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  1. Simone Inzaghi s’est livré à Inter TV suite au partage des points entre l’Inter et le Juve, dans le cadre de la première manche du Derby d’Italie Édition 2023/2024: "Nous savons que ce n’est jamais simple de marquer un but à la Juventus car elle défend bien, l’équipe a été menée mais est restée concentrée, les garçons sont restés lucides et ont inscrit un très grand but sur une belle phase de jeu." Des rotations ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Benjamin Pavard est né le 28 mars 1996 à Maubeuge (Nord), cest un footballeur international français qui évolue au poste de défenseur central et de latéral droit à l'Inter. Il est surnommé affectueusement Jeff Tuche par certains de ses coéquipiers français, notamment par le latéral Benjamin Mendy, en référence à sa coupe de cheveux ressemblant à celle du célèbre personnage de fiction incarné par Jean-Paul Rouve. Fiche complète du joueur
  3. Le défenseur de l'Inter, Benjamin Pavard devrait être capable de commencer à s’entraîner sans attelle la semaine prochaine. D'après la Gazzetta dello Sport, via FCInterNews, le défenseur français peut commencer la phase suivante de sa récupération. Le joueur de 27 ans a souffert d'une blessure au genou, suite à une collision avec Ademola Lookman, lors du match de série A contre l'Atalanta. Le fait de pouvoir retirer sa genouillère signifie la guérison de la contusion. Évidemment, Benjamin Pavard ne pourra pas revenir sur le terrain tout de suite mais une fois que l'attelle est retirée, le Nerazzurro sera capable de reprendre l'entraînement individuel. Il devrait être de retour pour les matchs de son équipe dans quelques semaines.Et ce n'est pas trop tôt pour le club car l'absence du joueur a amené un manque en défense, notamment dû au fait de l'absence prolongée de Juan Cuadrado et des doutes sur la condition de Denzel Dumfries. Si le Champion du Monde 2018 manquera les chocs de Série A face à la Juventus et au Napoli, son retour se fait entrevoir. Et Pavard devrait faire son retour dans l'équipe, pour attaquer le calendrier chargé qui suivra Noël. ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  4. Dans son dernier post, publié sur Instagram, notre Benji s’est montré en train de se balader dans la rue en faisant preuve d’autodérision dans un look assez "geek". Si le défenseur a ironisé par un "Take a walk" (je fais un tour), celui-ci n’a pas été loupé par deux de ses équipiers ! Marcus & Hakan Alliance Le premier, compatriote de Benjamin Pavard s’est livré par : "Mr Bean!" qui a été suivi par "La chanson de Mr Bean est vraiment cool." de l'international turc! Anecdote du vestiaire ou pas, les Tifosi ont plutôt trouvé une similitude avec Clark Kent. Pensez-vous que Benji saura s’en relever… ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Grâce à l’excellent travail réalisé par Giuseppe Marotta et Piero Ausilio, l’Inter peut se vanter de disposer de deux lignes défensives qui pourraient être titularisées dans n’importe quel Club de la Botte. Révélation de la Gazzetta Dello Sport Simone Inzaghi, l’entraineur de l’Inter se trouvé déjà confronté à une petite urgence, mais il sait déjà sur quels hommes il pourra compter vu les blessures et forfaits de Benjamin Pavard et d’Alessandro Bastoni. La défense est pratiquement connue pour Turin : Inzaghi a les hommes sur qui compter et les titulaires se nomment Matteo Darmian, Stefan De Vrij et Francesco Acerbi qui, sera contraint de se décaler au poste de centre-gauche. Bisseck représente la seule alternative valide à disposition pour ce poste et c’est justement l’aspect qui préoccupe le plus Inzaghi car il fera face à série de trois matchs à l’extérieur à gérer. Et il est acté qu’il ne sera pas possible de procéder au système de rotation si cher à l’entraineur Nerazzurro: Bisseck aura son maillot de titulaire à Lisbonne, c’est déjà acquis, mais les autres choix se réduisent inévitablement. Prenez Darmian, le numéro 36 sera contrait de jouer de façon stable en défense. Cela signifie qu’il faudra aussi prendre con compte la condition physique approximative de Juan Cuadrado tandis que Denzel Dumfries sera appelé à faire de l’extraordinaire. C'est aussi positif pour Inzaghi que De Vrij soit revenu à son plus haut niveau: L'hollandais est de fait considérer comme une excellente "acquisition" car, l’été dernier, son départ était quasiment acté, il était en fin de contrat et son temps de jeu avec Inzaghi était tout autre que constant. Après sa prolongation, cette saison met en évide une croissance totale et une disponibilité n’a jamais fait défaut : Son rendement sur le terrain est similaire à celui de l’année du Scudetto sous Antonio Conte. De plus, De Vrij a également démontré qu’il était capable de couvrir le rôle de centre-latéral, un poste qui n’était certainement pas le meilleur possible vu ses caractéristiques. Inzaghi dispose donc de ressources pour se présenter à Turin avec une défense de haut niveau, car au net des Hommes qu’il a à sa disposition, il ne peut se féliciter que de disposer d’un rempart global aussi équilibré Faudra juste éviter toute nouvelle blessure en défense ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. Simone Inzaghi donne son interprétation d'Inter-Frosinone, 2-0, dans la salle de conférence du Meazza pour répondre aux questions des journalistes. Quelles marges de croissance l’Inter dispose-t-elle ? Outre le but de Dimarco, vous pouvez voir que l'Inter fait ce qu'elle fait à l'entraînement. Y a-t-il quelque chose qui vous a surpris ? Quel pourcentage du Scudetto implique Juve-Inter ? Allegri dit que l'Inter est favorite, Marotta dit la Juve : où êtes-vous ? Vous avez devancé Milan et Naples dans la course au Scudetto. Darmian et Acerbi sont-ils les exemples de cette Inter ? Traduction alex_j via FCInterNews.
  7. A la veille de la 4ème journée de phase de poule de Ligue des Champions pour l'Inter, le club s'apprête à affronter le FC Salzburg, l'entraîneur Simone Inzaghi s'est exprimé depuis la Red Bull Arena avant le match: Une victoire demain (mercredi*) pourrait permettre à l'Inter de s'épargner des derniers matchs de poules compliqués. A quel point est-ce important ? Vous avez une équipe de 15/16 joueurs titulaires potentiels ? Est-ce que vous pensez à changer l'approche du match ou est-ce que vous êtes heureux de la manière dont les choses se sont passées au Meazza ? Comment aurez vous besoin de jouer ? Est-ce que Bisseck est prêt pour un match comme celui-ci ? Quelle est la dynamique entre Barella et Frattesi ? ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  8. Piero Ausilio, le Directeur Sportif de l’Inter s’est livré sur sa carrière Nerazzurra au cours d’une très longue interview octroyée à Radio TV Serie A avec RDS. Celui-ci s’est livré sans se cacher aux demandes d’Alessandro Alciato. Son long mariage avec l'Inter "Mes pensées fusent dans tous les sens, des matchs qui ont eu lieu à ceux qu’il y aura, je vis à un rythme qui ne me permet pas de me relaxer, mais c’est aussi bien de penser à d’autres choses, parfois, qui t'apporte plus de légèreté par moment. C’est un long parcours, difficile, fait de sacrifices et de beaucoup d’autres choses, comme ça se doit de l'être justement. Pour arriver au niveau de l’Inter actuel, il a fallu passer par un très beau parcours, avec un staff important et avec un propriétaire qui t’apportent énormément de motivation, avec un héritage important. Le tout nous a permis d'être à nouveau conquérant en très peu de temps." Quel type d’interiste es-tu ? "Je cherche à vivre le présent, à travers le travail et le sacrifice, je pense à comment apporter ma contribution pour ce club. J’ai commencé mon parcours il y a 25 ans, en grimpant les échelons qui m’ont formés et rendu plus fort. Aujourd’hui, vu aussi l’âge que j’ai, je me sens fort et compétent pour apporter une contribution à un club aussi important." Es-tu né interiste ? "Je suis né pour le plaisir du football, j’étais un malade du football. Je suis né et j’ai grandi à Pro Sesto, j’ai commencé ma carrière de manager là-bas car j’ai dû assez rapidement interrompre ma carrière de joueur." Un poster dans ma chambre ? "Je n’en avais pas car je n’avais pas de chambre. Je suis fier car j’ai conscience des sacrifices qu’ont fait mes parents : Mon enfance était très normal avec des parents travailleurs. J’ai rapidement fini mes études en 1998. Ensuite j'ai fait ma thèse en Droit en 2005 avec quelques contraintes car j’avais déjà commencé à travailler à l’Inter." "A 16 ans, j’étais en équipe première de la Pro Sesto, ensuite, j’ai connu une série d’interventions chirurgicale et j’ai raccroché. Ma chance a été de commencer à fréquenter l’environnement du Mercato avec le Président de la Pro Sesto." Comment a débuté la carrière de Manager ? "Je me considère extrêmement chanceux car j’ai toujours rêvé de faire ce travail. J’avais mes modèles, des personnalités qui étaient des références importantes. Je savais que j’allais devoir bien bosser pour gravir les échelons, je l’ai accepté et j’ai refusé d’emprunter des