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L’Inter s’offre l’Euro-Derby Della Madonnina!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
En effet, l’Inter, 13 ans après avoir réalisé son Historique Triplé, retrouve les demi-finales de la Ligue des Champions après avoir éliminé un Benfica Lisbonne qui n’a jamais déposé les armes, dans un Giuseppe Meazza en fusion! En effet, si les buts d’Antonio Silva à la 86’ et de Musa à la 95’, dans une certaine incompréhension générale, n’ont fait qu’enrichir le marquoir, l’Exploit revient bel et bien aux Hommes de Simone Inzaghi qui avait débuté la compétition dans le Groupe le plus relevé du Tournoi! Mais cette Inter a double-face, capable de perdre contre Monza et de s’offrir le Fc Barcelone, retrouve donc l’Elite via un premier chef d’œuvre signé Nicolò Barella qui trouve la lucarne de Vlachodimos peu avant le quart d’heure. Si Aursnes permet à Benfica d’espérer à la 38’ de jeu, l’Armada Albiceleste Nerazzurra mettre fin à tout suspense en seconde péride avec un but de Lautaro Martinez à la 65 : Via un très beau travail d'un Henrik Mkhitaryan lançant sur son aile gauche Federico Dimarco : L’ailier italien centrait ensuite pour l'Argentin qui surgit tel un Taureau dans l'arène pour conclure du pied droit face à Vlachodimos à l’entrée du petit rectangle. L’épisode paranormal de la soirée est signé Joaquin Correa : Suite à une très belle combinaison interiste orchestrée par Romelu Lukaku, l'Argentin s'infiltre dans la surface, crochète Otamendi, frappe du droit dans le petit filet opposé avec l'aide du montant de Vlachodimos à la 78’. L’Inter se prépare donc à débuter un mois de mai infernal mais également très électrisant avec, dans le coin de sa tête, l’envie de laver l’affront d’une élimination amère, lors du précédent Euro-Derby de 2003! Le Saviez-Vous ? Les supporters de Benfica ont fait HONTE à leur Club en lançant des fumigènes sur nos Tifosi! Tableau Récapitulatif Inter 3-3 Benfica Agreegate: (2-0) Buteur(s): 14' Barella (I), 38' Aursnes (B), 65' Lautaro Martinez (I), 78' Correa (I), 86' Antonio Silva (B), 95' Musa (B) Inter: 24 Onana; 36 Darmian, 15 Acerbi, 95 Bastoni (81' 33 D'Ambrosio) 2 Dumfries, 23 Barella (76' 20 Calhanoglu), 77 Brozovic, 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco (81' 8 Gosens); 9 Dzeko (76' 90 Lukaku), 10 Lautaro Martinez (76' 11 Correa) Banc: 1 Handanovic, 21 Cordaz, 5 Gagliardini, 6 De Vrij, 12 Bellanova, 14 Asllani, 45 Carboni T1: Simone Inzaghi Benfica: 99 Vlachodimos; 2 Gilberto (46' 7 Neres), 66 António Silva, 30 Otamendi, 3 Grimaldo; 61 Florentino, 22 Chiquinho (81' 87 Joao Neves); 27 Rafa Silva (81' 33 Musa) 20 Joao Mario (89' 21 Schjelderup), 8 Aursnes; 88 Gonçalo Ramos Banc: 24 Soares, 75 André Gomes, 4 Verissimo, 15 Guedes, 19 Tengstedt, 21 Schjelderup, 23 Ristic, 73 N'Dour, 91 Morato T1: Roger Schmidt Arbitre: Del Cerro Grande VAR: Martinez Munuera Averti(s): Rafa Silva (B), Musa (B), David Neres (B) Expulsé(s) : / Affluence : 75.380 Tifosi Recette de la soirée : 8.200.528€ ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 14 commentaires
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Benfica doit faire un exploit sur la pelouse de l’Inter Milan pour se qualifier
Damien a posté un article dans Coupes d'Europe
Le SL Benfica va devoir réaliser un véritable exploit pour continuer son incroyable parcours en Ligue des Champions. Battus 0-2 à domicile la semaine passée, les Lisboètes visent l’exploit sur la pelouse de l’Inter Milan ce mercredi pour rejoindre les demi-finales de la LDC ! Mais la tâche s’annonce bien compliquée… Le Benfica Lisbonne est probablement l’équipe révélation de cette saison 2022-2023 de Ligue des Champions, au-dessus du Napoli. En effet, en termes de budget, le club portugais est bien en deçà du club milanais, qui reste tout de même très impressionnant sur cette saison. Les Aigles du Benfica ont