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Sabine Bertagna : "Le gel entre Marotta et Inzaghi ? Voici la vérité !"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L'ambiance à Appiano Gentile, avec les Nerazzurri visés par certains journaux, en vue de l'Inter-Juventus. Ce sera certainement un très, très grand hasard si la semaine qui amènera les Nerazzurri au match face à la Juventus est jonchée de critiques médiatiques qui crient au gel entre Beppe Marotta et Simone Inzaghi... et à la sempiternelle crise de l'Inter qui est, évidemment, à la mode. L'accession en quart de finale de la Champions, après 12 très longues années, a été fêtée par certains comme un cadeau du ciel. Mieux vaut s'attarder sur "la froideur et le cynisme des managers" à Appiano Gentile... ou sur la relation tendue entre le PDG et l'entraîneur qui a enlevé quelques cailloux de sa chaussure après le match contre Porto. José Mourinho aurait rassemblé tous ces signaux dans une seule définition qui a marqué l'histoire, le bruit ancien et évocateur des ennemis. De la part des médias de Turin et de Rome, il y a mille raisons de se régaler des tensions à Appiano Gentile; inutile même de les énumérer. La Juventus affronte les Nerazzurri au Meazza et a non seulement des pensées sur le terrain mais surtout de sérieuses inquiétudes qui détermineront son avenir proche. À Rome, nous regardons évidemment les classements de la Ligue des champions dans une course bien étrange, qui se joue derrière le Napoli. L'Inter est en lice sur plusieurs fronts, même si le Scudetto a longtemps semblé être une affaire napolitaine, et sur ces fronts ils devront répondre aux critiques. Bien sûr, lire de temps en temps même un soupçon de célébration pour ce qui a été ramené à la maison avec sueur et efforts ne ferait pas de mal. Mais dans le football, tout devient instrumentalisé, même les critiques. L'accès aux quarts de finale de la Champions n'a naturellement pas effacé les faux pas de l'Inter en championnat, ni fermé les yeux de ceux qui doivent juger la saison dans toute sa complexité. Il y a forcément eu des critiques sur le travail de l'entraîneur à moins de vouloir penser que ramener 2 points sur 15 face à des équipes de rang moyen-inférieur est une pierre d'achoppement physiologique pour une équipe comme l'Inter. La gestion des joueurs aussi en rapport avec les blessures, les querelles sur le terrain (la dernière concernant les tireurs de penalty) et les défaites sont des sujets d'analyse pour nos dirigeants et sont naturellement des sujets de discussion avec le guide technique qui siège sur le banc. Il n'y a pas de gel, il y a un débat raisonnable sur tout ce qui peut aider les Nerazzurri à atteindre leurs objectifs. Beppe Marotta, qui ne s'exprime pas uniquement en cas de victoire mais qui met généralement son nez quand il le faut, a souligné l'importance vitale de se rendre aux matches de la Champions (et en tout cas à ceux qui comptent) avec l'équipe en état de forme optimale, sans blessures. La colère de Simone Inzaghi, qui a toujours déclaré savoir d'où venaient les critiques (faisant évidemment référence à des critiques extérieures), était une colère honnête d'un technicien habitué à travailler et à essayer d'atteindre les objectifs requis malgré les difficultés. Le faire à l'Inter n'est jamais une chose simple. Quand ça arrive, c'est tout sauf aléatoire... ou par grâce reçue. Traduction alex_j via FCInter1908, texte de Sabine Bertagna-
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Beppe Marotta : "Grande joie d'être en quart mais nous allons porter plainte à l'UEFA !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Beppe Marotta revient également aux micros de Sky Sport pour commenter la qualification historique de l'Inter pour les quarts de finale de la Ligue des champions. Impression générale. "En attendant, on fête ce virage qui nous manquait depuis 12 ans. Un exploit qu'il faut attribuer à l'entraîneur et aux joueurs, une pensée va aussi aux supporters laissés de côté après avoir payé le billet. Nous aurons une discussion avec l'UEFA pour reconstituer les faits car j'ai vu des vidéos avec des familles laissées de côté, c'est malheureux. Le football doit être le bonheur, c'est une page amère dans un contexte de joie. Nous allons porter plainte à l'UEFA, nous avions déjà parlé à la police qui nous avait donné accès. Nous avons affaire à des familles avec enfants qui étaient là non pas pour commettre des actes de violence mais pour soutenir l'équipe. Nous devons éviter certaines situations par des actions préventives." Mais que s'est-il passé ces derniers mois où les résultats n'ont pas souvent pas été à la hauteur ? "La discontinuité nous coûte mais le coach s'est parfaitement occupé de tout. Aujourd'hui on est content, on est dans un final de saison où il reste trois objectifs et ça nous flatte. Le travail effectué par le coach, malheureusement tant décrié en cette période, et par l'équipe était bon. Le problème de la discontinuité est un problème qui a pesé plus que l'an dernier. L'objectif est toujours d'être qualifié en Ligue des champions, nous reconnaissons le Napoli pour ses progrès extraordinaires." Une équipe pour les quarts de finale ? "D'un côté il y a l'envie d'avoir des adversaires très prestigieux, de l'autre l'envie de passer. Il ne reste plus que quelques équipes et toutes doivent être respectées. Mais il y a des équipes qui sont vraiment au dessus du lot. Ce n'est pas la championnat car la Ligue des Champions est un tournoi où il faut être le bon le jour J. Il y a beaucoup de composantes qui doivent jouer favorablement." Traduction alex_j via FCInterNews.- 2 commentaires
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Vibrant hommage de FCInter1908 à Roberto Samaden
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Trente ans de projets, de talents et d'intuitions dans le football jeunesse. Disons au revoir au chef historique du secteur des jeunes Nerazzurri en Septembre, Roberto Samaden. L'histoire entre Roberto Samaden, responsable du secteur jeunesse et qui occupe également des postes importants à la FIGC, et l'Inter touche à sa fin. La décision du manager de ne pas renouveler son contrat expirant en Juin a (presque) pris tout le monde par surprise. Et tout d'un coup, ces trente ans (oui, trente ans) de football junior extrêmement réussis semblent s'être envolés comme un souffle parce que pendant ces années, nous nous sommes aimés, nous avons grandi ensemble et nous avons tellement innové. Vraiment vraiment beaucoup. Les Centres de Formation (fleuron du secteur jeunesse), les Académies, les nombreux projets menés avec un enthousiasme contagieux en disent long sur la vision de Roberto qui a permis à l'Inter de transmettre sa philosophie du football sur le terrain et de le faire avec compétence et passion. Formation des joueurs et des entraîneurs avec une attention aux activités de base, la Villa di Interello qui accueille les jeunes étrangers dans un cadre familial puis encore l'Inter Collège. Les nombreux projets menés pendant la pandémie pour ne pas laisser les enfants seuls. Combien de jeunes joueurs sont passés par le centre sportif de via Sbarbaro et ont respiré cette atmosphère familiale ? Une très longue liste de noms, qui se souviennent certainement du passage chez les Nerazzurri avec affection. L'Inter a toujours travaillé à la recherche de talents, elle l'a toujours fait avec des repérages sur le territoire et, quand elle en avait les moyens, avec des cibles étrangères. Un mélange qui a du succès depuis des années. Il y a des victoires et un nombre incroyable de finales atteintes. Et il y a des footballeurs nés et élevés à Interello qui se sont taillé une place importante dans les championnats de haut niveau. Quelqu'un comme Dimarco. Enfin et surtout, il y a les valeurs que le maestro Nerazzurri a toujours essayé de transmettre à ses garçons. Les valeurs dans le football comme dans la vie ne sont pas un détail. Jamais. L'Inter est un sentiment et le travail de Roberto Samaden a été un long voyage dans lequel cet amour pour les couleurs Nerazzurra a trouvé une dimension parfaite dans laquelle se focaliser. Les amours de ce genre ne finissent pas mais lorsqu'elles sont si intenses, elles risquent de consumer les personnes impliquées. Après trente ans de travail toujours au top, sans s'arrêter car une fois une saison terminée la suivante se prépare tout de suite, les projets grandissant et se multipliant. Pour Samaden, un choix de vie a prévalu. Probablement ces dernières années, celles qui ont suivi la pandémie, les difficultés d'investissement du club des Nerazzurri ont peut-être aussi eu un impact: une lassitude due à l'ingéniosité avec un nombre limité de ressources, essayant de toujours se montrer compétitif. Des moments physiologiques dans une si longue relation de travail. Mais ce ne sont pas les circonstances qui ont consolidé la décision finale. Comment ne pas comprendre le besoin de reprendre son souffle et pourquoi pas, aussi de vivre de nouvelles expériences ? Il y a eu une grande, énorme vague d'affection envers Roberto après que sa décision de ne pas renouveler soit devenue publique. Des initiés et aussi des fans de Nerazzurri. Mais si les années précédentes les clubs avaient peu à peu renoncé à le courtiser (bien qu'il n'ait jamais manqué d'intérêt), Samaden a toujours été très fidèle à l'Inter, depuis Samedi dernier son téléphone est forcément chaud. Il y a une file d'attente pour gagner un manager estimé, un grand professionnel et un travailleur acharné mais surtout une bonne personne. Beaucoup le courtiseront à partir de la FIGC, et qui sait quelle sera sa prochaine destination. Une équipe première ? Un projet de niche ? La Fédération ? Probablement quelque chose qui attise la flamme du sentiment. L'air frais qui émane d'un nouveau projet. Un nouveau voyage. L'Inter, ayant appris la décision de Samaden de ne pas renouveler son contrat, n'est pas restée les bras croisés et a tenté de le retenir. Du président Steven Zhang à Beppe Marotta (qui en 2013 avait tenté de le faire venir à la Juventus), en passant par son ami Piero Ausilio. La vague d'affection du club a été immédiate et totale: la reconnaissance pour l'excellent travail de toutes ces années ne s'est pas fait attendre. Mais ce qui est immédiatement devenu clair, c'est que ce n'était pas un choix bradé. Un choix de vie n'est guère un choix négociable. L'histoire entre Roberto Samaden et l'Inter approche du générique de fin et bien qu'il y ait la tristesse typique des adieux, la salutation sera la belle que des amis spéciaux se permettent. L'héritage qu'il laisse à son successeur est important. Gagnant, honnête et sentimental. Très sentimental. Traduction alex_j via FCInter1908.-
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Roberto Samaden quittera l'Inter en Juin !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
La Gazzetta dello Sport nous apprend que Roberto Samaden quittera l'Inter en Juin pour de nouvelles aventures. Il a amené le secteur des jeunes de l'Inter à de grandes réalisations. Sous sa direction sont passés de nombreux joueurs prestigieux dont on parle aujourd'hui dans les championnats supérieurs, de Federico Dimarco à Michele Di Gregorio en passant par Andrea Pinamonti, Cesare Casadei, Wilfried Gnonto et bien d'autres. Mais après 13 ans de satisfactions, de récompenses et de victoires, l'histoire entre Roberto Samaden et l'Inter touche à sa fin. En effet, selon la Gazzetta dello Sport, en juin le divorce sera consommé avec l'homme qui a tenu le poste de directeur de la pépinière depuis 2010; l'aboutissement d'une histoire 100% Nerazzurra qui durait pour lui depuis 33 ans. Ces derniers jours, Samaden a communiqué sa décision à Steven Zhang, Beppe Marotta et Piero Ausilio avec qui il entretient une profonde amitié depuis des années. A 56 ans, il se prépare pour une nouvelle aventure, et ce n'est pas un pari de penser que les propositions ne manqueront pas pour lui. Avec Samaden à la barre, les Nerazzurri ont remporté 16 titres de champion. Il est ainsi devenu le manager le plus titré de l'histoire du football italien au niveau du secteur des jeunes. Le palmarès de Samaden comprend: 4 championnats avec la Primavera; 4 championnats avec les U15; 3 championnats avec la Berretti; 3 championnats avec les U17; 1 championnat avec les U16; 1 championnat avec les U14. Cependant, il faut aussi ajouter à la liste la NextGen 2011-12 avec Andrea Stramaccioni sur le banc, les 3 éditions du Tournoi de Viareggio, 5 Super Coupes et une Coppa Italia Primavera. Hors du terrain, il ne faut pas oublier le développement de nombreux projets, dont celui des Centres de Formation et celui Pédagogique récemment récompensé par l'ECA. Traduction alex_j via FCInterNews.- 4 commentaires