raccourcis. J’ai toujours tout pris comme cela arrivait, en faisant des sacrifices, j’ai également demandé des sacrifices à ma famille. Je ne les ai jamais considéré comme tels et cela ne le sera jamais car c’est ma vie et c’est ma passion : Je ne parviens pas à vivre ma carrière comme un métier, mais plutôt comme une grande responsabilité." Quel joueur étais-tu ? "J’allais devenir professionnel. J’étais très en avance vu mon âge, à 16 ans j’étais déjà en équipe première en Serie C1. Je ne sais pas si je serais parvenu au plus haut niveau, car il me manquait ce petit quelque chose pour la Serie A. J’ai été très bon pour tout reprendre à zéro après deux années de calvaire où j’ai dû faire face à pas mal de choses, ce n’était pas donné à tout le monde." Que retiens-tu de cette période de blessures ? "Après les premières interventions, je cherchais à revenir, à tout faire car c’était mon rêve. Je me tuais au travail, en physiothérapie et ensuite j’ai compris. Lorsque je rentrais sur le terrain, il y avait toujours cette seconde de trop où l’autre te découpe, c’était mieux d’arrêter. Être joueur amateur ne m’intéressait pas, je voulais toujours faire les choses au plus haut niveau et j’ai décidé de me lancer en Droit. Ensuite j’ai commencé à travailler comme Manager." "J’ai aussi cherché à être entraîneur mais le Président illuminé qu'était Peduzzi de la Pro Sesto m’avait dit que dans le Calcio, il n’y avait pas de grands managers et qu’il voyait ce talent en moi. J’ai pleuré à de très nombreuses reprises, il y a eu des moments douloureux, mais ce sont des situations qui se doivent d’être vécues car elles te rendent plus fort et te responsabilise : J’ai réussi à accorder la bonne attention à ces choses." Tes premières larmes à l’Inter ? "Je n’ai pas un souvenir triste en particulier. Je n’ai pas pleuré dans les Finales, j’avais juste un peu d’amertume, j’avais déjà l’envie d’en découdre dès le lendemain." Même pour la dernière disputée à Istanbul ? "Je dirais la même chose oui." En 1998, c’est ton premier contact avec l’Inter… "Je m’en souviens parfaitement, il y avait une négociation avec le Responsable du secteur des Jeunes de l’époque. On voulait que je débute immédiatement à temps plein, mais il me manquait un examen et j’ai réussi à négocier un contrat de 6 mois à temps partiel avec 4 heures seulement l’après-midi, ce qui m’a permis par la suite un temps plein de 8-10 heures." "J’ai passé tellement de soirée à Interello avec l’agent de sécurité qui venait m’apporter un sandwich. Cela ne m’a jamais pesé. Je me souviens de mon premier vrai match, dans un stade avec l’armoirie de l’Inter. Elle était là, présente au Parc des Princes, lors de la Finale de l’UEFA entre l’Inter et la Lazio." "Je me souviens de mon début dans la Direction Sportive, j’étais chanceux et c’était un plaisir : Moratti m’avait appelé alors que j’étais au Brésil, il me disait qu’il voulait que je suive l’équipe à Kiev en 2010. La rencontre qui fut décisive pour le Triplé. Depuis lors, je suis toujours l’équipe première." Est-ce possible de résister à la pression ? "Ce n’est pas facile, mais il n’y a qu’un seul secret : Je cherche toujours à donner le maximum, j’ai pu travailler avec trois propriétaire différents et importants. Ils m’ont tous mis à l’épreuve et je suis toujours resté car ils ont vu quelque chose en moi : la promesse du savoir-faire." "Ensuite rester n’est jamais acquis : Tu dois avoir l’envie de bien faire les choses, avec un bon groupe de travail, c’est là qu’est ta chance car seul tu ne sais rien faire, il faut être entouré de personnes compétentes et j’en ai connu tellement." Des personnes à remercier "Je dois énormément à Moratti qui m’a fait rentrer à l’Inter et qui m’a permis de grandir. Le vrai changement est arrivé avec Thohir qui m’a intronisé comme Directeur Sportif. Ensuite, nous avons connu des périodes très difficiles mais j’ai toujours ressenti le soutien de la Famille Zhang et de Steven, même s'il n’était pas là tout de suite. C’était important de ressentir cette confiance. Dès l’arrivée de Steven à Milan, nous avons débuté un nouveau parcours et j’ai ressenti une toute nouvelle confiance : je tiens à les remercier tous les trois." Ton plus beau moment dans l’absolu ? "Beaucoup de choses me lie au Secteur Giovanile (Jeunes), car nous faisions des choses folles et je voyais grandir les garçons : Nous avons remporté beaucoup de Scudetti durant ces 25 années et j’ai aussi apporté ma contribution lors des années Branca, car il m’avait donné aussi de grandes responsabilités. Le dernier Scudetto, celui remporté avec Conte, est celui que je considère le mien à 100%." La recrue dont tu es le plus fier "Elles sont nombreuses, toutes sont de belles histoires et ont leur particularité. Je risque de faire du tort à certains, mais celle de Lautaro est une histoire très particulière car il était, en fait, quasiment un joueur de l'Aletico Madrid. Lorsque j’avais pris l’avion, j’y allais avec 1% de chance de faire face à une situation compromise et 99% de risque de faire mauvais genre, mais ce furent quatre jours de folie. Il ne manquait que la signature avec l’Atletico. Il y avait par chance, une clause que Lautaro ne voulait pas et c’est là que nous avons entrepris un grand travails d’équipe : Zanetti m’a aidé, avec son agent Milito, car son Président était très coriace." "Une fois le tout terminé, j’avais assisté à une rencontre qui était un massacre car il avait inscrit un triplé et obtenu un pénalty. Nous nous sommes revenu le lendemain au tour de la table et nous l’avons payé un peu plus cher, mais nous sommes parvenus à le ramener à la maison. Même Balotelli me fait me rappeler de très beaux souvenirs, celui de l’avoir fait connaitre dans le football qui compte et il y su saisir sa chance à 70%." Et la négociation la plus compliquée ? "Il y en a tellement. Ce n’était pas facile par exemple d’arracher Pavard au Bayern car ils ne voulaient pas s’en priver. Même dans une négociation qui te semble sur la bonne voie, il peut toujours se passer quelque chose à une minute de la fin." Et le recrutement manqué ? "Il y en a eu, mais il vaut mieux ne pas s’en rappeler. J’ai envie de citer Pierluigi Casiraghi, mon second père d’un point de vue sportif et professionnel. Il avait cette vision, il voyait tout avant tout le monde : Il avait vu Fabregas alors âgé de 16 ans, j’avais tout fait pour le recruter, mais il n’y avait pas moyen. Il y a eu aussi d’autres joueurs avec qui nous avions négocié mais qui ont finalement signé ailleurs." Quelle est la plus grande déception de ta carrière ? "J’en ai connu plus d’une en carrière. Avec Lukaku, c’est une désillusion pour la façon dont cela s’est terminé, mais j’ai le respect d’essayer de ne pas m’exprimer sur un joueur d’un autre club. J’aime parler du présent et de l’avenir. Il fait partie du passé. Je me souviens d’un magnifique Scudetto et d’une très belle plus-value, et c’est la vérité, de deux finales perdues." Que s’est-il passé avec Lukaku ? Dites-nous la vérité… "Je préfère ne pas en parler, je dirais seulement qu’il faut faire preuve d’éducation et de respect en toutes choses. A un moment donné, les choses sont allées de l’avant, mais il y avait un manque d'éducation et de respect. Lorsqu’il y a une volonté de se dire les choses droit dans les yeux, il n'y a jamais de problème." "Quand on ne répond pas au téléphone, qu'on se refuse à me répondre ou qu'on répond par l'intermédiaire d'autres personnes, il est temps de passer à autre chose. C'était comme ça depuis le 8 juillet." L’appel où j’étais furieux ? "C'est une légende. Il y a eu ce coup de fil après plusieurs tentatives, mais il a été de courte durée. J’étais ferme, décidé, mais ce n’était rien de spécial, j'ai dit ce que je pensais en très peu de temps". Lukaku, Samardžić et Skriniar : quel été... "Ce sont des expériences, des défaites sur le terrain et sur le mercato, mais on en apprend toujours quelque chose." A combien de reprise as-tu fait l’objet de convoitises ? "C’est arrivé, mais je n’ai jamais eu l’envie de m’en aller, il y a eu des contacts, des situations, mais jamais une négociation ou même la projection d’un projet. Je n’ai jamais eu fondamentalement la pensée de quitter le club, c’est bien trop difficile. Je suis lié à trop de choses qui vont au-delà du Blason : C’est ma seconde famille. Pour moi, c’est différent de tous les autres. Le jour où le Président me dira qu’il est temps de passer à autre chose, je ne pourrais juste que lui dire un très grand merci". As-tu une date d’échéance en tête ? "J’ai songé à la retraite, mais j’aimerais encore continuer un peu après, mais pas trop non plus. Tant que tout va bien avec Steven…. Je me sens super bien ici avec Marotta et Baccin. Nous avons des secrétaires et des Scouts merveilleux, je m’appuie sur des personnes capables." Ausilio et Marotta "C’est un beau duo qui fonctionne car il y a du respect : Marotta comprend le Football, il a des années d’expériences, mais il a une grande qualité : il délègue et fait confiance aux personnes qui l’entourent. Moi aussi je transmets mon expérience