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Piero Ausilio : "L'Inter est ma seconde famille"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Piero Ausilio, le Directeur Sportif de l’Inter s’est livré sur sa carrière Nerazzurra au cours d’une très longue interview octroyée à Radio TV Serie A avec RDS. Celui-ci s’est livré sans se cacher aux demandes d’Alessandro Alciato. Son long mariage avec l'Inter "Mes pensées fusent dans tous les sens, des matchs qui ont eu lieu à ceux qu’il y aura, je vis à un rythme qui ne me permet pas de me relaxer, mais c’est aussi bien de penser à d’autres choses, parfois, qui t'apporte plus de légèreté par moment. C’est un long parcours, difficile, fait de sacrifices et de beaucoup d’autres choses, comme ça se doit de l'être justement. Pour arriver au niveau de l’Inter actuel, il a fallu passer par un très beau parcours, avec un staff important et avec un propriétaire qui t’apportent énormément de motivation, avec un héritage important. Le tout nous a permis d'être à nouveau conquérant en très peu de temps." Quel type d’interiste es-tu ? "Je cherche à vivre le présent, à travers le travail et le sacrifice, je pense à comment apporter ma contribution pour ce club. J’ai commencé mon parcours il y a 25 ans, en grimpant les échelons qui m’ont formés et rendu plus fort. Aujourd’hui, vu aussi l’âge que j’ai, je me sens fort et compétent pour apporter une contribution à un club aussi important." Es-tu né interiste ? "Je suis né pour le plaisir du football, j’étais un malade du football. Je suis né et j’ai grandi à Pro Sesto, j’ai commencé ma carrière de manager là-bas car j’ai dû assez rapidement interrompre ma carrière de joueur." Un poster dans ma chambre ? "Je n’en avais pas car je n’avais pas de chambre. Je suis fier car j’ai conscience des sacrifices qu’ont fait mes parents : Mon enfance était très normal avec des parents travailleurs. J’ai rapidement fini mes études en 1998. Ensuite j'ai fait ma thèse en Droit en 2005 avec quelques contraintes car j’avais déjà commencé à travailler à l’Inter." "A 16 ans, j’étais en équipe première de la Pro Sesto, ensuite, j’ai connu une série d’interventions chirurgicale et j’ai raccroché. Ma chance a été de commencer à fréquenter l’environnement du Mercato avec le Président de la Pro Sesto." Comment a débuté la carrière de Manager ? "Je me considère extrêmement chanceux car j’ai toujours rêvé de faire ce travail. J’avais mes modèles, des personnalités qui étaient des références importantes. Je savais que j’allais devoir bien bosser pour gravir les échelons, je l’ai accepté et j’ai refusé d’emprunter des raccourcis. J’ai toujours tout pris comme cela arrivait, en faisant des sacrifices, j’ai également demandé des sacrifices à ma famille. Je ne les ai jamais considéré comme tels et cela ne le sera jamais car c’est ma vie et c’est ma passion : Je ne parviens pas à vivre ma carrière comme un métier, mais plutôt comme une grande responsabilité." Quel joueur étais-tu ? "J’allais devenir professionnel. J’étais très en avance vu mon âge, à 16 ans j’étais déjà en équipe première en Serie C1. Je ne sais pas si je serais parvenu au plus haut niveau, car il me manquait ce petit quelque chose pour la Serie A. J’ai été très bon pour tout reprendre à zéro après deux années de calvaire où j’ai dû faire face à pas mal de choses, ce n’était pas donné à tout le monde." Que retiens-tu de cette période de blessures ? "Après les premières interventions, je cherchais à revenir, à tout faire car c’était mon rêve. Je me tuais au travail, en physiothérapie et ensuite j’ai compris. Lorsque je rentrais sur le terrain, il y avait toujours cette seconde de trop où l’autre te découpe, c’était mieux d’arrêter. Être joueur amateur ne m’intéressait pas, je voulais toujours faire les choses au plus haut niveau et j’ai décidé de me lancer en Droit. Ensuite j’ai commencé à travailler comme Manager." "J’ai aussi cherché à être entraîneur mais le Président illuminé qu'était Peduzzi de la Pro Sesto m’avait dit que dans le Calcio, il n’y avait pas de grands managers et qu’il voyait ce talent en moi. J’ai pleuré à de très nombreuses reprises, il y a eu des moments douloureux, mais ce sont des situations qui se doivent d’être vécues car elles te rendent plus fort et te responsabilise : J’ai réussi à accorder la bonne attention à ces choses." Tes premières larmes à l’Inter ? "Je n’ai pas un souvenir triste en particulier. Je n’ai pas pleuré dans les Finales, j’avais juste un peu d’amertume, j’avais déjà l’envie d’en découdre dès le lendemain." Même pour la dernière disputée à Istanbul ? "Je dirais la même chose oui." En 1998, c’est ton premier contact avec l’Inter… "Je m’en souviens parfaitement, il y avait une négociation avec le Responsable du secteur des Jeunes de l’époque. On voulait que je débute immédiatement à temps plein, mais il me manquait un examen et j’ai réussi à négocier un contrat de 6 mois à temps partiel avec 4 heures seulement l’après-midi, ce qui m’a permis par la suite un temps plein de 8-10 heures." "J’ai passé tellement de soirée à Interello avec l’agent de sécurité qui venait m’apporter un sandwich. Cela ne m’a jamais pesé. Je me souviens de mon premier vrai match, dans un stade avec l’armoirie de l’Inter. Elle était là, présente au Parc des Princes, lors de la Finale de l’UEFA entre l’Inter et la Lazio." "Je me souviens de mon début dans la Direction Sportive, j’étais chanceux et c’était un plaisir : Moratti m’avait appelé alors que j’étais au Brésil, il me disait qu’il voulait que je suive l’équipe à Kiev en 2010. La rencontre qui fut décisive pour le Triplé. Depuis lors, je suis toujours l’équipe première." Est-ce possible de résister à la pression ? "Ce n’est pas facile, mais il n’y a qu’un seul secret : Je cherche toujours à donner le maximum, j’ai pu travailler avec trois propriétaire différents et importants. Ils m’ont tous mis à l’épreuve et je suis toujours resté car ils ont vu quelque chose en moi : la promesse du savoir-faire." "Ensuite rester n’est jamais acquis : Tu dois avoir l’envie de bien faire les choses, avec un bon groupe de travail, c’est là qu’est ta chance car seul tu ne sais rien faire, il faut être entouré de personnes compétentes et j’en ai connu tellement." Des personnes à remercier "Je dois énormément à Moratti qui m’a fait rentrer à l’Inter et qui m’a permis de grandir. Le vrai changement est arrivé avec Thohir qui m’a intronisé comme Directeur Sportif. Ensuite, nous avons connu des périodes très difficiles mais j’ai toujours ressenti le soutien de la Famille Zhang et de Steven, même s'il n’était pas là tout de suite. C’était important de ressentir cette confiance. Dès l’arrivée de Steven à Milan, nous avons débuté un nouveau parcours et j’ai ressenti une toute nouvelle confiance : je tiens à les remercier tous les trois." Ton plus beau moment dans l’absolu ? "Beaucoup de choses me lie au Secteur Giovanile (Jeunes), car nous faisions des choses folles et je voyais grandir les garçons : Nous avons remporté beaucoup de Scudetti durant ces 25 années et j’ai aussi apporté ma contribution lors des années Branca, car il m’avait donné aussi de grandes responsabilités. Le dernier Scudetto, celui remporté avec Conte, est celui que je considère le mien à 100%." La recrue dont tu es le plus fier "Elles sont nombreuses, toutes sont de belles histoires et ont leur particularité. Je risque de faire du tort à certains, mais celle de Lautaro est une histoire très particulière car il était, en fait, quasiment un joueur de l'Aletico Madrid. Lorsque j’avais pris l’avion, j’y allais avec 1% de chance de faire face à une situation compromise et 99% de risque de faire mauvais genre, mais ce furent quatre jours de folie. Il ne manquait que la signature avec l’Atletico. Il y avait par chance, une clause que Lautaro ne voulait pas et c’est là que nous avons entrepris un grand travails d’équipe : Zanetti m’a aidé, avec son agent Milito, car son Président était très coriace." "Une fois le tout terminé, j’avais assisté à une rencontre qui était un massacre car il avait inscrit un triplé et obtenu un pénalty. Nous nous sommes revenu le lendemain au tour de la table et nous l’avons payé un peu plus cher, mais nous sommes parvenus à le ramener à la maison. Même Balotelli me fait me rappeler de très beaux souvenirs, celui de l’avoir fait connaitre dans le football qui compte et il y su saisir sa chance à 70%." Et la négociation la plus compliquée ? "Il y en a tellement. Ce n’était pas facile par exemple d’arracher Pavard au Bayern car ils ne voulaient pas s’en priver. Même dans une négociation qui te semble sur la bonne voie, il peut toujours se passer quelque chose à une minute de la fin." Et le recrutement manqué ? "Il y en a eu, mais il vaut mieux ne pas s’en rappeler. J’ai envie de citer Pierluigi Casiraghi, mon second père d’un point de vue sportif et professionnel. Il avait cette vision, il voyait tout avant tout le monde : Il avait vu Fabregas alors âgé de 16 ans, j’avais tout fait pour le recruter, mais il n’y avait pas moyen. Il y a eu aussi d’autres joueurs avec qui nous avions négocié mais qui ont finalement signé ailleurs." Quelle est la plus grande déception de ta carrière ? "J’en ai connu plus d’une en carrière. Avec Lukaku, c’est une désillusion pour la façon dont cela s’est terminé, mais j’ai le respect d’essayer de ne pas m’exprimer sur un joueur d’un autre club. J’aime parler du présent et de l’avenir. Il fait partie du passé. Je me souviens d’un magnifique Scudetto et d’une très belle plus-value, et c’est la vérité, de deux finales perdues." Que s’est-il passé avec Lukaku ? Dites-nous la vérité… "Je préfère ne pas en parler, je dirais seulement qu’il faut faire preuve d’éducation et de respect en toutes choses. A un moment donné, les choses sont allées de l’avant, mais il y avait