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Victoire de l'Inter contre Frosinone et de la Juventus contre Cagliari. A la reprise, les deux équipes s'affronteront au stade. Entre-temps, la pause internationale éloignera plusieurs joueurs d'Inzaghi et d'Allegri. Selon une analyse Corriere della Sera, le dépassement et contre-dépassement. Le championnat se transforme en duel entre Inzaghi et Allegri, spécialistes de la défense à trois. Dans deux dimanches, le derby d'Italie entre la Juventus et l'Inter aura pour enjeu le scudetto. Les autres fondent : Milan, deux points lors de ses cinq derniers matches, s'est égaré après la trêve d'octobre, se faisant rattraper par Naples et Lecce avec une avance de 2-0. Des baisses de tension, un mauvais équilibre, une avalanche de blessures à gérer. Pour Pioli, la pause sera longue et compliquée. Naples est encore plus mal en point et paie le prix de la présomption de De Laurentiis qui, d'un revers de main, a imaginé pouvoir passer de Spalletti à Garcia sans conséquences et se voit aujourd'hui contraint de changer d'entraîneur. La prise de conscience des Nerazzurri face à la concrétisation des Bianconeri. Inzaghi grandit, dans la lecture des matchs et dans la gestion du turnover, et a amélioré une équipe que Marotta et Ausilio ont façonnée sans argent sur le marché. L'Inter, il va sans dire, est favori. Entre la fin de la saison dernière et le début de celle-ci, ils ont remporté 17 des 20 matches de Serie A, dont beaucoup ont été joués de manière spectaculaire. Le dernier, compliqué, contre Frosinone, a été favorisé par l'exploit de Dimarco, une parabole de plus de 56 mètres. Mais la Juventus n'abandonne pas. L'Inter doit surmonter la tendance malsaine à baisser la garde face à des rivaux moins accrédités et s'appuyer, comme elle le fait, sur le talent de ses stars, Lautaro, Calhanoglu, Thuram, tous des joueurs qu'Inzaghi a améliorés. L'Inter a de la force et de la technique. La Juventus, en revanche, a les idées claires : elle connaît ses limites et sait comment les contourner. Max a dit que dans un match sec, la différence de valeur devient plus petite : voyons ce qu'il peut proposer. ®Jean Idriss – Internazionale.fr
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Statistiques et chiffres de l'Inter après la victoire sur le Torino
Zanetti63 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L'Inter a repris le championnat par une victoire à l'extérieur sur le Torino. Une victoire 3-0 qui amène les Nerazzurri à 22 points après les neuf premiers matchs de Série A. Et il y a plusieurs points intéressants après le match contre le Granata: DES ATTAQUANTS RECORDS Aussi bien Marcus Thuram que Lautaro Martinez ont contribué à au moins un but dans sept matchs différents de championnat. L'Inter est la seule équipe des cinq grands championnats européens à avoir deux joueurs qui peuvent se vanter de telles chiffres. Dans l'ensemble, seul Mohamed Salah a un record plus élevé que les deux attaquants Nerazzurri : l'Égyptien a contribué à huit buts différents dans des matchs de Premier League avec Liverpool. IL TORO contre IL TORO Le Torino est, avec Cagliari, l'une des deux équipes contre laquelle Lautaro Martinez a marqué dans au moins cinq matchs différents en Série A : l'Argentin a marqué 5 buts contre le Torino en championnat. CLEAN SHEETS ET MATCHS A L'EXTÉRIEUR Inter a gardé sa cage inviolée dans ses 5 matchs à l'extérieur en Série A pour la première fois depuis 1972. De plus, Yann Sommer est devenu le troisième gardien dans l'ère de la victoire à trois points (depuis 1994/95) à effectuer 6 clean sheets dans ses neuf premières apparitions en Série A après Cristiano Lupatelli et Alisson Becker. DENZEL EN ATTAQUE Denzel Dumfries a contribué à cinq buts (deux buts, trois passes décisives) en championnat cette saison, autant que durant la totalité de la saison passée. Le hollandais a été impliqué dans le but du 1-0 à quatre reprises. CALHA DU POINT DE PENALTY Hakan Çalhanoglu a converti chacune de ses neuf tentatives de penalty en Série A. Le milieu turc a un record en cours de 8 sur 8 toutes compétitions pour les Nerazzurri. ®Zanetti63 - Internazionale.fr- 3 commentaires
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Le nouveau visage de l’Inter de Simone Inzaghi
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Une version "2.0" qui pourrait rimer avec le "20"ème Scudetto, car l’Inter a débuté de la meilleure des manières cette nouvelle saison, avec tout le sérieux que l’on peut attendre d’un Vice-Champion d’Europe! Voici l’analyse de la Gazzetta Dello Sport qui fait suite aux trois victoire en trois matchs et une première place en compagnie du Milan avec le maximum de points avant le Derby de la Madonnina de la reprise: "L'Inter n'a pas encaissé de but en trois journées, ce qui ne lui était plus arrivé depuis 57 ans, avec Helenio Herrera assis sur le banc. De plus, personne d'autre dans le Big 5 des meilleurs championnats européen n'a réussi à faire la même chose. Simone Inzaghi peut par-dessus tout être satisfait de la façon dont l'Inter se défend car elle n’est jamais placée dans une situation de crise, jamais mise en difficulté et Yann Sommer en est le premier reconnaissant, lui qui peut se sentir comme au Paradis dans la cage de l’Inter." "Ce zéro est savoureux car il gomme les doutes, il rassure: Lors de la tournée estivale, et alors que la tournée au Japon battait son plein, l'entraîneur et le club ont tenu à comprendre où investir la majeure partie des fonds restants. Et l'idée qui est ressortie très clairement de cette réunion était la suivante : "Nous avons besoin d'un défenseur. Nous devons nous occuper de cet aspect, parce que par caractéristiques, nous sommes une équipe qui n'aura jamais de problèmes pour marquer des buts". C’est pour cette raison que Benjamin Pavard est arrivé, avec un investissement de 30 millions d'euros." "Mais le travail va au-delà du Français, qui n'a d'ailleurs jamais été vu sur le terrain jusqu'à présent. Il va même au-delà d'Acerbi, le meilleur joueur de ce secteur la saison dernière, aujourd'hui encore à zéro minute de jeu à cause d'une blessure: Le travail est global, l’Inter différente car elle a changé sa façon de jouer par rapport à la saison dernière." "Et les différences ont également profité à sa phase défensive. L'Inter a très vite appris à attaquer l'adversaire en haussant son pressing. L’année dernière, lorsqu’elle avait tenté de le faire, elle n’y était pas parvenue lors de la première partie de la saison, mais aujourd'hui, le timing est parfait, le pressing est exercé en équipe et, sans surprise, avec une récupération du ballon est beaucoup plus importante et surtout, cela marche et la défense n’est presque jamais en difficulté." "L'autre clé réside dans le travail réalisé les milieux de terrain. Car même si l'équipe adverse parvient à surmonter cette première phase de pression, l'écran de protection offert par Çalhanoğlu et ses compagnons est remarquable et ce n'est pas un hasard si nous parlons de Çalhanoğlu : Sa qualité de construction du jeu ne fait l'objet d'aucun doute et ce début de saison met en évidence une capacité de couverture surprenante et pas seulement au niveau de ses tacles, pas uniquement dans les contre-attaques : l'ancien joueur du Milan se montre également exceptionnel dans la lecture des lignes de passe adverses." "Il y a finalement les individualités tel que Darmian qui est un véritable ordinateur de fiabilité : Pavard aura vraiment du mal à prendre sa place. De Vrij est redevenu le défenseur du Scudetto sous Conte, physiquement en forme, mentalement toujours sur le ballon. Et enfin Bastoni, n'a jamais baissé son niveau de concentration et a également progressé en termes de marquage." "Sans oublier le lourd héritage dont hérite Yann Sommer, un héritage qu’il a repris avec l'aisance des plus grands. Son nom n'est peut-être pas celui des couvertures de presse et son style n'attire pas l'œil des photographes. Mais derrière l'invincibilité de l'Inter lors des trois premières rencontre, on retrouve également le gardien suisse qui a été le Visage du cauchemar du dernier échec mondial de notre équipe nationale pour nous, les Tifosi." "Après le bref règne d'André Onana, il semblait difficile de trouver un nouveau numéro un capable de se mettre immédiatement au diapason de cet environnement et auprès des Tifosi, mais Yann Sommer a réussi le faire à sa manière : avec discrétion et travail. Yann a déjà convaincu le monde Nerazzurro en trois matches. A Cagliari, il a démontré l’étendue de son talent pour parer le tir d’Azzi, contre la Fiorentina, il a bloqué Sottil à deux reprises." "Derrière la Muraille défensive l'Inter présente un nouveau gardien, expérimenté et fiable: Et ce n'était pas gagné d'avance" ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 5 commentaires