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Lors de Bobo TV et toujours avec son ton mesuré et dans la langue de bois, Antonio Cassano s'est exprimé sur le travail d'Inzaghi et de Marotta chez les Nerazzurri. Il a également évoqué deux noms possibles pour remplacer Inzaghi. Musique maestro ! "Le plus gros problème, c'est l'entraîneur ! Vous gagnez contre Porto et Milan parce que les joueurs se motivent. L'entraîneur n'est pas prêt à entraîner une équipe forte pour gagner. Il a beaucoup de défauts, il lui manque toujours quelque chose. Il a un standard pour sa façon de jouer. La Juve et l'Inter sont de loin les équipes les plus fortes. Inzaghi a une Ferrari en main et la fait passer en seconde alors que Spalletti a une Audi et fonce à toute vitesse. Maintenant, Inzaghi continue de prendre un chemin qui ne mène nulle part. Calhanoglu ne l'a pas découvert, Inzaghi, mais nous ici. Il est incapable de motiver, de donner quelque chose de plus. Dans le football moderne, l'entraîneur doit donner quelque chose de plus. Le vent la pluie, nous ne sommes pas concentré, c'est des conneries tout ça. Marotta, il devrait éviter de parler ! Il dit des conneries ou Juin arrive et lui donne le feu vert pour qu’il se casse ! Je ne peux pas penser qu'il gagne une autre Coppa Italia et qu’on parle d'un chemin positif. L'année dernière, il a perdu le Scudetto contre Milan, cette année contre Naples. S'il m'apporte la Ligue des champions là, et seulement là, je ne le changerai pas. Sinon, il est renvoyé. Il ne sait pas comment coacher une grosse équipe pour gagner. Conte gagne là où il va, Mourinho, Simeone font de même." "Le gros problème de l'Inter ne peut être attribué qu'à l'entraîneur, c'est le plus gros problème. La première année tu as perdu d'un point et il pourrait y avoir, cette année, une catastrophe hallucinante, en Février à -18. Nous ne plaisantons pas. Soit gagner la Ligue des champions, soit au revoir et merci. Je ne peux pas penser que mon équipe a 7 défaites. La Sampdoria ne marquant pas, même pas avec ses mains, ils ont fait 0-0, ils ont fait match nul contre Monza, ils ont perdu contre Empoli à domicile, Bologne lui a donné une tête comme ça. S'il devait quitter la Ligue des champions, Inzaghi devra sortir." "Il y a tellement d'entraîneurs que vous pouvez prendre. L'Inter veut changer de cap ? De Zerbi où es-tu à Brighton ? J'arrive en avion. Tu ne veux pas venir ici ? Je vais à Florence pour prendre Italiano. L'inter n'essaye pas de gagner, quand ils gagnent c'est parce qu'ils sont plus forts. Pas le bon entraîneur pour faire un cycle gagnant. Si vous perdez le scudetto d'un point avec la Juve, ça va. Si vous le perdez contre Milan et Napoli qui sont inférieurs, tout change. Ce n'est pas un entraîneur qui peut continuer avec l'Inter. Marotta et Inzaghi hors de mes couilles. Si j'étais président de l'Inter, je gicle Marotta puis Inzaghi. J'ai pris un risque avec Inzaghi et j'ai été nul, pourquoi ne devrais-je pas prendre de risque avec De Zerbi ?" Traduction alex_j via FCInterNews et Sempreinter.
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Quand Romelu Lukaku plaisante sur son poids sans savoir qu’il est en direct
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Et si c’était le renouveau de Romelu Lukaku ? Buteur après être entré face à Porto, l’attaquant belge a confirmé sa bonne forme actuelle... en livrant une scène cocasse sur Sky Sports. Félicité par Thierry Henry après la rencontre, le meilleur buteur de l’histoire des Diables Rouges a déclaré sur Sky Sports tout en ignorant qu’il était en direct. "Mamma mia, regarde cette poitrine. Je suis merveilleusement en forme," a-t-il lancé sur le ton de l’humour au journaliste Matteo Barzaghi avant de réaliser qu’il passait à l’antenne. Pour rappel, Big Rom avait été la cible de nombreuses critiques en raison de son état de forme affiché lors des derniers mois. Avant la rencontre, Giuseppe Marotta avait assuré que l'attaquant était bien en train de retrouver sa meilleure forme. De bon augure pour la suite ? Espérons le ! Source footmercato.net.-
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Notre légende Beppe Bergomi pense que Simone Inzaghi fait du bon travail dans une situation où les Nerazzurri sont obligés de vendre un grand joueur chaque été, a-t-il déclaré en exclusivité à SempreInter. Sur le dossier Skriniar. "Nous devons revenir à l'été dernier. Malheureusement chaque été, l'Inter doit sacrifier un top player, on l'a vu avec Lukaku, Hakimi et Perisic. L'été dernier, ils ont choisi Skriniar. Au lieu de cela, le joueur est resté et nous savons ce qui s'est passé. Nous devons partir de ce point. J'ai connu Milan, c'est un bon garçon, timide, sérieux. C'est un professionnel qui a pris sa décision. Peut-être qu'il aurait pu mieux le communiquer, même si souvent ce n'est pas facile de le faire même pour ces joueurs." "Je pense que nous devons tirer une conclusion de ce cas et d'autres cas similaires : la Serie A est un championnat que les joueurs traversent, et n'est pas la destination finale. En ce qui concerne les joueurs d'un club et la bandiera, le monde a changé par rapport au passé. Nous devons accepter cela. Nul doute que Skriniar va tout donner d'ici la fin de la saison. Les gens doivent comprendre cela et le laisser tranquille. Il était nerveux lors du match contre Empoli et cela a coûté le match à l'Inter, ce sont des choses qui peuvent arriver." Milan Skrinar a-t-il trahi l'Inter ? "Il a été clair avec ses coéquipiers, leur a communiqué sa décision, c'est le plus important. Je n'aime pas parler de relations dont je ne suis pas au courant. Je dirai seulement que je suis triste qu'il parte, c'est un grand joueur, qui a bien représenté l'Inter ces dernières années. N'oublions pas d'autres cas similaires dans d'autres clubs. Nous devons nous rappeler que les choses ne sont plus comme elles étaient dans les années 90 et au début des années 2000. Aujourd'hui, ces acteurs trouvent d'autres solutions. Peut-être qu'ils auraient pu trouver un accord, similaire à celui que le Torino a trouvé avec Bremer. Là, il a signé une prolongation de contrat d'un an. Ils auraient pu mettre en place une clause libératoire minimale. Mais ensuite, il y a des agents qui avaient peut-être déjà accepté toutes les conditions et à ce moment-là, vous ne signez pas de prolongations de contrat et cela devient difficile." Critiques adressées au PDG du club, Beppe Marotta "On a vu qu'il y avait une ligne claire décidée par le club. Je ne vois pas cela comme une erreur, ils ont cherché à gérer la situation mais ils n'ont pas pu. Mais ce n'est pas une erreur. Il faut accepter ces situations contingentes, avec lesquelles l'Inter a dû vivre ces trois dernières années. Le club ne peut pas dépenser sur le marché des transferts mais reste compétitive, remporte des trophées et passe par la phase de groupes de la Ligue des champions. Bien sûr, ils sont loin derrière Napoli qui a fait quelque chose d'extraordinaire. Dans cette optique, un match nul contre la Sampdoria, par exemple, n'est pas suffisant. Mais pour le reste, que pouvez-vous dire à cette équipe ? Ces dernières années, c'est une équipe qui s'est appauvrie mais qui parvient toujours à rester compétitive et c'est un signe de mérite." "Si nous revenons au moment où l'Inter a remporté le titre de Serie A et que vous imaginez que vous pourriez ajouter un ou deux joueurs, vous auriez bien sûr pu donner une continuité. Mais la continuité est donnée, vous avez remporté la Coppa Italia, la Supercoppa Italiana, mais bien sûr vous auriez pu être encore plus compétitif, cela ne fait aucun doute. Des joueurs comme Acerbi, Dzeko et Mkhitaryan sont des joueurs forts, ils vous donnent beaucoup maintenant." La question du Suning "Étant donné que je ne connais pas toutes les situations internes, cela me rend inconfortale. Je comprends les difficultés auxquelles ils ont été confrontés, de la pandémie au respect des règles du fair-play financier de l'UEFA. Cependant, vous devez toujours offrir un rêve aux fans, mais souvent, les fans ont du mal à comprendre la situation actuelle et cela me rend désolé. Je ne veux pas entrer dans les problèmes auxquels le président du club est confronté. Il est évident pour tout le monde de voir que la propriété connaît des difficultés mais essaie de les gérer de la meilleure façon possible." "Nous sommes déjà à un certain niveau, alors tout le monde veut toujours quelque chose de plus. Mais encore une fois, je le répète, nous avons vu passer 9-10 ans sans rien gagner. Et maintenant, les Nerazzurri gagnent, il y a une continuité en ce sens, c'est ce qui est le plus important. Ensuite, si Suning décide de ne plus continuer et de vendre le club pour le bien de l'Inter, alors ce n'est pas grave. En ce moment, les choses se passent comme elles sont et nous devons les laisser faire." Le verdict sur Simone Inzaghi "Souvent, d'autres entraîneurs sont félicités, puis vivent des moments difficiles, mais un match suffit et ils recommencent à être félicités. Simone est toujours sous surveillance. À mon avis, l'Inter joue bien au football, l'équipe joue bien, elle ne fait pas d'erreurs dans les matchs de coupe. Il y a toujours cette statistique sur le dribble qui me fait réfléchir, la statistique qui dit que l'Inter est la deuxième équipe en bas de tableau pour les dribbles réalisés en Serie A et en Ligue des champions. Savez-vous ce que cela signifie dans le football moderne ? Le changement de rythme et d'accélération est fondamental. L'Inter d'aujourd'hui est toujours en bonne position pour bien faire, pour faire avancer de nombreux joueurs au-delà des lignes avec le ballon et pour jouer un type de football spécifique. Face à des équipes qui ferment, cela devient beaucoup plus difficile. Inzaghi fait un excellent travail. Beaucoup disent que l'Inter devrait changer d'entraîneur mais cette équipe a été construite pour jouer comme ça. Il est très difficile d'imaginer cette équipe sur le terrain jouer d'une manière différente, et aussi mettre en place une défense. Mais les ailiers ? Qui joue en dehors des défenseurs centraux. Je ne veux pas le défendre (Inzaghi, ndlr) à tout prix, mais à mon avis, Inzaghi fait un excellent travail." L'Inter manque de courage pour donner une chance aux jeunes ? "Kvaratskhelia, dans ce sens, n'était pas un joueur inconnu. Je parle aux scouts de l'Inter et on m'a dit que l'Inter surveillait Kim Min-jae au cas où Milan Skriniar aurait été vendu l'été dernier. Ils connaissaient également Kvaratskhelia. Mais ensuite, il faut les mettre dans un système de jeu, avec un 3-5-2, il deviendrait trop difficile de les faire jouer dans ce système. L'Inter connaît et connaît tous les joueurs, il faut souvent avoir le courage de faire certains types d'investissements. Le football italien doit avoir des idées et être prêt à prendre des risques sur certains joueurs qui n'ont pas encore explosé mais où l'on peut voir du potentiel. C'est vrai pour l'Inter comme pour toutes les équipes italiennes. "Si quelqu'un comme Kvaratskhelia s'était adapté à un 3-5-2 ? Je suis d'accord. Mais on revient toujours là-dessus. Il y a beaucoup de bons joueurs en Europe. Maintenant que vous savez que Skriniar s'en va, il faut être prêt et bien faire pour le remplacer. Vous devez être bon pour identifier le bon joueur avec les bonnes caractéristiques, qui est rapide et bon pour aller de l'avant. Parfois, et je parle ici de manière générale, on essaie de s'accrocher aux joueurs qui finissent par compliquer les transactions sur le marché des transferts. Mais vous devez être prêt à récupérer votre argent et à trouver immédiatement un remplaçant." Traduction alex_j via Sempreinter.
