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  1. Voici un condensé assez complet en provenance de nos confrères supporters de Fiorentina.it et de la presse italienne relatif au nouveau scandale qui salit le Calcio. "Des fausses communications du club côté en bourse, en passant à l’émission de factures pour des opérations inexistantes", telles sont les thèses criminelles émises par le Parquet de Turin à l’encontre de la Juventus. Six personnes font l’objet d’une enquête en plus de la Juventus, le Club, qui elle est visée en qualité de responsabilité administrative : Le président Andrea Agnelli, le vice-président Pavel Nedved, l'ancien directeur sportif Fabio Paratici, aujourd'hui en poste à Tottenham, Marco Re, l'ancien Directeur financier du club qui était également le responsable de la rédaction des documents comptable du club jusqu’en juillet 2020. Stefano Bertola et Stefano Cerrato l’ont depuis lors remplacé. Parmi les personnes visées, Federico Cherubini, l’actuel Directeur Sportif qui a succédé à Paratici, n’est pas visé, même s’il a fait l’objet d’un interrogatoire de 9 heures lui qui est considéré comme une personnalité disposant d’informations sur de tels agissements. L’enquête vise trois saisons : 2018-19, 2019-20 et 2020-21, pour un montant total de 282 millions d’euros provenant d’opérations interprétées comme des "valeurs frauduleusement augmentée". La Position de la Juve, le Club "La Juventus prend acte de l’ouverte de l’enquête envers le Club et chacun de ses membres actuels. Comme il se doit, elle collabore avec les enquêteurs confiante de pouvoir éclaircir chaque aspect. La Juventus retient avoir agi dans le respect des lois et des règles qui régissent la rédaction des relations financières." Andrea Agnelli était au courant Selon le rapport de perquisition signé par les Procureurs Mario Bendoni, Ciro Sartoriello et le Procureur adjoint Marco Gianoglio, la Juventus et sa direction avait conscience de bénéficier de profits déloyaux dans l’état financier du club en exposant sciemment des faits matériels qui ne correspondait pas à la vérité et en omettant de transmettre des états de fait financiers pertinents dont la divulgation est requise par la loi. Comme en 2006 L'enquête est née d’interceptions téléphoniques, qui ont débutée en mai 2021 pendant la période du Mercato, tout comme l’enquête de la Consob lancée en juillet de la même année: "Il ressort des conversations une "confirmation expresse concernant la gestion malsaine des plus-values", utilisée de manière déformée comme un outil pour "sauver les comptes." Selon les enquêteurs, la haute direction du Club et Andrea Agnelli étaient conscient du comportement de Fabio Paratici et des conséquences financières extrêmement négatives, qui n’était certainement pas lié exclusivement au contexte pandémique connue. Fabio Paratici en mode parrain Le mécanisme des plus-values a été nommé "Gestione Paratici" qui a été défini comme "correctif des risques pris en termes d'investissements et de coûts liés aux achats et aux salaires écrits". Paratici était le "sujet le plus haut placé au niveau du département Sportif jusqu’en juin 2021 et il était l’architecte de la planification préventive des plus-values". Les anomalies dans les transferts de joueurs de 2019 à 2021 concernent dans la plupart des cas, des opérations miroirs présentant avec récurrences des contreparties, c'est-à-dire des mouvements d’"opérations à somme nulle sans mouvement d'argent et avec un double effet positif sur le bilans du club". A titre d'exemple, certaines négociations impliquant des jeunes de la Juventus sont citées, comme l’acquisition de Marley Ake à Marseille pour 8 millions d'euros avec la vente simultanée de Franco Tongya pour le même montant. Il y a ensuite les opérations réalisées à proximité des dates de fins de contrats comme l'achat de Rovella au Genoa pour 18 millions et la vente de Portanova et Petrelli pour 10 et 8 millions. La conclusion des enquêteurs est que ces transactions étaient déconnectées de la réalité, des valeurs réelles du Mercato: Etant purement comptables, elles étaient donc fictives. La lecture des éléments fait état que la Juventus a inscrit dans son budget des plus-values en 2018-19 de 131. 