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  1. Thomas Zilliacus explique sa vision sur l’Inter en exclusivité à FCInterNews. Entretien dans lequel l'homme d'affaires finlandais explique sa philosophie et comment il agirait s'il était propriétaire du club. Vous n'avez jamais caché votre intérêt pour l'Inter, comment est-il né ? Et pourquoi exactement l'Inter ? "J'ai été impliqué dans le football toute ma vie. Enfant, j'étais footballeur, à tel point que j'ai joué dans l'équipe de jeunes d'une équipe qui a ensuite atteint la Ligue des Champions. Et j'ai aussi passé un an au Brésil, à l'Académie Fluminense, à Rio. Plus tard, quand j’ai arrêté de jouer, j’étais président du HJK Helsinki. J'ai une longue histoire dans le football, ainsi que dans les affaires. Bien sûr, je me suis ensuite concentré sur la technologie qui permet de développer divers projets, y compris ceux du football. Il suffit de penser qu'il y a 8-9 ans, nous avons créé un jeu qui donnait au vainqueur la chance de voir son équipe préférée au stade et de rencontrer ses idoles. Quelque chose que vous ne pouviez pas acheter mais que vous pouviez gagner grâce à une victoire. J'ai toujours examiné attentivement les investissements possibles dans le football. Tout cela pour arriver à votre question : Pourquoi l'Inter ? Pour moi, l'Inter a un potentiel incroyable, comme tout le football italien en général, étant donné que ce n'est pas un hasard, si la saison dernière, trois équipes de votre pays ont atteint la finale des coupes d'Europe. Le football italien est dans de nombreux cas encore meilleur que le football anglais. L'Inter a toujours été mon équipe italienne préférée depuis que je suis enfant. Le potentiel est énorme. Un nouveau stade pourrait être construit pour remplacer San Siro. Et en général satisfaire la base de fans internationale des nerazzurri. Moi qui, avec la technologie de développement de projets, pourrais amener l'Inter à un nouveau niveau, même si le niveau est déjà très élevé car nous parlons du dernier finaliste de la Ligue des Champions. Ici, j'essaierais de construire une équipe qui concourt en permanence pour remporter le Scudetto et la Ligue des Champions." Essayez-vous d'acheter l'Inter seul ou chercheriez-vous un groupe de prêteurs pour reprendre le club ? "L'Inter est une marque et une entreprise. Ainsi, lorsque nous parlons d’affaires, vous devez comprendre l’intérêt d’une plus grande rentabilité. Normalement, il s’agit de combiner davantage de ressources financières. Cependant, en ce qui concerne les Nerazzurri, je comprends que le propriétaire actuel ne souhaite pas vendre. Et je ne peux pas le forcer à le faire. J'ai publiquement admis mon intérêt pour l'Inter et j'utiliserais éventuellement une partie de mon portefeuille avec des partenaires externes." Avez-vous parlé à Steven Zhang et vous a-t-il dit que l'Inter n'était pas à vendre ? "Je l’ai compris d’après ce qui est ressorti publiquement. Et je respecte sa décision et celle du Suning. Cela n'a pas dû être facile pour lui de devenir président de l'Inter à un si jeune âge, arrivant alors de Chine. Il a fait un excellent travail. Quand et s'il décide de vendre l'Inter, je serai éventuellement prêt à essayer de reprendre le club." Cependant, s’il vous vendait une participation minoritaire maintenant, seriez-vous intéressé ? "Oui, je serais intéressé. Je ne m'intéresse qu'aux grands clubs, car la technologie serait développée pour les clubs ayant une large base de supporters. Et seuls les meilleurs clubs disposent d’une large base de fans. Je ne veux pas acheter un club pour gagner des titres. Cela ne m'intéresse pas de dire à mes amis : « Regardez ce que j'ai gagné ». Non! Je vois l'Inter comme une institution. Le club est né bien avant moi et existera même quand je serai mort. Si j'avais le privilège de la conduire pendant un certain temps, j'essaierais d'en prendre soin, afin que l'avenir soit radieux. Pas pour mon ego, mais pour rendre les fans heureux. Donc exactement comme lorsque j’étais président du HJK et que toutes les décisions étaient prises pour le meilleur de la société." Vous avez parlé avant la construction d'un nouveau stade. Quelle serait l'importance d'une nouvelle installation pour les Nerazzurri ? Et n'êtes-vous pas effrayé par la bureaucratie italienne ? "Écoutez, en Finlande, j'étais l'actionnaire majoritaire d'une équipe de hockey bien connue, un sport qui est plus célèbre ici que le football. Nous avons construit un nouveau stade, j'ai donc l'expérience nécessaire pour savoir quoi faire et comment le faire. Bien sûr, il y a des différences dans le football mais le défi est le même : traiter avec les politiciens, convaincre tout le monde que c'est une bonne chose. Mais construire une nouvelle cathédrale du football serait excellent pour la ville de Milan, avec un espace attractif 24 heures sur 24, et pas seulement lorsque l'Inter entre sur le terrain. La métropole y gagnerait et ce serait passionnant de construire un nouveau stade qui fonctionne toujours, pas seulement le Dimanche lors des matches." D'ici 2024, Steven Zhang devra rembourser le prêt à Oaktree, sous réserve de refinancement. Pensez-vous que ce délai pourrait le pousser à vendre l'Inter ? "Je connais la situation et bien sûr, elle doit être résolue. Je respecte trop Steven Zhang pour dire quoi que ce soit de négatif à ce sujet. Je suis sûr qu'il contrôle totalement ce qui se passe. Alors je vous dis que je serais très heureux si nous pouvions travailler ensemble et apporter de nouveaux capitaux à l'Inter. Quelque chose d'absolument possible compte tenu des millions de fans qu'elle compte dans le monde entier, pas seulement en Italie." Savez-vous si d'autres hommes d'affaires ou fonds souhaitent acheter l'Inter ? "Il y a toujours de l'intérêt à acheter un grand club comme les Nerazzurri et maintenant j'ai entendu parler de projets américains pour des équipes européennes. Cependant, je crois que les connexions locales sont essentielles. Si je devenais le numéro un de l'Inter, je vivrais certainement dans la région de Milan." Selon vous, quelle est la valeur de l’Inter aujourd’hui ? "Probablement de l’ordre du milliard d’euros. Cependant, investir dans le monde du football est différent des autres types d’entreprises. L'Inter est une marque très forte. Et cela peut devenir encore plus fort, ce qui signifie qu'en travaillant bien, la valeur de l'entreprise pourrait encore croître." Jouons à un jeu. Si demain vous deveniez président de l'Inter et pouviez acheter un joueur, sur qui parieriez-vous ? "Question difficile! Disons-le de suite, les équipes sont constituées d'un mélange de jeunes, avides de réussite, et de joueurs plus expérimentés. Il faut toujours des critères, pensez au PSG, une équipe à 11 stars qui n'a jamais gagné la Ligue des Champions car il n'est jamais devenue une équipe. Il y a donc des exemples gagnants comme le Borussia Dortmund, l'Ajax, l'actuel Barcelone. Alors comme nom je dis Pedri, des Catalans. Alors bien sûr, nous ne parlons pas de chiffres ou de quoi que ce soit d'autre mais seulement du profil d'un grand sommet. Et attention, je parierais sur lui mais seulement après avoir reçu l'approbation de Marotta et Inzaghi. Nous travaillons toujours en équipe : il est juste que le propriétaire d'un club ait des opinions, mais celles-ci doivent être partagées avec ses collaborateurs." Vous avez parlé de jeunes, très forts et avides de victoires, Haaland ? "C’est aussi un joueur fantastique. Pensez à cette équipe avec Pedri au milieu de terrain et Haaland en attaque ! Alors faisons ceci, ajoutons le Norvégien à la liste des noms que j'aimerais apporter aux Nerazzurri." Traduction Jean Idriss et alex_j via FCInterNews.