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Romelu Lukaku : "Merci Nicolo ! Grand match d'André ! Bravo à l'équipe !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Unique buteur lors du match de Inter-Porto, Romelu Lukaku commente le match sur Inter TV, Sky Sport et Prime Video. "Regarde comme je suis en forme, Beppe..." "Libération? L'important était de gagner ! J'ai traversé des mois compliqués, je suis content d'être disponible pour l'équipe pour atteindre les objectifs. Je ne suis pas un individualiste, je pense à faire les meilleures choses possibles pour l'Inter, je suis content de la victoire et continuons comme ça. Il y a de la satisfaction avec la victoire de l'équipe! Aujourd'hui je pense qu'on a mérité de gagner un match très difficile. Il faut continuer comme ça en championnat aussi et ensuite jouer de la meilleure façon possible le match retour là-bas. Nous voulions beaucoup cette victoire. Nous sommes désolés de ne pas avoir marqué le 2-0 mais nous devons nous réjouir de ce résultat face à une équipe difficile." "Les moments clés ce soir ? Les deux arrêts d'Onana. Ce soir, André a fait un excellent match ! Pareil pour nous qui sommes venus en tant que remplaçant. Nous sommes la même équipe après nos entrées, il n'y a pas de différence entre les titulaires et les réservistes. Il faut être satisfait de ce résultat. Nous avons abordé le match avec une grande intelligence tactique alors que ce sera très difficile là-bas. Ils ont un grand stade et de grands supporters mais nous arriverons certainement préparés." "Le but? Barella a fait un centre de grande qualité, nous les attaquants devons toujours être prêts. Je dois remercier Nicolò pour cet excellent centre. Si je dois aller sur le terrain avec quelqu'un pour mettre la misère à mes adversaires, j'y vais avec lui, c'est le premier qui me motive à aller plus haut à chaque entraînement. Il sait faire la différence et a les caractéristiques d'un grand milieu de terrain moderne." Traduction alex_j via FCInterNews.- 1 commentaire
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Ex Inter : "A la saint Valentin, Antonio Conte de retour au San Siro"
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Un retour à la saint Valentin au San Siro, celui d'Antonio Conte. Lui qui, avec le match aller de son Tottenham contre Milan, revient pour la première fois au Meazza après ce lointain 23 mai 2021. Voici le récit publié dans Sportweek qui se charge de raconter le come-back de Sieur Conte. "C'était un jour de fête. Et quelle fête. Dernière journée de championnat, Inter-Udinese termine avec un 5-1 où tout le monde a marqué. Mais le Scudetto était déjà gagné à 4 journées de la fin, après un tournoi dominé de la tête et des épaules. Son équipe était un vrai rouleau compresseur, féroce, puissant, agressif, beau, sans aucune faiblesse. La pazza Inter d'hier s'était transformée en Inter concrète, organisée, obsessionnellement attentive aux moindres détails, tout comme son entraîneur, tout ça en deux ans." "La fête avant les honneurs est arrivée quelques jours plus tard . Mais ce jour-là, Antonio a célébré, sur le terrain avec ses joueurs, a pris les photos habituelles avec les managers et le président, a sauté avec les fans… Il profitait de son dernier match glorieux par ce chaud après-midi. Fatigué, car le travail fourni avait été énorme, content du résultat final, mais aigri car il savait déjà et Zhang, Marotta et Ausilio savaient que l'aventure Nerazzurri s'arrêterait là. Les changements, la réduction des effectifs et la nécessité de vendre certains joueurs l'ont fait se sentir trahi et non conforme aux vues de l'entreprise. Trop d'inconnues et, selon Antonio, trop de plans non réalisés pour croire encore à ce processus de croissance qui lui a été présenté pour le convaincre d'accepter son poste à l'Inter, et qui aurait dû conduire le club à rivaliser avec les meilleurs clubs européens." "Des sentiments qui, soutenus par la nature gagnante qui a constamment besoin de relever les défis, ont conduit à la séparation. Avec le recul, s'ils avaient accepté un compromis, aujourd'hui, l'Inter aurait probablement un Scudetto de plus et se battrait pour le troisième d'affilée, que ce soit vrai ou non. Quiconque connaît Antonio sait qu'il n'y avait pas carrefour, la route était à sens unique. Il n'y avait plus les fondations et la confiance pour continuer." "Inutile de regarder en arrière, pour lui mais aussi pour l'Inter. Conte a apporté et laissé une culture du travail, une rage de compétition, un souci de chaque aspect managérial qui manquait depuis un certain temps, et les résultats se voient et se font toujours vu. En fait, l'équipe d'Inzaghi porte toujours en elle une influence difficile à cacher. Mais un an et neuf mois après ce triomphe à Milan, nous souhaitons la bienvenue à Conte de retour à Milan. Cependant, en tant que manager de Tottenham là où il a fait un autre miracle en reprenant une pige en novembre 2021 une équipe épuisée, essoufflée et flottant au milieu du tableau et l'a amenée à la quatrième place." "Inutile de préciser que la double confrontation avec Milan est un moment crucial de la saison et très attendu dans le milieu anglais. Mais également en Italie, même si la crainte de cette confrontation du côté du Milan est un peu plus grande qu'à Londres. Une double confrontation tout peut arriver, il connaît trop bien notre football, nos joueurs, nos équipes, celui de Pioli notamment. Dans les derbies milanais, les Leccese ont affronté Pioli à quatre reprises entre le championnat et la Coupe d'Italie, s'imposant trois fois, avec 10 buts marqués et 5 encaissés. Des chiffres qui ne le laissent pas calme, ce sentiment qui lui est inconnu, mais le place dans un avantage sur ses anciens cousins. Pourtant, le cadeau que les supporters et le club de Levy aimeraient recevoir en est un autre et n'a pas grand-chose à voir avec Milan et la ville de Milan elle-même : le renouvellement du contrat expirant en juin. Mais même dans ce cas tout reste à voir, rien n'est exclu : rester à Londres, changer de club, faire une pause. A la porte il y a beaucoup d'entreprises européennes, et les grandes italiennes qui pensent à son retour. Il n'y a pas de meilleur entraîneur pour recréer un cycle gagnant." Traduction alex_j via FCInterNews.- 7 commentaires
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Selon le très sérieux Daily Mail, Tottenham et Manchester United seraient sur Alessandro Bastoni. Extrait. L'Inter Milan risque de changer quatre de ses cinq arrières avant la saison 2023-2024. La possibilité de reconstruire une équipe sans les leaders en défense qui ont guidé le club vers son Scudetto historique sous Antonio Conte serait un sérieux défi pour Simone Inzaghi. Milan Skriniar et Stefan de Vrij sont des joueurs fondamentaux en termes de force physique et technique. Mais Alessandro Bastoni est le défenseur qui mérite plus d'attention car l'Inter ne peut pas laisser filer le futur leader de l'équipe nationale italienne. Le joueur de 23 ans pourrait désormais devenir un problème pour l'Inter alors qu'elle retarde la signature d'un nouveau contrat, selon Tuttosport. L'Inter craint d'avoir un autre cas Skriniar cette année et l'Inter veut essayer de résoudre sa situation contractuelle dès que possible. Il est très probable que si un accord ne peut être trouvé d'ici la fin de cette saison, la vente du joueur très apprécié par Conte et Manchester United sera envisagée. Le renouvellement de Bastoni apparaîtrait simple, en raison des souhaits du joueur et du club. Mais il y a un accord économique à trouver qui est loin d'être simple. La situation est en constante évolution et beaucoup de choses pourraient encore changer avant l'été. Bastoni veut devenir une icône de l'Inter, une équipe dont il est fan, mais ses revendications salariales d'environ 5 millions d'euros par an n'ont pas encore été acceptées. Beppe Marotta est prêt à négocier, mais le club veut encore réduire sa masse salariale, plombée par le renouvellement du contrat de Marcelo Brozovic. A cette situation s'ajoutent les offres pour Denzel Dumfries qui est actuellement le seul joueur considéré comme sacrifiable par l'Inter. En cas de vente de Dumfries, les Nerazzurri pourraient perdre toute leur défense de départ en un été. Daily Mail et Tuttosport... comment dire Traduction alex_j via Daily Mail