un manque d'éducation et de respect. Lorsqu’il y a une volonté de se dire les choses droit dans les yeux, il n'y a jamais de problème." "Quand on ne répond pas au téléphone, qu'on se refuse à me répondre ou qu'on répond par l'intermédiaire d'autres personnes, il est temps de passer à autre chose. C'était comme ça depuis le 8 juillet." L’appel où j’étais furieux ? "C'est une légende. Il y a eu ce coup de fil après plusieurs tentatives, mais il a été de courte durée. J’étais ferme, décidé, mais ce n’était rien de spécial, j'ai dit ce que je pensais en très peu de temps". Lukaku, Samardžić et Skriniar : quel été... "Ce sont des expériences, des défaites sur le terrain et sur le mercato, mais on en apprend toujours quelque chose." A combien de reprise as-tu fait l’objet de convoitises ? "C’est arrivé, mais je n’ai jamais eu l’envie de m’en aller, il y a eu des contacts, des situations, mais jamais une négociation ou même la projection d’un projet. Je n’ai jamais eu fondamentalement la pensée de quitter le club, c’est bien trop difficile. Je suis lié à trop de choses qui vont au-delà du Blason : C’est ma seconde famille. Pour moi, c’est différent de tous les autres. Le jour où le Président me dira qu’il est temps de passer à autre chose, je ne pourrais juste que lui dire un très grand merci". As-tu une date d’échéance en tête ? "J’ai songé à la retraite, mais j’aimerais encore continuer un peu après, mais pas trop non plus. Tant que tout va bien avec Steven…. Je me sens super bien ici avec Marotta et Baccin. Nous avons des secrétaires et des Scouts merveilleux, je m’appuie sur des personnes capables." Ausilio et Marotta "C’est un beau duo qui fonctionne car il y a du respect : Marotta comprend le Football, il a des années d’expériences, mais il a une grande qualité : il délègue et fait confiance aux personnes qui l’entourent. Moi aussi je transmets mon expérience aux personnes qui me sont proches. Je pense qu'il est intervenu pour dire non à un joueur deux ou trois fois au cours de ces cinq dernières années, mais uniquement parce qu'il connaissait déjà le joueur ou des aspects du personnage que je ne connaissais pas." "Sinon Il vous laisse travailler, et ensuite vous échangez vos points de vue : Cela permet au directeur sportif de se concentrer sur son travail, car je n'ai ni le temps ni l'envie de m'occuper des relations, de la communication et des autres choses. Je me concentre à 100 % sur l'entraîneur, les joueurs et les réunions avec les agents, sans me disperser sur des choses qui ne sont pas de mon ressort." Lautaro-Thuram ? "C’est un beau duo, mais j’aimerai plus parler d’un quatuor : Ils s’entendent à merveille, nous avons aussi Sanchez et Arnautovic qui vous ferons voir ce qu’ils ont sous le pied." La première fois que tu as pensé à Thuram ? "Après la vente de Lukaku à Chelsea. Il ne savait même pas qu'il pouvait être attaquant. Nous avions obtenu Dzeko gratuitement de la Roma, mais il nous manquait le deuxième attaquant pour compléter le rempart avec Lautaro. J'avais déjà parlé avec lui et son père, les négociations avançaient rapidement, notamment grâce à Mino Raiola, dont je profite de l'occasion pour m’en souvenir. Nous avions presque tout défini, mais le dimanche précédant la réunion finale, il s'est blessé au genou et nous avons dû changer d'objectif." "Ces réunions ont été notre base. J'ai été le premier à dire à Lilian que son fils pouvait devenir attaquant central, il me l'a d’ailleurs rappelé récemment. Notre projet était finalisé et centré sur lui." Onana et Sommer ? "Ce sont des gardiens différents, mais nous avions déjà décidé d’en changer après toutes ces années. Mais Samir va rester, nous avons un projet avec lui pour les deux prochaines années. Nous tenions à avoir une valeur sure, prête immédiatement. Nous aurions pu nous concentrer sur des gardiens plus jeunes, mais Sommer était ce qu'il nous fallait. Il avait déjà pris la peine d'apprendre l'italien pendant les négociations, c'est un professionnel fou". Plus stable le duo Ausilio-Marotta ou Thuram-Lautaro ? "J’espère que les deux pourront encore durer longtemps." A quel point le Mercato a-t-il changé ces dernières années ? "Enormément, tout comme la position des équipes italiennes comparées aux autres. Ici, les Italiens peuvent faire des investissements, mais toujours avec prudence et sans faire de folies. Dans le monde entier, il y a des clubs qui disposent de plus de ressources et vous pouvez sentir cette différence. Mais nous sommes restés bons parce que nous arrivons toujours à trouver des situations moins chères ou à anticiper le Mercato, en récupérant aussi des joueurs qui ne sont pas affirmé à 100% dans de plus grands clubs, en les faisant venir et en leur permettant d’atteindre des niveaux qui correspondent à leurs réelles qualités. Des choses intéressantes peuvent être trouvées en Angleterre." Les agents exagèrent-ils ? "Je parlerais toujours de manière subjective, sans généraliser. Il y a des agents qui aident aussi les clubs et d'autres qui ne s'intéressent qu'à leur propre portefeuille, perdant de vue les intérêts un peu plus globaux. Je travaille avec beaucoup d’entre-eux, j'en ai rencontré beaucoup. Pour certains j’ai moins de considération et pour d’autres beaucoup plus : on acquiert cela avec l'expérience". Le fait de ne pas être une personne médiatique est un choix réfléchi ? "J'aime être comme ça, ce n'est pas un choix. Chacun à sa place et selon moi, la Communication de l'Inter ne peut pas être faite par un Directeur Sportif qui doit s’exprimer quotidiennement. On parlerait toujours des mêmes choses, des choses que je ne tiens pas à exprimer sur la place publique. C’est bien plus intelligent que ce soit le rôle de l’Administrateur-Délégué du club car il peut s’exprimer à 360°." As-tu encore un compte fake Instagram sur les réseaux sociaux actif ? "Oui, bien qu'une phrase un peu ironique ait été extrapolée : Je ne contrôle absolument pas les épouses des joueurs, c'était une blague faite dans un contexte particulier. Elle est née dans un moment d'exposition médiatique excessive, le compte suit les clubs de football, les agents, un peu de tout." As-tu encore des rêves ? "Oui même si je ne me souviens pas de tous." Le prochain ? "C’est quelque chose qui n’est pas si éloigné, mais qui est bien évidemment sportif et qui demande du travail, de la volonté et de la continuité. J’aimerai arriver à la Seconde Etoile qui est là, et pour laquelle d’autres se battent aussi. L’important est de se battre jusqu’au bout, et si quelqu’un d’autres est meilleur, j’irai lui serrai la main." Vous n’étiez pas si loin à Istanbul... "J’avais ce sentiment avant même de disputer la rencontre. Pendant le match, nous semblions si forts et compétitifs, nous avions joué à armes égales avec l'équipe la plus forte du monde. Nous étions ambitieux, même si nous étions conscients qu'il y avait une équipe bien mieux armée que nous face à nous. Nous voulions vendre chèrement notre peau face à tous." "Je sais d'où nous sommes partis : au début de l'ère Suning, nous étions peut-être derrière la 50e place du classement des meilleurs clubs du monde, aujourd'hui nous oscillons entre la septième et la huitième place. Peut-être que cela nous donnera une chance de participer à la Coupe du monde des clubs, qui aura lieu dans peu de temps. Mais pensons déjà à nous qualifier pour les huitièmes de finale." Quel genre de personne est Inzaghi ? "Simple, humble, brillant. C'est l'une des personnes les plus gentilles que je connaisse dans le football. Il a sa propre routine, des exigences qui ne sont pas démesurées : il est brillant, talentueux et encore jeune. Il a le goût prononcé du football de qualité et fait en sorte que tout le monde se sente bien. Il a créé un bon groupe et cela se voit, les résultats ne sont pas seulement le fruit de la performance, mais aussi du fait de se sentir bien tous ensemble et d'avoir envie de partager son temps ensemble." A quel point a-t-il été proche du renvoi ? "Jamais. Je peux me montrer extravagant, mais ce n'est pas dans la culture de Zhang et ni même de Marotta. Je crois que Marotta n'a jamais remercié un entraîneur en 40 ans de football, et encore moins moi. C'était une période difficile, mais nous savions que nous avions besoin de cette force qu’est l’Union et de stimulations, tout en s’attardant sur les choses qui n'allaient pas." "Nous avons tous réussi à nous en sortir et à entamer ce voyage fou lors des deux derniers mois qui nous a menés à la cette qualification pour la Ligue des Champions, à la Finale de la Coupe d'Italie et à Istanbul. Nous n’avions jamais envisager son renvoi : Ce n'est pas dans la culture des dirigeants de l'Inter". Quel président est Steven Zhang ? "Il y a une fausse idée de Steven Zhang en tant que président. D'un point de vue technique, il n'est peut-être pas l’un de ces présidents qui peut juger des qualités d'un joueur et c'est une bonne chose, car les managers et l’entraîneur peuvent faire leur travail. Mais Il est très passionné, il se montre toujours très proche, il regarde tous les matchs et, à tout moment, et il vous apporte de la tranquillité et de la sérénité." "Lorsque des fautes sont commises, il ne se montre jamais exaspéré par la situation. L'échec de la vente de Skriniar par exemple, avec un autre président, aurait provoqués des comportements et des attitudes différentes. Il a immédiatement regardé bien plus loin Sa préoccupation était : OK, qui allons-nous mettre à la place de Skriniar ? C'est un Entrepreneur, il a une vision très large." "Il vous laisse faire ce que vous voulez, il vous apporte de la sérénité et de la sécurité." A quel point a changé Milan ces dernières années ? "J'ai toujours vécu en province, mais Milan a beaucoup changé. C'est une véritable métropole, en constante évolution et vivante. Milan est aussi très attractive pour beaucoup de travailleurs étrangers. Je le vois avec les footballeurs, et avec leurs femmes qui l'aiment et nous en jouons aussi. Cela te permet de bien vivre ton métier, tu n'as pas de grande pression. Il faudrait un peu plus de sécurité pour permettre à chacun d'exprimer ses désirs et ses envies". ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 8 commentaires