réalisé une première partie de saison exceptionnelle, en terminant notamment en tête de leur groupe en Ligue des Champions, devant la Juventus Turin et surtout le PSG. Invaincue durant de longs mois, la bande de Roger Schmidt nourrit logiquement de grandes ambitions, tant en Liga qu’en Ligue des Champions. Leader du championnat portugais depuis la première journée, le club portugais comptabilise 4 points d’avance sur le FC Porto à la suite de ce week-end et sa défaite à Chaves. Certes, la période n’est pas la plus faste pour les coéquipiers de Gonçalo Ramos mais la tête était clairement au déplacement à Milan ce mercredi, en Ligue des Champions. Car mardi dernier, tout ne s’est pas passé comme prévu à l’Estadio da Luz avec la défaite du SLB face à l’Inter Milan (0-2). S’ils ont fait jeu égal avec les italiens, les Portugais n’ont pas forcément été favorisés par l’arbitrage, mais ils ont surtout manqué de réalisme dans le denier geste. Logiquement, Benfica croit toujours en la qualification malgré les deux buts de retard, et Roger Schmidt compte bien aller en Italie avec l’envie de gagner. « Il est vrai qu'être mené 2-0 à domicile n'est pas une bonne chose, mais nous sommes à la mi-temps du match. Nous avons eu de bons moments, mais nous avons aussi manqué d'efficacité. Est-ce que je crois en une victoire à Milan ? Bien sûr ». Mais au Stade Giuseppe Meazza, il faudra bel et bien faire un exploit. Déjà, d'après le site de paris sportifs Bwin, le Benfica ne part pas favori et c’est presque logique. En face, les Milanais ont montré une solidité à toute épreuve face aux Portugais et ont une marge de deux buts avant une potentielle prolongation. Une victoire de l’Inter est à 2,05 contre 3,25 pour le SL Benfica. Pour les plus fervents supporters des Aigles, il faudra espérer de grosses prestations de Joao Mario, le maitre à jouer de Benfica, mais surtout de Gonçalo Ramos, la nouvelle pépite portugaise. S’il est dans un bon jour, à l’image de son triplé face à la Suisse à la Coupe du Monde, il pourrait faire des misères à la défense italienne et aussi à André Onana, le gardien du Milan. Mais si les cadres ne sont pas à la hauteur, sans compter aussi sur un petit coup de chance dans le match ou avec l’arbitre, la qualification s’annonce bien difficile : la qualif de l’Inter est à 1,02 contre 9,00 pour Benfica ! Surtout que l’Inter a mis un coup derrière la tête des Portugais avec le succès à Lisbonne.- 1 commentaire
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Stéphane Dalmat s'est livré sur son compte Instagram, suite à la victoire de l'Inter sur le terrain du Benfica Lisbonne "Bonjour à tous, J'ai toujours mal à la gorge mais ça va mieux: Hier soir, je me suis accordé ce plaisir de voir une ictoire bien méritée de l'Inter qui a réalisé LE match parfait d'un point de vue tactique et technique: Les joueurs ont démontré, hier, qu'ils avaient cette capacité d'être une grande équipe: Certains ont déclaré que Benfica n'était pas à son meilleur niveau: C'est faux ! Et, selon moi, c'est l'Inter qui a élevé le sien et qui a prouvé dans ce match qu'elle était supérieure à Benfica. Je dis bravo à tous les joueurs, ils ont été sérieux et très forts défensivement et au milieu, mais par dessus tout réalistes en attaque, quelque chose qu'ils n'étaient plus capable de faire lors des précédentes rencontres: L'Inter aurait même pu mettre un troisième but tout comme elle aurait pût s'en prendre un à la dernière seconde: Pour moi, ce 0-2 est parfait car avec un tel résultat, la route vers les demi-finales est très accessible, et même si ce n'est pas gagné, car on a vu l'Inter être en difficulté durant la saison, elle a tout de même un pied en demi-finale: Mais elle devra jouer le match retour comme hier: Avec sérieux, car le football reste quelque chose de très étrange et que l'on est jamais à l'abri de situation incroyable. Mais j'ai confiance et je suis convaincu que l'Inter passera ce tour: Je suis aussi heureux pour tous les Tifosi qui ont toujours soutenu l'Inter dans ses mauvaises passes: Cette victoire est pour vous, je vous félicite tous! Je vous souhaite une bonne journée et comme je le dis toujours: Forza Inter." Le seul, l'unique: Stéphane! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Stéphane Dalmat analyse la rencontre contre Salernitana et nous parle du match de mardi contre le Benfica. "Je ne sais plus quoi dire. L'équipe est perdue, elle n'a plus confiance. Comment faire match nul face à un adversaire qui n'a rien montré ?". Ainsi commence le commentaire de Stéphane Dalmat après le match contre la Salernitana-Inter 1-1. "L'Inter avait la possibilité de gagner 3 ou 4-0, ils avaient 25-30 occasions de marquer. Ils en ont marqué un, mais ensuite il faut marquer la deuxième, la troisième , et au bout de 40 minutes il n'y avait plus de jeu. Puis vint un but extraordinaire, (Candreva) il a marqué le but de sa vie, s'il le tente à l'entraînement il n'y arrivera jamais, une chose incroyable. Hier on a perdu deux points, comme l'a fait le Milan, mais nous n'avons pas à les regarder, mais seulement les points dont nous avons besoin pour entrer en Ligue des champions." L'Inter tentera de se redresser en Europe mardi. "Ce match ne donne pas confiance pour Benfica, une équipe qui marque et qui joue bien. Si on joue comme ça, ce sera très difficile. Mais depuis le début de l'année cette équipe nous a habitués au fait qu'ils sont capables de ne pas gagner contre les petites équipes et de faire de grands matchs contre les grandes équipes. Je suis déçu des deux points perdus dans la course à la prochaine Ligue des champions. Le match d'hier reflète notre saison qui, je l'espère, se terminera de manière positive. Que nous puissions changer beaucoup de choses. Mardi, nous espérons une grande Inter contre Benfica". Traduction Lindt1908 Via Fc InterNews
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Stéphane Dalmat: "Benfica est une grande équipe qui a de l'expérience"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Nos Dossiers
Stéphane Dalmat s'est livré sur suite au tirage au sort des quarts et des demi-finales de la Ligue des Champions qui verra l'Inter affronter, dans un premier temps, le leader du championnat du Portugal: le Benfica Lisbonne! https://www.instagram.com/p/Cp42kueoEnq/ "Bonjour à tous, Je viens de regarder le quart des finales de la Ligue des Champions, C’est une bonne chose, c’est quasi le même que Porto: Benfica est une équipe avec des joueurs de meilleures qualités technique, Porto lui est une équipe plus dure physiquement, mais ça s’équivaut. Le match aller à Benfica sera un match difficile et nous devrons ne pas prendre de buts ou bien faire un résultat positif, et ensuite je suis sûr qu’à San Siro, avec l’ambiance, avec les Tifosi , avec tout le monde, ce sera une extraordinaire et on pourra le faire, pas tranquillement car si Benfica en est là, c’est que c’est une grande équipe qui a de l’expérience, mais je pense et j’espère que l’Inter pourra passer le tour et aller en demi-finale. Et en demi-finale, elle pourrait rencontrer le Milan, ce serait un remake de 2003! Car oui, je m’en rappelle toujours, et je me souviendrai toujours de cette désillusion en 2003 qui s’est joué sur très peu de détails, nous aurions pu aller en finale et je suis sûr que si nous étions aller en Finale cette année -là, nous aurions remporté la Ligue des Champions face à la Juventus. Il y a eu le 5 mai pour le titre et ensuite la demi-finale contre le Milan.... Ce sont deux parties qui te restent marqués et cette année nous avons la possibilité, si nous allons en demi-finale comme le Milan, d'avoir droit à notre revanche et j’espère que nous gagnerons pour aller en Finale. Je vous avait dit que la Ligue des Champions est différente, c’est quelque chose où, pour chaque