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Simone Inzaghi : "Bon match de l'équipe sur un terrain difficile !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Après le coup de sifflet final, Simone Inzaghi s'est rendu en salle de presse pour une analyse du match gagné contre Cagliari 0-2. Voici les propos de l'entraîneur. On dirait une Inter plus dans le jeu pendant les 90 minutes. Est-ce une impression ? "Nous avons fait deux grands matches. J'ai demandé aux gars de bien aborder le match. Nous jouions contre une équipe promue dans un stade qui vous fait déjouer. Nous avons eu un bon impact sur le match et avons marqué deux buts. Dans le deuxième nous avons réussi sans trop souffrir. Je suis content de la façon dont les gars travaillent au quotidien." Dans quelle mesure les ailiers sont-ils essentiels dans le football d'aujourd'hui ? "Ils sont très importants, cela dépend aussi du système de jeu. Nous avons des latéraux qui deviennent aussi milieux de terrain si nécessaire." Est-ce un coup dur pour Mkhitaryan ? "Oui, cela semblerait être un coup dur." Thuram donne-t-il quelque chose de différent par rapport à Dzeko ? "Ils sont d'âges différents. Dzeko a vécu deux années extraordinaires avec nous. Ce soir, j'ai félicité Marcus car il a fait un super match. Il est ici depuis 40 jours mais il semble qu'il joue avec nous depuis plus longtemps. Ceci dit, je suis toujours convaincu que les résultats d'équipe sont plus importants." Lautaro est-il le meilleur ? "Lautaro a toujours grandi ces dernières années, il a marqué 27 buts la première année, 28 la seconde. Il est de plus en plus responsable, il grandit constamment, il s'immerge dans notre football." Deux victoires sans encaisser de but avec un mercato ouvert. Était-ce le meilleur début que vous puissiez souhaiter ? "Oui, nous avons eu deux matchs qui n'ont pas été faciles, c'étaient deux équipes bien entraînées. L'équipe était bonne, ils les ont bien préparés, les remplaçants aussi. Il faut continuer comme ça, maintenant avant la pause, nous avons un autre match exigeant contre la Fiorentina." Cet Inter est-elle plus forte que l'an dernier ? "C'est notre souhait. Nous savons que nous avons perdu des joueurs importants. L'équipe a changé mais pour moi et mon staff c'est une satisfaction de voir toujours une équipe organisée avec ses propres principes de jeu malgré les départs." Comment avez-vous vécu la confrontation avec Ranieri ? "Je l'ai complimenté, sa carrière parle pour lui. Il a changé de forme plusieurs fois au cours du match pour changer l'inertie du match. L'année dernière, il a fait quelque chose de spécial pour ramener Cagliari en Serie A." Traduction alex_j via FCInterNews.- 6 commentaires
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Forte d'un remarquable sérieux, l'Inter s'impose à Cagliari (0-2)
Aurios-Inter a posté un article dans Serie A
Après une entame de championnat réussie face à Monza à Giuseppe Meazza, l'Inter se déplaçait en Sardaigne pour y affronter le Cagliari de Claudio Ranieri, fraîchement promu, dans le cadre de la 2ème journée de Serie A. Et c'est avec une grande maîtrise que les hommes de Simone Inzaghi ont triomphé. C'est avec le même onze que celui aligné face à Monza que l'Inter se présente à la Sardegna Arena : Sommer entre les poteaux, Bastoni - De-Vrij - Darmian en défense centrale, le néerlandais palliant l'absence d'Acerbi, l'habituel milieu Mkhitaryan - Çalhanoğlu - Barella, avec Dimarco et Dumfries sur les côtés, et le tandem Lautaro - Thuram devant. Et dès le coup d'envoi, les Sardes annoncent la couleur : bloc mi-haut et remarquable combativité. Mais ce scénario ne durera hélas guère longtemps pour Cagliari. L'Inter, faisant preuve d'une telle sérénité à la relance, reprend progressivement le dessus sur la fougue Sarde. Elle maîtrise parfaitement le tempo du match, et reste audacieuse face au but, à l'image de la volée manquée de Barella à la 5'. Elle se projette superbement, bien aidée par les décrochages successifs de Thuram. L'Inter ne tarde alors pas à élever l'intensité, avec notamment une reprise de Lautaro échouant sur le poteau gauche du portier de Cagliari. L'Inter ne laisse que des miettes aux attaquants adverses : une tête manquée de Pavoletti, ainsi qu'une frappe totalement dévissée de Nandez. Cette domination des Nerazzurri se concrétise à la 21' : Thuram récupère le ballon suite à une passe imprécise, se décale côté droit, et sert Dumfries : celui-ci finit d'une frappe imparable, croisée et dans le petit filet. L'Inter mène 1 but à 0 et vient de se faciliter grandement la tâche. Cependant, l'Inter est coupable d'une dangereuse inattention, laissant Nandez filer au but. Il faut une somptueuse intervention de Çalhanoğlu pour interrompre le mouvement Sarde et leur refuser l'égalisation. Ceci fait, l'Inter remet le pied sur l'accélérateur : projections, combinaisons et contre pressing haut permettent à l'Inter de se mettre à l'abri. Joli une-deux côté gauche entre Dimarco et Thuram, l'Italien percute puis sert Lautaro : notre capitaine se saisit du ballon, et d'un subtil crochet, vient éliminer son vis à vis. Dès lors, il n'a plus qu'à ajuster le portier adverse d'une frappe ras de terre (que le football est simple pour El Toro <3). L'Inter mène alors 2 buts à 0, et a fait le plus difficile. De l'autre côté, les Sardes voient leur capitaine Pavoletti sortir, remplacé par le dynamique Luvumbo. Ce dernier s'illustre dès lors par sa percussion et son imprévisibilité. L'Inter clôt alors tranquillement la 1ère mi-temps, forte d'un avantage de 2 buts. Au retour des vestiaires, la volonté Interiste est clairement établie : contrôler la fin de match et ne pas se mettre en danger. Thuram satisfait par sa capacité à faire jouer ses coéquipiers, grâce à une excellente qualité technique : ses contrôles sont fluides et ses passes bien senties. Au fil des minutes, le rythme ralentit : les Sardes, bien qu'ayant fait monter leur bloc, sont anesthésiés par la troublante maîtrise de l'Inter. Inzaghi effectue un triple changement à 20 minutes du terme de la rencontre : Dumfries, Dimarco et Barella cèdent respectivement leur place à Cuadrado, Augusto et Frattesi. Par ailleurs, l'ancien de Cagliari est applaudi à sa sortie par ses anciens supporters : une bien belle image. Mais les joueurs de Ranieri n'abandonnent pas : ils montent d'un cran en intensité et sont même proche d'obtenir un pénalty, par l'intermédiaire de Luvumbo. L'Inter doit son salut à un joli retour de Bastoni. Inzaghi effectue ensuite ses deux derniers changements : Arnautovic prend la place d'un très bon Thuram, tandis que Sensi remplace un Mkhitaryan moins en vue, souvent rattrapé par Çalhanoğlu, et victime d'un coup au genou. L'Inter termine son match tout en maîtrise, Çalhanoğlu heurtant le poteau droit en conclusion d'un beau mouvement collectif. Mais Luvumbo met encore la pagaille dans la défense : son centre, dévié, arrive dans les pieds de Azzi. Celui ci contraint Sommer, jusque là assez tranquille, à la parade. Les esprits s'échauffent quelque peu, puis l'arbitre, M. Michael Fabbri, siffle la fin du rendez-vous au terme des 5 minutes de temps additionnel. Match extrêmement sérieux de la part de nos Nerazzurri, ayant su se mettre à l'abri tôt pour confirmer une deuxième victoire de rang, ainsi qu'un second clean-sheet. Rendez-vous dimanche prochain, 18h30 à Meazza pour le premier test de la saison, et la réception de la Fiorentina d'Italiano. Tableau Récapitulatif Résumé Cagliari 0-2 Inter Buteur(s): 21' Dumfries (I), 30' Lautaro (I) Cagliari (4-2-3-1): 1 Radunovic; 27 Augello, 33 Obert, 4 Dossena, 28 Zappa (85' 61 Shomurodov); 25 Sulemana (85' 14 Deiola), 29 Makoumbou; 21 Jankto (60' 37 Azzi), 8 Nandez, 19 Oristanio (45' 99 Di Pardo); 30 Pavoletti (35' 77 Luvumbo) Banc: 22 Scuffet, 10 Viola, 14 Deiola, 39 Kourfalidis, 18 Aresti, 37 Azzi, 16 Prati, 77 Luvumbo, 3 Goldaniga, 61 Shomurodov, 99 Di Pardo Entraîneur: Claudio Ranieri Inter (3-5-2): 1 Sommer; 95 Bastoni, 6 De Vrij, 36 Darmian; 32 Dimarco (71' 30 Augusto), 22 Mkhitaryan (82' 5 Sensi), 20 Çalhanoğlu, 23 Barella (71' 16 Frattesi), 2 Dumfries (71' 7 Cuadrado); 9 Thuram (77' 8 Arnautovic), 10 Lautaro Banc: 8 Arnautovic, 31 Bisseck, 34 Agoumé, 7 Cuadrado, 21 Asllani, 49 Sarr, 50 Stankovic, 5 Sensi, 48 Guercio, 12 Di Gennaro, 77 Audero, 30 Augusto, 16 Frattesi Entraîneur: Simone Inzaghi Arbitre: Michaele Fabbri Averti(s): 81' 22 Mkhitaryan (I), 81' 77 Luvumbo (C) Exclu(s): / Internazionale.fr ~ © Aurios-Inter- 6 commentaires
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Massimo Moratti s'exprime sur le match contre Cagliari, Arnautovic et le Calciopoli sur Tuttocagliari.net. Cagliari-Inter approche, quel type de match devra jouer l'Inter? "En attendant, je dois dire que Cagliari a pris un bon départ. J'ai regardé le match d'hier contre le Torino et les Sardes ont joué très intelligemment. Peut-être qu'ils méritaient même plus qu'un match nul. Je pense qu'ils affronteront les Nerazzurri sans complexe ou certaine. L'Inter semble très forte et très rapide. L'année dernière, de nombreux joueurs ont démontré leur valeur, et cette année, la direction a encore amélioré l'équipe. Bien sûr, il manque un avant-centre mais cette équipe est également capable de créer des dangers et des occasions. Elle est très compétitive. Elle devra cependant le prouver et ce ne sera pas facile à Cagliari." En parlant de l'avant-centre, même après l'excellente impression qu'il a faite contre Monza, ce renfort dont l'Inter parle tant ne pourrait-il pas être Arnautovic lui-même ? "À mon avis, Arnautovic est une belle recrue. Ensuite, je suis particulièrement heureux parce que Marko faisait partie du groupe du Triplete, à ce moment-là, c'était un garçon plein de classe et de capacités techniques. Par la suite, il a bien fait en Angleterre et aujourd'hui, de retour à l'Inter, il peut être très utile. Peut-être y a-t-il aussi besoin d'un élément supplémentaire pour compléter le secteur offensif, en vue de la Serie A, de la Ligue des Champions et de la Coupe d'Italie. Après tout, l'Inter a le devoir de jouer sur les trois fronts." Le Conseil d'État a confirmé l'attribution du Scudetto 2006 à l'Inter. Quelle est votre réaction ? Pensez-vous qu'à ce stade le Calciopoli est définitivement clos ? "Je l'espère bien! Maintenant, cette histoire devient un peu ennuyeuse, alors j'espère que c'est vraiment le dernier chapitre. Nous sommes certainement très fiers de cette énième confirmation du Scudetto 2006." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Les prestations de Raoul Bellanova cette saison, à l’Inter, ont séduit le Torino. A tel point que le premier club de Turin est en discussion avancée avec Cagliari. Prêté avec un droit d’achat, Raoul pourrait rester à l’Inter dans le cadre de l’accord établi de 7 millions d’euros. Toutefois, l'Inter n’a pas encore activé ce droit. Si celui-ci n’est pas activé, le Torino est d’ores et déjà prêt à déboursé la somme de 9 millions d’euros (7 millions d’euros + 2 millions d’euros de bonus). Autant dire que Cagliari ressort gagnant de cette histoire. Selon vous, l’Inter va-t-elle se voir souffler le jeune ailier italien malgré une campagne européenne mémorable ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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En effet, alors que Piero Ausilio s'est envolé pour l'Angleterre afin de rencontrer la Direction de Chelsea, le Telegraph a fait état d'une offre de Newcastle pour s'attacher les services de Nicolò Barella: Une proposition de 50 millions de livres-sterling pour être précis Toutefois, comme le révèle la Gazzetta Dello Sport, "Cela n'aura aucun effet sur l'Inter, qui campe sur ses positions. Pour le président Steven Zhang et l'Administrateur-Délégué Beppe Marotta, Barella n'a pas de prix, il est tout simplement intransférable. Et même si les voies du Mercato sont infinies, tout comme les tentations possibles venant des riches clubs internationaux, la position du Club Nerazzurro, au moins pour Nicolò, semble décisive et inflexible". Le milieu de terrain sarde sort d'une nouvelle saison extraordinaire et d'une croissance vertigineuse, y compris au niveau international: "Ses performances en Ligue des Champions ont fait plisser les yeux à tous les grands noms du football européen et ont évidemment fait grimper le cout estimé de sa valeur. Selon les principaux sites spécialisés, Barella vaut désormais au moins 80 millions d'euros. Juste ou pas, peu importe. Aujourd'hui, tout ce qui compte, c'est ce que pense l'Inter : Il est INTRANSFERABLE." L'importance de Barella dans le monde Nerazzurro n'est pas seulement technique, mais aussi charismatique: "Barella est un rouage fondamental de l'équipe de Simone Inzaghi, Premier défenseur en cas de forte pression, mais aussi premier assaillant dans le camps de l'adversaire, avec des insertions sans ballon." Dans le vestiaire, il a un leadership reconnu, preuve en est la Grinta qu'il peut transmettre au public du Meazza. En 2019, il a attendu l'Inter, malgré la pression de la Roma et du Napoli sur Cagliari: "Nicolò rêvait du maillot Nerazzurro depuis son enfance, et dès que l'occasion s'est présentée, il a poussé pour épouser le projet de l'Inter. Et avec l'Inter, il est devenu grand : il a remporté un Scudetto, deux Coupes d'Italie, deux Supercoupes. Il a goûté à la magie des soirées de Ligue des champions, grâce auxquelles il a ensuite gagné une place dans le milieu de la sélection italienne, Championne d'Europe en 2021." "Bare est le symbole du présent et du futur de l'Inter" - Tout simplement intransférable! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Le milieu de terrain de l'Inter Nicolo Barella a prouvé qu'il pouvait avoir un rôle de futur capitaine des Nerazzurri avec son match contre Benfica en Ligue des Champions hier soir. C'est le point de vue du Corriere della Sera, via FCInter1908 , qui met en lumière la performance du joueur de 26 ans lors de l'un des plus grands matchs de l'équipe de toute la saison. La saison dernière, Barella n'était même pas sur le terrain lors des deux matches de l'Inter lors des huitièmes de finale de la Ligue des Champions. La raison en était que l'ancien milieu de terrain de Cagliari s'était emporté et avait frappé le défenseur du Real Madrid Eder Militao lors du dernier match de phase de groupes de la saison, méritant un carton rouge et une suspension de deux matches pour les huitièmes de finale contre Liverpool. Ceci, en un mot, était une illustration des facteurs qui ont joué contre Barella pour devenir potentiellement capitaine de l'Inter. Il n'y a, selon le Corriere della Sera, rien dans la contribution du joueur de 26 ans sur le terrain devrait jeter le doute sur son aptitude à porter le brassard à l'avenir. C'était certainement le cas contre Benfica hier soir. Barella a marqué un but magnifique pour l'Inter. Cependant, les performances du milieu de terrain sur le terrain ne font pas de lui un héritier potentiel du brassard de capitaine. L'attitude de Barella sur le terrain est d'une intensité et d'un dynamisme constants, il l'a encore démontré contre Benfica. Revers de la médaille, lorsque les choses deviennent difficiles, le joueur de 26 ans a une fâcheuse tendance à s'emporter, y compris avec ses propres coéquipiers, ce qui ne conviendrait guère à un capitaine de club comme l'Inter. Cependant, il n'y a rien eu de cela contre Benfica hier, et le Corriere della Sera affirme donc que c'était un aperçu du genre de performance qui pourrait faire de Barella un futur capitaine. Futur Capitaine selon-vous? Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Coppa, Lukaku: L'Inter va faire appel, il y a un précédent!
Lindt1908 a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
L'Inter a décidé de faire appel du licenciement de Romelu Lukaku lors de la Coppa Italia contre la Juventus. Une expulsion absurde! L'Inter a décidé de faire appel de la suspension de Romelu Lukaku lors du match de la Coupe d'Italie contre la Juventus. Une expulsion absurde, après l'interminable série d'insultes racistes reçues par l'avant-centre belge de la part de la "majorité des 5 034 supporters dans la tribune Sud" de l'Allianz Stadium. Comme l'indique le juge sportif. Après la suspension de la disqualification de la tribune de la Juventus, Lukaku a reçu des attestations de solidarité de partout dans le monde du sport (un peu moins de l'Italie), de Lewis Hamilton à Kylian Mbappè. Selon Fcinter1908, l'Inter veut donner un signal et est également confiant d'un cas précédent qui à été favorable. En 2017, en effet, la cour d'appel des sports de la Fédération de football a annulé la suspension d'une journée imposée à Sulley Muntari par le juge des sports, après que le Ghanéen de Pescara eut été l'objet de chants racistes de la part des supporters de Cagliari et à la suite de protestations avec le l'arbitre il avait été expulsé pour ne pas avoir arrêté le match. En deuxième instance, le tribunal a confirmé l'appel de Muntari. Vous-Y-Croyez? Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908- 4 commentaires
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L'Inter a impressionné en Ligue des champions cette saison avec une équipe construite sur une base solide de joueurs. Ceci est mis en évidence dans l'édition imprimée d'aujourd'hui du journal romain Corriere dello Sport, via FCInterNews , qui déclare que les Nerazzurri sont "Made in Italy" avec Alessandro Bastoni, Francesco Acerbi, Matteo Darmian, Nicolo Barella et Federico Dimarco tous avoir des rôles clés à jouer. Alors que la réputation "internationale" de l'Inter a longtemps été confirmée par les succès de l'équipe au fil des ans avec des joueurs du monde entier plutôt que de s'appuyer principalement sur les meilleurs talents italiens, les Nerazzurri ont eu plus que leur part de grands joueurs italiens. Cette saison, il y a de nombreux joueurs clés dans l'équipe de l'Inter qui ne sont pas italiens, d'André Onana à Hakan Calhanoglu en passant par Lautaro Martinez. Cependant, note le Corriere, il y a un thème typiquement italien dans l'équipe, en particulier à la base de l'équipe. En Ligue des champions, les Nerazzurri se sont alignés avec une ligne de fond entièrement italienne composée de Darmian, Acerbi et Bastoni mardi contre Benfica. S'il n'y avait ni Milan Skriniar, absent pour cause de blessure, ni Stefan de Vrij, désormais deuxième choix derrière Acerbi, l'équipe n'a guère manqué de ces deux piliers défensif d'Antonio Conte. Pendant ce temps, au milieu de terrain, Barella est devenu de plus en plus important pour les Nerazzurri au fil des années depuis son arrivée de Cagliari à l'été 2019. Cette saison, le joueur de 26 ans a assuré une présence italienne constante à l'Inter, avec sa qualité technique et son style de jeu tout en action, et de plus en plus ses buts et ses passes décisives, des facteurs majeurs pour cette équipe toute la saison. Ensuite, il y a Federico Dimarco, qui n'est pas nécessairement cette saison le titulaire indiscutable sur le flanc gauche mais a mérité son rôle de titulaire régulier. Le joueur de 25 ans a beaucoup plus débuté que Robin Gosens, car même si l'Allemand est arrivé pour un gros montant et avec de grandes attentes de le voir a son niveau de l'Atalanta, c'est l'Italien qui possède vraiment le rôle a ce poste. La même dynamique a également joué sur le flanc droit, Darmian ayant souvent été sélectionné devant le Néerlandais Denzel Dumfries, bien que la blessure de Skriniar ait signifié que l'ancien polyvalent de Manchester United a été plus souvent utilisé en défense ces derniers temps. Outre ces cinq, note le Corriere, il y a aussi la présence de joueurs de l'équipe comme Danilo D'Ambrosio, Raoul Bellanova et Roberto Gagliardini, qui ont assuré que même en dehors du onze de départ régulier, il y a une vraie représentation italienne au sein de cette équipe. Made In Italia! Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Les bianconeri attendent la décision du Coni Guarantee College: l'ancien directeur sportif peut mettre fin à sa carrière! Ce soir, la Juve est de retour sur le terrain après la pause pour les équipes nationales et accueille Vérone a l' Allianz. Mais les bianconeri attendent les décisions des tribunaux pour savoir quel sera leur avenir. Après la décision de la FIFA de l'étendre à l'international, tout est désormais entre les mains du Coni Guarantee Board, qui rendra le 19 avril son avis sur la pénalité de 15 points et plus. Il y aura aussi des nouvelles sur l'avenir de Fabio Paratici, qui s'est suspendu hier de Tottenham. "Pour Paratici, cela risque d'être l'étape d'adieu à sa carrière sportive, si les bonnes nouvelles n'arrivent pas du Coni, qui s'exprimera le 19 avril sur sa suspension". La décision pèsera également sur la stratégie que la Juve adoptera au retour du parquet fédéral : "Négocier avec ou faire face à un nouveau clash sur la deuxième ligne d'enquête sportive" . La question est évidemment celle des opérations conjointes avec d'autres clubs (Atalanta, Sassuolo, Udinese, Sampdoria, Cagliari, Bologne), et les manœuvres salariales avec les joueurs. Le journal détaille la situation : "Le procureur Chinè a terminé l'enquête, la notification de clôture de l'enquête arrivera après le week-end de championnat : à partir de lundi, chaque instant est bon (Chinè a théoriquement 20 jours, mais moins suffira). Une fois les enquêtes terminées fermée, on saura déjà quels seront les futurs coupables : bien sûr, la Juve sera accusée d'avoir violé l'article 31, alinéa 3, celui qui punit d'avoir convenu des salaires en dehors des règles fédérales, avec les fameux accords privés". Repubblica explique les conséquences possibles : « Cela peut valoir une amende pouvant aller jusqu'à 3 fois la valeur des contrats conclus : on parle, potentiellement, de plus de 100 millions. Mais il sera également accusé de l'effet de ces opérations sur les comptes : si le procureur estime qu'ils cherchaient à s'inscrire à une compétition à laquelle il n'aurait pas participé, en italie ou à l'étranger : dans ce cas, il risquerait même de perdre la Serie A". Les délais risquent cependant d'être très longs : "Entre les délais des mémoires de la défense (15 jours), de la saisine et ceux de fixation du procès sportif au Tribunal fédéral (jusqu'à 30 jours), nous arriverons fin mai. Considérant alors le délai d'appel garanti, on risque de se terminer alors que la nouvelle saison sera bien en cours". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
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En effet, beaucoup de joueurs de l'équipe de Simone Inzaghi, entraineur inclus, ont déçu cette saison et si l’avenir du natif de Piacenza est sérieusement remis en question, de très nombreux joueurs se verront présenter la porte de sortie Révélation de la Gazzetta Dello Sport Trois joueurs déjà mis en vente "Il faudra tirer le maximum des trois joueurs qui doivent être considérés comme sortants, soit Marcelo Brozovic, Denzel Dumfries et Joaquin Correa même si pour ce dernier, la tâche s’annonce très compliquée même si son avenir Nerazzurro est déjà tracé : Correa a déçu le club également à cause de l’investissement placé en lui, soit 31 millions d’euros et s’il se verra prêté, ce sera probablement à l'étranger." "Ce qui se passera avec Brozovic et Dumfries reste à écrire: Le Croate, face à la Juve, a montré à quel point il était loin d’être le "Cœur" de l'Inter aujourd'hui. Mais pour son âge et son salaire, il sera compliqué de lui trouver un repreneur. Dumfries mérite lui un chapitre à part : Pendant la Coupe du Monde, l'Inter en était venu à l'estimer à 60 millions d'euros: Aujourd'hui, penser à ce chiffre n'a aucun sens : Sa valeur marchande a fondu tout comme ses performances." "Reste également Robin Gosens : L'Inter ne veut pas le vendre, surtout maintenant qu'il s'est relancé, mais il faudra comprendre à quel point l'Allemand sera prêt à partir d’encore plus loin que Federico Dimarco dans la hiérarchie." "Il y a cinq joueurs, sur les 11 que nous avons identifiés comme sortants, qui sont en fin de contrat. L'Inter n'a entamé des négociations concrètes que pour deux d'entre eux : Edin Dzeko et Stefan De Vrij. Mais aujourd'hui, les chances du défenseur de rester sont minimes car il a perdu sa place de titulaire et dispose d'un salaire mirobolant de 4,5 millions d'euros. Ce qui n'est plus viable pour les caisses des Nerazzurri: En fait, Giuseppe Marotta et Piero Ausilio ont en tête un accord de renouvellement avec des montants nettement inférieurs et les deux parties restent campées sur leurs position : De Vrij lui-même regarde autour de lui, tout comme Dzeko." "Pour les autres, citons Roberto Gagliardini est destiné à partir et il en ira de même pour Samir Handanovic, désormais réserviste d’André Onana. Il est également très compliqué de penser que le renouvellement de Danilo D'Ambrosio arrivera". Les prêts "Deux joueurs sont actuellement prêtés : Romelu Lukaku et Raul Bellanova, on devrait même également les compter au nombre de trois, vu la présence de Francesco Acerbi, mais celui-ci a montré des signes plus que positif et le club est décidé à le racheter: Il n’y a et n’y aura pas cette même détermination pour Bellanova qui retournera à Cagliari, malgré les trois millions d'euros déjà investis pour lui l’été dernier." "La situation est bien plus complexe pour Lukaku car si les propos de Marotta sont claires car liés à la formule de l'opération ("A la fin de l'année, il retournera à Chelsea"), la réalité des performances de l'attaquant ne pousse en rien le club de Steven Zhang à se bouger pour renouveler le prêt: Romelu coûte à l'Inter 20 millions d’euros bruts par saison et il est impossible de penser à une prolongation, si de telles sont les conditions économiques sont maintenues et si les performances du Belge continuent à constituer un fardeau sur la saison Nerazzurra : Il y a toutefois encore le temps pour inverser la tendance, mais celui-ci devient très limité." Valideriez-vous ce 11 de départ de l’Inter à la fin de la saison ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Kristjan Asllani & Raul Bellanova: Il n’en restera qu’un
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
C’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport : "Avec cinq titularisations chacun sur la saison actuelle, leur futur sera pourtant opposé: Le Club Nerazzurro a investi 14 millions d’euros entre prêt et obligation d’achat pour l’ancien de l’Empoli, tandis qu’il a versé que 3 millions d’euros pour l’ancien de Cagliari, qui est destiné à ne pas se voir racheté et qui quittera donc l’Inter à l’été." Le cas Asllani "Bien que Simone Inzaghi ne l’utilise qu’avec parcimonie, la Direction de l’Inter le tient en estime, même s’il n’est inexplicablement bloqué à 555 minutes de jeu au total. Il a du mal à se faire une place, à trouver aussi du temps de jeu en match, comme lors de la rencontre face à Lecce et la montée en jeu d'un Roberto Gagliardini qui quittera le club avec certitude contrairement à l’albanais qui est un Capital du club, et cela a suffisamment été souligné." "Ce n’est pas la première fois que cette situation se produit et c’est un détail qui ne peut pas ne pas être observé, et ce même s’il est vrai que Simone Inzaghi, pour son poste a cherché et trouvé en Hakan Çalhanoğlu une véritable révélation, tout comme il est vrai que Marcelo Brozovic est à nouveau à disposition. De plus, Simone Inzaghi ne voit pas en Asllani un Mezzala, mais la croissance d’un joueur passe à travers aussi les présences en match et non qu’aux entrainements et le Club croit énormément au milieu de terrain en provenance de l’Empoli: La satisfaction de la Direction, qui était parvenu à finaliser l’opération durant l'été, était palpable, surtout après les premiers matchs amicaux estivaux et tous s’attendaient à une croissance plus rapide, qu’évidemment Simone Inzaghi n’a pas été capable d’intercepté." Pas cool Raoul "L’Inter ne versera pas à Cagliari les 7 millions d’euros restant et activant le droit de rachat, ce n’est d’ailleurs pas une coïncidence si l’Inter étudie une double opération pour faire face aux départs de Denzel Dumfries combiné à celui de Bellanova. Simone Inzaghi a d'autres priorités, car le joueur lui-même n'a pas donné de réponses convaincantes et le Giuseppe Meazza a été souvent brutal avec lui. Il a fini par s’éteindre, même lorsqu'il a cette potentielle ouverture au mois de janvier, lorsque Dumfries est revenu de la Coupe du Monde la tête dans les nuages et une condition physique exécrable. Un départ en fin de saison est donc acté : Aucune confirmation, aucun rachat, Bellanova quittera l’Inter après seulement une saison." Comprenez-vous la Direction Nerazzurra ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 6 commentaires
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Matteo Darmian : "Mes idoles ? J'en vois deux. Mon but le plus important ? Je dirais..."
