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  1. Le directeur arbitrale a calmement passé en revue les épisodes et partagé l'avis de l'arbitre Juventus-Inter! Gianluca Rocchi a désigné Davide Massa à la direction de la Juventus-Inter . La Gazzetta dello Sport, via son site Internet, explique que l'ancien arbitre "a revu des vidéos et des épisodes et, dans l'ensemble, estime que l'officiel de match de la première demi-finale de la Coupe d'Italie Juventus-Inter a eu la conduite appropriée". Juventus-Inter, l'arbitrage de Massa encensé! A la loupe, évidemment, la fin de match houleuse et ce qui s'est passé après le but de Lukaku. Rocchi aurait jugé que les cartons distribuées par Massa étaient correctes. Comme le deuxième carton jaune pour Romelu Lukaku après le but du 1-1 : "L'exultation du Belge est reconnue, c'est celle déjà vue en équipe nationale. Accompagnée cependant par des paroles. le règlement indique une action provocatrice : Mais était-ce une action ou une réaction ?Sûrement plus la seconde que la première Cependant, si Massa, sur le terrain, avait entendu des chants racistes du public, ou si Lukaku les avait « signalés », il aurait dû suspendre temporairement le match et "tout enregistrer. Rocchi n'a pas été cité par hasard dans l'affaire du calcicolpoli a l'époque, escroc un jour escroc toujours! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  2. Juventus toujours, lors du Napoli-Juventus Primavera, certaines images ont capté la présence de Luciano Moggi sur le banc : le procureur ouvre une enquête. Le 14 Janvier dernier, lors du match entre Naples et la Juventus Primavera, certaines images ont montré la présence en marge de Luciano Moggi, un ancien manager de la Juventus radié du football après le scandale du Calciopoli de 2006. Beaucoup se demandent comment sa présence fut possible alors qu'il est sensé être radié du monde du football. Et de fait, comme le rapporte la Gazzetta dello Sport, le parquet fédéral a décidé d'ouvrir une enquête. "Comment l'ancien manager de la Juventus, radié pour les événements du Calciopoli, peut-il occuper une telle place lors d'un match officiel ? Une question à laquelle veut désormais répondre le procureur fédéral qui a ouvert un dossier d'enquête sur l'incident. La violation, si elle devait être avérée, concernerait la présence sur le banc de touche d'une personne ne figurant ni dans la liste des matchs, ni parmi les accrédités (photographes, caméramans, etc.), le tout aggravée dans le cas de Moggi par la radiation, ou 'la forclusion à vie de rester dans n'importe quel rang ou catégorie de la FIGC'. Mercredi, Gianluca Pessotto, coordinateur du staff technique de la Juventus, a été entendu. Il s'est longuement entretenu avec Moggi ce jour-là sur le terrain de Cercola. Il est probable que Napoli sera également entendu en tant que responsable de l'organisation du match." Moralité : hé oui, c'est encore un complot ! Traduction alex_j via FCInter1908.
  3. Encore pire que la Calciopoli? Voici les déclarations de l'avocat Mattia Grassani, expert en droit du sport, qui s'exprimait sur Radio Anch'io lo sport. "Cette situation est-elle plus grave que Calciopoli ? A cette époque, le système de la Juventus devait polluer le système d'arbitrage par le haut du panier. Aujourd'hui le fait que les mêmes protagonistes se livrent à ces parallèles, à ces comparaisons, et disent que la situation est plus grave que celle du Calciopoli, démontre que la prise de conscience de leur comportement encore plus grave qu'en 2006. C'est une chose d'approcher un arbitre, un officiel, un président, c'est très sérieux, mais c'en est une autre de doper les comptes de l'entreprise. De cette manière, la parité concurrentielle avec les autres clubs est violée. Cela altère la régularité du championnat, voire ce qui se joue sur le terrain. Je n'ai pas à injecter de capital dans l'entreprise via des stickers Panini ou des cartes Monopoly." Les brebis galeuses quittant la Serie A... enfin, quittant, vite dit... "La situation avec l'UEFA n'a pas fait l'objet d'une enquête approfondie. C'est également une situation unique pour l'UEFA car les autres procédures envisageaient des dépassements de capacité de dépense par rapport au fair-play financier, il a été question de dépassements et de capacité de dépense. Dans ces situations, il y avait un blocage du marché, mais c'est une situation différente. La procédure judiciaire sportive et la procédure pénale sont techniquement autonomes. En effet, dans de nombreux cas, nous avons assisté à des acquittements d'un côté et à des condamnations de l'autre. La justice sportive arrivera plus tôt et les enquêtes pénales n'auront certainement pas encore atteint la fin de la procédure pour tout éclairer. La justice sportive devra évidemment tenir compte de la justice pénale, notamment des bilans, du matériel saisi et des écoutes téléphoniques. Mais le critère d'évaluation est autonome. Le mouvement doit avoir la capacité et la force d'éliminer les brebis galeuses, qu'il s'appelle Juventus ou Borgorosso Football Club." Traduction alex_j via FCInter1908.
  4. Enorme séisme dans le Calcio et plus précisément à Turin avec le départ officialisé de l’intégralité du Conseil d’Administration de la Juventus, Andre Agnelli inclus ! Cette photo retrace à la perfection ce qu'il se passe à Turin en ce moment! Selon Marco Bellinazzo, journaliste au Il Sole 24 Ore, les démissions seraient liées à l’Affaire Prisma, SERAIT, car il est encore bien trop tôt pour en avoir confirmation: "Cette démission a été un coup de tonnerre alors que l'enquête en cours était connue de tous. Le communiqué publié par le club bianconero parle à la fois du cas des plus-values et du cas des salaires. Lors de la pandémie, il était question de quatre mensualités économisées sur les salaires des joueurs, mais la réalité est qu'il y aurait eu des paiements à des moments différents et selon des modalités différentes de celles que l'accusation considère comme correctes. En plus de travailler sur les bilans, la Juventus a décidé que le Conseil d'Administration devait "démissionner". L’avis de Federico Ferri, directeur de Sky Sport, s'est exprimé sur le séisme qui frappe de plein fouet la Juve sur Sky Sport 24 "Ce qui s'est passé et ce qui se passe ces dernières heures à Turin est totalement lié à l'enquête Prisma, aux plus-values, et à l'hypothèse d'une fausse comptabilité, ainsi qu’aux conclusions de la Consob. Il est clair que nous ne nous dirigeons pas seulement vers une mise en accusation, mais il y a aussi une prise de position du Club qui, pour se défendre au mieux, a décidé d’exiger la démission de l'ensemble du conseil d'administration. Il s'agit clairement d'une décision de la propriété, cela ne fait aucun doute". "Il y aurait la détention de pièces à conviction, des écoutes téléphoniques, des mises en accusations sont en cours en ce moment : Le niveau de gravité de la situation est comparable à celui de 2006." Révélation du Monde et de l’AFP "Déjà plongée dans de sérieux problèmes sportifs, financiers et judiciaires, la Juventus de Turin sombre un peu plus dans la crise. Le club italien a annoncé, lundi 28 novembre, la démission de la totalité des membres de son conseil d’administration, y compris son président, Andrea Agnelli. Cette décision fait suite aux enquêtes menées par la justice italienne depuis plus d’un an, qui mettent directement en cause les dirigeants de la Juve." "La brigade financière de la police italienne avait perquisitionné en novembre 2021 les bureaux du club, dans le cadre d’une enquête sur les mouvements de joueurs au cours des trois dernières saisons, et sur la manière dont les résultats financiers annuels ont été présentés entre 2019 et 2021." Plus-values "fictives" "Le Parquet de Turin s’intéresse également aux « faux échanges » de joueurs qu’aurait pratiqués la Juve : des ventes croisées avec d’autres clubs, sans échange d’argent mais permettant d’inscrire des plus-values dans les bilans. Les magistrats ont chiffré ces plus-values « fictives » à quelque 155 millions d’euros entre 2018 et 2021. Le club, coté en Bourse, aurait, en outre, caché à ses investisseurs l’existence d’accords privés avec des joueurs, dont l’attaquant vedette portugais Cristiano Ronaldo. Cette pratique lui aurait permis de régler certains salaires en différé." Dans le rouge depuis cinq ans "A ces déboires judiciaires s’ajoutent des problèmes financiers inédits pour un club de cette envergure. Dans le rouge ces cinq dernières années, le club a enregistré la saison passée 255 millions d’euros de pertes. Un déficit record dans le football italien." La « Vieille Dame » a aussi été éliminée dès les phases de poules de la