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Sommer/Onana: Le coup de Génie de Beppe Marotta ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Et, si finalement et comme il en a l'habitude, Giuseppe Marotta a su flairer le double bon coup ? A savoir recruter un joueur qui en a encore sous le pied tout en libérant, à prix d'or, un joueur sur la pente descendante ? Cette thématique a été passé en revue par la Gazzetta Dello Sport qui s'est penchée sur la situation entourant Yann Sommer et André Onana "Dans l'équipe de l'Inter qui s'est pris les pieds dans le tapis, mais qui a quand même fait match nul, au San Sebastian contre la Real Sociedad, Yann Sommer a été l'un des rares à se sauver. Arrivé cet été pour remplacer Onana, il était très certainement le meilleur joueur sur le terrain et, petit à petit, au son de sesarrêts, il est en train de balayer les doutes sur sa valeur." "Tous les Interistes ou presque ont, durant l'été, évoqué la vente d'André Onana à Manchester United: Un acte qui s'imposait sur le plan financier étant donné que le gardien camerounais, était arrivé gratuit en 2022 en provenance de l'Ajax Amsterdam. Celui-ci a d'ailleurs été vendu pour 52 millions et demi d'euros, plus 5 de bonus, ce qui représente ue gigantesque et réelle plus-value qui a permis à l'Inter de financer aussi bien son Mercato que de redresser ses comptes." "Pour le remplacer, Marotta et Ausilio ont donc acheté Yann Sommer au Bayern Munich pour 6 millions d'euros et une pluie de critique: Vieux car âgé de 34 ans, petit car il mesure 1,83 mètre, une taille inadéquate pour un gardien de la génération actuelle. Mais le football est étrange et ce qui ressemblait à un "déclassement", à la lumière de la première journée de la nouvelle Ligue des Champions, est devenue une amélioration." "Car Onana, lors de Bayern Munich-Manchester United 4-3, a commis une nouvelle erreur en cette première partie de saison tandis que Sommer, au San Sebastian contre la Real Sociedad, a maintenu l'Inter dans le match avec au moins deux interventions décisives et remarquables, et au final, Lautaro a égalisé" "C'est pourquoi on peut dire aujourd'hui que l'Inter a gagné en passant d'André Onana à Yann Sommer: Onana a déjà encaissé 14 buts, dont 10 en championnat et 4 en Coupe d'Europe, soit plus de deux buts par match en moyenne. Et si ce n'est pas entièrement de sa faute, Manchester United étant décevant jusqu'à présent, Onana semble être redevenu le gardien de but qui alternait les hauts et les bas comme cela était visible du temps de l'Ajax." "Lors de sa saison à l'Inter, il avait atteint une fiabilité qu'il semble avoir immédiatement perdue en quittant Milan. Sommer, contrairement à Onana, peut afficher des statistiques flatteuses. En cette première partie de saison, il n'a encaissé que 2 buts en 5 matches, 4 de Serie A et 1 en Ligue des Champions." "En championnat, il n'a été battu par Leao, dans le Derby remporté par l'Inter 5-1. En Europe, il a été battu par Mendez, suite à une erreur de Bastoni à la relance et Sommer ne peut être blâmé pour aucun des deux buts. Sur celui en Espagne, il n'y a pas de responsabilité, sur celui contre l'Ac Milan, on peut peut-être chercher la petite bête car le ballon est passé sous son gant gauche, mais il pleuvait, le terrain était lourd et le tir puissant." "L'impact de Sommer à l'Inter est important car nous parlons d'un gardien qui a joué 291 fois en Bundesliga, 92 fois en Coupe d'Europe et 84 fois en équipe nationale Suisse". Pensez-vous que Marotta a de nouveau "Ken" la Premier League ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 12 commentaires
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Yann Sommer : Les Tifosi de l’Inter sont fantastiques
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Yann Sommer s’est livré à RSI au cours d’une interview où il a également parlé de l’Inter. Voici les extraits : Suisse "En premier lieu, je pense à l’équipe nationale, notre intention est de s’assurer l’accès à l’Euro 2024. Le grand rêve, même si c’est utopique, serait de remporter le titre. Dans le football, la chose la plus importante est de gagner. Parfois c’est possible, d’autres fois, cela l’est beaucoup mois." Bayern Munich "C’était difficile de tout reprendre à zéro, mais je referais tout : Mon passage au Bayern a, tout de même ,été une parenthèse réussie." L’Inter "L’équipe a énormément de qualités et de caractère. Elle l’a déjà démontrée à de nombreuses reprises. L’atmosphère au Meazza est impressionnante, son rugissement est impressionnant. Les Tifosi sont fantastiques et mon expérience, jusqu’à maintenant, est positive, tout est si beau. La défense est optimale, mais c’est toute l’équipe qui y participe : C’est un vrai cadeau pour un gardien de voir une telle volonté, d’avoir une telle caractéristique." "Je suis arrivé au club pour en être le numéro 1, et cela change beaucoup la donne : Cela donne encore plus d’enthousiasme à ma carrière et de nouveaux défis. Au Bayern, c’était une nouvelle expérience, et mon passage là-bas a été précieux et couronné de succès. L’Inter m’a attendu et le feeling était bon: Là-bas, les personnes me connaissent depuis les qualifications à la Coupe du Monde. " "Avec Spinelli, le préparateur des gardiens de l’Inter, je travaille principalement sur la force, l’explosivité, la réactivité. Milan est une formidable grande ville et je me sens très à l’aise dans le Club, les Tifosi me soutiennent. Je dis faire preuve d’un peu de patience pour trouver ma maison. La langue est aussi importante : Je comprends pas mal de chose, mais j’éprouve encore quelques difficultés pour la parler." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 7 commentaires
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Benjamin Pavard est interiste et voici sa première interview !
alex_j a posté un article dans Interviews
Voici la première interview de Benjamin Pavard en tant que joueur Nerazzurri, interview accordée aux chaînes officielles du club. Vos premiers mots. "L'Inter est un club de gagnants, il suffit de regarder tous les trophées que j'ai derrière moi. Je joue au football pour gagner, c'est pourquoi j'ai décidé de venir à l'Inter." Vous étiez coéquipier avec Sommer et Thuram, vous ont-ils déjà parlé de l'Inter ? "Nous avons parlé plusieurs fois, nous avons échangé plusieurs messages avec Marcus. Il m'a dit que l'ambiance ici est fantastique, c'est un club de haut niveau. Je suis heureux d'avoir rejoint une équipe de ce calibre." Vous n'avez que 27 ans et vous avez déjà remporté de nombreux titres dans votre carrière, comme la Ligue des Champions et la Coupe du Monde. Que pouvez-vous apporter à l'Inter ? "Certainement toute l'expérience que j'ai acquise en jouant pour le Bayern Munich et l'équipe de France. J'ai beaucoup appris. J'arrive avec un objectif précis : démontrer que je peux donner le meilleur de moi-même." Avez-vous un objectif fixé dans cette aventure Nerazzurri ? "Je veux gagner le Scudetto pour obtenir cette deuxième étoile pour le maillot de l'Inter. Je vis pour gagner des trophées, et c'est important pour les supporters et pour tout le club. Je ferai tout mon possible pour gagner le plus de titres possible. Dans l'équipe, il y a des joueurs de renommée mondiale qui nous aideront à les atteindre." Vous êtes un joueur polyvalent, comment allez-vous vous adapter au style de jeu de l'Inter ? "Je suis arrivé pour jouer en tant que défenseur mais je peux aussi jouer en tant qu'arrière latéral dans une défense à quatre." Vous avez aussi l'habitude de marquer car la saison dernière, vous avez marqué 7 buts. "Cela a toujours été naturel pour moi d'être dans la bonne position pour marquer. J'ai aussi marqué contre l'Inter, avec une tête. Mais mon objectif est de gagner des matchs et des titres, et si je peux ensuite célébrer un but avec les supporters, c'est encore mieux." La saison dernière, en Bundesliga, vous avez dominé le classement concernant les tacles gagnés et les passes réussies. Quelles sont vos meilleures fonctionnalités ? "La qualité la plus importante pour un défenseur est de défendre avec soin, de remporter le plus de tacles possible et d'être décisif. Marquer et aider sont des plus mais la chose la plus importante pour un défenseur est... de défendre !" Traduction alex_j via FCInterNews et le site officiel.- 8 commentaires
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FCInterNews nous fait part des derniers rebondissements concernant la venue de Benjamin Pavard. Les confirmations pleuvent en provenance d'Allemagne et ces confirmations rebondissent en Italie. Chelsea fait effectivement pression pour Trevoh Chalobah et comme le prétend Sky, il y a eu un contact direct entre Thomas Tuchel et le défenseur anglais avec qui il a travaillé à Chelsea. Même si l'ensemble de la direction du Bayern Munich n'est pas convaincu de cette opération, l'entraîneur allemand pousse pour qu'elle se concrétise. Le club bavarois préférerait un accord de prêt alors que les Blues font pression pour un transfert permanent. Confirmation également de la date limite des Nerazzurri pour Benjamin Pavard. Aujourd'hui à 15 heures, le Bayern doit donner son feu vert pour le transfert du Français après le salaire annoncé de 30 millions plus bonus. Chez les Nerazzurri, l'optimisme filtre sur la conclusion de l'accord dans la journée, également parce que les négociations pour Chalobah battent leur plein. Traduction alex_j via FCInterNews.