aux personnes qui me sont proches. Je pense qu'il est intervenu pour dire non à un joueur deux ou trois fois au cours de ces cinq dernières années, mais uniquement parce qu'il connaissait déjà le joueur ou des aspects du personnage que je ne connaissais pas." "Sinon Il vous laisse travailler, et ensuite vous échangez vos points de vue : Cela permet au directeur sportif de se concentrer sur son travail, car je n'ai ni le temps ni l'envie de m'occuper des relations, de la communication et des autres choses. Je me concentre à 100 % sur l'entraîneur, les joueurs et les réunions avec les agents, sans me disperser sur des choses qui ne sont pas de mon ressort." Lautaro-Thuram ? "C’est un beau duo, mais j’aimerai plus parler d’un quatuor : Ils s’entendent à merveille, nous avons aussi Sanchez et Arnautovic qui vous ferons voir ce qu’ils ont sous le pied." La première fois que tu as pensé à Thuram ? "Après la vente de Lukaku à Chelsea. Il ne savait même pas qu'il pouvait être attaquant. Nous avions obtenu Dzeko gratuitement de la Roma, mais il nous manquait le deuxième attaquant pour compléter le rempart avec Lautaro. J'avais déjà parlé avec lui et son père, les négociations avançaient rapidement, notamment grâce à Mino Raiola, dont je profite de l'occasion pour m’en souvenir. Nous avions presque tout défini, mais le dimanche précédant la réunion finale, il s'est blessé au genou et nous avons dû changer d'objectif." "Ces réunions ont été notre base. J'ai été le premier à dire à Lilian que son fils pouvait devenir attaquant central, il me l'a d’ailleurs rappelé récemment. Notre projet était finalisé et centré sur lui." Onana et Sommer ? "Ce sont des gardiens différents, mais nous avions déjà décidé d’en changer après toutes ces années. Mais Samir va rester, nous avons un projet avec lui pour les deux prochaines années. Nous tenions à avoir une valeur sure, prête immédiatement. Nous aurions pu nous concentrer sur des gardiens plus jeunes, mais Sommer était ce qu'il nous fallait. Il avait déjà pris la peine d'apprendre l'italien pendant les négociations, c'est un professionnel fou". Plus stable le duo Ausilio-Marotta ou Thuram-Lautaro ? "J’espère que les deux pourront encore durer longtemps." A quel point le Mercato a-t-il changé ces dernières années ? "Enormément, tout comme la position des équipes italiennes comparées aux autres. Ici, les Italiens peuvent faire des investissements, mais toujours avec prudence et sans faire de folies. Dans le monde entier, il y a des clubs qui disposent de plus de ressources et vous pouvez sentir cette différence. Mais nous sommes restés bons parce que nous arrivons toujours à trouver des situations moins chères ou à anticiper le Mercato, en récupérant aussi des joueurs qui ne sont pas affirmé à 100% dans de plus grands clubs, en les faisant venir et en leur permettant d’atteindre des niveaux qui correspondent à leurs réelles qualités. Des choses intéressantes peuvent être trouvées en Angleterre." Les agents exagèrent-ils ? "Je parlerais toujours de manière subjective, sans généraliser. Il y a des agents qui aident aussi les clubs et d'autres qui ne s'intéressent qu'à leur propre portefeuille, perdant de vue les intérêts un peu plus globaux. Je travaille avec beaucoup d’entre-eux, j'en ai rencontré beaucoup. Pour certains j’ai moins de considération et pour d’autres beaucoup plus : on acquiert cela avec l'expérience". Le fait de ne pas être une personne médiatique est un choix réfléchi ? "J'aime être comme ça, ce n'est pas un choix. Chacun à sa place et selon moi, la Communication de l'Inter ne peut pas être faite par un Directeur Sportif qui doit s’exprimer quotidiennement. On parlerait toujours des mêmes choses, des choses que je ne tiens pas à exprimer sur la place publique. C’est bien plus intelligent que ce soit le rôle de l’Administrateur-Délégué du club car il peut s’exprimer à 360°." As-tu encore un compte fake Instagram sur les réseaux sociaux actif ? "Oui, bien qu'une phrase un peu ironique ait été extrapolée : Je ne contrôle absolument pas les épouses des joueurs, c'était une blague faite dans un contexte particulier. Elle est née dans un moment d'exposition médiatique excessive, le compte suit les clubs de football, les agents, un peu de tout." As-tu encore des rêves ? "Oui même si je ne me souviens pas de tous." Le prochain ? "C’est quelque chose qui n’est pas si éloigné, mais qui est bien évidemment sportif et qui demande du travail, de la volonté et de la continuité. J’aimerai arriver à la Seconde Etoile qui est là, et pour laquelle d’autres se battent aussi. L’important est de se battre jusqu’au bout, et si quelqu’un d’autres est meilleur, j’irai lui serrai la main." Vous n’étiez pas si loin à Istanbul... "J’avais ce sentiment avant même de disputer la rencontre. Pendant le match, nous semblions si forts et compétitifs, nous avions joué à armes égales avec l'équipe la plus forte du monde. Nous étions ambitieux, même si nous étions conscients qu'il y avait une équipe bien mieux armée que nous face à nous. Nous voulions vendre chèrement notre peau face à tous." "Je sais d'où nous sommes partis : au début de l'ère Suning, nous étions peut-être derrière la 50e place du classement des meilleurs clubs du monde, aujourd'hui nous oscillons entre la septième et la huitième place. Peut-être que cela nous donnera une chance de participer à la Coupe du monde des clubs, qui aura lieu dans peu de temps. Mais pensons déjà à nous qualifier pour les huitièmes de finale." Quel genre de personne est Inzaghi ? "Simple, humble, brillant. C'est l'une des personnes les plus gentilles que je connaisse dans le football. Il a sa propre routine, des exigences qui ne sont pas démesurées : il est brillant, talentueux et encore jeune. Il a le goût prononcé du football de qualité et fait en sorte que tout le monde se sente bien. Il a créé un bon groupe et cela se voit, les résultats ne sont pas seulement le fruit de la performance, mais aussi du fait de se sentir bien tous ensemble et d'avoir envie de partager son temps ensemble." A quel point a-t-il été proche du renvoi ? "Jamais. Je peux me montrer extravagant, mais ce n'est pas dans la culture de Zhang et ni même de Marotta. Je crois que Marotta n'a jamais remercié un entraîneur en 40 ans de football, et encore moins moi. C'était une période difficile, mais nous savions que nous avions besoin de cette force qu’est l’Union et de stimulations, tout en s’attardant sur les choses qui n'allaient pas." "Nous avons tous réussi à nous en sortir et à entamer ce voyage fou lors des deux derniers mois qui nous a menés à la cette qualification pour la Ligue des Champions, à la Finale de la Coupe d'Italie et à Istanbul. Nous n’avions jamais envisager son renvoi : Ce n'est pas dans la culture des dirigeants de l'Inter". Quel président est Steven Zhang ? "Il y a une fausse idée de Steven Zhang en tant que président. D'un point de vue technique, il n'est peut-être pas l’un de ces présidents qui peut juger des qualités d'un joueur et c'est une bonne chose, car les managers et l’entraîneur peuvent faire leur travail. Mais Il est très passionné, il se montre toujours très proche, il regarde tous les matchs et, à tout moment, et il vous apporte de la tranquillité et de la sérénité." "Lorsque des fautes sont commises, il ne se montre jamais exaspéré par la situation. L'échec de la vente de Skriniar par exemple, avec un autre président, aurait provoqués des comportements et des attitudes différentes. Il a immédiatement regardé bien plus loin Sa préoccupation était : OK, qui allons-nous mettre à la place de Skriniar ? C'est un Entrepreneur, il a une vision très large." "Il vous laisse faire ce que vous voulez, il vous apporte de la sérénité et de la sécurité." A quel point a changé Milan ces dernières années ? "J'ai toujours vécu en province, mais Milan a beaucoup changé. C'est une véritable métropole, en constante évolution et vivante. Milan est aussi très attractive pour beaucoup de travailleurs étrangers. Je le vois avec les footballeurs, et avec leurs femmes qui l'aiment et nous en jouons aussi. Cela te permet de bien vivre ton métier, tu n'as pas de grande pression. Il faudrait un peu plus de sécurité pour permettre à chacun d'exprimer ses désirs et ses envies". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Le défenseur Benjamin Pavard a subi une série de tests médicaux suite à sa blessure lors la victoire de l'Inter à Bergame. De nouveaux examens ont eu lieu à l'Institut Humanitas à Rozzano ce matin. Les tests ont établis que le joueur souffre d'une luxation de la rotule. Le défenseur devra porter une attelle durant 3 à 4 semaines avant de commencer le processus de rééducation. ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  10. L'Atalanta succombe aux coups de Hakan Calhanoglu et Lautaro Martinez et l'Inter se place à la première place du classement. Voici les commentaires de Simone Inzaghi aux micros de DAZN. Très belle victoire... "Nous savions que c'était un match difficile mais les garçons ont été très bons. Nous avons très bien tenu le terrain, l'Atalanta nous a mis la pression dans les 20 premières minutes mais ensuite nous sommes revenus et avons marqué au bon moment." Votre manière emporte également cet esprit de Bergame. "Absolument. Il suffit de voir comment Darmian est entré sur le terrain, de manière exemplaire, sans s'échauffer." Concernant Benjamin Pavard, cela semble moins sérieux que prévu. "Il faut attendre, la rotule est sortie et puis est rentrée lors du contact. Il est serein. Les médecins prennent, à juste titre, leur temps mais à mon avis on va le perdre pendant un moment." Pourtant, sa célébration sur le but témoigne de son harmonie avec le groupe. "Ce sont des choses qui font plaisir à un entraîneur. Les médecins ont bien réussi à remettre la rotule en place mais il s'est passé quelque chose." Quels étaient vos doutes sur les derniers changements ? Bisseck semblait prêt... "Avec Darmian, j'avais perdu une place, je voulais mettre Sanchez en premier parce que j'étais sûr qu'il entrerait très bien et c'est ce qu'il a fait. Puis j'ai vu Dumfries un peu fatigué et j'ai voulu mettre Bisseck à sa place pour donner du physique au centre-droit. Ensuite, j'ai vu Calhanoglu fatigué et j'ai inséré Asllani qui a fait une excellente entrée, comme toujours jusqu'à présent." Sur le but de Scamacca, était-ce la naïveté de Dimarco ou était-ce une faute ? "Cela ressemblait à une faute mais l'arbitre a permis que cela continue. Malheureusement, c'était un but lourd de conséquence mais je pense que Sozza a bien mesuré et a bien arbitré." Vous attendiez-vous à ce que l'Inter soit douée pour ranger le fleuret et canaliser la Dea dans un duel comme celui-ci ? "À Bergame, les matchs sont comme ça, nous avons joué sur un terrain magnifique et nous avons réussi à faire des tacles sur un terrain qui n'était pas des plus faciles." Lautaro a bien joué... "Absolument. Les attaquants font un excellent travail, Lautaro et Thuram ont bien fait, tout comme Sanchez. Arnautovic reviendra la prochaine fois, ce sera important d'avoir quatre attaquants." Quel signal cette victoire donne-t-elle au championnat ? "Nous en sommes à onze matches et c'est évidemment un bon signe de gagner sur un terrain très difficile comme celui-ci. Mais nous ne sommes même pas au tiers du championnat. Maintenant il y aura un match très important en Ligue des Champions puis un autre match avant la trêve internationale." Dans quelle mesure croyez-vous à une qualification immédiate pour les huitièmes de finale ? "Nous y croyons mais nous allons jouer contre un adversaire très organisé qui nous a mis en difficulté au match aller. Ce ne sera pas facile." Y a-t-il un secteur qui vous pose plus de soucis qu’un autre ? "Au cours de ce mois et demi, nous avons eu quelques problèmes devant. Thuram, Lautaro et Sanchez sont bien faits pour répartir les tâches. Nous savons que nous devons compter sur les quatre attaquants. Nous avons eu peu de blessures. Maintenant, nous attendons Arnautovic et nous verrons pour Pavard." Sur la casquette... "Je n'aurais pas dû rester sous la pluie car je ne me sentais pas très bien ces derniers jours et les médecins étaient inquiets. Je pourrais être malade, à condition que cela n'arrive pas aux gars." Traduction alex_j via FCInterNews.
  11. L'entraîneur de l'Inter Milan, Simone Inzaghi, devrait faire démarrer son équipe titulaire face à Bologne. La Beneamata va recevoir les Rossoblu ce samedi après-midi au stade Giuseppe Meazza. Ce sera la dernière rencontre avant la trêve internationale d'octobre. Plus tôt hier, des sources supposaient que le coach des Nerazzurri effectuerait des changements dans la l'équipe de départ qui a battu Benfica mardi. Ces articles supposaient qu'Alexis Sanchez, Matteo Darmian, Kristjan Asllani et Stefan de Vrij débuteraient comme titulaires. Mais d'après les dernières infos de Sky Sport (via FcInterNews), Inzaghi n'a pas prévu de faire tourner son onze de départ. Le XI probable de l'Inter Milan (3-5-2): Sommer; Pavard, Acerbi, Bastoni; Dumfries, Barella, Calhanoglu, Mkhitaryan, Dimarco; Thuram, Martinez ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  12. Ce mercredi, Stéphane Dalmat s’est livré sur la victoire ô combien précieuse de nos Nerazzurri face au RedBull Salzburg dans le cadre de la troisième journée de la Ligue des Champions https://www.instagram.com/p/Cy0JDenI91h/ "Bonjour à tous, C’était une belle victoire hier face à une bonne équipe, c’était pour moi une demi-surprise car je savais qu’ils avaient de bons joueurs, très jeunes, et qui est surtout extrêmement forte à domicile et ils ont prouvé qu’ils étaient aussi bonne à l’extérieur, mais l’Inter a joué avec beaucoup d’expérience, elle a joué comme elle joue en ce moment : Bien, sereine. Je suis content de retrouver aussi Alexis Sanchez et je pense que ce but lui a fait le plus grand bien pour la confiance. Il commence à retrouver la forme, même si c’est évident que ce n’est plus le Sanchez d’il y a quelques années, mais il va apporter beaucoup à l’équipe, car il apporte tant de générosité : Il a fait pour moi une très belle rencontre. J’ai très bien aimé aussi Frattesi qui a prouvé qu’il pouvait jouer dès le coup d’envoi, qu’il fait était capable de faire de belles choses, de meilleures choses même et l’équipe, dans son ensemble a fait une belle rencontre. Derrière, elle était sereine avec Pavard, De Vrij, Dumfries qui a fait son match. Çalhanoğlu pour moi a pris une dimension encore plus importante. Lorsque Brozovic est parti, c’est lui qui est devenu le patron de l’équipe, qui dicte le tempo de l’équipe, qui fait tourner le ballon. Pour moi, c’est le meilleur sur le terrain. A présent, nous avons ses trois points et nous pouvons penser à la Roma ce dimanche et à notre Ami....et lorsque je le dis, vous savez que c’est une connerie car il nous a trahi, il a trahi tout le monde, les Tifosi, les dirigeants, ses anciens équipiers. Je serai au Stade dimanche et j’espère assister à une très belle partie, à une victoire et un comportement fort de votre part, de la part de la Curva Nord, de tout le Stade car ce qu’il a fait n’est pas bien. Mais le plus important restera la victoire, avec elle, ce serait une semaine parfaite ! Je vous souhaite une très belle journée et comme je vous le dis toujours : Forza Inter" Si même notre Stéphane qui est généreux et gentil le dit ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. Plusieurs joueurs se sont exprimés à Sky Sport Italia, après la victoire de l'Inter sur Salzbourg 2-1, et notamment Hakan Calhanoglu, buteur et désigné homme du match : “Nous savions que Salzbourg était une équipe difficile à affronter et qu'ils font beaucoup de courses. C'était important de gagner avant le match à l'extérieur contre eux, qui ne sera pas facile. Nous devons nous occuper de jouer avec la bonne mentalité et avec intelligence, comme nous l'avons fait ce soir. Ce n'est pas facile de jouer tous les trois jours mais nous avons très bien fait. Je suis heureux de la victoire. J'aime toujours donner un coup de main et j'ai grandi ces derniers mois. Espérons que les choses continuent de me sourire de cette manière, pour les penaltys aussi. C'est formidable de marquer. Les supporters sont toujours derrière nous et j'aimerais les remercier. Nous voulons continuer sur notre lancée.” Hakan Calhanoglu " Nous savions que Salzbourg presserait et laisserait de l'espace derrière eux. Nous avons fait ce qu'il fallait pour rester solide en première mi-temps et nous sommes devenus plus forts à mesure que les minutes passaient. C'est une victoire méritée. Nous récoltons les fruits des efforts que nous faisons ensemble parce que nous travaillons beaucoup durant la semaine." Davide Frattesi “Je suis heureux d'être impliqué dans ce genre de matchs. Mes coéquipiers m'aident beaucoup et j'ai promis de marquer mon premier but dès que possible. Nous savons que les matchs de Ligue des Champions sont différents et que nous avons besoin de gagner à domicile. Nous avons bien abordé le match. Salzbourg est une équipe jeune qui continue de pousser mais nous avons fait ce qu'il fallait et avons réussi à obtenir une victoire importante pour asseoir notre statut.” Carlos Augusto “Nous nous sommes bien préparés pour le match et nous étions parfaitement conscients du fait qu'ils ont des joueurs rapides qui peuvent causer des problèmes durant le match. Nous devons continuer comme ça, sur les deux tableaux, et continuer de nous améliorer. Je parle beaucoup avec Pavard et notre entente grandit. Nous avons une bonne relation, ce qui nous aide beaucoup.” Stefan De Vrij ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  14. L'Inter recevra ce mardi 24 octobre 2023, à 18h45, le RedBull Salzbourg à 18h45 dans le cadre de la troisième journée du Groupe D de la Ligue des Champions 2023/2024. A cette fin, Simone Inzaghi s’est livré à la traditionnelle conférence de presse d’avant-match au Suning Training Centre d’Appiano Gentile. Comment se présente l’Inter à face à cette grande rencontre ? "Nous arrivons en forme, nous avons gagné contre le Torino et ce n’était pas simple. Nous allons disputer demain une rencontre importante dans