564.000 €, de 119.721.000 € en 2019-20 et de 30.832.000 € en 2020-21. Les interceptions téléphoniques se sont avérées décisives. Des dizaines et des dizaines de conversations téléphoniques qui ont eu lieu ces derniers mois entre les dirigeants de la Juventus ont été écoutées par le parquet de Turin depuis mai 2021. "Les amortissements et toute la merde. Qu’il y a en dessous, on ne peut pas le dire", dit à un moment l'un des interceptés, et ceci pour le parquet de Turin serait une autre des expressions qui impliqueraient l'utilisation de plus-values, auxquelles la Juventus a eu recours avec une "planification préventive". À un moment donné, dans une autre conversation, ils disent : "Il a été demandé à faire des plus-values...Au moins Fabio qui devait réaliser des plus-values, est parvenu à faire des plus-values." Une référence limpide à Paratici. Risques encourus Que risque la Juventus, le Club ? Le législateur sportif laisse un large pouvoir d'appréciation à la phase judiciaire. Dans l’article 31, on passe de la "tape sur la main" à une "maxi amende". Le paragraphe 1 stipule : "Sans préjudice de l'application des sanctions plus graves prévues par le règlement de licence de l'UEFA ou d'autres règles spéciales, le club qui commet les actes visés dans le présent paragraphe est passible d'une amende avec avertissement". Toutefois : "Un comportement visant en tout état de cause à contourner les règles fédérales en matière de gestion du Club par la falsification de leurs documents comptables ou administratifs ou par toute autre activité illégale ou frauduleuse, qui tentent d'obtenir ou qui ont permis d’obtenir l'inscription à une compétition à laquelle elle n’aurait pas été admise sur base des dispositions en vigueur..." est retranscrit au second paragraphe 2 Les sanctions peuvent être donc lourdes de conséquences : On peut débuter par des points de pénalisations à l’exclusion du Championnat. Jusqu'à présent, un mur d’impossibilité d’établir des critères objectifs pour déterminer la valeur d’un joueur a été dressé, dabs ce type de dossier Pour être clair : l’interprétation des chiffres peut sans aucun doute porter à mettre en évidence des anomalies, mais pour arriver à la sanction la plus lourde, il faut établir un contexte accablant. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il reste une inconnue : Quelles sont les cartes en main à disposition du Parquet de Turin ? Cricri d’amour ? Ronaldo n'est plus là, mais il fait encore parler en Italie : Le Portugais fait partie des joueurs visés par le mandat de perquisition émis par les procureurs de Turin. Attention : Ronaldo ne fait pas partie des suspects, mais son nom apparaît dans l'une des interceptions de la Guardia di Finanza. Dans les conversations, on parle de la "fameuse "carte" qui ne devrait théoriquement pas exister." Selon les enquêteurs, il s’agirait d’un "écrit privé" qui faisait référence à la relation contractuelle de Cristiano Ronaldo et de ses arriérés salariaux : En effet, Cristiano a toujours été traité différemment des autres, il ne serait donc pas surprenant qu'il ait eu des accords "particulier" avec le club. Il reste à comprendre à quoi font référence ces "arriérés" qui sont mentionnés par les Procureurs et qui, selon l’acte d'accusation, met en évidence le fait que la Juventus avait l'intention de garder cela secrets et sans l’existence de documents. La DEA visée ? Il y a une autre écriture privée qui est mentionnée par les procureurs et qui concerne Merih Demiral et Christian Romero. Dans ces deux cas, il s'agit d'un "écrit certifiant l'existence d'une "obligation non-fédérale" à la charge du club sportif de l’Atalanta dans le cadre de la double opération de mercato" des deux défenseurs. Pour ceux-ci, il n'y a pas eu de communications ou de publications. Romero a été acheté par la Juventus en juillet 2019 en provenance du Genoa pour 26 millions d'euros, mais il n’a ensuite jamais joué sous le maillot des Bianconeri. Il s'est retrouvé prêté deux ans à l'Atalanta, le club de Bergame disposait d’un droit de rachat et non d’une obligation. Celui-ci l’avait racheté pour 16 millions, une somme déjà établie, lors de l’été 2021, pour le revendre ensuite à Tottenham pour 50 millions d'euros. Bon à savoir : Tottenham venait d'engager Fabio Paratici comme Directeur sportif à ce moment-là. La Dea, pour remplacer Romero a de nouveau fait appel à la Juventus et Demiral est arrivé en prêt avec droit de rachat. Ce chassé-croisé entre les deux clubs a alerté les enquêteurs Les transferts visés