Ligue des champions cette année. Cette sortie prématurée de la compétition engendre un manque à gagner de quelque 20 millions d’euros, selon le site Calcio e Finanza. Le directeur général, Maurizio Arrivabene, a été chargé de rester en place et d’expédier les affaires courantes le temps qu’un nouveau conseil soit constitué, a précisé le club. La prochaine assemblée générale est prévue le 18 janvier 2023. Le Monde avec AFP Et pour rappel, en 2006, ce fut le Scandale du Calciopoli…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  5. Massimo Moratti a accordé une longue interview au Corriere della Sera et revenu sur sa vie, l’Inter de son père, le Calciopoli et certains joueurs emblématiques. Massimo Moratti, vous êtes né trois semaines après la fin de la guerre. Quelle est votre premier souvenir? "Un matin, j'avais quatre ans. Je sentais que c'était un jour important. Et mon frère Gian Marco allait à l'école avec une chaussette rouge et une autre bleue." Distraits. "Joyeux. Nous étions une famille joyeuse. Papa travaillait toute la journée, mais tous les soirs on se retrouvait à écouter la radio : Franca Valeri, Alberto Sordi…" Comment était ton père Angelo ? "Fantastique. Je n'ai jamais, de toute ma vie, trouvé un homme à son niveau. Et toute ma vie j'ai essayé de l'imiter; même en sachant que c'était impossible. Brillant, charmant, plein d'esprit, sympathique, humainement très riche... " Pas seulement humainement. "Mais c'est venu de la pauvreté. Mon grand-père avait la pharmacie de la Piazza Fontana à Milan. Mon père a quitté la maison à 14 ans, sa mère était morte, et il ne voulait pas vivre avec sa belle-mère, aussi dure que celle des contes de fées." Il y avait cinq enfants dans la maison : outre toi et Gian Marco, trois sœurs. "Notre mère Erminia était aussi une personne joyeuse. Elles plaisantaient tout le temps avec papa. Ils s'aimaient." Comment était Milan dans les années 50 ? "Encore à moitié détruite. Imaginez. Mais nous savions que l'avenir serait meilleur que le présent." Pour qui les Moratti ont-ils voté ? "Démocrates. Nous étions antifascistes et anticommunistes." N'y avait-il vraiment rien de mal à cela ? "Il y avait quelque chose qui n'allait pas. Nordahl." L'avant-centre milanais ? "Grand, grand, imparable. J'avais physiquement peur de lui. Je l'ai vu au San Siro et j'ai rêvé de lui la nuit. Nordahl était l'homme noir de mon enfance." Alors ton père a acheté l'Inter. "Mais on est allé le voir avant. Je me souviens du 6-5 du derby de 1949. Au stade, il y a eu une bagarre, des chapeaux ont volé." Quel était votre footballeur préféré ? "Benito Lorenzi, dit Veleno. En dehors du terrain, il était très gentil car il s'occupait des enfants de Valentino Mazzola, Sandro et Ferruccio. Mais sur le terrain, ça devenait terrible. Il provoquait la foule avant et après avoir marqué. C'est Lorenzi qui a surnommé Boniperti Marisa, malgré ses amis. Boniperti était très en colère." Le footballeur le plus fort que vous ayez jamais vu ? "Je vais vous en dire deux : Angelillo et Ronaldo. Deux histoires parallèles. Comme Herrera et Mourinho." C'est-à-dire? "Angelillo était une pure classe. Il a fait un championnat extraordinaire, avec 33 buts. Puis il est tombé éperdument amoureux d'une chanteuse, et s'est perdu. Nous l'avons vendu et avec le produit nous avons acheté Luisito Suarez : très intelligent." Et Ronaldo ? "Il est venu me voir quand il jouait pour le PSV, avec une petite amie néerlandaise... Quand il est arrivé à l'Inter, il était le joueur le plus fort du monde. Après les blessures, il n'est jamais revenu à ce niveau." Senti trahi lorsqu'il est allé au Real Madrid, après que l'Inter l'ait attendu ? "Non. Je m'étais identifié à lui, dans sa douleur. J'ai trouvé juste qu'il veuille changer, après avoir tant souffert." Herrera, comment l'as-tu trouvé ? "Un journaliste de la Gazzetta dello Sport nous l'a rapporté, je pense Franco Mentana, le père d'Enrico. Le Magicien et Mourinho avaient beaucoup de choses en commun." Quoi? "Ils ont beaucoup travaillé et étudié. Ils connaissaient la psychologie et la médecine. Quand José est arrivé, notre médecin a dit : enfin un coach qui m'aide." Brera dit que Herrera s'est également servi de certaines tablettes dans les vestiaires... "Brera a plaisanté. Mon père ne l'aurait jamais permis. Et le Magicien avait beaucoup de respect pour mon père, presque de la crainte." En 1964, l'Inter remporte sa première Coupe d'Europe. "A la première participation. En battant le Real Madrid 3 à 1, qui a toujours gagné. Mais Herrera a mis Burgnich sur Di Stefano et Tagnin sur Puskas... Une joie indescriptible." L'année suivante, il remporte la Coupe à San Siro, but de Jair. "Il pleuvait, le ballon est passé sous le ventre du gardien de Benfica. C'est aussi un moyen de gagner." Qui était ton héros ? "Mariolino Corso. Jamais vu un ailier avec une telle classe. J'ai adoré Recoba parce que j'ai vu l'imprévisibilité de Corso en lui." Mais ensuite, l'Inter l'a vendu. "Et mon père a acheté Cagliari quand il a appris qu'il était sur le point de vendre Riva à la Juve. Le lendemain matin, les dirigeants sardes ont informé Agnelli que l'affaire ne pouvait plus être conclue: le club avait un nouveau propriétaire. L'avocat n'a même pas demandé qui il était. Il a compris." Et Cagliari remporta sensationnellement le Scudetto. "Avec Domenghini que l'Inter avait vendu pour Boninsegna." Que s'est-il passé le 5 mai 2002, la défaite face à la Lazio qui vous a coûté le Scudetto ? "Les joueurs ont cru avoir reçu des signaux de leurs collègues de la Lazio, ils ne se seraient pas engagés pour ne pas favoriser la Roma. Mensonges ! J'en étais convaincu avant même le coup d'envoi, et je les ai prévenus : ‘Personne ne nous donnera rien.’ Pourtant, ils sont entrés sur le terrain avec une confiance excessive. Et ils n'ont jamais réussi à prendre le jeu en main. Je me sentais tellement responsable que je me suis dit : ‘Je ne quitterai pas le football avant d'avoir une revanche.’ " Sur le terrain, il y avait Cholo Simeone. "Et il a marqué contre nous. Grand combattant." Votre avant-centre était Bobo Vieri. "Un anticonformiste, toujours critique du management; mais pas un mauvais garçon. À l'Inter, il a fait tout ce qu'il pouvait faire; pourtant il n'a rien gagné." Puis vint Ibra. "Très beau. J'avais l'habitude de consulter les joueurs les plus importants pour la campagne de transfert, et avec Zlatan, nous avions un rituel. Il me disait: ‘On pourrait même se passer de Cambiasso l'année prochaine...’. Je rigolais. Ensuite, j'allais chez Cambiasso qui me disait: ‘L'année prochaine, autant se passer d'Ibra...’" Ibra et Cambiasso ne s'aimaient pas. "Mais sur le terrain, ils se donnaient à mort l'un pour l'autre." Et dans l'affrontement entre Ibra et Lukaku, avec qui seriez-vous rangé ? "Cela ressemblait à un match de boxe entre deux champions du monde. Lukaku est un trésor... Je me serais placé entre les deux, au risque d'en prendre une des deux." Mazzola a déclaré qu'il avait quitté l'Inter parce qu'elle avait consulté Moggi. "Ça ne s'est pas passé comme ça. C'est vrai que Moggi voulait venir à l'Inter, et je ne lui ai jamais dit explicitement que je ne voulais pas ; mais je ne l'aurais jamais pris." Pourquoi? "Parce que la Serie A a été manipulée; et nous étions les victimes. La Juve devait gagner; et si la Juve n'a vraiment pas gagné, c'était au tour du Milan. Dommage : car la plus grande forme de malhonnêteté est de tromper les sentiments des gens." Facchetti était en charge de l'Inter. "Un homme splendide. Une fois, je lui ai dit: ‘Giacinto, est-il possible que tu ne puisses pas trouver un arbitre, un seul, prêt à nous aider, à leur place?’. Il a répondu: ‘Vous ne pouvez pas me demander une telle chose’." La Juve a remporté deux championnats et un lui a été attribué. Le revendiquez-vous ? "Absolument oui. Je sais que les joueurs de la Juventus se fâchent. Cela m'amène à le revendiquer avec plus de conviction. Ce scudetto était la compensation minimale pour les vols que nous avons subis. Cela vaudrait beaucoup plus." Puis vinrent les championnats de Mancini et Mourinho. Comment avez-vous choisi Mou ? "En écoutant une de ses interviews télévisées, entre une demi-finale et une autre de la Ligue des champions 2004. Son Porto avait fait match nul avec le Deportivo La Corogne, le retour a été très difficile. Et il a dit : ‘Mais en tant que Deportivo, je pense déjà à la finale.’ J'ai beaucoup aimé sa bravade." Et ce fut le triplete : championnat, Coppa Italia, Champions. "Mission accomplie. J'étais fier que la même famille ait remporté la Coupe près d'un demi-siècle plus tard. Pour la première fois, je me sentis digne de mon père même s'il reste inaccessible. Aujourd'hui encore, il m'arrive de trouver des gens qui me parlent de lui, qui lui doivent quelque chose." Combien d'argent l'Inter vous a-t-elle coûté toutes ces années ? "Vous ne pouvez pas me demander cela. Je ne sais pas, et je ne te le dirais pas. Le football n'est pas une entreprise ; c'est passionné. Et les passions n'ont pas de prix." Maintenant, l'Inter est chinoise, peut-être pour un peu plus longtemps. "Les Zhang, à la fois le père et le fils, m'ont toujours semblé de bonne foi. Au début, ils m'ont demandé de parler aux joueurs, de les motiver. Mais aujourd'hui, il est impossible de tenir longtemps dans le football. Les pertes doublent ou presque doublent chaque année : 50 millions, 100 millions, 150 millions…" Comment cela finira-t-il ? "Peut-être qu'un fonds américain viendra. Mais attention aux spéculations. Le football n'est pas fait pour gagner de l'argent. Les Américains aimeraient en faire un spectacle. Show-business. Mais je ne sais pas si ce sera un jour possible en Italie." Qui remportera le championnat ? "Cela pourrait vraiment être l'année de Naples. Milan fait aussi peur. L'inter a une structure solide mais ensuite elle se perd au plus beau." Que pensez-vous de Berlusconi? "Je le considère comme un ami. En tant qu'entrepreneur, je le respecte beaucoup." Et en tant qu'homme politique ? "Je ne voudrais pas perdre son amitié." Est-il vrai que vous avez refusé de vous présenter à la mairie de Milan ? "Oui, trois fois. Et peut-être que j'avais tort. C'est un peu un regret. J'aurais bien aimé." Quand est-ce arrivé pour la première fois ? "En 1993. Je suis allé demander conseil au Milanais que j'estimais le plus." Qui? "Cardinal Martini. Une personne merveilleuse. Il m'a déconseillé." C'est la dernière fois ? "Le chef du Parti démocrate était Veltroni. Cette fois, le cardinal Martini m'a dit d'accepter. Pourtant j'ai abandonné, même si je me sentais coupable." Pourquoi ? "J'ai pensé à mes cinq enfants. Auraient-ils préféré un papa maire, ou un papa qui leur a appris un métier, qui leur a laissé une entreprise ? Et puis je n'ai pas voulu profiter de la popularité acquise grâce à l'Inter." Comment avez-vous rencontré votre femme Milly ? "Alla Capannina. Elle était belle. Je l'ai invitée à danser. C'était en 1966, elle avait vingt ans mais elle faisait plus jeune. Nous nous sommes mariés en 1971, nous avons toujours tout partagé. Sauf pour une chose." Qui est? "Quand j'ai acheté l'Inter, je n'ai rien dit. Elle l'a appris à la télé. J'ai donné l'ordre de bloquer les ascenseurs car j'avais peur qu'elle monte pour m'arrêter. Puis je suis allé à la maison. Je n'ai trouvé personne. J'ai trinqué avec la serveuse." Comment trouvez-vous Milan aujourd'hui ? "Toujours la meilleure ville au monde pour travailler". Pourquoi? "Parce qu'ils fonctionnent tous. Et parce que les Milanais ont le sens de la participation. Comme quand ils ont nettoyé la ville maculée par les black-blocs en un après-midi." Et le nouveau stade ? "Ne me convainc pas. Détruire San Siro serait un crime. On dit : ‘donc les clubs gagnent 30 millions par an.’ Mais que sont 30 millions par rapport à l'histoire ? Vous verrez qu'à la fin personne n'osera démolir notre temple." Traduction alex_j via Le Corriere della Sera.
  6. L’Administrateur Délégué de l'Inter, Beppe Marotta, a été au cœur de deux processus de "reconstruction" dans des clubs italiens de premier plan au cours de la dernière décennie, d'abord à la Juventus puis chez les Nerazzurri. C'est ce que souligne le journal milanais Gazzetta dello Sport, qui met en évidence l'importance du dirigeant dans l'histoire récente des deux clubs avant leur confrontation en Serie A ce week-end. Marotta est arrivé à la Juventus à l'été 2010. Impressionnés par son travail à la Sampdoria, le Club Turinois l’a chargé de reconstruire le club pour qu'il soit capable de se battre pour le Scudetto. Pour sa première saison, Marotta a amené avec lui l'entraîneur Luigi Delneri et a fait un certain nombre de recrutements qui n'ont pas vraiment fonctionné : les Bianconeri ont terminé en milieu de tableau. À l'été 2011, le dirigeant a relancé le projet en nommant l'ancien capitaine du club Antonio Conte pour remplacer Delneri et en procédant à des recrutements qui se sont avérés plus concluants. Lors de la première campagne de Conte, la Juventus a remporté le Scudetto pour la première fois depuis son retour en première division après le scandale du Calciopoli, et il a également remporté le titre lors des deux saisons suivantes. Conte a quitté les Bianconeri à l'été 2014 après des désaccords avec le conseil d'administration, et l'ancien entraîneur de l'AC Milan, Max Allegri, a été nommé pour le remplacer. Allegri n'était pas une nomination très populaire auprès des fans du club, mais il s'est avéré efficace puisqu'il a porté la série de Scudetti consécutifs des Bianconeri à huit et a atteint deux fois la finale de la Ligue des champions. Tout au long de ce processus, l'influence de Marotta a été déterminante, signant et vendant de nombreux joueurs comme Andrea Barzagli, Andrea Pirlo, Paul Pogba, Arturo Vidal, Paulo Dybala et Gonzal Higuain, pour n'en citer que quelques-uns. Marotta a quitté la Juventus en 2018 après avoir eu des désaccords de son côté avec le conseil d'administration du club, et il s'est rapidement installé à l'Inter où il a été chargé de superviser un renouveau du Scudetto similaire à celui qu'il avait fait avec les Bianconeri. Les propriétaires du club, Suning, ont donné au dirigeant la liberté de nommer Conte dans un second club à l'été 2019, et également de signer des joueurs clés tels que Romelu Lukaku, Nicolo Barella et Stefano Sensi. Lors de la première saison de Conte à la tête des Nerazzurri, il n'a pas tout à fait réussi à réitérer son exploit de la Juventus de remporter le titre de Serie A dès sa première tentative, terminant second derrière la Juventus de Maurizio Sarri. Cependant, pour sa deuxième saison, il remporte le Scudetto, le premier du club en onze ans. Entre-temps, Marotta a renforcé l'équipe avec des joueurs comme Christian Eriksen, Achraf Hakimi et Arturo Vidal. L'été dernier, Conte a quitté l'Inter après seulement deux saisons à la tête du club, estimant que le projet ne bénéficiait pas du soutien financier nécessaire pour poursuivre sur sa lancée et ses succès. Il a été remplacé par l'ancien entraîneur de la Lazio, Simone Inzaghi, que Marotta a rapidement identifié et fait venir avant qu'il ne signe une prolongation de contrat avec les Biancocelesti. Inzaghi a dû faire face aux ventes importantes de Hakimi et Lukaku ainsi qu'au retrait forcé d'Eriksen en raison de problèmes de santé au cours d'un été de grands bouleversements. Cependant, Marotta a su soutenir le nouvel entraîneur tout en respectant d'importantes restrictions budgétaires, en faisant venir des joueurs comme Hakan Calhanoglu, Edin Dzeko, Denzel Dumfries et Joaquin Correa au cours de l'été. Aujourd'hui, le Patron de l’Inter verra son équipe actuelle et son ancienne équipe s'affronter dans un match qui pourrait être la clé des ambitions des Nerazzurri pour le Scudetto, et bien qu'il ait toujours des liens à Turin, il se concentre strictement sur l'obtention d'un maximum de succès avec l'Inter. L'équipe a du retard à rattraper dans la course au titre, mais elle semble avoir la qualité nécessaire pour être de vrais prétendants au titre pour une deuxième saison consécutive, et ils peuvent remercier Marotta, et espérer qu'il continue le travail dans la même veine. ®Oxyred – Internazionale.fr via SempreInter