  2. Beppe Marotta ne cache pas que l'Inter discute avec le Bayern Munich au sujet de Benjamin Pavard. S'adressant à Sky Sport Italia, l'exécutif de l'Inter a déclaré que le joueur de 27 ans souhaitait rejoindre le club. L'Inter a fait de Pavard une cible majeure en défense pour les derniers jours du mercato estival. L'entraîneur des Nerazzurri, Simone Inzaghi, l'a même admis. L'Inter a passé tout l'été sans agir pour prendre le remplaçant de Milan Skriniar. Maintenant, ils jettent leur dévolu sur Pavard. Mais conclure un accord avec le Bayern pour le transfert du Français ne sera en aucun cas facile. Les Allemands ne veulent apparemment pas perdre Pavard. Du moins pas sans avoir d'abord obtenu son remplaçant... Mais un facteur joue en faveur de l'Inter selon Marotta: le joueur veut venir à Milan. "Ce que veut le joueur est important" déclare Marotta. "Il a exprimé son désir de venir à l'Inter, et il est extrêmement enthousiaste" poursuit-il. "Cependant, le Bayern est une équipe riche et ils ont toujours les meilleurs joueurs. Il faudra donc qu'ils en trouvent un autre avant de pouvoir nous envoyer Pavard. Il y a des facteurs économiques, mais aussi liés au fait de conserver une équipe compétitive. C'est ce qui rend les choses difficiles." "Mais les négociations sont toujours ouvertes" a précisé très clairement l'exécutif des Nerazzurri. Affaire à suivre, près du second poteau. ©Internazionale.fr via sempreinter.com - Traduction Trent_FCI
  3. La soirée de Samedi a été particulièrement riche en rebondissements sur le mercato. Une "nouveauté" concernant Lazar Samardzic ne pouvait pas manquer. La Gazzetta dello Sport explique que l'Inter a répondu à la possibilité d'avoir une autre rencontre avec le père et les nouveaux représentants du milieu de terrain. Pour le club, rien n'a changé en ce qui concerne l'accord conclu avec Rafaela Pimenta qui ne fait actuellement plus partie de l'accord par choix du joueur et de sa famille. Cependant, Beppe Marotta et Piero Ausilio ne bougent pas d'un pouce, les conditions du deal restent les mêmes et il n'y a pas lieu d'en parler d'avantage. D'ici Lundi, l'Inter s'attend à voir le milieux de terrain signer le contrat. Tout le monde est persuadé que l'accord viendra. Cependant, si l'équipe du joueur est optimiste quant à la fumée blanche grâce à une offre améliorée du club, l'Inter pense que le milieu de terrain doit changer un peu afin de ne pas remettre en cause ce que pourrait être le transfert "clé" de sa carrière. Demain, même si c'est Dimanche et que l'Inter se déplacera à Ferrare pour le match amical contre Egnatia, les contacts ne manqueront pas. Après sa nouvelle publiée en début de soirée, dans laquelle il affirmait le retour à Udine de Lazar Samardzic, Gianluca Di Marzio a fait volte face et a fait savoir que le joueur est en fait toujours à Milan. Désormais, le joueur dispose de deux ou trois jours pour décider d'accepter ou non les conditions convenues avec l'Inter avant que le nouvel entourage ne change les cartes. Conclusion, le joueur semble disposé à accepter l'offre, donc pour le moment il y a un optimisme prudent quant à la conclusion réussie de l'accord. Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. Steven Zhang est également arrivé à Tokyo où l'Inter affrontera le PSG en amical Mardi. Il a rencontré la direction interiste et défini certains objectifs. Notre président a eu l'occasion de rencontrer la direction concernant le mercato et encourager les nouveaux joueurs. "C'est mon équipe, c'est mon Inter , plus jeune, plus forte, plus innovante. Chassez la deuxième étoile," aurait dit Zhang. Zhang avait atterri dans la capitale japonaise Jeudi soit un jour avant l'équipe via un vol en provenance de Nanjing. Vendredi, il a accueilli l'équipe et Simone Inzaghi au luxueux Park Hyatt, puis il a déjeuné en demandant les premières impressions aux nouveaux joueurs. Il en a profité pour échanger quelques blagues, une façon de "faire une famille". Ensuite, il est passé au concret en s'entretenant directement avec Piero Ausilio et par voie électronique avec Beppe Marotta resté à Milan. Si le mot sommet est souvent abusé, hier a été l'occasion d'une discussion approfondie en évoquant les premières indications de la pré-saison en cours. "La nouvelle Inter doit penser dans une perspective d'avenir, c'est pourquoi nous devons traquer les joueurs qui ont également une perspective de croissance," aurait déclaré Zhang. Cependant, tout ne concerne pas que le côté sportif. Hier soir, Zhang s'est entretenu avec la direction avec le top management de Laox, une entreprise qu'il préside personnellement et qui opère au Japon dans le secteur de la mode et du luxe. L'agenda du numéro un des Nerazzurri est également chargé pour les jours à venir. Tokyo est une opportunité trop tentante, d'autres rendez-vous avec les sponsors du club sont également programmés dans les prochains jours, de Moncler à Konami. L'Inter s'exporte. Après tout c'est aussi le fruit d'une visibilité redécouverte en Europe. La tournée rapporte 2,5 millions d'euros dans les caisses de l'Inter. Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. La Gazzetta dello Sport nous apprend que Roberto Samaden quittera l'Inter en Juin pour de nouvelles aventures. Il a amené le secteur des jeunes de l'Inter à de grandes réalisations. Sous sa direction sont passés de nombreux joueurs prestigieux dont on parle aujourd'hui dans les championnats supérieurs, de Federico Dimarco à Michele Di Gregorio en passant par Andrea Pinamonti, Cesare Casadei, Wilfried Gnonto et bien d'autres. Mais après 13 ans de satisfactions, de récompenses et de victoires, l'histoire entre Roberto Samaden et l'Inter touche à sa fin. En effet, selon la Gazzetta dello Sport, en juin le divorce sera consommé avec l'homme qui a tenu le poste de directeur de la pépinière depuis 2010; l'aboutissement d'une histoire 100% Nerazzurra qui durait pour lui depuis 33 ans. Ces derniers jours, Samaden a communiqué sa décision à Steven Zhang, Beppe Marotta et Piero Ausilio avec qui il entretient une profonde amitié depuis des années. A 56 ans, il se prépare pour une nouvelle aventure, et ce n'est pas un pari de penser que les propositions ne manqueront pas pour lui. Avec Samaden à la barre, les Nerazzurri ont remporté 16 titres de champion. Il est ainsi devenu le manager le plus titré de l'histoire du football italien au niveau du secteur des jeunes. Le palmarès de Samaden comprend: 4 championnats avec la Primavera; 4 championnats avec les U15; 3 championnats avec la Berretti; 3 championnats avec les U17; 1 championnat avec les U16; 1 championnat avec les U14. Cependant, il faut aussi ajouter à la liste la NextGen 2011-12 avec Andrea Stramaccioni sur le banc, les 3 éditions du Tournoi de Viareggio, 5 Super Coupes et une Coppa Italia Primavera. Hors du terrain, il ne faut pas oublier le développement de nombreux projets, dont celui des Centres de Formation et celui Pédagogique récemment récompensé par l'ECA. Traduction alex_j via FCInterNews.
  6. Un très long derby de mercato entre l'Inter et le Milan semble se dessiner cet été. Et en attendant l'annonce officielle, le premier duel semble être pour l'Inter: Marcus Thuram est à un pas d'atteindre Appiano Gentile. Après une longue course-poursuite par le Milan qui a dépassé la concurrence du PSG et de Leipzig, Marotta et Ausilio ont réalisé un dépassement digne de la Formule 1 en convainquant le joueur, Vendredi, de choisir le projet Inter. Calcio e Finanza nous donne les chiffres de l'opération. Tout semble fait pour Thuram qui prendrait la place occupée par Dzeko et aussi le vide laissé dans le budget après l'expiration du contrat avec l'ex-Louve parti à Fenerbahçe. Thuram sortira officiellement le 1er Juillet après son expérience au Borussia Mönchengladbach, donc pas la peine de toucher aux caisses de l'Inter pour le paiement de l'indemnité de transfert. Discours différent concernant les fiançailles du fils de l'ancien de Parme et de la Juventus, Lillian. Pour battre la concurrence, Marotta et Ausilio ont assuré à Thuram un contrat de 5 ans pour un salaire de 6 millions d'euros net par saison. Arrivés de l'étranger, les Nerazzurri pourront profiter de l'abattement fiscal prévu par le Décret Croissance qui porte le salaire brut du Français à 7,8 millions par an, net des dépenses que l'Inter devra supporter pour les commissions des agents. Traduction alex_j via Calcio e Finanza.
