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Analyse de Beppe Bergomi avant l'Euroderby
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Vingt ans, c'est une ère géologique dans le football, c'est pourquoi Beppe Bergomi s'attend à un Euroderby résolument différent de celui qui s'est déroulé en 2003 . Ses mots exclusifs à Tuttomercatoweb.com. "Je ne pense pas qu'une double confrontation comme celle de la première demi-finale de Ligue des champions entre l'Inter et Milan en 2003 puisse arriver. Je m'attends à un bon match. Je vois deux équipes avec des caractéristiques différentes mais qui, lorsqu'elles s'affrontent, créent de grands matchs. Bien sûr, l'émotivité et la tension se feront sentir compte tenu des enjeux importants mais j'ai fondamentalement toujours vu de bons derbies ces derniers temps. L'Inter et le Milan s'affrontent ouvertement, j'attends deux formations qui ont grandi depuis le dernier match en Février." "Les Nerazzurri n'ont pas d'alternative au 3-5-2. J'y ai pensé plusieurs fois et je ne m'en prends jamais à Inzaghi car avec les hommes qu'il a, il ne peut faire que ce système. Il n'a pas de milieu offensif en tête-à-tête, il n'a pas deux demis comme Krunic ou Tonali, des joueurs de récupération. Il a des joueurs plus techniques. C'est une équipe qui peut difficilement changer." "La Serie A est plus tactique, celui qui affronte l'Inter ne lui laisse pas d'espace. Je pense au match contre Empoli, gagné 3-0 : en première mi-temps, zéro tir au but, car Empoli était là et n'a pas pu sauter sur l'homme. En Italie, au fil des ans, la 'classe moyenne' s'est beaucoup développée, je parle des équipes qui ont aujourd'hui environ 45 points, ce qui vous met en difficulté. En Europe personne n'a peur, personne n'attend, Barcelone joue, idem Porto ou Benfica. Ensuite, l'Inter a plus d'espace et sait bien les occuper. De plus, c'est compliqué de garder la même intensité entre la coupe et le championnat, aussi pour des questions personnelles." "Ils sont tous bons, pour l'amour de Dieu, mais Darmian, Dzeko, Mkhitaryan, Acerbi ont tous plus de 30 ans. Dzeko, par exemple, était épuisé lorsque Lukaku a été blessé. C'est l'Inter, ça ne m'étonne pas. Milan me surprend davantage car en Janvier, ils avaient cinq points de retard sur Naples et ont un banc profond. Bien sûr, il y a eu quelques déceptions, les différents Rebic, Origi, De Ketelaere : cependant, ce sont encore plus de solutions. Je sais que je suis parmi les rares à le penser, cependant, dans un championnat qui a été décevant pour les deux au final, j'attendais plus de Milan que de l'Inter. En effet, nous parlons quand même de l'équipe championne d'Italie." Traduction alex_j via FCInterNews.- 5 commentaires
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L'ancien défenseur légendaire de l'Inter, Beppe Bergomi, estime que malgré les discussions selon lesquelles l'équipe pourrait être forcée de vendre cet été si elle manquait la Ligue des champions. S'exprimant sur Sky Sport Italia, via FCInter1908 , Bergomi a pesé sur les rumeurs selon lesquelles des ventes importantes pourraient être en cours maintenant si l'Inter ne se qualifie pas pour la prochaine édition de la Ligue des champions. Les rumeurs ne manquent pas sur les conséquences de l'absence de la Ligue des Champions pour l'Inter en termes financier. Il est rapporté que André Onana pourrait être le joueur sacrifié pour combler le manque à gagner budgétaire que représenterait le fait de ne pas avoir de revenus de la compétition, car le Camerounais pourrait rapporter une grosse somme. De plus, selon certaines informations, les négociations contractuelles avec Alessandro Bastoni et Hakan Calhanoglu pourraient bien se heurter à un problème si le club perdait les revenus de la Ligue des Champions. En conséquence, il semble que si l'Inter ne parvient pas à se frayer un chemin dans le top quatre de la Serie A ou à remporter un triomphe improbable en Ligue des Champions cette saison, ils pourraient être confrontés à un bouleversement d'équipe avec de nombreux joueurs clés qui pourraient partir. L' avenir est incertain. Du point de vue de Bergomi, cependant, tout ce discours passe un peu à côté de l'essentiel. L'ancien défenseur estime qu'en fin de compte, c'est la situation dans laquelle l'Inter se trouve depuis deux étés consécutifs. "L'Inter est en Ligue des Champions depuis plusieurs années et ils doivent encore vendre des joueurs chaque été depuis deux ans". "Je pense que la vraie question concerne leur propriété, ainsi que les politiques du gouvernement Chinois". Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Beppe Bergomi, sur Sky Sport, a analysé le passage a vide de l'Inter : "Ils méritaient de gagner contre la Salernitana" S'adressant aux micros de Sky Sport, Beppe Bergomi a ainsi évoqué le moment de forme de l'Inter, à commencer par la prestation de Romelu Lukaku : « C'est l'état d'esprit du joueur qui a changé. Si je remonte à l'année de Conte, Romelu allait bien physiquement. C'est un garçon qui pèse presque 100 kg, il doit beaucoup s'entraîner pour que son physique "le suive". Il y a des moments où les choses ne vont pas dans le bon sens. Et c'était comme ça aussi l'année dernière à Chelsea, il y a un peu d'énergie négative et puis il rate des buts alors qu'avant c'était une simple formalité pour Lukaku de les mettre au fond". "Il y a des questions ouvertes à l'Inter : La question Skriniar depuis le début de l'année, la question Brozovic, la question Dumfries. Trop de choses qui ensemble ne vous rendent pas compact et unis, l'Inter n'a pas eu de chance contre la Salernitana mais ils auraient du gagner. L'Inter a mal démarré en championnat. J'ai lu dans les journaux que De Vrij n'est pas content, que Acerbi ne sait pas quoi faire l'année prochaine. Ce sont des sujets a mettre de côté , il y a encore deux mois et les objectifs doivent être atteints, il faut finir la saison de la bonne manière afin d'éviter des montagnes de regrets " "L'Inter à réalisé deux bonnes performances contre la Fiorentina et la Salernitana, à Turin ils méritaient un match nul et avec la Salernitana ils méritaient de gagner. Ils ne sont pas mauvais, Benfica a beaucoup de qualité attention de ne pas se retrouver "dépasser""! On attend les réponses aux questions!! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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L'ancien défenseur et capitaine légendaire de l'Inter Beppe Bergomi ne s'attend pas du tout à ce que la Fiorentina soit un adversaire direct pour les Nerazzurri samedi. S'adressant au diffuseur italien Radio Bruno, via FCInterNews , Bergomi a noté que La Viola était en excellente forme avant la trêve internationale et qu'elle jouait une marque de football contre laquelle les Nerazzurri auront du mal à jouer. Le fait que la Fiorentina ait remporté ses sept derniers matches avant la pause devrait être une preuve suffisante que les Toscans seront une équipe difficile à manoeuvrer en Serie A. Même si le niveau d'opposition auquel l'équipe de Vincenzo Italiano va se confronter n'a jamais été aussi fort que l'Inter sur le papier, ils ont certainement montré leur détermination et leur capacité à débloquer des matchs. De plus, l'Inter se souvient qu'il a fallut compter sur Henrikh Mkhitaryan pour remporter le match aller au Stadio Artemio Franchi en novembre. Même après que l'Inter ait pris les devants 2-0 dans la première moitié du match, La Viola a riposté et a montré à la fois sa détermination et sa qualité jusqu'à la dernière minute, forçant les Nerazzurri à gagner le match 4-3. En conséquence, il est certainement réaliste de s'attendre à ce que, l'Inter rebondisse après sa défaite contre la Juventus avant la trêve internationale en prenant trois points contre la Fiorentina, ils seront obligés de tout donner pour cela. "Ils sont le pire adversaire possible pour l'Inter en ce moment", a prédit Bergomi à propos de la Viola. "Ils ont une équipe solide qui a des idées claires sur la façon dont ils veulent jouer et ils se développent bien", a-t-il ajouté. Bergomi a également noté que "l'Inter devra récupérer des joueurs importants". "Et puis, Lautaro sera probablement un peu fatigué, il n'a pas été à son meilleur niveau avant la trêve " L' ancien défenseur a conclu que "la Fiorentina sera un adversaire très délicat pour cet Inter". Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Beppe Bergomi donne son mot à dire quelques instants avant le verdict de l'urne de Nyon. "L'Inter était arrivée dans un moment difficile et ils ont eu un match compliqué. Ces dernières années, Porto avait éliminé tous les clubs italiens, ce n'était pas évident. A part les 7 dernières minutes, elle s'en est bien sortie. Pour moi, parmi les clubs italiens c'est la moins européenne. Elle n'a pas d'homme qui presse et ne se donne pas les moyens de bien défendre et reconstruire. Cela ne signifie pas pour autant qu'elle doit partir battue. Si elle se libère de la tête, l'Inter devient aussi un adversaire redoutable pour tout le monde." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Présent comme à son habitude dans les studios 'Sky Calcio Club', Giuseppe Bergomi commente ainsi la mauvaise passe de l'Inter à deux jours du match contre Porto. "Concernant Inzaghi, je pense que jamais auparavant on n'avait critiqué les entraîneurs, en général, comme cette année. Je pense à Conte, Galtier, Italiano, Allegri… Cette année seulement Spalletti n'est jamais entré dans les critiques et quelques autres. Comme je connais bien le milieu de l'Inter, je pense qu'il se déclenche parfois une spirale de négativité qui entraîne tout le monde, comme une sorte d'aimant. L'Inter n'a pas besoin de ça et ça a déjà commencé cet été avec l'affaire Skriniar. Maintenant, il est temps de tout ça laisser derrière. Il reste encore beaucoup d'objectifs à atteindre, il a bien fait en Ligue des champions et a remporté une Coupe. C'est le moment où ces problèmes doivent être écartés. Alors peut-être que dans trois mois on en reparlera. Maintenant il faut redécouvrir ce fort sentiment d'appartenance." "Pour créer une supériorité numérique, l'Inter porte un joueur vers l'avant, donc quand vous perdez le ballon, vous restez toujours en tête-à-tête. C'est une caractéristique de cette équipe. Un groupe sain et fort va au-delà de cela, une équipe forte doit tout laisser derrière elle. Les joueurs savent que pendant trois ans, chacun à son tour se retrouve sur le mercato. Cela les affecte beaucoup à mon avis. Il y a trois ans, ils ont remporté le Scudetto et normalement, vous insérez 1-2 pièces confirmer et améliorer en Ligue des champions. Au lieu de cela, il y a toujours plus de mercatos dont l'Inter doit toujours tirer le meilleur en vendant un top joueur. Et cela affecte quand vous devez faire équipe." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Javier Zanetti raconte tout à 'Que Mola'. Entre passé, présent et futur, voici l'intégralité de l'interview de notre ancien capitaine. Un adjectif pour Javier Zanetti aujourd'hui ? "Disons qu'aujourd'hui je suis un manager qui a une vision plus large que lorsque j’étais joueur." Votre jeunesse argentine, que pouvez-vous nous dire ? "Si je pense à mon enfance, j'ai de merveilleux souvenirs, liés avant tout à ma passion qui est le football. Depuis que je suis enfant, je courais après le ballon et rêvais avec mes amis de devenir professionnel un jour. J'ai pu faire de ce rêve une réalité. Dans mon quartier, je porte avec moi toutes les choses positives qui m'ont accompagné en tant que footballeur et aujourd'hui en tant que manager. Ce sont des valeurs importantes auxquelles je tiens et que je porte partout." A propos du potrero, le terrain du quartier ? "Ce serait l'oratorio des Italiens, où l'on passe de merveilleux moments entre amis. Vous rêvez, vous apprenez à jouer, vous aidez des amis dans le besoin, vous vous disputez, vous plaisantez. Ce sont des moments qui vous font vraiment grandir." Comment êtes-vous arrivé dans l’équipe jeune de l'Independiente ? "Je suis fan depuis que je suis enfant, j'y suis arrivé parce que je rêvais de porter ce maillot. A travers un tournoi dans mon quartier, les managers m'ont vu et m'ont emmené. Là j'ai commencé ma carrière dans une équipe professionnelle." Cependant, vos débuts professionnels étaient contre Banfield et votre premier match contre River Plate. "Oui, j'ai fait les jeunes là-bas. En réalité, les débuts sont en deuxième division, où j'ai fait un an, puis Banfield m'achète et je fais deux ans en première division. Les débuts sont contre River Plate et après ces deux années, l'appel inattendu de l'Inter m'a pris par surprise. C'était ma grande opportunité d'entrer dans ce football européen et de me comparer à de grands champions." Dans ce transfert est né le mythe chiffre 4… "Oui, c'était le maillot que j'ai toujours porté, il était libre à l'Inter et je l'ai pris de près parce que je l'aimais. Je l'ai gardé tout au long de ma carrière. Avec ce numéro, j'ai passé des moments inoubliables avec l'Inter. Pour moi, elle signifie famille, amour, c'est ma maison. Être lié au club est encore très important pour moi." Vous souvenez-vous de votre premier jour à l'Inter ? "Honnêtement, je ne pouvais pas imaginer à ce moment-là que ma carrière aurait été ici en intégralité. Je savais que je venais dans un grand club, avec une belle histoire et avec de grands champions de différents pays. Je voulais laisser ma marque, je savais c'était ma chance. Le saut était très grand, de Banfield à l'Inter, mais je savais que je devais donner tout ce que j'avais à l'intérieur et apporter mon essence sud-américaine pour que l'Inter apprécie mes qualités." En parlant d'essence sud-américaine, l'Inter l'a dans son ADN et l'avait déjà à l'époque. "Oui, il y a une tradition sud-américaine, beaucoup de joueurs ont bien réussi entre autres. Ensuite, FC Internazionale, même de par son nom, signifie aussi ouvrir les portes aux joueurs non italiens." "Dès le premier entraînement, nous avons la possession du ballon. Il ne le perd jamais, il reste toujours attaché à son pied. Ce jour-là, j'ai pensé qu'il entrerait dans l'histoire de l'Inter." Vous souvenez-vous qui a dit ces choses ? "Oui, le capitaine de l'époque, Beppe Bergomi, une personne qui m'a beaucoup aidé, il m'a tout de suite intégré dans la réalité du football italien, il m'a raconté l'histoire de l'Inter. Avec Giacinto Facchetti, ils ont été importants pour moi dans mon premiers pas dans cette société." À propos de l'âme argentine. Que pensez-vous de Batistuta et Crespo ? "Deux grands attaquants, parmi les principaux de l'histoire du football argentin. Batistuta avait une puissance physique incroyable, il a marqué de toutes les manières. Crespo était très intelligent à l'intérieur et à l'extérieur de la surface, il savait se démarquer avec des mouvements qui permettaient de le trouver et toujours là prêt à marquer." L'Argentine est championne du monde, je vous demande trois noms à mettre dessus. Le meilleur de tout les temps. "Messi, Diego Maradona et Kempes, qui a été l'architecte d'une course extraordinaire en 78 qui nous a fait gagner la première Coupe du monde." Le championnat argentin évolue, s'oriente vers un format européen. "C'est certainement un plus, le football argentin peut beaucoup grandir. Il faut copier les bonnes choses d’Europe et c'était un choix important pour l'avenir du football argentin." Trois raisons pour lesquelles un enfant passionné de football devrait suivre le football argentin. "Parce que c'est très excitant, il y a beaucoup de jeunes qui peuvent émerger et qui font déjà de grandes choses et parce que ça rappelle le potrero, où on voit des joueurs s'amuser. Des joueurs qui possèdent potrero." La Copa Libertadores comme la Ligue des Champions ? "En termes d'importance oui, mais cela se passe d'une manière différente. Parce que les stades sont différents, parce que les gens le vivent différemment. Mais c'est une coupe très convoitée et dernièrement elle a vu la domination des équipes brésiliennes qui s'investissent beaucoup. L'Argentine est un peu en retard, mais je pense que Boca, River et Racing peuvent être des protagonistes." Comment est né votre surnom d'El Tractor ? "Je suis né en Argentine, un commentateur m'a donné ce surnom parce qu'il a dit que lorsque je partais avec boulet et chaîne, je ressemblais à un tracteur que personne n'arrêtait. C'est ainsi que le surnom est né." Comment la formation vous a toujours aidé, dans une longue carrière où vous avez aussi changé de rôle. Vous étiez également milieu de terrain… "Beaucoup. L'entraînement est la chose la plus importante, j'ai toujours essayé de le faire en me donnant à 100% parce que je savais que dimanche je serais prêt pour un grand match. L'entraînement aujourd'hui me fait me sentir à nouveau bien et quand j'ai joué, je pensais que c'était le plus important." Votre but en équipe nationale a sauvé la vie de Marek Kopals. "C'est arrivé lors de la Coupe du monde 98, nous jouions contre l'Angleterre. J'ai découvert après qu'il regardait le match, grâce à mon but, nous sommes allés en prolongation puis aux tirs au but. S'il était parti après 90 minutes, il aurait explosé avec sa voiture là où il y avait une bombe. Disons que mon but l'a fait rester à la maison et l'a empêché de prendre cette voiture." Vous avez déjoué une attaque sans le savoir. Une magie en effet… "Oui, ça ne s'explique pas. Puis il m'a écrit une lettre pleine d'émotions, me remerciant. Quand on vous raconte ces choses, vous comprenez jusqu'où va la passion du football. Sa passion l'a fait rester à la maison plus longtemps, au-delà les 90 minutes." Parlons de Ronaldo. "Pour moi, il était l'un des plus forts avec qui j'ai eu l'opportunité et l'honneur de jouer. Un joueur extraordinaire dans tous les sens. Il vient de Barcelone dans sa meilleure période, avec nous, il a été dévastateur. À l'entraînement, il était difficile d'arrêter lui et dans le jeu aussi." Angelillo a été important pour vous amener à l'Inter… "Il m'a vu et m'a identifié comme un joueur de l'Inter, je le remercierai toujours. Grâce à lui, Mazzola et Suarez m'ont vu, je suis arrivé dans ce grand club. Angelillo est une légende, capitaine, qui a laissé sa grande enseigne à l'Inter." Que signifie cette photo de vous sur le chantier ? "Mon père était maçon, pendant un an je l'ai aidé et ce fut l'un des meilleurs moments de ma vie. Là j'ai compris beaucoup de choses, combien mon père et ma mère se sont sacrifiés pour que mon frère et moi ne manquions de rien. J'ai commencé à comprendre les vraies valeurs de la vie, les fondamentaux pour l'être humain." Est-il vrai que vous risquiez physiquement de ne pas faire partie des sélections professionnelles ? "J'étais très fragile, c'est pourquoi l’Independiente m'a laissé partir en disant que je n'étais pas prêt à jouer au football à ce moment-là. J'ai accepté leur décision mais je ne le nierai pas en tant que fan, c'était un coup dur pour moi. Je rêvais de faire mes débuts avec eux. Mais il fallait que ça se passe différemment et puis quand on a affronté Banfield, les managers d'Independiente avaient les mains dans la nasse. C'est une des choses qui peuvent arriver dans le football." Parlons de l'asado. "Cela fait partie de notre culture, c'est un groupe. A l'Inter, nous nous sommes amusés avec ce groupe, ce n'est pas un hasard si nous avons tout gagné." Parlons de Mourinho. "José a été important pour moi dans ma carrière, une relation qui va au-delà de la relation professionnelle. Il y a une relation humaine très forte qui dure dans le temps, on se parle souvent, on s'envoie des textos. C'était un super leader pour ce groupe-là." Dans l'hymne Pazza Inter, le début est avec le commentaire de votre but. "Un moment de plaisir, cette chanson tous ensemble. Je remercie Scarpini pour le commentaire très émouvant, il a été décidé de commencer l'hymne avec ça." En Argentine, vous êtes passés maîtres dans le commentaire… "Oui, car ils vous font vivre de grandes émotions, qui vous viennent en regardant ou en écoutant les matchs." Parlons de Maldini. "Avec Paolo, il y a toujours eu une grande relation et au-delà de la rivalité un grand respect qui dure encore aujourd'hui et qui durera. Il représente l'un des joueurs que tout le monde respecte dans le monde du football pour sa façon d’être et de jouer." Vous êtes deux capitaines très représentatifs du derby milanais. "Nous nous sommes affrontés plusieurs fois, Paolo était un adversaire très loyal et je l'ai toujours apprécié pour ça." Un conseil pour les jeunes joueurs, pour ceux qui n'ont pas tout de suite un grand talent ou pour ceux qui en ont déjà un. "Le conseil est très simple, dans les deux cas : ne jamais cesser de rêver ! Les rêves peuvent se réaliser mais pour les réaliser, il faut beaucoup de travail, de sacrifice et de résilience car il y aura des moments diffcile à affronter. Une fois fait, vous ressortez plus fort de ces moments." Traduction alex_j via FCInter1908.