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Javier Zanetti est l'invité spécial de Supertele, une émission DAZN animée par Pierluigi Pardo. La conversation avec le journaliste commence évidemment par le derby remporté par les Nerazzurri face à Milan puis évolue sur d'autres sujets. À quel point une victoire dans le derby change votre lundi ? "C'est un lundi différent, gagner un derby a une saveur particulière, surtout parce que nous l'avons gagné à juste titre." Y a-t-il un mystère à l'Inter ? Dans certains matchs, c'est très fort, mais pour d'autres, c'est faible. "Nous aurions certainement pu avoir quelques points de plus mais cela fait partie d'un chemin que cette équipe suit avec une certaine continuité. Un drop peut se produire avec autant de matches serrés. Je vois une équipe qui est protagoniste, qui veut toujours jouer le match et qui sait réagir. L'Inter, de la première année d'Antonio (Conte, ndlr), a toujours eu une continuité ces quatre dernières saisons. Je suis surpris quand je vois des critiques très exagérées envers une équipe qui fait les choses de la meilleure façon possible. Nous pouvons nous améliorer, nous en sommes conscients, par contre nous disons que Naples fait quelque chose d'extraordinaire." Vous pensez à Spalletti ? "Il y a beaucoup de Luciano dans ce Napoli. Il a fait un excellent travail à l'Inter, c'est un entraîneur qui laisse sa marque dans les équipes." Terminer deuxième vaut-il un Scudetto pour vous ? "Nous devons faire de notre mieux jusqu'à la fin. Nous avons la Ligue des champions, la demi-finale de la Coppa Italia contre la Juve, nous devrons faire de notre mieux." Qui choisirez-vous comme symbole de l'Inter cette saison ? "Je vais demander à Darmian son maillot à mettre dans mon musée. C'est un joueur silencieux, toujours au service de l'équipe. Il donne toujours du sien, c'est un gars sérieux et professionnel. C'est quelqu'un qui fait la différence dans n'importe quel groupe." L'Inter vaut Naples, quelle est la raison de cet écart ? "C'est la continuité et il y a le regret d'avoir laissé des points en cours de route. Le championnat est compétitif, il y a beaucoup de matches. Naples, donc, ne s'est pas trompé, les battre a été très dur pour nous." Vous attendiez-vous à un Milan aussi prudent hier ? "J'ai entendu la nouvelle avant le match, puis ce changement s'est produit pendant le match. Mais il y a aussi les mérites de l'Inter qui a pu voir, dès la première minute, qu'elle pouvait gagner le match. Milan est toujours une équipe à respecter, puis il y a des moments. Je connais Pioli, Maldini, ils ont la personnalité pour s'en sortir." Lautaro peut-il être le vrai capitaine? "Honnêtement, je suis très content de sa carrière à l'Inter. Sa performance ne cesse de croître. Maintenant, c'est aussi une confirmation pour l'équipe nationale argentine. Il est important pour l'Inter, et il le montre à chaque fois qu'il entre sur le terrain. C'est un mec généreux, il ne va pas perdre. Hier il a dit que le derby milanais se vit comme en Argentine, il a raison car l'environnement est très chaud." La situation de Skriniar, aurait-elle pu être mieux gérée ? "Je ne sais pas. La chose est simple : nous avons proposé le renouvellement dans nos possibilités (économique, ndlr), il l'a évalué et a dit non. Ça va, nous devons accepter sa décision. Je pense que le plus important, c'était la réponse de tout le milieu. Il va falloir mettre le joueur dans la situation de donner le meilleur de lui-même. L'important c'est le bien du club, il a été le premier à le comprendre. L'inter va continuer, Skriniar va porter un autre maillot à partir de juillet et nous lui souhaitons le meilleur. Il est essentiel pour nous qu'il se comporte comme hier." Pourquoi avez-vous décidé de retirer le brassard à Skriniar ? "C'est un thème avant tout lié à l'avenir, Marotta a été clair. Nous en avons tous discuté et nous avons convenu que c'était le meilleur choix, un choix qu'il a compris de suite. L'Inter va de l'avant. Hier, le capitaine était Lautaro, qui est le présent et l'avenir." Quel est le joueur le plus intéressant de la Serie A ? "En regardant surtout Napoli, je dis qu'Osimhen se révèle être un grand attaquant, il est important pour son équipe." Souvenirs de la coupe du monde. "C'est impossible de rester sobre en tant que champion du monde (rires, ndlr). J'ai vécu la Coupe du monde avec de grands sentiments pour mon pays, pouvoir assister au tournoi avec ma famille m'a permis de célébrer chaque instant. Après la finale, je me suis senti heureux parce que nous attendions depuis 1986. Ceux qui aiment le football attendaient que Messi devienne champion du monde, c'est ce que j'ai entendu des fans au Qatar." Messi ou Maradona ? "Au-delà de ce qu'il a fait sur le terrain, Diego avait un charisme incroyable. On aime Messi parce que c'est comme ça qu'il se montre. En tant qu'Argentin, je suis ravi d'avoir eu Diego qui restera unique." L'histoire Messi-Inter était-elle vraie ? "En raison de la relation que nous entretenons, nous avons parlé quand il y avait cette possibilité. J'ai été surpris quand il a dit au revoir à Barcelone. Mais de manière réaliste, nous ne pouvons pas rivaliser avec des clubs comme le PSG ou les clubs anglais." Comment voyez-vous Mourinho à Rome ? "Êtes-vous surpris par ce Mourinho ? José arrive toujours à donner quelque chose d'important à ses garçons, il les stimule pour leur bien." Zaniolo va quitter la Serie A. "Je suis désolé parce que ce n'est pas bon pour lui de quitter l'Italie. Ce sont des choix qu'il faut respecter. Je ne sais pas ce qui s'est passé au niveau environnemental, mais il n'y a pas de sérénité autour de lui." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Beppe Marotta : "Skriniar a fait un choix et nous devons le respecter !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Quelques minutes après la fermeture du mercato d'hiver, Beppe Marotta s'arrête devant les caméras de Sport Mediaset pour commenter les sujets brûlants des Nerazzurri. "Défendre ce trophée est très important. Pour son histoire, ce club doit participer et être un protagoniste de toutes les compétitions. Par conséquent ce soir nous avons un rendez-vous important : nous sommes champions en titre et nous devons honorer cela tournoi de la meilleure des manières." Lukaku est de retour dans le onze de départ, à quel point est-il fondamental que le vrai Lukaku revienne également en vue de l'avenir ? "Le meilleur entraînement, c'est le match. Il n'est pas à 100% mais du point de vue du professionnalisme, de l'engagement et de la motivation, il est inattaquable. Ce sont des situations que nous avons évaluées et qui conduisent à une évaluation positive du garçon. L'espoir est que Lukaku, nous le savons tous, peut revenir." Skriniar reste jusqu'en juin. Qu'est-il arrivé? L'offre adéquate du PSG n'est-elle pas arrivée ? "Je ne veux pas trop entrer dans les détails, je reste large. C'est normal que le monde du football change fréquemment d'une année sur l'autre. On n'imagine plus les étendards dans les clubs, c'est comme ça car la dynamique dans laquelle les joueurs changent fréquemment de maillot est rapide. Il faut s'habituer à ce type de football qui est un peu loin du romantisme fait de sentiments. Ce n'est certes pas ce que nous aimons ni ce que nos supporters aiment, mais nous avons affaire à professionnels. Skriniar a fait un choix qui est dans son droit et nous avons le devoir de le respecter. Nous sommes certains que du haut de son professionnalisme et du sérieux dont il a toujours fait preuve, il saura démontrer avec des faits, dans ces mois jusqu'à la fin de la saison, être à la hauteur de son rôle et être dans l'armée avec le maillot qu'il porte." Traduction alex_j via FCIntyerNews.- 10 commentaires
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Écrivant dans sa chronique pour SportItalia, Alfredo Pedulla critique Steven Zhang pour la blague des 5€ et lui rappelle deux ou trois choses. Extraits. L'inter c'est l'inter: expliquons bien pour ceux qui n'ont pas compris. Hé oui, parmi ces messieurs il y a sans doute Steven Zhang qui aurait pu s'épargner de la fameuse la blague des 5€ pour Piero Ausilio concernant le mercato d'hiver. La définir comme étant de mauvais goût est bien trop peu, tout simplement parce que cela n'aurait pas dû être fait. Mais c'était un autre climat goliardique, et ne soyons pas les professeurs ou d'autres moralistes droits dans nos bottes. Oh non, c'est bien le problème! Personne ne veut se déguiser en moraliste, mais plutôt rappeler au jeune Zhang que l'Inter est l'Inter. Personne n'imagine qu'il a oublié l'histoire des Nerazzurri. En effet, il la connaît probablement par cœur et pourrait la réciter comme le poème de bonnes intentions pour le dernier jour de l'année ou le premier jour de la nouvelle, c'est la même chose. Et pour cette raison même, il aurait dû éviter cette blague car on ne plaisante pas avec des choses sérieuses. Si le jeune Zhang était d'humeur à plaisanter, on pourrait organiser un "cabaret vintage" à condition de préciser d'abord que ce serait de la pure connerie. A la place de Zhang, il n'y aurait eu qu'une chose à faire, à part 5€... Depuis l'été dernier, il avait dit, sans mot dire, que Skriniar ne partirait pas et que 50 M€ auraient été peu pour un transfert au Paris Saint-Germain. Qu'attendaient justement les fans de lui qui doivent vivre chaque mercato en se mangeant les ongles ? Une belle offre en Septembre, quelques jours après la fermeture du mercato d'été. Une offre "illimitée", sortant du plafond des 6 M€ et atteignant celui des 10 M€ par saison. Quelle auraient été l'objection que les différents Brozovic et associés se seraient rebellés ? Dans ce cas c'était une situation particulière, personne n'aurait pu se plaindre! Maintenant, nous souhaitons que Zhang ait la fumée blanche dans quelques semaines, sinon il serait indéfendable. Et personne ne pouvait blâmer Marotta ou Ausilio, pour une raison qui est claire même pour les enfants de deux ans. La voici, les hommes du mercato, peut-être déguisés en directeurs généraux, n'ont pas à leur donner l'argent et à équilibrer le budget quand ce n'est pas assez car c'est la propriété qui doit porter la charge sur ses épaules, sans rechigner. Donc même 10 M€ par saison, s'ils étaient nécessaires pour Skriniar après le non au PSG cet été, c'est une somme que la propriété aurait dû allouer. Devant composer avec le serviteur, mille problèmes à chaque séance, l'Inter a perdu Bremer et dit au revoir à Dybala, des erreurs impardonnables déjà. Maintenant il faut éviter de faire un brelan ou un carré, surtout assez avec cette histoire que chaque mercato soit la ritournelle d'un gros bonnet à sacrifier. C'est assez clair quand il faut le faire pendant quatre ou cinq mercato, mais pas toujours. L'inter c'est l'inter : comment trouver la continuité si le jouet doit toujours être démonté et remonté ? Zhang évite de demander des miracles aux ventes et acquisitions, à Marotta plus Ausilio, tout le temps! Et donne les 5€ en pourboire au bar, en supposant que ça suffise! Moralité: comme le chantait Nolwenn Leroy, cassé... Traduction alex_j via Sempreinter et sportitalia.com.