  7. Gianluca Di Marzio a révélé une anecdote intéressante. Elle concerne Beppe Marotta et Nasser Al-Khelaifi. "Marotta et le président du PSG ont longuement parlé, je ne pense pas qu'ils aient parlé des opérations du mercato en cours. Dans un passé récent, cependant, les deux entreprises ont conclu des coups comme Hakimi, par exemple, et avaient également discuté pour Skriniar. Ils ont eu une longue conversation ici à Istanbul." Juste une question: c'est aujourd'hui la Saint Martin? Traduction alex_j via FCInter1908.
  8. Le Corriere dello Sport livre son analyse concernant l'avenir de Simone Inzaghi. Pour gagner un point aujourd'hui, il suffit à l'Inter de maintenir l'Atalanta à bonne distance et d'être ainsi sûre d'avoir une place en Ligue des champions. La tête des nerazzurri est focalisée sur le match contre la Dea, puis elle sera sur le rendez-vous d'Istanbul et sur le rêve de la Ligue des Champions. Une fois la saison terminée, il sera aussi temps de décrypter l'avenir de Simone Inzaghi, avec le divorce donné pour certain à un certain moment de la saison mais qui semble désormais bien loin... du moins selon les propos de la direction. De nouveaux changements de cap, arrivés à ce point, seraient surprenants, avec le renouvellement du contrat expirant en 2024 parmi les priorités marquées à l'ordre du jour. Peu importe comment la saison se terminera, la direction et l'entraîneur devront s'asseoir à une table pour comprendre non pas si, mais comment aller de l'avant. En effet, malentendus et turbulences n'ont pas manqué durant ces mois et il s'agit d'aplanir d'éventuelles divergences, pour commencer la nouvelle année sans gaspillage et avec l'idée de ne pas revivre le même type de situation. Il est clair que l'objectif, à préciser tout de suite, sera la chasse au Scudetto et à la deuxième étoile. Cependant, il y aurait aussi un autre problème à régler. La ligne de Marotta, en fait, a toujours été de ne pas commencer la saison avec un entraîneur dont le contrat expire et sans surprise, le contrat d'Inzaghi a été renouvelé l'été dernier. Voulons-nous dire que cela se reproduira cette fois-ci ? Eh bien, si l'Inter gagnait la Ligue des champions, ce serait plus qu'évident. Sans la Coupe aux Grandes Oreilles, peut-être qu'il faudrait encore discuter... Juste une question: sommes nous vraiment sûrs qu'Inzaghi veut rester à l'Inter ? Traduction alex_j via FCInterNews.
  9. La cocarde est restée sur les maillots de l'Inter qui a battu la Fiorentina 2-1 et remporté la neuvième Coppa Italia. Simone Inzaghi s'affirme comme un spécialiste des finales et met son quatrième trophée dans sa vitrine depuis son arrivée à l'Inter. Il s'est présenté dans la salle de conférence de l'Olimpico pour parler de ses émotions à travers les questions des journalistes présents, dont le correspondant de FcInterNews. Les quatre trophées remportés avec l'Inter ont été un exploit, parlez-nous de votre joie . "La satisfaction est énorme, nous arrivons bien en cette fin de saison. Nous savions que ce serait une finale très difficile, j'ai essayé de laisser les garçons seuls. J'ai tellement ressenti ce match, je le voulais, car nous avons dépensé beaucoup pour obtenir. On a mal débuté, il ne faut pas encaisser de but dans une finale après 3'. Les gars ont été lucides à la reprise, pas en deuxième mi-temps parce qu'on a souffert. La Fiorentina c'est de la qualité, on a souffert en équipe. J'ai félicité tout le monde." Vous avez dit 'j'apporte des trophées aux clubs et j'augmente le bilan', vous aviez raison. "Cela ne m'a pas semblé une réaction épidermique, c'était un moment difficile mais j'étais serein et calme même après ce KO contre la Roma. J'ai la chance de former de grands professionnels qui ont fait un effort fou, je les embrasse un par un, tout comme j'embrasse nos supporters. Quand ils sont entrés en jeu après 15', nous sommes entrés en jeu." Comment gagnez-vous-il toutes ces finales ? "J'ai la chance d'entraîner des équipes importantes, d'abord la Lazio entre l'équipe des jeunes et l'équipe première, puis l'Inter. J'ai des joueurs qui n'abandonnent pas. Je n'ai jamais encaissé de but en finale dans les 3 premières minutes mais nous sommes restés lucides, une belle première mi-temps. J'ai une équipe qui ne rate pas certains matchs." Quel message avez-vous envoyé à City ? "Ils auront vu une bonne finale, un bon spot pour le foot. Deux équipes en mission, on est bien arrivés. Maintenant il va falloir être bon pour profiter de la soirée et ensuite se concentrer sur le championnat. Ensuite on ira à Istanbul pour jouer une finale inattendue mais souhaitée de toutes nos forces." L'équipe n'a pas lâché après le désavantage. "Ça fait deux mois qu'on joue à ce niveau. Dans les difficultés l'équipe ne s'est pas désunie, en finale le but encaissé peut faire réfléchir. On a gagné une finale qui nous tenait beaucoup à cœur." Zhang et Marotta vous ont confirmé à 100%, mais vous avez raison : est-ce un problème ? "Ce n'est pas un problème. Mon problème est de jouer ces matches de la meilleure façon possible, je ne me suis jamais senti sur la sellette. Le contrat peut être dissous en quelques jours, la confiance a toujours été là et et gardée quand nous étions en difficulté. Mon staff et moi étions bons à écouter peu quand les choses n'allaient pas bien, maintenant nous devons terminer notre mission." Est-il clair dans le vestiaire que City n'est pas favori en finale ? "L'équipe est consciente, on est sur une série de résultats positifs, au-delà du KO à Naples. L'équipe grandit, maintenant il faut bien récupérer car dans moins de 48h on sera sur le terrain avec une dure Atalanta. Mais ces soirées te font récupérer plus vite." Traduction alex_j via FCInterNews.
