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  1. C'est la révélation de la Gazzetta Dello Sport: "Lautaro sauve l'Inter: Dans une soirée "extrême" destinée aux cœurs bien accrochés, l'Inter a traversé les murs de l'enfer et n'est resté debout qu'avec la force du désespoir. Et ce n'est pas un hasard, si son salut vient du pied de Lautaro Martinez, après plus de trois quart d'heure de jeu à la merci de la Real Sociedad, lui qui reprenait du gauche le tir raté de Davide Frattesi, le transformant de la sorte en une passe décisive." "Porteur du Brassard de Capitaine, il a survécu au Turn-Over de Simone Inzaghi et n'a pas été remplacé malgré une fatigue évidente, car c'est l'attaquant sur lequel l'Inter compte en cas de coup dur. Et cette année, plus encore que les précédentes, il est devenu le Capitaine et le Guide spirituel d'un groupe qui a profondément changé: C'est aussi pour cette raison qu'en fin de match, il ne s'est pas voilé la face face au danger qui s'est présenté à lui, il n'a même pas esquissé le moindre sourire, mais il est allé secouer toute l'équipe, y compris lui-même, avec ses propre mots". Et si le Toro a scoré dans une rencontre des plus cauchemardesque comme l'a été la soirée vécue au San Sebastian, on retrouve une éclaircie car son but est le 200ème but de l'Inter Ligue des Champions. A titre personnel, Lauti en est à son onzième but dans la compétition, il se rapproche de son illustre compatriote, Hernan Crespo, au tableau des buteurs de l'Inter dans l'Europe qui compte: "Ce qui reste toutefois le plus marquant est qu'il y soit parvenu sur la première tentative de son équipe, alors qu'il ne restait que trois minutes à jouer avant d'atteindre la la 90ème minute" "Le but de l'attaquant argentin contre la Real Sociedad est également son 108ème but avec le club de la Viale Della Liberazione, son sixième cette saison. Vrai phénomène, il vise à entrer dans la liste des meilleurs buteurs de l'Histoire des Nerazzurri avec encore plus d'insistance : Christian Vieri, neuvième de ce classement spécial, a marqué 123 buts avec l'Inter, tandis qu'Icardi, huitième, s'est arrêté à 124." "Mais ce n'est pas tout : Lautaro, mis à part le match contre l'AC Milan, a marqué contre tous les adversaires qu'il a rencontrés : un doublé contre Monza, un but contre Cagliari, deux autres buts contre la Fiorentina. Si les buts du joueur ont rapporté neuf points en championnat, celui d'hier soir contre la Real Sociedad a permis d'éviter une défaite en terre basque". ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  2. Bobo Vieri vient de célébrer ses 50 ans. A l'occasion, il a accordé une longue interview au Corriere della Sera au cours de laquelle, il repasse sa carrière en revue. "Allons, ce n'est qu'un nombre, même si il est quand même significatif". C'était les 50 ans de Christian Vieri, loin est l'époque où Bobo faisait les 400 coups ! Une transformation de star du football à homme mature. "Lorsque j'ai rencontré Costanza, il nous a fallu juste trois mois pour décider de fonder une famille. Tout est allé très vite, sans trop penser, on s'est dit, essayons et on verra bien ce que ça donne", raconte l'ancien attaquant de l'Inter dans sa longue interview. Un petit bilan des dernières années ? "6 années fantastiques, Costanza m'a changé la vie, elle m'a donné deux filles, chaque fois que je parle d'elles, je suis pris d'émotion". C'est donc ça la maturité ? "Ma mère disait que je comprendrai tout de suite quand je serai prêt à fonder une famille. Ca m'a pris du temps mais bon, ça va. J'ai fait mon petit bonhomme de chemin, je me suis amusé". Des regrets ? "Zéro." Même pas avoir raté le Mondial en 2006 ? "C'était mon destin. Je ne peux que remercier le football pour ce qu'il m'a donné". Que vous ont laissé vos années passées en Australie ? "La liberté de faire ce que je veux. Je comprends l'anglais mieux que l'italien, je peux faire le tour du monde, voyager. A 14 ans, j'ai voulu revenir en Italie pour pratiquer le football, depuis ce moment-là, j'ai toujours vécu ma vie à ma façon et pris mes propres décisions". Vous avez du grandir rapidement ? "Oui, et puis, en Australie, j'étais entouré de gens provenant des quatre coins du monde. C'est pour cela que pour moi le racisme est inconcevable". Comment ça a été de revenir en Italie à cet âge là ? "J'arrivais à me faire comprendre avec mon accent australien. Je me baladais en short et en sandales, dans un état piteux. On me demandait des fois où j'allais habillé comme cela et je répondais avec des insultes en anglais". C'est grand-père Vieri qui veillait au grain à ces moments-là ? "Il me manque tellement, ce fut le premier à croire en moi, j'aurai aimé célébrer mon anniversaire avec lui. Il avait plein d'amour pour moi, et je peux facilement le comprendre car je ressens la même chose pour mes filles". Vous êtes vous déjà senti comme un étranger ou pas à votre place durant vos premières années en Italie ? "Oui, au bar, j'entendais dire que je jouais au football seulement grâce à mon père, que j'étais un pistonné. J'étais jeune, je vivais tout seul avec mes grands-parents et je sentais la jalousie des gens, j'ai du me faire violence, me défendre. Avec notamment, quelques 'vaffa*******' dont j'ai le secret." Alors comment avez-vous fêté vos 30 ans en tant que star de l'Inter ? "Ce fut une fête spectaculaire au Pineta Milano Marittima". Entouré de femmes ? "Je me rappelle qu'il y avait Ronaldo. L'une des constantes dans ma vie c'est la présence de mes amis, aujourd'hui encore, j'ai toujours en moi le vestiaire et son atmosphère. Qu'est-ce qu'on en dit des conneries... Di Biagio fait les mêmes blagues depuis 30 ans et tout le monde en rit encore. Mais c'est beau d'être encore ensemble, une belle vie". Vous avez toujours dit que vous étiez le roi des discothèques mais seulement l'été. Cela vous énervait lorsque votre professionnalisme était remis en cause ? "Oui, mais tu ne peux pas suivre tous les gens qui parlent de toi sinon la folie te guette. Je savais qui j'étais, comment je m'entraînais. Après c'est normal, si quelqu'un écrit du mal de moi et que je le croise, j'aurai des belles paroles pour lui, je suis comme ça." Les journalistes vous sont un peu plus sympathiques maintenant ? "Bien sûr, le monde est différent, maintenant c'est moi qui commande, avant en plus tu ne pouvais pas te défendre. Aujourd'hui avec les réseaux sociaux tu peux répondre". Ca arrive à Vieri de se dire "je vieillis" ? "Tout le temps. J'ai des douleurs quand je fais du sport, la cheville, les vertèbres cervicales C1, C2, C3, j'ai un millier d'hernies au niveau du cou? J'ai mal à l'épaule gauche, au genou gauche aussi..." Qui était votre idole d'enfance ? "Vialli et Mancini. Le 9 c'était l'anniversaire du grand Gianluca, c'était mon idole, il donnait tout sur le terrain et c'est un aspect qui m'a accompagné durant toute ma carrière? Nous avions de bons rapports, avec Sinisa aussi, ça fait mal de se dire qu'ils ne sont plus de ce monde". La joie des 30 ans de Bobo Vieri est-elle différente de celle des 50 ans ? "Très différente. Je le vois dans mes filles. Je n'aurai jamais imaginé éprouver un amour aussi immense un jour, c'est de la folie. Si Costanza me dit qu'une des gamines a besoin de quelque chose le matin, je m'envole par la fenêtre, en pyjama pour le lui chercher, ça c'est de l'amour, je pense c'est ainsi pour tout le monde. Je vis pour prendre soin d'elles et de ma femme". Vous êtes vous déjà mal comporté avec une dame ? "Non." Que pensez-vous du monde dans lequel vos filles grandissent ? "Un monde qui va à 1000 à l'heure, mais ça ne me fait pas peur. Il faut s'adapter et les accompagner dans leur croissance et leur apprentissage du monde. Quand un jour, un fiancé se présentera à ma porte, ce sera un coup à avoir un infarctus mais c'est encore tôt pour y penser". (Corriere della Sera) Internazionale.fr ~ © Samus
  3. Protagoniste du dernier épisode de 'Footsteps', un format diffusé sur la chaîne Recast de l'Inter, Romelu Lukaku se décrit et aborde des sujets liés à l'Inter. Description "La détermination, l'envie de s'améliorer et d'avoir toujours de nouveaux objectifs ont été importantes dans ma carrière. Mais aussi l'humilité." Le plus beau but "L'un des plus beaux buts de l'Inter a été la victoire 3-0 contre Milan. Perisic a frappé la balleet Barella et moi étions là. J'ai alors demandé à Nicolò de me la laisser et j'ai vu qu'il y avait de la place. Et là, j'ai commencé à courir. Au départ, je voulais faire un double pas vers la droite mais Lautaro était là et je ne pouvais pas la lui passer. Alors je suis allé vers la gauche, je n'ai vu qu'un tout petit espace et j'ai dit ok pour moi. Je devais frapper le plus fort possible et j'ai marqué." Compagnons idéaux "En tant que colocataire, j'aurais aimé Adriano parce que c'est une bonne personne, chaque fois que je lui parle, je ressens des émotions. Quand j'étais petit, les gens disaient que c'était un joueur avec de la force et de la puissance qui n'utilisait que son pied gauche. Quand je l'ai vu jouer, j'avais seulement 10 ans et il a tout changé pour moi. En tant que partenaire offensif, j'aurais aimé Ronaldo il Fenomeno parce qu'il est droitier et moi gaucher, mais pour la façon dont il a joué. Je dis aussi Vieri." Adversaire idéal "J'aurais aimé défier Materazzi parce qu'il est grand, fort et agressif et ce sont les défenseurs qui te mettent le plus en difficulté, et en difficulté tu progresses. Les matchs contre lui auraient été intéressants à voir." Hé bé, un duel Lukaku vs Materazzi, là, ça aurait cogné Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. Christian Vieri a rappelé son passage chez nous et évoqué l'élan de forme de l'équipe de Simone Inzaghi lors de la Milan Football Week organisée par La Gazzetta dello Sport. Le maillot des Nerazzurri "C'est certainement celui que j'ai porté le plus longtemps. C'était un grand amour. Je suis arrivé avec Ronaldo, je voulais jouer avec lui, former le duo d'attaquants le plus fort du monde. Puis après on a eu beaucoup de blessures. Ce furent dix années importantes." Lukaku "Lukaku va plutôt bien. J'attends de plus en plus de lui. Avec Conte il a été dévastateur et je m'attendais à au moins 25-30 buts. Peut-être que j'exagère mais je le voyais clairement. Si vous me demandez s'il m'a déçu, je dis oui. Mais maintenant il va plutôt bien. Pas comme lorsqu'il jouait avec Conte car à l'époque il semblait parfait au niveau physique." Lautaro "Oui, il est une certitude mais il est parmi les meilleurs attaquants du monde depuis quelques années maintenant. Il ne me l'a pas fait savoir à cette Coupe du Monde de folie. A mon avis, il n'a pas joué de grands matchs mais il fait de grandes choses avec l'Inter." Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. Interviewé par la Gazzetta Dello Sport, Massimo Moratti s’est livré sur l’EuroDerby du début du millénaire et suri celui qui se disputera ce soir, avec en ligne de mire, la Finale de la Ligue des Champions Président, Moratti, c’est reparti pour un tour... "Et oui, ça recommence même si tout a changé depuis cette demi-finale de 2003, à l’époque j’avais un poste à responsabilité. A présent, je suis juste l’un des millions des tifosi qui souffre pour cette rencontre, cela fait des semaines que j’y pense. Je sais que j’ai pris de l’âge et le fait de ne plus être de l’intérieur me permet de faire descendre la pression. Aujourd’hui, le plaisir l'emporte sur le devoir, mais elle reste comme à l’époque, une belle partie unique : Aucune autre ville ne peut se féliciter d’un spectacle de ce niveau." Qu’est-ce qui vous vient en tête 20 ans après... "Une torture, mon flash-back que je n’oublierai jamais, le face à face entre Kallon et Abbiati à la fin de match retour, si on dit que ça reste un très grand arrêt, je continue à penser qu’il aurait dû la mettre au fond." Même le Triplé ne vous a pas permis de combler cette amertume de l’EuroDerby de 2003 ? "Cette défaite en 2003 nous a été utile pour nous mener vers cette ascension vers la gloire, c’était l’étape d’un parcours, mais c’est vraiment très triste d’avoir été sorti ce soir-là, d’autant plus que nous n’avions jamais été battu : Aujourd’hui, dans une telle situation, nous serions allé en prolongation. Ce soir, le destin nous donne l’occasion unique de prendre une Vendetta Sportive et je pense qu’aucune des deux équipes ne s’y attendait vraiment." Que faudra-t ’il pour mener à bien cette Vendetta ? "Je crois que cela va énormément dépendre du match aller, car au match retour il y aura inévitablement un peu plus d’anxiété, nous nous connaissons bien. Au match aller, tu auras un peu plus de liberté pour jouer au ballon et pour trouver, qui sait, les bons espaces." A l’époque vous aviez dû faire sans Christian Vieri et avec un Hernan Crespo qui n’était pas au mieux : Ce soir, Milan pourrait évoluer sans sa star… "Les absences ont pesé en 2003, c’est évident qu’il s’agira d’un préjudice important pour le Milan si Leao est absent. Dans une rencontre d’un tel niveau, avec toute la charge émotionnelle qui y incombe, les compteurs seront remis à zéro dès le coup d’envoi." Qui peut être le Stratége de l’Inter ce soir ? "Je vote pour Barella qui est en train de devenir un vrai symbole : Il crée une identité avec les Tifosi et c’est pour moi le moteur de l’équipe. J’aime aussi le comportement d’Onana, il a fallu du courage pour l’aligner au début, mais il n’a peur de rien et par-dessus tout, il est vraiment très bon. Je pense aussi à Lautaro qui a le pied chaud en ce moment, heureusement pour nous d’ailleurs." Qui aimeriez-vous voir aligner en duo avec le Toro ? "Lukaku est dans une croissance intense en ce moment, c’est visible aux yeux de tous: C'est aussi une bonne chose car il nous a énormément manqué dans les moments les plus délicats. Je pense toutefois que la paire la plus fiable, du moins au début, reste toujours Dzeko-Lautaro." Dites-nous la vérité : Vous l’auriez remercié Inzaghi, lorsqu’il était en sérieuse difficulté en championnat… "Peut-être, mais j'apprécie la façon dont il a réussi à se maintenir à flot sans se noyer. Il est resté lucide, malgré les nombreuses critiques, et j'en fais partie. Il a montré qu'il était bon et qu’il avait le caractère pour rester dans un environnement comme celui de l’Inter." Si jamais, iriez-vous également à Istanbul ? "Ben j’aimerais bien, mais évitons d’en parler en ce moment : Nous avons deux solides rencontres qui nous attendent, deux soirées de pure passion." Vous sembliez détendu lors de votre diner avec vos amis milanites Gherardo Colombo et Renato Pozzetto, vous avez d’ailleurs chanté également La vita l’è bela”. "La vie est toujours belle et savoir s’amuser au-delà de la rivalité montre à quel point l’amitié et la civilisation milaniste est plus forte que tout : Mais nous ne pousserons plus la chansonnette jusqu’à mardi prochain." Mohammed, si tu nous lis, Massimo a toujours le seum! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. C’est la révélation de la Gazzetta Dello Sport : "Si rien n'est encore écrit noir sur blanc, l'orientation de base penche vers le négatif sur l'hypothèse de le voir titulaire, une situation surprenante que Stefano Pioli, en personne, n'avait pas exclu à la veille du match." "Pour l'instant, dans le monde des Rossoneri, personne n'est trop ouvert à la prédiction mais il se dit que c’est la ligne du NON qui prédomine et ce pour éviter de prendre des risques bien plus importants en vue du match retour et surtout en championnat, où il y a une quatrième place vitale à conquérir." "En effet, même en cas de rétablissement, l'hypothèse de le voir titulairser est à exclure: Ce qui est certain, c'est que ce matin, le Portugais a quitté Milanello pour rejoindre ses coéquipiers en stage à l'hôtel près de San Siro. La ligne qui semble prévaloir, cependant, est celle du non. Surtout pour ne pas risquer d'aggraver la situation en vue du match retour." Christian Vieri en 2003, Rafael Leao en 2023...Cheh! (ou plutôt SPIAZE) ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. L'Inter a remporté une victoire importante en Série A en battant la Lazio hier après-midi. Les Nerazzurri avaient besoin des Trois Points pour revenir dans les places pour la Ligue des Champions, tout en profitant du match nul entre la Roma et l'AC Milan. Ce n'était pas facile après que les Biancocelesti aient pris les devants en première mi-temps, mais l'Inter a continué à pousser et a ramené les Trois Points avec un doublé de Lautaro Martinez et un but de Robin Gosens. Lautaro Martinez a franchi une étape importante en matière de buts, comme le souligne un Tweet du compte de statistiques de football Opta. Ils ont Tweeté: "Lautaro Martínez est le Troisième Joueur de l'Inter à marquer plus de 15 buts en au moins Trois Saisons consécutives en Serie A au cours des 55 dernières années, après Christian Vieri (entre 2000/01 et 2002/03) et Mauro Icardi ( quatre, entre 2014/15 et 2017/18). El Toro.” Félicitation au Toro! Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  8. L'ancien défenseur de l'Inter Daniele Adani estime qu'une fois que cette équipe de Nerazzurri commence à jouer son football à son rythme, il est très difficile de trouver un moyen de les contrer. S'exprimant sur la chaîne Twitch de Christian Vieri, tel que rapporté par FCInter1908 , l'ancien défenseur a donné son avis sur la performance de l'Inter contre Benfica en quarts de finale de la Ligue des champions, affirmant que la qualification pour les demi-finales est pratiquement assurée sur la base du premier tour. Sur l'ensemble du match, l'ancien défenseur a estimé que "Benfica-Inter était un grand match, mais dans la première heure, cela ressemblait à City-Bayern au ralenti". "Quand nous disons que l'Inter est superficiel", nous voulons dire ceci : Si vous pouvez faire cela contre Benfica, vous devez pouvoir continuer et le faire également en championnat". "C'est une question de superficialité et de manque d'attention". "Une chose que j'ai aimée, c'est la performance de Bastoni, dans son interprétation comme un défenseur central large qui monte sur le terrain est presque unique", a poursuivi Adani, "il pense presque comme un arrière latéral". "Contre Porto, l'Inter était à la fois bon et chanceux, ils étaient juste bons, leur ligne défensive n'était pas trop basse, il y avait une tentative de pression." "Benfica a joué son jeu mais le match a fait ressortir la meilleure qualité de l'Inter, pourtant L'Inter ne dribble pas, mais ils savent comment passer le ballon." "Et une fois qu'ils ont pris leur rythme, il est difficile de le leur enlever, c'est difficile de rester compacte quand ils jouent comme ça." "S'ils s'appliquent, l'Inter peut faire ce qu'ils ont fait ici, ils n'ont encaissé aucun but contre Porto et Benfica, ils sont aussi solides." "L'Inter a été superficiel à plusieurs reprises, mais ils doivent toujours être compétitifs." "Je pense que l'Inter a obtenu sa qualification pour le prochain tour". Traduction Lindt1908 Via SempreInter
  9. Interviewé par le Corriere della Sera, l'ancien attaquant de l'Inter Christian Vieri s'est exprimé sur la belle saison de Naples et les performances de l'Inter d' Inzaghi qui n'a pas été à la hauteur de ses attentes en ce début de saison en championnat. Vous attendiez-vous à un Naples similaire ? — « C'est une voiture parfaite. Je n'ai jamais vu un club apparaître aussi fort après une véritable révolution technique». Giuntoli et Spalletti champions ? — «Giuntoli est un directeur sportif à l'ancienne, il va chercher lui-même les joueurs. Je suis content pour lui, on a joué ensemble à Allievi del Prato : c'était un vieil homme libre, tout en coups et en coups (rires) ». Et Spalletti ? — «Mon père Bob l'estime beaucoup, et mon frère m'a déjà beaucoup parlé de Luciano lorsqu'il était à Ancône. Les équipes de Spalletti jouent bien au football, ça a toujours été comme ça. Son empreinte est très reconnaissable. Il a acquis une expérience totale et sait parfaitement lire chaque détail dans les différents moments de la saison en général ». Est-ce un Napoli qui peut aussi rêver en Ligue des champions ? — "Ce ne serait pas une surprise pour moi, même s'il devra faire très attention à Milan." En parlant d'Inter, une saison difficile à décrypter. — «C'est inacceptable de perdre 9 matchs sur 27 en championnat. L'Inter est une équipe, ils ne peuvent pas laisser cette avalanche de points dans la rue. Je m'attends à beaucoup plus et il ne peut pas y avoir autant de discontinuité». Benfica est-il battable ? — « Un challenge très ouvert. Benfica est fort, c'est le Napoli du Portugal. Là, l'architecte est, sans surprise, Rui Costa, quelqu'un qui a fumé des cigarettes et fait du football toute sa vie (rires)». Lukaku est-il le vrai équilibreur de l'Inter ? — "Jusqu'à aujourd'hui, il a été absent, tout le monde attendait un autre Lukaku". Pendant ce temps, l'aventure de Conte à Tottenham est terminée. Êtes-vous surpris par un tel épilogue ? — «Antonio entre en conflit avec tout le monde, c'est son caractère. Si vous le prenez, vous n'avez pas à vous attendre à quelqu'un qui se tait et tout va bien avec lui. Il est toujours sur les nerfs, c'est sa façon d'être, on aime ou on aime pas. Vous savez qui vous obtenez. Tous les deux ans, vous vous disputez avec tout le monde ? Oui, il part toujours avec des problèmes ? Oui, tu sais qu'il est exigeant, sérieux. Et c'est lourd de l'avoir en société, ça ne permet pas de dormir tranquille. Ce sont des choix. Il y a des entraîneurs comme Conte et Mourinho qui martèlent à toute heure, mettent la pression et exigent toujours le meilleur. Et puis il y a ceux qui sont contents de tout, ils y restent. Chacun s'entraîne et voit le football à sa manière, et cela ne veut pas dire que tel ou tel entraîneur a raison." Chapitre national : que pensez-vous de Retegui ? — « C'est prometteur, impact positif. Un très beau but marqué contre l'Angleterre. Mancio avait encore une fois raison : s'il voit un bon joueur, il le lance sans trop de problème. Dans tous les cas, Mateo doit jouer et encore beaucoup s'améliorer». Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  10. Vieri : Cela aurait été différent aujourd'hui avec les réseaux sociaux: Tu peux te défendre! L'ancien attaquant des Nerazzurri est revenu sur l'épisode de "l'évasion" de la Pinetina avec son ancien partenaire Luigi Di Biagio et a expliqué que rien ne s'était passé comme ils l'avaient dit. Il y est revenu. Bobo Vieri , sur sa chaîne Twitch, lors de l'émission en direct avec Cassano, Adani et Ventola, a parlé de ce qui s'était passé avec Di Biagio lorsqu'ils ont quitté le camp d'entraînement de Pinetina au milieu de la nuit et ont été punis par l'Inter le lendemain. «Cette nuit-là, nous étions allés dormir à la maison. Gigi et moi allions dormir chez moi, mais à un moment il m'a demandé de l'accompagner chez lui. Accompagné de lui, je suis allé dormir chez moi. Mais on savait déjà qu'on n'avait pas dormi au camp d'entraînement à la veille du match contre Modène. Mais ils avaient écrit que nous avions été dans une discothèque. Heureusement, j'avais accompagné Gigi chez lui, sinon sa femme l'aurait traité de menteur. Mais ce jour-là, Cuper nous a quand même punis », a-t-il souligné. « Je lui ai dit monsieur s'il vous plaît laissez-moi jouer. Parce que contre Modène, j'ai marqué au moins trois buts, mais il a dit non. Gigi et moi avons raté ce match. Mais c'est arrivé parce que nous ne pouvions pas nous défendre, nous n'avions pas les moyens de le faire. Aujourd'hui, par contre, il y a les réseaux sociaux et avec eux tu peux dire ta vérité, tu peux te défendre », a conclu l'ancien attaquant. Chacun son époque Bobo! Traduction Lindt1908 Via Fc Inter1908