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Beppe Marotta ne cache pas que l'Inter discute avec le Bayern Munich au sujet de Benjamin Pavard. S'adressant à Sky Sport Italia, l'exécutif de l'Inter a déclaré que le joueur de 27 ans souhaitait rejoindre le club. L'Inter a fait de Pavard une cible majeure en défense pour les derniers jours du mercato estival. L'entraîneur des Nerazzurri, Simone Inzaghi, l'a même admis. L'Inter a passé tout l'été sans agir pour prendre le remplaçant de Milan Skriniar. Maintenant, ils jettent leur dévolu sur Pavard. Mais conclure un accord avec le Bayern pour le transfert du Français ne sera en aucun cas facile. Les Allemands ne veulent apparemment pas perdre Pavard. Du moins pas sans avoir d'abord obtenu son remplaçant... Mais un facteur joue en faveur de l'Inter selon Marotta: le joueur veut venir à Milan. "Ce que veut le joueur est important" déclare Marotta. "Il a exprimé son désir de venir à l'Inter, et il est extrêmement enthousiaste" poursuit-il. "Cependant, le Bayern est une équipe riche et ils ont toujours les meilleurs joueurs. Il faudra donc qu'ils en trouvent un autre avant de pouvoir nous envoyer Pavard. Il y a des facteurs économiques, mais aussi liés au fait de conserver une équipe compétitive. C'est ce qui rend les choses difficiles." "Mais les négociations sont toujours ouvertes" a précisé très clairement l'exécutif des Nerazzurri. Affaire à suivre, près du second poteau. ©Internazionale.fr via sempreinter.com - Traduction Trent_FCI
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Lorsqu'il s'agit de données statistiques liées au monde du football, "Opta" est une véritable institution désormais reconnue dans le monde entier. Ces derniers jours, le fournisseur de données analytiques s'est amusé à enflammer le web et les réseaux sociaux avec des pronostiques sur les cinq plus grands championnats. Le verdict concernant la Serie A est sans équivoque : l'Inter est en en tête avec 43,6 % de chances de victoire finale. Cependant, il faut remarquer que le championnat italien est de loin le plus équilibré parmi les cinq championnats européens. En Angleterre, on voit Manchester City sur une route tracée vers le titre avec 90% de chances de l'emporter, plus encore que le Bayern Munich avec 69% et le PSG 57%, tandis qu'en Espagne, le Real Madrid a 50% de chances de devenir champion. Certes, pour atteindre ces pourcentages, la tendance récente des championnats respectifs a eu un impact. Avec une Serie A qui a vu quatre formations différentes remporter le Scudetto au cours des quatre dernières saisons (Juventus, Inter, Milan et Naples ). Le lifting de qualité réalisé par la direction cet été et surtout la campagne européenne de l'an dernier ont permis à l'Inter de se hisser en tête du classement des favoris pour le titre, statistiques et algorithmes à la clé. Si les chiffres parlent en premier, au final, c'est toujours le terrain qui parle en dernier et ce, pour le meilleur ou pour le pire. Ce qui est certain, cependant, c'est que l'Inter Milan continue de travailler pour la deuxième étoile. Les chiffres parlent d'eux-mêmes mais ne font que suggérer un scénario possible : la vérité du terrain viendra un dimanche après l'autre. Cependant, les données analytiques les plus précises disponibles dans le panorama sportif ont donné leur confirmation. Du côté des bookmakers, à ce jour, l'Inter démarre devant tout le monde. Traduction alex_j via FCInterNews.
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Enfin Inzaghi aura son gardien et ce sera Yann Sommer, nouvelle confirmée par Sportmediaset. L'arrivée du nouveau gardien des Nerazzurri est attendue aujourd'hui en Italie. Pour l'ancien joueur du Bayern, des tests médicaux d'aptitude sportive sont prévus demain Lundi à 12 heures. Il signera ensuite son contrat jusqu'en 2025. Le coût du transfert a été fixé à 6 millions d'euros avec un paiement en deux fois. Les deux sociétés travaillent pour trouver leurs adjoints respectifs. Alors qu'aucun gardien n'est encore arrivé pour le Bayern, pour l'Inter il y en a quatre sur la liste: c'est Trubin qui semble proche de Benfica; Bentoqui qui a récemment déclaré qu'il était satisfait de l'intérêt de l'Inter; Audero et Consigli qui ne pouvaient arriver à Milan qu'avec la possibilité d'un prêt. Traduction alex_j via FCInterNews.
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Yann Sommer, la clause sera payée aujourd'hui!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
C'est l'information de la Gazzetta Dello Sport: "L’Inter veut en terminer avec la thématique du gardien de but aujourd'hui et, si aucune nouvelle de l’Allemagne n’arrive, elle paiera la clause libératoire de six millions d'euros." Le Bayern ne cesse de temporiser sur Sommer "car les Allemands ont un problème pour trouver son remplaçant" mais ceux-ci prennent tout leur temps. "L’Inter a attendu, pour essayer d’économiser quelques millions d'euros sur la valeur de la clause libératoire de Sommer, qui est fixée à 6 millions d'euros, mais également pour ne pas ruiner les relations diplomatiques avec un club historiquement proche comme le Bayern." Toutefois, l'Inter ne peut plus attendre: "Avec l’accord de Sommer, et en l’absence de toute nouvelle aujourd’hui, le club de Steven Zhang annoncera son intention d'activer la clause: Il n’y aura pas donc plus besoin de négocier et les six millions d'euros seront versés au Bayern, avec un Yann Sommer prêt à débarquer à Milan." L’affaire devrait être conclue aujourd’hui, au plus tard demain "Mais on n’attendra pas plus: Pour les examens médicaux, par contre, on devra attendre le début de la semaine prochaine, car rien n'avait été programmé hier soir." Quoiqu'il arrive, Simone Inzaghi aura donc enfin le remplaçant d’André Onana ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 13 commentaires
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Fabrizio Biasin annonce l’arrive de Yann Sommer
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
A travers son compte officiel Twitter, Fabrizio Biasin s’est livré, à sa façon, sur l’arrivée imminente du portier suisse "Pour une question de rapport entre les Clubs, l’Inter a attendu que le Bayern trouve une solution dans ses buts, mais le retard de l’opération a convaincu les Nerazzurri de payer la clause libératoire de 6 millions d’euros." "Si le rapport avec le Bayern est important, celui avec Simone Inzaghi l'est encore plus" ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 7 commentaires
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Si l’Inter souhaite débuter sa mise au vert dans de bonnes conditions, cela devra forcément passer par l’arrivée de(s) gardien(s) qui occuperont la cage interiste tout au long de la saison à venir et l’on pense forcément à Anatoliy Trubin et à Yann Sommer. Et l’Inter aurait déjà fait un grand pas avec le portier suisse: "L'objectif du club est de faire venir à Milan, Anatoliy Trubin du Shakhtar Donetsk et Yann Sommer du Bayern Munich avec qui l'Inter est parvenu à trouver un accord économique. Il manque encore celui avec les Allemands, qui continuent à demander 10 millions d'euros, Beppe Marotta s'en tenant à 6". A noter que les 6 millions d'euros représentent le montant de la clause libératoire. L'Inter ayant tenté de négocier, en vain, l'achat du joueur pour une somme inférieure... ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Sommer/Trubin : Qui au poste de titulaire ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Si l’Inter parvient à signer à la fois Yann Sommer et Anatoliy Trubin, lequel des deux partirait avec le poste de titulaire assuré ? "Le titulaire serait le gardien expérimenté suisse qui évolue actuellement au Bayern : Trubin, né en 2001, en serait son vice pour un investissement plus dans l’optique du futur qu’un présent immédiat." Vous validez l’idée ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 10 commentaires
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Yann Sommer retiré du Mercato par le Bayern ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
Selon Sky Sport DE, Manuel Neuer est encore loin de pouvoir revenir sur le terrain, après sa blessure au ski en décembre 2022. Le rétablissement de Manuel Neuer est plus lent que prévu et cela pourrait impacter le mercato de l'Inter, puisque les Nerazzurri ont jeté leur dévolu sur Yann Sommer, qui avait été recruté par les Bavarois en janvier pour pallier l'absence de gardien de but après la blessure au ski de Neuer pendant les vacances. Le rétablissement du joueur du Bayern Munich ne se déroule pas comme prévu, Neuer devra passer des tests la semaine prochaine pour certifier son intégrité physique. Le 13 juillet, les joueurs du Bayern Munich se retrouveront et, dans les jours suivants, des tests physiques seront effectués pour tout le monde. À partir du 15 juillet, le Bayern s'entraînera à Tegernsee et il est probable que Neuer ne pourra s'entraîner qu'individuellement, au point que sa participation à la tournée asiatique (du 24 juillet au 3 août) est sérieusement compromise. ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 12 commentaires