un groupe très équilibré. Nous devrons rester concentré car Salzbourg est une équipe solide qui, lors de la première journée, est allée gagner à l’extérieur contre le Benfica." Comment trouvez-vous Thuram jusqu’à présent, est-ce une surprise ? "Ses qualités sont connues de tous, il a changé de championnat et de pays et il aurait pût être confronté à quelques difficultés, mais lui au contraire à été excellent pour se mettre à son avantage. Il nous donne d’excellentes réponses et il doit continuer à travailler de la sorte, comme il le fait quotidiennement." Avez-vous des doutes dans le choix de votre formation ? "Il y a différentes décisions à prendre car nous avons joué aussi samedi à Turin. Il y aura quelques changements car la rotation doit être une valeur ajoutée qui te vient en aide pour gérer la fatigue physique et mentale." Sanchez est-il déjà prêt à jouer dès l’entame du match ? "Oui, il est prêt, c’est un joueur qui a vraiment tenu à revenir avec énormément d’enthousiasme. Il travaille très bien depuis des semaines et il a aussi joué en équipe nationale. Je ne sais pas s’il sera titularisé d’entrée, mais il est très important pour nous." Les ailiers peuvent-il se nommer Dumfries et Carlos Augusto ? "Les ailiers sont ceux qui se dépensent le plus parmi tout le monde. Les changements à ce poste se font quasi tous le temps par nécessité. En ce moment, il me manque Cuadrado, mais par chance, j’ai Darmian qui parvient aussi à me donner un coup de main à ce poste." Avez-vous plus peur de cette rencontre que les autres ? "Ce match est délicat car nous sommes à l’intérieur d’un groupe équilibre. Chaque rencontre est importante et il faudra faire preuve d’énormément de concentration." Comment sera tactiquement disputée cette rencontre ? "C’est une équipe qui sait très bien jouer au football, qui a un dispositif agressif, même si lors d’un match amical que nous avons disputé en présaison, elle jouait différemment. Ils savent varier leur jeu et lorsqu’ils sont en possession, ils savent jouer de façon verticales vers leurs attaquants qui sont très physique : Nous devrons disputer une rencontre Da Inter." Vu la lutte en Championnat pour la première place et aussi la phase de groupe en Ligue des Champions, le fait d’être dans l’obligation de ne pas perdre de point est-elle positive ? "Nous sommes en tête dans les deux compétitions, nous savons qu’il y a énormément de rencontres devant nous, mais je me dois de rester concentrer sur le lendemain, en sachant que nous aurons toujours face à nous, un adversaire qui tentera de nous créer des problèmes." Vous que vous ne perdez plus votre voix depuis plusieurs semaines, cela veut-dire que vous vous énervez moins ? "Cette année, je me suis promis de moins perdre la voix, mais je sais que je peux avoir ce type de problème, je cherche aussi à m’améliorer." Que manque-t ’il à Pavard, d’un point de vue Technique, pour devenir le "Bastoni" de l’aile droite ? "Je suis très content de Pavard qui est un joueur idéal pour notre système de jeu. Il a toujours réalisé de très belles prestations dans les rencontres qu’il a joué et il est aussi parvenu à s’insérer un peu plus vers l’avant : Je suis très satisfait de ce qu’il propose." Lautaro est-il "Da Ballon d’Or" ? "Oui, pour le parcours qu’il a réalisé, pour les titres gagnés. Selon moi, il serait juste qu’il se retrouve parmi les prétendants s’il parvient à continuer à travailler de cette façon." Comparé à Onana, la typologie des entrainement pour construire de l’arrière, a-t ’elle changée avec Sommer ? "Les principes du jeu sont restés les mêmes : Sommer est un excellent gardien, un très grand professionnel qui est excellent avec ses pieds : Il a de grandes qualités technique et je suis heureux de ce choix fait par le Club." Quelle est la chose qui diffère, au niveau de la condition physique, pour un joueur qui part rejoindre son équipe nationale ? "Pour ceux qui restent ici, l’entrainement est différent car il n’y a plus de voyage, ni de match : Ils savent donc s’entrainer au mieux. Klaassen, par exemple, est rentré samedi car il s’était entrainé ici, alors que Sanchez, qui avait voyagé et disputé deux matchs a déposé énormément d’énergies." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. L'Inter a battu le Torino à l'extérieur grâce à trois buts restés sans réponse inscrits en seconde mi-temps et sont leader provisoire du championnat. Ce sont trois points vitaux qui suivent une première mi-temps serré. Puis, cela a été tout pour l'Inter en seconde mi-temps. La blessure de Schuurs et les changements d'Inzaghi ont mené à une domination totale de l'Inter dès les dix premières minutes de la seconde mi-temps. Il y a eu peu d'occasions lors des 45 premières minutes, cependant le Torino a mieux fini la première et a mis l'Inter sous pression. Ensuite, après la pause, tout a changé. Dumfries, quasiment sur sa première action, en sortant du banc, passa la balle à Thuram pour l'ouverture du score; Tikus a marqué son troisième but de la saison avec une tentative précise. Résumé du match Le Torino n'a pas eu la force de revenir et rapidement l'Inter en a marqué un deuxième. Calhanoglu enroula un corner, la balle est prolongée par Acerbi et c'est terminé par Lautaro de la tête. 11 buts en neuf matchs de championnat pour El Toro cette saison. C'était trop pour le Torino et l'Inter commença à contrôler le match, et est même passé proche d'un troisième en deux occasions. Le troisième est venu dans le temps additionnel quand Calhanoglu marqua sur penalty. L'équipe d'Inzaghi a maintenant 22 points et se prépare pour le match de mardi contre Salzburg en Ligue des Champions. TORINO 0-3 INTER Buteurs : 60' Thuram (I), 67' Lautaro (I), 95' Calhanoglu (I) pen TORINO (3-4-2-1): 32 Milinkovic-Savic; 61 Tameze, 3 Schuurs (15 Sazonov 51'), 13 Rodriguez; 19 Bellanova, 28 Ricci, 77 Linetty (8 Ilic 86'), 20 Lazaro; 16 Vlasic, 23 Seck (66 Gineitis 74'); 11 Pellegri (9 Sanabria 74'). Remplaçants : 1 Gemello, 71 Popa, 6 Zima, 8 Ilic, 10 Radonjic, 27 Vojvoda, 79 Savva, 84 Antolini, 94 N'Guessan. Entraîneur: Ivan Juric. INTER (3-5-2): 1 Sommer; 28 Pavard (2 Dumfries 57'), 6 De Vrij, 15 Acerbi; 36 Darmian (31 Bisseck 92'), 23 Barella (16 Frattesi 57'), 20 Calhanoglu, 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco 30 Carlos Augusto(57'); 9 Thuram, 10 Lautaro (14 Klaassen 82'). Remplaçants : 12 Di Gennaro, 77 Audero, 5 Sensi, 21 Asllani, 31 Bisseck, 42 Agoume, 70 Sanchez, 95 Bastoni. Entraîneur: Simone Inzaghi. Avertissements : Barella (I), Linetty (T) Arbitre : Marchetti. Assistants: Liberti, Perrotti. Quatrième arbitre: Rapuano. VAR: Nasca. Assistant VAR: Paganessi. ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  16. Giuseppe Marotta s’est livré au cours d’une longue interview à la Gazzetta Dello Sport où il n’élude aucune question : "J’ai remporté mon premier Scudetto à Turin, avec Conte, lors de la saison sans engagement européen." Juventus "L’expérience me dit que pouvoir planifier une saison juste avec un championnat et la Coupe d’Italie représente un avantage. C’est pour cette raison que je vous dis que la Juve est favorite pour le Scudetto." Mais pourquoi donc, vous Dirigeants et Joueurs, vous vous livrez énormément sur la Seconde Etoile ? "Je dis Non à l’excès de prudence et d’humilité : Si tu es à l’Inter, tu te dois d’être ambitieux, de placer la barre très haut. Nous nous devons d’y croire : Dire "Nous sommes les Meilleurs" est différent car ce serait un signe d’arrogance." Pourquoi l’Inter devrait remporter ce Scudetto ? Donnez-nous une raison... "Parce que nous nous sentons fort et que nous avons une grande considération en nos propres moyens, considération qui est le fruit de la saison dernière en Coupe d’Europe. Je sais aussi à quel point les Tifosi tiennent à ce Scudetto qui coïncide avec la Seconde Etoile." Votre avis sur le début de saison ? "C’était l’année la plus importante en termes de renouvellement du noyau avec 12 nouvelles arrivées de joueurs. Et malgré tout, nous avons très bien débuté." Il y a tout de même Sassuolo et Bologne… "Ce sont des circonstances défavorables : C’est évident qu’il y a aussi eu des erreurs de commises, mais je ne crois pas qu’il s’agisse d’un relâchement depuis le 5-1 du Derby. Nous devons, au contraire, nous entraîner et combattre les baisses d’attention et la fatigue mentale." Torino, Salzbourg et la Roma, l’Inter est prête ? "Elle se doit de l’être, avec Ausilio, nous avons composé un noyau capable de répondre à ce type de sollicitations." Est-ce votre Inter la plus complète ? "Sûrement oui, et aussi la plus homogène car nous avons des garanties à tous les postes." En attaque aussi ? "Si l’on se fie aux statistiques, le rempart a fonctionné de fort belle manière : Il n’y a pas eu un seul match où nous sommes resté à sec. Je dirais même que nous avons pris des buts évitables : Le Scudetto se remporte avec celui qui a la meilleure défense." Votre première Inter, en 2018-2019, proposait plus ou moins la même masse salariale que l’équipe actuelle : 116 millions d’euros. Cette fois-ci vous êtes en courses pour le