  10. Simone Inzaghi s'exprime lors de la conférence de presse à la veille de la finale de la Coppa Italia contre la Fiorentina. Ses mots recueillis par FcInterNews. Qui est le favori de cette finale ? "C'est une finale. J'ai joué en tant que favori et outsider. Mais c'est toujours une finale. Nous savons qui nous affrontons, nous nous sommes affrontés plusieurs fois et cette année nous avons gagné et perdu. L'adversaire est de valeur et mérite de jouer deux finales. Ce sera un match ouvert, étant une finale, nous devrons être une équipe avec un E majuscule, lire les moments du match pour le diriger dans le bon sens." Avez-vous l'impression d'avoir une réputation particulière pour ces matches ? "Espérons que cette renommée pourra continuer car il nous reste deux finales et deux matchs en championnat. Je suis content et j'espère continuer la tradition mais je dois remercier les garçons. Cette année, nous avons vécu des moments moins heureux dont nous nous souvenons tous les jours. Les deux derniers mois au cours desquels nous avons fait des choses très importantes se passent bien. La finale de la Coupe d'Italie n'est pas évidente, en championnat nous avons eu un retard important et nous avons bien fait mais nous avons fait un petit pas. La finale de la Ligue des champions est inattendue pour la majorité, et nous avons toujours eu de l'espoir pour l'équipe depuis l'époque du tirage au sort." Y a-t-il quelque chose dans les paroles de Mattarella qui vous a interpelé ? "C'était une rencontre passionnante, j'y étais déjà allé une autre fois. Il a dit de toujours donner l'exemple car nous sommes des sportifs très populaires. En tant que protagonistes de certaines soirées, nous devons montrer l'exemple." Avec tant d'engagements et tant de tension, quelle est la chose la plus importante ? "Pensez match par match. Il en reste quatre et ils sont plus importants l'un que l'autre. Les garçons ont disputé de nombreuses finales. Demain ce sera le seizième match en cinquante-trois jours et il en reste quatre. En gros, nous allons faire une phase de poules en deux mois. On a bien fait de gérer les effectifs. Il y a une petite déception parce qu'on n'aura pas Mkhitaryan et Skriniar mais avec tous ces matches c'est inévitable qu'il y ait beaucoup de défections." Y a-t-il un risque inconscient que la Fiorentina ait plus faim ? "Non car nous savons quel match nous devrons jouer et le parcours fatigant qui nous a amenés ici. Dans un moment très important de la saison, nous voulions fortement atteindre la demi-finale avec la Juventus. Nous ferons de notre mieux et nous essaierons de ramener la Coupe à la maison." Quels sont les mérites d'Inzaghi ? "Quand tu gagnes des trophées, tu le fais tous ensemble. Tout le monde gagne et tout le monde perd. Nous étions doués pour être ensemble dans les moments difficiles et toujours à la recherche de solutions sans jamais chercher le coupable et il est difficile de trouver des solutions." Avez-vous peur que quelqu'un pense plus à l'autre finale ? "Absolument pas, car nous connaissons les sacrifices que nous avons faits. La seule chose qui ne manquera pas, c'est l'engagement total. Ensuite, il y aura un adversaire qui tentera de ramener le trophée comme nous. Il faudra savoir bien gérer ensemble les situations." Skriniar pourrait-il revenir pour Istanbul ? "Il n'a pas encore travaillé avec l'équipe. Il aura une consultation jeudi, je pense qu'il pourrait être là pour les deux derniers matches." Pour Marotta, vous restez à 100 %. Partagez-vous cela ? "Absolument, j'ai un contrat et je ne me suis jamais senti précaire. J'ai toujours travaillé vingt-quatre heures sur vingt-quatre avec le staff. Ensuite, nous savons que nous sommes toujours jugés sur les résultats que nous obtenons." Traduction alex_j via FCInterNews.
  11. Dans son éditorial sur Sportitalia, le célèbre journaliste Fabrizio Biasin évoque le banc de Simone Inzaghi. "Ancien entraîneur incompétent, désormais 'caressé' par tout le monde. Comme c'est triste le football, tu perds trois matchs et tu es un débile; tu en gagnes autant, et peut-être en jouant moins bien, et c'est le fameux 'j'ai toujours dit que c'était un phénomène'. Personne ne regarde ce qui se passe sur le terrain en fait. Et ce qui se passe sur le terrain est clair comme l'eau de roche : Inzaghi sait jouer au football, non seulement maintenant que les choses vont pour le mieux mais aussi avant lorsque ses attaquants ont raté des buts d'un cheveux." "C'est ce qu'a déclaré Beppe Marotta hier : 'Nous n'avons jamais pensé, pas même une seconde cette année, à remplacer Inzaghi. Il a réussi à renforcer sa position grâce aux performances de l'équipe, qui sont évidemment le résultat de ses conseils techniques. Sa confirmation, en termes de pourcentages, c'est 100%. Il est et sera encore notre entraîneur l'année prochaine'. A juste titre, peu importe ce qui se passera demain et encore moins le 10 Juin." Petite pensée aux fan boys de Sieur Conte Traduction alex_j via FCInter1908.
  12. Calcio e Finanza nous explique pourquoi Beppe Marotta est furieux concernant le match contre la Dea. Un court-circuit s'est créé entre les diffuseurs de télévision et la Lega Serie A pour la 37e journée de Serie A, et bizarrement, c'est l'Inter qui en paye les conséquences. L'actualité du jour est le courroux de Beppe Marotta pour le jour du match face à l'Atalanta, soit le Samedi à 20h45 à moins de 72 heures de la finale de Coupe d'Italie face à la Fiorentina. En fait, tout découle de la décision de Sky de diffuser le match en utilisant le créneau du Samedi à 20h45 comme créneau à sa disposition pour la co-exclusivité avec DAZN pour les besoins de programmation. Marotta, en exprimant ses sacro-saintes réserves, a proposé comme alternative le Lundi soir avec un coup d'envoi à 20h45. La décision de modifier le calendrier appartient à la Lega mais selon ce qui a été appris, l'organisme présidé par Lorenzo Casini n'a pas approuvé cette idée. L'explication est pour le moins singulière. En effet, le déplacement au Lundi rendrait difficile pour Via Rosellini d'attendre le Mardi matin pour établir le calendrier de la dernière journée de championnat. Traduction alex_j via FCInterNews.
  13. Les mots d'Ernesto Paolillo rejoint par TMW Radio pour commenter l'impact de l'exploit de l'équipe d'Inzaghi. Quel est l'impact de cette victoire ? "La finale de la Ligue des champions remportée par l'Inter serait un résultat très important pour les comptes du club. C'est aussi fondamental car il ramène à la maison les recettes de San Siro et celles pour atteindre la finale. Les sponsors sont plus attiré après un tel résultat. Le budget de l'Inter provient d'une grande dette. Cela change et pas qu'un peu." Cela peut également relancer les chances de vente de la part de Zhang dans un avenir proche ? "Ce scénario ne change pas pour moi mais les chances de bien vendre l'Inter augmentent. La dette qui existe demeure et est à un taux très élevé. La nécessité de vendre les Nerazzurri demeure." La différence de dépenses pour la construction de l'équipe entre l'Inter et Manchester City est impressionnante. Quel est votre avis ? "Cela dit ce que j'ai toujours pensé. Le grand mérite de ce résultat pour moi revient à Marotta qui s'est retrouvé à construire l'équipe en vendant les meilleurs et en achetant d'autres pour rétablir l'équilibre. Il a construit une équipe pour arriver en finale. Oui, des mérites pour le club, Inzaghi et les joueurs mais énormes pour Marotta." Traduction alex_j via FCInterNews.