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Beppe Marotta a pris la parole lors de la présentation du nouveau livre de Marco Bellinazzo, "Les nouvelles guerres du football". Parmi les sujets abordés, la possibilité de trouver de nouveaux formats au niveau européen. "La Super League a pris un départ embryonnaire, plusieurs équipes de Premier League se retirant immédiatement. Ce n'est rien d'autre qu'un cri d'alarme. Aujourd'hui avec trois entreprises restantes avec des concepts clairs : la recherche de la durabilité, avant tout, mais aussi de la compétitivité. Cette Super League est née dans un modèle européen où à part la Premier League tous sont en difficulté. L'exception notable est le modèle allemand qui a des règles très particulières en matière de propriété : il y a une union forte entre la population et les clubs de football. Ce sont des modèles qui tiennent encore, alors que l'Italie, l'Espagne et la France sont en grande difficulté. Tout tourne autour du spectacle : s'il est pauvre, vous n'allez pas le voir, c'est aussi vrai dans le football qu'au cinéma ou au théâtre. Vous payez le ticket s'il y a une implication affective et émotive : la foi en l'équipe est un dogme, le vrai fan vous suit même si vous allez en C, mais la plupart des fans sont des fans de deuxième niveau, c'est-à-dire ceux qui veulent participer au spectacle. Nous devons rechercher la durabilité et un modèle d'organisation dans lequel il peut également y avoir des investissements étrangers, ce qui est nécessaire. Mais si les fonds arrivent c'est qu'ils rapportent du cash : ça veut dire qu'on n'en a pas aujourd'hui." "Il faut se souvenir de ce qu'est l'équipe de football. C'est une entreprise privée d'utilité publique. Aucun client fait pression sur les fabriques de bouteilles d'eau ou de biscuits. Dans le football, nous sommes soumis à des procès tous les dimanches. Et ils conduisent à deux situations : au fil des années, dans les années 1980 et 1990, de nombreuses propriétés sont tombées faute de pouvoir résister à la pression des fans et ont vendu une grande partie de leurs actifs pour suivre le rythme. Aujourd'hui, si nous prenons une centaine de fans et leur demandons s'ils veulent un club en bonne situation financière mais cinquième-sixième ou un gagnant avec de gros problèmes de budget, 90 sur 100 prendrait le dernier. Cela fait partie d'un processus culturel pour lequel nous ne sommes pas prêts. Nous n'avons pas la culture de la défaite car pour nous c'est un drame alors ce n'est pas comme ça à l'étranger. Ce n'est pas un hasard si en Italie les équipes avec le chiffre d'affaires le plus élevé ont gagné ces dernières années." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Coup de gueule FCInterNews : "Ils l'appelaient la Ligue Marotta"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Alors que la Coupe du Monde commence le Dimanche 20 Novembre 2022, FCInterNews par l'intermédiaire d'Alessandro Cavasinni pousse un coup de gueule concernant le traitement médiatique de l'Inter, tout en soulignant que la direction interiste a sa part de responsabilité. Heureusement que maintenant nous entrons en hibernation et nous ne revoyons, du moins en ce qui concerne le terrain, qu'au début de Janvier 2023. Parce que franchement, nous commencions déjà à en avoir assez de ce cirque médiatique habituel toujours sur le pied de guerre pied quand il s'agit de l'Inter et puis soudainement en paix quand, d'un autre côté, il y aurait d'autres équipes à taper dessus. Le dernier exemple en date c'est le fameux match de Sozza lors de Milan-Fiorentina (celui de l'Inter-Roma) pas du tout correctement assisté par Fabbri à la VAR. On sortait d'une journée de championnat en milieu de semaine où un entraîneur, Thiago Motta pour ne pas le nommé, avait focalisé l'après-match d'un match perdu 6-1 sur un épisode douteux qui a découlé sur le 2-1. Un éclat recueilli et relancé bien au-delà du bon goût au regard du déroulement du match au Meazza. Et ce qui s'est passé après Fiorentina-Inter est encore clairement gravé dans les mémoires, avec un tas de polémiques disproportionnées et d'épisodes d'arbitrage passés au crible pendant des jours et des jours, comme s'ls n'avaient que ça à faire. Au-delà du fond, la forme impressionne et interroge. Hier et aujourd'hui, après le Milan-Fiorentina 2-1, rien de cela! Ceux qui s'indignaient du coup de Dzeko ou du presque rouge de Dimarco, ont cette fois décidé de faire un minute de silence, sans déclencher aucune discussion sur l'arbitrage et sans craindre on ne sait quels complots. C'est aussi la faute à l'Inter qui continue de sous-estimer l'impact de la communication en l'an de grâce 2022, enfin presque 2023. La perception conditionne et n'est absolument pas naïve du tout. Elle se répercute chez les protagonistes et chez les supporters, elle crée des spirales émotionnelles capables de modifier même les événements sur le terrain. Une défense saine serait souhaitable, bien sûr, mais il manque évidemment quelque chose de ce point de vue dans les salles de Viale della Liberazione. Pourtant ils l'appelaient "Ligue Marotta". Traduction alex_j via FCInterNews.- 4 commentaires
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L'Inter a encore du chemin à parcourir avant de conclure un accord avec le défenseur Milan Skriniar sur une prolongation de contrat, mais il y a des raisons d'être optimiste. Selon Matteo Barzaghi, spécialiste du mercato de Sky Sport Italia, les Nerazzurri sont optimistes quant à la possibilité d'assurer l'avenir du joueur de 27 ans avec un nouveau contrat. Les négociations sont désormais bien engagées entre l'Inter et les représentants de Skriniar. Les Nerazzurri ayant fait de la signature d'un nouveau contrat leur priorité. Pour l'instant, il n'y a toujours pas d'accord formel, et d'autres discussions devront avoir lieu. Cependant, selon Barzaghi, le club se sent d'humeur confiante quant à la possibilité de conclure les négociations sur un nouveau contrat qui lui permettrait de repousser les intentions du Paris Saint-Germain de signer le Slovaque. "Si vous écoutez les mots de Beppe Marotta, il y a deux considérations à prendre en compte - il est optimiste et a même fixé une date limite, donc clairement l'Inter est confiant", a-t-il noté. "Deuxièmement, si le club parvient à le faire, ce serait un grand accomplissement compte tenu du fait que le PSG est toujours très intéressé après un été chargé." "Il y a encore du travail à faire", a noté Barzaghi, "mais il y a de l'optimisme". ®Oxyred – Internazionale.fr via SempreInter
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La Gazzetta dello Sport revient sur le triste après-match entre la Fiorentina vs Inter où les membres VIP florentins ont cru qu'ils étaient à la Coupe du Monde et ne se sont pas illustré par leur intelligence ni leur comportement. La Gazzetta revient sur les insultes proférées à l’encontre des officiels de l'Inter. "Les évènements de Fiorentina-Inter ne se sont pas arrêtés au coup de sifflet final. En effet, juste après, un nouveau match commençait et bien moins spectaculaire et beau que celui vu sur le terrain. Un match caractérisé par des insultes que Joe Barone et d'autres 'VIP' auraient adressées aux cadres Nerazzurri. En effet, 'Mafiosi' a été le mot entendu à plusieurs reprises et distinctement par Zhang, Marotta et Ausilio alors qu'ils quittaient la tribune VIP. Cependant, d'après le communiqué officiel de la Viola, ils demandent des excuses à l'Inter et à la Digos d’identifier les agresseurs du supporter interiste frappé d'un coup de poing tout en criant 'jette-le par terre'". La Gazzetta a ensuite commenté la position officielle de l'Inter. "Le président Zhang a été abasourdi par les insultes et les menaces qu'il a reçues lorsque, escorté par les hommes de sécurité du club, il a quitté les tribunes. Des dizaines lui ont crié dessus pour des délits de toutes sortes. Il a vécu en Italie pendant 6 ans et a étudié aux États-Unis, mais pour lui et comme d’autres, ce sont des scènes inconcevables. Dans le passé à Florence, cette triste scène était déjà arrivée à Adriano Galliani, lui aussi frappé d'une pièce de monnaie à la tête, à Andrea Agnelli, Pavel Nedved, Gian Piero Gasperini, Carlo Ancelotti et Luciano Spalletti." La Gazzetta explique qu’il ne s’est rien passé dans les vestiaires.. "Les infractions près du balcon de Franchi n'ont pas eu de suite dans le vestiaire car la porte de la salle des Nerazzurri est restée fermée. Barone a erré dans la zone et la tension était palpable (le parquet fédéral a-t-il noté quelque chose?). Mais il n'y a pas eu de nouvelle confrontation avec Marotta qui, en raison des connaissances au sein de la Lega, était sa cible principale. Pendant ce temps, la Fiorentina demande des excuses qui ne viendront pas car l'Inter se concentre uniquement sur le match de mercredi en Champions League. Quant à la vidéo de l'attaque contre le fan des Nerazzurri, la Digos a acquis les images et procède aujourd'hui à l'identification des personnes impliquées." Pour des détails, Stefano Agresti, journaliste, a commenté à La Gazzetta dello Sport ce qui s'est passé au Franchi samedi soir. "Le stade de la Fiorentina devient un cas. En effet, la tribune de ce stade, c'est là que depuis des années maintenant des incidents graves voire pire se sont produits. Des insultes continues aux entraîneurs adverses et aux managers des autres équipes, assis parmi la foule, menaces pour les supporters rivaux. Juste pour donner une dimension de ce qui se passe : ces pseudo-fans ont non seulement fait perdre patience aux chaleureux Spalletti et Gasperini, mais aussi au flegmatique Ancelotti. Presque un record." "Quand il s'agit d'applaudir pour condamner l’autre, tout le monde s'en sort dans les curvae car c'est plus facile. En réalité, à Florence, les pires épisodes se produisent presque toujours dans la tribune garnie par ceux qui peuvent s'offrir les billets les plus chers chers. Et la situation s'est aggravée depuis que le club est aux mains de Commisso qui ne fait rien pour apaiser les esprits autour de lui. Au contraire. Même si cela ternit l'image d'une ville sérieuse et belle, berceau et modèle de civilisation." "L'ennui, c'est que Commisso ne semble pas se rendre compte de l’absurdité de certaines positions. Un exemple. A Bergame, le 2 octobre, les fans ont offensé Commisso pour ses origines calabraises. Un épisode à condamner, bien sûr. Mais pour lequel le DG Barone a même invoqué l'intervention du gouvernement. Oui ! Le gouvernement ! Et pourquoi la même idée brillante n'a-t-elle pas été proposée lorsque, le 28 août, la Fiorentina a été condamnée à une amende pour des chants anti-sud contre les Napolitains ? En bref, insulte bien tant que tu ne le fais pas contre Commisso." Pour terminer, Maurizio Auriemma, questeur de Florence, est revenu sur l'attentat subi par un supporter de l'Inter dans la tribune. Selon ce qui a été appris, l’agresseur identifié est un homme âgé de 56 ans. "Un match de football ne peut être le prétexte pour calmer ses propres tensions et pulsions au sein même du stade. Samedi soir, le personnel est intervenu promptement. L'auteur de ce geste a été identifié et sera dénoncé et visé par des mesures appropriées. Les mesures répressives ou administratives n'aident pas toujours à résoudre le problème. C'est une question de conscience, de participation. Concernant l’absence de gestes barrière, le problème est résolu. Nous voulons aller vers une participation au stade sans gestes barrière. Cependant, je sais que le nouveau projet de restructuration de Franchi est remis en question avec les instances compétentes, de la municipalité au club, jusqu'à l'autorité de sécurité publique et la Serie A." Autrement dit, cet hurluberlu pourra recommencer. Un mot convient : pathétique ! Traduction alex_j via FCInter1908 et FCInterNews.