alex_j a posté un article dans Interviews
Matteo Darmian est le protagoniste du deuxième épisode de Footsteps, disponible sur RecastTv. Darmian évoque d'abord le maillot Nerazzurri. "L'Inter est certainement une part très importante de ma carrière, j'y suis maintenant dans ma troisième année. L'espoir nourri par tant de passion m'a poussé à poursuivre ce rêve." Ensuite, ses idoles. "Si je dois en choisir un dans mon rôle, je pourrais choisir Zanetti ou Maicon qui ont inspiré tant d'enfants." Et enfin, son but le plus important. "Celui marqué pour nous rapprocher du Scudetto, celui contre Cagliari au Meazza avec l'enchaînement Hakimi-Lukaku et mon arrivée au deuxième poteau. Il nous a permis de gagner le match et de nous rapprocher du Scudetto." Traduction alex_j via FCInter1908.-
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Samir Handanovic ne sera pas le second d'André Onana la saison prochaine
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
C’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport, "Nous nous rapprochons de plus en plus du départ définitif de Samir Handanovic en fin de saison, et l’Inter est déjà partie à la recherche du futur numéro 12 qui viendra soutenir André Onana... La dernière idée en date est de cibler un ancien qui avait les faveurs du club, et qui est en recherche de rachat : Ionit Radu ! Non, on déconne "Alessio Cragno a toujours été dans les petits papiers de Piero Ausilio, avant même l’arrivée d’Onana à Milan, et l’Inter avait d’ailleurs plus d’une fois pensé à lui pour le placer en concurrence d’Handanovic, en proposant un gardien de grande fiabilité. A présent, à l’Inter, si beaucoup de choses ont changés, l’appréciation de l’ancien numéro de Cagliari, elle, elle n’a pas faibli même s’il est à présent le réserviste de Di Gregorio, qui a fait l’école Nerazzurra, à Monza. "Il est arrivé au club de la Brianza en prêt avec un droit de rachat qui deviendra une obligation à la condition d’être maintenu en Serie A pour une somme abordable, à savoir un peu moins de 4 millions d'euros. Il existe donc une certaine prémice économique pour tenter le coup durant l’été, à condition qu'aucun autre club ne parvienne à obtenir Cragno en janvier car il veut jouer et un départ de Monza est une hypothèse sérieuse : La Fiorentina y réfléchi." "L'Inter, de son côté est observatrice et est prête à s’offrir Cragno en qualité de Vice-Onana, suffisant pour le convaincre ?" ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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Massimo Moratti a accordé une longue interview au Corriere della Sera et revenu sur sa vie, l’Inter de son père, le Calciopoli et certains joueurs emblématiques. Massimo Moratti, vous êtes né trois semaines après la fin de la guerre. Quelle est votre premier souvenir? "Un matin, j'avais quatre ans. Je sentais que c'était un jour important. Et mon frère Gian Marco allait à l'école avec une chaussette rouge et une autre bleue." Distraits. "Joyeux. Nous étions une famille joyeuse. Papa travaillait toute la journée, mais tous les soirs on se retrouvait à écouter la radio : Franca Valeri, Alberto Sordi…" Comment était ton père Angelo ? "Fantastique. Je n'ai jamais, de toute ma vie, trouvé un homme à son niveau. Et toute ma vie j'ai essayé de l'imiter; même en sachant que c'était impossible. Brillant, charmant, plein d'esprit, sympathique, humainement très riche... " Pas seulement humainement. "Mais c'est venu de la pauvreté. Mon grand-père avait la pharmacie de la Piazza Fontana à Milan. Mon père a quitté la maison à 14 ans, sa mère était morte, et il ne voulait pas vivre avec sa belle-mère, aussi dure que celle des contes de fées." Il y avait cinq enfants dans la maison : outre toi et Gian Marco, trois sœurs. "Notre mère Erminia était aussi une personne joyeuse. Elles plaisantaient tout le temps avec papa. Ils s'aimaient." Comment était Milan dans les années 50 ? "Encore à moitié détruite. Imaginez. Mais nous savions que l'avenir serait meilleur que le présent." Pour qui les Moratti ont-ils voté ? "Démocrates. Nous étions antifascistes et anticommunistes." N'y avait-il vraiment rien de mal à cela ? "Il y avait quelque chose qui n'allait pas. Nordahl." L'avant-centre milanais ? "Grand, grand, imparable. J'avais physiquement peur de lui. Je l'ai vu au San Siro et j'ai rêvé de lui la nuit. Nordahl était l'homme noir de mon enfance." Alors ton père a acheté l'Inter. "Mais on est allé le voir avant. Je me souviens du 6-5 du derby de 1949. Au stade, il y a eu une bagarre, des chapeaux ont volé." Quel était votre footballeur préféré ? "Benito Lorenzi, dit Veleno. En dehors du terrain, il était très gentil car il s'occupait des enfants de Valentino Mazzola, Sandro et Ferruccio. Mais sur le terrain, ça devenait terrible. Il provoquait la foule avant et après avoir marqué. C'est Lorenzi qui a surnommé Boniperti Marisa, malgré ses amis. Boniperti était très en colère." Le footballeur le plus fort que vous ayez jamais vu ? "Je vais vous en dire deux : Angelillo et Ronaldo. Deux histoires parallèles. Comme Herrera et Mourinho." C'est-à-dire? "Angelillo était une pure classe. Il a fait un championnat extraordinaire, avec 33 buts. Puis il est tombé éperdument amoureux d'une chanteuse, et s'est perdu. Nous l'avons vendu et avec le produit nous avons acheté Luisito Suarez : très intelligent." Et Ronaldo ? "Il est venu me voir quand il jouait pour le PSV, avec une petite amie néerlandaise... Quand il est arrivé à l'Inter, il était le joueur le plus fort du monde. Après les blessures, il n'est jamais revenu à ce niveau." Senti trahi lorsqu'il est allé au Real Madrid, après que l'Inter l'ait attendu ? "Non. Je m'étais identifié à lui, dans sa douleur. J'ai trouvé juste qu'il veuille changer, après avoir tant souffert." Herrera, comment l'as-tu trouvé ? "Un journaliste de la Gazzetta dello Sport nous l'a rapporté, je pense Franco Mentana, le père d'Enrico. Le Magicien et Mourinho avaient beaucoup de choses en commun." Quoi? "Ils ont beaucoup travaillé et étudié. Ils connaissaient la psychologie et la médecine. Quand José est arrivé, notre médecin a dit : enfin un coach qui m'aide." Brera dit que Herrera s'est également servi de certaines tablettes dans les vestiaires... "Brera a plaisanté. Mon père ne l'aurait jamais permis. Et le Magicien avait beaucoup de respect pour mon père, presque de la crainte." En 1964, l'Inter remporte sa première Coupe d'Europe. "A la première participation. En battant le Real Madrid 3 à 1, qui a toujours gagné. Mais Herrera a mis Burgnich sur Di Stefano et Tagnin sur Puskas... Une joie indescriptible." L'année suivante, il remporte la Coupe à San Siro, but de Jair. "Il pleuvait, le ballon est passé sous le ventre du gardien de Benfica. C'est aussi un moyen de gagner." Qui était ton héros ? "Mariolino Corso. Jamais vu un ailier avec une telle classe. J'ai adoré Recoba parce que j'ai vu l'imprévisibilité de Corso en lui." Mais ensuite, l'Inter l'a vendu. "Et mon père a acheté Cagliari quand il a appris qu'il était sur le point de vendre Riva à la Juve. Le lendemain matin, les dirigeants sardes ont informé Agnelli que l'affaire ne pouvait plus être conclue: le club avait un nouveau propriétaire. L'avocat n'a même pas demandé qui il était. Il a compris." Et Cagliari remporta sensationnellement le Scudetto. "Avec Domenghini que l'Inter avait vendu pour Boninsegna." Que s'est-il passé le 5 mai 2002, la défaite face à la Lazio qui vous a coûté le Scudetto ? "Les joueurs ont cru avoir reçu des signaux de leurs collègues de la Lazio, ils ne se seraient pas engagés pour ne pas favoriser la Roma. Mensonges ! J'en étais convaincu avant même le coup d'envoi, et je les ai prévenus : ‘Personne ne nous donnera rien.’ Pourtant, ils sont entrés sur le terrain avec une confiance excessive. Et ils n'ont jamais réussi à prendre le jeu en main. Je me sentais tellement responsable que je me suis dit : ‘Je ne quitterai pas le football avant d'avoir une revanche.’ " Sur le terrain, il y avait Cholo Simeone. "Et il a marqué contre nous. Grand combattant." Votre avant-centre était Bobo Vieri. "Un anticonformiste, toujours critique du management; mais pas un mauvais garçon. À l'Inter, il a fait tout ce qu'il pouvait faire; pourtant il n'a rien gagné." Puis vint Ibra. "Très beau. J'avais l'habitude de consulter les joueurs les plus importants pour la campagne de transfert, et avec Zlatan, nous avions un rituel. Il me disait: ‘On pourrait même se passer de Cambiasso l'année prochaine...’. Je rigolais. Ensuite, j'allais chez Cambiasso qui me disait: ‘L'année prochaine, autant se passer d'Ibra...’" Ibra et Cambiasso ne s'aimaient pas. "Mais sur le terrain, ils se donnaient à mort l'un pour l'autre." Et dans l'affrontement entre Ibra et Lukaku, avec qui seriez-vous rangé ? "Cela ressemblait à un match de boxe entre deux champions du monde. Lukaku est un trésor... Je me serais placé entre les deux, au risque d'en prendre une des deux." Mazzola a déclaré qu'il avait quitté l'Inter parce qu'elle avait consulté Moggi. "Ça ne s'est pas passé comme ça. C'est vrai que Moggi voulait venir à l'Inter, et je ne lui ai jamais dit explicitement que je ne voulais pas ; mais je ne l'aurais jamais pris." Pourquoi? "Parce que la Serie A a été manipulée; et nous étions les victimes. La Juve devait gagner; et si la Juve n'a vraiment pas gagné, c'était au tour du Milan. Dommage : car la plus grande forme de malhonnêteté est de tromper les sentiments des gens." Facchetti était en charge de l'Inter. "Un homme splendide. Une fois, je lui ai dit: ‘Giacinto, est-il possible que tu ne puisses pas trouver un arbitre, un seul, prêt à nous aider, à leur place?’