  14. Dans son discours à 'La politique dans le football' sur Gr Parlamento, Paolo Bonolis a abordé des sujets liés à son Inter. Concernant Milan Skriniar destiné à partir gratuitement en fin de saison après tant d'années passées à l'Inter : "C'est un ingrat! Si on veut donner une définition précise. S'il avait voulu faire ce changement de trajectoire de carrière, il suffisait de le dire et au lieu de cela, il ne voulait pas le faire pour partir en transfert gratuit et prendre un salaire plus élevé. Là, il sera une marionnette parmi les marionnettes et ici à Milan, au lieu de cela, il était une idole." Un commentaire sur le mercato et sur l'éventuelle confirmation de Romelu Lukaku : "Il faut voir. C'est difficile de le dire. Dans les conditions actuelles ça ne ferait pas de mal de le garder mais comme le dit justement Marotta, ce qui va se passer reste à voir. Une signature possible? Marotta est un seigneur du marché, un grand manager qui comprend le football. Un joueur que je verrais bien à l'Inter est Kvaratskhelia, un grand footballeur, ou Dybala. Nous devons remplacer Correa et un joueur de ce type serait parfait, un joueur qui peut passer l'adversaire." Moralité : Et voila ce qui arrive quand on fait le Jacques, Martin Traduction alex_j via FCInterNews
  15. Marco Materazzi et Goran Pandev s'expriment sur le retour de l'Euroderby aux micros de Sky Sport. Marco Materazzi A propos de Goran Pandev. "On s'entendait très bien avec Goran, on avait la fraterie tzigane avec Chivu, Stankovic, on était comme des frères. On s'aimait. Cette année (2010, ndlr), il est est arrivé en Janvier et a fait la différence. Ce n'est pas donné à tout le monde." L'Inter peut perdre ? "Oui. C'est vrai. Quand tu joues sans plus rien à perdre, tu es plus calme comme eux maintenant. Voyons comment ça se passe. On joue à domicile, il va falloir commencer fort. Nous devons les mettre sous pression immédiatement." Avez-vous bien dormi avant le Camp Nou ? "Non avant le Camp Nou mais avant le match aller oui. On savait qu'aller là-bas pour défendre la victoire 3-1 n'était pas facile, il y avait le but à l'extérieur. Puis Thiago Motta a été expulsé et l'obstacle semblait insurmontable. Mais nous voulions vraiment cette finale et nous l'avons atteinte." L'Inter n'aura pas à gérer. "En tant que fan, c'est la seule peur, si vous le maintenez à 0-0, une étincelle ou un but audacieux suffit pour relancer le match. Je pense que les garçons montrent qu'ils sont en excellente condition physique et ils essaieront d'en faire une formalité. Quand on joue 7 matchs de Ligue des Champions sans encaisser de but, ça veut dire qu'on a fait quelque chose. Ils voudront prouver qu'ils méritent la finale." Une comparaison avec votre Inter ? "Je n'aime jamais faire de comparaisons. Je préfère la mienne, mais j'aimerais que celle-ci gagne à nouveau, surtout parce que cette année ce serait vraiment inattendu. Ils peuvent nous faire rêver, je l'espère. Ce serait merveilleux comme fan, nous serions les premiers Italiens après tant d'années." Goran Pandev Ses souvenirs du derby. "Je me souviens quand je venais d'arriver de la Lazio en Janvier, on avait gagné 2-0 avec un but sur coup franc. Nous étions dix parce que Sneijder a été expulsé. Ce sont toujours des matches passionnants." Aimé partout ? "J'ai essayé, là où j'étais, de donner le meilleur de moi-même. Parfois tu réussis et parfois non. J'ai toujours tout donné sur le terrain. Materazzi m'a tellement donné. Il était comme un père, il m'a aussi donné des coups mais pour moi c'était fondamental." Un conseil aux joueurs ? "Dans les deux soirées avant Barcelone, je n'ai pas dormi. Mais après 5 minutes, dès que le match commence, tout semblait normal. Il y a beaucoup de gens expérimentés à l'Inter, physiquement ils vont bien, mais il va falloir oublier le match aller. Je pense qu'ils peuvent passer le tour, ils ont aussi récupéré des joueurs sur le banc, ils marquent tous des buts et en encaissent peu. On sait que Leao est de retour mais ils le connaissent bien et je pense ils joueront un grand match. Cette Inter est forte mais la nôtre a certainement eu des gens comme Eto'o qui a gagné des matchs tout seul. Ce sont deux Inters très différentes." Inzaghi ? "Il a beaucoup changé, nous avons passé cinq ans ensemble à la Lazio. Il a montré qu'il savait souffrir, il a eu des difficultés mais s'il atteint la finale de la Ligue des champions, il aura fait une grande chose. J'espère qu'il pourra le gagner car un club comme l'Inter le mérite." Comment jugez-vous la saison de l'Inter ? "L'Inter a deux grands directeurs sportifs à Marotta et Ausilio, je sais ce qu'ils peuvent faire. À mon avis, cette saison pour l'Inter est positive si au final ils terminent à la deuxième place, vont en finale de la Ligue des champions et remportent la Coupe d'Italie. Ils ont quatre grands attaquants, à mon avis. Vous ne pouvez pas vous planter maintenant parce que tout le monde va bien. Correa a eu quelques problèmes mais ce sont les attaquants qui font la différence." Traduction alex_j via FCInterNews
  16. Après le discours d'Alessandro Antonello, Beppe Marotta était l'invité à l'événement "Il Foglio Sportivo a San Siro" qui a vu tour à tour de nombreux protagonistes du monde du sport. Voici ses mots, celui qui vient d'être nommé chevalier de la République italienne : "Ça veut dire que l'âge avance", sa plaisanterie. Comment vous sentez-vous après la nuit dernière ? "Nous nous sentons heureux mais pas euphoriques car nous avons gagné le match aller et ne sommes pas encore qualifiés. La performance a été positive, de bon augure pour le match retour que nous devons affronter dans le respect de l'adversaire. J'avais obtenu un résultat qui a été inversé dans le passé, à la Juve par exemple." Qu'aviez-vous de plus que Milan ? "Je pense que l'approche a été décisive, nous avons pris les devants, 2-0, et cela a déstabilisé Milan qui est une équipe forte." Regret? "À mon avis, la performance qui a généré ce résultat est importante. Nous avons été faciles pour contrôler les pièges du Milan en deuxième phase, c'est réconfortant en vue du match retour. Milan aura une charge plus forte." Inzaghi sera-t-il l'entraîneur de l'Inter la saison prochaine ? "Je pense que oui, les évaluations ne se font pas sur un épisode ou un match, mais sur la façon dont nous travaillons et sur le professionnalisme. Inzaghi est bon. Il y a une petite ombre mais pas seulement pour l'Inter qui n'a pas été protagonistes en championnat, où le Napoli a fait un parcours extraordinaire. Nous n'étions que des spectateurs comme les autres top teams. Pour le reste, la saison est positive." Hier, deux joueurs libres comme Dzeko et Mkhitaryan ont marqué. "C'est un modèle que nous avons adopté dans l'objectif de durabilité. Avec Ausilio et Baccin, nous sommes allés à la recherche de ces profils qui ne coûtaient rien, mais qui représentaient des joueurs de valeur. Je fais également référence à Onana, Acerbi et Darmian. De nombreux éléments qui ont un impact d'un point de vue économique." Onana partira-t-il pour 40 millions d'euros ? "C'est difficile d'émettre des hypothèses mais nous n'avons reçu aucune offre et le gardien veut rester ici. Nous ne voulons pas le mettre sur le marché." Giuntoli vous a-t-il surpris ? "C'est un professionnel prudent, il fait des évaluations risquées dans un contexte où il a pu très bien travailler. Spalletti, que je connais très bien, est aussi très bon. Naples le méritait." La Sampdoria est malheureusement en B. "Je suis vraiment désolé parce que la Sampdoria est une belle réalité dans le football. Je suis désolé que tu risques d'être exclu du football qui compte mais je n'en connais pas les causes. Je suis aigri et inquiet, ça m'énerve, imaginez que ça puisse disparaître." Un souvenir de Perrone. "Nous avons le même âge, j'ai vécu de nombreux moments d'amitié avec lui." Lapo Elkann a déclaré que la Juve avait beaucoup perdu avec vottre départ et que vous aviez beaucoup donné à l'Inter. "Je crois que ce sont des coïncidences. Comme beaucoup d'autres managers, j'exerce mon travail avec passion et dévouement. Ce sont des prérogatives fondamentales pour obtenir des résultats, les détails font la différence. Quiconque veut être manager ne doit pas lésiner sur le temps disponible mais il faut faire attention. Le fait que la Juve ne va pas bien et l'Inter soit son contraire est une coïncidence." L'épilogue de Conte à Tottenham vous a-t-il surpris ? "Je suis désolé parce que ce passage n'était pas si bon, cela a aussi influencé sa décision. C'est un grand professionnel, il vit son travail avec une grande intensité. S'il a décidé de s'installer avec Tottenham, il avait ses raisons, pour moi il reste un des plus importants." Spalletti, quel avenir ? "C'est un autre entraîneur important. Je l'ai rencontré en 1998, puis à l'Inter. C'est un entraîneur complet, avec un leadership solide et des compétences technico-tactiques. Il méritait ce championnat." Traduction alex_j via FCInterNews.