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Les confirmations continuent d'arriver sur l'état de négociations très avancées entre l'Inter et Manchester United pour André Onana. Comme le rapporte Sport Mediaset, "le club anglais a proposé 50 millions d'euros, contre une demande de l'Inter qui reste autour de 60 millions d'euros, voire de 55 millions avec les bonus." Et c'est justement pour cette raison que l'Inter a pris contact hier avec l'agent de Trubin, Edoardo Crnjar. Le gardien de 21 ans évolue au Shakhtar Donetsk et les Nerazzurri pourraient se l'offrir pour une somme proche de 10 millions d'euros plus les bonus, alors que la demande ukrainienne est de 15 millions d'euros. L'idée d'Inzaghi est d'avoir deux gardiens de haut niveau et Trubin fait figure de favori, tout comme de Sommer, évalué par le Bayern Munich à environ 5 millions d'euros. En revanche, "il est plus difficile de voir Handanovic rester, tout comme il semble impossible de s'offrir Carnesecchi, dont la valeur estimée par l''Atalanta est trop importante." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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En effet, le nouveau format de la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA va garantir des revenus importants à ses participants et l’Inter pourrait y décrocher un billet ! Explications de la Gazzetta Dello Sport A partir de 2025, une nouvelle version de la Coupe du Monde des Clubs accueillera bien plus d’équipes. Le tournoi durera un mois et les revenus seront garantis et important pour tous. Par les équipes qui peuvent y participer, on retrouve l’Inter à qui il ne manque que très peu de chose pour se retrouver parmi les 32 participants. "L’Inter devrait y aller franco pour ne pas parvenir à se qualifier à la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA 2025, et ne pas y accéder serait un énorme gâchis : S’il n’y a pas encore de chiffres officiels, à Zurich, on travaille depuis des années sur le projet lancé par Infantino et Boban (lorsqu’il travaillait à la FIFA)." Le montant total des primes de la première édition devrait avoisiner 2,5 milliards d’euros dont 2 milliards se verront réparti entre les 32 finalistes, le reste étant employé pour les dépenses et à la solidarité: Son Champion pourrait encaisser une somme proche de 100 millions d’euros, comme pour une Ligue des Champions, mais sur un mois de temps, et une belle participation dans le tournoi pourrait garantir une cinquantaine de millions d’euros. En plus de l’Inter, on pourrait retrouver un autre italien parmi la Juve, le Milan et le Napoli pour se disputer le précieux sésame prestigieux et pour le bilan financier. Il s’agira d’un tournoi quadriennal, qui débutera aux Etats-Unis entre les mois de juin et juillet 2025 avec une formule de 8 groupes de 4 équipes. Les deux premiers se qualifieront pour les quarts de finale et s’en suivra la phase a élimination directe jusqu’à la Finale. L’Europe y envoie 12 équipes : Les quatre vainqueurs de la Ligue des Champions des éditions 2021, 2022, 2023 et 2023, ainsi que les 8 meilleurs équipes au classement UEFA sur cette même période. Chelsea, le Real et Manchester City, tous champions, sont sur d’y participer. Via le Classement UEFA, le Bayern est également de la partie (avec 84 points). Le Paris-Saint-Germain et l’Inter sont les premiers clubs à pouvoir se qualifier avec respectivement 66 et 60 points: "Pour y parvenir, il faudra réaliser une bonne édition lors de la prochaine Ligue des Champions, en ce sens qu'accéder aux huitièmes de finale leur garantira arithmétiquement de s’y qualifier." Avec le Champions de l'Edition 2024, nous arriverons à 7 équipes et cinq devront encore se qualifier. En ce moment le classement est le suivant : Benfica 49 points, Juve 47 points, Porto 45 points, Borussia 44 points, Barcelone 42 points. Un Championnat ne peut y qualifier plus de deux équipes, à moins d'avoir plusieurs équipes (jusqu'à un maximum de 3 ou 4 vainqueur des éditions des Ligue des Champions:. Liverpool a un coefficient proche de celui du Bayern mais, Chelsea et City étant déjà qualifiés, il se retrouve éliminé. La prochaine Ligue des champions changera également la donne car le Milan et ses 35 points et le Napoli et ses 29 points peuvent dépasser les Bianconeri et se battre pour l'autre place italienne théoriquement disponible, mais ils devront se méfier de Leipzig (39 points), de Séville (36 points) et de Salzbourg (30 points). La mission est en revanche hautement difficile pour la Lazio, qui ne compte que 21 points car le vainqueur de la Ligue des Champions remportera un maximum de 38 points. Elle est là la Super League ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Diego Milito : "L'Inter peut le faire ! Lautaro ? Il est complet !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Longue interview accordée au Corriere della Sera par Diego Milito. Voici ses mots. Sur la finale de 2010. "C'est difficile d'exprimer les émotions que j'ai ressenties. Ce que je peux dire sera toujours peu. Une joie qui restera avec moi pour le reste de ma vie." Le premier souvenir qui vous vient à l'esprit de la finale face au Bayern ? "La joie des supporters après le deuxième but. Si je ferme les yeux, je peux encore voir leurs visages. À ce moment-là, nous avons réalisé que nous pouvions vraiment le faire." Cette fois, l'Inter défie Manchester City. Comment gagner un match comme celui-ci ? "Il n'y a pas de formule exacte. Il faut soigner les détails, aller sur le terrain avec détermination, savoir saisir les opportunités." Mais existe-t-il une recette pour gérer l'anxiété et la pression la veille ? "Ce n'est pas facile, il y a tellement de pensées, l'adrénaline circule déjà. Mais j'ai réussi à dormir, j'étais calme. Le sentais qu'on pouvait gagner ce match." Qu'avez-vous ressenti en sachant que Mourinho ne reviendrait pas à Milan avec vous ? "Un mélange d'émotions : nous étions contents d'avoir gagné, mais tristes de ne pas continuer à travailler avec lui. Ses adieux ont été un coup dur, il a été une référence." Avez-vous été surpris de le voir à la Roma, votre rivale de l'époque ? "Non. Il y a des imoments et des instants. Rome est une place parfaite pour lui." Mou ou Inzaghi : de qui te sens-tu le plus proche pour le caractère ? "J'ai un faible pour José, je lui serai toujours reconnaissant. Il y a avec lui un lien d'affection qui rend la comparaison difficile. Simone est un excellent coach, parfois injustement critiqué. Il fait de grandes choses à l'Inter." Quel rôle avez-vous joué pour la venue de Lautaro à l'Inter ? "Zanetti m'a appelé, nous avons longuement parlé. Vous pouviez déjà voir ses talents, il n'avait pas besoin de moi pour le publiciser. Il y a eu une offre d'un autre club (l'Atletico Madrid, ndlr), on n'a pas fermé tout de suite et l'Inter a pris le relais. Ils étaient bons pour agir rapidement. Lautaro m'a demandé des conseils, car nous vivons à Milan, mais il était content de l'opportunité. Je n'ai pas eu à le convaincre." Qu'est-ce que tu aimes chez lui ? "Il a les qualités des grands attaquants, il est complet. Il peut jouer seul, comme s'il était un neuf, mais il s'adapte aussi à jouer avec un autre attaquant, par exemple Dzeko ou Lukaku. Il a tout." Comment a-t-il progressé après la Coupe du monde remportée avec l'Argentine ? "Cette victoire lui a donné tellement de confiance." Que voyez-vous dans l'attaquant Lautaro del Milito ? "Je n'aime pas les comparaisons. Je peux juste dire que nous avons une attitude similaire : nous sommes des combattants, nous travaillons pour atteindre nos objectifs, nous essayons d'obtenir ce que nous voulons. Avoir cet état d'esprit est essentiel." Quelle relation avez-vous ? "Je le connais depuis qu'il est très jeune, presque un enfant. Au Racing, il a fait ses débuts dans l'équipe première en entrant sur le terrain à ma place. Une sorte de passation de pouvoir. C'est un garçon extraordinaire, je l'adore. Le voir grandir, savoir où il en est maintenant, me rend heureux." La dernière fois que vous avez parlé ? "Je lui ai écrit après la finale de la Coppa Italia, comme je le fais pour tous les matches importants. Nous parlons souvent." Lautaro à Istanbul défiera Haaland. Le Norvégien est-il le meilleur attaquant du monde ? "L'un des meilleurs, pas le meilleur. Il y a justement Lautaro, Benzema et d'autres grands joueurs. Bien sûr, il voit facilement le but, l'Inter devra faire attention." Pour le contenir, laisseriez-vous Skriniar de retour jouer en tant que titulaire ? "L'Inter a atteint la finale sans lui, ils peuvent facilement continuer à se passer de lui. Alors il verra avec Inzaghi." Le chat WhatsApp des "joueurs triplés" est-il toujours actif ? "Oui bien sûr. Après l'Euroderby avec Milan, nous avons félicité Zanetti, qui est dans le club." Qui de cette équipe de l'Inter aurait joué dans votre équipe ? "Je ne veux pas citer de noms, mais Inzaghi a beaucoup de joueurs très forts." Que pensez-vous de Retegui, le natif avec qui Mancini espère résoudre le problème d'avant-centre de l'Italie ? "J'aime bien, il a grandi vite. Il a des qualités, la bonne mentalité. Je suis sûr qu'en été, il sera appelé par une équipe européenne, peut-être de la Serie A." Reviendrez-vous à l'Inter, peut-être avec un rôle de directeur sportif ? "Je n'ai pas l'habitude de me proposer mais oui, je serais prêt à m'impliquer. En tout cas, mon lien avec l'Inter sera toujours spécial." Traduction alex_j via FCInter1908.- 5 commentaires