  11. Nicola Ventola, s'est livré dans une longue interview accordée à son collègue Luca Uccello ce matin sur Tuttosport a surtout parlé de l'attaque de l'Inter, citant Lautaro Martinez, mais aussi Edin Dzeko et Romelu Lukaku notamment en vue du match face à Porto. PARMI LES MEILLEURS - Nicola Ventola fait surtout l'éloge de l'attaquant argentin, insérant dans un classement : « Lautaro Martinez ? C'est un attaquant fantastique. Pour moi, cela peut devenir encore plus décisif qu'aujourd'hui, mais pour être un attaquant de haut niveau, il faut marquer plus de 25 buts. Cette année, il peut le faire pour la première fois. C'est un meneur, le joueur qui entraîne ses coéquipiers . Chaque année, il fait un pas de plus et pour moi, il fait déjà partie des cinq meilleurs attaquants du monde. Je suis sûr que tout le monde aspirera à l'avoir dans son équipe. Sa volonté, d'après ce qu'il montre sur le terrain, est de rester à l'Inter. Ensuite, vous devez comprendre comment l'entreprise se comportera face à une offre importante. Pour rester, un joueur doit se sentir partie prenante d'un projet gagnant, comprendre que le club a aussi la même ambition. Cela me rappelle beaucoup Vieri. Bobo s'est jeté dans le feu pour ses compagnons. Il s'est disputé avec tout le monde. Quand vous êtes une équipe, quand vous êtes un leader, vous êtes ceci. Et Lautaro s'est avéré être un leader dans ce domaine, pour ses coéquipiers. C'est facile de s'en prendre à quelqu'un en difficulté . " L'ATTAQUE – Ventola a son mot à dire sur l'attaque de l'Inter contre Porto : « Je mettrais Dzeko aux côtés de Lautaro Martinez contre Porto .Avec sa technique, il peut aussi jouer à l'arrêt, il fait toujours tourner l'équipe. Lukaku n'a pas ce truc. Il doit être en bonne forme physique. C'est un joueur qui a besoin de plus de "chouchoutage" de la part de son entraîneur, de ses coéquipiers. Mais en ce moment, il n'y a pas de temps : tu es là pour la Ligue des champions, tu te bats maintenant avec Porto. Lukaku ? S'ils me le donnent, c'est bon, je le garde . Sinon, il appartient à l'entreprise de faire ses évaluations. Maintenant, ce n'est plus un problème physique. Mais tête. Il ne se sent plus le leader de l'équipe , il ne se sent plus fondamental, il sait qu'il ne peut plus se tromper". Traduction Lindt1908 Via Fc Inter News
  12. Notre ancien défenseur Walter Samuel s'est exprimé au micro de la chaîne YouTube du journaliste Gianluca Rossi. Il évoque divers sujets. "Je me souviens grâce à une grande gratitude des supporters de l'Inter qui se souviennent encore de moi aujourd'hui et me saluent quand ils me voient. Je suis heureux d'avoir contribué à une petite partie de l'histoire des Nerazzurri." Deux mots aussi sur le Triplete. "En une semaine on a tout joué, on a joué la finale de la Coupe d'Italie, puis la finale de la Ligue des Champions, et la Serie A à Sienne. On aurait pu tout perdre. Nous avons commencé à jouer et à y croire, remportant un Triplete auquel peut-être personne ne s'y attendait." Sur votre choix de rester à Milan. "Beaucoup de mes anciens coéquipiers sont restés à Milan, même Chivu. Il fait beau et on s'entend bien. On a toujours gardé l'idée de rester ici parce qu'on va bien, ça sera difficile de partir. Nous serions toujours heureux de rester, il y a une belle complicité. Mes enfants vont souvent au stade, avec moi et seuls aussi." Passons ensuite à l'analyse de la situation actuelle. "Ils ont beaucoup de qualité mais ils sont, peut-être, trop irréguliers. Ils sortent des grands matchs comme contre Porto et puis ils peinent en championnat. C'est vraiment dommage parce que maintenant tu te bats avec quatre ou cinq équipes pour la Ligue des champions. Porto? Je vois le match positivement car ce sont des matchs ponctuels et l'Inter a un avantage. Je m'attends à un bon match, je ne vois pas tout en noir, j'ai la foi dans cette équipe." Lautaro est-il déjà un champion ? "Nous l'apprécions dans l'équipe nationale, c'est un grand joueur, jeune, il a encore beaucoup à donner. Je le vois enthousiaste à l'idée d'être à l'Inter. L'Argentine ? En tant que joueur, je n'ai pas eu la chance de gagner en équipe nationale. En 2022, nous l'avons fait et c'était fantastique pour tout le peuple argentin. Le mérite, c'est tous les joueurs qui ont toujours cru en nous. Nous aussi, nous avons pris beaucoup d'épaisseur." Un possible futur en tant qu'entraîneur. "Pour l'instant ça va, j'aimerais bien dans le futur mais je dois encore aller jusqu'au bout. Je sens que je dois encore beaucoup apprendre et je le fais avec Scaloni. Après avoir joué pour l'Inter, ce n'est pas une obligation de l'entraîner à l'avenir. Cambiasso, il est peut être un entraîneur capable, il est très calme. Lui aussi attendra le bon moment, l'entraînement n'est pas une obligation et c'est aussi juste de profiter de la famille." Au final, un excursus sur le rôle du défenseur. "Je ne sais pas s'il y a un Samuel aujourd'hui, les temps sont différents. Nous étions plus solides et concentrés sur l'homme. On avait plus de liberté. Peut-être que le dernier était Chiellini. Aujourd'hui, il faut se présenter et rester debout comme le fait Bastoni, je l'aime beaucoup, il est confiant, il court beaucoup. J'ai essayé d'être toujours là et de me sentir bien. Je n'ai jamais fait de tacles durs, en fait nous aussi nous en avons pris car nous avons affronté des attaquants qui frappaient. Je pense à Vieri, Lucarelli, Toni, contre eux c'était très dur parce qu'ils étaient très forts." Traduction alex_j via FCInterNews.
  13. Arrivé à l’été 2000 sous l’ère Marcelo Lippi, Robbie Keane n’aura duré que six mois à l’Inter, une courte période certes, mais une période qui aura tout de même marqué l’international irlandais qui s’est livré dans le Podcast We Are Liverpool. "Si je regarde derrière moi, j’étais vraiment trop jeune pour y aller et il y a eu des choses qui échappent à tout contrôle, mais lorsque tu vois les joueurs que nous avions à l’époque….. Ronaldo était toujours blessé car il avait connu de très graves problèmes à son genou. Mais tu avais Christian Vieri, Hakan Sukur, Alvaro Recoba, Ivan Zamorano, c’était les meilleurs, ce qui se faisait de mieux en joueurs." "Je ne regrette rien même si je sais que je n’y suis resté que très peu de temps, pourtant j’ai énormément appris en terme de culture et sur les modes de vie, comme la façon de se nourrir par exemple. Nous restions sur le terrain d’entrainement lorsque nous devions jouer le soir: Il y avait des chambres sur place et Clarence Seedorf était mon colocataire et c’est surement l’un des pire que l’on peut avoir." "Il ne dormait pas, il aimait regarder des films d’animation, les lits étaient étroits avec qu’un très léger espace entre eux, une chaise les séparaient: Il mettait son pc portable sur cette chaise et nous regardions le Roi Lion et d’autres choses jusqu’à une heure ou deux heures du matin, alors que je préférais me coucher toujours vers minuit: Si la rencontre se jouait que le lendemain, il en profitait pour parvenir durant deux ou trois heures dans la journée sans problème alors que moi j’étais toujours bien éveillé : Il ronflait comme un porc!" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Le journal La Repubblica ouvre ses micros à Antonio Cassano. Au cours de l'interview, Cassano revient sur ses nombreux non aux Bianconeri ainsi que d'autres sujets. Comme d'habitude, il fait dans la mesure, la retenue et la langue de bois. Musique maestro! Tu as rejeté la Juve plusieurs fois... "J'ai rejeté la Juventus quatre fois. La première, c'était en 2001. J'avais rendez-vous avec Luciano Moggi à Avellino. Mais je voulais jouer avec Francesco Totti, j'étais fasciné par Rome, la ville. La Juve ne m'a jamais fasciné, pas même pour une seconde, il n'y a pas que ça n'avait rien à voir avec mon idée du football. Là, je tiendrais trois jours: le premier jour, ils m'ont acheté, le deuxième ils m'ont présenté, le troisième ils m'ont mis à la porte. Gigi Buffon me disait: 'tu es un idiot, tu aurais pu gagner le Ballon d'Or avec nous.' J'lui ai répondu: 'Gigi, j'tampe pas la carte de pointage, faut qu'j'm'amuse à l'entraînement.'" Ton opinion sur la Juve et l'Inter... "La Juve avec Massimiliano Allegri a été nulle pendant un an et demi, il l'était il y a dix ans. Et il a l'effectif le plus fort du championnat. Cela vaut aussi pour, l'Inter, et je le dis en tant que fan de l'Inter, ce sont les deux équipes les plus fortes. Inzaghi est jeune mais j'ai l'impression que l'Inter est plus grande, plus forte que lui. Ils ont 18 points de retard sur Naples qui a le pouvoir des idées." Quand verrons-nous un autre grand numéro dix italien ? "En 2003, l'équipe nationale comprenait Vieri et Inzaghi, Totti, Del Piero, Cassano. Chiesa, Montella, Di Natale, Miccoli sont restés à l'entrée... Aujourd'hui, Di Natale marquerait 50 buts avec la Nazionale et aurait dix cadrés par match. Il n'y a plus de programmation. Ni les infrastructures car on grandit sur des terrains tout simplement délabrés, sales, puants, partagés entre cinq équipes. Alessandro Nesta sur Bobo TV m'a dit qu'il y a des coachs chez les U12 ou U13 qui se fichent de faire progresser des enfants, ils veulent juste aller coacher en Serie C ou D. Ça fait dix ans maintenant qu'on est nul comme formation, Roberto Mancini a fait un miracle en remportant l'Euro avec une équipe médiocre et en jouant un super football. Mais on ne dribble plus, il n'y a plus la culture de s'amuser avec le foot." Maintenant, tu aimes Bobo tv. "Je connais Bobo Vieri depuis plus de 20 ans, il dit qu'il m'a aidé pour mon premier but en équipe nationale, mais c'est à moitié faux, il n'a rien fait! Mais il m'a présenté Lele Adani et Nicola Ventola. Bobo a eu une idée brillante, réunissant différentes personnes: Ventola est particulièrement amical, drôle et compétent. Puis il a mis le fou sauvage, qui est moi, qui affronte la vie de front et qui pense et espère faire comprendre le football, à ma manière. Et puis Lele, le Messi des commentateurs. Nous n'avons pas de censure, personne ne nous dit quoi dire: les gens nous suivent pour cela, et aussi pour notre compétence." Traduction alex_j via FCInterNews.
  15. Christian Vieri est le cinquième attaquant à monter au sommet de Olympe de l'Inter. Sur Instagram, notre légende Marco Materazzi lui a rendu hommage. "Bienvenue au Hall of Fame de l'Inter, mon ami. Ps : Quelle aide je te donnais, facile facile, tu n'avais qu'à la mettre dans le filet." Le lien Instagram est disponible ici. Il y a un bug sur le site. Note: la scène de la couronne fut pour célébrer le 100e but de Bobo contre Lecce. Traduction alex_j via FCInterNews.