  7. La guerre autour du Calciopoli et du Scudetto donné à l'Inter après qu'il ait été retiré à la Juventus continue, avec un nouveau recours présenté devant le TAR de la Lazio. Révélation de Calcio&Finanza "Ces dernières années, le club de la Juventus avait de nouveau contesté la résolution avec laquelle le Conseil fédéral de la FIGC, le 18 juillet 2011, avait rejeté la demande de révocation de la mesure du commissaire extraordinaire Guido Rossi du 26 juillet 2006, avec laquelle le Scudetto lié au championnat 2005-2006 qui avait été attribué à l'Inter." "Le 12 janvier 2019, la Juventus avait en effet fait appel auprès du Collegio di Garanzia dello Sport du Coni de la décision d'attribuer le titre aux Nerazzurri : un appel déclaré irrecevable le 27 mai 2019 suivant. Contre cette décision, la Juventus n'ayant pas reçu de jugement sportif pour statuer sur le fond de l'affaire, a déposé un recours auprès du Tribunal Fédéral National. Le 11 juillet 2019, avec un dispositif, le Tribunale Federale Nazionale a déclaré l'irrecevabilité du recours", a explique la Juventus dans des documents relatifs à la première moitié de la saison 2021/22. La Vieille radote "La Juventus, contre ce dispositif, a déposé une plainte auprès de la Corte Federale d'Appello qui, le 30 août 2019 a également rejeté ce recours", poursuit le club "Ces décisions ont fait l'objet d'un recours de la Juventus devant le Collegio di Garanzia dello Sport qui, par une décision du 6 novembre 2019, a déclaré le recours irrecevable." "Contre ce prononcé, un recours a été déposé dans les termes de la loi auprès du TAR de la Lazio pour lequel une audience a été fixée au 8 mars 2022", a conclu la Juventus. A un moment donné, faudra apprendre à tourner la page et à aller de l’avant, même si la pilule a toujours autant de mal à être avalée! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. En effet, si le Scandale lié aux plus-values qui frappe le club turinois lui cause actuellement des soucis sur le plan pénal, les interceptions téléphonique pourraient lui coûter cher sur le plan sportif: Et le Club ne pourra s’en prendre qu’à lui-même. En effet, la phrase"Pour trouver pire que cela, il n’y a que le Calciopoli" a été prononcé par une personnalité de la Juventus, ce qui équivaut à un aveu de culpabilité! Mieux encore, la Guardia Di Finanza a intercepté une autre conversation : "Si cela vient à sortir d’ici, nous aurons…on va nous sauter à la gorge pour tout le bilan." Cette seconde phrase, qui intrigue les Magistrats qui enquêtent sur les comptes de la Juventus, ont mis en avant la situation entourant Cristiano Ronaldo et le Club. En effet, Cet échange a été intercepté au cours d’une conversation entre Cesare Gabasio, un manager mis sous écoute et Federico Cherubini, le Directeur Général de la Juventus, qui a dernièrement été entendu L'augmentation du Capital du Club est compromise par l'Enquête! Mieux encore l’Ansa intervient à son tour et nous révèle ceci : Pour le Parquet de Turin, Fabio Paratici était l’architecte en place jusqu’en juin 2021 : "ils t’ont demandé de faire des plus-values... Au moins comme Fabio savait en faire, tu dois privilégier les plus-values." Et cette "planification préventive" était connue par le plus haut sommet du Club et donc d’Andrea Agnelli "Avec le système des plus-values sur la vente et l'achat de joueurs, la Juventus a généré un "revenu de nature purement comptable et fictif" masquant des pertes pour l'année à hauteur de 39 millions d’euros en lieu et place de de 171 millions d'euros en 2019, de 89 millions en lieu et place de 209 millions en 2020, et de 209 millions au lieu de 240 millions en 2021." Cette enquête porte gérée par le Parquet de Turin et la Guardia Di Finanza porte désormais un nom : "L’Opération Prisma!" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Massimo Moratti, le Président Historique de l’Inter, s’est livré à "Radio Kiss Kiss Napoli" suite à la situation entourant les importantes polémiques arbitrales de ce week-end S’agit-il d’un nouveau Calciopoli ? "Non, celui de l’époque était un système bien articulé et pensé, nous ne sommes pas à ce niveau. Je dois toutefois dire que même en présence de la Var, il reste toujours une personne qui prend la décision: C’est ce qui m’amène à penser que même si la technologie aurait été présente sur le terrain lors du contact entre Iuliano et Ronaldo, que le penalty n’aurait pas été octroyé." Est-ce un duel Scudetto entre le Napoli et le Milan ? "Ben, j’ai le Napoli dans mon cœur. Je pense que personne ne le prendra mal si j’espère que ce soit les Azzurri qui l’emporte." "Aurelio De Laurentiis n’a pas besoin de mes conseils, il a construit une très belle équipe cette saison, séduisante à voir sur le terrain et complète dans chaque secteur." L’auriez-vous appelé pour recruter Osimhen ? "Et ben…Avouons-le , ce n’est pas le meilleur moment pour lui demander ce joueur." Il rit ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. L’ancien arbitre italien s’est livré, il y a quelques jours sur le Derby d’Italie, un Derby d’Italie polémique qu’il avait arbitré la saison dernière et qui lui a laissé un gout amer, suite à la faute inexistante sifflée à l'encontre d'Ivan Perisic Son interview à "Il Centro" "C’était une rencontre extrêmement compliquée, j’aurai pu mieux la gérer et j’en garde une amertume : Cuadrado est un joueur très difficile à arbitrer, tu as des footballeurs qui présente une lecteur très difficile et il fait partie de l’un d’entre eux." Orsato s’est-il trompé sur le fait de ne pas avoir laissé l’avantage aux Giallorossi? "Siffler rapidement un penalty existant n’est pas une erreur, mais Orsato n’était pas serein et ce n’est pas de sa faute. L’AIA devrait plus penser à protéger ses arbitres plutôt que de penser aux dynamiques électorales: Daniele n’aurait pas dû parler à la mi-temps, mais le problème est en amont: Quelqu’un de plus haut gradé aurait dû parler, s’exprimer: Cela aiderait même les arbitres à monter sur le terrain et à ne plus les contraindre à se défendre comme Orsato a dû le faire dans le tunnel. Cela est du ressort de la Direction Générale, elle ne peut être laissée sur les épaules du seul désignateur, hier Rizzoli, aujourd'hui Rocchi". Davide Massa et le scandale des montres ""C'est un excellent arbitre et l'histoire des remboursements me semble être une géante parodie : Le parquet, , dans son cas, a été extrêmement strict pour montrer que personne ne peut sortir du rang. Je connais Davide, c'est une personne intègre et cette histoire lui a enlevé sa chance de faire partie de l’élite, C’était lui l’héritier d’Orsato." Votre avis sur les cours proposé par l’AIA: "Trentalange fait de bonnes choses, mais comme dans les meilleures familles, tout ne va pas toujours bien. Je suis surpris, par exemple, de voir comment le vice-président Baglioni, vu ce qui a découlé du procès Calciopoli, a pris la décision de réintégrer Paolo Bergamo (l'ancien désignateur à l'époque de Calciopoli)." "D’ailleurs et nous le savons tous, Lorsque le Président Fédéral Gabriele Gravina a appris la nouvelle, il est devenu furieux, s’est déchaîné et a bloqué cette opération." Le comportement de Trentalange pose sérieusement question... ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  11. Massimo Moratti s’est livré au Corriere Dello Sport sur la légendaire confrontation avec la Juventus, l'ennemi-juré de la Serie A. Quel est l’Inter-Juve que vous ne pourrez jamais oublier ? "Inter-Juve, pour nous les Interiste, c’est LA Partie, celle qui te procure de la souffrance, elle me faisait rester éveiller la nuit. Tu y penses en continue dans la semaine qui la précède : Que des émotions! il rit." Vous étiez un Président qui vivait le football comme un entraîneur ou un joueur, totalement investi... "Le football, au-delà de la passion, était une distraction des autres pensées: Avec le football, les rêves te viennent facilement, comme lorsque j’achète un joueur et que j’imagine qu’il inscrit le but de l’année dans les deux-secondes et demi qui suivent, tu t’attends toujours à de nouvelles merveilles. A sa façon, l’Inter-Juve de du 16 avril 2010 est inoubliable, un 2-0 avec un but de Maicon devenu iconique." J’aurais cru que vous alliez répondre “celle avec ce penalty non donné par Ceccarini" "C’est la partie qui a ruiné nos relations." Le Calciopoli a fait le reste…. "Le Calciopoli a exaspéré le concept de sympathie. Aujourd’hui, je vis cette partie avec plus de sérénité, moins dans le passé et plus dans le présent, l’émotion est gérable. Je suis un Tifoso moins souffrant…… avant de rentrer dans le stade." Que ce serait-il passé si, à votre époque, il y aurait eu la Var ? "Cela n'aurait rien changé, car derrière la Var, tu aurais eu des personnes qui aurait pensé de la même façon." Soutenez-vous le projet InterSpac ? "J'apprécie l’intention, ils ont eu beaucoup de courage. Je ne pense pas que ce type d'actionnariat soit réalisable en Italie, et les chiffres que le club présente aujourd’hui sont dramatiques. En Allemagne, tu peux arriver à obtenir 15 ou 20 % de l'actionnariat, mais avec des sommes accessibles et des risques limités pour les souscripteurs..." "J’ai énormément de tendresse envers les tifosi les plus méconnu et qui sont disposé à verser 1.000 €." Passons à la Super League... "Elle a été très mal présentée, à tel point que le projet a été immédiatement annulé. L’objectif des clubs était celui de trouver une façon d’encaisser plus d’argent et je peux aussi le comprendre, mais tu ne peux pas développer un plan de ce genre sans écouter la population, les passionnés, et en tuant le système." Etes-vous inquiet par l’état financier de Suning ? "Les problèmes en amont finissent par affecter les entreprises en aval. Le gamin (Steven Zhang) est bon et gentil, j'entends des gens dire que les choses