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Fin de match agitée entre la Fiorentina et l'Inter. Voici les différentes versions des faits. Fin de match très agitée, semble-t-il, même lorsque l'arbitre Valeri renvoie définitivement les deux équipes aux vestiaires. Selon des informations de certains cadres de l'Inter, le président de la Fiorentina Rocco Commisso se serait jeté contre la porte des vestiaires où il y aurait également eu une altercation entre les personnes présentes. Situation catégoriquement démentie par la Fiorentina via l'ANSA. Interrogée sur l'incident, elle a souligné qu'il ne s'est absolument rien passé de ce qui avait été diffusé auparavant et qu'il n'y a eu aucune intervention du président Rocco Commisso ou d'un autre responsable. La version sur Firenzeviola.it: "La polémique n'a pas manqué dans les tribunes des Franchi à la fin du match entre la Fiorentina et l'Inter. Après le but des Nerazzurri dans la dernière seconde, en effet, il y a eu une mésentente, à quelques mètres de distance, entre le directeur général de la Viola, Joe Barone, et le directeur de l'Inter, Beppe Marotta. Toni s'est énervé entre les deux avec le manager de la Fiorentina qui n'a pas du tout bien pris le fait que la faute de Dzeko sur Milenkovic n'est pas été sifflée." La version de Franco Vanni de la Repubblica: "Écoutez tout le monde, voici la reconstitution la plus réaliste : sur le but du 3-4, Barone et d'autres managers de la Viola explosent en tribunes contre Marotta et les cadres de l'Inter. Commisso a 'frappé énergiquement' à la porte qui sépare la tribune des vestiaires, demandant qu'elle soit ouverte. La Digos est au courant maintenant." Voici le communiqué officiel de la Fiorentina: "L'ACF Fiorentina dément catégoriquement toutes les rumeurs qu'ils attribuent au président Commisso ou à d'autres dirigeants les comportements violents survenus à la fin du match. À la fin du match, le président Commisso est simplement descendu dans le vestiaire de la Fiorentina pour féliciter l'entraîneur et les garçons pour leur excellente performance. Le président Rocco Commisso attend des excuses officielles de l'Inter et de son président Steven Zhang et de ceux qui ont répandu cette fausse nouvelle, rétablissant la vérité dès que possible." Affaire à suivre! Traduction alex_j via FCInterNews.
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En marge du Grand Gala Football AIC, Beppe Marotta s'est arrêté pour répondre aux journalistes présents. Championnat anormal. "Certes, c'est la première fois que ce genre de phénomène se produit avec la Coupe du monde. Il faut comprendre et bien interpréter les choses. Il faut voir quelles formations vont pouvoir émerger." Nous aurons besoin d'un super retour de l'Inter. "Définitivement oui. L'important est de boucler le deuxième Dimanche de Novembre tout en restant collé au groupe de tête. En deuxième partie on va faire ressortir le meilleur." Vous attendiez-vous à une Inter comme celle-ci en Europe ? "Vous savez que la Ligue des champions est un tournoi, un seul match compte beaucoup. Nous avons été surpris par la double performance contre Barcelone car nous ne pouvions pas imaginer marquer 4 points contre une équipe aussi forte." L'Inter n'a pas eu Lukaku jusqu'à présent. "Comme vous le savez, le football est un sport d'équipe et vous ne devez jamais compter sur un seul joueur." Le secret de l'Inter après un début difficile. "En réalité, c'est comme si on avait commencé avec un handicap invisible qu'on n'arrivait pas à comprendre. Ensuite, avec la maturité de l'équipe et le professionnalisme du coach, on a pu retrouver de la constance et de la motivation. L'équipe qui s'est amusée et gagné tant de points la saison passée est de retour." Le club s'est-il senti agacé par les rumeurs sur le manager pendant cette période de crise ? "On a l'habitude de recevoir des critiques, ça fait partie du jeu. Du président aux managers, on n'a jamais imaginé une seule seconde une autre alternative. Je n'ai jamais changé d'entraîneur en cours de saison en 27 ans en tant que manager. Il y avait pas du tout les conditions. Ce sont des preuves de la maturité de la classe exécutive." Inter à vendre, que pouvez-vous nous dire ? "Ce sont des choses qui me passent par dessus la tête. L'établissement a fait son devoir. Nous sommes une entreprise qui a honoré ses obligations contractuelles jusqu'au bout." Traduction alex_j via FCInterNews
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Egle Patane : "Critique acerbe de la raison inzagienne"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Egle Patane éditorialiste à FCInterNews a écrit une chronique assez acerbe sur la philosophie d'Inzaghi. "La meilleure Inter de la saison mais c'est comme ça pour l'instant, on est mal payé pendant nos périodes." Paroles et musique de Simone Inzaghi qui dit encore une fois, de concert avec son travail, quelque chose de juste, quelque chose de moins. Face à la Roma, l'Inter joue sans aucun doute un plus que bon match, notamment par rapport aux matches précédents. Mais cela dans les quatre-vingt-dix minutes ne suffit pas pour ramener les trois points vitaux pour le classement et surtout pour le moral. Film déjà vu et revu que, à en juger par la tendance, nous serons obligés de continuer à voir et revoir. Un film d'horreur sans happy end et sans même la moindre once de suspense : des matches à l'épilogue déjà écrit qui ne laissent aucune place à l'imagination et aux espoirs, ceux-ci désormais mis de côté par les fans mais, encore plus grave, par les protagonistes eux-mêmes. Le sentiment sans équivoque que véhicule cette Inter n'est qu'un et sans discussion. L'abandon et l'impuissance sont les traits somatiques d'une équipe qui semble désormais à des années-lumière de ce groupe vu jusqu'à la fin de la saison dernière. Pas dans le juste tempo et désorientée, l'Inter d'Inzaghi 2.0 semble être la mauvaise copie de celle qui se plaisait à s'amuser jusqu'au derby de Février dernier. Il ne reste que peu de ou aucun plaisir, sur et en dehors du terrain et les angoisses concernant l'avenir sont désormais tangibles et partageables et plus que de parler d'anxiétés infondées et de "syndrome de pessimisme", parler de prédictions inquiétantes sur l'avenir n'est pas un crime, loin à partir de cela. Au moins huit points du leader Napoli et une septième place qui pourrait changer avec les matchs d'aujourd'hui : en cas de victoire de la Juventus sur Bologne, les équipes devant seraient de sept et si le championnat n'est pas bon à ce jour, même la qualification en Ligue des Champions ou en Conférence pourrait être hors de portée. Il est certain que le temps joue encore du côté d'Inzaghi et de l'équipe, mais l'éventuelle défaite (sur ce point probable) contre Barcelone sonnerait encore un autre résultat négatif qui ne laisserait aucune issue à Inzaghi. Selon des collègues de Sportmediaset, l'avenir d'Inzaghi est toujours sûr : pas de rebondissement après le KO d'hier, Marotta confirme sa confiance en l'entraîneur. Une confiance que la direction et l'entreprise continuent de réaffirmer mais qui s'essouffle, lentement mais surement. En fait, il est difficile de penser que toute l'équipe est devenue subitement un flop et à ce point inefficace : sur le papier, les Nerazzurri sont toujours parmi les plus forts de la Serie A, une force qui ne trouve cependant pas de traduction sur le terrain. Comment est-ce possible? La réponse n'est pas unicausale, évidemment, et avec tout le respect que je dois à Simone, il est difficile de ne pas pointer au coach la plus grave des fautes. Le sentiment est celui d'une équipe qui ne trouve plus la motivation et même le plus sollicité de l'été, Milan Skriniar, semble être devenu le clone de son pauvre jumeau. Si avec la Roma le Slovaque s'est rendu coupable de la seule légèreté dans le marquage qui a conduit au 2-1 de Smalling, isolé mais lourd, lors des précédentes sorties il n'a jamais donné l'impression de puissance insurmontable qu'il avait fait jusqu'en mai dernier de lui le digne héritier de Walter Samuel. Skriniar pour n'en citer qu'un, car la liste des déceptions est désormais inépuisable : Barella trop nerveux, Bastoni trop léger et distrait, De Vrij jusqu'à présent à oublier, Brozovic en deçà des attentes et ainsi de suite. L'exception dans la marée haute de la médiocrité des Nerazzurri est Federico Dimarco, et le seul avec Barella (au moins contre la Roma) à tout essayer jusqu'à la dernière goutte de sang et de sueur. Ce n'est pas un hasard si face aux Giallorossi ce sont les Interisti de sang qui ont fait le plus est. Revenons à Inzaghi et au semblant d'égarement et de désorientation qui ne se réduit plus à l'apparence, du moins selon les chiffres. 50 % de défaites atteint jusqu'à présent ne peut être accidentel, et même les moins réfléchis ne peuvent manquer de s'abandonner aux mathématiques : les chiffres parlent d'eux-mêmes et, avec tout le respect que je dois à ceux qui sont désolés de le dire, le clair et net peut être réduit à un seul mot : licenciement. Peu de choses à se mettre sous la dent, avec cinq défaites sur dix matchs disputés le limogeage apparaîtrait, dans toute réalité normale, obligatoire. Même l'espoir (avec un très faible pourcentage) d'une victoire contre les blaugrana pouvait difficilement changer le cours d'un destin qui semblait commencer à se dessiner déjà avec le KO au derby. Toujours les mêmes phrases répétées à chaque diffuseur à la fin du match. L'Inter a effectivement mieux joué que la Roma mais qui, sans bonnes intentions et éclairs, a conduit à 0 point pour le deuxième match consécutif et qui pour des raisons évidentes ne peuvent qu'entrer en conflit avec la définition du "meilleur". A la dose de sentiment de folie s'ajoute la croyance malsaine que "tout tourne mal" en raison d'un destin peu généreux qui complique son chemin. Le devoir payé à "l'épisode minimum" n'est certainement pas une contingence malheureuse d'un destin désagréable, au contraire, un fouillis d'erreurs répétées du joueur et du collectif qui conduisent à d'incroyables bévues qui après cinq défaites le 2 Octobre semblent aberrantes. Il ne reste donc plus qu'à se poser deux questions fondamentales : dans quelle mesure est-il permis de continuer avec cette victimisation non concluante et cette mauvaise habitude non résolue ? Au nom de "on ne peut pas se permettre de payer un double salaire pour un entraîneur" qui a aujourd'hui, et je le dis à contrecœur, épuisé tous les jokers, cela vaut-il vraiment la peine de compromettre un projet de trois ans ? Pour conclure : si une bonne mais inutile Inter est la meilleure de la saison, qu'est-ce qui nous attend désormais ? Je me le demande... Traduction alex_j via FCInternews, "La dura critica della ragione inzaghiana", https://www.fcinternews.it/editoriale/la-dura-critica-della-ragione-inzaghiana-906471.- 6 commentaires