Ils sont très nombreux (42 sur 62), voici les cas les plus particuliers: Il s'agissait d'équipes étrangères "inférieures" telles que Lugano (Lungoyi-Monzialo) et Amiens (Nzouango-Fonseca) et d'équipes italiennes de Serie C telles que Pro Vercelli (De Marino-Parodi), Novara (Barbieri-Lamanna) et Pescara, relégué de Serie B (Brunori-Masciangelo). Ils sont aussi passé dans d’autres catégories avec Pise (Gori-Loria) et Parme (Minelli-Lanini). Sans oublier le retour à l’étranger avec Marseille (Aké-Tongya) et Bâle (Hajdari-Sene) Sans oublier la Serie A, avec des opérations impliquant plusieurs joueurs et Empoli (Lipari, Maressa et Olivieri ; Adamoli et Mancuso), le Genoa (Rovella ; Petrelli et Portanova) la Sampdoria (Mulè, Vrioni, Peeters ; Audero, Francofonte, Gerbi, Stoppa, Brentan). Le tout sans oublier les grands internationaux du calibre de Manchester City (Correia et Danilo, Moreno et Cancelo) et de Barcelone (Marques et Arthur ; Pereira et Pjanic). Mais il n’y a pas que la Vieille Dame Le plus sensationnel est l'accord entre Naples et Lille qui a amené Osimhen dans le club du Vésuve et envoyé Karnezis, Manzi, Palmieri et Liguori en France. Il y a également la Sampdoria et le Chievo avec Depaoli et Leris en Ligurie et Leverbe et Ivan à Vérone. En plus de la Sampdoria, deux autres clubs déjà vus avec la Juve ont surgi : Parme et Pescara (Pavone, Machin, Napoletano, Cipolletti, Palmucci, Brugman et Martella ; Galano, D'Aloia, Madonna et Brunori, encore). Enfin, le Corriere Dello Sport cite également la Roma parmi les équipes concernées. Pour la Repubblica, cette enquête fait trembler le Calcio Le parquet de Turin a ouvert une enquête sur les plus-values du marché du football de la Juventus. Sur les 322 millions d'euros comptabilisés ces trois dernières années, 282 millions proviennent d'opérations visées par une enquête gérée par La Guardia di Finanza. C'est ainsi que débute l'article de la Repubblica sur l'enquête de la Guardia di Finanza sur la Juventus. Le journal illustre donc la situation en détail : "Les services de certains agents sportifs sont également examinés par les Procureurs, qui soupçonnent que des mandats fictifs ont été préparés pour certaines négociations : d'après les appels téléphoniques, les paiements sembleraient ne pas correspondre aux opérations conclues. L'enquête du Ministère Public pour fausse comptabilité, fausses communications sociales et fausse facturation a débuté en mai sur la base d'articles de presse et concerne en grande partie des 'opérations miroir', c'est-à-dire des échanges de joueurs et la vente de jeunes de l'équipe des moins de 23 ans, la deuxième équipe de la Juventus qui évolue en Serie C". "L'enquête ne concernera pas seulement la Juventus mais aussi les clubs qui ont conclu des transactions suspectes avec les Bianconeri. "Trois mois d'interceptions dans la période clé du Mercato ont conduit les enquêteurs à croire qu’un véritable "système" a été mis en place pour équilibrer les comptes à la Juventus Spa, pour corriger les pertes et gérer les budgets dans les exercices allant de 2019 à 2021. Un système qui, pour les enquêteurs, porte une signature précise, celle de Fabio Paratici aujourd'hui à Tottenham, mais qui, jusqu'en mai dernier, occupait le rôle de "Manager à responsabilité stratégique soit de Chief Football Officer et de Managing Director de la Juventus." affirme la Repubblica. Si l'on commet un délit dans le monde des affaires, il faut généralement être deux, à savoir les deux parties qui gèrent les négociations: Dans ce cas-ci, la Juventus semble être l’actrice principales, mais il existe toute une série d'autres clubs qui, au moins une fois au cours des trois dernières années ont réalisé des échanges avec la Juventus sous la bannière des plus-values, lors des périodes faisant l'objet de l'enquête. La FIGC ne l’a pas bon Et à juste titre: L'enquête du parquet de Turin sur la Juventus a inévitablement remis sur le tapis la délicate question des plus-values. Le club de la Juventus n'est certainement pas le seul à avoir eu recours à cet instrument au fil des ans, mais les nouvelles à ce sujet poussent la FIGC à devoir reprendre rapidement le contrôle de la situation. Comme le rapporte Il Fatto Quotidiano, les plus-values ne sont certainement pas une nouveauté, étant donné qu'en Serie A elles s'élèvent à environ 700 millions d'euros par an, soit 20% en