  16. Christian Vieri est l'attaquant qui a rejoint le Hall of Fame l'Inter 2022. L'ancien numéro 32 des Nerazzurri est le cinquième dans le côle après Ronaldo, Meazza, Milito et Eto'o et complète le roster de l'année après Bordon, Maicon et Mazzola. C'est ce que souligne le site officiel du club à propos de Bobo qui a marqué 123 buts avec le maillot des Nerazzurri, le neuvième buteur de tous les temps. Les buts définissent l'histoire de Christian Vieri avec l'Inter. Beaucoup, beaux, encore et encore. Du début jusqu'au dernier. L'attente au Meazza pour l'avant-centre, l'après-midi du 29 août 1999, a été formidable, parfaite. Ça s'est mélangé à un rêve qui était resté pratiquement inassouvi, celui de voir Ronaldo-Vieri comme le duo d'avant-centre de l'Inter. Inter-Vérone, début et triplé. Et les premières minutes ensemble des deux attaquants. Une histoire qui semblait écrite : Christian, né à Bologne le 12 juillet 1973, émigré en Australie avec son père footballeur, après avoir joué et rêvé au cricket il ne s'est fixé qu'une seule idée. Devenir footballeur était la voie qu'il voulait suivre à tout prix, endurant l'éloignement de sa famille, le travail acharné et les sacrifices. Tout au long de sa carrière, avec de nombreux maillots différents, Vieri a bercé son amour pour le football en marquant des buts. Beaucoup, avec le maillot de l'Inter. Six saisons, 190 matchs, 123 buts. Le neuvième buteur de tous les temps de l'histoire du Club, une moyenne de 0,65 buts par match. 103 buts en Serie A, 8 en Coupe d'Italie, 6 en Ligue des Champions, 5 en Coupe UEFA. Aucune saison avec moins de 17 buts, la saison 2002-2003 la meilleure avec 27 buts en 37 apparitions, en plus du titre de meilleur buteur de Serie A. Belles saisons mais aussi de souffrance, seulement 667 minutes sur le terrain avec Ronaldo (avec 18 buts marqués ensembles lors de ces 11 matchs) et un seul trophée, la Coupe d'Italie 2004-2005. Vieri, dans cette édition, a marqué trois buts, dont deux en demi-finale. Dans la mémoire des fans, une série infinie de buts. Du premier à Vérone à celui du derby de 2001-2002, des batailles à Valence avec les buts de Vieri au match aller et au match retour en quart de finale de la Ligue des champions aux tirs balistiques contre la Reggina et la Juventus. Et puis les célébrations, belles, libres, débridées, le maillot enlevé, la joie pure, le courage d'emballer le retour contre la Sampdoria, la couronne sur la tête pour les 100 buts pour les nerazzurri. Maintenant entrée au Hall of Fame de l'Inter, pour continuer et cultiver la tradition des grands attaquants Nerazzurri. Traduction alex_j via le site officiel
  17. Les Nerazzurri toujours protagonistes des événements mondiaux : des deux titres de Meazza à aux finales où il y a toujours un joueur de l'Inter sur le terrain. Voici le rapport de FCInter1908 qui a tout répertorié et nous dit tout. Inter et Coupe du Monde : tout commence en 1934 Championnat interrompu avec la Coupe du monde qui a commencé hier. Un sentiment que nous associons habituellement à l'été, aux rêves de gloire colorée de bleu. Mais ce n'est pas l'été, il n'y a pas d'Italie et pourtant la Coupe du monde a commencé. Qatar 2022, la première édition en automne, la première à scinder la saison interclubs en deux. Ils sont six joueurs Nerazzurri prêts à concrétiser leur rêve nourri depuis de leur enfance, celui de soulever la coupe. Il s'agit de Lautaro Martinez avec l'Argentine, Denzel Dumfries et Stefan De Vrij avec la Hollande, Marcelo Brozovic avec la Croatie, André Onana avec le Cameroun, Romelu Lukaku avec la Belgique. Interisti et Coupe du monde est une histoire qui commence en 1934 qui est pleine d'anecdotes et d'épisodes clés. Il y a des champions du monde, il y a des buteurs en finale, il y a des records invaincus, des statistiques uniques. Celle du Qatar est la 22e édition de la Coupe du monde. La première, en 1930, comportait 13 équipes nationales mais pas l'Italie. Aucun Nerazzurri n'a participé à cette première édition historique. Depuis lors, les nerazzurri ont souvent laissé leur emprunte en commençant par les éditions de 1934 et 1938, remportées par l'Italie avec la contribution de plusieurs Interisti, Giuseppe Meazza en particulier. Ici, l'appel d'Allemandi, Castellazzi, Demaria et Meazza, en 1934 par Vittorio Pozzo est le premier appel des joueurs de l'Inter pour la Coupe du Monde. L'Italie soulève la Coupe Rimet en 1934 et la conserve en 1938. En 1938, Giovanni Ferrari, Pietro Ferraris, Ugo Locatelli et Renato Olmi sont appelés en plus de Meazza. Il y a donc 8 champions du monde Nerazzurri, avec Meazza qui en tant que capitaine soulève le trophée en France. Le meilleur buteur de l'histoire de l'Inter est le seul Nerazzurri à avoir remporté deux titres mondiaux. 104 Interisti à la Coupe du Monde Les huit Azzurri précités font partie des 104 joueurs qui, tout au long de l'histoire, ont été convoqués pour la Coupe du monde. Une très longue liste dans laquelle se distingue Beppe Bergomi, capable de disputer quatre éditions de la Coupe du monde entre 1982 et 1998. Lothar Matthäus compte bien cinq éditions, mais une seule lorsqu'il portait le maillot de l'Inter, celle de 1990. Pour celles de 1950 et 1954, seuls les joueurs italiens étaient appelés. En 1958, l'Inter n'avait qu'un seul représentant à la Coupe du monde, Lennart Skoglund avec la Suède, l’Italie n’y participant pas. Il y a 24 nations représentées dans l'histoire par les Interisti à la Coupe du Monde : Italie, Suède, Espagne, Angleterre, Autriche, Allemagne, Hollande, Brésil, Chili, France, Nigeria, Argentine, Uruguay, Turquie, Portugal, Croatie, Serbie, Slovénie, Ghana, Cameroun, Colombie, Japon, Algérie, Belgique. L'édition qui a vu le plus de Nerazzurri participer à la Coupe du monde est celle de 2002. 13 joueurs de l'Inter ont été appelés : Toldo, Materazzi, C. Zanetti, Di Biagio, Vieri (Italie) ; J. Zanetti (Argentine); Simic (Croatie); Okan, Emre (Turquie); Conceiçao (Portugal); Recoba, Sorondo (Uruguay); Ronaldo (Brésil). Les interisties champions du monde Il y a 19 joueurs interisti qui ont remporté la Coupe du monde. Au niveau des clubs, les nerazzurri occupent la troisième place en terme de champions du monde, derrière la Juventus et le Bayern Munich. Les 19 champions Nerazzurri sont : Meazza (1934-1938) ; Allemandi, Castellazzi, Demaria (1934); Ferrari, Ferraris, Locatelli, Olmi (1938); Bergomi, Marini, Bordon, Oriali, Altobelli (1982); Matthäus, Klinsmann, Brehme (1990); Djorkaeff (1998); Ronaldo (2002); Materazzi (2006). En 1982, l'Italie a remporté sa troisième Coupe du monde avec cinq joueurs Nerazzurri dans l'équipe, comme cela s'est produit en 1938. Lors de cette édition, Bordon était le seul joueur de l'Inter à ne pas entrer sur le terrain. Les Interisti buteurs en finale Sur 19 Interisti champions du monde, 7 ont marqué en finale de Coupe du monde. Quatre d'entre eux soulevant alors le trophée, trois avec la déception de la défaite. En 1970, premier but des Nerazzurri en finale : l'égalisation de Boninsegna contre le Brésil, avant la domination auri-verde. En 1982, sous les yeux du président de la République, Alessandro Altobelli fait hurler à Pertini la fameuse phrase "ils ne nous prendront plus" en inscrivant le 3-0 contre l'Allemagne, lors de la finale au Bernabeu qui se termine 3-1. Pour l'Italie de Bearzot, un triomphe sous le signe de Paolo Rossi, avec cinq champions Nerazzurri, dont un tout jeune Bergomi qui a touché le dernier ballon de ce bienheureux Mundial. En 1986, le but de Rummenigge en finale au Mexique, que l'Allemagne perd contre l'Argentine. Quatre ans plus tard, lors de Italia 90, la revanche allemande avec les trois Nerazzurri sur le terrain : Brehme, Matthäus et Klinsmann. Une finale nettement Nerazzurri avec Andy Brehme vainqueur du match marquant sur penalty (pied droit alors que c'est un gaucher) à la 81e minute au stade Olimpico de Rome. Un penalty que Matthäus n'a pas tiré, en raison d'un problème avec une de ses chaussures. En 2002, un autre nerazzurri sur le toit du monde : Ronaldo, après la déception de 1998, remporte la Coupe du monde en inscrivant un doublé en finale contre l'Allemagne, exhibant une coupe de cheveux étrange et légendaire. En 2006, Marco Materazzi était la vedette. Il a égalisé en finale contre la France, a subi un coup de tête de Zidane entraînant un carton rouge pour le Français, a marqué l'un des cinq penaltys de la série finale qui a donné aux Azzurri leur quatrième mondial Titre. La liste des attaquants Nerazzurri en finale de la Coupe du monde s'étend jusqu'en 2018 quand Ivan Perisic marque un beau but à Moscou contre la France en finale, la Croatie s'inclinant 4-2. Toujours un interiste en finale depuis 1982 Lothar Matthäus détient le record d'apparitions en Coupe du monde avec 25 matches. Walter Zenga est l'invaincu : 518 minutes en Italie 90, de la première minute du premier match à la 68' de la demi-finale, où il a été battu par la tête de Caniggia. Parmi les meilleurs buteurs on retrouve Ronaldo en 2002 (8 buts) et Wesley Sneijder (5 buts) en 2010. Mais le fait le plus incroyable est que depuis 1982, il y a toujours eu au moins un joueur Nerazzurri sur le terrain lors des finales de la Coupe du monde. Voici la liste : 1982 : Bergomi, Altobelli (but), Oriali 1986 : Rummenigge (but) 1990 : Brehme (but), Matthäus, Klinsmann 1994 : Berti 1998 : Ronaldo, Djorkaeff 2002 : Ronaldo (2 buts) 2006 : Materazzi (but) 2010 : Sneijder 2014 : Palacio 2018 : Brozovic, Perisic (buts) Traduction alex_j via FCInter1908
  18. Massimo Moratti a accordé une longue interview au Corriere della Sera et revenu sur sa vie, l’Inter de son père, le Calciopoli et certains joueurs emblématiques. Massimo Moratti, vous êtes né trois semaines après la fin de la guerre. Quelle est votre premier souvenir? "Un matin, j'avais quatre ans. Je sentais que c'était un jour important. Et mon frère Gian Marco allait à l'école avec une chaussette rouge et une autre bleue." Distraits. "Joyeux. Nous étions une famille joyeuse. Papa travaillait toute la journée, mais tous les soirs on se retrouvait à écouter la radio : Franca Valeri, Alberto Sordi…" Comment était ton père Angelo ? "Fantastique. Je n'ai jamais, de toute ma vie, trouvé un homme à son niveau. Et toute ma vie j'ai essayé de l'imiter; même en sachant que c'était impossible. Brillant, charmant, plein d'esprit, sympathique, humainement très riche... " Pas seulement humainement. "Mais c'est venu de la pauvreté. Mon grand-père avait la pharmacie de la Piazza Fontana à Milan. Mon père a quitté la maison à 14 ans, sa mère était morte, et il ne voulait pas vivre avec sa belle-mère, aussi dure que celle des contes de fées." Il y avait cinq enfants dans la maison : outre toi et Gian Marco, trois sœurs. "Notre mère Erminia était aussi une personne joyeuse. Elles plaisantaient tout le temps avec papa. Ils s'aimaient." Comment était Milan dans les années 50 ? "Encore à moitié détruite. Imaginez. Mais nous savions que l'avenir serait meilleur que le présent." Pour qui les Moratti ont-ils voté ? "Démocrates. Nous étions antifascistes et anticommunistes." N'y avait-il vraiment rien de mal à cela ? "Il y avait quelque chose qui n'allait pas. Nordahl." L'avant-centre milanais ? "Grand, grand, imparable. J'avais physiquement peur de lui. Je l'ai vu au San Siro et j'ai rêvé de lui la nuit. Nordahl était l'homme noir de mon enfance." Alors ton père a acheté l'Inter. "Mais on est allé le voir avant. Je me souviens du 6-5 du derby de 1949. Au stade, il y a eu une bagarre, des chapeaux ont volé." Quel était votre footballeur préféré ? "Benito Lorenzi, dit Veleno. En dehors du terrain, il était très gentil car il s'occupait des enfants de Valentino Mazzola, Sandro et Ferruccio. Mais sur le terrain, ça devenait terrible. Il provoquait la foule avant et après avoir marqué. C'est Lorenzi qui a surnommé Boniperti Marisa, malgré ses amis. Boniperti était très en colère." Le footballeur le plus fort que vous ayez jamais vu ? "Je vais vous en dire deux : Angelillo et Ronaldo. Deux histoires parallèles. Comme Herrera et Mourinho." C'est-à-dire? "Angelillo était une pure classe. Il a fait un championnat extraordinaire, avec 33 buts. Puis il est tombé éperdument amoureux d'une chanteuse, et s'est perdu. Nous l'avons vendu et avec le produit nous avons acheté Luisito Suarez : très intelligent." Et Ronaldo ? "Il est venu me voir quand il jouait pour le PSV, avec une petite amie néerlandaise... Quand il est arrivé à l'Inter, il était le joueur le plus fort du monde. Après les blessures, il n'est jamais revenu à ce niveau." Senti trahi lorsqu'il est allé au Real Madrid, après que l'Inter l'ait attendu ? "Non. Je