, Capitaine de la Belgique face à l’Islande, s’est livré à une très longue interview à la RTBF, la télévision nationale belge: Comment avez-vous vécu ces mois de pandémie, dans un pays comme l’Italie, où le Covid-19 a énormément sévi? "Je suis toujours resté à la maison, car je ne savais pas ce qu’il pouvait arriver. Beaucoup de personnes ont perdu des proches, c’était un moment difficile pour tout le monde. Ce l’était aussi pour moi car je ne pouvais pas vivre en sécurité, on ne savait pas se parler. J’étais à la maison, je faisais du tapis roulant et du vélo d’appartement. Mentalement, ce fut très dur. La chose la plus importante pour moi a été de sortir de cette période, en ayant peut-être appris quelque chose de nouveau." "J’ai lu beaucoup de livres, j’ai aussi suivi des cours d’entraîneur à la Fédération belge pour les joueurs internationaux. C’était une période assez désagréable…la distance entre moi, mon fils, ma mère et mes frères. C’était difficile car nous ne nous parlions toujours pas, on ne pouvait pas se voir, c’était particulier. Lorsque j’ai reçu l’autorisation du club de quitter mon domicile, c’était la plus belle de choses. Je pense également, qu’en tant que famille, que cette situation nous a soudé." Vous venez de vivre une saison exceptionnelle à l’Inter. Par chance, vous n’êtes pas encore en fin de carrière, que bilan dressez-vous de votre aventure de footballeur jusqu’à ce jour..... "J’avais l’ambition de devenir un joueur professionnel car ma situation familiale n’était pas la meilleure et cela me faisait souffrir, c’est un parcours qui marque un gamin. Ma mère a réalisé certaines choses qui m’ont marqué et qui m’ont permis de faire preuve d’une certaine détermination dans le football. Je ne veux pas pas que ma mère, mes frères et mes enfants ne revivent une pareille expérience à l’avenir. Je voulais arriver en équipe première d’Anderlecht le plus tôt possible." Cette situation vous a forgé rapidement..... "C’est comme ça. Il y a quelques semaines, j’ai parlé en Live sur Instagram avec Adriano. Lorsqu’il jouait à l’Inter c’était mon idole, et à cette époque-là, il n’y avait pas la télé à la maison et j’allais avec l’un de mes parents à Bruxelles voir ce qu’il faisait sur YouTube." "Pour moi, c’était émouvant de parler avec lui car il m’a rappelé aussi ces moments-là: C’était un moment très touchant." Romelu est-il parfois plus incompri que d’autres ? "Oui, mais je ne veux pas qu’on m’assimile à cela. Je mets énormément de détermination dans ce que je fais et plus spécialement dans le football car il peut tout t’apporter rapidement, mais il peut tout t’ôter rapidement aussi. Je me suis toujours dit qu’il n’existait pas quelque chose que je ne saurais pas faire, j’ai tellement donné de moi-même pour trouver la volonté de devenir plus fort." "On doit penser comme cela si on veut survivre dans le football professionnel, les jeunes doivent comprendre que ce n’est que compétition. Si les garçons veulent devenir des professionnels, ils devront avoir la force et la volonté de vouloir devenir plus fort quotidiennement." Est-ce que ce caractère a changé le regard posé sur vous ? "Je ne parle pas énormément hors du terrain, je dis ce que j’ai à dire, et ensuite je fais mon job sur le terrain. En dehors, je pense être un bon père et un bon fils pour mes parents. Je veux apprendre des expériences de la vie." Vous avez débuté avec une précocité incroyable dans le monde du football: Pensez-vous avoir atteint le pic de votre carrière aujourd’hui ? "Non, je pense qu’il y a toujours un autre niveau à atteindre. Cristiano Ronaldo est, par exemple, un joueur qui chaque année vise à devenir toujours plus fort. Des personnalités comme Karim Benzema et Robert Lewandowski démontrent la volonté de chercher toujours à devenir le plus fort." "Cette année, avec l’Inter, je suis arrivé à la seconde place en Championnat et nous avons perdu la Finale de l’Europa League, j’ai déjà trouvé, sur base de ce vécu, la motivation pour atteindre le niveau supérieur." Aujourd’hui, vous sentez-vous dans le cœur des belges ? "Oui, car je sais qui je suis et je n’ai jamais mis mes intérêts personnels avant ceux de l’équipe, et je ne le ferai jamais. Je ne serais jamais allé à l’Inter sinon, ni en équipe nationale. Nous sommes une génération de talents et ils m’ont tant apporté. Je joue à côté de Dries Mertens, Kevin De Bruyne, les frères Hazard, ils t’offrent tous des caviars et je n’ai qu’à la pousser au fond. Je suis content de jouer avec cette génération, sans eux, je n’aurais jamais inscrit autant de buts en équipe nationale." Difficile de faire mieux que ce que vous avez fait la saison dernière, avec l’Inter…Le fait d’avoir de meilleures statistiques est-il