Scudetto : Qu’est-ce que cela veut dire ? "Il a fallu raisonner de cette façon : Redimensionner les couts était un des objectifs, mais la Compétitivité n’a jamais été revue à la baisse. Je dirais mieux : Les joueurs importants, par la force des choses, sont accompagnés d'une masse salariale importante. Et plus que la réduction des couts, je m’intéresse à la façon dont valoriser aux maximum nos ressources. Si tu es dans un grand club, un club qui veut gagner, il ne te sera jamais possible de descendre sous un certain niveau en termes de masse salariale." Pour quelle raison prolonger le contrat de Lautaro ? "Il est juste que le Club soit attentif à la situation de ses joueurs. D’une part tu défends ton patrimoine et d’autre part, tu renforces ce sentiment d’appartenance. Lautaro n’est pas Skriniar : Il a manifesté sa volonté pour prolonger, une volonté qui correspond à la nôtre, et cela veut dire que nous sommes sur le bon chemin et que notre union peut continuer sur le long terme." "Avoir des joueurs fidèles est une valeur ajoutée : S’il n’a pas un sentiment d’appartenance, un joueur ne comprendre jamais ce que veut dire disputer ou rempoter un Derby. Le Top, pour un club, est d’avoir un joueur qui renonce à partir dans des clubs plus importants pour rester lié à son club." Est-ce le joueur le plus important de notre Championnat ? Baggio a-t ’il raison ? "Oui, je ne vois personne d’autre en ce moment comme lui." Lukaku est-il un regret, une désillusion ou seulement un adversaire ? "C’est le passé! Lukaku est le passé : Il n’y a plus personne au sein du club qui pense encore à lui, Personne et je dis bien personne. Ensuite en tant qu’Homme de football, il y a des dynamiques à prendre en considération, ce n’est pas comme si c’était la première fois que cela m’arrivait." Vous êtes sur ? Vous avez un exemple similaire ? "Celui d’un joueur qui a fait semblant de vouloir prolonger et qui, en réalité, se voyait déjà ailleurs." Skriniar donc… "J’ai ressenti un très fort sentiment de désillusion car lorsqu‘un joueur ne prolonge pas, il ne va pas à l’encontre de sa classe dirigeante ou de son président, mais il va justement à l’encontre de l’Histoire et de la Valeur du Club : Il a fait du tort à l’Inter et non à quelqu’un. Il aurait pu prolonger, nous lui avions proposer tant de solution du genre comme celle de fixer une clause libératoire qui répondait aussi bien à ses exigences qu’à celles de l’Inter : Mais il a toujours dit non." Pour quelle raison l’Inter, à un moment l’été dernier, a déplacé le budget prévu pour l’attaque sur la défense ? "Car nous avons eu, dans le même temps, l’opportunité de recruter un profil de joueur important pour notre présent et pour le futur : Pavard représente une valeur patrimoniale très importante indépendamment de son rôle." Est-ce vrai que Thuram vous rappelle son père ? "Par l’Humilité, le Courage et la persévérance : Marcus a les même valeurs que Lilian, des valeurs qui sont à la base de son succès personnel." Croyez-vous-en une autre nouvelle Finale de la Ligue des Champions ? "Oui, j’y crois, car à la différence du Scudetto où c’est toujours le plus fort qui le gagne, la Ligue des Champions est un peu comme le Milan-Sanremo cycliste : Les circonstances favorables comptent." Votre avis sur Inzaghi ? "Son bilan est très positif, le Club est très content de lui: Il est arrivé à l’Inter avec une seule expérience professionnelle à son actif, à la Lazio : Il est jeune comparé à la moyenne des entraineurs de notre championnat, il peut encore se renforcer. Il est différent des autres entraîneurs que j’ai connu par le passé et c’est juste de de le définir de la sorte : Il est pour un football ouvert, spectaculaire qui diverti : Nous, nous sommes aussi l’Inter, le Spectacle doit se conjuguer avec les victoires, autrement bien jouer ne servirait à rien." Serez-vous actif sur le mercato hivernal ? On parle de Taremi comme objectif ? "Je ne crois pas. Toutefois, nous sommes l’Inter, et nous devons tours rester attentif à chaque situation et je tiens à dire une chose : Avant, les joueurs étaient réticent à accepter de rejoindre l’Inter, à présent, ils sont nombreux ceux qui veulent venir, et l’été dernier nous avons dû dire non à pas mal de personnes. Thuram, Sommer et Pavard avaient le choix : Cela veut dire que l’Inter est considéré comme crédible." A quel point a-t ‘il été difficile de clôturer le mercato estival dans le respect de l’équilibre des entrées et des sorties ? "L’Inter est aujourd’hui un modèle de soutenabilité. C’est inadmissible qu’une propriété doive continuellement injecter des fonds. Zhang l’a fait pour une somme avoisinant les 900 millions d’euros. Nous comme Managers avons un avantage, celui d’avoir la possibilité de travailler en toute sérénité et ce mérite à Zhang se doit d’être reconnu. Il n’y a plus un club actuellement qui peut se permettre de se passer du Player Trading. Un joueur important doit être vendu par an et le Tifoso a dû s’en faire une raison. Et bien plus que perdre un joueur, il faut se préoccuper de s’assurer une vie péréenne à l’équipe, en lui garantissant un présent et un futur." Où se situera l’Inter lors de la prochaine trêve hivernale à la mi-novembre ? "Je ne le sais pas, mais c’est bien mieux actuellement d’être dans la position du chasseur que du lièvre, tactiquement, c’est quelque chose que je préfère." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. La seconde fenêtre internationale 2023-24 vient juste de se finir et un total de 15 Nerazzurri ont joué des matchs de qualifications pour l'Euro 2024, des matchs de qualifications pour la Coupe du Monde ou des matchs amicaux. Six joueurs de l'Inter étaient à la disposition de Luciano Spalletti pour les matchs de l'Italie face à Malte et l'Angleterre. Davide Frattesi a inscrit le but final de la victoire des Azzurri 4-0 sur les Maltais, contre lesquels Nicolò Barella a également fait une passe décisive pour un but de Berardi. Alessandro Bastoni a été sur le terrain pour un total de 117 minutes durant ces deux matchs, pendant que Federico Dimarco a participé à 105 minutes. Matteo Darmian a joué le match entier contre Malte. Francesco Acerbi, pendant ce temps-là, a demarré contre l'Angleterre mais a été remplacé à la 63ème minute lors de de la défaite 3-1. Francesco Acerbi, Nicolò Barella, Alessandro Bastoni, Matteo Darmian, Federico Dimarco, Davide Frattesi (Italie) Italie 4-0 Malte (Qualifications Euro 2024) | Barella 64' (1 passe décisive), Bastoni 90', Darmian 90', Dimarco 78', Frattesi 26' (1 but) Angleterre 3-1 Italie (Qualifications Euro 2024) | Acerbi 63', Barella 90', Bastoni 27', Dimarco 27', Frattesi 90'. Comme Davide Frattesi, Benjamin Pavard a également trouvé le fond des filets : le français a inscrit un doublé durant le victoire 4-1 de son équipe en amical contre l'Écosse. Marcus Thuram a joué 106 minutes durant les deux matchs que la France a joué. Benjamin Pavard, Marcus Thuram (France) Pays-Bas 1-2 France (Qualifications Euro 2024) | Thuram 80' France 4-1 Écosse (Amical) | Pavard 90' (2 buts), Thuram 26' Cela a été une fenêtre internationale fantastique pour la Turquie d'Hakan Çalhanoğlu, qui a obtenu six points en deux matchs pour assurer la qualification à l'Euro 2024. Le milieu de terrain turc a joué 176 minutes. Kristjan Asllani, pendant ce temps, a débuté lors des deux victoires de l'Albanie contre la Republique Tchèque et la Bulgarie. Denzel Dumfries a également joué pour les Pays-Bas, accumulant 152 minutes au total. Cependant, le sélectionneur hollandais, Ronald Koeman a choisi de ne pas faire jouer Stefan De Vrij. Enfin, Yann Sommer gardait les buts de la Suisse pour la match nul 3-3 face à la Biélorussie. Hakan Çalhanoğlu (Turquie) Turquie 4-0 Lettonie (Qualifications Euro 2024) | Çalhanoğlu 90' Croatie 0-1 Turquie (Qualifications Euro 2024) | Çalhanoğlu 86' Kristjan Asllani (Albanie) Albanie 3-0 République Tchèque (Qualifications Euro 2024) | Asllani 90' Albanie 2-0 Bulgarie (Amical) | Asllani 90' Stefan de Vrij, Denzel Dumfries (Pays-Bas) Pays-Bas 1-2 France (Qualifications Euro 2024) | Dumfries 62' Grèce 0-1 Pays-Bas(Qualifications Euro 2024) | Dumfries 90' Yann Sommer (Suisse) Suisse 3-3 Biélorussie (Qualifications Euro 2024) | Sommer 90' Trois Nerazzurri étaient impliqués dans les qualifications pour la Coupe du Monde, zone Amérique du sud. L'Argentine continue de gagner, le Paraguay et le Pérou sont devenues les dernières équipes battues par l'Albiceleste. Lautaro Martinez a pris part aux deux matchs, commençant le premier et jouant un total de 102 minutes. Une fenêtre internationale douce-amère pour Carlos Augusto, qui a fait ses débuts avec le Brésil, lors de la défaite de la Seleção en Uruguay. L'arrière latéral de l'Inter a joué 73 minutes avant d'être remplacé. Alexis Sanchez, pendant ce temps, a joué 180 minutes pour le Chili. Lautaro Martinez (Argentine) Argentine 1-0 Paraguay (Qualifications Coupe du Monde 2026) | Lautaro 90' Pérou 0-2 Argentine (Qualifications Coupe du Monde 2026) | Lautaro 12' Carlos Augusto (Brésil) Brésil 1-1 Vénézuela (Qualifications Coupe du Monde 2026) | Carlos Augusto, non utilisé Uruguay 2-0 Brésil (Qualifications Coupe du Monde 2026) | Carlos Augusto 73' Alexis Sanchez (Chili) Chili 2-0 Pérou (Qualifications Coupe du Monde 2026)|Sanchez 90' Vénézuela 3-0 Chili (Qualifications Coupe du Monde 2026) | Sanchez 90' ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  18. Benjamin Pavard est né le 28 mars 1996 à Maubeuge (Nord), cest un footballeur international français qui évolue au poste de défenseur central et de latéral droit à l'Inter. Il est surnommé affectueusement Jeff Tuche par certains de ses coéquipiers français, notamment par le latéral Benjamin Mendy, en référence à sa coupe de cheveux ressemblant à celle du célèbre personnage de fiction incarné par Jean-Paul Rouve.