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L'Inter remporte l'ECA Youth Football Award 2022 !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Roberto Samaden , responsable du secteur des jeunes Nerazzurri, s'exprime après avoir reçu le prix ECA Youth Award 2022. "Félicitations à l'Inter pour avoir remporté le prix ECA Youth Football Award 2022" C'est l'annonce faite par l'ECA sur Twitter pour rendre hommage au "Projet de l'Inter pour la formation du secteur jeunesse, visant à apporter aux jeunes joueurs les meilleures solutions pédagogiques ainsi qu'à les sensibiliser sur des sujets délicats et d'actualité." "Le projet concerne les opportunités pour tous les joueurs, hommes et femmes, et pour tout le personnel qui travaille autour d'eux, d'informer et de former sur tout ce qui n'est pas technique La raison est parce qu'autrefois, il était plus facile pour l'entraîneur d'être entraîneur et aussi éducateur. Puis, année après année, tout change. Nous avons pensé qu'il était absolument important de commencer à enseigner et à former des joueurs non seulement sur le terrain mais aussi en dehors du terrain. Nous avons donc commencé à laisser les joueurs vivre dans nos logements. Ils viennent en Italie d'autres pays et régions. Donc, étape par étape, nous devons impliquer les joueurs, tous les adultes et toutes les familles dans ce projet." La note officielle de l'Inter a été publiée. "Reconnaissance internationale importante pour l'Inter : lors de l'assemblée de l'ECA à Istanbul, Alessandro Antonello a reçu l'ECA Youth Football Award, le prix de l'Association des clubs européens qui récompense les clubs qui ont fait preuve d'un engagement exemplaire dans le développement de son secteur jeunesse. Une récompense qui vient récompenser la qualité du Projet Éducatif du Club, le programme lancé par l'Inter en 2017, vivement souhaité par le directeur du Secteur Jeunesse Roberto Samaden et promu, saison après saison, par Giuseppe Marotta . Un projet qui vise à former garçons et filles de la crèche Nerazzurra non seulement d'un point de vue technique et footballistique mais aussi d'un point de vue humain et culturel, impliquant également tous les entraîneurs et les personnes qui travaillent quotidiennement en contact étroit avec notre équipe dans le secteur jeunesse." "À partir des U9 et jusqu'à la Primavera, l'Inter crée des cours dédiés traitant de questions sensibles, en tenant compte de l'âge, du contexte social et culturel. Des questions telles que la protection des mineurs, l'intimidation, la cyberintimidation et la discrimination sont abordées à travers les interventions des professionnels Nerazzurri et de contributeurs externes. Des rencontres en face à face, des discussions, des panels s'ajoutent à la participation à des événements et des démonstrations visant à sensibiliser aux différents enjeux. Un exemple avant tout : les activités du secteur jeunesse lors de la Journée du souvenir, avec des visites, des rencontres et des moments de réflexion sur l'Holocauste." "Toutes les équipes compétitives masculines et féminines, des moins de 14 ans aux moins de 19 ans, sont également impliquées dans une formation animée par les professionnels d'Inter Media House et de l'équipe de communication concernant la sensibilisation au numérique, la bonne utilisation des réseaux sociaux et des différents canaux de communication. Sans oublier la participation active aux réalités sociales du territoire telles que les visites dans les hôpitaux pédiatriques milanais ou dans les établissements de détention pour mineurs. Connaître, gérer les problèmes quotidiens, en dehors du terrain: la mission du Nerazzurri Club porte à l'attention des garçons et des filles, mais aussi de toutes les personnes impliquées dans le personnel, des questions telles que celles de la durabilité, du changement climatique, une bonne nutrition et les perversions sportives." "Dans le cadre du projet éducatif, le Club a inauguré le Suning Youth Center et Inter College, une structure qui accueille des joueurs (des U15 aux U19) d'autres régions d'Italie ou de l'étranger. Un environnement qui offre un parcours éducatif et de formation à 360 °, ainsi que des installations dédiées telles que des salles d'étude, des salles de relaxation et des environnements qui stimulent et facilitent l'intégration et la convivialité." "Allier les aspects techniques à ce type de formation est le grand défi du Projet Educatif de l'Inter : une mission pour le Club, reconnue par l'important prix de l'ECA qui donne crédit à un projet d'une grande importance et qui se poursuivra avec encore plus de dynamisme. et d'enthousiasme." Traduction alex_j via FCInterNews.- 2 commentaires
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L'éditorial d'Alfio Musmarra pour FCinter1908 concernant la situation actuelle de l'Inter. Introduction Rome, Barcelone, Sassuolo, Barcelone, Salernitana et Fiorentina. Ce seront les prochains matches de l'Inter dont la direction attend des réponses concrètes. En effet, le temps des bavardages est révolu. Les analyses ont été et continueront d'être comme elles se doivent car, au final, l'entraîneur ne peut pas être le seul bouc émissaire. Les joueurs doivent prendre leurs propres responsabilités : ne pas faire 3 passes de suite, ne pas marquer, ne pas s'entraider, perdre les adversaires sont des erreurs graves qui ne peuvent être imputées à l'entraîneur. Les responsabilités de l'entraîneur Un discours différent concerne plutôt le manque de condition physique et mentale, le changement de rythme, le brio. Cela peut être attribué au technicien. La confusion tactique, les mauvais changements et les choix. Et dans ce sens, après la trêve, un nouveau braquet sera nécessaire. Fini les compromis, fini les demi-mesures, l'heure est aux choix, même ceux difficiles. Il nous faut une thérapie de choc qui ne peut plus être différée. Aussi parce que la saison reste encore à jouer car il y a encore du temps pour se relancer. Cette équipe a tout pour bien faire. Quel sens cela aurait-il de tout jeter par la fenêtre en changeant d'entraîneur ? Prendre qui alors ? "De l'avis de tous, l'Inter de l'an dernier a offert pendant plusieurs mois le meilleur football de Serie A. La Lazio d'Inzaghi a été la seule équipe (avec le Napoli de Sarri) à mettre des bâtons dans les roues à la Juve alors que les Milanais s'enlisaient à l'arrière, dans l'anonymat." "Il est difficile de penser que tout d'un coup il s'est empêtré et mis les pieds dans le tapis. Mais en ce moment, il donne l'idée de traverser une phase compliquée et d'être entré dans la confusion. C'est une chose de s'entraîner dans la zone de confort des Biancoceleste où il a vécu toute sa carrière. C'en est une autre d'entraîner l'Inter où la pression est énorme et où un demi-pas est vécu comme un drame." Les exigences de la direction "C'est pourquoi Marotta et Ausilio espèrent qu'ensuite Inzaghi démontrera qu'il mérite le banc de l'Inter en mettant du sien, en apportant également quelques changements tactiques. Après tout, le renouvellement à la fin de l'été était un signe de confiance totale. Le très vilipendé Conte, par exemple, dans un moment de difficulté, a adopté la double stratégie avec Brozovic et Eriksen, et à partir de là, il a changé la saison des Nerazzurri. Bien sûr, nous avons aussi besoin d'une condition athlétique qui ne soit plus approximative, avec des gens qui courent, sprintent et se sacrifient jusqu'à la 94e minute. Milan-Napoli était révélateur en ce sens, ce ne peut être qu'un hasard si l'équipe semble empruntée." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Selon un article publié dans Tuttosport Beppe Marotta rencontrera les joueurs cadres avant la trêve internationale, Steven Zhang reviendra à Milan pour assister au match contre la Louve et les directeurs rencontre Inzaghi demain. Beppe Marotta tiendra une réunion en face à face avec certains joueurs clés avant la fin de la trêve internationale. Cela permettra de sonder leurs sentiments alors que l'équipe cherche à inverser cette mauvaise tendance du début de saison. Les Nerazzurri ont une grande tâche devant eux après la trêve internationale alors qu'ils cherchent à se sortir de cette crise naissante après leur défaite face à l'Udinese ce Dimanche. Peu de joueurs cadres de l'équipe ont fait de leur mieux de manière cohérente alors qu'il y a également eu un sentiment d'une baisse du mental et un manque de concentration et de motivation qui a conduit l'équipe à paraître déconnectée sur le terrain. En conséquence, Marotta veut savoir comment sont mentalement Nicolo Barella, Alessandro Bastoni, Marcelo Brozovic et Milan Skriniar avant de se remettre au travail sur le terrain d'entraînement puis dans leur séquence de matches après cette trêve internationale. Steven Zhang sera de retour en Italie pour assister au choc de l'équipe de Serie A contre la Roma. Zhang avait été avec l'équipe pendant une grande partie de la seconde moitié de la saison dernière, interagissant étroitement avec l'équipe, Simone Inzaghi et les directeurs alors qu'ils ratèrent le Scudetto mais remportaient la Supercoppa Italiana et la Coppa Italia. Le président a été absent mais il a l'intention d'être de retour en Italie après la trêve internationale où il rencontrera tout le monde au sein du club. Il sera également présent au Meazza alors que les Nerazzurri affronteront la Roma. Les dirigeants de l'Inter sont toujours derrière Simone Inzaghi mais ils le rencontreront demain à la reprise de l'entraînement dans le but d'établir quel est le plan pour sortir de cette mauvaise passe. En effet, la patience des directeurs de club n'est pas infinie et ils attendent des réponses claires concernant le plan pour remettre la saison sur de bons rails. L'Inter a maintenant eu quelques jours pour réfléchir à sa défaite 3-1 contre l'Udinese, le dernier revers majeur d'une saison qui est assez loin des attentes établies par le club au début de la campagne. Demain, Inzaghi revient pour diriger l'entraînement avec les joueurs qui n'ont pas été appelés dans leur équipe nationale, et les directeurs en profiteront pour le rencontrer en personne et se faire une opinion concernant ses idées à essayer et relancer la saison après la trêve internationale. Traduction alex_j via Sempreinter.