moyenne du chiffre d'affaires des clubs. Un choc frontal avec ce phénomène avait eu lieu, par exemple, à l'été 2018, lorsque le parquet de la FIGC alors dirigé par Giuseppe Pecoraro avait assigné le Chievo Verona et Cesena en justice : 3 points de pénalité pour les Veneti, mais rien pour les Romagnoli, déjà en faillite. A l’époque, les juges avaient estimé qu’il était en fait impossible de quantifier la valeur d'un joueur, liée au Mercato, et donc de prouver une faute. Les critères objectifs permettant de définir la valeur d'un joueur constituent, en fait, la principale pierre d'achoppement dans la tentative de limiter les gains en capital. Cette situation a connu un bouleversement uniquement vers la fin de l’année 2020 lorsque la Covisoc a ré-ouvert le dossier et l'a déposé sur la table du président Gravina, en demandant de s’y'intéresser, de même qu’au Parquet fédéral. Parallèlement, les contacts avec la Consob, qui a également ouvert une enquête vue que la Juventus est cotée en bourse, a débuté à la même période. Cela explique la liste bien connue des 62 opérations impliquant plusieurs clubs et joueurs, de la Juve à Naples en passant par le Genoa, de Pjanic à Osimhen en passant par Rovella. Le parquet de la FIGC a donc ouvert un dossier, bien que le président Gravina ait défini l'enquête comme "non persécutrice mais cognitive". Avec l'enquête du parquet de Turin, cependant, l'affaire devient encore plus sérieuse et si la détermination de la valeur d'un joueur reste un obstacle fondamentalement insurmontable, la FIGC pourrait trouver un autre moyen pour éradiquer ce fléau Le président fédéral Gabriele Gravina est déterminé à mettre un terme à ce phénomène par le levier des licences nationales et un système est à l'étude pour épurer la présentation des bilans par les clubs pour l'inscription aux championnats. Celui-ci ne prendraient plus en considération l’enregistrement des plus-values dans les flux financiers: Une plus-value de ce type est ce que l'on appelle les échanges, qui, d'une part, apportent des revenus au compte de résultat des deux clubs impliqués dans l'opération, mais qui, d'autre part, n'enregistrent aucun mouvement d'argent. Marco Donzelli (Président de la Codacons), veut faire de la Juventus un exemple "Si la Juventus a illégitimement profité des clubs rivaux avec des opérations de ce type, la régularité des derniers championnats de football serait compromise et, par conséquent, la Fédération et l'Autorité de la concurrence du marché devraient intervenir et sanctionner les responsables. Au-delà de la responsabilité individuelle, le club ne peut être exempté de toute sanction. Pour cette raison, et pour protéger des milliers de supporters, nous allons déposer une plainte auprès de l'autorité antitrust et du parquet fédéral pour demander la relégation du club bianconero en Serie B et la révocation des derniers championnats remportés à l'ombre de ces opérations potentiellement illégales". Notre avis Alors que l’Inter et le Milan ont extrêmement souffert financièrement ces dernières années, aucune des deux écuries milanaises n’est citée : Le fait d’être passé sous gestion asiatique et américaine ont permis aux deux géants milanais de ne pas se retrouver au cœur d’un vaste scandales. Reste à présent à savoir si les sanctions auront un effet rétroactif. Dans un tel cas, le Scudetto de la saison 2018/2019 pourrait se voir retirer à nouveau à la Juventus (Jamais deux sans trois) sans désignation du Champion, ce qui devrait être le scénario le plus probable si le club est jugé coupable. La relégation semble "peu" probable. Mais attention également au fait que s’il est considéré qu’il y ait un retrait de points avec désignation d’un Champion, et pour autant que l’Inter ne soit pas impliqué (ce qui semble bien être le cas) le 20ème Scudetto pourrait lui être attribué sur tapis vert, étant donné qu’un seul et unique petit point séparés les deux ennemis-jurés de la Serie A. La Juve en Serie B, l'Inter titrée serait donc un remake du Calciopoli, mais si la ‘tricherie’ n’a pas eu lieu sur le terrain, la Juventus se retrouve, à nouveau dans le collimateur de la justice à cause de sa Direction: Il serait peut-être temps de songer à passer la main les gars ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  2. Le monde du Calcio fait face à de très grande difficultés économiques actuellement. Suite