équipe lorsqu’elle arrive en quart de finale, tout devient possible , c’était possible de rencontrer le Bayern de Munich , Manchester City et nous avons eu l’équipe, qui n’est pas la plus facile car si elle est là c’est qu’elle est très forte, mais qui nous est la plus accessible car si nous étions tombé sur Manchester City , je suis clair, c’est bien plus compliqué et bien plus difficile, pas impossible, mais difficile. C’est un bon tirage et j’en suis satisfait: J'espère que vous aussi et j'espère que nous nous qualifierons, que le Milan passe aussi, que nous battrons le Milan et qu’on s’envolera en demi-finale. Je vous souhaite une très bonne journée et comme je le dis toujours : FORZA Inter" ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 1 commentaire
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Tarcisio Burgnich est décédé le 26 mai 2021. Dans les années 1960, il était surnommé "la Roche". Le stoppeur de la Grande Inter d'Helenio Herrera, qui aura joué trois Mondiaux avec l'Italie et remporté un Euro, aura aussi entraîné durant 23 ans dans toute la Botte. En 2014, à l'occasion du numéro hors-série Tactique de So Foot, il avait livré ses vérités sur les évolutions tactiques de son époque à nos jours, de la courte vie du libéro aux méthodes du Mago Herrera. Comment raconter le schéma tactique de l'Inter d'Herrera ? "Moi, je jouais défenseur central droit, à l'époque j'étais ce qu'on appelait un « marqueur ». Mon rôle, c'était de défendre en individuel sur mon adversaire direct de la soirée. Dans cette équipe, il y avait quatre défenseurs : moi-même, Guarneri, Picchi et Facchetti. Mais on avait des rôles différents : Guarneri faisait comme moi sur l'autre attaquant, Picchi avait le rôle du libéro, et enfin Facchetti était une sorte de latéral gauche en avance sur son temps. Le premier au monde. Au milieu, on avait Tagnin qui nous protégeait. Et devant, cinq attaquants : Jair en ailier à droite, Peiro en pointe, Corso à gauche, et Mazzola et Suárez dans l'axe. Je peux vous dire que ça allait vite, avec tous ces créateurs..." Picchi, c'était quel genre de libéro ? "Guarneri et moi, on jouait sur le dos de notre adversaire direct, on devait le suivre partout, alors que Picchi était derrière et avait pour occupation de rattraper nos erreurs. Si on laissait filer un joueur, il était là pour s'en occuper. Mais Picchi ne montait pas du tout comme Beckenbauer à l'époque. Il parlait beaucoup sur le terrain, il avait une vraie personnalité et cette capacité à donner envie de partir au combat, mais il ne dépassait pas la ligne des défenseurs. Je me souviens bien des discours d'Herrera : « Toi, t'es défenseur. Ton objectif, c'est de ne pas faire marquer les adversaires. Aucune erreur. Toi, t'es attaquant. Ton objectif, c'est de la mettre au fond. » Picchi, lui, c'était le défenseur des défenseurs. On ne pouvait pas sortir de nos rôles, à part Facchetti qui jouait sur toute la largeur et qui faisait ce qu'il voulait." Les défenseurs ne sont pas amenés à être plus libres ? "Moi, je dis toujours que l'attaquant est un fantaisiste que le défenseur doit annuler. À l'époque, le défenseur avait vraiment un second rôle : il bougeait seulement en fonction de son attaquant. Eux, ils faisaient. Et nous, on les empêchait de faire. À Udine, Comuzzi me disait toujours : « Avec un œil et demi, tu regardes l'homme, et avec l'autre moitié de l'œil, tu surveilles le ballon. » Il n'y avait pas qu'Herrera qui pensait comme ça. En 1965, on joue en finale de Coupe des clubs champions contre le Benfica d'Eusébio. On défend un corner. Moi, je devais marquer Simões. Sauf qu'à un moment, il sort de la surface, et là je crie à Guarneri, plus proche de lui, que je prends en charge Eusébio. Ils tirent le corner, Simões nous contourne et passe à quelques centimètres de marquer. À la mi-temps, Il Mago vient me voir pour me demander ce qui s'est passé et