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- javier zanetti
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Analyses d'Alessandro Altobelli et Beppe Bergomi dans la Gazzetta dello Sport
alex_j a posté un article dans Interviews
Deux de nos légendes, à deux postes différents, nous livrent leurs analyses concernant l'Inter. Elle se recoupent sur beaucoup de points. Alessandro Altobelli a souligné les mérites du Napoli mais également les problèmes qui affligent ses poursuivants et en particulier l'Inter. "Trop de hauts et de bas, trop de points perdus face aux soi-disant provinciaux. Ce n'est pas facile de comprendre les raisons mais il est clair que, mentalement, elle n'arrive pas faire tourner le moteur longtemps. Dans le match direct, l'Inter s'est avérée être au niveau du Napoli et ce n'est pas un hasard elle a été la seule à le battre. Mais ensuite, elle n'a marqué que deux points entre Monza, la Sampdoria, Empoli et Bologne. Impossible de penser pouvoir gagner le Scudetto comme ça. Coupe d'Italie et Champions ? Qui sait s'elle ne peut pas aller jusqu'au bout. Les soirées importantes, elle n'a guère échoué, cela doit être un point de départ." L'analyse de Beppe Bergomi trouve également sa place dans les pages de la Gazzetta. "Un énorme écart à ce stade de la saison. En 2023, l'Inter avait pu démarrer fort, battre Napoli et revenir immédiatement à moins huit. Mais au lieu de profiter de l'embélie du moment, quelques jours plus tard, ils ont fait match nul 2-2 à Monza. Vous ne pouvez pas vous le permettre quand vous avez devant vous une équipe qui ne connaît pas les baisses de régime et qui démontre à chaque match qu'elle est supérieure aux autres et qu'elle mérite pleinement son avantage. Napoli joue très bien mais l'Inter joue aussi du bon football quand elle est bien physiquement. Le problème est de maintenir le haut niveau de performance pendant plusieurs matchs. Et les crises de nervosité perpétuelles de ses protagonistes sont perçues comme un 'message négatif'. L'Inter est l'équipe qui dribble le moins. Le joueur ne saute pas, il ne crée pas de supériorité. Donc c'est dur contre n'importe qui, surtout loin du Meazza. Et maintenant attention à la Ligue des champions qui se corse, le bonus est épuisé." Traduction alex_j via FCInterNews.- 5 commentaires
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Lautaro Martinez s'est exprimé aux micros de Rai Sport après le 0-1 à Bologne. Ensuite, Beppe Bergomi a fait une analyse ciselée au Sky Calcio Club. Les mots de Lautaro Martinez "Certes ce type de performances ne servent à rien ni à personne. Il faut changer d'attitude, tourner la page et travailler comme on l'a toujours fait, en essayant de laisser une meilleure image au prochain match que celle d'aujourd'hui. Nous n'avons pas abordé le match comme nous le devions et nous avons perdu ces trois points qui étaient importants." "Comment expliquer les belles performances contre les grands et les sept défaites ? Il y a ce manque de continuité que nous devons résorber. Pour atteindre le Scudetto, qui est un objectif à long terme, il faut de la continuité. Cette année, nous ne l'avions pas et nous le payons. Nous devons tous continuer à travailler ensemble, à nous unir, à nous parler et à élever le niveau même à l'entraînement, car cela élève le niveau de toute l'équipe." L'analyse de Beppe Bergomi "A la reprise du championnat, l'Inter était derrière Naples et Milan. Et après avoir battu le Napoli, elle a fait match nul à Monza. L'Inter est forte mais pour gagner des matches, elle doit mettre beaucoup d'énergie et beaucoup de jeu. Quitte à encaisser des buts comme avec l'Udinese et Porto. La différence entre les performances à domicile et à l'extérieur ? Les nombreux buts encaissés proviennent de la première phase de cette saison, lorsque l'Inter portait l'héritage de la saison dernière et avait hâte de gagner. Il n'en faut pas beaucoup pour Naples, l'Inter doit faire un effort énorme pour gagner et après trois jours, ils ne peuvent pas maintenir la même intensité. Pour moi c'est une question de caractéristiques des joueurs, quand elle joue au foot elle montre de beaux matchs." "C'est thématique, certaines choses se passent dans le vestiaire que nous ne pouvons pas savoir. Mais Lukaku-Barella, Onana-Dzeko et puis ces mots de Martinez font de la gestion de ce groupe une thématique. Qui doit le faire ? De l'extérieur on ne comprend pas bien. Ensuite l'Inter a une moyenne d'âge de 30 ans et le turnover doit le faire de force, et puis c'est dur d'avoir des résultats. Et Marcelo Brozovic doit être utilisé, il doit entrer comme il est entré contre Porto et non celui qu'on a vu aujourd'hui." "Mais il faut dire que l'Inter est toujours en lice pour les quarts de finale de la Ligue des champions et la demie finale de la Coupe d'Italie. Est-ce que ça peut bien se passer ? Pour moi oui. Si l'Inter ne va pas bien, les autres ne vont pas bien non plus." Traduction alex_j via FCInterNews.
