Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'careers'.
4 résultats trouvés
-
Felipe Caicedo: "Mon sprint vers Inzaghi ?"
Victor "Antony" Newman a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Felipe Caicedo s’est livré au cours de l’émission Careers. Nos confrères de Fcinter1908.it y ont résumé les instants importants de l’émission diffusée sur InterTV Le sprint vers Simone Inzaghi "Je revois souvent cette image, elle est très belle et j’ai la chair de poule à chaque fois, je m’en souviens comme si c’était hier. On était entrain de perdre face à la Juve et j’ai marqué à la 95’, c’était un but très particulier. Inzaghi est un entraîneur qui m’a tant donné, il m’a aidé à grandir, à être le joueur que je suis devenu aujourd’hui, je lui suis très reconnaissant : Il cherche le meilleur chez tous ses joueurs." La Zona Caicedo "Elle trouve son origine dans le fait que j’ai toujours marqué en fin de match, c’est dû à une condition physique importante. Je cherche toujours à être concentré jusqu’au bout, je crois que c’est l'une des vertus que j’ai en moi : Celle de ne jamais abandonner lorsque je joue et de toujours chercher le but, d’aider l’équipe lorsqu’elle en a besoin." ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
-
- 2
-
-
- felipe caicedo
- simone inzaghi
-
(et 4 en plus)
Étiqueté avec :
-
Edin Dzeko s’est livré à Inter TV dans le cadre de l’émission Careers: Enfance "J’étais en Italie, près de Cantú pour un tournoi, c’était en 1998, je me souviens de cette année car il y avait la Finale à Paris de l’Inter face à la Lazio, j’étais avec deux gamins italiens qui regardaient la Finale de la Coupe de l’UEFA et qui étaient interiste. Quand j’étais enfant, à six ans, la guerre a commencé, c’était une période difficile, mais ensuite mon père m’a fait jouer au ballon, j’ai toujours été avec un ballon, c’était mon premier amour." Premier Titre "En 2009, j’ai remporté le championnat avec Wolfsburg, c’était une année importante car la Bundesliga n’avait jamais été aussi forte et c’était une grande emprise, nous étions une équipe jeune avec certains qui avait plus d’expérience que d’autres et un entraîneur qui nous formait à la dure, ce sont des souvenirs qui marquent. Grafite et moi avions inscrit ensemble 54 buts, nous étions le meilleur duo de la Bundesliga: Il nous manquait encore 2 ou 3 buts et à la dernière journée, nous avions battu le Werder Brême 5-1, lui inscrivait un doublé et moi un but pour établir ce record." Le City de Mancini "Nous l’avons remporté en gagnant 3-2 le dernier match, et nous avons été titré, le premier titre en 44 ans : je me souviens que j'ai fait une belle frappe, c'était un match incroyable, nous avons marqué deux buts dans les deux dernières minutes. Avant la rencontre, tout le monde nous voyait déjà champion, mais le football est parfois étrange. Nous avons souffert jusqu’à la fin, mais nous l’avons gagné: Après ce but, la libération était incroyable, sachant qu'avec ces buts nous sommes entrés dans l'Histoire." L’équipe nationale "Je n’ai disputé qu’une seule et unique Coupe du monde, j’espère qu’elle ne restera pas la première et que nous pourrons en disputer d’autres. Les gens attendent toujours beaucoup, surtout de moi et de Pjanic qui sommes les plus expérimentés, quand je vais en équipe nationale j’y vais avec mon cœur, et je donne toujours tout." L’arrivée à l’Inter "J'ai vu cette photo après mon arrivée à l'Inter et elle m'a beaucoup plu. Le cygne et le serpent qui s'unissent ? C'est peut-être le destin, ça aurait pu arriver plus tôt mais je dis toujours qu'il n'est jamais tard, il faut tout donner et atteindre nos objectifs importants ensemble." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
-
- 5
-
-
- edin dzeko
- coupe de l’uefa 1998
- (et 11 en plus)
-