un objectif pour vous permettre d’avancer la saison prochaine ? "Je pense que le collectif est ce qui me motive principalement. Je pense que nous avons l’équipe pour savoir réaliser d’excellentes choses, ensuite c’est sur le terrain qu’il faudra le prouver. Nous avons très bien terminé la saison dernière, je pense que nos performances défensives sont devenues plus solide. Nous avions fait de notre mieux pour gagner chaque match, je pense que cela va pouvoir nous aider pour faire de belles choses cette année. Nous verrons par la suite." Pour devenir Champion d’Italie ? "C’est l’objectif, nous verrons." Ressentez-vous avoir le Leadership que beaucoup perçoivent ? "Oui, je pense savoir unir l’équipe et rendre mes équipiers meilleurs en leur disant des choses positives, même lorsqu’ils se plantent. Je les incite à aller de l’avant. Chaque fois que je joue, je cherche surtout à faire comprendre au groupe ce qu’est le plaisir de jouer ensemble. Chaque match est un test pour nous, et je dis toujours que nous devons viser à chaque matchs la victoire, même si ce n’est pas toujours possible. Le leadership, consiste pour moi, à motiver l’équipe à tout donner jusqu’à au bout du bout, même si le match n’est pas en notre faveur." Si vous deviez choisir entre l’Euro et le Mondial ? "Pas de choix, réussir à remporter les deux serait l’idéal." Qu’est-ce qui touche Lukaku aujourd’hui ? "Mon fils, ma mère, mon frère…Voir mon fils me sourire à mon réveil, ou le voir heureux lorsque je reviens de l’entrainement. Je cherche aussi toujours à impliquer mon frère Jordan dans mes décisions." Le rêve de votre vie, au-delà du football ? "Non, franchement, je n’en ai pas tellement. Je veux me réveiller le matin et être une bonne personne, un gars normal avec qui parler." Que pensez-vous de Milan et de l’Italie ? "Je suis heureux d’y vivre, il y a toujours quelque chose à faire et pas seulement du shopping, même si lorsque je fais venir ma mère, cela me donne la migraine. Les gens sont chaleureux, ils aiment le Calcio, plus que les anglais. Ils sont passionnés, si les choses vont bien et qu’ils voient que les joueurs donnent tout sur le terrain, le respect est pour la vie. Mais si les choses ne vont pas bien, tu dois te préparer car ce sera désagréable." "Je les remercie de vivre une telle situation, vivre là-bas est le top. Je m’y sens vraiment bien, les gens sont gentils et je suis fier d’avoir fait ce choix." Pensez-vous jouer de nombreuses années en Italie ? "J’y suis heureux, je ne le nie pas. La saison dernière, nous avons vu que l’Inter tournait très bien et cette année, les gens s’attends à beaucoup plus de ma part. C’est à moi à porter sur le terrain, la même qualité de travail que celui réalisé l’année dernière." Quel livre avez-vous lu ? "Celui de Marco Van Basten, je dois finir celui de Wesley Sneijder et j’ai aussi lu celui de Kobe Bryant. Je les considère utile pour comprendre certaines choses qui font grandir un champion. Je veux tout donner dans ma carrière car lorsqu’elle sera terminée, je veux que lorsque l’on me regardera, on saura que j’ai tout donné. Ensuite, j’aimerai vivre avec mes enfants en sachant d’avoir tut fait et que tous mes proches soient à l'abri." Avez-vous une anecdote à nous révéler sur vos connaissances linguistique ? "Lorsque je suis arrivé en Italie, j’ai demandé au Staff de me parler en italien, et je répondais en anglais. Lorsque j’ai pris confiance, j’ai commencé à parler en Italie. La chose la plus importante est de savoir s’exprimer, si je ne parlais pas italien, cela m’aurait été difficile d’échanger avec mes équipiers italiens. Je ne pouvais pas juste m’exprimer pour dire ce que je voulais, à mon âge, parler et comprendre les langues sont pour moi important." Lukaku peut-il remporter le Ballon d’Or ? "C’est difficile pour moi de m’exprimer sur des titres individuels : Gagner en équipe est, je le pense, la vraie ambition pour un joueur. Ensuite c’est bien d’avoir des distinctions personnelles, mais c’est le collectif qui m’intéresse." Etes-vous prêt à renoncer à l’équipe nationale en cas de Succès à l’Euro ou au Mondial 2022 ? "Je donnerai tous pour les deux, j’espère que la nouvelle génération arrivera rapidement. Il y a des joueurs comme Dimata, Vanheusden, Doku, qui doivent répondre présent et comprendre où ils en sont. Ce serait bien si la nouvelle génération pouvait débarquer et commencer à se battre pour l’équipe nationale A. L’objectif est de parvenir à gagner quelque chose." Un Leadership, un sens du collectif prononcé, l’envie de tout donner…C’est un fait le maillot flocké numéro 9 a son blason de redoré..... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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