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- lautaro martinez
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Notre légende Beppe Bergomi pense que Simone Inzaghi fait du bon travail dans une situation où les Nerazzurri sont obligés de vendre un grand joueur chaque été, a-t-il déclaré en exclusivité à SempreInter. Sur le dossier Skriniar. "Nous devons revenir à l'été dernier. Malheureusement chaque été, l'Inter doit sacrifier un top player, on l'a vu avec Lukaku, Hakimi et Perisic. L'été dernier, ils ont choisi Skriniar. Au lieu de cela, le joueur est resté et nous savons ce qui s'est passé. Nous devons partir de ce point. J'ai connu Milan, c'est un bon garçon, timide, sérieux. C'est un professionnel qui a pris sa décision. Peut-être qu'il aurait pu mieux le communiquer, même si souvent ce n'est pas facile de le faire même pour ces joueurs." "Je pense que nous devons tirer une conclusion de ce cas et d'autres cas similaires : la Serie A est un championnat que les joueurs traversent, et n'est pas la destination finale. En ce qui concerne les joueurs d'un club et la bandiera, le monde a changé par rapport au passé. Nous devons accepter cela. Nul doute que Skriniar va tout donner d'ici la fin de la saison. Les gens doivent comprendre cela et le laisser tranquille. Il était nerveux lors du match contre Empoli et cela a coûté le match à l'Inter, ce sont des choses qui peuvent arriver." Milan Skrinar a-t-il trahi l'Inter ? "Il a été clair avec ses coéquipiers, leur a communiqué sa décision, c'est le plus important. Je n'aime pas parler de relations dont je ne suis pas au courant. Je dirai seulement que je suis triste qu'il parte, c'est un grand joueur, qui a bien représenté l'Inter ces dernières années. N'oublions pas d'autres cas similaires dans d'autres clubs. Nous devons nous rappeler que les choses ne sont plus comme elles étaient dans les années 90 et au début des années 2000. Aujourd'hui, ces acteurs trouvent d'autres solutions. Peut-être qu'ils auraient pu trouver un accord, similaire à celui que le Torino a trouvé avec Bremer. Là, il a signé une prolongation de contrat d'un an. Ils auraient pu mettre en place une clause libératoire minimale. Mais ensuite, il y a des agents qui avaient peut-être déjà accepté toutes les conditions et à ce moment-là, vous ne signez pas de prolongations de contrat et cela devient difficile." Critiques adressées au PDG du club, Beppe Marotta "On a vu qu'il y avait une ligne claire décidée par le club. Je ne vois pas cela comme une erreur, ils ont cherché à gérer la situation mais ils n'ont pas pu. Mais ce n'est pas une erreur. Il faut accepter ces situations contingentes, avec lesquelles l'Inter a dû vivre ces trois dernières années. Le club ne peut pas dépenser sur le marché des transferts mais reste compétitive, remporte des trophées et passe par la phase de groupes de la Ligue des champions. Bien sûr, ils sont loin derrière Napoli qui a fait quelque chose d'extraordinaire. Dans cette optique, un match nul contre la Sampdoria, par exemple, n'est pas suffisant. Mais pour le reste, que pouvez-vous dire à cette équipe ? Ces dernières années, c'est une équipe qui s'est appauvrie mais qui parvient toujours à rester compétitive et c'est un signe de mérite." "Si nous revenons au moment où l'Inter a remporté le titre de Serie A et que vous imaginez que vous pourriez ajouter un ou deux joueurs, vous auriez bien sûr pu donner une continuité. Mais la continuité est donnée, vous avez remporté la Coppa Italia, la Supercoppa Italiana, mais bien sûr vous auriez pu être encore plus compétitif, cela ne fait aucun doute. Des joueurs comme Acerbi, Dzeko et Mkhitaryan sont des joueurs forts, ils vous donnent beaucoup maintenant." La question du Suning "Étant donné que je ne connais pas toutes les situations internes, cela me rend inconfortale. Je comprends les difficultés auxquelles ils ont été confrontés, de la pandémie au respect des règles du fair-play financier de l'UEFA. Cependant, vous devez toujours offrir un rêve aux fans, mais souvent, les fans ont du mal à comprendre la situation actuelle et cela me rend désolé. Je ne veux pas entrer dans les problèmes auxquels le président du club est confronté. Il est évident pour tout le monde de voir que la propriété connaît des difficultés mais essaie de les gérer de la meilleure façon possible." "Nous sommes déjà à un certain niveau, alors tout le monde veut toujours quelque chose de plus. Mais encore une fois, je le répète, nous avons vu passer 9-10 ans sans rien gagner. Et maintenant, les Nerazzurri gagnent, il y a une continuité en ce sens, c'est ce qui est le plus important. Ensuite, si Suning décide de ne plus continuer et de vendre le club pour le bien de l'Inter, alors ce n'est pas grave. En ce moment, les choses se passent comme elles sont et nous devons les laisser faire." Le verdict sur Simone Inzaghi "Souvent, d'autres entraîneurs sont félicités, puis vivent des moments difficiles, mais un match suffit et ils recommencent à être félicités. Simone est toujours sous surveillance. À mon avis, l'Inter joue bien au football, l'équipe joue bien, elle ne fait pas d'erreurs dans les matchs de coupe. Il y a toujours cette statistique sur le dribble qui me fait réfléchir, la statistique qui dit que l'Inter est la deuxième équipe en bas de tableau pour les dribbles réalisés en Serie A et en Ligue des champions. Savez-vous ce que cela signifie dans le football moderne ? Le changement de rythme et d'accélération est fondamental. L'Inter d'aujourd'hui est toujours en bonne position pour bien faire, pour faire avancer de nombreux joueurs au-delà des lignes avec le ballon et pour jouer un type de football spécifique. Face à des équipes qui ferment, cela devient beaucoup plus difficile. Inzaghi fait un excellent travail. Beaucoup disent que l'Inter devrait changer d'entraîneur mais cette équipe a été construite pour jouer comme ça. Il est très difficile d'imaginer cette équipe sur le terrain jouer d'une manière différente, et aussi mettre en place une défense. Mais les ailiers ? Qui joue en dehors des défenseurs centraux. Je ne veux pas le défendre (Inzaghi, ndlr) à tout prix, mais à mon avis, Inzaghi fait un excellent travail." L'Inter manque de courage pour donner une chance aux jeunes ? "Kvaratskhelia, dans ce sens, n'était pas un joueur inconnu. Je parle aux scouts de l'Inter et on m'a dit que l'Inter surveillait Kim Min-jae au cas où Milan Skriniar aurait été vendu l'été dernier. Ils connaissaient également Kvaratskhelia. Mais ensuite, il faut les mettre dans un système de jeu, avec un 3-5-2, il deviendrait trop difficile de les faire jouer dans ce système. L'Inter connaît et connaît tous les joueurs, il faut souvent avoir le courage de faire certains types d'investissements. Le football italien doit avoir des idées et être prêt à prendre des risques sur certains joueurs qui n'ont pas encore explosé mais où l'on peut voir du potentiel. C'est vrai pour l'Inter comme pour toutes les équipes italiennes. "Si quelqu'un comme Kvaratskhelia s'était adapté à un 3-5-2 ? Je suis d'accord. Mais on revient toujours là-dessus. Il y a beaucoup de bons joueurs en Europe. Maintenant que vous savez que Skriniar s'en va, il faut être prêt et bien faire pour le remplacer. Vous devez être bon pour identifier le bon joueur avec les bonnes caractéristiques, qui est rapide et bon pour aller de l'avant. Parfois, et je parle ici de manière générale, on essaie de s'accrocher aux joueurs qui finissent par compliquer les transactions sur le marché des transferts. Mais vous devez être prêt à récupérer votre argent et à trouver immédiatement un remplaçant." Traduction alex_j via Sempreinter.
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De la Juventus à Milan, en passant par l'Inter, la Fiorentina et Naples. Les sujets abordés par Giuseppe Bergomi dans son interview exclusive à TuttomercatoWeb.com sont nombreux. Alors, la Juventus ? "Ce n'est pas une situation facile, il y a eu mille problèmes et trouver la continuité n'est pas facile. Il y a des jeunes mecs qui pourtant sentent le vestiaire et le vivent. Contre Nantes, la Juve a fait une bonne première mi-temps, puis elle a baissé, attend l'adversaire... Il faut qu'elle trouve la continuité, mais je comprends les problèmes." Comment jugez-vous la saison d'Allegri, qui se définit de plus en plus comme 'un résultat et c'est tout' ? "Je le respecte. Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon d'obtenir un résultat. Si vous regardez la saison des Bianconeri, ils ont fait une erreur complète en Ligue des champions, mais ils seraient deuxièmes en Serie A. Bien sûr, la Juventus commence toujours pour gagner, si elle ne le fait pas, il y a des critiques. Cependant, dans les difficultés, ce n'est facile pour personne. Nous devons tous ramer du même côté et avoir une société cohésive." Comment avez-vous la performance de la Viola contre Braga ? "Sur le papier, je pensais que la Fiorentina avait le match le plus difficile. Mais au lieu de cela, ils ont gagné, jouant avec la bonne hargne, ayant un bon impact sur le match. Il y a des données incroyables sur la Viola : ils sont deuxièmes pour la possession du ballon en Serie A, et ils le font dans la moitié de terrain adverse, ils tirent plus de corners que n'importe qui d'autre, ils sont quatrièmes en termes de tirs... Il n'y a vraiment pas de finition, mais hier tu as trouvé les buts des attaquants. Félicitations !" Maintenant l'Inter. La Curva Nord a pris position contre Inzaghi. Pensez-vous aussi que vous osez trop peu ? "Inzaghi fait un excellent parcours. Il a hérité d'une équipe qui avait remporté le Scudetto mais sans pièces importantes. Il a ramené deux coupes et joué pour le championnat lors de sa première saison, a remporté une coupe, est toujours en Ligue des champions et en Coupe d'Italie en seconde... A Gênes, l'Inter a fait 23 tirs au but, puis nul et c'est de sa faute, mais ce n'est pas comme ça que ça marche, je ne suis pas dupe du résultat, il y a trop de critiques pour l'Inter. Malheureusement, ils ne dribblent pas beaucoup, il faut toujours aller au but par le jeu et ce n'est pas facile. Je suis pour Inzaghi." Est-ce que retirer le brassard de Skriniar et choisir Lautaro comme capitaine du présent et du futur est le bon choix ? "Je pense que oui. L'Inter a reconnu le professionnalisme de Skriniar mais il n'a pas adhéré au projet et c'est donc juste de donner un signal. Il Toro a trouvé la continuité de la performance, il a le caractère requis pour être capitaine." Brozovic et Skriniar, dans un certain paramètre zéro. Soyuncu, Smalling, Pereyra et Kessie sont-ils les bons noms ? "L'Inter devrait être laissée tranquille car ils ont des matches importants à jouer. L'Inter a dû céder lors des derniers mercatos sans accepter de transfert, ce qui les a aidés financièrement parlant. Elle est restée haute, mais rappelons-nous d'où elle est partie. Les noms cités sont tous bons, mais il faut de la sérénité. Tout semble négatif autour de l'Inter dès qu'ils font des plans, mais ils ont tendance à bien fonctionner sur le marché en fonction des ressources disponibles." Le Milan est-il sorti de la crise ? "Ils ont retrouvé leur style et c'était bien. C'est une équipe qui a décidé de se couvrir davantage, je le comprends très bien. Mais en se couvrant ils sont redevenus agressifs. Ce n'est pas ce spectaculaire Milan qui est venu prendre l'adversaire très haut. Mais en attendant il n'encaisse pas de but. Il est sur la bonne voie, mais tout s'est joué en un mois." Napoli peut-il gagner la Ligue des champions? "Le Napoli est notre meilleure équipe, très bien construite. Le mérite revient au club qui a bien travaillé pendant des années, du directeur sportif qui sait choisir et de Spalletti qui est un génie du football. Il trouve de nouveaux postes, il fait en sorte que les joueurs soient au meilleur de leur forme. Il peut aller très loin en Ligue des champions, s'il peut jouer avec tous ses atouts. C'est une équipe européenne, rapide et bien structurée. Je ne sais pas quoi ajouter d'autre." Traduction alex_j via Tuttomercatoweb.