s'améliorent lentement, du moins en termes de gestion quotidienne, et je veux rester optimiste." Durand ces dernières années, beaucoup ont tenté de vous faire revenir…. "C’est souvent arrivé, encore récemment même. Une défaite de l’Inter et un appel arrive: Mais c’est un chemin qu’il n’est plus possible à emprunter pour moi." Acheter ce qu’il doit être acheté, vendez un peu moins…. "Oui, je n’aimais pas vendre, toutefois Ronaldo et Ibra furent deux très grandes opérations, des authentiques investissements : Deux opposés. Le Ronaldo de 1998 ne pouvait pas être décrit par des traits humains, il avait été embrassé par Dieu." Et Ibra ? A 25 ans, se sentait-il déjà être un dieu sur terre ? "Oui, c’est un gars assez spécial, mais très sympathique. Comme un chanteur d’opéra, il voulait être respecté, l’équipe devait lui reconnaître le leadership, il voulait être le boss, même aujourd’hui à quarante ans, il ne semble pas avoir changé." L’Inter a laquelle vous êtes la plus liée est celle du Triplé ? "Ce serait une injure d’en désigner une autre que celle qui a tout gagner, mais l’équipe composée de Ronaldo, Zamorano, Recoba et Djorkaeff, reste également dans mon cœur." Échangez-vous encore avec Mourinho ? "C’est évident: Mourinho est brave et je suis fier qu’il soit allé à la Roma, où il fait de bonnes choses. Lorsque je l’ai recruté, il me rappelait énormément Herrera, j’aimais le fait que, comme Il Mago, il était différent, provocateur, habile dans la communication, très intelligent, en plus d’être un exceptionnel gagneur." Et les qualités de Mancini ? "Son mérite pourrait être aussi son défaut : son émotivité: Nous sommes toujours resté liés." "Roberto était un garçon qui conservait en lui toute l’émotivité du joueur. Nous venions de perdre face à la Lazio, et je l’ai retrouvé ce jour-là, en pleur dans le vestiaire, il était dans un coin, il était désespérément à la recherche continuelle de bien faire." "Vous vous attachez à Roberto de par la façon dont il vit le football, la partie, les faits de jeu. Mais l’émotivité devient un défaut lorsqu’elle prend le dessus sur tout le reste et c’est précisément cet aspect de son caractère qui l’avait amené à dire qu’il quitterait le club à la fin de la saison." Massimo Moratti, préférez-vous l’Inter de l’année dernière: Solide et hermétique? Ou l’Inter actuelle qui marque énormément, mais qui se prend aussi trop de but ? "L’Inter solide de l’année dernière a servi pour remporter un championnat attendu depuis tant de temps, elle a apporté des satisfactions aussi de par son caractère. Sous l’aspect footballistiques, celle-ci est bien plus amusante car tu as des joueurs de classes mondiales et tu ne sais jamais comment ça va se terminer, donc tu cela te fait vivre encore plus d’émotions, il rit." A propos, que répondre à Bonucci qui a très récemment déclaré que le dernier Scudetto était plus du démérite de la Juve que du mérite de l’Inter... "Bonucci aurait dû ajouter pour les “considérables démérites de la Juve", cela aurait été mieux pour lui. Je ne comprends pas une telle sortie. Le championnat a été remporté par l’équipe la plus forte et l’Inter était, l’année dernière, nettement plus forte que la Juve. Sinon, tout le monde va commencer à parler des Scudetti perdu par démérite et là, on n’en finira plus." Qui pour vous enthousiasmer dans cette bataille ? "Tout le monde devra y parvenir, mais ma pensée va objectivement vers Barella, un garçon qui donne toute son âme, et encore plus contre la Juve." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. En ce 14 juillet 2021 est célébré le 15ème anniversaire de la relégation de la Juventus en Serie B. Toutefois, la victoire de l'Italie à l'Euro 2020 semble avoir donné de très bonnes idées à certains "C'est avec une profonde amertume que la Juventus FC communique officiellement d'avoir mis un terme, avec effet immédiat, au rapport de travail avec les athlètes Bernardeschi Federico, Bonucci Leonardo, Chiellini GIorgio, Chiesa Federico. La Propriété et la Direction sont amers suite au comportement des athlètes ci-dessus: Gagner en Europe a toujours été contraire à nos valeurs et à la tradition de notre club. Nous leur souhaitons le meilleur pour le futur." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. En effet, 15 ans après le scandale du Calciopoli, la Vielle Dame pourrait prendre cher à la suite d’un nouveau comportement malaisant d'un membre de sa Direction, en l'occurrence son actuel Président Andrea Agnelli..... Selon Football Italia, En effet, le président de l'UEFA, Aleksander Ceferin, aurait appelé tous les présidents impliqués dans la Super League Européenne, tous, sauf le numéro un de la Juventus : Andrea Agnelli. Se sentant trahi les rapport sont désormais glaciaux entre les deux parties. De plus et selon TuttoSport, Karl-Heinz Rummenigge a confirmé ne pas avoir contacté Agnelli, mais qu’il croyait au dialogue pour s’en sortir ensemble. Interviewé par Bein Sport, le Président de l’UEFA fait également passer un message très clair : "Les douze clubs engagé dans cette compétition ont commis une grosse erreur et je les ai prévenu de ne plus jamais tenter de nouveau cette stupide idée." Karl Heinz Rummenigge, Hans Joachim Watzke et Nasser Al-Khelaifi "Ils auraient facilement pu dire : Je vais m’unir à la Super League, je ne suis pas intéressé par les autres clubs, le football ne m’intéresse pas. Mais ils ont enseigné à de nombreuses personnes, dans le monde du football, ce qu’est l’Honneur." Ce jour, la sanction tombera vis-à-vis du dernier bastion italien à reconnaitre la Super League : Sera-t’elle morale, financière ou sportive… ou visera-t ’elle plus particulièrement le Président isolé italien ? Qu’en pensez-vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Luciano Moggi, l’ancien dirigeant historique de la Juventus, qui est à l'origine du Calciopoli, s’est livré sur le canal Twitch "Juventibus" "Nous sommes devenus l’Inter de Moratti. Pirlo est un pari mais ce n’est pas un grand coup. La Juve a des joueurs important, mais ce n’est pas une équipe. Les jeunes doivent remplacer les anciens, mais ce n’est pas quelque chose qui prend peu de temps." "Il faudrait un motivateur, mais ce ne peut pas être Pirlo, et il y a trop d’étrangers qui font leur devoir d’employés, mais qui ne vont pas plus loin. Il manque une personne qui doit s’imposer et se faire respecter." "Il manque à la Juve la fantaisie de Dybala, c’est une équipe trop prévisible qui donne l’impression de pouvoir gagner et qui perd contre tous. Locatelli est un bon joueur, mais il ne va pas résoudre les problèmes du milieu de terrain. Vous avez besoin de quelqu’un qui puisse dicter le tempo du jeu. Donnaruma est un excellent joueur, mais c’est inutile de le sonder, il rester à Milan" Si même les anciens, qui sont pourtant à vomir, s’y mettent…. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Lorsque un observateur occasionnel jette un œil sur la brillante carrière du milieu de terrain portugais Luis Figo, son séjour de quatre ans à l'Inter, qui apporta une fin à sa carrière de joueur, peut ressembler à première vue à une note de bas de page. Il était à Barcelone, quand Figo prenait une notoriété mondiale, aidant les Catalans à remporter deux titres de Liga, le même nombre de succès en Copa del Rey et Coupe des vainqueurs de coupe. Ensuite, c'est avec le Real Madrid où, après l'un des plus controversés transferts, il a gagné le Ballon d'Or et sa seule Ligue des Champions en 2002. Après le "Calciopoli" en 2006 qui avait vu des concurrents de l'Inter relégués ou lourdement handicapés, la marche vers le Scudetto dans chacune des saisons participantes de Figo pouvait être interprétée comme un passe-temps serein de pré-retraite. Mais un examen de certains des événements notables qui ont marqué ces quatre saisons, du refus de se rendre sur le terrain dans un match à élimination directe de la Ligue des champions, à être accusé d'avoir délibérément écrasé un chat sur le terrain d'entraînement du club, révèle que c'est loin d'être le cas. "Il Paso Doble'' n'a peut-être pas passé son apogée au Giuseppe Meazza, mais la figure unique qu'il a représentée dans l'histoire du club milanais lui a assuré une place spéciale, bien que légèrement conflictuelle, dans notre cœur. Lorsque Figo est arrivé à l'Inter en provenance de Madrid en 2005, sa nouvelle équipe n'était pas les dominateurs de la Serie A qu'ils allaient bientôt devenir. Ayant terminé troisième la saison précédente, Massimo Moratti était à la tête d'un géant italien qui n'avait pas remporté de titre de champion depuis plus d'une décennie. Moratti avait courtisé publiquement les services de Figo depuis qu'il avait raté David Beckham en 