m'étais identifié à lui, dans sa douleur. J'ai trouvé juste qu'il veuille changer, après avoir tant souffert." Herrera, comment l'as-tu trouvé ? "Un journaliste de la Gazzetta dello Sport nous l'a rapporté, je pense Franco Mentana, le père d'Enrico. Le Magicien et Mourinho avaient beaucoup de choses en commun." Quoi? "Ils ont beaucoup travaillé et étudié. Ils connaissaient la psychologie et la médecine. Quand José est arrivé, notre médecin a dit : enfin un coach qui m'aide." Brera dit que Herrera s'est également servi de certaines tablettes dans les vestiaires... "Brera a plaisanté. Mon père ne l'aurait jamais permis. Et le Magicien avait beaucoup de respect pour mon père, presque de la crainte." En 1964, l'Inter remporte sa première Coupe d'Europe. "A la première participation. En battant le Real Madrid 3 à 1, qui a toujours gagné. Mais Herrera a mis Burgnich sur Di Stefano et Tagnin sur Puskas... Une joie indescriptible." L'année suivante, il remporte la Coupe à San Siro, but de Jair. "Il pleuvait, le ballon est passé sous le ventre du gardien de Benfica. C'est aussi un moyen de gagner." Qui était ton héros ? "Mariolino Corso. Jamais vu un ailier avec une telle classe. J'ai adoré Recoba parce que j'ai vu l'imprévisibilité de Corso en lui." Mais ensuite, l'Inter l'a vendu. "Et mon père a acheté Cagliari quand il a appris qu'il était sur le point de vendre Riva à la Juve. Le lendemain matin, les dirigeants sardes ont informé Agnelli que l'affaire ne pouvait plus être conclue: le club avait un nouveau propriétaire. L'avocat n'a même pas demandé qui il était. Il a compris." Et Cagliari remporta sensationnellement le Scudetto. "Avec Domenghini que l'Inter avait vendu pour Boninsegna." Que s'est-il passé le 5 mai 2002, la défaite face à la Lazio qui vous a coûté le Scudetto ? "Les joueurs ont cru avoir reçu des signaux de leurs collègues de la Lazio, ils ne se seraient pas engagés pour ne pas favoriser la Roma. Mensonges ! J'en étais convaincu avant même le coup d'envoi, et je les ai prévenus : ‘Personne ne nous donnera rien.’ Pourtant, ils sont entrés sur le terrain avec une confiance excessive. Et ils n'ont jamais réussi à prendre le jeu en main. Je me sentais tellement responsable que je me suis dit : ‘Je ne quitterai pas le football avant d'avoir une revanche.’ " Sur le terrain, il y avait Cholo Simeone. "Et il a marqué contre nous. Grand combattant." Votre avant-centre était Bobo Vieri. "Un anticonformiste, toujours critique du management; mais pas un mauvais garçon. À l'Inter, il a fait tout ce qu'il pouvait faire; pourtant il n'a rien gagné." Puis vint Ibra. "Très beau. J'avais l'habitude de consulter les joueurs les plus importants pour la campagne de transfert, et avec Zlatan, nous avions un rituel. Il me disait: ‘On pourrait même se passer de Cambiasso l'année prochaine...’. Je rigolais. Ensuite, j'allais chez Cambiasso qui me disait: ‘L'année prochaine, autant se passer d'Ibra...’" Ibra et Cambiasso ne s'aimaient pas. "Mais sur le terrain, ils se donnaient à mort l'un pour l'autre." Et dans l'affrontement entre Ibra et Lukaku, avec qui seriez-vous rangé ? "Cela ressemblait à un match de boxe entre deux champions du monde. Lukaku est un trésor... Je me serais placé entre les deux, au risque d'en prendre une des deux." Mazzola a déclaré qu'il avait quitté l'Inter parce qu'elle avait consulté Moggi. "Ça ne s'est pas passé comme ça. C'est vrai que Moggi voulait venir à l'Inter, et je ne lui ai jamais dit explicitement que je ne voulais pas ; mais je ne l'aurais jamais pris." Pourquoi? "Parce que la Serie A a été manipulée; et nous étions les victimes. La Juve devait gagner; et si la Juve n'a vraiment pas gagné, c'était au tour du Milan. Dommage : car la plus grande forme de malhonnêteté est de tromper les sentiments des gens." Facchetti était en charge de l'Inter. "Un homme splendide. Une fois, je lui ai dit: ‘Giacinto, est-il possible que tu ne puisses pas trouver un arbitre, un seul, prêt à nous aider, à leur place?’. Il a répondu: ‘Vous ne pouvez pas me demander une telle chose’." La Juve a remporté deux championnats et un lui a été attribué. Le revendiquez-vous ? "Absolument oui. Je sais que les joueurs de la Juventus se fâchent. Cela m'amène à le revendiquer avec plus de conviction. Ce scudetto était la compensation minimale pour les vols que nous avons subis. Cela vaudrait beaucoup plus." Puis vinrent les championnats de Mancini et Mourinho. Comment avez-vous choisi Mou ? "En écoutant une de ses interviews télévisées, entre une demi-finale et une autre de la Ligue des champions 2004. Son Porto avait fait match nul avec le Deportivo La Corogne, le retour a été très difficile. Et il a dit : ‘Mais en tant que Deportivo, je pense déjà à la finale.’ J'ai beaucoup aimé sa bravade." Et ce fut le triplete : championnat, Coppa Italia, Champions. "Mission accomplie. J'étais fier que la même famille ait remporté la Coupe près d'un demi-siècle plus tard. Pour la première fois, je me sentis digne de mon père même s'il reste inaccessible. Aujourd'hui encore, il m'arrive de trouver des gens qui me parlent de lui, qui lui doivent quelque chose." Combien d'argent l'Inter vous a-t-elle coûté toutes ces années ? "Vous ne pouvez pas me demander cela. Je ne sais pas, et je ne te le dirais pas. Le football n'est pas une entreprise ; c'est passionné. Et les passions n'ont pas de prix." Maintenant, l'Inter est chinoise, peut-être pour un peu plus longtemps. "Les Zhang, à la fois le père et le fils, m'ont toujours semblé de bonne foi. Au début, ils m'ont demandé de parler aux joueurs, de les motiver. Mais aujourd'hui, il est impossible de tenir longtemps dans le football. Les pertes doublent ou presque doublent chaque année : 50 millions, 100 millions, 150 millions…" Comment cela finira-t-il ? "Peut-être qu'un fonds américain viendra. Mais attention aux spéculations. Le football n'est pas fait pour gagner de l'argent. Les Américains aimeraient en faire un spectacle. Show-business. Mais je ne sais pas si ce sera un jour possible en Italie." Qui remportera le championnat ? "Cela pourrait vraiment être l'année de Naples. Milan fait aussi peur. L'inter a une structure solide mais ensuite elle se perd au plus beau." Que pensez-vous de Berlusconi? "Je le considère comme un ami. En tant qu'entrepreneur, je le respecte beaucoup." Et en tant qu'homme politique ? "Je ne voudrais pas perdre son amitié." Est-il vrai que vous avez refusé de vous présenter à la mairie de Milan ? "Oui, trois fois. Et peut-être que j'avais tort. C'est un peu un regret. J'aurais bien aimé." Quand est-ce arrivé pour la première fois ? "En 1993. Je suis allé demander conseil au Milanais que j'estimais le plus." Qui? "Cardinal Martini. Une personne merveilleuse. Il m'a déconseillé." C'est la dernière fois ? "Le chef du Parti démocrate était Veltroni. Cette fois, le cardinal Martini m'a dit d'accepter. Pourtant j'ai abandonné, même si je me sentais coupable." Pourquoi ? "J'ai pensé à mes cinq enfants. Auraient-ils préféré un papa maire, ou un papa qui leur a appris un métier, qui leur a laissé une entreprise ? Et puis je n'ai pas voulu profiter de la popularité acquise grâce à l'Inter." Comment avez-vous rencontré votre femme Milly ? "Alla Capannina. Elle était belle. Je l'ai invitée à danser. C'était en 1966, elle avait vingt ans mais elle faisait plus jeune. Nous nous sommes mariés en 1971, nous avons toujours tout partagé. Sauf pour une chose." Qui est? "Quand j'ai acheté l'Inter, je n'ai rien dit. Elle l'a appris à la télé. J'ai donné l'ordre de bloquer les ascenseurs car j'avais peur qu'elle monte pour m'arrêter. Puis je suis allé à la maison. Je n'ai trouvé personne. J'ai trinqué avec la serveuse." Comment trouvez-vous Milan aujourd'hui ? "Toujours la meilleure ville au monde pour travailler". Pourquoi? "Parce qu'ils fonctionnent tous. Et parce que les Milanais ont le sens de la participation. Comme quand ils ont nettoyé la ville maculée par les black-blocs en un après-midi." Et le nouveau stade ? "Ne me convainc pas. Détruire San Siro serait un crime. On dit : ‘donc les clubs gagnent 30 millions par an.’ Mais que sont 30 millions par rapport à l'histoire ? Vous verrez qu'à la fin personne n'osera démolir notre temple." Traduction alex_j via Le Corriere della Sera.
  19. D'un côté la vitesse et l'imagination de Mbappé, de l'autre la puissance et la constance de Haaland. Diego Milito, dans la Gazzetta dello Sport, parle des deux attaquants les plus forts d'aujourd'hui et, probablement, de demain aussi. Alors Prince, qui est la pointe du futur ? "Difficile à dire car ce sont deux joueurs extraordinaires, uniques, mais complètement opposés." Efforcez-vous et essayez d'en choisir un... "La façon dont je suis, j'ai toujours plus aimé les joueurs qui peuvent résoudre les problèmes par eux-mêmes. Quelqu'un comme Haaland, qui est tout simplement dévastateur, a toujours besoin de l'aide de ses coéquipiers. Mbappé, d'autre part, construit parfois le but lui-même, à partir de rien. Mais, de la même manière, il sait donner des passes décisives et trouver des espaces." Et s'il fallait faire une comparaison avec le passé : qui était un Haaland avant Haaland et un Mbappé avant Mbappé ? "Peut-être que le Français, pour l'explosivité d'une panthère, a quelque chose de Ronaldo, Il Fenomeno qui pour moi après Messi est le plus grand de tous. L'Italien Christian Vieri ou un Martin Palermo en Argentine. Puissant et incroyable dans la surface de réparation. Haaland a pris ce modèle dans une nouvelle ère et une nouvelle dimension." Les grands noms de notre ligue pourront-ils se rapprocher tôt ou tard de ces deux là ? "En Italie, je vois de grands joueurs progresser pour atteindre le sommet : je pense à Lautaro à l'Inter, Leao à Milan, Vlahovic à la Juve et aussi Kvaratskhelia qui est incroyable à Naples. Évidemment, personne ne peut y arriver seul, mais cela est aussi dépendent du parcours des équipes en Ligue des champions. Même en Serie A il y a une grande qualité d'attaquants." Traduction alex_j via FCInterNews.
  20. Christian Vieri et Marco Matterazzi donnent leurs avis après la défaite contre l'Udinese. Dans le dernier épisode de Bobo TV, Christian Vieri s'est exprimé sur le moment difficile des Nerazzurri, se focalisant sur le double changement d'Inzaghi en première mi-temps. "Je ne quitte pas le terrain à la demi-heure pour un carton jaune! Cela me pesait déjà en fin de match. Il faut se fritter avec le coach et tout casser à Pinetina pour un truc comme ça. L'Inter ne peut pas être dans cette condition là !" Dans le cadre de la tournée qui la mènera au Qatar, le trophée de la Coupe du monde a fait escale à Split, en Croatie. Marco Materazzi, en tant qu'ambassadeur, s'est entretenu avec HRT. "Brozovic est le moteur de l'équipe, pour le meilleur ou pour le pire. Tout passe par lui, on le voit à chaque fois qu'il ne joue pas. C'est toujours difficile quand il n'est pas là. C'est un joueur de football très important pour nous. Je suis désolé pour Perisic, il a joué un rôle décisif la saison dernière et il y a deux ans quand nous avons remporté le championnat. Ils ont essayé de le refaire la saison dernière et il était, à mon avis, le meilleur joueur de l'équipe. Malheureusement, nous l'avons perdu par décision de la direction du club." Traduction alex_j via FCInter1908.
  21. Lautaro Martinez a égalé notre ancien capitaine et légende Giacinto Facchetti dans le classement des buteurs du club avec son but contre Cremonese. Ceci est mis en évidence dans un article imprimé hier dans Tuttosport qui note que le but, le troisième de Martinez de la saison, était le 77e de l'Argentin toutes compétitions confondues pour les Nerazzurri depuis son arrivée à l'été 2018, le même que Facchetti a marqué à travers sa carrière. Martinez a commencé la saison au même niveau qu'avec notre ancien attaquant légendaire Adriano dans ce classement, avec 74 buts. Il a maintenant dépassé le Brésilien ainsi que son compatriote Diego Milito qui a marqué 75 buts pour le club. Avec son prochain but, le joueur de 25 ans dépassera Facchetti et égalisera avec les 78 buts marqués par Aldo Serena, bien qu'il soit encore loin des décomptes des anciens attaquants tels que Christian Vieri et Mauro Icardi. Martinez est en pleine forme alors que l'équipe se dirige vers le derby contre le Milan Samedi. Il cherchera à progresser rapidement dans le classement des buteurs de tous les temps des Nerazzurri au fil de la saison, tout en aidant l'équipe à concourir sur tous les fronts pour les trophées. Note: je ne sais pas trop comment les buts sont comptés. En effet, suivant les sites, le nombre varie de 2 à 3 buts. Traduction alex_j via Sempreinter.