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Walter Zenga : "Entraîner l'Inter est un rêve pour moi !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L'amour pour l'Inter, sa carrière et le rêve d'être assis sur le banc des Nerazzurri. Dans une longue interview accordée au 7, le magazine Corriere della Sera, Walter Zenga parle de lui. "L'Inter était mon rêve d'enfant devenu réalité. J'ai toujours soutenu l'Inter, je suis allé jusqu'au bout. J'étais ramasseur de balles au Meazza. Et finalement, après des années en province, je suis rentré chez moi. Entraîner l'Inter, c'est un rêve ? Ça l'a toujours été, j'ai fait tout le processus de l'équipe des jeunes, j'ai travaillé au siège, maintenant je suis une légende. Dans la vie, il est important de poursuivre un grand rêve, peu importe qu'il se réalise ou non. Ma satisfaction est que les fans de l'Inter m'arrêtent encore dans la rue aujourd'hui et c'est comme si j'avais arrêté de jouer l'année dernière. Et même quand quelqu'un d'une autre équipe me balance des insultes, je ne suis pas offensé. Cela veut dire que j'ai laissé une marque malgré le fait que le dernier match officiel remonte au 11 mai 1994." "Ma chance, c'est que j'ai toujours eu un plan B pour ne pas rester à la maison à attendre un coup de fil. J'ai fait de la radio, de la télé. Je suis un Mourinhien car partout où je vais, je deviens un ultra de mes garçons. J'ai tellement reçu de Catane et de Palerme, que j'ai laissé mon âme à Crotone. Puis la Sampdoria, Venise. Chaque ville m'a donné quelque chose." "Mon père ? Non, c'était un joueur perdu de la Juventus. Quand il y avait l'Inter-Juve, c'était un problème. Si nous perdions, je me fâchais, je pleurais. Même mon premier fils Jacopo est noir et blanc, nous sommes une famille étrange. Mais les quatre autres enfants sont de mon côté." "Ricardo Ferri ? Je lui ai dit : 'Dai Ricky, changeons-nous et prenons le terrain'. C'est agréable de voir que les autres font quelque chose d'important : Maldini manager du Milan, Costarcurta et Bergomi impeccables commentateurs de Sky, Ricardo Ferri team manager de l'Inter. Quand je ai rencontré Jurgen Klinsmann à Doha, on s'est embrassé comme à la fin d'un match." "Amadeus ? Un fan inconditionnel de l'Inter, agréable et de bonne compagnie. Ça me fait juste ch*** qu'il ne m'ait jamais invité à Sanremo..." Traduction alex_j via FCInter1908, FCInterNews et Sempreinter.- 1 commentaire
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Les Nerazzurri toujours protagonistes des événements mondiaux : des deux titres de Meazza à aux finales où il y a toujours un joueur de l'Inter sur le terrain. Voici le rapport de FCInter1908 qui a tout répertorié et nous dit tout. Inter et Coupe du Monde : tout commence en 1934 Championnat interrompu avec la Coupe du monde qui a commencé hier. Un sentiment que nous associons habituellement à l'été, aux rêves de gloire colorée de bleu. Mais ce n'est pas l'été, il n'y a pas d'Italie et pourtant la Coupe du monde a commencé. Qatar 2022, la première édition en automne, la première à scinder la saison interclubs en deux. Ils sont six joueurs Nerazzurri prêts à concrétiser leur rêve nourri depuis de leur enfance, celui de soulever la coupe. Il s'agit de Lautaro Martinez avec l'Argentine, Denzel Dumfries et Stefan De Vrij avec la Hollande, Marcelo Brozovic avec la Croatie, André Onana avec le Cameroun, Romelu Lukaku avec la Belgique. Interisti et Coupe du monde est une histoire qui commence en 1934 qui est pleine d'anecdotes et d'épisodes clés. Il y a des champions du monde, il y a des buteurs en finale, il y a des records invaincus, des statistiques uniques. Celle du Qatar est la 22e édition de la Coupe du monde. La première, en 1930, comportait 13 équipes nationales mais pas l'Italie. Aucun Nerazzurri n'a participé à cette première édition historique. Depuis lors, les nerazzurri ont souvent laissé leur emprunte en commençant par les éditions de 1934 et 1938, remportées par l'Italie avec la contribution de plusieurs Interisti, Giuseppe Meazza en particulier. Ici, l'appel d'Allemandi, Castellazzi, Demaria et Meazza, en 1934 par Vittorio Pozzo est le premier appel des joueurs de l'Inter pour la Coupe du Monde. L'Italie soulève la Coupe Rimet en 1934 et la conserve en 1938. En 1938, Giovanni Ferrari, Pietro Ferraris, Ugo Locatelli et Renato Olmi sont appelés en plus de Meazza. Il y a donc 8 champions du monde Nerazzurri, avec Meazza qui en tant que capitaine soulève le trophée en France. Le meilleur buteur de l'histoire de l'Inter est le seul Nerazzurri à avoir remporté deux titres mondiaux. 104 Interisti à la Coupe du Monde Les huit Azzurri précités font partie des 104 joueurs qui, tout au long de l'histoire, ont été convoqués pour la Coupe du monde. Une très longue liste dans laquelle se distingue Beppe Bergomi, capable de disputer quatre éditions de la Coupe du monde entre 1982 et 1998. Lothar Matthäus compte bien cinq éditions, mais une seule lorsqu'il portait le maillot de l'Inter, celle de 1990. Pour celles de 1950 et 1954, seuls les joueurs italiens étaient appelés. En 1958, l'Inter n'avait qu'un seul représentant à la Coupe du monde, Lennart Skoglund avec la Suède, l’Italie n’y participant pas. Il y a 24 nations représentées dans l'histoire par les Interisti à la Coupe du Monde : Italie, Suède, Espagne, Angleterre, Autriche, Allemagne, Hollande, Brésil, Chili, France, Nigeria, Argentine, Uruguay, Turquie, Portugal, Croatie, Serbie, Slovénie, Ghana, Cameroun, Colombie, Japon, Algérie, Belgique. L'édition qui a vu le plus de Nerazzurri participer à la Coupe du monde est celle de 2002. 13 joueurs de l'Inter ont été appelés : Toldo, Materazzi, C. Zanetti, Di Biagio, Vieri (Italie) ; J. Zanetti (Argentine); Simic (Croatie); Okan, Emre (Turquie); Conceiçao (Portugal); Recoba, Sorondo (Uruguay); Ronaldo (Brésil). Les interisties champions du monde Il y a 19 joueurs interisti qui ont remporté la Coupe du monde. Au niveau des clubs, les nerazzurri occupent la troisième place en terme de champions du monde, derrière la Juventus et le Bayern Munich. Les 19 champions Nerazzurri sont : Meazza (1934-1938) ; Allemandi, Castellazzi, Demaria (1934); Ferrari, Ferraris, Locatelli, Olmi (1938); Bergomi, Marini, Bordon, Oriali, Altobelli (1982); Matthäus, Klinsmann, Brehme (1990); Djorkaeff (1998); Ronaldo (2002); Materazzi (2006). En 1982, l'Italie a remporté sa troisième Coupe du monde avec cinq joueurs Nerazzurri dans l'équipe, comme cela s'est produit en 1938. Lors de cette édition, Bordon était le seul joueur de l'Inter à ne pas entrer sur le terrain. Les Interisti buteurs en finale Sur 19 Interisti champions du monde, 7 ont marqué en finale de Coupe du monde. Quatre d'entre eux soulevant alors le trophée, trois avec la déception de la défaite. En 1970, premier but des Nerazzurri en finale : l'égalisation de Boninsegna contre le Brésil, avant la domination auri-verde. En 1982, sous les yeux du président de la République, Alessandro Altobelli fait hurler à Pertini la fameuse phrase "ils ne nous prendront plus" en inscrivant le 3-0 contre l'Allemagne, lors de la finale au Bernabeu qui se termine 3-1. Pour l'Italie de Bearzot, un triomphe sous le signe de Paolo Rossi, avec cinq champions Nerazzurri, dont un tout jeune Bergomi qui a touché le dernier ballon de ce bienheureux Mundial. En 1986, le but de Rummenigge en finale au Mexique, que l'Allemagne perd contre l'Argentine. Quatre ans plus tard, lors de Italia 90, la revanche allemande avec les trois Nerazzurri sur le terrain : Brehme, Matthäus et Klinsmann. Une finale nettement Nerazzurri avec Andy Brehme vainqueur du match marquant sur penalty (pied droit alors que c'est un gaucher) à la 81e minute au stade Olimpico de Rome. Un penalty que Matthäus n'a pas tiré, en raison d'un problème avec une de ses chaussures. En 2002, un autre nerazzurri sur le toit du monde : Ronaldo, après la déception de 1998, remporte la Coupe du monde en inscrivant un doublé en finale contre l'Allemagne, exhibant une coupe de cheveux étrange et légendaire. En 2006, Marco Materazzi était la vedette. Il a égalisé en finale