m'explique : « Qu'est-ce que Simões est en train de faire, là ? Même s'il est aux toilettes, t'es censé être devant lui ! » (Rires.)" Et Herrera, tu l'as toujours suivi ? "Avec moi, Herrera a toujours joué avec un libéro. Il n'a jamais abandonné cette idée. Je me souviens d'une défaite à Bologne, on avait perdu 2-0 et on s'était engueulé. Je lui demandais : « Mais quand un attaquant adverse passe le milieu et n'a plus de marquage, pourquoi je ne peux pas monter sur lui et demander au libéro de s'occuper de mon joueur ?! » C'était un « non » catégorique de sa part : « Occupe-toi toujours de ton homme, et basta »." Qu'est-ce qu'il a apporté au football, alors ? "Il Mago a tout changé. Il a révolutionné le foot pour l'amener dans le monde moderne. Pour tout dire, je pense qu'encore aujourd'hui, certains entraîneurs sont moins avancés que lui... À Turin, quand je jouais à la Juventus, on faisait quatre tours de terrain, puis des exercices de passes et enfin des oppositions. Quand je suis arrivé à l'Inter, c'était un autre monde : avec Herrera, on n'a jamais fait un seul entraînement sans ballon. Aujourd'hui, tout le monde est surpris par les méthodes de Mourinho et d'autres, mais Il Mago les appliquait déjà dans les années soixante. La technique individuelle, les passes, le système tactique, tout était travaillé en même temps." Aujourd'hui, il a l'image d'un entraîneur très sévère... "Il a fait d'un jeu un sport professionnel, tout simplement. Quand je jouais à la Juventus, en 1960, on s'entraînait le mardi après-midi, mercredi, jeudi et voilà. Le jour du match, le dimanche, on avait rendez-vous à 10h du matin pour manger avec l'équipe, et puis on jouait l'après-midi. Rien de plus. Avec Herrera, les entraînements étaient planifiés tous les jours, notre alimentation était programmée, et surtout il a inventé les mises au vert avant les matchs. À l'Inter, j'ai passé plus de temps en mise au vert avec mes coéquipiers qu'à la maison ! Le samedi, le Mago nous faisait une analyse de l'adversaire du lendemain. « Celui-là, il est droitier et son dribble préféré est comme ça. Celui-là, il est super rapide. Ce qui est dommage pour lui, c'est que Facchetti est encore plus rapide. Alors on va jouer comme ça... » Du coup, le dimanche, on savait tous exactement ce qui nous restait à faire pour gagner. Sur le terrain, Picchi parlait en tant que capitaine, mais Herrera avait déjà tout dit." Quand est-ce que le libéro a-t-il commencé à disparaître ? "Moi, c'est en 1975 quand je jouais au Napoli sous les ordres du brésilien Luís Vinício que l'on a commencé à défendre différemment, en zone. Concrètement, le défenseur qui se trouvait dans la zone du ballon partait presser au lieu de suivre son joueur. Mais si tu regardes aujourd'hui, il y a toujours un joueur au profil du libéro, dans toutes les bonnes équipes au moins. Aujourd'hui à la Juve, il y a Bonucci qui joue de façon très différente par rapport aux autres centraux. Il n'est pas beaucoup plus reculé parce que c'est impossible dans le football moderne, mais il a plus de temps pour manœuvrer et il dirige les deux autres, qui sont bien plus engagés dans les duels (Chiellini et Barzagli, quand la Juve a une défense à trois, NDLR)." Que pensez-vous du football en 2014, alors ? "Tout le monde parle toujours de catenaccio en faisant référence à notre jeu dans les années 1960. Mais le catenaccio, ils le font tous aujourd'hui à défendre avec dix hommes sur trente mètres dès qu'une bonne équipe se présente en face. Le jeu est souvent très fermé, plus qu'à mon époque. Nous, on sortait le ballon sur Suárez, et ensuite l'équipe faisait des merveilles d'attaques rapides. C'était aussi une philosophie basée sur le talent. Aujourd'hui, voilà ce qui manque au football italien : des Suárez et des Corso. Des joueurs qui font la différence. Les systèmes, les schémas, c'est une chose. Mais le Bayern, le Barça, Chelsea et d'autres gagnent parce qu'ils ont les hommes qu'il faut. Le football italien a dû vendre beaucoup, et aujourd'hui il manque d'excellence, de talent." Y a-t-il aussi un problème de mentalité ? "Je me rappelle les discours de Trapattoni. « Ne prenez pas de buts ! L'objectif, c'est de ne rien encaisser. De toute façon, à ce jeu, il y en a toujours un pour la pousser au fond à un moment ou un autre... » Je pense que la mentalité italienne a beaucoup évolué dans ce sens-là." Source So Foot 26 Mai 2021 dans une interview initialement publiée en décembre 2014