  17. L'Inter racontée par notre Beppe Marotta fraîchement nommé Chevalier de la République italienne. Il est la star de l'espace "Je vous parle de l'Inter" dans le cadre de la "Milan Football Week" qui se déroule actuellement au cinéma Anteo de Milan. Voici son histoireracontée aux journalistes de la Gazzetta dello Sport. Le titre de chevalier "Immense satisfaction mais ces titres vont généralement à ceux qui sont plus âgés. J'ai 47 ans de carrière, je pense que l'heure du repos arrive." Comment allez-vous après le 0-2 de l'Euroderby ? "Généralement bien car on est à mi-parcours. On a un avantage mais il faut bien lire l'instant et être humble, motivé, convaincu qu'on peut le faire et réaliser quelque chose d'important. Mais il ne faut pas se complaire dans ce résultat, l'expérience m'apprend qu'il y a des cas où ça peut tourner." Partagez-vous les réflexions d'Ancelotti sur la pression générée par ce challenge ? "C'est l'entraîneur italien le plus titré de tous les temps, pour moi c'est LE entraîneur. Mais quand vous êtes sur le point de vivre un tel acte d'une compétition importante à ce moment de la saison, votre cœur bat plus vite. Ce soir, il y a un match que nous ne sous-estimerons pas mais l'esprit est à Mardi." Y a-t-il des regrets de ne pas avoir marqué le troisième but ? "Le plus important est la performance qui a convaincu tout le monde. Ce sont les meilleures conditions pour affronter un excellent adversaire au match retour. Ensuite, le 2-0 est différent du 3-0 mais ensuite le poteau de Tonali est également arrivé. Personne n'aurait jamais imaginé le 2-0." Quels seraient les mérites d'Inzaghi en cas de finale ? "Beaucoup, comme dans le cas négatif, l'entraîneur est visé par les critiques. Ensuite, il faut aussi parler des acteurs hors des projecteurs, comme les magasiniers. A l'Inter, il y a une grande culture qui est celle de toujours donner le maximum. L'expression maximale est Inzaghi qui a su surmonter des moments de forte pression et peut-être de critiques exagérées mais ceux qui vivent dans le sport doivent vivre avec cette réalité." Pourquoi une performance aussi poussive en championnat ? "C'est une saison atypique, avec une Coupe du monde à mi-parcours. Nous étudions d'un point de vue performance car je peux témoigner que les acteurs directs de l'événement ont montré qu'ils sont conditionnés tout au long de la saison. Sans préjudice du fait que Napoli méritait le Scudetto, nous devons réfléchir à l'importance de la relation esprit-corps. Ce sont des aspects qui doivent être pris en compte dans le monde du sport aujourd'hui; l'esprit, le mental est un aspect fondamental pour obtenir résultats." En fin de saison, les performances très positives en Ligue des Champions vont-elles peser ou le Championnat sera-t-il encore décevant ? "A ce jour, le bilan ne peut être que positif : être dans trois compétitions, dont deux où nous sommes protagonistes, vous donne une note de sept, si nous avions été plus avancés en championnat, cela aurait été 9-10. Le bilan de l'entraîneur doit devenir l'évaluation de nous-mêmes : quand nous avons perdu des points avec des équipes inférieures, avec tout le respect que je leurs dois, quelque chose n'a pas fonctionné et ce n'est pas juste de tout facturer à l'entraîneur. Les responsabilités doivent être partagées avec la direction et le club. Inzaghi va bien, il s'est remis de ce mauvais moment. A ce moment-là, c'était juste pour moi de mettre la pression parce que nous sommes l'Inter et nous devons toujours l'être." Inzaghi sait donc ce qu'il doit évaluer "Oui, alors à côté de lui, il y a des gens comme Zanetti et Ausilio avec qui discuter et analyser et qui parviennent à lui transmettre des préoccupations qu'il transformera ensuite en stimuli importants." La finale avec l'Inter comme revanche après celles perdues contre la Juve ? "Je suis très satisfait des résultats obtenus dans ma carrière. Gagner la Ligue des champions serait un rêve." Si vous devez identifier le point de basculement, quel est-il ? "Peut-être quand nous avons battu Porto en Ligue des champions. C'est là que nous avons trouvé la motivation pour changer de cap. Je pense que l'équipe est composée de bons professionnels et donc tout était plus facile et plus mérité. Nous avons gagné à juste titre contre des équipes fortes. Ce soir un un rendez-vous délicat arrive mais il faut faire en sorte que ces raisons soient trouvées car l'adversaire est très insidieux." Le retour de Leao est-il à craindre ? "C'est juste de donner du crédit à l'entraîneur et aux joueurs. Ensuite, quand l'adversaire manque de joueurs importants, vous risquez d'avoir un avantage mais la force d'une équipe est dans son ensemble. Je respecte Leao mais les autres sont bons aussi." Skriniar a-t-il regretté son choix ? "J'aimerais en parler après la saison. Cela aurait certainement pu être mieux résolu mais je veux en parler plus tard pour protéger le club. S'il peut récupérer pour la finale, alors l'entraîneur décidera. La valeur n'est pas discutée mais il ne s'est pas entraîné depuis deux mois, donc il est en difficulté sur le plan compétitif. L'entraîneur décidera de toute façon." Mais vous reprochez-vous quelque chose en tant que société ? "Je le répète, j'ai envie d'en parler en fin de saison. Il y a encore beaucoup d'amertume." Vous sentez-vous responsable des rêves des fans ? "Il y a aussi certaines émotions à vivre l'Inter. Le sport est beau en général, j'ai de la chance. Ensuite, je prends la responsabilité quand les supporters vous font confiance et je la transmets aux joueurs et aux managers. Le sens des responsabilités est fort et là ça donne motivation. Alors le football est imprévisible." De quels derbies êtes-vous le plus proche ? "Mon premier derby a eu lieu en 1970-1971, le jour de l'anniversaire de mon frère, c'était début mars et c'était Milan-Inter. L'Inter a remporté le Scudetto alors qu'elle avait six points de retard à ce moment-là, Invernizzi prenant le relais de Heriberto Herrera. L'Inter a gagné 2- 0 avec des buts de Mazzola et Corso, avec son coup franc feuille morte. C'était excitant, puis ça a coïncidé avec le Scudetto des Nerazzurri." En 2003, vous imaginiez-vous poursuivre cette carrière ? "Non mais les ambitions d'être un professionnel incluent toujours la vision et l'ambition de pouvoir grandir. Il va sans dire que lorsque j'étais à la Sampdoria, je voulais arriver dans un grand club, j'en ai traversé deux et ça a été une grande chance. La Sampdoria a été un âge d'or avec lequel j'ai sauté le pas, j'ai vécu ce derby de la Ligue des champions 2003 en tant que spectateur." Quel est le derby qui vous a le plus marqué en Italie parmi ceux que vous avez vécus ? "Ils sont tous différents et c'est un spot pour la ville. Celui de Gênes est plus romantique. Il y a beaucoup de motos là-bas et donc on peut trouver deux fiancés, l'un Genoa et l'autre Sampdoria. À Milan, il y a cette majesté du San Siro et les émotions chorégraphiques sont inoubliables; voir 80 à 85 000 spectateurs porter les couleurs vous excite, encore plus en Ligue des Champions." Est-il possible de faire une grande équipe avec peu de ressources comme vous l'avez fait ? "Je suis le directeur du domaine sportif et à l'Inter, nous avons créé une équipe au sein de l'équipe. Le mérite revient à Ausilio, Baccin, Zanetti qui ont construit cette équipe. Quand vous faites ce travail, il y a toujours une activité de scoutisme derrière. Le football est souvent perçu comme un phénomène improvisé, il faut plutôt des compétences pour faire mieux que dans d'autres clubs. Ce modèle est le fruit du travail de personnes compétentes qui ont agi avec un propriétaire fort qui nous a soutenus. Il faut aussi tenir compte des salaires et de la coût du travail mais nous avons remporté des victoires comme le Scudetto et la Coupe d'Italie. Maintenant nous terminons cette saison mais nous sommes toujours heureux." L'Inter avait cinq titulaires italiens dans le derby, quelle est l'importance du noyau italien ? "Fondamental. Tout comme Barcelone, le Real Madrid, le Bayern Munich, des clubs qui gagnent parce qu'ils ont un noyau dur de joueurs qui représentent la nation. Les Italiens comprennent ce que signifie aller jouer avec l'Inter, c'est fondamental." Lautaro s'est très bien intégré à l'Inter, sera-t-il le futur capitaine ? "Il progresse, il a 25 ans aujourd'hui. A cet âge, être capitaine, c'est quelque chose de fort. C'est un très bon joueur mais aussi un homme qui a des valeurs, les prémisses sont là." Traduction alex_j via FCInterNews.