contre la France, a subi un coup de tête de Zidane entraînant un carton rouge pour le Français, a marqué l'un des cinq penaltys de la série finale qui a donné aux Azzurri leur quatrième mondial Titre. La liste des attaquants Nerazzurri en finale de la Coupe du monde s'étend jusqu'en 2018 quand Ivan Perisic marque un beau but à Moscou contre la France en finale, la Croatie s'inclinant 4-2. Toujours un interiste en finale depuis 1982 Lothar Matthäus détient le record d'apparitions en Coupe du monde avec 25 matches. Walter Zenga est l'invaincu : 518 minutes en Italie 90, de la première minute du premier match à la 68' de la demi-finale, où il a été battu par la tête de Caniggia. Parmi les meilleurs buteurs on retrouve Ronaldo en 2002 (8 buts) et Wesley Sneijder (5 buts) en 2010. Mais le fait le plus incroyable est que depuis 1982, il y a toujours eu au moins un joueur Nerazzurri sur le terrain lors des finales de la Coupe du monde. Voici la liste : 1982 : Bergomi, Altobelli (but), Oriali 1986 : Rummenigge (but) 1990 : Brehme (but), Matthäus, Klinsmann 1994 : Berti 1998 : Ronaldo, Djorkaeff 2002 : Ronaldo (2 buts) 2006 : Materazzi (but) 2010 : Sneijder 2014 : Palacio 2018 : Brozovic, Perisic (buts) Traduction alex_j via FCInter1908
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Beppe Bergomi : "Une construction bien lente et fragile !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Sur Sky Sport, Beppe Bergomi a analysé le mauvais moment que passe l'Inter, à la lumière de la défaite contre la Roma. "Il y a des imperfections évidentes qui n'étaient pas présentes l'année dernière, le manque de conviction." "Contre la Roma, cependant, les Nerazzurri ne méritaient pas de perdre, d'après ce que nous avons vu sur le terrain. Je reste de l'idée que l'Inter n'a pas l'effectif le plus fort du championnat, comme le prétend Allegri. La direction a fait des choix sans avoir capté les changements qu'imposent le football moderne, et avec peu de jambe pour le faire." "Maintenant je ne vois même plus l'enthousiasme pour récupérer le ballon, aller tacler, relancer vite. Et si vous ne l'avez pas, les défauts ressortent plus for. C'est à partir du deuxième match que je remarque aux attitudes de non-équipe, de non-jeu." "La construction de l'Inter impliquant les défenseurs est assez lente. La construction de derrière apporte quelques avantages, comme le but de Brozovic contre le Milan. Mais c'est un risque énorme. Parce que les mauvaises passes horizontales conduisent à l'exposition de l'arrière-garde, le refus du un-contre-un et la difficulté à défendre les positions." "Le deuxième but de la Roma est une erreur manifeste de marquage et de positionnement. Quand tu es en difficulté, tu dois prendre tes responsabilités. Dans cette situation, les joueurs de la Roma qui sont grands, en taille, étaient positionnés derrière, l'Inter n'en avait qu'un. La défense de zone c'est bien mais les joueurs qui sont grands doivent être marqués individuellement. Ces balles doivent être prises à la fois dans le marquage de l'homme et de la zone." Traduction alex_j via FcInterNews.- 2 commentaires
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Beppe Bergomi : "L'absence du Suning pèse sur les joueurs !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
S'exprimant sur Radio Nerazzurra, Beppe Bergomi a parlé en détail de la mauvaise passe de l'Inter. "Dans ces périodes délicates, on sent l'absence d'un leader. Il manque quelque chose de ce point de vue. Historiquement, l'Inter a toujours gagné avec un entraîneur avec de la personnalité. Le problème des nombreux buts encaissés est un raisonnement plus général, de la phase défensive et pas seulement de la défense. Il y a un problème de condition physique, il suffit de regarder comment les jaunes arrivent : tu arrives toujours en retard." "Les changements ? Je pense qu'Inzaghi a les compétences pour se raccommoder avec ceux qui ont été sortis tôt dans le match, pour leur faire comprendre qu'ils restent importants. Ensuite mon idée est que, la préparation physique c'est bien, mais il faut avoir envie d'aller plus loin, de s'améliorer, de faire ce mètre supplémentaire. Et ça manque : l'attitude n'est pas la bonne. Désolé." "Depuis trois ans, le Suning est absent. Et cela pèse sur les joueurs, c'est quelque chose qui affecte forcément. Les supporters doivent recommencer à applaudir bruyamment: il y a toujours beaucoup de monde au stade, mais la charge manque. Même huer Gagliardini, qui est le seul milieu défensif que nous ayons, à chaque fois n'est pas bon. Nous devons tous donner un coup de main pour sortir de cette situation." Traduction alex_j via FCInter1908.- 2 commentaires
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Giuseppe Bergomi, ancien défenseur de l'Inter, s'est exprimé aux micros de SerieANews.com : voici ses réflexions sur le moment vécu par les Nerazzurri. Giuseppe Bergomi s'est confié hier matin à SerieANews.com. Notre légende est, à ce jour, l'une des voix les plus averties du monde du football et des commentateurs. Il nous a fait part de ses réflexions sur le moment délicat que vit l'Inter. "Ce que je vois pour le moment, c'est que l'équipe, qui sous l'aspect tactique technique joue plus ou moins comme l'année dernière même si elle a perdu Perisic et retrouvé Lukaku, même s'il a eu peu de temps de jeu. Il y a un manque d'enthousiasme et de compacité ce qui amplifie les lacunes que l'équipe a en ce moment." "Si vous ne trouvez pas ces composants, cela devient difficile, très difficile. Vous luttez. Vous devez trouver ce feu de l'intérieur, ce dernier mètre pour marquer. Aller et faire plus que l'adversaire. Ce sont des choses souvent difficiles à expliquer car le fan ne voit pas. Mais si tu ne réussis pas tu vas aggraver les problèmes qu'a l'équipe." "Dans les moments difficiles, nous devons aller vers les joueurs qui ont une identité forte. Qui représentent l'Inter. Qui sont des jeunes qui sentent que l'Inter est à eux. Si ce sont eux qui sont le plus en difficulté, ce n'est pas facile car ils en sont précisément le pivot. Il y a Skriniar qui a peut-être des soucis causés par sa blessure estivale. Bastoni et Barella, je ne sais pas. Je ne me focalise pas trop sur eux." "Le discours est toujours celui-ci : quand on construit une équipe, il faut lui donner une identité forte. Et cette Inter en trois ans l'avait, elle pouvait gagner ou perdre mais elle doit retrouver son identité. Elle a gagné avec Conte, elle a gagné quelques trophées l'année dernière, elle s'est battue jusqu'au bout. Elle doit retrouver l'envie de se battre pour chaque balle, pour éviter la défaite. Mais avant de se faire battre, il faut lutter jusqu’au bout." "Aujourd'hui, battre l'Inter semble trop facile. Le football évolue vite, les équipes sont fortes et pressées. Parce que si tu vas à Turin, Bergame, Vérone, ce sont tous des matches compliqués et si tu ne te mets pas sur le même niveau de compétition et de détermination, de compacité, les problèmes remontent. Si vous ne liez pas ça, quand vous jouez tous les trois jours, ça devient difficile." "Concernant Simone Inzaghi, quand un club renouvelle son contrat et le prolonge, il est certain qu'il croit en l'entraîneur, au staff et en son travail. Il faut donc absolument lui faire confiance car changer maintenant, à mon avis, devient difficile. Pour trouver un bon profil et pour beaucoup de choses. Je dois donc faire confiance à Simone. Oui, absolument ! Mais je pense quand même qu'il y a quatre composantes : le club, l'entraîneur, les joueurs et les supporters. S'ils rament tous dans le même sens et trouvent de l'enthousiasme, alors il est juste de continuer avec lui." "Mais nous devons tous ramer dans le même sens, je le répète. Cela ne veut pas dire que vous pouvez alors gagner automatiquement un Scudetto, mais vous êtes une équipe. Et quand vous l'êtes, vous pouvez affronter n'importe qui. Le Bayern, Barcelone, Milan sont-ils plus forts ? Mais vous êtes une équipe. Si vous trouvez cela, cela devient plus facile et ce n'est pas un problème pour les fans." Traduction alex_j via SerieANews.com.