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Inter et ce sentiment d'être revenu dix ans en arrière
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Deux victoires consécutives nous avaient trompés ou avaient créé une illusion, mais l'Udinese nous ramène de vieux problèmes. L'analyse de FcInter1908 complété d'un article publié dans la Repubblica et un interview de Giocondo Martorelli. Dans ce qui était probablement le match à l'extérieur le plus compliqué, l'Inter est sortie avec les os cassés de la Dacia Arena. Les deux victoires contre le Torino et Viktoria Plzen avaient des problèmes cachés que l'équipe d'Inzaghi entretient depuis l'été. L'Udinese a mis à nu les limites et les défauts. Ce qui était autrefois l'une des forces, les ailes, est désormais le maillon faible de cette équipe. Passer de Perisic-Hakimi à Darmian-Dumfries n'est certes pas la faute d'Inzaghi mais ici le problème doit être cherché et résolu en amont. Si quoi que ce soit, la faute de l'entraîneur est la gestion de Robin Gosens. On a du mal à comprendre le choix de l'entraîneur de le laisser sur le banc pendant toutes les 90 minutes et après avoir créé pas mal de confusion sur le terrain. Autant dire que Skriniar a changé de rôle 3 fois. Inzaghi est alors devenu le protagoniste d'un épisode plus unique que rare. Bastoni et Mkhitaryan étant avertis, l'entraîneur a décidé de les remplacer à la 29e par Dimarco et Gagliardini. Une phobie des cartons jaunes qui a coûté cher et qui n'est pas la première fois. Un défaut qu'un entraîneur d'une grande équipe ne peut pas se permettre. Laissant de côté les raisons du double changement, on ne sait pas pourquoi continuer à insister sur Gagliardini. Le milieu de terrain des Nerazzurri n'apporte ni qualité (et on ne le lui demande certainement pas) ni quantité (et c'est plutôt ce qu'on lui demande). Ceux qui pourraient avoir la quantité et la qualité (Asllani), en revanche, restent sur le banc car ils ne sont vus que comme adjoint de Brozovic. Ce qui inquiète le plus, ce n'est pas la défaite elle-même mais l'attitude sur le terrain. Le sentiment est que l'équipe a perdu son identité, ses idées, sa force et surtout sa soif de victoire. Elle semble avoir reculé de dix ans et ce n'est pas bon signe. Nous devons trouver des joueurs comme Skriniar et Brozovic, autrefois leaders, maintenant des âmes perdues errant sur le terrain. La rupture arrive peut-être au meilleur moment pour ouvrir une longue réflexion sur la position d'Inzaghi. Mais demander son limogeage ne semble pas être la meilleure solution, d'autant que le propriétaire n'aurait pas la force économique pour faire face à un changement sur le banc. Reste à savoir si Inzaghi a toujours le vestiaire en main. Si la réponse était négative alors le problème serait plus grave qu'il ne l'est. Selon un article publié dans la Repubblica, la position de Simone Inzaghi ne semble pas être menacé mais une solution doit être trouvée au plus vite pour inverser cette tendance négative. Hier, dans la chaleur, Simone Inzaghi s'est brûlé comme ses joueurs, après une défaite subie. Une Inter dominée par un adversaire théoriquement plus faible mais plutôt meilleur en tout. Entre aujourd'hui et Mercredi, alors que de nombreux joueurs rejoindront leurs équipes nationales, les dirigeants Nerazzurri rencontreront le coach pour trouver ensemble des solutions. Beppe Marotta n'a pas l'intention d'ouster l'entraîneur qu'il a choisi quinze mois auparavant pour l'après-Conte. Notre PDG veut se rendre disponible, comme cela s'est déjà produit après le 0-2 contre le Bayern Munich au Meazza, lorsqu'il a pris sur lui (et donc sur le club) le fardeau de la défaite, passant à la télévision pour dire que le rêve de la deuxième étoile est toujours vivant. S'il veut accéder à la deuxième étoile avant Milan, l'Inter doit changer de cap. Surprise par la fureur de Sottil, elle s'incline pour la troisième fois dans ce championnat. Depuis la victoire à trois points, les trois débuts aussi mauvais ont toujours conduit au limogeage de l'entraîneur. Simoni a été expulsé après onze matchs en 1998-1999, Lippi limogé lors de la première et remplacé par Tardelli en 2000-2001, Gasperini a été viré après trois jours en 2011-2012. Cette fois non, assurent-ils à la Pinetina car dans aucun des cas évoqués, l'Inter n'a pas ensuite atteint la Ligue des champions en changeant d'entraîneur. Mais si l'intention n'est pas de changer Inzaghi, Inzaghi doit sûrement changer quelque chose, à commencer par ses changements. Giocondo Martorelli s'est entretenu avec Tuttomercatoweb après la défaite 3-1 face à l'Udinese. "L'Inter vit actuellement une crise. Cette défaite marque un moment évident de difficulté, un malaise qui perdure." Inzaghi pourrait-il être menacé? "Ces résultats négatifs devront faire intervenir le club de manière décisive afin de recréer la bonne compacité avec l'entraîneur." Lorsque les résultats n'arrivent pas, cependant, il est normal que le technicien soit interrogé. "C'est légitime et l'entraîneur le sait aussi. Cela arrive à tout le monde." Auriez-vous pu faire plus sur le mercato ? "Quand vous n'avez pas beaucoup de disponibilité, c'est difficile à dire. Je ne pense pas que ce soit un problème de marché. L'Inter a ramené Lukaku et n'a pas vendu les joueurs importants." Traduction alex_j via FCInter1908.- 2 commentaires
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FCInter1908 donne les dernières nouvelles concernant le renouvellement du contrat de Milan Skriniar. Il faut faire vite pour tenter de contenir la menace parisienne. Le dribble n'est certainement pas son geste favori, il sera donc difficile d'esquiver longtemps les questions des journalistes et la pression des fans concernant son avenir. Milan Skriniar sait très bien que le thème sera récurrent et, au fil des semaines, on ne parlera presque plus que de ça chez les Nerazzurri, du moins jusqu'à ce que cette énigme soit résolue. Le Slovaque restera-t-il à l'Inter ? Difficile de faire des pronostics car le scénario a forcément changé par rapport à il y a quelques mois et il faut en tenir compte. Inutile de prétendre que ce n'est pas le cas ou de nier cela. La flatterie du Paris Saint-Germain est parvenue jusqu'à l'oreille du défenseur des Nerazzurri qui aura sans doute déjà eu l'occasion de réfléchir à un choix qui aurait pu, cet été, donner un nouvel élan à sa carrière. Pour les ambitions mais aussi sur le plan économique. Et si en ce moment il n'est pas possible d'écarter ce problème comme ces fameuses nombreuses rumeurs de mercato qui se sont évaporées, c'est précisément parce qu'il est certain que les parisiens reviendront frapper à la porte avec plus d'insistance en janvier. Inutile de dire que pour l'Inter, ce sera encore plus fatiguant et difficile de fermer la porte. A ce moment-là, seule la volonté du joueur peut faire la différence. L'Inter, de son côté, sait très bien qu'elle ne peut rivaliser avec les moyens financiers des Parisiens. Par conséquent, il ne reste plus qu'à jouer à l'avance. Marotta et Ausilio ont déjà organisé une rencontre avec Skriniar et son entourage après son retour de la pause internationale. Puisqu'il n'y a pas de temps à perdre, les Nerazzurri vont immédiatement mettre sur la table ce qu'ils jugent la meilleure offre possible : un renouvellement de contrat à 6,5 M€. Ils ne pourront pas faire plus et Skriniar aura alors quelques semaines à sa disposition avant de lever ses réserves. Le délai fixé par l'Inter servira aux dirigeants des Nerazzurri pour avoir une marge de sécurité pour trouver un remplaçant d'ici janvier si le renouvellement n'aboutit pas. Cela donnera une ouverture pour la vente lors du mercato d'hiver. Resterait alors à savoir le montant que le PSG serait prêt à mettre à quelques mois de l'échéance. Mais l'Inter espère ne pas en arriver là. Ceci dit, pour éviter les écueils il faudra aller vite : le compte à rebours a déjà commencé. Comme rappelé par Tuttosport, Skriniar a été considéré par le club comme un pion sacrifiable, à contrecœur il est vrai, sur l'autel du sacro-saint budget, étant donné que le Suning avait et a demandé à sa direction de boucler le marché à l'équilibre pour l’année 2022-2023 avec au moins 60 M€ d'actifs. Marotta, Ausilio et Baccin ont réussi à convaincre les propriétaires de reporter cet objectif au 30 juin, mais ils ont clôturé la session d'été à environ 30 M€ et devront trouver une solution d'ici la fin de la saison sportive. Pour comprendre le pourquoi de la menace parisienne concernant le défenseur central slovaque, il faut revenir à la blessure de Presnel Kimpembe ce samedi contre Brest. Comme écrit dans l’Equipe, c'est peut-être un moment important de la saison parisienne qui s'est joué à la 90e minute de PSG-Brest (1-0), samedi. Depuis dimanche, le staff parisien sait que l'absence pour une lésion aux ischios de Presnel Kimpembe va peser lourd sur la suite de la phase aller. Le communiqué médical publié mardi précise une absence d'environ six semaines. Même si les délais sont régulièrement raccourcis, il pourrait donc manquer neuf matches de compétitions et ne réapparaître que quatre rencontres avant la Coupe du monde. Dans un secteur quantitativement faible, cette absence prolongée pourrait avoir des conséquences importantes. Christophe Galtier va devoir se montrer habile. Si le passage à deux centraux n'est pas tabou, il n'est pas privilégié pour l'instant. L'animation à 3 centraux a été travaillée depuis plusieurs semaines. Repasser à quatre demanderait de nouveaux ajustements et ne permettrait pas aux Parisiens de progresser dans l'animation dans laquelle ils veulent s'inscrire. Dans les dernières heures du mercato, alors que la piste Milan Skriniar s'éteignait peu à peu, Luis Campos a surveillé d'autres profils que celui du slovaque. Mais le conseiller foot a vite tranché : dans son esprit, c'était le Slovaque sinon rien. Depuis, des joueurs libres ont été proposés mais sans succès. Malgré la blessure de Kimpembe, le PSG ne recrutera pas de défenseur d'ici janvier. Campos souhaite pousser jusqu'au mercato hivernal en attendant de pouvoir relancer la piste prioritaire menant au défenseur de l'Inter Milan. Nous sommes prévenus. Traduction alex_j via FCInter1908 et source l’Equipe.
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