  19. Plus tôt aujourd'hui, était annoncé que le Conseil des Ministres s'était réuni hier et avait pris la décision de changer les règles entourant le Décret de croissance. D'après cet article, le Conseil avait abrogé la loi sur les salaires des footballeurs. Mais d'après Calcio e Finanza, ce n'est pas actuellement le cas. En fait, le décret de croissance reste valide pour le monde du football. Par exemple, l'Inter peut l'appliquer pour réduire ses dépenses de charges salariales totales pour le duo français Marcus Thuram et Benjamin Pavard. Cependant, cela ne veut pas dire que c'est sans risque. Au contraire, l'utilisation de cette loi a des opposants au sein même du football italien. Calcio e Finanza explique qu'il y aura une réunion de la Ligue de football italienne demain. Le but sera d'explorer les moyens d'arrêter les tentatives d'utilisation du décret de croissance dans le football. Pour l'instant, la loi est applicable aux athlètes professionnels. Par conséquent, des clubs de série A peuvent l'utiliser pour les dépenses de salaire des joueurs venant de l'étranger. Mais il y a une bataille en cours sur cette question. Et le monde du football italien est conscient que cela peut changer. Les opposants continuent de pousser pour changer les règles. ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  20. En effet, c’est une information importante que nous relaye la Gazzetta Dello Sport : "A partir du 1er janvier, Addio Decreto Crescita!" "Dès 2024, et si le Gouvernement a imposé des réductions fiscales pour les travailleurs étrangers, il a surtout exclu les sportifs de ces avantages! Le couperet commence donc le 1er janvier et entraînera des conséquences non seulement pour ceux qui signeront lors du mercato hivernal, mais pour ceux qui signeront également au 1er juillet prochain." "Pour ne citer que quelques exemples, cette nouvelle mesure va viser automatiquement des grands noms : Par exemple, l'Inter a acquis Marcus Thuram et Benjamin Pavard, en comptant sur une réduction d'impôt de près de 50 % et cette considération peut-être être faite aussi pour le Milan, qui a signé cet été Loftus Cheeck, Reijnders, Pulisic, etc. Ou la Juve avec l'américain Weah." "A Naples, on se dirige vers un stop aux profits pour Lindstrom, Cajuste, Natan. La Roma devra également dépenser plus d'argent pour les signatures d'Aouar et de Ndicka, mais Romelu Lukaku ne tombera pas dans ce système car les joueurs qui ont eu droit à cet avantage les années précédentes ont le droit de le conserver." "La radiographie de cette situation est bien évidemment plus importante et l’impact économique sur les clubs sera important, notamment parce qu'il obligera les dirigeants à modifier leurs stratégies" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. Interviewé par La Gazzetta dello Sport, le défenseur de l'Inter Benjamin Pavard a parlé de sa première expérience avec les Nerazzurri et des raisons qui l'ont poussé à choisir l'Inter : ''C'était le bon choix, j'ai été très bien accueilli par tout le monde, de l'entraîneur Inzaghi à Javier Zanetti en passant par mes coéquipiers. J'ai découvert un bon vestiaire. Après sept ans en Allemagne, j'avais envie d'un nouveau défi, de nouvelles stimulations. L'Inter me voulait déjà en janvier avec un projet qui correspond à ce que je cherchais". Votre ami Olivier Giroud a-t-il essayé de vous "recruter" à l'AC Milan ? "Ah oui (rires, ndlr). Plus que du Milan, Olivier m'a parlé de l'Italie et de la Serie A, des supporters dans les stades. Un point sensible : j'aime la ferveur des supporters. A l'Inter, j'ai trouvé exactement ce que je cherchais". Quelle a été l'importance de votre contact avec Zanetti ? "Zanetti est une légende. Si vous pensez à l'Inter, vous pensez d'abord à lui. Il est respecté par tout le monde, c'est quelqu'un de bien. Il était content de mon choix. Il m'a expliqué ce que signifie être à l'Inter, la passion de l'équipe." Même si vous n'avez pas joué, comment avez-vous vécu le derby ? "Magnifique : quand j'ai vu les fumigènes, nos supporters taper du poing sur les vitres de notre car pour nous charger, les chants dans un Meazza plein, j'ai eu des frissons. Je joue au football pour ce genre d'émotions. J'aime les foules chaleureuses, parce que je suis aussi comme ça : avec les supporters, on se comprend". Votre championnat préféré est la Premier League, mais vous avez choisi la Serie A : pourquoi ? "Pour le projet sportif qui me permet de jouer le rôle que je préfère. Je suis la Serie A depuis des années, aussi pour la tactique. L'Italie est alors la patrie des défenseurs, donc pour moi il y avait toutes les conditions pour ce choix. Même si je joue toujours Adriano". Quels sont les défenseurs de la Serie A qui vous ont inspiré ? "Beaucoup, de Laurent Blanc à Walter Samuel, et plus généralement les légendes, de Paolo Maldini à Lilian Thuram. Ils sont tous une source d'inspiration : j'ai 27 ans et je peux m'améliorer et apprendre beaucoup. À l'Inter, je peux m'épanouir." Quelles sont les différences avec la Bundesliga ? "La Serie A est un championnat beaucoup plus tactique. Les adversaires défendent très bien, en bloc, et il est donc plus difficile d'affronter des équipes de niveau moyen.'' Le travail quotidien change-t-il beaucoup par rapport au Bayern Munich ? "Il y a beaucoup plus de courses. J'ai été surpris par l'intensité des séances d'entraînement, même avant le match. Nous faisons beaucoup de travail tactique. L'approche est différente." Comment vous entendez-vous avec vos nouveaux camarades de quartier ? "J'apprends quelque chose de nouveau tous les jours. Concrètement, nous travaillons beaucoup avec des vidéos et je me compare au staff pour comprendre où je dois m'améliorer, en regardant aussi les matches que nous avons joués. Il y a beaucoup de dialogue avec Acerbi et Bastoni, comme avec De Vrij et Darmian. Ce sont des joueurs nationaux et il est facile de se comprendre. Il y a une saine concurrence entre nous et la défense à trois me permet d'exprimer mes qualités". Même le sélectionneur Didier Deschamps semble vouloir faire de vous un défenseur central : l'Inter vous aide-t-il ? "Même si c'était un objectif pour moi de jouer en défense centrale dans un club, j'ai toujours dit qu'en équipe de France j'étais au service de l'équipe et que je m'adaptais sans problème. L'Inter m'a proposé exactement le rôle que je recherchais. On verra ensuite si l'entraîneur pense vraiment à me faire jouer différemment : il sait que je joue volontiers là où il le souhaite.'' Qu'est-ce qu'Inzaghi vous demande à la place ? "Inzaghi est un leader, un leader, un grand motivateur en match comme à l'entraînement, un grand entraîneur qui ne sous-estime aucune équipe. Voici un exemple de ce qu'il me demande de faire différemment : soutenir le latéral droit et avancer en profondeur, ce que je n'ai pas fait au Bayern où l'on m'a plutôt demandé de rester en retrait, surtout dans une défense à trois. Il y a une bonne relation avec l'entraîneur, mais je dois apprendre rapidement l'italien car il ne connaît que quelques mots de français". Même Marcus Thuram, son collègue en équipe nationale, s'est immédiatement adapté avec des buts et des passes décisives ? "Il s'est intégré immédiatement parce que le club crée des conditions idéales pour que nous nous sentions à l'aise. Je suis très heureux pour lui, c'est un garçon spécial, j'espère qu'il continuera comme ça, et j'ai beaucoup de respect pour son père. Marcus m'aide parce qu'il parle italien. Il en va de même pour Mikhtaryan et Sommer, qui parlent plutôt le français.'' Quels sont vos objectifs ? "Je suis venu ici pour mettre la deuxième étoile sur le maillot et pour rendre aux supporters l'affection qu'ils m'ont donnée avant même que je signe, avec les nombreux messages que j'ai reçus sur les médias sociaux. Ils méritent de grands trophées.'' Peut-être est-il plus difficile de gagner le Scudetto avec l'Inter que la Bundesliga avec le Bayern ? "En fait, la saison dernière, nous avons risqué de perdre le championnat (le titre n'a été remporté sur le Borussia Dortmund que grâce à un dépassement lors de la dernière journée, ndlr), mais il est vrai que les rivaux ne manquent pas ici : Milan, Naples, Juventus, Lazio, Fiorentina. Mais la saison est longue. C'est aussi pour cela que je n'ai pas trop exagéré avec Giroud et Theo après la victoire dans le derby. Je me rattraperai à la fin, si nous gagnons le championnat." L'Inter a été finaliste de la dernière Ligue des champions, pouvez-vous soulever le trophée cette année ? "Tout est possible, mais nous devons penser à nous-mêmes, nous concentrer sur notre jeu et continuer à travailler dur à chaque séance d'entraînement." Comment se passe la vie à Milan ? ''Je connaissais un peu Milan et je l'aimais déjà. On y mange bien, même si je n'ai pas beaucoup de temps pour les restaurants. Pour l'instant, je vis à l'hôtel. Giroud et Theo m'ont donné un conseil : ils sont amis, mais pas quand vient le derby...". Que pensez-vous de Giroud comme gardien de but ? (rires, ndlr) "En fait, j'espérais que le Genoa marquerait à la fin. Il a fait une bonne sortie, peut-être qu'ils vont le mettre dans les buts de l'équipe nationale aussi". ®Jean Idriss – Internazionale.fr