  22. Antonio Conte va s’en mordre les doigts : Si les transferts de Paulo Dybala et Romelu Lukaku sont confirmés, l’Inter proposera une puissance de feu qui ne sera pas sans rappeler les formidables paires formées par Samuel Eto’o et Diego Milito, ou encore celle composée de Ronaldo, Christian Vieri et un certain Adriano.... Comme le révèle nos confrères de Blastingnews en Italie, Simone Inzaghi se verrait contraint et forcé d’adapter son 3-5-2 vu la présence des trois bombardiers: "L'Inter a décidé de prendre de l’avance sur le Mercato Estival pour ne pas être prise au dépourvue. Le but étant de renfoncer l’effectif afin de lancer l’assaut vers la Seconde Etoile. Les Nerazzurri ont donc pris de l'avance en commençant à mettre en place d'importantes négociations, mais ces dernières semaines, une suggestion importante prend également forme: Celle du retour sensationnel à Milan de Romelu Lukaku, un an après sa vente record à Chelsea pour 115 millions d'euros." Jamais Inzaghi n’a composé avec un tel effectif Et l’Inter d’Inzaghi pourrait s’en retrouver bouleversé avec un changement de modulo : "Ces dernières heures, les chances de voir Romelu Lukaku revenir à l'Inter la saison prochaine augmentent de façon exponentielle: "Un an après son transfert à Chelsea, Big Rom fait maintenant pression pour retourner à Milan car il n'a pas pris ses marques chez les Blues, souvent relégué sur le banc par l'entraîneur Tuchel." L'opération n'est pas facile et la seule façon de la faire aboutir est celle de passer par le biais d’un prêt avec le joueur déjà prêt à diviser son salaire par deux pour être dans les paramètres du club milanais. Conséquence directe: "Simone Inzaghi, l’entraîneur de l’Inter verrait son échiquier tactique totalement remis en question, au point de devoir abandonner son classique 3-5-2. La raison n’est pas uniquement liée au retour de Lukaku, mais surtout par l’arrivée en attaque également de la Joya Paulo Dybala qui est en fin de contrat à la Juve, et qui rejoindrait gratuitement les Nerazzurri, en retrouvant par la même occasion Giuseppe Marotta qui l’avait amené à Turin de Palerme pour une somme de 40 millions d’euros." "Et même avec le départ attendu d’Alexis Sanchez, l’Inter disposerait de trois attaquant de renom : Lukaku, Dybala et Lautaro Martinez. Simone Inzaghi devrait donc passer au 3-4-2-1 ou 3-4-1-2, selon le cohabitation tactique à lier à côté de Lautaro." La suggestion d’Internazionale.fr L'attaque de Simone Inzaghi pourrait donc être composée de Romelu Lukaku au centre, avec Paulo Dybala et Lautaro Martinez libres d'évoluer sur tout le front de l'attaque, avec Mkhitaryan et Çalhanoğlu comme premières alternatives. Barella et Brozovic confirmés au milieu du terrain, avec Gosens et Dumfries sur les ailes. En défense, tout dépend du "sacrifié", s’il s’agit à n’en pas douter de Stefan de Vrij Voici une suggestion d’équipe Suffisante pour revendiquer le Scudetto selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  23. Tout ce dont vous devez savoir avant le match de dimanche soir. Milan - Les Nerazzurri feront face au Torino ce dimanche à 20:45, dans le cadre de la 29ème journée de Série A. Leur dernière rencontre était le 22 Décembre, un match qui a clôturé l'année 2021 de l'Inter par une victoire, grâce à un but décisif de Denzel Dumfries à la 30ème minute de jeu à Giuseppe Meazza. Rencontres précédentes Il y a eu 155 matchs entre les deux équipes. L'Inter mène au nombre de victoire, avec 70 matchs remportés. Le Torino compte quant à lui 36 victoires. Il y a également eu 49 matchs nuls. Seule la Juventus, avec 74, a plus de victoires contre le Toro en Série A. Plus récemment, l'Inter a remporté les 5 dernières confrontations, ainsi que 12 des 17 derniers matchs à l'extérieur, perdant seulement 2 fois et concédant le nul 3 fois. Formes L'Inter arrive à Turin avec une victoire 5-0 contre Salernitana à leur actif. Ils comptent 58 points après 27 journées. Sur leur route, les Nerazzurri ont glané 3 points lors de leurs 3 derniers déplacements, faisant matchs nuls contre l'Atalanta, le Napoli et le Genoa. L'équipe de Simone Inzaghi a concédé seulement 2 buts lors de leurs 8 derniers matchs à l'extérieur en Série A. En fait, depuis début Octobre, aucune équipe dans les 5 championnats majeurs a encaissé moins de buts (6) et obtenu plus de clean sheets (6) hors de leurs stade que l'Inter. Le Torino, pendant ce temps, reste sur un match nul et vierge contre Bologne. Les hommes d'Ivan Juric n'ont pas connu la victoire lors de leurs 6 derniers matchs, avec 3 nuls et 3 défaites. La dernière fois qu'is ont connu une si longue série sans victoire, c'était en Décembre 2020, sous Marco Giampaolo : 8 matchs sans victoire. Leurs résultats contre les meilleures équipes ne sont pas plus réjouissants, ayant perdu 1-0 chacun des trois matchs qu'ils ont joués contre une équipe du top 2 cette année. Note plus positive, le Toro a trouvé le chemin des filets lors de leurs 10 derniers matchs de Série A à domicile, marquant 20 buts au total, soit environ 2 par match. Ils n'ont pas dépassé ce chiffre en une saison depuis Décembre 2018. Statistiques générales Le Torino a la plus grande différence (+14) entre les points obtenus à domicile (24) et à l'extérieur (10) en Série A cette année. La rencontre oppose l'équipe avec le record de point obtenus après avoir été menée, contre l'équipe avec le pire score. L'Inter est allé chercher 17 points depuis une position perdante, alors que le Torino n'en a pris que 4. En revanche, en ce qui concerne la défense, seul Naples (8) a encaissé moins de buts que le Torino (10) avant le coup de sifflet de la mi-temps, tandis que l'Inter (9) a le meilleur bilan défensif de la Serie A en deuxième mi-temps. Focus sur les joueurs Lautaro Martínez a été directement impliqué dans cinq buts lors des cinq derniers matches contre le Torino en championnat, avec quatre buts pour lui et une passe décisive. Il n'y a que contre Cagliari qu'il a un meilleur bilan en première division Italienne, avec sept contributions. Si l'attaquant argentin venait à marquer, il deviendrait le cinquième joueur de l'Inter (depuis le début de la victoire à 3 points) à faire trembler les filets lors de trois matchs consécutifs à l'extérieur contre un même adversaire. Il a marqué en déplacement contre le Toro du 23 novembre 2019 au 14 mars 2021. Les seuls autres joueurs à avoir réalisé cette prouesse depuis sont Christian Vieri (contre Pérouse), Álvaro Recoba (contre Empoli et contre la Reggina), Ivan Perišić (contre la Fiorentina) et Mauro Icardi (contre Cagliari). Pour Edin Džeko, en revanche, la rencontre a été moins fructueuse. De toutes les équipes qu'il a affrontées au moins 10 fois, le Torino est l'un des trois adversaires, avec la Lazio et la Juventus, où il a été impliqué dans le moins de buts (4 au total, avec 3 buts et 1 passe décisive). Nicolò Barella a le plus grand nombre de passes décisives dans le jeu (9) dans les cinq grands championnats européens cette année. Florian Wirtz, Sergej Milinkovic-Savic et Paul Pogba sont juste derrière lui, avec 8. Il pourrait devenir le premier joueur de l'Inter à atteindre les 10 passes décisives en championnat avant la 30e journée depuis 2004/05. Dans le même idée, Hakan Çalhanoğlu est le joueur qui a délivré le plus grand nombre de passes décisives sur coups de pied arrêtés, soit 6 depuis le début de la saison. Si l'on compare avec les autres gardiens de but ayant au moins 25 apparitions en Série A cette saison, Samir Handanović a le meilleur pourcentage d'arrêts, de 77 %. Vanja Milinkovic-Savic est deuxième avec 62%, et Lorenzo Montipò, qui suit de près, avec 61%. Milan Škriniar fera sa 200e apparition en Série A depuis ses débuts en championnat le 24 avril 2016 contre la Sampdoria. En défense, seul Francesco Acerbi a disputé plus de matchs de première division (205). C'est lors de la rencontre à l'aller, en Décembre, que Denzel Dumfries a inscrit son dernier but en championnat. De tous les défenseurs des cinq grands championnats européens, c'est celui qui a touché le plus de ballon dans la surface de réparation adverse (92). Le Torino est la seule équipe contre laquelle Federico Dimarco a marqué plus d'un but en Série A, les deux ayant été inscrits en 2021 pour Vérone sous la direction d'Ivan Juric (le 6 janvier et le 9 mai). Alexis Sánchez a obtenu son plus grand nombre de passes décisives contre une équipe dans cette confrontation, avec 5 en 6 rencontres. Le Chilien a également marqué lors de la rencontre du 22 novembre 2020. C'est contre le Toro que Stefan De Vrij a inscrit son tout premier but avec l'Inter, en Août 2018. Danilo D'Ambrosio, quant à lui, affrontera son ancienne équipe, avec laquelle il a fait 42 apparitions et marqué 4 buts en championnat lors des saisons 2012/13 et 2013/14. Matteo Darmian est également passé de l'autre côté du terrain, puisqu'il a disputé 100 matchs de championnat pour le Toro entre 2012 et 2015, marquant 2 buts. DÉTAILS DISCIPLINAIRES Suspendu : Torino : N/A Inter : N/A À un avertissement d'une suspension : Torino : Aina, Buongiorno, Djidji, Pobega Inter : Lautaro Martínez, Vidal ®Internazionale.fr ~ Aurios-Inter Via Inter.it