. Il a répondu: ‘Vous ne pouvez pas me demander une telle chose’." La Juve a remporté deux championnats et un lui a été attribué. Le revendiquez-vous ? "Absolument oui. Je sais que les joueurs de la Juventus se fâchent. Cela m'amène à le revendiquer avec plus de conviction. Ce scudetto était la compensation minimale pour les vols que nous avons subis. Cela vaudrait beaucoup plus." Puis vinrent les championnats de Mancini et Mourinho. Comment avez-vous choisi Mou ? "En écoutant une de ses interviews télévisées, entre une demi-finale et une autre de la Ligue des champions 2004. Son Porto avait fait match nul avec le Deportivo La Corogne, le retour a été très difficile. Et il a dit : ‘Mais en tant que Deportivo, je pense déjà à la finale.’ J'ai beaucoup aimé sa bravade." Et ce fut le triplete : championnat, Coppa Italia, Champions. "Mission accomplie. J'étais fier que la même famille ait remporté la Coupe près d'un demi-siècle plus tard. Pour la première fois, je me sentis digne de mon père même s'il reste inaccessible. Aujourd'hui encore, il m'arrive de trouver des gens qui me parlent de lui, qui lui doivent quelque chose." Combien d'argent l'Inter vous a-t-elle coûté toutes ces années ? "Vous ne pouvez pas me demander cela. Je ne sais pas, et je ne te le dirais pas. Le football n'est pas une entreprise ; c'est passionné. Et les passions n'ont pas de prix." Maintenant, l'Inter est chinoise, peut-être pour un peu plus longtemps. "Les Zhang, à la fois le père et le fils, m'ont toujours semblé de bonne foi. Au début, ils m'ont demandé de parler aux joueurs, de les motiver. Mais aujourd'hui, il est impossible de tenir longtemps dans le football. Les pertes doublent ou presque doublent chaque année : 50 millions, 100 millions, 150 millions…" Comment cela finira-t-il ? "Peut-être qu'un fonds américain viendra. Mais attention aux spéculations. Le football n'est pas fait pour gagner de l'argent. Les Américains aimeraient en faire un spectacle. Show-business. Mais je ne sais pas si ce sera un jour possible en Italie." Qui remportera le championnat ? "Cela pourrait vraiment être l'année de Naples. Milan fait aussi peur. L'inter a une structure solide mais ensuite elle se perd au plus beau." Que pensez-vous de Berlusconi? "Je le considère comme un ami. En tant qu'entrepreneur, je le respecte beaucoup." Et en tant qu'homme politique ? "Je ne voudrais pas perdre son amitié." Est-il vrai que vous avez refusé de vous présenter à la mairie de Milan ? "Oui, trois fois. Et peut-être que j'avais tort. C'est un peu un regret. J'aurais bien aimé." Quand est-ce arrivé pour la première fois ? "En 1993. Je suis allé demander conseil au Milanais que j'estimais le plus." Qui? "Cardinal Martini. Une personne merveilleuse. Il m'a déconseillé." C'est la dernière fois ? "Le chef du Parti démocrate était Veltroni. Cette fois, le cardinal Martini m'a dit d'accepter. Pourtant j'ai abandonné, même si je me sentais coupable." Pourquoi ? "J'ai pensé à mes cinq enfants. Auraient-ils préféré un papa maire, ou un papa qui leur a appris un métier, qui leur a laissé une entreprise ? Et puis je n'ai pas voulu profiter de la popularité acquise grâce à l'Inter." Comment avez-vous rencontré votre femme Milly ? "Alla Capannina. Elle était belle. Je l'ai invitée à danser. C'était en 1966, elle avait vingt ans mais elle faisait plus jeune. Nous nous sommes mariés en 1971, nous avons toujours tout partagé. Sauf pour une chose." Qui est? "Quand j'ai acheté l'Inter, je n'ai rien dit. Elle l'a appris à la télé. J'ai donné l'ordre de bloquer les ascenseurs car j'avais peur qu'elle monte pour m'arrêter. Puis je suis allé à la maison. Je n'ai trouvé personne. J'ai trinqué avec la serveuse." Comment trouvez-vous Milan aujourd'hui ? "Toujours la meilleure ville au monde pour travailler". Pourquoi? "Parce qu'ils fonctionnent tous. Et parce que les Milanais ont le sens de la participation. Comme quand ils ont nettoyé la ville maculée par les black-blocs en un après-midi." Et le nouveau stade ? "Ne me convainc pas. Détruire San Siro serait un crime. On dit : ‘donc les clubs gagnent 30 millions par an.’ Mais que sont 30 millions par rapport à l'histoire ? Vous verrez qu'à la fin personne n'osera démolir notre temple." Traduction alex_j via Le Corriere della Sera.
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Nicolò Barella : "Capitaine de l’Inter ?"
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Interviewé par Sky Sport, Nicolò Barella, le milieu de terrain de l’Inter auréolé, s’est livré lors de la Cérémonie du Gran Galà del Calcio 2022: "Je suis heureux de ce prix, je suis parvenu à le remporter avec deux équipes, Cagliari et l’Inter, cela veut dire que mon travail porte ses fruits pour les équipes dans lesquels j’évolue et c’est ce qui est de plus important." Le Capitanat ? "En ce moment, je suis sincère: Il ne m’intéresse pas, il y a des garçons à l’Inter qui sont là depuis bien plus longtemps que moi, ils se sont plus battu que moi et le mérite leur en revient à eux. Samir est un pilier de notre histoire, il est encore avec nous et il mérite d’être le Capitaine." Mon alchimie avec Brozovic? "C’est un garçon sympathique, il aime s’amuser, il aime mettre de la vie dans le vestiaire avec son engagement mais aussi avec légèreté, il s’est créé quelque chose de beau et j’espère que nous continuerons encore à gagner ensemble." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Interviewé dans le cadre du MatchDay Program d’Inter-Cremonese, Matteo Darmian, s’est livré sur sa carrière de joueur: "Dans ma carrière, j’ai eu la chance de rencontrer et de partager tant d’expériences avec des personnes qui m’ont soutenu et qui m’ont fait grandir, d’anciens équipiers aux entraineurs, des amis à la Famille, tous ont toujours été à mes cotés." "Le football a toujours fait partie de ma vie, d'après-midi sur un terrain avec des amis à disputer de grands matchs. Ma détermination dans ma carrière a été l'un des ressorts qui m'a poussé à faire toujours mieux, même si le travail et l'esprit de sacrifice ont toujours été les éléments clés." "J'ai grandi dans une ville proche de Milan et c'est ma troisième année à l'Inter. Milan est une ville qui a marqué des étapes importantes de ma vie. A Turin j'ai vécu quatre années fantastiques, je suis arrivé comme un jeune garçon et grâce à la confiance de beaucoup de personnes j'ai mûri et j'ai réussi à faire des choses importantes. Ensuite, il y a eu Manchester, qui pour moi, reste une expérience très constructive." "Si je ferme les yeux et que je repense à mon enfance, l'image que j’ai est celle de l'oratoire Don Bosco de Rescaldina, où j'ai commencé à taper dans un ballon pour la première fois. Je jouais toujours au football, je passais du temps avec mes amis." "L'espoir de devenir footballeur était là et il était nourri par beaucoup de passion et l'envie de m'amuser, cela m'a poussé à poursuivre mon rêve. Pour ma part, je pense que des joueurs comme Zanetti et Maicon ont été une source d'inspiration pour de nombreux jeunes." "Mon but contre Cagliari n'est certainement pas le plus beau but que j'ai marqué, mais c'est certainement l'un des plus importants. Au Giuseppe Meazza, c’est avec ce but que nous avions fait un pas important vers la conquête du 19ème Scudetto. L'action a commencé sur la droite, Lukaku a lancé Hakimi, je suis arrivé au deuxième poteau et j'ai marqué ce but importantissime pour moi et l'équipe" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Inter 1993-1994 : la saison la plus folle et schizophrénique de toutes