  22. Les Nerazzurri sur le terrain pour la 8ème journée de Série A Un super début et un but incroyable de Lautaro Martinez n'ont pas été suffisant pour prendre le meilleur sur Bologne. L'Inter a été tenu en échec 2-2 à Giuseppe Meazza par les Rossiblu, en dépit d'une avance de deux buts pris dans les 13 premières minutes. Un excellent départ avec la tête d'Acerbi et puis ensuite la redoutable frappe du droit de Lautaro Martinez pour mener 2-0. L'Inter avait le contrôle du match, dominant jusqu'à le jeu change complètement par le but du 2-1: un penalty accordé par la VAR et transformé par Orsolini, qui maintint Bologne dans le match, coupant l'élan Nerazzurro et ravivant l'équipe de Thiago Motta. Le but de Zirkzee, au début de la seconde période, ridiculisant la défense de l'Inter, fixa le score à 2-2 que les Nerazzurri ne purent changer. Les remplacements, le jeu vers l'avant, la générosité : l'Inter a tout tenté, mais plus avec leurs cœurs qu'avec leurs têtes. La quête des Nerazzurri pour un troisième était un peu confuse et hélas, le but n'est jamais venu. A la place, les Nerazzurri ont fait leur premier match nul de la saison en série A: un 2-2 amère, l'Inter a maintenant 19 points après huit matchs. Les Nerazzurri seront de retour sur le terrain après la trêve internationale, dans deux semaines, le 21 Octobre, chez le Torino. INTER-BOLOGNE 2-2 | INFOS Buteurs : 11' Acerbi (I), 13' Lautaro (I) 19´ pen Orsolini (B) 52' Zirkzee (B) INTER (3-5-2): 1 Sommer; 28 Pavard, 15 Acerbi, 95 Bastoni; 2 Dumfries (7 Cuadrado 54'), 23 Barella, 20 Calhanoglu (21 Asllani 82'), 22 Mkhitaryan (16 Frattesi 75'), 32 Dimarco (30 Carlos Augusto 54'); 9 Thuram (70 Sanchez 54'), 10 Lautaro. Remplaçants : 12 Di Gennaro, 77 Audero, 5 Sensi, 6 De Vrij, 14 Klaassen, 31 Bisseck, 36 Darmian, 42 Agoume. Entraîneur: Simone Inzaghi. BOLOGNE (4-2-3-1): 28 Skorupski; 29 De Silvestri (16 Corazza 82'), 31 Beukema, 33 Calafiori, 22 Lykogiannis; 8 Freuler, 20 Aebischer; 7 Orsolini (17 El Azzouzi 82'), 19 Ferguson, 11 Ndoye (56 Saelemaekers 60'); 9 Zirkzee (77 Van Hooijdonk, 75'). Remplaçants: 34 Ravaglia, 50 Gasperini, 6 Moro, 10 Karlsson, 14 Bonifazi, 80 Fabbian, 82 Urbanski. Entraîneur: Thiago Motta. Avertissements : Ndoye (B), Lautaro (I), Bastoni (I) Note: Entraîneur de l'Inter Inzaghi, averti Arbitre: Guida. Assistants: Prenna, Di Gioia. Quatrième Arbitre : Feliciani. VAR: Marini. Assistant VAR: Maresca. ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  23. Stéphane Dalmat s’est livré suite à la victoire de l’Inter, au Giuseppe Meazza, face à Benfica sur son compte officiel Instagram https://www.instagram.com/p/Cx-BUZoolRB/ "Bonjour à tous, C’était encore une belle victoire de l’Inter : 1 à 0 avec un but de Thuram et je suis très content pour lui. Nous avons vu une partie avec une première période un peu lente : Les deux équipes n’avaient pas pris le risque d’attaquer, l’Inter jouait tranquillement. Benfica a tenté d’aller de l’avant mais n’a pas réussi à se montrer dangereuses. Et en seconde mi-temps, il y a eu un changement : Les joueurs se sont repris à l’Inter et ont été plus agressif, on l’a vu lors des deux premières minutes et je me suis dit : "Benfica ne pourra plus jouer comme il sait le faire". Et le premier but est arrivé avec un bon Dumfries qui a changé son jeu et je vais vous dire la raison. Dumfries sait qu’à présent, s’il se plante deux ou trois fois, derrière lui il y a Cuadrado et il s’est dit mentalement qu’il se doit d’être quotidiennement au maximum et je dois vous dire la vérité : Le Dumfries de cette année est meilleur que celui de l’année dernière, il est plus intelligent, il sait qu’il y a la concurrence, derrière lui, d’un joueur de très grande expérience qui peut aussi le remplacer. Il a réalisé une belle passe décisive pour Thuram avec un Lautaro Martinez qui a fixé toute la défense et un Thuram qui a prouvé d’être un bon attaquant pour marquer. Ensuite, il y a eu Lautaro Martinez qui aurait pu marquer cinq buts, il n’a pas eu de chance : Poteau, barre, défenseur, gardien, ce n’était pas son jour, quatre jours avant, il inscrivait un quadruplé, hier, il aurait pu faire pareil, mais c’est comme ça. Le plus important est qu’il ait eu la possibilité de le faire. Il y a des jours comme ça et il n’y est pas parvenu mais, il a travaillé, il a fait de belles choses, il s’est créé des occasions, il peut être déçu de ne pas avoir marqué, mais ce n’est pas qu’il est resté comme un plot à laisser passer chaque ballon, il a tenté, tenté tenté , mais ce n’était pas son soir pour marquer, mais c’est comme ça. Le plus important était la victoire, c’était possible de l’emporter 4 ou 5-0 mais nous avons quatre points et comme je vous l’ai dit : Il faut gagner tous les matchs à la maison et prendre quelques points à l’extérieur. Ici nous sommes sur le bon chemin : L’équipe commence à faire peur, je vous dis la vérité: Elle fait peur en Italie et en Europe. Il faut continuer comme ça: Je suis content aussi de Pavard qui a prouvé être un bon défenseur central avec son calme et son expérience, avec Bastoni et Acerbi, ils forment une défense très dur à passer. Au milieu, on a eu un peu de difficulté face à Sassuolo, mais hier nos milieux ont fait un bon match : Je félicite l’équipe, continuez comme ça! Les Tifosi ont mis comme toujours une très belle ambiance et à présent place au Championnat, c’est comme ça : Je vous souhaite une excellente journée, nous sommes premier partout, et comme je vous le dit toujours : Forza Inter ! Ciao!" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  24. Benjamin Pavard et Marcus Thuram, nos deux nouvelles recrues tricolores auront marqué ,de leurs empreintes, la très importantissime victoire de l’Inter dans un Giuseppe Meazza toujours en fusion Si la première mi-temps est intense mais sans proposer un très grand relief, il faut tout de même souligner deux excellente parades de Yann Sommer sur des tir portugais malgré un évident hors-jeu sur le second ! La seconde mi-temps, elle, sera à sens unique et aura vu Trubin prendre le meilleure sur un Lautaro Martinez qui aura vu, la barre, le poteau, le pied de Trubin et finalement Otamendi, lui priver d’un but ô combien mérité pour notre capitaine La situation se débloquera toutefois à la 62ème minute de jeu lorsque, lancé en profondeur Denzel Dumfries qui se donne, mais qui ne parviendra jamais à cadrer l’une de ses propres possibilités, remise en retrait dans la surface pour notre Tikus. La reprise de notre numéro 9 sera imparable. Si quelques instant après Federico Dimarco semblait, méritoirement, doubler la mise, celui-ci verra son but refusé pour un hors-jeu également évident. La soirée aurait pu être bien plus calme sans les arrêts de Trubin, mais surtout avec une expulsion qu’aurait mérité Neres, auteur d’un coup volontaire via ses crampons dans la joue d’un Lautaro Martinez qui se verra averti pour sa fougue L’Inter se contentera donc du minimum syndical, mais trône en tête du groupe avec la très belle Real Sociedad qui a désossé le Red-Bull Salzbourg en Autriche Place à la prochaine rencontre qui se tiendra ce dimanche au Meazza face à Bologne : Radu n’étant plus là, ça devrait le faire ! Tableau Récapitulatif Inter 1-0 Benfica 1-0 Buteur(s): 62' Thuram Inter: 1 Sommer; 28 Pavard, 15 Acerbi, 95 Bastoni; 2 Dumfries (72' 36 Darmian), 23 Barella (92' 14 Klaassen), 20 Çalhanoğlu (84' 21 Asllani), 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco (84' 30 Carlos Augusto); 9 Thuram (72' 70 Sanchez), 10 Lautaro Martinez Banc: 12 Di Gennaro, 77 Audero, 6 De Vrij, 7 Cuadrado, 31 Bisseck, 49 Sarr T1: Simone Inzaghi Benfica: 1 Trubin; 6 Bah (22' 44 Araujo), 30 Otamendi, 5 Morato, 14 Bernat (80' 9 Cabral); 87 Joao Neves, 10 Kokcu (69' 22 Chiquinho); 11 Di Maria (80' 13 Jurasek), 8 Aursnes, 27 Rafa Silva (69' 33 Musa); 7 Neres Banc: 24 Soares, 45 Kokubo, 17 Gonçalo Guedes, 19 Tengstedt, 20 Joao Mario, 47 Antunes, 61 Florentino T1: Roger Schmidt Arbitre: Makkelie VAR: Dieperink Averti(s): Tengstedt (B), Lautaro Martinez (I), Barella (I), Dumfries (I), Asllani (I) Expulsé(s): / Affluence: 66.573 Tifosi Recettes: 5.328.969 € ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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