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L'Inter pourrait offrir l'arrière gauche Valentino Lazaro à l'Eintracht Francfort dans le cadre d'un transfert "argent + joueur" pour le Serbe Filip Kostić. Et comme rapporté par le quotidien Portugais O Jogo, l'Autrichien ne s'est pas imposé à Benfica. Il est actuellement prêté par l'Inter au club Lisboète. Une nouvelle destination pourrait être recherchée. Lazaro a rejoint l'équipe de Jorge Jesus en prêt durant le mercato d'été 2021. Mais jusqu'à présent, il n'a pas trouvé de régularité dans la capitale Portugaise, plus spécialement à cause d'une blessure, qui l'a limité à 6 petites apparitions. Pendant ce temps, les Nerazzuri s'activent pour trouver un remplaçant à Ivan Perisić pour le côté gauche. Le latéral de l'Eintracht Filip Kostić est une de leurs cibles prioritaires. Le club Allemand ne veut pas brader le joueur de 29 ans, l'évaluant aux alentours de 20M€. Mais les Nerazzuri pourraient envoyer Lazaro, un joueur avec une bonne expérience en Bundesliga, dans l'autre sens afin d'essayer de faire baisser le prix demandé pour le Serbe. Mais l'optimisme est de mise du côté de la formation Lombarde. Kostić a récemment choisit Alessandro Lucci, qui a déjà des clients du côté de l'Inter, comme agent. Le Serbe souhaite rejoindre la Série A et l'Inter. ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via SempreInter
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En effet, il s'agit d'une information relayée par nos confrères de RTL-SPORT.BE même si ceux-ci ne sont pas capable de reprendre Internazionale.fr comme source d'un de leurs articles, l'information ci-dessous a le mérite de retenir toute notre attention Le président du club de football Benfica Lisbonne et trois autres personnes ont été arrêtés mercredi dans le cadre d'une enquête portant sur des soupçons d'escroquerie et de fraude fiscale, ont rapporté les médias locaux. Les autorités ont mené 45 perquisitions dans les régions de Lisbonne et Braga (Nord) et "quatre personnes ont été arrêtées, deux hommes d'affaires, un agent sportif et un dirigeant sportif", a indiqué le parquet dans un communiqué, sans toutefois nommer le président du Benfica Luis Filipe Vieira. Selon la presse portugaise, le domicile du dirigeant du club le plus populaire du pays, son siège, la banque portugaise Novo Banco et l'homme d'affaires José Antonio dos Santos ont fait l'objet de fouilles. Le parquet enquête sur "des faits qui se sont déroulés, pour l'essentiel, de 2014 à aujourd'hui et qui peuvent inclure la pratique, entre autres, de délits d'abus de confiance, d'escroquerie, de faux, de fraude fiscale et de blanchiment", a-t-il précisé. D'après les médias locaux, Luis Filipe Vieira aurait escroqué le système bancaire et profité de sa position de président du club pour que José Antonio dos Santos, son ami, obtienne d'importants bénéfices dans la vente d'actions à Benfica, en échange de l'effacement de ses propres dettes. Luis Filipe Vieira, 72 ans, dirige le club depuis 2003 et sa présidence a été émaillée ces dernières années d'une demi-douzaine d'affaires judiciaires le visant directement ou l'impliquant indirectement. Ces accusations portent notamment sur des faits de blanchiment d'argent, fraude fiscale, corruption et trafic d'influence.
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