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Imaginez faire partie de l'un des plus grands clubs de l'un des principaux championnats européens. Avant le début de la saison, vous vous asseyiez et discutiez en salle de conférence de ce qui constituerait une bonne saison et de ce que vous considéreriez comme une mauvaise. Finir dans la deuxième moitié du tableau, se rapprocher beaucoup plus de la relégation que vous ne l'imaginiez relèverait-il de la rubrique désastre ? Gagner l'une des compétitions européennes majeures ferait-il de la saison un succès ? Notre Inter a réussi à faire les deux en 1993-1994 dans un cas de schizophrénie calcio à une échelle épique. Voici le récit de cette saison incroyable où notre Inter aurait réussi l’exploit de gagner la coupe de l’UEFA tout en étant reléguée. Il y a des victoires qui sont la digne conclusion d'une saison extraordinaire, le résultat de belles performances avec de belles équipes qui restent dans l'histoire pour leur invincibilité, cet aura des équipes gagnantes. Il y a ensuite d'autres victoires. Des victoires qui apparaissent comme une tache blanche, comme une sorte de vengeance, dans une toile grise qui contient les quelques et rares hauts et les très nombreux bas d'une saison entière. Mais ces victoires sont destinées à résonner également dans l'éternité. Il s'agit de la Coupe UEFA remportée par l'Inter lors de la saison 1993-1994. Dans une année au cours de laquelle la célèbre équipe qui "n'a jamais été en Serie B" est restée en Serie A grâce à un seul petit point, ce petit point qui fait toute la différence entre les équipes légendaires et moyennes ou anonymes. L'Inter, après avoir plus ou moins moyennement terminé le cycle allemand avec une amère huitième place, s'est appuyée lors de la saison 1992-1993 sur Osvaldo Bagnoli, le célèbre entraîneur de Vérone, champion surprise en 1985, tout en investissant sur Sammer et Pancev. Le premier fut un flop, le deuxième fut victime d'incompréhensions et de contresens et ne sera pas tout à fait au diapason des Nerazzurri et de Ruben Sosa, le nouveau pivot de l’attaque interiste. Les résultats sont immédiats : malgré un départ avec le frein à main pas complètement desserré, l'Inter est arrivée deuxième tout en touchant dans certaines situations le Scudetto. Ruben Sosa est le pilote incontesté de notre voiture avec 20 buts en 28 matchs. L'Inter décide également d'investir dans Jonk et Bergkamp pour tenter de renforcer l'équipe et aspirer à des résultats plus prestigieux. Mais, malheureusement parce que c’est l’Inter, cela n'arrivera pas. Et cela en raison des innombrables matchs décevants du Néerlandais non volant appelé ainsi pour sa peur légendaire historique de voler. En Coupe UEFA, cependant, les résultats sont différents lors des premiers tours, Dennis Bergkamp apparaît possédé et marque d’un formidable ciseau retourné dont on ne se souvient pas assez, ciseau avec lequel il anéantit le Rapid Bucarest (3-1, 2-0). Au tour suivant, quoique difficilement, l’Apollon Limassol a été éliminé. Cette remontée subie, 0-2 à 2-2, au retour sur le sol chypriote apparaît immédiatement comme une sonnette d'alarme (score final 3-3, l’Inter ayant gagné 1-0 à l’aller), comme un manque de stabilité non seulement tactique, mais aussi dans le contexte environnemental et corporatif noir et bleu. Hé oui, on paye l'absence de Nicola Berti, pivot au centre, absent pour blessure. En huitièmes de finale les nerazzurri affrontent Norwich et c'est certainement l'Inter, tant à l'aller qu'au retour, impose son jeu en gâchant cependant plusieurs occasions. Le risque de subir un revers en Angleterre au retour était grand (1-0, 1-0). Au match aller, c'est un formidable tir de Ruben Sosa qui a causé le penalty pour Bergkamp dans un match globalement ennuyeux. Au retour pourtant, après un penalty refusé, c'est toujours le Néerlandais qui au cours d'une redoutable contre-attaque punit le gardien adverse d'une formidable frappe du pied droit au second poteau. Berkamp ouvre les portes des quarts grâce à ses deux buts. Il et semble sauver Bagnoli, plus que jamais sur la sellette. Le verbe sembler, en effet, est bien à propos car en février, Bagnoli est limogé pour être remplacé par Gianpiero Marini, ancien joueur de l’Inter du titre 1979-1980. Il est ainsi jeté dans la mêlée pour entraîner l'un des plus importants clubs de football d'Italie. Pour expliquer ce limogeage, rappelons qu’à Noël, l'Inter était cinquième de la Serie A en n'ayant perdu que trois matchs sur seize. Les performances n'étaient pas excellentes, mais on s'attendait à ce que la seconde moitié de la saison soit meilleure que la première, une conviction renforcée par le retour de Berti après une longue blessure. Cependant, ce qui suivit après Noël a été une séquence de résultats… disons bizarres. Parmi les cauchemars comme la défaite 1-0 à Reggiana, il fallait le faire, il y a eu de très bonnes performances comme les victoires consécutives contre Foggia et à Cremonese. Ce qui a achevé Bagnoli, ce sont dix jours terribles au cours desquels l'Inter est sortie de la Coppa Italia à la Sampdoria, un match nul miraculeux à domicile contre Cagliari avant la défaite contre la Lazio. Ernesto Pellegrini en avait assez vu et Bagnoli a été licencié. L'Inter occupait la sixième position de la Serie A et rien n’était donc perdu. Mais Piacenza était un endroit difficile à atteindre et une défaite 2-1 là-bas suivit. Bien que peu souhaitable, elle n'a pas représenté une catastrophe lors du premier match de Marini. Ce qui était inquiétant, c'était que des points étaient inexorablement perdus sur la route. Plus vous en perdez, moins il faut en perdre. Doucement mais sûrement, l'Inter glissait vers le fond du tableau. Mais en Europe et de manière totalement inexplicable, l'Inter de Marini s'avère aussi écrasante que celle de Bagnoli et le quart de finale en est la preuve. Cette fois ci, l'adversaire de l'Inter est le Borussia Dortmund, un gros morceau. Il s'agit, en fait, du Borussia Dortmund d'Ottmar Hitzfield, parmi lesquels dans les rangs se trouve le susmentionné Sammer, qui entre-temps était passé directement dans les rangs allemands. Ce BvB est la colonne vertébrale du futur vainqueur de la Juventus de Lippi en Champions League, trois ans plus tard. Le quart de finale se joue le 1er mars, le Borussia Dortmund démarre très fort, et Zenga se retrouve immédiatement à devoir faire des sauvetages incroyables sur Karl-Heinz Riedle. L'Inter a pris l'avantage à la 33e minute, grâce au but de Jonk d’une froideur chirurgicale. Jonk, peu après, à la 36e minute, remet ça. L'Inter est mortelle en contre-attaque et un but valable de Dell'Anno est annulé pour un hors-jeu inexistant. Le Borussia Dortmund réduit l'écart, Schulz profitant d'une erreur de Zenga lors de sa sortie. Pour conclure cette soirée européenne mémorable, Shalimov marqua à la 89e minute, d'une contre-attaque d'école conclue par une passe décisive de l'habituel Ruben Sosa. Belle victoire 3-1 en Allemagne. Le 15 mars, au match retour, c'est l'Inter qui joue avec le feu, encaissant des buts de Zorc et Ricken qui rouvrent la danse et remettent en selle le BvB. L'Inter cherche désespérément un but, un but qui calmerait les eaux torrentielles, un but qui les sauverait. Malheureusement, Bergkamp frappe sur le poteau qui vibre dans l'âme des supporters qui craignent alors le pire. La réponse de Dortmund ne s'est pas fait attendre, l'ancien de service frappant une barre transversale avec un gauche furieux qui semble se briser comme l'espoir du Borussia Dortmund. Espoir définitivement anéanti par le but de Manicone qui, en contre-attaque, exonère l'Inter de la pire agonie possible, donnant aux nerazzurri l'accès à la demi-finale de la Coupe UEFA. En championnat ? Hé bien, une descente en enfer, un avion tombant lentement mais sûrement. Une victoire 1-0 à domicile contre l'Udinese en difficulté prendrait une importance capitale à la fin de la saison alors que l'Inter perdait ses quatre prochains matches pour ne rester qu'à deux points au-dessus de la zone de relégation. Un derby milanais très disputé avait vu le nul jeté par la fenêtre à cause de Daniele Massaro marquant en fin de match. Heureusement, les joueur de Lecce étaient dociles pour une victoire 4-1, une victoire qui fera finalement la différence entre la survie et l'impensable. Retour en coupe UEFA. L'adversaire, en demi-finale de la coupe UEFA, est Cagliari, un Cagliari étonnant capable d'éliminer la Juventus de Trapattoni via une double victoire, qui bénéficie de l'immense et incontesté talent de Luis Oliveira qui avait amené les Sardes vers ce but inattendu, ainsi que d'avoir disponible un joueur inconnu à l'époque, un joueur qui sera plus un excellent entraîneur, Massimiliano Allegri. La demi-finale arrive à un moment compliqué pour l'Inter. En effet, elle vient subir cinq défaites consécutives et s'apprêtant également à subir la sixième. A Cagliari, le 30 mars, l'Inter s'est inclinée 3 à 2, tête de Fontolan et avec tir de Ruben Sosa, qui toucha le poteau avec un coup franc de 40 mètres. Mais rien ne peut faire face à la performance et la personnalité de Cagliari, qui avec Oliveira, Criniti, Pancaro s'offre une victoire historique qui semble enterrer une Inter malade… mais qui a tout de même inscrit deux buts à l'extérieur et qui même si elle saigne abondamment, n’est pas morte. A son retour, au Meazza, le 12 avril, l'Inter a réalisé une performance vraiment mémorable, prenant l'avantage avec le penalty de Bergkamp en première mi-temps, puis doublant la mise avec une action conclue par Berti. La cerise sur le gâteau de cette inoubliable soirée européenne est le but de Wim Jonk, l'habituel Wim Jonk. La victoire de l'Inter signifie une finale, une finale qui peut marquer le rachat d'une saison pas encore désastreuse mais proche de l'abîme. N’oublions pas que les nerazzurri sont toujours en lute avec pour éviter de tomber en Serie B. La finale est contre Salzbourg et le match aller se joue à Vienne le 26 avril. Salzbourg fait tout pour gagner cette Coupe, mais ce soir-là sera nerazzurro. Minute 35, coup franc sur l'aile droite pour l'Inter, Ruben Sosa voit l’appel de Berti, sa marque de fabrique, qui est servi, et marqua au deuxième poteau. C'est le deuxième but de Berti en finale européenne et ce