Joaquin Correa s’est livré au cours de l’émission "Careers" diffusée par Dazn. Tucu est donc revenu sur les étapes importantes de sa carrière Enfant, étais-tu le plus doué pour jouer au football ? "Je ne sais pas, nous étions tellement, je figurais sans aucun doute parmi ceux qui l’aimait. J’ai toujours joué comme Trequartista, c’est là que j’ai commencé, ensuite je suis allé un peu partout, mais c’est toujours resté mon poste." Tucu "C’est comme ça que l’on me surnomme depuis tout petit, tout est parti de là, de mon passage à Buenos Aires, j’ai été surnommé de la sorte." Juan Sebastian Veron "Ma seconde rencontre était si belle car c’était le dernier jour de Juan à l'Estudiantes. C’était une belle fête et tout le monde l’attendait à la sortie du terrain. C’était plus qu’un grand joueur, il m’a tellement aidé et pas uniquement pour le football. Il a tant enseigné aux garçons, il a été très important pour moi. Lorsque je suis venu à l’Inter, il m’a félicité en disant que j’avais bien choisi, que c’était la bonne équipe pour moi. Je le remercie encore pour tout ce qu’il a fait." La Sampdoria "C’était si beau, j’y ai tant appris. J’ai aussi connu quelques blessures et changé physiquement suite aux entrainements, mais cela m’a apporté tellement de belles choses. J’ai eu comme équipier Eto’o, et tant d’autres joueurs qui m’ont aidé sur et hors du terrain. Je ne savais pas si j’étais prêt mais je voulais venir en Europe à tout prix, et piano piano, j’ai commencé à m’améliorer, c’était une étape importante." Samuel Eto’o "Un joueur de folie qui était arrivée en fin de carrière mais qui m’a tant conseillé, c’était un très grand joueur." Le but raté face à l’Inter "J’étais déjà interiste (il sourit). C’était une mauvaise journée, j’étais seul à Rome et j’étais très mal. Ce sont les choses qui te font grandir, qui peuvent arriver à tout le monde : J’ai continué à travailler." Séville "Faire face au Real Madrid était si beau, nous pratiquions un très beau football et nous avions disputé la Liga jusqu’au bout du bout, c’était si beau. Nous étions tant d’argentins et j’ai beaucoup appris. Je jouais plus sur les ailes, mais je m’y sentais bien, c’était un autre football, plus tactique, plus complexe en tout: J’ai beaucoup appris et j’ai compris énormément comment fonctionnait le football européen." Instinct et préparation "Il y a tellement de préparation, mais je dois mettre en pratique tout ce qui m’a été appris depuis mon enfance, le joueur se fait et commence à jouer par cette voie, c’est cela qui dicte qui tu es." Simone Inzaghi "Lorsque nous avons remporté la Super Coupe en Arabie avec la Lazio, ce fut un merveilleux moment, nous avions déjà remporté la Coupe d’Italie et nous nous battions pour le Scudetto, ensuite nous avons été bloqué par le Lockdown, mais ce sont de merveilleux souvenirs. Tu te donnes tellement pour jouer des finales et battre la Juve avec une telle personnalité était si beau." "Inzaghi me laisse exprimer mon football, il se soucie beaucoup de la défense et il veut que nous, les attaquants, soyons tout le temps sur le ballon : il me demande toujours de viser, j'aime ça car il me laisse être moi-même." La vie à Rome "C’était beau, j’y étais très bien traité, j’y ai vécu trois très belles années que je conserverais toujours dans mon cœur, on m’a toujours fait m’y ressentir comme si j’étais à la maison." La Copa America "C’était grandissime, cela faisant tellement longtemps que l’Argentine ne gagnait plus et l’emporter au Brésil était merveilleux. Nous étions un groupe fort qui se battait pour remporter quelque chose que le pays voulait à tout prix, c’est pour nous, l’une de nos plus grande joie, c’était si important pour nous." Lautaro Martinez "C’est si beau de jouera avec lui, nous avons un excellent rapport, c'est important de s'entendre. Cela nous aide beaucoup de jouer ensemble à l'Inter et en équipe nationale, nous voulons tous les deux gagner." Qui prépare le maté ? "C'est moi qui l'amène toujours : il peut râler, mais c’est la vérité." Le test avec l'Inter "J'étais un enfant qui rêvait de venir à l'Inter mais cela ne s'est pas fait : Puis avec le travail j'ai su me retrouver ici et à présent, je suis un homme expérimenté. La photo avec Zanetti me permet de garder les pieds sur terre parce que j’en rêvais, et maintenant que je suis ici, je l'apprécie davantage." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 6 commentaires