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Beppe Bergomi : "Pas surréaliste que l'Inter marque 100 buts cette saison"
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S'adressant à la Gazzetta dello Sport dans une interview publiée aujourd'hui Beppe Bergomi estime que marquer une centaine de buts en Serie A cette saison ne serait pas surréaliste. De plus, il également a donné son avis sur les prouesses offensives de l'Inter cette saison ainsi que sur la nécessité d'un équilibre défensif. "C'est quelque chose qu'ils peuvent faire, ce n'est pas un fantasme irréaliste pour une équipe comme celle d'Inzaghi. L'Inter est une équipe qui attaque avec équilibre et harmonie, utilisant les mouvements d'équipe plus que la qualité individuelle. En revanche, il y aura certainement des matchs beaucoup plus durs en cours de route où il sera plus difficile de percer. Sans Perisic, il n'y a plus ou peu de menace individuelle sur les flancs, Tottenham tire déjà le meilleur parti de lui." "Mais les possibilités offensives sont nombreuses. On peut commencer par la variété que peut apporter Lukaku. Romelu étire les équipes, de par sa course, et donne donc une menace derrière, donc Lautaro est capable d'atteindre le but beaucoup plus qu'avant. Maintenant, nous allons voir si l'Argentin progressera en termes de régularité. En attendant, il y a une chose qui est certaine, que Lukaku, même lorsqu'il n'est pas à son meilleur, peut engager n'importe quel défenseur." "Marquer 100 buts cette saison n’est pas une garantie pour le titre, absolument pas. Très souvent la meilleure défense l'emporte. Quatre-vingts buts pourraient suffire, mais vous ne devez pas encaisser plus de 25-30 buts. La défense interiste est très forte, même s'il n'y a pas un joueur qui peut aller en un-contre-un contre un attaquant rapide." "Le fait que Skriniar reste est un gage de qualité, même s'il doit retrouver sa meilleure forme en début de saison. Enfin, j'ai aimé la performance de de Vrij contre la Spezia, il ne faut pas le sous-estimer." Traduction alex_j via sempreinter.- 3 commentaires
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Beppe Bergomi: "L'Inter joue mieux que le Milan et Inzaghi me surprend"
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Dans une interview accordée à Libero, notre légende Beppe Bergomi s'est exprimé sur le derby et a effectué diverses comparaisons. Un derby décisif? "Il est trop tôt. Ce n'est pas une réponse diplomatique, je suis honnête : il reste encore beaucoup de matchs et l'Inter est toujours en Ligue des champions, il faudra voir s'ils vont continuer et à quel point le grand défi à Liverpool affectera le mental et l'état physique de l'équipe. Même au match aller, on a dit que c'était décisif parce que Milan avait sept points d'avance, puis l'Inter est revenue." Quelle équipe joue le mieux? "Ils jouent bien tous les deux. Mais je dois dire que l'Inter joue mieux cette année. Ils veulent dominer et ils réussissent. Milan, c'est le même que l'an dernier, quand ça fonctionnait déjà : une équipe 'box to box', avec de bons joueurs qui attaquent à la verticale, sans trop de fioritures. Cependant, ils doivent être bien physiquement et mentalement : avec un jeu aussi intense, vous ne pouvez pas vous permettre de perdre en condition." Simone Inzaghi ou Stefano Pioli ? "Je dis Inzaghi car Pioli ne me surprend pas. Simone, en revanche, oui. Je pensais qu'il pourrait rencontrer plus de difficultés. Voir Bastoni qui en théorie est un défenseur mais en réalité il joue comme un ailier, un milieu de terrain, c'est excitant." "Conte a donné une empreinte et une trace profondes, mais pardessus il y a beaucoup d'Inzaghi : les cinq sont plus hauts, les milieux de terrain attaquent différemment et, ayant des points focaux différents de Lukaku, l'équipe a commencé à dribbler plus tard sur le terrain." Beppe Marotta ou Paolo Maldini ? "Paolo Maldini fait un excellent travail. Il a bien fait de ne pas bouger sur le mercato de Janvier, même s'il avait un besoin au centre de la défense : s'il n'y a pas un joueur qui change son équipe, mieux vaut éviter les erreurs. Cela certifie que Maldini travaille pour l'avenir, sans l'angoisse de gagner tout de suite, mais toujours en visant le maximum. La main de Marotta est évidente à l'Inter : il anticipe les mouvements, il résout les problèmes avant qu'ils ne surviennent. Ce sont deux philosophies différentes mais toutes deux réussies, qui porteront leurs fruits." Le meilleur joueur. "Avec le 3-5-2 de l'Inter, Theo Hernandez à gauche serait parfait, même si Gosens vient d'arriver. Pour la façon dont Milan joue, cependant, je dirais encore Bastoni : idéal pour défendre vers l'avant et sortir de derrière avec la première passe nette." Traduction alex_j via sempreinter.-
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Le Derby approche. Pour l'occasion, Marco Materazzi a partagé une vidéo pendant que Beppe Bergomi prédit que l'Inter sera difficile à rattraper si elle prend 4 points contre Milan et Napoli. L'Inter rencontrera le Milan AC dans un affrontement qui n'est pas seulement l'un des événements phares du football italien, mais aussi un match avec des implications majeures pour le Scudetto. Pour l'occasion, notre légende Matrix a partage une vidéo sur Tweeter. Pendant ce temps là, Bergomi s'est exprimé dans une interview accordée à la Gazzetta dello Sport. "Pour Milan, ce sera un derby décisif, même s'il reste encore 14 matches à disputer. Je pense que si l'Inter réussissait à prendre quatre points entre le derby et Naples, ils seraient vraiment difficiles à rattraper." "L'Inter a trois très bons défenseurs qui doivent encore rester compacts et restreindre l'espace derrière. Après la victoire sur Empoli, avec Inzaghi suspendu, l'entraîneur adjoint Farris a bien expliqué comment ils concédaient trop de contre-attaques, et en fait l'équipe a grandi à cet égard au cours de la saison." "Milan a des joueurs qui peuvent jouer box-to-box, qui peuvent toujours changer le tempo dans une instance et causer de gros problèmes. De toute évidence, il faudra faire attention sur le côté droit, où se trouvent Leao et Theo (ce dernier absent lors du premier derby, ndlr)." "Le travail des latéraux sera également vital. En général, je pense qu'il sera important pour l'Inter de ne pas se lancer en pensant qu'elle a un avantage et qu'elle peut le traverser. Ils doivent jouer comme ils l'ont fait jusqu'à présent, en essayant d'imposer leur propre jeu et en défendant aussi d'homme à homme." "L'Inter est l'équipe qui amène le plus de joueurs en attaque, entre les attaquants, les deux joueurs excentrés et les milieux de terrain." "Darmian est plus fiable sur le plan défensif, tactiquement, il est un peu plus préparé que Dumfries, qui a également beaucoup grandi." Traduction alex_j via sempreinter.
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L'ancien défenseur de l'Inter, Beppe Bergomi, a déclaré que l'Inter est désormais l'équipe à laquelle les autres équipes italiennes se mesureront, selon les médias italiens. S'exprimant sur Sky Sport, via FCInternews, Beppe Bergomi a expliqué que même s'il est difficile pour l'Inter de construire un cycle de domination comme celui de la Juventus pendant de nombreuses années, ils sont certainement maintenant le point de référence en Italie. "Un nouveau cycle est difficile à maintenir car si l'on pense au cycle réalisé par la Juventus, dans le football moderne, c'est impensable". "Mais l'Inter en ce moment, après ce qu'ils ont fait l'année dernière et ce qu'ils font cette année, y compris la finale de la Coppa, c'est une équipe forte qui sait ce qu'elle est et qui agit comme un point de référence dans notre championnat." Lorsqu'on lui a demandé quel entraîneur devait s'attribuer le plus de mérite pour cette équipe exceptionnelle de l'Inter, Beppe Bergomi a suggéré qu'en fait, il devrait être divisé entre Luciano Spalletti, Antonio Conte, et Simone Inzaghi, car ils ont tous joué un rôle dans le club et l'équipe actuelle. "Les mérites doivent être divisés. L'Inter a commencé avec Spalletti, avec qui ils ont obtenu deux quatrièmes places à la dernière minute en allant en Ligue des champions. Nous devons partir de derrière". "Puis Conte avec de nombreux recrutements et avec une façon de jouer qu'Antonio Conte arrive à donner à ses équipes en peu de temps. Cette année, l'Inter joue un football différent, plus beau, plus amusant, qui emmène beaucoup de joueurs au-delà de leur ligne". "Je pense que dans cette équipe, où on parle beaucoup de Brozovic, il faut prendre en compte un joueur qui donne beaucoup d'imprévisibilité qui est Bastoni. Vous le trouvez en train de jouer comme défenseur, ailier, au milieu de terrain, vous le trouvez dans la surface de réparation, il vous apporte des solutions et des buts." "Il vous fait comprendre à quel point il est bon. Cependant, le mérite revient à l'entraîneur et au club qui ont bien travaillé. " Beppe Bergomi n'a pas tari d'éloges sur le défenseur de l'Inter Alessandro Bastoni, qui a impressionné récemment dans la défense des Nerazzurri. Beaucoup considèrent Alessandro Bastoni comme l'avenir de la défense de l'équipe nationale italienne, mais ce n'est peut-être pas si simple. "L'équipe nationale joue d'une manière différente. Il sera donc difficile de voir Bastoni abandonner sa position et se jeter dans le vide. Il est le défenseur moderne que tout le monde recherche aujourd'hui." "Il joue avec le risque, mais à partir de ce risque, l'Inter se retrouve en haut du terrain et dans des situations favorables. Le rôle de titulaire en Italie arrivera sans doute très vite pour ce garçon, sans rien enlever à Bonucci et Chiellini." ®Internazionale.fr ~ Oxyred Via SempreInter
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Gianluca Pagliuca intronisé au Inter Hall of Fame !!!