but, comme dans le cas de la Coupe UEFA 1990-1991, s'avérera gagnant. En attendant, l'Inter, toujours menacée de relégation, doit s'imposer pour être sûre de rester comme toujours dans son histoire en Serie A. Ils jouent contre la Roma qui se bat pour une place en Europe. Et c'est la Roma qui a pris les devants, avec un but de Giannini. La situation est renversée par Fontolan, et l'âme de l'Inter, Nicolino Berti. La Roma a égalisé avec des buts de Cappioli à la 80e minute. Il faut attendre le dernier tour, lors du derby entre Parme et Pacienza pour sauver définitivement l'Inter du cauchemar de la Serie B. En effet, le 0-0 sauva notre équipe qui perdit contre la Dea 2-1 lors de la dernière journée. A son retour à Milan, le 11 mai 1994, l'Inter cherchait le but qui bouclerait définitivement les comptes et remporterait sa deuxième Coupe UEFA. Mais les occasions sont plusieurs fois gâchées. Ensuite, c'est Salzbourg qui s'est montré devant, touchant le poteau et stoppé par l'un des meilleurs Walter Zenga de tous les temps lors de son dernier match sous notre maillot. On arrive alors à l'acte final : minute 62, il y a encore une énième contre-attaque noire et bleue, avec Ruben Sosa servant Jonk, qui d'une feinte esquive son marqueur direct et, après s'être approché de la surface, marque d'un tir et donne la seconde Coupe UEFA dans l'histoire de l'Inter. Une Coupe UEFA qui, dans une saison marquée par le gris très foncé d'un gros échec, apparaît comme une tache blanche éclatante. Mais elle aura mis fin à une époque, celle de Pellegrini, au crépuscule avant l'arrivée de Massimo Moratti en 1995, qui à son tour écrira d'autres pages indélébiles de l'histoire de nerazzurra. Peut-être qu'en le lisant maintenant, c'est ainsi que nous comprenons le football maintenant alors que nous ne réalisions pas pleinement ce qu'était cette saison. C'est comme si une équipe comme Udinese et Sssuolo dans une saison classique ou normale luttant pour ne pas être reléguée, parvenait à battre et à éliminer en Ligue Europa des équipes comme: Tottenham, Arsenal, Atletico Madrid. Des équipes que l'on retrouve désormais en Ligue des Champions. Inutile de dire, la joie d'une telle conclusion, pour tous les supporters de l'Inter qui la portent encore dans leur cœur. C'était plein de rebondissements, de cauchemars en triomphes historiques en mois, semaines, jours. Ce n'est pas un hasard si nous sommes Interista depuis ou malgré cette année-là. C'était la saison la plus folle de toutes, c'était la saison de la "Pazza Inter". Texte alex_j.- 6 commentaires
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Cet été, l’Inter Milan a fait preuve d’audace en recrutant très tôt Kristjan Asllani et Raoul Bellanova, deux jeunes talents émergents. Depuis, le mercato nerazzurro s’est assagi, et le manque de budget semble contraindre l’entraineur à faire preuve de créativité pour compléter la profondeur de l’effectif. Cette saison sera-t-elle celle de la confiance aux jeunes ? Kristjan Asllani Le milieu de 20 ans vient tout juste d’arriver cet été après avoir débuté en Serie A la saison dernière. Pour autant, la Gazzetta dello Sport nous apprend ce matin que Simone Inzaghi serait déjà très impressionné par les progrès de la jeune recrue durant la présaison. Asllani a toujours été la cible prioritaire en tant que remplaçant de Marcelo Brozovic, lui qui a su prendre la place du titulaire Samuele Ricci depuis Janvier à Empoli. Du côté du club, il n’y a jamais eu aucun doute avant de signer le joueur (en prêt payant 4M€, puis obligation d’achat en juin 2023): Asllani est la bonne option. Toutefois, Inzaghi vient maintenant partager sa vision après avoir travaillé avec le jeune albanais à l’entrainement : le coach à une pleine confiance que le joueur de 20 ans jouera un rôle important cette saison. Non seulement Asllani entrera souvent en action quand Brozovic sera blessé, suspendu ou aura simplement besoin de repos ; mais il saura aussi compléter d’autres tâches. Inzaghi n’a aucune inquiétude quant à la capacité du joueur à y parvenir. Raoul Bellanova Malgré quelques bonnes entrées en jeu, le latéral italien de 22 ans s’est fait plus discret depuis son arrivée au club. C’est son ancien coach, Leonardo Semplici, qui parle pour lui aux micros de FCInternews. « L’inter est une équipe vraiment forte, qui a des joueurs de premier ordre. Raoul est un jeune avec une grande marge de progression. Si le management des Nerazzurri a décidé d’investir sur lui, cela signifie qu’ils sont prêts à parier sur son potentiel. » L’ancien coach de Spal et de Cagliari ajoute ensuite : « Bien sûr, passer de Caglari à l’Inter change les perspectives et les objectifs, mais en travaillant très dur à l’entrainement, Raoul sera capable de se rendre utile à la cause. Il est jeune et il doit encore grandir, mais il a toutes les cartes en main pour se faire un nom. » Visiblement le message est passé, puisque Bellanova interviewé par FCInternews a confirmé : « Je veux prouver que je suis important pour l’Inter. Cela passera par l’entrainement, ce qui est je pense la base, et ensuite faire en sorte d’être prêt à chaque fois que le coach fera appel à moi. » Valentin Carboni La Gazzetta dello Sport nous révèle aujourd’hui que Valentin Carboni, milieu offensif versatile, ferait partie des plans pour l’équipe première de Simone Inzaghi cette saison. Carboni, à seulement 17 ans, fait partie de la Primavera de l’Inter qui vient de remporter son championnat (U19). Le jeune argentin est un milieu offensif de formation, mais sait également jouer en tant que second attaquant. Cela lui a valu une chance en équipe première pour la présaison. D’après le journal, Inzaghi aurait été très impressionné par ce qu’a montré le jeune de 17ans, et serait déjà surpris de la maturité et de la compréhension tactique affichées par Carboni compte tenu de son âge. Carboni devrait être conservé dans l’équipe senior pour la saison à venir, puisque Inzaghi aura besoin de nombreux joueurs à appeler, étant donné que la profondeur de l’effectif risque d’être chamboulée par le calendrier condensé dans les mois qui viennent. En composant de la sorte, l’Inter est en train de rajeunir son effectif, dont la moyenne d’âge est passée de 29.16 à 27.39 lors de ce mercato. La moyenne d’âge finale dépendra des derniers mouvements, notamment en défense où faute de recrutement, le choix par défaut sera également un jeune, Alessandro Fontanarosa (voir ici) D’après vous, lequel de ces jeunes talents sera notre révélation de la saison ? ®QG1989 - Internazionale.fr
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Un 30 juin 2023 de très haute volée attend l'Inter!
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
En effet, le mois de juin 2023 sera le mois le plus important de l’Inter pour son avenir, plusieurs forces en présence pourraient prendre la poudre d’escampette! Nos confrères de Fcinter1908.it se sont penché secteur par secteurs! Les gardiens "Ces derniers jour a été officialisé la prolongation du contrat de Samir Handanovic, le Capitaine et Leader du Vestiaire de l’Inter. André Onana est arrivé, mais il débutera son aventure Nerazzurra en tant que second. Simone Inzaghi misera encore sur le slovène, du mois, initialement. Au 30 juin 2023, son départ sera probablement acté. A noter qu’Alex Cordaz, le troisième gardien de l’Inter, sera aussi en fin de contrat au 30 juin 2023." La défense "Milan Skriniar et Stefan De Vrij représentent les noms les plus ronflants : Le slovaque est au cœur du mercato, mais en cas de permanence, le club est prêt à renouveler son contrat actuel qui prendra fin au 30 juin 2023. Il reste encore à définir le futur de De Vrij vu que les négociations pour un renouvellement n’ont pas débutés et que de réelles demandes ne sont jamais arrivées. Mais les deux Nerazzurri ne sont pas les à voir leur contrat se terminer au 30 juin 2023 : Henrique Dalbert, qui ne fait pas parti des plans de l’Inter et qui est actuellement blessé, et Danilo D’Ambrosio, qui reste, lui, l’un des leaders absolu du vestiaire." Les milieux de terrain "Au net de la situation de Raoul Bellanova, prêté avec une option d’achat par Cagliari et de Kristjan Asllani, qui sera formellement en fin de contrat au 30 juin 2023, mais qui fait l’objet d’un prêt avec obligation d’achat avec l’Empoli, il y a lieu de réfléchir sur la situation relative à deux autres joueurs de ce secteur : En effet, les contrats de Roberto Gagliardini, pisté par Monza, et de Matteo Darmian arriveront à expiration." L’attaque "L'attaque est le rempart qui, l’an prochain voir même avant, pourrait faire l’objet de la plus importante des révolutions: Alexis Sanchez sera très probablement vendu lors de cette session estivale, alors qu’il reste quelques situations encore à définir tel que l’avenir de Romelu Lukaku, qui est prêté exclusivement jusqu’au 30 juin, mais qui a déjà fait part de son intention de tout faire pour rester Nerazzurro. Outre Lukaku, Edin Dzeko arrivera également en fin de contrat" Pensez-vous que l’Inter prolongera le mythique Gagliardini ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 6 commentaires
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