  18. Beppe Marotta devient Cavaliere della Repubblica Italiana. Récipiendaire du diplôme de Cavaliere della Repubblica Italiana, notre PDG Giuseppe Marotta a commenté ce titre très important qu'il a récemment reçu dans la salle Verdi du Conservatoire 'Giuseppe Verdi' de Milan, conféré à l'initiative du Président della Repubblica : "Je suis très heureux de cette reconnaissance qui représente l'aboutissement de mes plus de 40 années de carrière. Je suis très fier de la recevoir et j'en profite pour remercier toutes les personnes qui m'ont été proches et qui ont travaillé avec moi dans toutes ces années." Bigre ! Traduction alex_j via FCInterNews.
  19. Le Juge Sportif contredit rarement les décisions de l'Arbitre et la Cour, rendant la suspension de l'avant-centre définitive. La disqualification de Romelu Lukaku pour le match retour de la Coupe d'Italie face à la Juventus a été confirmée par la Cour d'Appel. L'avant-centre Belge, victime de grossiers hurlements racistes, a réagi envers la Curva et a été expulsé pour y avoir réagi. Le Corriere dello Sport rapporte : « Le PDG des Nerazzurri, Beppe Marotta, s'est également exprimé lors de l'audience d'hier, demandant aux juges un « choix de courage et de sensibilité » qui irait au-delà de la stricte application des règles . Même à la lumière de l'indignation mondiale pour ce qui s'est passé. Le Juge Sportif contredit rarement l'arbitre et la Cour, rendant définitive la suspension de l'avant-centre pour la Demi-Finale de la Coupe d'Italie mercredi soir à San Siro. Les motifs de la sentence, signés par le président de la Section I, Carmine Volpe, arriveront dans 15 jours. C'est, ironiquement, le même Tribunal qui a décidé de rouvrir le secteur des supporters de la Juventus et qui a confirmé la disqualification en deux matches de Mourinho pour la dispute avec le quatrième officiel Serra. Les raisons "techniques" du choix se devinent déjà : Après avoir marqué, Lukaku aurait dit "idiot, idiot" aux supporters qui l'insultaient. L'officiel de match n'a cependant noté que le "comportement incorrect envers un adversaire et un comportement non réglementaire sur le terrain" comme indiqué dans la décision du Juge des Sports que la Cour a confirmée hier, prenant la responsabilité de faire la plus simple des équations du football : Double jaune égale rouge, égale suspension d'un match, sans compter que dans cette affaire tout le monde a été acquitté sauf celui qui a été traité de « singe ». Massa a continué à arbitrer. Une fois la collaboration du club établie des mesures immédiates ont été prises pour punir les responsables. Tout de suite après la Tribune Sud de l'Allianz stadium a été réouverte. "Le dernier juge que j'ai vu avait plus de vices que le dealer de ma rue". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  20. Tel que rapporté par calciomercato.com, l'Inter surveille 4 joueurs pour remplacer Skriniar. Le sort de Milan Skriniar est déjà connu même si aujourd'hui en France l'indiscrétion du transfert au PSG est à risque en raison de sa condition physique précaire qui a fui. Face à Porto le 14 mars dernier pourrait être le dernier match du Slovaque du défenseur central avec le maillot de l'Inter. Aux nouvelles du jour, l'ancien joueur de la Sampdoria a été opéré hier à la Clinique du Sport de Mérignac, où travaille le chef du staff médical du PSG. Skriniar a également confirmé le résultat positif de la chirurgie endoscopique sur les réseaux sociaux, mais les temps de récupération sont estimés à environ un mois d'arrêt, ce qui jette un doute sur son retour sur le terrain avec le maillot des Nerazzurri cette saison. L' Inter actuel a déjà montré qu'il pouvait combler l'absence du joueur né en 95, le club se démène pour trouver un remplaçant en vue de l'année prochaine. Les alternatives "italiennes": Parmi les profils encerclés par Marotta et Ausilio, deux se situent à Bergame : Il s'agit de Demiral et Scalvini. L'ancien joueur de la Juventus "est un nom apprécié depuis longtemps par les managers de l'Inter et n'est plus un incontournable de Gasperini, mais il faudrait une offre différente de celle faite en janvier dernier un prêt avec droit d'achat pour convaincre le club de Bergame", tandis que pour Scalvini l'évaluation est plus élevée, malgré les bonnes relations entre les clubs et l'entourage du joueur incite à l'optimisme. Les Autres idées: Un autre nom à encercler est celui d'Oumar Solet, né en 2000. Le joueur de Salzbourg qui était déjà suivi par des scouts Nerazzurri lors du match de Ligue Europa entre les Autrichiens et la Roma."l'Inter garde un œil sur l'opportunité à faible coût de Samuel Umtiti, qui est de retour en tant que protagoniste, il affiche un bon niveau avec le maillot de Lecce. Le prêt expire en juin et l'ancien Champion du Monde 2018 reviendra à Barcelone : Avec le club Blaugrana l'Inter entretient d'excellentes relations depuis un certain temps et lors du blitz de la semaine dernière en Catalogne, avec la venue d'Ausilio". Qu'en Pensez-Vous? Traduction Lindt1908 via Fc Inter1908
  21. La Ligue des champions est l'objectif principal de la saison de l'Inter. Un concept que Tuttosport réitère aujourd'hui, remontant au début de la saison où Inzaghi a été invité à terminer dans le top quatre en tant que premier enjeu. À l'époque, cependant, personne ne pouvait penser à atteindre les quarts de finale avec potentiellement une demi-finale contre Milan et Naples , des équipes contre lesquelles l'Inter peut se battre. Ce qui se passe met en lumière les énormes difficultés de gestion du Suning . "Les projets de Suning lient indissociablement les futurs acteurs corporatifs aux résultats sportifs. L'entreprise vit d'un autofinancement soutenu par le prêt obtenu auprès d'Oaktree et par une obligation qui est aujourd'hui considérée comme " un stock de camelote" par le marché. Suning d'ici la fin année peut refinancer le prêt avec le fonds américain, mais cela ne ferait que reporter le problème du remboursement du montant convenu (en mai 2024, il sera de près de 350 millions) seulement en 2026 avec des intérêts recalculés et augmentés, il serait beaucoup plus conséquent. Oaktree n'aurait pas l'intention de s'occuper du club (comme Elliott l'a fait avec Milan) et n'aspire probablement même pas à trouver un repreneur. Quelque chose semble avoir bougé ces dernières semaines, mais sans le projet du stade détenu par Suning, il sera difficile de lever le milliard deux cents millions d'euros qu'il demande pour passer la main ". En conséquence, sans l'argent de la prochaine Ligue des champions, il y aurait une forte réduction de l'effectif, cela à été évoqué il y a quelques jours par Beppe Marotta . Une inquiétude que n'ont pas les joueurs, "attirés par le rêve de la Ligue des champions et aussi par l'idée de sortir la Juve" de la Coupe d'Italie (surtout après ce qui s'est passé à Turin...) par rapport aux motivations que peut offrir le championnat. Difficile de penser que ce défaut n'est imputable qu'à Inzaghi, ce qui se passe est plutôt l'effet secondaire d'avoir construit une équipe instantanée avec une moyenne d'âge très élevée (28,8 ans est la plus élevée de Serie A) et un salaire insoutenable (132 millions brut, le deuxième après celui de la Juve) dans lequel aujourd'hui en raison d'un classement aussi coulissant en Serie A. Seuls huit joueurs sont sûrs de rester à l'Inter la saison prochaine". Parmi ceux-là ne figurent pas Barella ou Martinez, "Mais étant tous les deux des joueurs de haut niveau, il n'est pas donné de savoir ce qui pourrait arriver dans le cas où des offres mirobolantes leur arriveraient également". Une question qui n'est même pas le cas pour beaucoup. D'autres (Onana, jusqu'à Dumfries en passant bien sûr par Brozovic)". Comment l'équipe sera-t-elle dissocié? "Avec un nouveau cycle basé sur des jeunes avec des joueurs aux salaires soutenables". Restons Calme! Traduction Lindt1908 Via FcInterNews