  24. Cet article est la traduction de ''Obafemi Martins the soaring super eagle who seduced the San Siro and St James Park'' par Billy Munday paru le 16/10/2019 sur le site These Football Times. Il relate le passage de l'inoubliable Obafemis Martins à l'Inter puis chez les Magpies. Il n'est pas exagéré de prétendre que Didier Drogba a changé le football. Les petites et grandes paires d'attaque étaient la norme au début du 21e siècle et ils ont résisté à l'épreuve du temps pendant la prochaine décennie. Mais une fois que Drogba a commencé à assumer seul le travail de deux hommes, les poteaux de but ont bougé. Un attaquant suffisait s'il était aussi fort, puissant, rapide, techniquement doué, intelligent et puissant que cet Ivoirien en particulier. Cependant, Drogba n'était pas le seul à ouvrir la voie. Obafemi Martins n'était pas aussi grand ni aussi bien bâti que son homologue africain (1'70, ndlr), mais cela ne l'a pas empêché d'atteindre les hauts sommets qu'il a atteints au cours de sa carrière. Né à Lagos, Martins a fait le transfert intimidant mais déterminant de sa carrière en Italie avec son frère aîné Ladi à l'âge de 16 ans. Après avoir montré leurs talents avec Reggiana, les deux garçons, ils l'étaient encore à ce moment-là, ont été repérés et récupérés par Inter en 2001. Avec un an ou deux à trouver fréquemment le filet dans les rangs de la Primavera, Obafemi a fait irruption dans l' équipe première des Nerazzurri lors de la campagne 2002-2003. L'équipe d'Héctor Cúper lançait un défi pour le titre aux Turinois et n'avait perdu que deux matches de championnat au moment où Martins a fait ses débuts seniors contre Parme en décembre. Deux mois plus tard, il était dans le onze de départ pour le voyage de l'Inter en Allemagne pour affronter le Bayer Leverkusen en Ligue des champions. Les finalistes de la saison précédente étaient en bas du tableau après avoir perdu chacun de leurs cinq premiers matches de la deuxième phase de groupes, mais la place de l'Inter en quart de finale était toujours en jeu avec Newcastle juste un point derrière eux. Néanmoins, Cúper a jeté Martins dans le bain et il a marqué son arc européen dans un style qui deviendrait familier à beaucoup dans les années qui ont suivi. Il est très rare qu'une célébration passe devant le but mais, dans ce cas, cela n'aurait pas pu être plus vrai. La défense lâche de Leverkusen a laissé Martins partir en trombe et, bien que la finition calme du pied gauche laisse entendre un calme bien au-delà de ses années, l'audacieux étalage de flips de l'adolescent a ébloui les spectateurs du monde entier ce soir-là. Soudain, il n'était pas Obafemi Martins le puissant buteur, mais ce gamin qui fait la pirouette arrière ce qui, pour quelqu'un qui essaie de se faire un nom, n'est pas nécessairement négatif. Après avoir dépassé Valence en quart, l'Inter était prête pour une confrontation en demi-finale avec le Milan de Carlo Ancelotti, et les Rossoneri avec un but à l'extérieur avant le match retour, Cúper a jeté Martins à la mi-temps pour essayer de sauver la partie. Avec Paolo Maldini et sa ligne arrière énervée par la présence de ce jeune non-conformiste, Martins a pleinement profité de son rythme vertigineux et du manque de rythme de ses adversaires. Avec 84 minutes au compteur, il s'est battu avec Maldini avant de tapoter un ballon haut vers la surface de réparation avec son dos. Alors que Christian Abbiati a sprinté pour le nullifier, Martins a dépassé Maldini et a placé le ballon dans le coin le plus proche pour ramener l'Inter dans le match nul. Ce moment de génie pur et spontané n'a finalement pas aidé les Nerazzurri à se qualifier pour la finale de la Ligue des champions, mais il a plus qu'impressionné. Il en a été de même pour un voyage dans le nord de Londres l'année suivante alors que Martins a lancé le troisième de l'Inter dans les 45 premières minutes contre les futurs Invincibles d'Arsène Wenger. Alors que les fans d'Arsenal restaient bouche bée devant l'effondrement de leur équipe en première mi-temps, ils étaient de retour, les backflips sans fin. Il n'y a pas eu d'acrobaties dans le derby quelques semaines plus tard, car le pivot et la frappe de Martins se sont avérés être une simple consolation alors que Pippo Inzaghi, Kaká et Andriy Shevchenko ont infligé la première défaite de la campagne aux hommes de Cúper. Puis, sur un autre derby, le Derby d'Italia, et Martins marquait et faisait à nouveau la roue, avec l'Inter gagnant 3-1 cette fois. C'était un renversement de rôle dans le match retour alors que Martins marquait le premier pour mettre les Nerazzurri sur la voie d'une victoire 3-2 contre la Juventus. Un but bien encaissé et quelques culbutes de plus, les temps forts d'une autre performance percutante dans un affrontement titanesque pour le Nigérian qui n'avait pas encore 20 ans. Malgré sa capacité à imprimer sa marque sur un match, Martins n'a jamais été le prénom sur la feuille d'équipe et a souvent été exclu du onze de départ. Cela n'était pas étonnant avec une équipe se composant d'un Christian Vieri à son apogée, d'un Adriano qui était sur le point de devenir l'un des éclairs les plus brillants du 21e siècle, et d'Álvaro Recoba et Júlio Cruz. Roberto Mancini a pris les commandes à l'été 2004 et a de nouveau altéré la dynamique. Adriano est devenu une machine à marquer devant le but, mais même les meilleurs tireurs d'élite ont besoin d'aides pour les aider à gérer le mandat de buteur. Martins a joué plus de matchs que n'importe lequel de ses collègues attaquants au cours de la saison suivante et est devenu l'homme, non seulement pour la grande occasion, mais pour tous les autres. Sur ses 31 apparitions en Serie A cette campagne, 16 sont venues en tant que titulaire. Il a été le meilleur buteur du club lors de sa course triomphale à la Coppa Italia et a également joué un rôle important jusqu'à ce que son parcours en Ligue des champions soit interrompu par ses propres fans lors du fiasco des quarts de finale avec la Milan. Mancini a également utilisé Martins sur le banc, la marque de cette technique venant un après-midi de janvier contre la Sampdoria. Vitali Kutuzov a donné l'avantage aux visiteurs 2-0 avant les cinq dernières minutes au Meazza avant que le prodige de l'Inter ne renverse le match. Son arrivée à la 88e minute avec l'extérieur de son pied gauche a amené le premier avant de se cogner et de se frayer un chemin devant la défense de la Samp et de choisir Vieri pour une volée pour l'égalisation. Recoba a inscrit le vainqueur à la quatrième minute du temps supplémentaire pour déclencher des célébrations qui semblaient impossibles dix minutes plus tôt. Basculant notre attention de l'Inter vers le football international, le Nigeria de Martins n'a pas réussi à se qualifier pour la Coupe du monde 2006, terminant deuxième face à l'Angola dans leur groupe. Martins a cependant participé à la Coupe d'Afrique des Nations 2006 en Égypte alors que les Super Eagles ont été battus par un but de Didier Drogba lors de leur demi-finale avec la Côte d'Ivoire à Alexandrie. Lorsque Martins est revenu en Italie après la fin de la compétition, l'Inter a eu la chance de se remettre en lice pour le Scudetto lors d'une rencontre contre les leaders de la Juve. Martins a commencé mais a été remplacé par Cruz peu de temps après que Zlatan Ibrahimović ait donné la tête à la Vieille Dame. Walter Samuel a égalisé, mais Alessandro Del Piero a volé les trois points et poussé l'Inter hors de la course au titre dans les phases finales. Une défaite dans le derby à la mi-avril a été le dernier clou dans le cercueil en termes de premier titre de champion en 17 ans mais, au milieu d'un scandale de matchs truqués et de corruption qui a secoué les meilleures équipes italiennes, il y a eu une résurrection. Avec la Juventus, Milan et la Fiorentina ayant tous reçu de lourdes déductions de points, le Scudetto est tombé sur les mains de l'Inter. Les crimes de Calciopoli ont peut-être mis une médaille de Serie A autour du cou de Martins, mais cela n'a guère aidé sa carrière à l'Inter. Après la relégation de la Juventus au deuxième niveau, Ibrahimović a été récupéré par les Nerazzurri, tandis que Hernán Crespo est également venu de Chelsea. Avec Adriano toujours là, Martins savait que son temps était écoulé et a demandé un transfert. Newcastle est venu et il portait des rayures noires et blanches sur Tyneside à la fin du mois d'août. Deux mois après avoir déménagé du Meazza à St. James, les sceptiques ont commencé à baver leurs mots, prêts à radier cet attaquant de 21 ans. Prendre le numéro 9 d'Alan Shearer juste un an après sa retraite était pour le moins courageux mais, après plusieurs semaines de maladie et de blessures, un héros a commencé à émerger. "Jouez comme vous le faisiez au parc", disent de nombreux entraîneurs aux jeunes joueurs. Parks a commencé à se faire aimer de Martins. Ses neuf premiers buts à Newcastle sont venus à eux; un à Upton, un à Ewood et sept à St. James'. Cette course a été stoppée avec une visite à White Hart Lane en janvier. Jermain Defoe et Dimitar Berbatov avaient donné à Tottenham une avance de 2-1 après70 minutes, mais cela n'a pas tenu. Kieron Dyer a envoyé le ballon à Martins à 25 mètres du but, le Nigérian a frappé le ballon avec une précision et une puissance stupéfiantes dans le coin supérieur, laissant tout le terrain, et même lui-même, un peu hébété. Les Spurs n'avaient toujours pas récupéré lorsque Martins passa à Nicky Butt pour terminer le revirement quelques instants plus tard. Soudain, le football anglais s'est redressé et s'est frotté les yeux sur cette fusée d'un attaquant, qui ferait à nouveau des ravages au Lane. Quelque 14 mois plus tard, les Magpies étaient de retour et avec Kevin Keegan à la barre cette fois. Un trident de Martins, Mark Viduka et Michael Owen est devenu aussi effrayant que cela puisse paraître en seconde période. Martins, à Viduka, à Owen et but. C'était le troisième. Le quatrième est venu via Joey Barton , qui a envoyé Martins courir contre un Jonathan Woodgate paniqué. Une feinte de corps a suffi à envoyer le héros de la finale de la Coupe de la Ligue au sol, permettant à Martins de rentrer chez lui devant les Geordies itinérants. Et oui, il en est sorti un magnifique backflip unique, peut-être plus mature, près du coin, juste pour faire bonne mesure. Une fois l'avance de trois buts acquise, Owen est parti; Viduka aussi. Keegan a laissé le taureau dans le magasin de porcelaine, accordant à Martins les 90 minutes complètes. Mike Ashley a célébré ces buts avec son maillot Newcastle dans la loge des réalisateurs. Un an plus tard, les sourires n'étaient pas là, Ashley non plus de temps en temps. Shearer a été poussé sur la sellette pour tenter de sauver son club bien-aimé de la relégation. Middlesbrough a visité un parc St James à fleur de peau un lundi soir de mai. Les deux équipes étaient à égalité avec Hull avec 31 points, les hôtes étant le seul des trois à être à l'extérieur de la zone de relégation. Le score étant bloqué à 1-1 à 20 minutes de la fin, Shearer a lancé Martins. Quelques secondes plus tard, il est retourné à la pirogue et a sauté sur son patron après avoir dépassé Brad Jones pour donner aux Magpies une avance dont ils avaient désespérément besoin. Peter Løvenkrands s'est assuré des points avec un troisième, mais c'était la bataille plutôt que la guerre que Newcastle avait gagnée. Ils ont abandonné l'élite de l'Angleterre pour la première fois depuis 1993 et cela a marqué la fin du séjour de Martins dans le nord-est. Il a visité Wolfsburg et Kazan avant de se retrouver en Premier League avec Birmingham. Les prochaines étapes de la tournée de football mondial de Martins sont venues avec Levante en Espagne, Seattle Sounders aux États-Unis et Shanghai Shenhua en Chine, pour qui il a joué son dernier match à l'été 2018. Une grave blessure au genou aurait dû mettre fin à sa carrière, mais il n'a pas encore abandonné. "J'ai 34 ans mais je me sens comme un adolescent, et avec cette sensation, je peux toujours jouer pour n'importe quelle grande équipe à travers le monde", a déclaré Martins à Goal en septembre. Ainsi, où que vous vous trouviez, il pourrait y avoir un footballeur fantastique qui viendra très bientôt sur un terrain près de chez vous.'' Voici les buts d'Obafemis pour l'Inter Traduction alex_j via thesefootballtimes.co.