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A l’occasion de l’Inter Media Day, André Onana s’est livré à la presse : "Ecoutez, j’ai travaillé toute ma vie pour jouer une Finale de ce niveau et nous irons ce samedi là-bas pour défendre l’Inter : J’y laisserai ma vie" Avez-vous peur ? "Zéro niveau de peur, je peux vous garantir une seule chose et c’est que nous n’aurons pas peur : Cette équipe donnera tout pour remporter cette Finale. Nous allons affronter la meilleur équipe du monde à l’heure actuelle et l’Inter a toute ses chances : Je suis très confiant sur le fait que nous ferons les choses bien pour l’emporter." Ce sera une rencontre entre gardiens vu Ederson : Etes-vous dans le Top 5 des gardiens ? "Je ne regarde pas où je suis situé, je sais ce que je vaux et la chose la plus importante est de l’emporter : Je suis dans la meilleure équipe et elle a le meilleur gardien, mais nous devrons le démontrer samedi, nous serons présent pour défendre l’Inter. Ce sera difficile, mais je suis convaincu que nous serons bien préparé." Qu’est-ce qui a changé pour vous au cours des 12 derniers mois ? Est-ce un rêve ? "Oui et la vie est ainsi, tu vis de très beaux moments et des moins bons et tu dois savoir les affronter. Au début de saison, nous avons été mis en difficulté et à présent nous sommes en Finale de la Ligue des Champions : Je l’ai toujours dit au Vestiaire : Les Finales ne se jouent pas, elles se gagnent : Dans l’Histoire, on se souvient du vainqueur et nous irons à Istanbul pour gagner." Quel est votre apport avec Handanovic ? "Très bons, c’est une Légende du club qui a tellement fait ici et c’est un Honneur pour moi de m’entraîner avec lui." Cordaz, Lukaku, Bastoni, Barella... est-ce la Force du Groupe ? "Oui, et nous saurons souffrir : Ce sera la rencontre la plus difficile de ces cinq derrière années et nous allons très bien nous préparer." Quelle parade a fait Cordaz…. "C’est un grandissime portier. Je suis très content de la façon dont nous préparons cette rencontre avec énormément de calme, de sérénité, de tranquillité, ce sera une rencontre très difficile, mais les Finales ne se jouent pas, elles se gagnent et nous irons à Istanbul pour gagner." "Nous allons démontrer que nous sommes l’Inter et nous allons faire ressortir le meilleur d’entre-nous samedi : Nous irons là-bas pour mourir. Lors de notre premier matchs face au Bayern, j’avais dit à Dumfries que nous allions remporter la Ligue des Champions et il m’avait dit que c’était impossible. J’y ai cru dès les premières secondes et ce sera une contre difficile, mais je me fie à ma valeur et à la valeur de mon équipe : Nous irons à Istanbul sans peur." "J’ai parlé avec Samuel Eto'o, avec Javier Zanetti, avec tout le monde et la chose la plus importante est de l’emporter. C’est très important pour le club. Face à la meilleure équipe du monde , Nous aurons nos opportunités et si nous les concrétisons, nous pourrons rentrer avec la Coupe. Je suis très fier, très calme, nous allons bien jouer, en étant serein car nous n’avons rien à perdre." "Je ne sais pas si nous pourrons l’emporter, mais je peux vous dire que nous allons tout tenter, que nous serons fier de nous, nous donnerons tous avec l’espoir de célébrer cette victoire qui serait la plus grande pour nous tous." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Ligue des Champions Inter - Milan : Conférence de presse
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
Nous y sommes! Simone Inzaghi s’est livré à quelques heures de la seconde manche de l’EuroDerby Della Madonnina: "Lors du tirage au sort de la phase de groupe, nous étions un peu déçu, nous n’avions pas été énormément chanceux : Je me suis limité à dire au Staff et aux joueurs que Barcelone et le Bayern Munich n’étaient pas heureux d’avoir tiré l’Inter dans le troisième chapeau : Il y avait tellement de confiance: A présent, nous sommes ici et nous savons que nous avons passé une étape très importante." Pour une meilleure lisibilité, l'interview de Francesco Acerbi est publiée dans un autre article : Qu’attendez-vous du public ? Vous attendez-vous à voir une Inter que va se donner à plus de 100% ? "Je l’avais déjà dit avant Benfica et je suisi répétitif mais demain, nous aurons les Tifosi avec nous, je n’ai aucun doute: Ils ont toujours été proche de nous, même lorsque nous étions en difficulté : Pour nous tous, nous devrons garder la tête froide et avoir le cœur chaud, c’est la seule route à emprunter pour bien interpréter la partie." Comment vont Lautaro et Correa ? "Joaquin a demandé lui-même à sortir, je ne l’aurais pas fait moi car il me séduisait face à Sassuolo, c'était une douleur musculaire: Les sensations sont bonnes et nous évaluerons la situation aujourd’hui. Nous verrons demain s’il sera disponible, mais je n’ai aucune certitude en ce moment : Lautaro traverse une très belle période et il s’entend avec les autres attaquants de la meilleure façon" Etes-vous plus serein maintenant qu’au match aller ? "En tant qu’entraineur, je vis les matchs quasiment de la même façon, demain c’est l’une des rencontres parmi les plus importantes de l’Histoire de l’Inter, nous connaissons tous ce qu’elle représente pour tout le monde, nous devrons l’aborder de la meilleure des façons en sachant que nous disposons d’un avantage mérité, mais nous savons que nous devrons réaliser un mach Da Inter sans chercher à le gérer, nous couvrirons le terrain car Milan, face à nous, a énormément de qualité." Quel est l’état de forme de Lukaku ? A-t-il retrouvé enfin le niveau de son premier biennal ? "Vous le connaissez, vous savez de quoi est capable Romelu : Moi comme entraineur, j’ai cherché à permettre à Lukaku de revenir avec de l’enthousiasme celui de ce dernier mois, qui est celui que j’aurais voulu avoir toute l’année : Lui et Brozovic ont connu des stops imprévus, ils étaient indisponibles pour nous et nous avons soufferts sans eux même si nous avons été très bons pour nous en passer." "Lukaku à énormément travaillé et il est arrivé dans ce dernier mois dans la meilleure des condition possible : Je ne sais pas s’il pourrait être capable d’enchainer trois matchs de suite, mais son physique est incroyable : Nous avons tous vu ce qu’il est capable de nous apporter aussi bien à l’Olimpico qu’a Sassuolo." Comment gérer Milan …et L’arbitre de demain ? "Je ne parle pas beaucoup des arbitres. Au match aller, il y a eu un épisode qui aurait dû être évalué d'une autre manière, je fais référence à la faute de Krunic sur Bastoni qui aurait pu nous donner quelque chose de très important en termes de résultat et de qualification. Mais il n'y a pas de problème." "Beaucoup ont associé la désignation de l'arbitre français avec quatre Français au Milan... mais il n'y a pas de problème, la confiance est maximale. Nous n’allons pas rentrer dans un mode de gestion du match, demain face au Milan, nous aurons besoin de disputer un match Da Inter car il y aura des embuches sur notre route et nous allons essayer de de nous en sortir de la meilleure façon possible". Tactiquement, sans anticiper la rencontre, pourriez-vous envisager de baisser un peu votre centre de gravité ? "Je vous remercie pour vos mots à mon égard. Pour ce type de choix, je lis et j'écoute peu heureusement… mais je sais tout. Ma grande chance, c'est de peu écouter et de lire peu : Je connais mes choix et c’est toujours plus facile après une rencontre. Nous, les entraîneurs, ,nous devons faire des choix tous les jours, parfois on a plus de chance, parfois non : C’est le métier qui nous l'impose." "Je pourrais très bien avoir des choses en tête pour demain, mais on ne sait pas à l'avance comment ça va se passer. Il faudra parfois savoir se montrer agressif comme il faudra parfois savoir défendre tous ensemble. Indépendamment de Leao, Milan a de la qualité et il est en demi-finale, il faut faire très attention." Comment vivez-vous cette situation à titre personnelle ? Vous êtes déjà comparés aux autres entraineurs finalistes italiens.... "Nous sommes à 90', plus des arrêts de jeu, d’atteindre un merveilleux rêve avec ces merveilleux garçons que j'ai la chance d'entraîner. Nous sommes également en Finale de la Coppa Italia. Après coup, on pense tous que nous aurions pu faire mieux: Lors de la trêve, j’ai très bien travaillé avec Lautaro, Dumfries, Lukaku, Brozovic. A présent, nous avons devant nous des matchs rapprochés qui sont tous important et c’est une chance car cela ne nous laisse pas de temps pour cogiter" "Il y a cinq matches de cela, nous étions encore loin d’être en Ligue des Champions, maintenant il ne reste plus qu’à franchir la dernière marche : Nous abordons la rencontre de demain en ayant conscience de notre avantage: Nous sommes très proche d’un rêve et nous aurons besoin