-
- 5
-
-
- joaquin correa
- simone inzaghi
- (et 17 en plus)
-
Lautaro Martinez s’est livré à DAZN dans le cadre de l’émission "Careers". Il y a retracé toute sa carrière depuis sa plus tendre enfance: "Lorsque je jouais au Liniers, mon père m’accompagnait, il y avait joué. J’ai conservé tant de beau souvenirs, l’émotion d’un enfant qui voulait tant apprendre et devenir un joueur professionnel. J’avais les cheveux longs, mais j’ai dû les couper car lorsque j’allais en piscine, on voulait que je mette un bonnet, mais cela me plaisait. J’étais déjà attaquant, mais tout petit j’étais un libéro comme mon père, ensuite j’ai commencé à jouer sur les ailes car j’étais plus rapide et j’aimais marquer. Mon père voulait que je sois attaquant." Tu as un frère…. "Lui aussi a obtenu quelque chose qu’il a toujours recherché, tout le monde pratique du sport dans la famille, mais lui s’est lancé dans le basket, car nous habitions une maison avec un terrain juste à côté. Il a essayé le football, en allant dans les buts, mais ça ne lui disait rien. Il a ensuite débuté le basket et est à présent devenu un joueur pro. Il a signé récemment un contrat pro et je suis très fier de lui, il a tellement travaillé." N'as-tu jamais songé à pratiquer un autre sport ? "Oui, je me suis essayé au basket: J’ai ensuite dû faire un choix et le football est une vie pour moi, c’était simple de choisir, mais le basket m’a toujours énormément plus." Ton début au Racing… "C’est un moment unique dans la vie d’un joueur. J’ai fait mes débuts en remplaçant avec un joueur qui a écrit l’Histoire du Calcio, Diego Milito, et c’est aujourd’hui mon ami, nous sommes toujours en contact: Il m’a toujours apporté son aide lorsque j’en avais besoin, j’ai appris énormément de lui. C’est quelque chose que je garderais toujours avec moi. Je savais ce que représentait le football et le Racing pour lui. Il a quitté le terrais sous les applaudissements et j’avais le rêve de pouvoir faire de même un jour. Je crois qu’avec le travail que j’ai réalisé, que j’y suis déjà parvenu et j’en suis très fier." La célébration du Toro "Elle est née à cause d’un équipier, on faisait un effet miroir et j’ai ensuite ajouté les cornes du taureau : J’ai continué à le faire et ce surnom me plait bien, on me l’a donné depuis tout petit et c’est resté ancré : Cela fait 15 ans que l’on appelle de cette façon, cela me plait bien, j’aime bien." La Copa America "C’est une émotion unique : L’Argentine n’avait plus soulevé un titre depuis 28 ans, c’était aussi le rêve de Messi. C’était encore plus notre rêve car nous traversions tous une période difficile : Je voulais donner à l’Argentine la possibilité de surpasser cette mauvaise période que nous connaissons tous avec la pandémie et après tant d’années, c’était écrit que nous devions soulever la Coupe au Maracanà, cela restera toujours un beau souvenir." Tu fais partie des grands joueurs argentins... "Je ne sais pas si c’est le cas, tant de grands joueurs sont passés sans pour autant gagner, je suis content d’avoir apporté ma contribution à ce rêve qui nous appartient à tous. Ce tournoi était important et nous l’avons remporté en pratiquant un grand football et en ayant un grand esprit d’équipe." Le Ballon d’Or de Messi "Je ne peux rien dire sur lui : C’est le meilleur joueur du Monde, il en a remporté sept. C’était important pour lui de remporter aussi cette Copa America, il le dit lui-même : Je le félicite." La Famille "Cela me donne envie de pleurer, c’était une année difficile. Tu as toujours ta famille derrière toi, elle est ma vie, lorsque je rentre à la maison, je les retrouve, c’est ma vie.Lorsque je marque je regarde toujours vers le ciel car depuis la naissance de ma fille, tout a changé dans ma vie, je suis plus mature sur et hors du terrain : C’est une guerrière, elle est toujours derrière moi pour m'empêcher de tomber et me garder toujours les pieds sur terre : Pour un joueur, la Famille est fondamental." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
- 1 commentaire
-
- 5
-
-
- lautaro martinez
- careers
- (et 8 en plus)