2003, et était ravi de le transférer gratuitement après qu'il fut jugé "sur plus" par rapport aux besoins du Real. Apparemment, il s'agissait d'une acquisition plus alignée sur la politique de recrutement du Milan, un pro vieillissant, ne nécessitant pas de frais de transfert, qui contribuerait peut-être autant en termes d'image de marque que de prouesses sur le terrain. Connu pour un toucher habile, des compétences de dribbles dévastatrices et un penchant pour une situation de balle morte. La première saison de Figo sous notre maillot fut impressionnante. Il a ajouté de la verve et de la ruse sur l'aile, incitant le commentateur excentrique d'Inter Channel, Roberto Scarpini, à appeler le milieu de terrain "Il Paso Doble'' pour ses mouvements élégants. Mais ses efforts n'étaient pas suffisants au départ pour amener Il Biscione à un Scudetto, car ils ont terminé deuxièmes loin derrière la Juventus. Les événements de l'été suivant ont vu le Scudetto de la saison rétrospectivement remis à l'Inter par défaut, après que la Juventus ait été identifiée comme principale bénéficiaire d'un réseau de relations entre les officiels de l'équipe et les organisations arbitrales. Le scandale "Calciopoli'' devait avoir un effet marqué sur les années Figo, c'était une débâcle hors du terrain qui représentait sans doute son acte le plus significatif de la saison. Après un fougueux Derby D'Italia, Figo a affirmé avoir vu le directeur général de la Juve, Luciano Moggi, dans le vestiaire de l'arbitre : "J'ai été partout dans le monde, mais je n'ai jamais connu une personne comme Moggi. Il agit comme s'il était le grand maître du football." Le joueur avait une petite histoire avec son adversaire. En 1995, il a signé à la fois pour la Juventus de Moggi, puis pour Parme le même été, affirmant que son contrat avec la Juve était invalide. La conséquence dans cette affaire a été une interdiction de deux ans du football italien, ce qui a facilité son transfert à Barcelone, et il a été sans surprise condamné à une amende par les autorités italiennes du football pour ses accusations de vestiaires dix ans plus tard. Lorsque les enregistrements téléphoniques ont révélé que Moggi était le principal architecte derrière le "Calciopoli", Figo s'est retrouvé avec un sourire ironique sur le visage : "J'espère qu'ils me rendront mon argent." De retour sur le terrain. L'entraîneur Roberto Mancini a commencé à déployer Figo comme un meneur de jeu plus central dans ses dernières années, alors que l'Inter encaissait des Scudetti successifs à la suite de celui qui leur avait été remis par les tribunaux. L'intelligence de passe sous-estimée du n°7 faisait de lui un bon candidat pour ce rôle, car il était capable de devenir fournisseur pour Zlatan Ibrahimovic, Hernan Crespo et Adriano. La fluidité du milieu de terrain n'a cependant pas toujours été une caractéristique des équipes de Mancini. Bien qu'il ait été utilisé à bon escient contre les équipes les plus faibles, Figo a souvent été sacrifié pour le tenace Dejan Stankovic en position de milieu de terrain offensif. Cette décision n'a pas été particulièrement bien prise par l'ancien "galactico'' du Real Madrid, qui a exprimé sa frustration après avoir été remplacé à plusieurs reprises. La mesure dans laquelle la relation entre l'entraîneur et le joueur s'était détériorée n'est cependant pas devenue totalement évidente jusqu'à un match de Ligue des Champions contre Liverpool en 2008. Son équipe étant dans une position désespérée, ayant besoin de quatre buts pour se qualifier pour les quarts de finale avec vingt minutes restantes, Mancini a demandé à Figo de sortir du banc; Figo indigné a dit non, furieux d'être exclu du onze de départ. Une telle insubordination a divisé les fans de l'Inter qui, avec la persuasion de Moratti, avaient auparavant convaincu Figo d'annuler un transfert convenu à Al-Attihad avec des rugissements de "Figo resta a Milano!" (Figo, reste à Milan!). Quelques mois à peine après l'incident de Liverpool, sa réputation n'a pas aidé lorsque le journaliste Vittorio Felta a bizarrement accusé le joueur de heurter délibérément le chat noir, supposément malchanceux, qui résidait dans le complexe d'entraînement Appiano Gentile de l'Inter. Malgré ses dénégations catégoriques, les Interisti amis des animaux l'ont hué alors qu'il arrivait à l'entraînement, en portant des banderoles sur lesquelles on pouvait lire "Figo, honte pour l'Inter, justice pour le chat". L'homme qui s'était tellement aimé auprès de son public noir et bleu en tenant tête à leur ennemi juré Moggi perdait progressivement sa popularité. Cela semblait être la fin de la route pour le milieu de terrain maintenant âgé de 35 ans, mais sa carrière avec le club avait développé une durabilité obstinée, aidée de manière cruciale par l'affection immuable de Moratti. Figo a annoncé publiquement qu'il ne resterait pas au Meazza si cela signifiait continuer sous le régime de Mancini, mais le destin a dicté que c'est Mancini qui a cédé la place au compatriote portugais de Figo, José Mourinho, et une prolongation de contrat d'un an a rapidement suivi. Bien qu'interrompu par une blessure, sa dernière saison l'a vu fréquemment utilisé par Mourinho malgré son âge. Après avoir finalement annoncé sa retraite après qu'un autre titre de champion ait été décroché, il a reçu une haie d'honneur pour son dernier match, dans lequel le capitaine Zanetti lui a forcé le brassard dans ses mains protestataires. Figo a fait ses adieux à une Curva Nord en liesse, dont la jubilation lors d'une autre victoire en Serie A a suffi à mettre de côté tout sentiment de malaise. Et pourtant, il devait y avoir une dernière tournure dans cette relation passionnée entre Luis Figo et nous. En route vers le Triplete historique du club en 2009-2010, l'Inter a été tiré au sort contre Barcelone pour une demi-finale alléchante de la Ligue des champions. Dans un coup typiquement sournois conçu pour détourner la pression de ses joueurs, Mourinho a amené Figo sur le banc pour ses capacités "d'entraîneur" pour les deux matchs. Après avoir traversé la fracture Catalan-Madrid, il n'y a pas eu d'amour perdu entre Figo et le Barca (rappelons que les fans Blaugranales avaient même jeté une tête de cochon sur le Camp Nou lors du premier retour du Portugais avec le Real en 2002). Figo a joyeusement digéré la dérision des fans du Barca tandis que son ancienne équipe se battait pour une victoire totale de 3-2 pour atteindre la finale. Les livres d'histoire vous diront que l'Inter a finalement remporté sa deuxième Coupe d'Europe l'année après la retraite de Figo, mais il peut se vanter d'une petite contribution. Bien qu'il ne s'agisse pas d'un saint, le statut emblématique occupé par Luis Figo lui a valu un rôle d'ambassadeur à l'Inter après sa retraite, ce qui a largement contribué à aplanir sa réputation auprès des supporters du club. Sur le terrain, en attendant, il n'en reste pas moins, à l'exception du meneur de jeu inspirant du Triplete Wesley Sneijder, qu'aucun joueur de l'Inter du 21e siècle n'a surpassé "Il Paso Doble'' en établissant la connexion très importante entre le milieu de terrain et l'attaque. Alors que les Interisti regardent désespérément qu'une autre force de frappe talentueuse tente de récupérer le ballon d'un milieu de terrain créativement émoussé, ils se souviendront avec tendresse des années au cours desquelles un ancien vainqueur du Ballon D'Or pouvait être appelé pour faire la différence. Cet article est une traduction de "Il Paso Doble – The Story of Luis Figo at Inter" écrit par Tom Guerriero-Davies et publié sur gentlemanultra.com le 23 Février 2016.