de disputer un match vrai: Da Inter." Comment avez-vous fait pour faire en sorte que Çalhanoğlu devienne un maître à jouer, un Regista ? "C'était un choix, une intuition, il nous manquait Brozovic qui est très important pour nous et à ce moment-là, j'ai pensé qu'il pouvait être la solution la plus importante. Il a été très bon à ce poste. Je pense aussi à Darmian qui, en tant que troisième défenseur, réalise de très grandes choses, dans un rôle qu'il n'avait jamais occupé. Il avait toujours joué dans le milieu à cinq, par le passé, voir même dans une défense à quatre : Il est très bon. J'ai des joueurs de grande qualité qui s'adaptent aux situations, je pense aussi à Luis Alberto à la Lazio qui est devenu l'un des meilleurs Mezzala d’Europe". On parle beaucoup de Milan. Avez-vous aussi cette sensation que la qualification ne dépend que de vous ? "Absolument oui, nous savons qui nous allons affronter et nous savons que nous sommes dans une très belle période : Nous sommes prêts à disputer un match de cette importance, nous avons déjà répondu présent face à une équipe très forte qu’était Benfica, nous disposons exactement du même avantage : Ce sera un match, comme celui contre Sassuolo, qui sera composé d’e embûches. Nous devrons être bons pour les surmonter lorsqu’elles se présenterons." Est-ce plus dangereux de se sentir déjà en finale ou de la jouer petit bras ? "Mon équipe est mature et sérieuse, qui sait qu'elle a mérité son avance. Il ne faut plus reculer. Je vous le dis à vous aussi, nous ne devons rien spéculer, nous devons jouer un match Da Inter tous ensemble: Et nous pouvons l'affronter avec beaucoup de confiance. Il ne faut pas vouloir la jouer petit bras: J’ai des joueurs importants, j'ai la chance d'avoir des joueurs qui connaissent la valeur de la rencontre : Nous devrons jouer ce match comme nous l'avons toujours fait lors de nos derniers derbys." Est-ce qu’il s’agira d’un Derby de Spartiates comme l’a déclaré Acerbi ? "J'avais déjà répondu à l'un de ses équipiers que c’était déjà le cas au match aller : C'est très important et nous en avons tous connaissance : Nous sommes ici et nous voulons arriver là où il était très difficile de penser à arriver. Nous connaissons le chemin et la montée que nous avons empruntés pour y parvenir : Nous connaissons les critiques qui, si elles ne sont pas présomptueuses comme c'est souvent le cas, nous aident et nous conseillent, nous avons à quel point la rencontre de demain est importante : Inutile de tourner autour du pot." Comment êtes-vous parvenu à créer cet environnement au sein du Vestiaire ? "C'est, tout d'abord, un travail quotidien, la façon dont l'ensemble d'un groupe travaille. Nous ne sommes pas une équipe composé d’un un nombre de joueurs si élevé, comme d'autres équipes, nous sommes une équipe de 20 joueurs avec des doublures à chaque poste. Zanotti, Carboni et Fontanarosa ont un avenir assuré, mais ces matches seraient compliqués pour eux." "Je m'arrête donc à 20 joueurs, avec quelques blessures jusqu’à récemment, mais après la Coupe du monde, grâce aux garçons, quelque chose s'est créé et maintenant nous sommes en Finale de la Coupe d’Italie et nous avons devant nous cette demi-finale retour. Le calendrier n'est devenu gérable que de cette manière, avec un turnover important de joueurs, avec l’engagement de tous : C'est la seule façon dont je pouvais gérer la situation, en demandant à tout le monde d'apporter une contribution des plus importante." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 4 commentaires
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Entre la prime de l'UEFA, la collecte du derby au match retour, la somme que les Nerazzurri récolteront du Derby en Ligue des Champions leur permettra d'éviter de douloureux sacrifices avant le 30 juin. Merci à l'Europe. Ce n'est un secret pour personne que la Ligue des champions signifie une pluie d'argent à chaque pas que vous faites, mais l'Inter comme le Milan ressent la satisfaction économique que vous pouvez obtenir en atteignant les demi-finales. Et justement en considérant que les Nerazzurri avaient inclus dans le budget les recettes d'un hypothétique quart de finale de la Ligue Europa, l'accès parmi les quatre meilleures équipes du continent les récompenses par de nouveaux revenus dans les caisses du club. LE TRÉSOR: Le groupe avec le Bayern Munich et Barcelone en plus du Viktoria Plzen avait en effet suggéré la prudence, tout le monde voyait une troisième place et aller en Europa League. L'équipe de Simone Inzaghi, en revanche, a dépassé toutes les attentes et les comptes de l'entreprise en profitent. Dans le détail, l'élimination de Benfica vaut 12,5 millions de l'UEFA, auxquels il faut ajouter la demi-finale retour Inter-Milan : Si le match d'hier contre Benfica valait 8,2 millions, un chiffre compris entre 8,5 et 9 millions peuvent être attendus. A ces deux éléments, il faut ajouter l'augmentation du pool de marché qui peut atteindre environ 25 millions. MARCHÉ: C'est beaucoup, beaucoup si l'on considère que les adieux annoncés de Milan Skriniar sur un transfert gratuit avaient contraint la direction à budgétiser la vente (d'au moins) un gros joueur d'ici le 30 juin. Avec cette somme, qu'il faut ajouter aux imprévus dans le budget du dépassement de la phase de poules et des huitièmes de finale, le sacrifice n'est plus obligatoire : Il suffira de monétiser un ou deux des jeunes joueurs en prêt (ce ne sera pas Giovanni Fabbian, sur qui l'Inter veut parier) puis la saison 2022-2023 sera officiellement clôturée. Évidemment, ce mécanisme va au-delà de ce qui peut arriver à partir du 1er juillet : En effet, l'objectif des Nerazzurri est de se qualifier pour la prochaine campagne de Ligue des Champions, pour cela il faut finir dans les quatre premières places du championnat ou triompher en Champions League, car sinon il manquerait un pilier économique fondamental pour pouvoir bâtir le présent et l'avenir. Et le mot "sacrifices", au pluriel, redeviendrait péniblement d'actualité. Une très bonne nouvelle! Traduction Lindt1908 Via Gazzetta dello sport
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Le gardien de l'Inter André Onana a reconnu que ses tout premiers pas pour les Nerazzurri ressemblait à un "rêve devenu réalité"! S'exprimant sur la chaîne YouTube officielle du club, via FCInterNews, le Camerounais est revenu sur ses tout premier pas à l'Inter et sur ce que cela signifiait pour lui. Onana a rejoint l'Inter depuis l'Ajax l'été dernier, le joueur de 27 ans ayant été désigné comme le successeur à long terme de Samir Handanovic dans le but des Nerazzurri. Le club fait beaucoup confiance à Onana, et la tâche de remplacer un joueur comme Handanovic était susceptible d'avoir beaucoup de pression. Le Camerounais a montré qu'il était à la hauteur de la tâche, s'installant rapidement et prouvant son aptitude au rôle de gardien numéro un à l'Inter. Le processus d'acclimatation a été assez rapide pour Onana, même s'il n'a pas été titulaire puisque pendant les premières semaines de la saison, Handanovic a conservé sa place de titulaire. Onana a eu une chance a saisir lorsqu'il à été titulaire contre le Bayern Munich en Ligue des Champions, a partir de cette rencontre, il à joué chaque minute dans cette compétition jusqu'à présent en s'appropriant rapidement une place de titulaire en Série A également. "J'étais ravi", a déclaré le joueur de 27 ans à propos de sa première titularisation en compétition pour les Nerazzurri, "nous jouions contre le Bayern." "Nous avons perdu 2-0, mais j'étais content d'avoir joué pour un si grand club à ce niveau, c'était un rêve qui devenait réalité". Lorsqu'on lui a demandé qui était son idole au football, Onana a répondu : « Bonne question. Ayant grandi au Cameroun, j'ai toujours pensé que Roger Milla était le meilleur au monde. "Nous avons une excellente relation, il m'a beaucoup aidé lorsque je suis arrivé en équipe nationale. Pour cela que je le choisi. Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Ça n'arrive pas souvent, mais ça arrive de temps en temps. Les équipes endurcies gagnent généralement la Ligue des champions, mais parfois l'outsider gagne aussi! Ça n'arrive pas souvent, mais ça arrive de temps en temps. Les équipes endurcies gagnent généralement la Ligue des champions , mais parfois l'outsider gagne aussi. C'est arrivé au moins trois fois dans l'histoire de la coupe : le Porto de Mourinho, le Dortmund de Hitzfeld et le Chelsea de Roberto Di Matteo. « Outsider triomphant ? A l'époque de la Ligue des champions, cela arrivait rarement. Mais la finale entre outsiders par excellence fut celle de 2004 à Gelsenkirchen : Porto-Monaco 3-0. L'exploit d'un jeune Mourinho, qui l'année précédente avec les Portugais avait gagné l'UEFA. Face au club de la Principauté emmené par Deschamps, 35 ans, arrivé en Allemagne en favori. Il avait éliminé le PSV, le Real des Galactiques et le Chelsea de Ranieri. Porto a fait sensation avec United, avec un but de Costinha à la 90e minute au retour à Manchester, puis ils ont gagnés contre Lyon et le Deportivo, avec un penalty à La Corogne. Et la victoire en finale". « D'autres surprises ? On se souvient de Dortmund, roi en 1997, en finale avec la Juve de Lippi. Les jaunes et noirs d'Hitzfeld, dans une Coupe à 16 équipes, ont eu la vie facile avec Auxerre en quart de finale, mais en demi-finale. ils ont vaincu l'United de Ferguson, le battant également 1-0 à Manchester. La Juve avait dépassé Rosenborg et l'Ajax et s'était vu attribuer le statut de favori, en tant que champion en titre. Mais ils n'avaient pas considéré Kalle Riedle, 32 ans, ex-Lazio, doublé en finale et 4 buts dans le tournoi, sa meilleure saison en Ligue des Champions." Cech à fait un arrêt exceptionnel sur Robben. Mata à été mauvais pour les Blues. Mais encore une fois le géant Cech s'oppose à Olic, puis Schweinsteiger frappe le poteau gauche et Drogba ne tremble pas. Victoire surprise en Champions du Chelsea de Di Matteo. A Notre Tour!! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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L'ancien défenseur de l'Inter Daniele Adani estime qu'une fois que cette équipe de Nerazzurri commence à jouer son football à son rythme, il est très difficile de trouver un moyen de les contrer. S'exprimant sur la chaîne Twitch de Christian Vieri, tel que rapporté par FCInter1908 , l'ancien défenseur a donné son avis sur la performance de l'Inter contre Benfica en quarts de finale de la Ligue des champions, affirmant que la qualification pour les demi-finales est pratiquement assurée sur la base du premier tour. Sur l'ensemble du match, l'ancien défenseur a estimé que "Benfica-Inter était un grand match, mais dans la première heure, cela ressemblait à City-Bayern au ralenti". "Quand nous disons que l'Inter est superficiel", nous voulons dire ceci : Si vous pouvez faire cela contre Benfica, vous devez pouvoir continuer et le faire également en championnat". "C'est une question de superficialité et de manque d'attention". "Une chose que j'ai aimée, c'est la performance de Bastoni, dans son interprétation comme un défenseur central large qui monte sur le terrain est presque unique", a poursuivi Adani, "il pense presque comme un arrière latéral". "Contre Porto, l'Inter était à la fois bon et chanceux, ils étaient juste bons, leur ligne défensive n'était pas trop basse, il y avait une tentative de pression." "Benfica a joué son jeu mais le match a fait ressortir la meilleure qualité de l'Inter, pourtant L'Inter ne dribble pas, mais ils savent comment passer le ballon." "Et une fois qu'ils ont pris leur rythme, il est difficile de le leur enlever, c'est difficile de rester compacte quand ils jouent comme ça." "S'ils s'appliquent, l'Inter peut faire ce qu'ils ont fait ici, ils n'ont encaissé aucun but contre Porto et Benfica, ils sont aussi solides." "L'Inter a été superficiel à plusieurs reprises, mais ils doivent toujours être compétitifs." "Je pense que l'Inter a obtenu sa qualification pour le prochain tour". Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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L'Inter est moins susceptible de vendre un joueur de renom pendant le mercato estival en raison de l'impact financier des performances de l'équipe en Ligue des champions cette saison. Ceci selon le média italien Gazzetta.it , qui rapporte que les revenus de la Ligue des champions ont réduit la nécessité pour les Nerazzurri d'apporter une grosse vente de joueurs sur le marché des transferts cet été, et que cela pourrait être encore plus vrai si ils atteignent les demi-finales. Le président de l'Inter Steven Zhang et le conseil d'administration du club sont depuis longtemps conscients de la nécessité probable de vendre au moins un grand joueur pendant le mercato estival. Si les supporters des Nerazzurri avaient espéré éviter un mercato similaire aux deux derniers étés, alors la situation financière du club laisse penser que ce ne serait pas le cas. Pourtant, le club n'avait pas forcément pris en compte la possibilité d'accéder aux dernières étapes de la Ligue des champions. En particulier lorsque les Nerazzurri ont été dans un groupe avec Barcelone et le Bayern Munich, le club ne tenait guère pour acquis les revenus qui proviendraient des huitièmes de finale de la compétition, sans parler des quarts de finale ou des demi-finales. L'Inter a déjà atteint les quarts de finale, et étant donné qu'ils ont battu Benfica dans la première ligue de leur match nul, il semble y avoir une chance très réelle qu'ils puissent atteindre la demi-finale et même la finale. L'augmentation des revenus provenant de la participation aux quarts de finale a déjà signifié que les Nerazzurri n'auront qu'à lever environ 25 à 30 millions d'euros de bénéfice net lors du prochain mercato estival. Cela pourrait potentiellement être compensé par les ventes de joueurs actuellement en prêt, avec un certain nombre de jeunes joueurs appartenant au club qui impressionnent actuellement lors de leurs périodes de prêt respectives. La Gazzetta note que le jeune milieu de terrain Giovanni Fabbian, qui brille actuellement en prêt avec Reggina, n'est pas un joueur sur lequel les Nerazzurri chercheraient à tirer profit, car c'est un joueur qu'ils considèrent comme une perspective majeure pour l'avenir. Une Très Très Bonne Nouvelle! Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Un Made In Italy supervisé par André Onana !
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, si l’Inter a retrouvé en solidité et en confiance, elle le doit en grande partie à son portier, André Onana, véritable révélation de la saison ! Mais elle le doit également au savoir-faire italien! Révélation de la Gazzetta Dello Sport "C'est à partir de ce secteur qu'est né le jeu retrouvé de l'Inter d'Inzaghi : De la solidité, de la confiance, avec cette capacité de construire les actions de l’arrière. Ce qui a fait la différence lors de la victoire en Ligue des Champions contre Benfica : c'est son bloc défensif! Celui-ci a permis à l’Inter, en construisant de sa base, d’éviter le pressing des Portugais: L'Inter a également conservé son brevet d’invincibilité défensive en Ligue des champions qui s’élève à six matches sur neuf, elle qui n’a encaissé que face au Bayern et au Nou Camp." "En cette période Post-Skriniar, ce n’est pas anodin de retrouver une telle harmonie en défense, car le sentiment est que les trois défenseurs centraux et André Onana ont adapté leur façon de défendre, de se positionner, eux qui savent qu'ils peuvent compter également sur les sorties du Camerounais: Darmian-Acerbi-Bastoni représente aussi un bon sentiment en termes de fierté italienne. Eux qui pourraient également s’avérer être d’une grande aide pour le Sélectionneur National Roberto Mancini car ils savent tout faire, surtout si, comme à Lisbonne, ils sont soutenus en phase de filtration, par le milieu de terrain" Validez-vous ce nouveau trio défensif ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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L'Inter s'est classé parmi les dix premiers du classement officiel des clubs de l'UEFA pour le football européen après sa victoire en quart de finale aller de la Ligue des champions contre Benfica. Cela est confirmé par le système de classement de l'instance dirigeante du football européen, comme le souligne le média italien FCInterNews , qui voit les Nerazzurri passer au niveau de leurs rivaux de Serie A la Roma et maintenant à seulement sept points de la Juventus au classement. Alors que l'Inter avait passé un certain temps loin de la compétition européenne, et en particulier de la Ligue des champions, les dernières saisons ont vu le classement des Nerazzurri augmenter dans la plus prestigieuse des compétitions Européennes. Un retour en Ligue des champions au cours de la saison 2018-19 après près d'une décennie a vu les Nerazzurri échouer à sortir de la phase de groupes à trois reprises, mais lors de chacune des deux dernières campagnes sous Simone Inzaghi, ils ont atteint l'objectif. Cette fois-ci, les Nerazzurri sont en quart de finale de la meilleure compétition de clubs d'Europe pour la première fois en douze ans. De plus, l'Inter s'est donné de très bonnes chances d'atteindre les demi-finales avec une victoire 2-0 contre Benfica à l'Estadio da Luz. Ce résultat a également vu l'ascension des Nerazzurri dans le classement officiel de l'UEFA, se classant parmi les dix premiers. Pendant ce temps, Naples et l'AC Milan, qui s'affrontent ce soir en quart de finale, ne font pas encore partie du top dix, tandis que la Juventus, qui affronte le Sporting CP en quart de finale aller de la Ligue Europa demain soir, est l'équipe italienne la mieux classée. Le top 10 complet du classement UEFA après le tour de matches d'hier est le suivant, calculé sur la base des performances récentes de chacune des équipes dans toutes les compétitions européennes : Manchester City – 137 points Bayern Munich – 135 points Chelsea – 126 points Liverpool – 123 points Real Madrid – 115 points PSG – 112 points Manchester United – 103 points Barcelone – 98 points Juventus – 96 points Inter – 89 points Roma – 89 points Ajax – 89 points Traduction Lindt1908 Via SempreInter