aux dernières informations parues dans la presse mettant en évidence une certaine incertitude quant à une réouverture, même partielle des stades, Enrico Preziosi, le Président du Genoa est monté au créneau dans les colonnes du Corriere Della Sera : "La crise économique a déjà généré une perte d’un milliard deux-cent millions d’euros, une somme qui est destinée à s’accroître étant donné les cas de restrictions ultérieures à venir, vu que les rencontres devraient avoir lieu dans des stades à moitié ouvert : Sans public dans les stades et sans aucune forme d’aide gouvernementale, le Chievo pourrait ne pas être qu’un cas isolé : Les bilans financiers de nombreux clubs sont à risque." Président, selon le décret gouvernemental, l’accès au stade sera garanti à 50% de sa capacité : Pourquoi cette norme ne vous convient-elle pas ? "C’est simple à expliquer : Depuis un an et demi nous faisons face à un manque à gagner au niveau de la billetterie et cette nouvelle règle impose désormais une distanciation sociale d’un mètre entre les personnes. En pratique, et c'est valable pour quasiment la totalité des stades italiens, si le tout vient à se confirmer, nous serons dans l’obligation d’autoriser une place valide sur quatre, ce qui revient à ouvrir un stade à 25% de sa capacité." "Avec une telle restriction, il nous serait impossible de lancer une campagne d’abonnement, et vendre des packs "Hospitality" s’avèrerait impossible. A titre personnel, je regrette d’avoir investi une somme considérable pour moderniser le Marassi." Occuper les sièges, tel un damier, pourrait-il représenter une solution ? "Je dirais, qu’avec ce type de formule, qui est d’ailleurs la base de discussions entre la Lega, la Figc et le Gouvernement, que cela garantirait les 50% de capacité. Mais j’irai aussi plus loin : Pourquoi dans des bars ou des restaurants, il est possible d’y rester à l’intérieur avec le Green Pass et ce, sans limitation, alors que dans un Stade donnant accès à l’extérieur, ce n’est pas possible ? Nous représentons la passion de 38 millions d’individus, le Calcio peut être un moyen de convaincre les non-vaccinés. Un mauvais pré-sentiment me vient parfois en tête." Pourriez-vous approfondir ? "J’ai la perception que certains perçoivent les Présidents de Club de football comme de riches imbéciles. Le cliché commun est "Ils se plaignent alors qu’il signent des contrats de millions d’euros. Mais je voudrais expliquer à ceux qui pense de la sorte que pour chaque contrat signé, qu'un montant correspondant au salaire d’un joueur est versé sous forme de contribution dans les caisses de l’Etat : Les Clubs de football sont comme des entreprises et ils doivent être dès lors considérés comme tel. Je me questionne donc sur le fait que le Gouvernement impose des restrictions sur le nombre de spectateurs présent dans le stade, tout en exigeant ensuite de la part du Monde du Football les mêmes prélèvements fiscaux qu'avant la pandémie." Qu’attendez-vous ? "Permettez-moi de vous dire que ma pensée est partagée par l’ensemble des Présidents, aussi bien des moyens-petits, que des grands clubs, car nous sommes tous confrontés à des pertes. Celles du Genoa s’élèvent à 34 millions d’euros, nous souhaitons nous asseoir à une table avec l’Exécutif pour parvenir à trouver une solution." "Le Calcio est représenté par des Présidents qui ont injecté des milliards dans le système, en consentant également à l’Etat à en bénéficier : Nous sommes un partenaire. Plus nous travaillons, plus nous générons des gains, plus des fonds sont injectés dans les caisses de l’Etat. Mais pour survivre, nous avons besoin, s’il ne s’agit pas de remboursement, de percevoir au moins des acomptes ou des reports fiscaux car autrement notre système va imploser. Sans fonds, cela en est terminé de tous, et ce y compris les Ligues inférieurs et les autres sports : Il ne faut pas oublier que la Serie A alimente tout le mouvement sportif italien." Etes-vous favorable à l’obligation de vacciner tous les joueurs, tels que proposé par Gravina ? "Dans un sport de contact, le vaccin représente la meilleure des sécurités, et même s’il ne pourrait pas être imposé légalement, je pense que la suggestion du Président Fédéral doit être considéré comme une invitation au bon sens." Lundi, vous vous présenterez à l’Assemblée Générale de la Lega : La reprise du championnat est-elle à risque ? "S’il