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
MILAN - Gianluca Pagliuca a été intronisé au Inter Hall of Fame. Le gardien de but, né à Bologne le 18 décembre 1966, est le premier ancien joueur à être intronisé au Temple de la renommée 2021. Il devient le quatrième gardien à recevoir cette prestigieuse distinction, suivant les traces de Walter Zenga, Francesco Toldo et Julio Cesar. Il s'agit de la première annonce d'intronisations au HoF. D'ici mars, il y aura un joueur par mois intronisé : un défenseur, un milieu de terrain et un attaquant. Aux côtés de Zenga, Toldo et Julio Cesar, Gianluca Pagliuca, qui a représenté l'Inter entre 1994 et 1999, a été capitaine des Nerazzurri et a remporté la Coupe UEFA en 1998 contre la Lazio. Pagliuca a fait 234 apparitions pour l'Inter, après avoir été chargé de remplacer les gants légendaires de Zenga. Il a disputé dix derbys milanais sans en perdre, tout en offrant des compétences incroyables en tant que gardien, excellent pour arrêter des tirs aux buts, des réactions impressionnantes et une volonté de fer. Il était également connu pour ses kits légendaires qui ont joué un rôle dans son statut légendaire au fil des ans. Un gardien hors du commun qui n'a été dépassé par Samir Handanovic concernant le record des tirs au but arrêtés en Serie A. Pagliuca a sauvé 24 des 91 qu'il a du affronter en 592 matchs de Serie A. De plus, il est le cinquième ayant fait le plus d'apparitions de l'histoire de la Serie A, avec la Sampdoria, l'Inter, Bologne et Ascoli. "Je suis vraiment fier d'être intronisé au HoF. Historiquement, l'Inter a toujours eu de très bons gardiens, de Giuliano Sarti à Ivano Bordon, et de Zenga à mes successeurs. Être choisi par les fans des Nerazzurri est un honneur pour moi et témoigne de la qualité de ces cinq années que j'ai passées à l'Inter. Je tiens à les remercier, ils ont une place particulière dans mon cœur." "Si je regarde en arrière, j'ai beaucoup de bons souvenirs. Cependant, je choisirais le triomphe de la Coupe UEFA 1998 avant tous; ce fut un voyage incroyable, tant de matches difficiles et de retours incroyables. C'était un vrai triomphe. Je capitaine de l'équipe ce jour-là parce que Giuseppe Bergomi s'est blessé. Nous avons soulevé le trophée ensemble, un très beau souvenir." "Malgré que ce soit une si belle aventure, je regrette de ne pas avoir remporté le championnat. C'est dommage car cela aurait été un doublé vraiment incroyable. Mais je vais prendre les points positifs, comme le fait que j'ai gagné six derbys et fait quatre nuls, restant invaincu." "En étant intronisé au HoF, je rejoins deux de mes incroyables coéquipiers Bergomi et Ronaldo. Zio a fait un excellent travail en m'accueillant dans le club lorsque je l'ai rejoint en 1994. C'était un ami proche de Zenga. Il était génial, à la fois en tant que joueur et en tant que personne. Et que dire de Ronnie ? Le meilleur joueur avec qui j'ai jamais joué, ses performances lors de la saison 1997-1998 étaient incroyables et sans précédent." Bravo Gianluca!!! Traduction alex_j via le site officiel.- 1 commentaire
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L'ex-joueur de l'Inter Beppe Bergomi a suggéré que Denzel Dumfries est à un pas d'occuper la position de piston droit à l'Inter, selon un papier paru dans les médias Italiens aujourd'hui. Alors qu'il s'adresse à la Gazzetta Dello Sport à propos du choc qui verra s'affronter l'Inter et la Juventus ce dimanche soir à Giuseppe Meazza, Beppe Bergomi a expliqué que si Matteo Darmian peut jouer ce match, Denzel Dumfries est voué à prendre sa place de titulaire. "Darmian pourrait jouer. Dumfries a raté sa dernière entrée sur le terrain, mais il est destiné à prendre le poste. Cependant, en perspective du match contre la Juve, je crois que Darmian apportera plus de garantie et plus d'équilibre." (me too) Beppe Bergomi a aussi parlé du dilemme Çalhanoglu/Vidal, et de qui d'entre eux devrait être le troisième milieu de terrain pour cette rencontre. "S'il est en forme, je suppose Çalhanoglu. D'un autre côté, cela peut très bien être Vidal, qui apporte l'intensité physique, fondamentale, et l'expérience pour des matchs comme ceux-ci." L'ex-défenseur a loué le jeu offensif pratiqué cette saison, mais a souligné qu'ils étaient en difficulté à la récupération, ce qui gêne considérablement les trois défenseurs. "L'Inter est magnifique à voir jouer. Ils attaquent avec qualités et idées, mettent beaucoup de joueurs devant le ballon. Quand vous avez de longues phases de possession c'est bien, mais quand vous perdez le ballon il devient difficile de le récupérer, si vous n'êtes pas en mesure d'en reprendre le contrôle immédiatement avec une pression élevée." "Les trois défenseurs sont forts, très forts. Mais comparé au passé, ils sont forcés de défendre plus souvent dans des zones ouvertes, et là l'histoire devient plus complexe." Il serait difficile pour n'importe qui de couvrir parfaitement de si grands espaces. Ils sont puissants, ont un bon timing et font particulièrement attention au marquage individuel. "Cependant, s'ils ont besoin de vitesse, ils n'ont ni cette dernière, ni la réactivité nécessaires pour couvrir les espaces derrière eux." La Juventus est la sorte d'équipe qui peu froidement prendre l'avantage, ce qui est une faiblesse de l'Inter, comme le pointe Beppe Bergomi. "Contre le Shériff Tiraspol il y a eu de dangereuses situations, et quand Bruno a continué de faire l'épine en seconde période, la défense a souffert. Le risque est que vous ne pouvez pas courir après le score contre une opposition telle que Chiesa, Morata ou Cuadrado." Beppe Bergomi pense qu'une défaite pour les hommes de Simone Inzaghi pourrait avoir de sérieuses conséquences pour la suite de leur saison. "Ils vont de l'avant et même pour une place en Ligue des champions, ce sera vraiment difficile cette année. Une défaite dimanche pourrait avoir des répercussions, notamment sur le plan mental." ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via SempreInter
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Le légendaire défenseur de l'Inter Beppe Bergomi pense que les Nerazzuri doivent avoir une façon de jouer plus incisive dans le dernier tiers du terrain pour atteindre leur plein potentiel. S'adressant au diffuseur Italien Sky Sport Italia, Bergomi a suggéré que les Interistes sont capables de pratiquer un jeu plus attrayant sous Simone Inzaghi mais qu'ils n'arrivent pas systématiquement à transformer cela en de vraies occasions, dans la surface adverse. Marquer n'est pas un problème pour l'inter cette saison, avec 20 buts marqués en 6 matchs, un record en Série A, mais on a l'impression qu'ils peuvent aussi vendanger devant le but et ne pas parvenir à faire la passe finale sur certaines actions, qui pourraient déboucher sur une bonne occasion de marquer. Bergomi les compare au Napoli, la seule équipe restante de Série A avec 100% de victoire en ce début de saison, et au qualités offensives apportées par l'attaquant de pointe des Partenopei Victor Osimhen, tout simplement en feu depuis le début de saison, avec 6 buts toutes compétitions confondues. "L'Inter joue avec une très grande intensité, elle est très belle à regarder, et a un incroyable joueur comme Barella," Il poursuit. "Ils sont également plus attractifs que l'an dernier, mais la solidité qui les caractérisaient la saison dernière avec Conte peut être difficile à retrouver cette saison." Pour la comparaison, il dit: "Le Napoli est une équipe qui moins exposée car elle a un joueur comme Osimhen devant, qui lui permet de jouer un certain football. L'Inter joue un beau football, mais ils doivent élever leur centre de gravité pour avoir plus de joueurs dans la dans la surface adverse." "L'année dernière, ils pouvaient défendre un peu moins. L'Inter dépense maintenant beaucoup d'énergie pour construire, mais peut-être qu'ils auront moins de clarté dans leurs objectifs," a conclu Bergomi. Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via SempreInter
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S'adressant à la Gazzetta dello Sport dans une interview publiée hier, Beppe Bergomi a fait écho aux frustrations des supporters après la décision du club de vendre Achraf Hakimi et Romelu Lukaku. "Personnellement, je m'attendais à cet été fou. Si Oriali fait certaines déclarations et que Conte s'en va, il est clair que vous vous attendez à perdre d'autres joueurs importants." "Je suis vraiment désolé pour le fan Nerazzurri qui est le plus passionné et qui a toujours rempli le Meazza quand il le pouvait." "Le fan comprend les besoins financiers si vous les lui expliquez et montrez un chemin de croissance. Après tout, tout le monde a le bien de l'Inter à cœur." "Cependant, je pense qu'il manque quelque chose du point de vue de la communication. La direction a trompé tout le monde en disant qu'il suffirait de vendre un seul joueur."
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Bergomi: "J'étais au courant de l'offre de plus de 100 millions pour Lukaku"
Samus a posté un article dans Interviews
Beaucoup d'amertume, Beppe Bergomi ne cache pas à quel point la situation de l'Inter, aux prises avec des départs de joueurs importants et en pleine incertitude sur le plan sociétal, lui déplaît. Interviewé par le Corriere della Sera, l'ex-capitaine nerazzurro a déclaré: "Ca fait mal, c'est sûr. Après tant d'années de souffrances on aurait pu penser que le futur serait plus radieux. Malheureusement tout ne se passe pas comme prévu: le départ de Conte, les déclarations de Oriali qui laissent penser que la situation est pire qu'elle ne le semble et maintenant la déchirure entre la propriété et l'équipe. Cette offre de plus de 100 millions de la part de Chelsea, j'en ai eu vent bien avant l'Euro. Ils sont montés jusqu'à 115 millions? A ces montants, ça devient difficile de dire non, je ne m'en prendrai pas au joueur. Voyons à présent si l'équipe pourra se renforcer avec les recettes de ces ventes." Interspac "Les initiatives comme celles de Cottarelli sont les bienvenues, j'y ai adhéré bien volontiers, nous espérons trouver un moyen de consentir aux tifosi qui le souhaitent d'aider l'Inter et de participer à la gestion". Internazionale.fr ~ © Samus- 7 commentaires
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