  25. Ceci qui suit est la traduction intégrale de ''The puzzling genius Alvaro Recoba'' par Dan Williamson paru le 28/01/2017 sur le site These Football Times. L'article retrace le passage de Recoba à l'Inter entre ombres et lumières, fulgurances et blessures. Alvaro laissa un goût frustrant d'un potentiel énorme inexploité. Il reste quelques minutes et l'Inter est menée 1-0 à domicile face à Brescia lors de la première journée de la saison 1997-1998. Avec les millions du propriétaire Massimo Moratti, les Nerazzurri venaient de battre le record du monde des transferts pour amener Ronaldo au Giuseppe Meazza. Avant le match, toutes les caméras et l'attention étaient portées sur Il Fenômeno, et on attendait beaucoup d'une équipe qui avait passé la plus grande partie d'une décennie à décevoir et à vivre dans l'ombre de ses célèbres voisins. Avec un résultat choc sur les cartes, une autre nouvelle recrue sud-américaine, quoique moins en vue que le Brésilien, est entrée dans la mêlée : l'attaquant uruguayen Álvaro Recoba. Huit minutes après avoir remplacé Maurizio Ganz, et à dix minutes de la fin, Recoba a capté une passe de Benoît Cauet, envoyant le ballon dans la lucarne de 30 mètres. Cinq minutes plus tard, alors que les Nerazzurri ont désormais l'ascendant, un coup franc est accordé à 35 mètres du but et c'est Recoba qui s'en charge. Montrant qu'il y avait plus d'une corde à son arc, Recoba a utilisé plus de courbure et de précision que de puissance, fouettant le ballon par-dessus le mur et dans le coin opposé. Le soulagement était palpable et même Gianluca Pagliuca s'est précipité de son but pour se joindre aux célébrations. Avec Moratti, Ronaldo et l'élan d'un retour spectaculaire, on s'attendait à ce que l'Inter sorte enfin de l'ombre du Milan et remporte le Scudetto pour la première fois depuis 1989. Les débuts de Recoba ont laissé entendre qu'une nouvelle période dorée possible dans l'histoire du club coïnciderait également avec l'ascension d'une nouvelle étoile. Comme une grande partie du continent sud-américain, l'Uruguay a souffert d'une dictature militaire dans la seconde moitié du XXe siècle et c'est dans ce contexte qu'Álvaro Alexander Recoba est né en mars 1976. Surnommé El Chino en raison de ses traits orientaux, Recoba a rejoint club local de Montevideo Danubio en tant que jeune joueur, faisant ses débuts à l'âge de 17 ans. Recoba s'est rapidement forgé une réputation de joueur avec un bon pied gauche, habile aux dribbles et à battre un adversaire avec rythme et ruse. Au cours de ses deux années dans l'équipe première de Danubio, Recoba a marqué 11 buts en championnat en 34 apparitions avant de traverser la ville pour Nacional, le club le plus titré d'Uruguay. En tant que jeune homme, El Chino a augmenté son taux de buts, inscrivant 17 buts en championnat en 33 matches entre 1996 et 1997. À l'âge de 21 ans et avec quatre campagnes nationales à son actif, Recoba était apparemment prêt pour son grand départ à l'étranger. Après ses débuts avec deux buts, l'avenir s'annonçait radieux. Recoba a de nouveau quitté le banc lors du deuxième match de l'Inter de la saison 1997-1998, bien que les Nerazzurri aient perdu 4-2 à Bologne. Il ne réapparaîtra qu'après le Nouvel An, sortant à nouveau du banc pour marquer lors d'un match nul à l'extérieur à Empoli. Ce devait être son dernier but de la campagne et il n'a débuté qu'un seul match de championnat dans le reste de la saison. La ligne avant était composée de Ronaldo, Youri Djorkaeff, Iván Zamorano et d'autres joueurs endurcis au plus haut niveau de la compétition européenne, et Recoba était encore un jeune homme essayant de s'adapter à une nouvelle culture et à un nouveau niveau de football. L'Inter a terminé deuxième et remportant la Coupe UEFA. Peut-être qu'après une période de rodage, Recoba serait prêt à montrer sa promesse incontestable au cours de sa deuxième année. Cependant, ses débuts difficiles dans le nord industriel de l'Italie se sont poursuivis dans sa deuxième saison, où il n'a fait qu'une seule apparition avant Noël. Le manager Luigi Simoni a été limogé en novembre après un départ moyen, récoltant seulement 17 points sur 33 possibles, et remplacé par Marcello Lippi. Lippi, qui avait remporté le titre et la Ligue des champions avec la Juventus, devait faire de même avec l'équipe très talentueuse héritée de son prédécesseur. Au départ, il est apparu que Recoba ne faisait pas partie des plans de Lippi car il a été prêté à Venezia pour le reste de la campagne 1998-1999. Acquérant de l'expérience grâce au football en équipe première, Recoba a commencé tous les matchs restants de l'Arancioneroverdi, marquant dix buts alors que Venezia terminait 11e. Ironiquement, Venezia n'a terminé qu'à quatre points de son club parent, qui n'a pas réussi à se qualifier pour la compétition européenne dans ce qui s'est avéré être une saison misérable. Recoba était de retour au Meazza pour la saison 1999-2000 et est devenu un ''habitué'' sous Lippi, faisant 27 apparitions en championnat. Après le 21 novembre, il n'a raté aucun match et a terminé avec deux chiffres pour le championnat. L'Inter a terminé quatrième de la Serie A, se qualifiant ainsi pour les tours préliminaires de la Ligue des champions, et a atteint la finale de la Coppa Italia. Ils ont été éliminés des éliminatoires de la Ligue des champions 2000-2001 par Helsingborg, refusant à Recoba, alors âgé de 24 ans, la chance de dîner à la meilleure table d'Europe. Recoba a également dû faire face à un nouveau manager, car Lippi a payé le prix de la défaite d'Helsingborg, avec Marco Tardelli. Après la débâcle d'Helsingborg, l'Inter a chuté en Coupe UEFA, atteignant les huitièmes de finale, Recoba marquant trois buts respectables en huit matchs dans la compétition. Sur le front intérieur, il a été fortement impliqué dans le championnat, participant aux 16 premiers matchs. La seconde moitié de la saison n'a pas été aussi réussie, bien qu'il ait réussi cinq autres buts pour finir alors que l'Inter terminait cinquième. Finir à 24 points du champion Roma n'a pas suffi à l'ambitieux Moratti, qui s'est débarrassé de Tardelli et l'a remplacé par l'Argentin Héctor Cúper. Recoba avait maintenant terminé quatre saisons à l'Inter, et même s'il n'avait pas encore convaincu, Moratti l'a récompensé avec un contrat à long terme qui aurait fait de lui le joueur le mieux payé du football mondial. Le nouveau contrat s'est avéré être un faux levé de soleil dans l'ascension de Recoba, et la controverse n'était pas trop loin. En juin 2001, l'Uruguayen a été interdit par la Fédération italienne de football dans ce qui est devenu le "scandale des passeports", qui a vu Recoba et plusieurs autres Sud-Américains interdits pour avoir utilisé de faux passeports pour contourner les limites imposées aux joueurs étrangers. Heureusement pour Recoba, l'interdiction initiale d'une saison a été réduite à quatre mois en appel, ce qui lui a permis de revenir sur le terrain en décembre 2001. Il est apparu dans cinq des dix matchs suivants, marquant un but, et à partir de février, il a consolidé sa place dans l'équipe, apparaissant dans chaque match jusqu'à la fin de la saison, ajoutant cinq buts à son total. L'Inter a terminé troisième, à seulement deux points de la Juventus. Après cinq saisons, et avec le scandale des passeports derrière lui, était-il temps pour Recoba de briller ? En 2002-2003, après quatre ans d'absence, l'Inter était de retour en Ligue des champions, même s'il devait le faire sans Ronaldo, parti pour la Liga et le Real Madrid cet été. Recoba est apparu dans les trois quarts des matchs de phases, marquant deux fois, alors que l'Inter progressait vers les quarts de finale. Valence est venu puis éliminé. Recoba est apparu dans les deux demi-finales contre le Milan, qui a battu les Nerazzurri sur la règle des buts à l'extérieur et continuerait à battre la Juventus en finale. Sur le plan national, l'Inter a de nouveau joué le deuxième violon de la Vieille Dame, alors que la Juventus a terminé avec sept points d'avance en tête de la Serie A. Recoba a réussi neuf buts en championnat en 27 matches de championnat, un ratio respectable de un sur trois. Si la carrière de Recoba a été ponctuée de hauts et de bas, alors la saison 2003-2004 peut définitivement être classée dans cette dernière. Dans une campagne ravagée par les blessures, El Chino n'a réussi que 18 apparitions en championnat, bien qu'il ait marqué huit buts, ce qui lui a suffi pour terminer deuxième du classement des buteurs de l'Inter derrière Christian Vieri. L'Inter a terminé quatrième et une fois de plus n'a pas gêné le sommet de la Serie A, malgré un bon départ avec deux victoires et deux clean sheets lors des deux premiers matches. Cependant, les cinq matchs suivants n'ont pas abouti à une victoire et Cúper a perdu sa place au profit d'Alberto Zaccheroni en raison de la série qui comprenait une défaite dans le derby. La situation en Ligue des champions n'était pas bien meilleure, car l'Inter a été éliminé en phase de groupes à la suite d'une raclée humiliante 5-1 par Arsenal au Meazza. La saison 2004-2005 a de nouveau été caractérisée par des hauts et des bas pour l'Inter et Recoba. Sous un autre nouveau manager Roberto Mancini, le club a terminé troisième et a remporté la Coppa Italia, la première pièce d'argenterie depuis la Coupe UEFA neuf ans plus tôt. Cependant, une défaite embarrassante 5-0 contre Milan en quarts de finale de la Ligue des champions a jeté le froid sur la victoire en coupe. Recoba n'a réussi que trois buts en 13 matches de championnat, mais a également produit un moment de magie, qualifiant le but de favori de sa carrière. En janvier 2005, la Sampdoria vint au Giuseppe Meazza et avait une avance de deux buts. Une fois de plus, Recoba est sorti du banc, évoquant des souvenirs de ses débuts pour mener une riposte. Recoba a placé Obafembi Martins pour le premier but, avant que Vieri n'arrache l'égalisation. Alors que le match était à 2-2, le ballon est passé à l'Uruguayen à 20 mètres du but, et il l'a frappé d'une demi-volée avec son pied gauche. Le ballon a explosé dans le coin inférieur droit du gardien de but, la rotation l'a éloigné de ses bras tendus, et le visage de Recoba a explosé de joie et de soulagement. La saison et le match de la Sampdoria ont été sa carrière dans un microcosme : frustration, blessures et moments de victoire de classe mondiale qui pourraient faire lever tout un stade. Si Recoba a été une fois du mauvais côté d'un scandale lorsqu'il a été interdit pour possession d'un faux passeport, lui et son équipe ont été les bénéficiaires d'un autre à la fin de la saison 2005-2006. L'Inter a terminé troisième du championnat, 15 points derrière la Juventus et 12 derrière Milan. Cependant, les deux premiers ont été impliqués dans ce qui est devenu le Calciopoli, où plusieurs équipes et arbitres ont été accusés d'être impliqués dans un scandale de matchs truqués. La Juventus a été rétrospectivement reléguée, Milan avait 30 points ancrés et l'Inter a été déclaré championne par défaut. Après neuf ans en Italie, Recoba a enfin mis la main sur le Scudetto. Cependant, le succès a dû être doux-amer pour El Chino, car le titre a sans doute été remporté en dehors du terrain plutôt que sur celui-ci. Il avait maintenant 30 ans et son influence sur l'équipe diminuait. L'écriture était sur le mur pour Recoba lors de la saison 2006-2007. Après la disparition de ses rivaux les plus féroces, l'Inter a dominé la ligue, amassant un incroyable 97 points, ne perdant qu'un seul match toute la saison et terminant avec 22 points d'avance sur les challengers les plus proches, la Roma. Cependant, El Chino n'a réussi que 15 apparitions en championnat et en Ligue des champions, inscrivant un seul but. La saison suivante, et ce qui allait s'avérer être sa dernière en Italie, a vu Recoba prêté au Turino où il a réussi 22 apparitions, marquant un but, alors qu'Il Toro terminait 15e du championnat. Recoba est resté en Europe après son départ d'Italie, rejoignant l'équipe grecque Panionios pendant 18 mois avant que d'autres blessures, associées à ses salaires élevés, ne conduisent le club à résilier son contrat. Agé de 33 ans, il était maintenant temps pour l'Uruguayen de rentrer chez lui dans cette tradition séculaire adoptée par de nombreux footballeurs sud-américains. Il a re-signé pour Danubio en janvier 2010, passant 18 mois avec son club d'enfance avant de retourner chez un autre ancien employeur, Nacional, à l'été 2011. Recoba passera cinq ans avec le club, et bien que l'âge et les blessures aient limité ses apparitions, son influence était toujours là. Il a aidé Nacional à remporter deux titres de champion d'Uruguay, l'un des moments forts étant un coup franc typiquement époustouflant lors d'une victoire cruciale du Clásico contre Peñarol. Recoba, âgé de 40 ans, a mis un terme à sa longue et illustre carrière en avril 2016 avec un match de bienfaisance mettant en vedette certains des meilleurs talents sud-américains de sa génération, dont Carlos Valderrama, Juan Román Riquelme et d'anciens collègues Javier Zanetti et Iván Zamorano. Le match a également été regardé par le président uruguayen Tabaré Vázquez, montrant à quel point El Chino est considéré avec affection dans son pays natal, qu'il a représenté 68 fois. Alors, comment résumeriez-vous le séjour de Recoba en Italie, et en fait sa carrière dans son ensemble ? Il est arrivé sur la péninsule italienne en tant que jeune prometteur, s'annonçant avec un début qui rend Roy des Rovers réaliste. On pourrait dire que ces 18 minutes contre Brescia ont marqué un point culminant dans sa carrière, car le reste de ses jours a contenu blessures, déception, scandale et potentiel insatisfait ponctué de moments fugaces de pure brillance. L'Inter est devenu la force italienne dominante pendant son séjour, remportant six trophées majeurs, bien que l'influence de Recoba sur l'un de ces triomphes soit limitée. On se souviendra de lui avec tendresse, mais les discussions seront toujours accompagnées de la mise en garde du ''et si''. Cependant, Recoba ne le voit pas de cette façon. S'exprimant après son match d'adieu, il a déclaré : ''J'ai eu la chance de jouer avec tant de champions, et je serai éternellement reconnaissant. J'ai toujours été heureux au cours de ma carrière, car je faisais mon passe-temps comme mon travail et j'ai toujours voulu divertir les gens. Je n'ai pas de regrets." En tant que fans de football, nous déplorons souvent le potentiel non exploité à fondu, mais si l'homme lui-même est satisfait de sa carrière, cela peut suffire, car il a certainement de quoi être fier. Enfin, qui sommes nous pour juger ? Traduction alex_j (qui n'a rien d'autre à faire de ses soirées) via thesefootballtimes.co.
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