  16. Dans une interview avec Il Posticipo, Julio Cruz a évoqué son passage chez nous, ainsi que Diego Forlan dans une interview accordée à TuttoMercatoWeb. Julio Cruz à Il Posticipo. "A l'Inter, deux épisodes me viennent à l'esprit: L'un était lorsque nous avons gagné à l'extérieur contre la Juventus 3-1 (en Serie A en novembre 2003, ndlr), j'ai marqué deux buts. C'était un match dont tout le monde rêvait depuis longtemps, l'Inter n'avait pas gagné à Turin depuis onze ans et ce jour-là j'ai ressenti une joie incroyable. Je me souviens aussi de notre première Coppa Italia avec Roberto Mancini (en 2005, ndlr). L'Inter n'avait pas gagné depuis de nombreuses années, voir le Meazza plein ce jour-là était fantastique." "Quand j'ai appris que l'Inter me voulait, tout le monde m'a dit de chercher une autre équipe différente. A Bologne, j'avais bien joué et beaucoup d'équipes me voulaient. J'ai choisi l'Inter parce qu'Hector Cuper était là. Le 5 mai 2002, j'ai vu ce Lazio-Inter, les Nerazzurri avaient perdu le Scudetto le dernier jour d'une manière très étrange, je ne voulais pas y croire. Je voulais aller à l'Inter pour faire quelque chose de bien. Je sentais que gagner là-bas serait spécial. Malheureusement, après mon arrivée, Cuper est parti, mais je savais que j'étais dans la bonne équipe. L'Inter manquait un peu de chance, il y avait de bons joueurs qui n'avaient rien gagné depuis de nombreuses années." "Concernant la pression de jouer à l'Inter, j'avoue que je n'y ai jamais pensé car un joueur sait ce qu'il veut et ce qu'il peut donner. Je voulais jouer et j'ai essayé de tirer le meilleur parti de la marge qui m'était accordée. J'ai essayé de bien faire à chaque fois que je jouais." "Le Calciopoli était une page sombre de l'histoire du football italien. Beaucoup pensaient qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas, mais personne n'était sûr jusqu'à ce que tout soit sorti. Ceux qui ont fauté ont payé et à juste titre." Diego Forlan à TuttoMercatoWeb. "Mon expérience à l'Inter a été spectaculaire. J'ai de merveilleux souvenirs des Nerazzurri, de Milan et de la Serie A en général. Malheureusement, les nombreuses blessures ne m'ont pas permis de jouer en continu comme je l'ai fait par exemple à Manchester United, à Villarreal ou à l'Atletico Madrid. Le goût qui reste dans la bouche est encore un peu amer aujourd'hui. L'affection que les fans italiens me témoignent encore à travers le monde me rend vraiment fière." "Conte fait un excellent travail, tout comme il l'a fait dans le passé à la Juventus. Vous pouvez voir sa marque sur l'équipe. Les Nerazzurri travaillent ensemble depuis longtemps et maintenant ils ont réussi à gagner un avantage notoire au classement. Cette année, l'Inter a de très grandes chances de mettre fin au monopole de la Juventus et de lui arracher enfin le Scudetto. Conte, après tout, sait très bien comment gagner des titres nationaux."
  17. "Les Groupes des Ultras étaient venus au stade durant la semaine, pour répéter la chorégraphie et pour le déploiement des banderoles. Au fil du temps, ils s’étaient un peu habitué à être les patrons de la Curva, ils s’y sentaient comme chez eux." - Cette déclaration est signée Alberto Pairetto, le Supporter Liaison Officer (Slo) de la Juventus, qui ce jeudi 4 mars a dû témoigner au Tribunal de Turin en tant que Partie Civile au procès "Last Banner" contre les membres de la tifoserie organisée des Bianconeri. "Lors de la dernière semaine du mois de février 2016, il y avait une soif de vengeance vis-à-vis de l’Inter. Le 18 octobre, la bannière déployée au Meazza était catégorisée d’irrespectueuse et de moqueuse : le Groupe des Rapetou avec une couverture de la Juve, ce qui avait déclenché les foudres du Club et des Tifosi." "Le 28 février suivant, lors du match retour de la double confrontation en Coupe d’Italie, le Club et les Ultras avaient planifié la vengeance, en premier lieu dans les tribunes, avec un grand clown qui portait le maillot de l’Inter, un cirque et un Scudetto en carton, puis sur le terrain avec un 2-0." "Cela faisait référence au Scudetto de 2006 et l’épisode du Calciopoli avec le titre assigné aux rivaux. Pour résumer, les ultras ont reçu un coup de main, les bannières étaient un gage à payer, mais c’était avantageux pour la chorégraphie." "Il y a eu des tensions par la suite, bien que le scénario décrit dans l’enquête présente tellement de similitudes à celui d’autres stades italiens : Partout où il y a des ultras, on ne retrouve pas de Steward au milieu de celle-ci : Ils sont dans les zones périphériques: A Rome, ils n’étaient présent uniquement pour le montage des bannières destinées à séparées les secteurs." Alors, elle avait ses règles la Vecchia Signora ? Même pas de sens de l’humour… ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. Giandomenico Lepore, ancien Chef du Parquet de Naples est revenu sur le Calciopoli en détruisant la Juventus : "Nous voulions refonder le Calcio, ils nous avaient bloqués et nous avions trouvé le moyen d’y parvenir."....Il va s’en dire que celui-ci n’a pas été tendre avec la Vecchia Signora à Radio Punto Nuovo Le Hit de l'Eté 2006 en Italie "J’ai le mérite, conscient et inconscient, qu’on le veuille ou pas, d’avoir envoyé la Juventus en Serie B. Nous voulions refonder un Calcio qui avait été corrompu. Cette enquête avait touché toutes les équipes, même le Napoli aurait pu être impliqué. L’Inter devait être la seconde équipe examinée, mais l’Expresso a publié des interceptions téléphoniques et les téléphones se sont tût. Certains voulaient éviter que l’on enquête sur tout le Calcio." "Si nous avions réalisé des interceptions durant 10 ans, et non deux, la Juve se serait vue révoquée "peut-être" autant de Scudetti." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  19. Franco Carraro a été trois fois le Président de la FIGC, la Fédération Italienne de Football, en plus des postes occupés à la Lega Calcio et au Coni, le Comité Olympique Italien. Il a reconnu avoir commis des erreurs avant l’explosion du Calciopoli. Voici ses déclarations à "Il Fatto Quotidiano" où il s'est livré à Paolo Ziliani Est-ce que le scandale du Calciopoli a éclaté suite à votre intervention ? "En juin 2004, j’avais la certitude que Bergamo et Pairetto se devaient d’être remplacés, car la durée du mandat du Désignateur des arbitres, pour moi, ne devait pas être ultérieure à 5 années. Sans rien dire à personne, j’ai donc fait appel à Collina." "Je lui ai proposer d’arrêter d’arbitrer et de devenir le Désignateur unique à partir de la saison 2004-2005. Je lui ait aussi dit qu’un jour, il pourrait devenir Président Fédéral. Collina m’avait répondu négativement mais m’a informé qu’il se rendrait disponible pour la saison 2005-2006." "J’ai donc décidé d’être patient et j’ai commis une erreur fatale : Bergamo et Pairetto ont eu vent de mon initiative et tout s’est précipité. Ils ont consolidés leurs liens avec Moggi, bien au-delà de ce qui était permis, avec tout ce qui s’en est suivi. J’ai suivi mon intuition et malgré le non de Collina, j’ai changé de Désignateur des arbitres." Vous étiez Président de la Lega en 1997, ensuite de la Figc en 2001, A l’époque, le Calcio semblait englué dans de sérieux problèmes, mais l’impression ressentie est que vous, comme tous les autres, faisiez semblant de ne rien voir... "En réalité, jamais auparavant, il n’y avait eu cette alternance de clubs et cette répartitions des Scudetti. Pour moi, le seul Scudetto qui a été désigné suite à une grave erreur arbitrale est celui de la saison 1997-1998, le pénalty non assigné lors de Juventus-Inter." Lors des interceptions téléphoniques, n’étiez-vous pas surpris que les désignateurs favorisaient toujours un peu trop la Juve ? Était-ce normal ? "Comme je l’ai dit, à un certain moment, la situation a empiré. A la veille d’un match important, Roma-Juve, j’ai appris que l’arbitre désigné, Trefoloni, était malade et cela m’avait inquiété, car à son poste, on ne pouvait envoyer qu’un parmi les meilleurs, Racabulto. Et j’ai dit à Bergamo : "S’il y a le moindre doute, je vous recommande de ne pas favoriser la Juve." Et au lieu de cela, il y a eu un Roma-Juve qui s’est terminé dans la polémique 1-2." "J’ai appelé Bergamo et je lui ai dit "Mais alors, vous me prenez pour une bite" Je peux vous dire ça, ce n’est pas une belle image ? En fait, cette fois-là, j’étais furieux, la Var n’existait pas et il y avait une faute à la limite de la surface de la réparation, c’était donc un coup-franc et personne n’avait protesté." "L’arbitre désignait le point de penalty et je devenais bestial devant la télévision, les déclarations ont volé haut avec Bergamo." Est-ce possible qu’en Serie A, il n’y avait qu’un seul arbitre sur qui se fier : Collina ? "Non, il y en avait d’autres, mais il était très populaire et écouté, de Trento à Argrigento, Collina était vu comme un arbitre sans arrière-pensée." Nous n’avons pas fait référence aux interceptions que le Parquet de Turin avait et qui semblait être restées enfermées dans un tiroir... "C’est faux. En février 2006, Marcello Maddalena m’a demandé à le rencontrer. Nous étions à Rome où nous nous sommes rencontrés à l’Antimafia. Le parquet de Turin m’avait dit avoir procédé à une longue enquête où la Juventus était impliquée." "Rien de répréhensible n’avait été trouvé au niveau criminel, l’enquête avait été clôturée et le matériel avait été remis à la FIGC pour analyser si des comportements de certains membres avait violé l’esprit de loyauté et d’équité sportive. En ce qui concerne le principe de la séparation des pouvoirs, j’avais remis le jour même au Procureur Palizzi tous les documents, ce n’était pas à moi de les examiner." Et finalement vous êtes acquitté... "La justice pénale et sportive, sans oublier la Cour des Comptes, ont établi que mon comportement avait été correct. Je reconnais tout de même une défaite : Le Calciopoli a fait perdre toute crédibilité au Calcio, qui est un sport pour tous et je reconnais avoir commis des erreurs." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  20. La Juventus, à travers Twitter, a décidé de se souvenir du Scudetto 2006, déclenchant de la sorte une foule de réactions de la part des tifosi adverses. “Lo Scudetto numéro 29 arrivait #OnThisDay, en 2006”, peut-on lire sur le profil officiel du Club Le 14 mai a toujours été une date particulière dans l’histoire de la Juventus, celle de la perte du Scudetto en 2000 ou celle de la qualification en finale de la Ligue des Champions, finalement perdue, en 2003. Le seul fait positif ayant été le 14 mai 2006, jour de célébration d’un Scudetto, qui sera révoqué suite au scandale du Calciopoli. Si, ce 14 mai 2006, la Juve l’emporta face à la Reggina au San Nicola, suite à des buts de Del Piero et Trezeguet. S’en est suivi le scandale du Calciopoli impliquant Luciano Moggi, Administrateur-Délégué de la Juventus et une rétrogradation historique en Serie B. S’en est suivi de nombreux messages de tifosi "Excusez-moi, j'ai un doute. Comment est-ce possible qu'une équipe qui a gagné le titre de Serie A en 2006, a remporté l'année suivante celui de Serie B ?" "Fêter une relégation, félicitations pour la sportivité." "Notre plus beau Scudetto. Merci les relégués" "En 2005/2006, vous étiez arrivé 20ème et vous étiez relégué en Serie B. #Gravina #FIGC @gagravina #dalpino #legaseriea @SerieA, ne faudrait-il pas intervenir ? Quelques mauvais penseurs pourraient croire que cela pourrait représenter un frein d'avoir Fiat comme sponsor de la Naziolale" "Il me semblait que le Scudetto avait été révoqué, mais je peux me tromper, je vais aller voir ce que dit la Cour de Cassation." Cela démontre surtout à quel point ce club se croit au-dessus de tout... ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  21. Après avoir rendu son jugement en novembre dernier, le Collège de Garantie du Coni a publié une note considérant comme inadmissible le recours présenté par la Juventus en regard à l’attribution du Scudetto 2006 à l’Inter Révélation du Corriere Della Sera "Le Collège de garantie du Coni a publié, à travers une note, les motivations relatives à sa décision, en novembre dernier, de déclarer comme inadmissible le recours de la Juventus dans ses infinies approches découlant du Calciopoli. A travers 13 pages de motivation, le Collège de Garantie rappelle sa propre décision du 6 mai dans lequel il avait déclaré que les plaintes de la Juventus ne pourront plus faire l’objet d’une délibération de la part du système de la Justice Sportive." Ce communiqué met donc un terme aux démarches de la Juventus qui avait décidé de se retourner, à nouveau, vers le Collège de Garantie par suite d’une nouvelle décision de la Cour d’Appel Fédérale qui avait confirmé comme inadmissible la démarche bianconera, en la condamnant à une amende de 10.000 euros de frais juridiques Un premier Scudetto de perdu en janvier, avant de perdre le second en mai ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  22. Nouveau revers pour la Vieille Dame….un revers qui pourrait bien être le dernier. La Juve a collectionné autant de rejets dans sa campagne pour la révocation du Scudetto 2006, que de Finales de Coupe d’Europe perdues. En effet, ce Scudetto qui lui a été retiré suite au scandale du Calciopoli a été attribué sur tapis vert à l’Inter, l’ennemi-juré. Comme le révèle Tuttosport : "Le Collège de la Garantie du Sport a déclaré inadmissible le recours du club turinois contre la Fédération Italienne de Football, l’Inter et le Comité Olympique National Italien, pour le pourvoi et la contestation de la décision du 30 août dernier de la Cour Fédérale d’appel, en regard à la question de l’assignation de la part de la FIGC, du Scudetto 2006, à l’Inter." La Juve avait demandé à ce que le titre de Champion d’Italie 2005-2006 ne soit assigné à personne, en s’adressant aux différents organismes juridiques compétent qui ont toujours rejeté une telle demande. Mieux encore, la Juve a été sanctionnée : "Le Club a été condamné au paiement de 10 000 euros destinés à couvrir les dépenses relatives au procès." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  23. La Cour Fédéral d’Appel de la Federcalcio a rejeté le recours introduit par la Juventus contre le jugement rendu lors de la demande de suspension et déclaration de l'inéligibilité, prononcé en juillet dernier, par le Tribunal Fédéral National dans le cadre du Calciopoli. Le club Bianconero, jugé en premier grade, s’était révolté afin d’obtenir l’annulation de la délibération du Conseil Fédéral de la FIGC, qui en 2011 avait déclaré un manque d’éléments juridique pouvant provoquer la révocation du Scudetto 2006 de l’Inter. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  24. Chacun d’entre nous a déjà dû connaitre ce type de personne, celle qui vous saoule et qui ne comprend pas qu’elle vous emmerde plus qu’autre chose. Limite, si vous l’avez fréquenté, elle n’a toujours pas compris le message. Ce contexte, retranscrit dans le Calcio, nous offre la Juve. La Vieille Dame étant dure d’oreille, elle n’arrive toujours pas à assimiler que ses Scudetti resteront figés à 35 titres remportés. En effet, le club Bianconero avait introduit un recours pour annuler la délibération du Conseil Fédéral de la FIGC du 11 juillet 2011, déclarant manquer d’éléments juridique objectifs pour révoquer le Scudetto 2006 à l’Inter. Ce recours a été jugé comme "inadmissible par la Sezione Disciplinare del Tribunale Federale Nazionale". Le Président du Tribunal Cesare Mastrocola, a mis en évidence que la Juventus avait déjà présenté ces derniers mois un recours similaire au Collegio di Garanzia du Coni. De fait, le Tribunal Fédéral avait reporté le procès dans l’attente du délibéré du Collegio. En mai dernier, ce dernier avait déclaré comme inadmissible le recours de la Juventus. Pour établir ce jugement le Tribunal a pour cette raison "vérifié l'identité substantielle entre les deux procédures promues en parallèle devant le Tribunale federale Cour fédérale et le Collegio di Garanzia." Mémé est donc renvoyée dans les orties. ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  25. Milan – Gianluigi Buffon a très mal encaissé, ceux qui se sont montrés heureux de la défaite de la Juventus en Finale de la Champion’s League. Les déclarations des Tifosi Anti-Juve suite à la défaite de Cardiff ? "Je suis fier de ne pas être comme eux. Dans le football, il existe des Victoires et des Défaites. Je suis convaincu, qu’en cas de défaite, on apprend beaucoup plus que dans une victoire, et pour cela j’ai du mal à accepter les attitudes de ceux qui ne supporte pas la Juve et qui n’en ont rien à faire d’elle." Cette déclaration de Gianluigi Buffon fait encore discuter sur les réseaux sociaux et Paolo Ziliani n’a ne s’est pas gêné pour attaquer de plein fouet le numéro 1 de la Juventus suite à la banderole du portier faisant référence au fait que la Juve faisait encore la fête en repensant au 5 mai. Paolo Ziliani a tenu à rappeler que s’il n’y avait pas eu le scandale des arbitrages (Calciopoli) durant les parties précédentes de l'Inter, ce 5 mai n’aurait jamais existé. Blocs soudés des tifosi: "Fier de ne peux être comme eux". Cette déclaration de Buffon suite à l’humiliation de la Juve en Champion’s League, fait jaser en Italie et les critiques pleuvent sur le net, et pas uniquement de la part des interistes. Plusieurs autres groupes de Tifosi des autres équipes ont tenu à être solidaire à l'Inter et à rappeler au portier de la Nazionale qu’il n’est pas exempt de tout reproche au niveau de la sportivité. Cette photo date pourtant de 2013 et Buffon exprimait sa joie de remporter le Scudetto, en visant directement l’Inter, mais il y a, à nouveau fait référence après Cardiff et cette fois-ci cela n'est pas passé inaperçu.... Pistocchi attaque Buffon : Maurizio Pistocchi, journaliste à Sky Sport, n’as pas été tendre envers les déclarations de Buffon qui a déclaré être fier de ne pas être comme les anti-juventines. Il a tenu à rappeler aussi la relégation de la juve et lui rappeler exactement ce que veut dire le mot Honneur: “Buffon, tu es un grand gardien, pour le reste mieux vaut mettre un cache dessus, t’es pitoyable." Nous, Interiste, nous montrons tout simplement plus Classe que ce Bouffon de gardien. Une image vaut parfois bien plus que des paroles: ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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