y a une poursuite d’un manque de dialogue avec le Gouvernement, nous devrons songer à une solution. Dans un tel cas nous devrons tout stopper et penser à la façon d’agir. Nos demandes ne peuvent pas ne pas être prise en considération. Mais je reste confiant à l’idée que nous parviendrons à un point d’entente avec l’Exécutif à travers une table de négociation." Pensez-vous réellement que la Serie A 2021/2022 puisse être prise en "otage" avec un début du tournoi reporté à une date à définir ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. En effet, l’Inter a décidé de défier la Juventus et Monza dans la course à la conquête du bijoux évoluant au Chievo Verona : Samuele Vignato Selon Tuttosport, le club Nerazzurro aurait dans la ligne de mire le joueur, qui est l’un des talents parmi les plus prometteur du panorama footballistique italien. Samuele pourrait être acquis gratuitement si le recours introduit par son club est est rejeté par le Tar de la Lazio. En effet, le Chievo Vérone a été exclu de la Serie B et actuellement Cosenza a été promu en Serie B pour combler le vide laisser le Chievo Verone représenté par un "X" Si la sentence est confirmée, Chievo basculera en Serie D (soit le championnat amateur) ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  4. Chievo - Inter : Focus sur l'état de forme des joueurs ? Dalbert et Vecino refont leur apparition dans l'effectif après leur blessure. Le latéral brésilien pourrait être aligné car Asamoah est suspendu. João Miranda est indisponible pour un problème musculaire. Enfin, Radja Nainggolan semble en bonne forme selon Spalletti et pourrait être titularisé, lui qui n'a joué que 187 minutes en deux mois. Le Chievo est dernier de Serie A mais n'a perdu qu'un match lors des six dernières rencontres (nuls contre Naples et la Lazio notamment). Étant donné que la Lazio a gagné à 12h30 contre Cagliari (3-1), nous devons gagner pour rester à +7 de la cinquième place et ne pas se faire distancer par Naples. FORMATION OFFICIELLE ?? (4-2-3-1) Handanovic; Vrsaljko, De Vrij, Skriniar, D'Ambrosio ; Joao Mario, Brozovic ; Politano, Nainggolan, Perisic ; Icardi. En cas de succès, les nerazzurri reviendraient à six points de Naples (qui a gagné 1-0 contre SPAL) et auraient huit points d'avance sur le Milan (qui a perdu 0-1 contre la Fiorentina). La rencontre entre le Chievo et l'Inter met du temps à démarrer, entre passes incertaines et frappes imprécises. L'Inter essaye de mettre le pied sur le ballon au bout de 10 minutes mais sans conviction. Les nerazzurri commencent réellement à se montrer dangereux après l'ouverture du score par Perisic à la 39e sur une passe décisive de D'Ambrosio. Dommage que ce ne soit qu'en fin de mi-temps. Icardi aurait pu s'en charger plus tôt mais butera sur le portier à bout portant. Nainggolan juste derrière ne cadrera pas sa frappe de l'extérieure de la surface. A noter une dernière occasion juste avant la mi-temps pour Joao Mario qui loupe le 2-0 en ne cadrant pas sa reprise du bout du pied sur un centre tendu à ras de terre au 2e poteau. La seconde mi-temps débute avec la même intensité sur laquelle la première s'est terminée, mais en vain. L'Inter tente d'enfoncer le clou mais le match est entrecoupé de fautes et de précipitations qui n'aident pas à la construction. Icardi est trop altruiste ou butte sur Sorentino. Le Chievo a l'occasion de revenir au score, mais Handanovic a la main ferme et empêche Pellissier de mettre la balle au fond. Les deux équipes se renvoient les coups malgré la construction des actions qui reste désorganisée. On assiste d'avantage à une partie de billard. Nainggolan laisse sa place à Vecino à la 66e. Politano laisse la sienne à Lautaro 10 minutes plus tard. Spalletti fini sa ronde avec Valero à la place de Joao Mario. Il reste alors 10 minutes de jeu dans le temps réglementaire. Rien n'y fera, le score ne bougera pas jusqu'à la 90e minute. On entre dans le temps additionnel, c'est alors que le Chievo se met à pousser et tout tenter jusqu'à obtenir logiquement l'égalisation sur un lob de Pellissier. Chievo 1-1 Inter ! Le score en restera là, le Chievo et l'Inter se séparent sur un match nul, mais vraiment nul, sous toutes ses formes.
  5. Damien

    Série A - J36 : Inter 2-0 Chievo

  6. Damien

    Série A - J34 : Chievo Verona 1-2 Inter

    jusqu’à
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