  22. L'attaquant français décidera bientôt de sa prochaine destination : les Nerazzurri restent dans la course! Le marché des transferts de l'Inter pour la saison prochaine est prêt à démarrer : Preuve en est le directeur sportif Piero Ausilio été à Barcelone , ce qui démontre à quel point la direction des Nerazzurri est vigilante sur plusieurs fronts. Quant à l'attaque, depuis des mois, le premier nom sur la liste est Marcus Thuram, qui quittera le Borussia Mönchengladbach en transfert gratuit en juin. Selon La Gazzetta dello Sport , le Français n'est peut-être pas le seul dans les choix en attaque de l'Inter : "Marcus Thuram est encore aujourd'hui la première cible en attaque. Un joueur prêt pour le saut de qualité définitif après quatre saisons au Borussia Mönchengladbach, au cours desquelles il a également réussi à s'illustrer en Ligue des champions, précisément en défiant l'Inter en phase de groupes. » En attendant Thuram: « Le Borussia a officialisé jeudi ce que tout le monde sait depuis un certain temps : Marcus ne renouvellera pas son contrat et sera libre de trouver une nouvelle équipe. Et l'Inter reste une hypothèse très valable, pour de nombreuses raisons, dont cette promesse de "mariage" qui ne s'est pas réalisé par manque de chance avec Thuram. Car Marotta et Ausilio l'avait identifier pour après Lukaku en 2021. C'était fait, mais Marcus s'est blessé dans ce qui devait être son dernier match pour le Borussia : Rupture du ligament collatéral médial de son genou droit et adieu à l'Inter. Les contacts sont pourtant restés vivaces au fil du temps et l'Inter a déjà livré une nouvelle offre à Marcus, qui devrait bientôt décider de son avenir, mettant fin au feuilleton sur Thuram junior, évidemment, il y a beaucoup de clubs étrangers intéressé par le Français, mais l'Inter est en lice et espère le signer". L'Inter sur une autre piste chaude: " Dans les plans des Nerazzurri, Thuram devra remplacer Correa (sortant) mais si une solution n'est pas trouvée avec Chelsea pour un nouveau prêt de Lukaku, il y aura deux arrivées en avant. Pour cette raison, même Firmino qui ne prolongera pas avec Liverpool reste une piste chaude. La direction est prête pour un nouveau sommet avec ses agents ". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  23. La certitude est que Simone Inzaghi ne sera pas l'entraîneur de l'Inter la saison prochaine : Voici la liste de Marotta et Ausilio! La liste des techniciens pour l'après Inzaghi s'allonge. L'Inter changera à la fin de la saison et la direction travaille déjà pour la saison prochaine. Sergio Conceiçao fait partie des noms suivis depuis un certain temps et il y a déjà eu un premier contact entre les deux parties. Mais, comme le souligne la Gazzetta dello Sport, ce n'est clairement pas le seul nom sur la liste de Marotta et Ausilio. " Le rêve du retour d'Antonio Conte est toujours vivant, même si du moins à ce jour c'est toujours un rêve". "Ensuite, il y a les fortes candidatures de deux jeunes entraîneurs en pleine ascension, comme Roberto De Zerbi et l'ancien Interiste Thiago Motta, l'un des hommes du Triplé 2010, déjà très aimé par le peuple Nerazzurri. De Zerbi étonne l'Angleterre avec son football courageux, l'équipe actuelle ne correspond pas aux convictions footballistiques de De Zerbi et il est logique qu'un choix de ce type implique un lourd investissement pour le marché des transferts". "Mais De Zerbi est beaucoup aimé et sa candidature reste solide. Mais il ne faut pas non plus sous-estimer la montée en puissance de Motta, beaucoup plus maniable que De Zerbi en termes de demandes techniques. Motta connaît une belle saison à la tête de Bologne, ils sont proche de la zone européenne, il aspire à devenir entraîneur de haut niveau (le rêve d'entraîner le PSG, où il s'est entraîné, est connu depuis un certain temps) et à l'Inter, il pourrait avoir la chance d'être l'heureux élu pour être sur la banc de l'Inter. Il a de la personnalité et des idées : Le mélange parfait pour former la base d'une éventuelle révolution". Une Préférence pour lequel? Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  24. L'avenir de l'attaquant belge reste à définir, entre un retour à Chelsea et une prolongation chez les Nerazzurri. L'avenir de Romelu Lukaku reste à écrire. L'attaquant belge a répété à plusieurs reprises qu'il ne voulait pas retourner à Chelsea, et l'Inter envisage de négocier ou non un nouveau contrat de prêt. Parmi les facteurs qui détermineront où jouera Big Rom la saison prochaine figure l'entraîneur qui siégera sur les bancs des Blues et des Nerazzurri, tous deux voués à avoir un nouveau coach . C'est ainsi qu'écrit La Gazzetta dello Sport : Le Belge a un impératif d'ici la fin à la fin de saison : “Devenir un protagoniste des Nerazzurri et essayer de construire l'avenir qu'il désire le plus, même si cela ne dépendra pas uniquement de lui. L'Inter et Chelsea sont deux réalités difficiles à décrypter dans une perspective d'avenir, depuis le rébus de qui sera l'entraîneur des deux équipes l'an prochain jusqu'aux résultats sportifs et donc économiques qui peuvent ouvrir de nouveaux scénarios ou imposer des décisions drastiques." Différents entraîneurs, différents scénarios: "Un retour à l'Inter d'Antonio Conte, serait un soutien clair pour que Lukaku reste chez les Nerazzurri. La situation inverse, si le nouvel entraîneur de la Beneamata était Roberto De Zerbi : L'entraîneur de Brighton joue avec un seul l'attaquant, qui l'année prochaine serait peut-être Lautaro Martinez avec Dzeko en réserve. Il est clair que les Nerazzurri ne dépenseraient pas une grosse somme d'argent pour le prêt d'un joueur qui alternerait avec Lautaro ou avec d'autres attaquants de l'effectif. " Inter, il y a une certitude: « Ce qui est certain, c'est que l'Inter, compte tenu des performances actuelles de Lukaku, n'est pas disposé à débourser 20 millions supplémentaires pour un prêt d'un an de plus. Et au cas où la qualification pour la prochaine Ligue des champions n'arriverait pas. Beppe Marotta a été clair plusieurs fois: Big Rom reviendra à Chelsea, après on verra. Le fait est que le Belge à Londres (et en général en Premier League, une ligue dans laquelle il a souvent échoué) ne voudrait pas revenir. Pour un un éventuel prêt supplémentaire, l'Inter partirait d'un chiffre bien inférieur ." Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  25. Le PDG de l'Inter a une suggestion pour lutter sérieusement contre le problème du racisme dans les stades! Comment tenter de résoudre le problème du racisme dans les stades ? Beaucoup le demandent en ces heures et une solution possible vient de Beppe Marotta, directeur général de l'Inter. La Repubblica le rapporte aujourd'hui: "Le tournant pourrait être l'introduction d'une sorte de Var du racisme, une proposition que Beppe Marotta, PDG de l' Inter , portera au prochain Conseil de la FIGC. L'idée est qu'en cas d'insultes racistes, les inspecteurs des parquets fédéraux présents au stade devraient le signaler en direct à l'arbitre qui, s'il le juge bon, peut arrêter le match, ce qu'il ne peut faire aujourd'hui que s'il entend lui-même certains chants". La technologie pourrait régler certaines situations immédiatement?: "Cela aiderait à apporter du raisonnable, en évitant que le joueur insulté soit ensuite puni s'il réagit aux infractions de quelque manière que ce soit. La conviction de Marotta est qu'il existe aujourd'hui un décalage temporel entre le règlement du terrain, qui prévoit des sanctions immédiates , et l'action du parquet, qui arrive sans rien. Mardi, la vulgarité violente du racisme s'est mêlée à la misère de la bagarre entre les joueurs. Avec les trois expulsions et l'exagéré Cuadrado, qui en est venu aux mains avec le pacifique Handanovic . Bonne idée de Don Pepe selon-vous? Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908.
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