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Javier a 50 ans : son interview à la Nacion
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Javier Zanetti fête ses 50 ans et accorde une longue interview au journal argentin La Nacion. Votre relation avec la langue chinoise. "C'est très difficile, c'est une culture complètement différente mais je peux dire quelques mots. La première fois que je suis allé en Chine, j'ai été surpris et à chaque fois que j'y retourne, je suis toujours excité. Les vols en provenance d'Europe arrivent très tôt, vers 5h30 du matin. Il y a 350 personnes qui m'attendent à l'aéroport, avec des photos, des drapeaux, des fleurs, et je ne joue plus, j'ai arrêté de jouer il y a presque 10 ans ! Et avec respect, sans cohue. Incroyable. Un jour, j'étais dans un hôtel et le téléphone dans ma chambre sonne. Ils me parlent en italien, ils me disent que je suis dans une pièce comme celle-ci et m'invite à entrer. Ça m'a semblé étrange, j'y suis allé, je suis entré... Ils avaient installé mon musée dans la pièce en question ! Il y avait des t-shirts, des affiches, des poupées, des drapeaux et ils voulaient faire des photos, des autographes… J'ai fini par leur demander les photos qu'ils avaient parce que je ne les avais jamais vues !" Une anecdote avec Mourinho ? "Il m'a appelé avant tout le monde quand il a choisi l'Inter. J'étais à Rome, également en escale pour Buenos Aires, et mon portable a sonné, c'était un appel d'un numéro portugais. J'ai répondu. 'Salut Javier, je suis José Mourinho. Je viens de signer avec l'Inter et je suis ton nouvel entraîneur, tu seras mon capitaine. J'ai hâte de commencer à travailler avec toi et je suis désolé pour mon italien.' Il parlait parfaitement l'italien et ne s'était pas encore envolé vers l'Italie. C'est là que j'ai réalisé à quel point il était préparé et impliqué, ça m'a frappé. 'C'est du sérieux', pensai-je alors." Vous avez trois restaurants à Milan : El Botinero, El Gaucho et El Patio del Gaucho. Est-il vrai que vous n'engagez que des Argentins ? "Ils sont tous argentins, tous sauf un infiltré brésilien que nous avons transformé en Argentin. Nous avons environ 25 salariés et j'aime l'idée de donner un coup de main aux Argentins qui cherchent du travail en Europe." Quand avez-vous eu une embrouille pour la dernière fois ? "J'étais très en colère à propos d'un fait impliquant la Juventus lorsque nous nous sommes qualifiés pour la dernière finale de la Coppa Italia il y a quelques mois. L'attitude des gens qui travaillent pour ce club m'a beaucoup agacé." Et la dernière fois que vous avez pleuré ? "Pour la joie au Qatar, après la finale. Tout le monde dans ma famille a pleuré en se serrant dans les bras." Vous êtes vice-président de l'Inter, adjoint de la commission des compétitions de la FIFA, du conseil de l'UEFA et représentant de la Conmebol à la FIFA. Existe-t-il une carrière d'entraîneur autre que l'Inter ? "Pour l'instant, les deux carrières, les fonctions multiples, peuvent aller en parallèle. Tant que les institutions me donnent de l'espace et m'écoutent pour que je puisse apporter le point de vue de l'ancien footballeur, je me sentirai très à l'aise. Je vois une réelle volonté de nous donner de l'espace. Quelque chose comme: 'Hé, écoutons ceux qui ont été footballeurs'. Sans avoir de nom de famille, attention, il faut toujours se préparer. Dans le management du football, comme dans une entreprise, vous il faut former des équipes. Et il faut avoir un leader, fixer des objectifs et des éléments qui assument leur rôle." Aimeriez-vous être président de l'Independiente, de l'AFA ou de la FIFA ? "De la FIFA, de la FIFA… J'aime plus le terrain international. La FIFA n'a jamais eu de président argentin, n'est-ce pas? Cela ne veut pas dire que je n'aimerais pas être président de l'AFA, ce serait aussi une bonne expérience mais J'ai déjà développé une vie très internationale. De la façon dont ma carrière a été et de toutes les relations que j'ai établies, la FIFA est un objectif et cela semblerait la poursuite la plus naturelle de mon profil." VAR oui ou VAR non ? "J'aime la technologie mais je pense qu'il y a quand même des choses à régler. Il faut ajouter de la transparence, je pense qu'il faut mieux l'expliquer aux fans. Et que les audios soient écoutés car cela clarifie les doutes. Sinon il y aura toujours polémique." Un chiffre : 1114. "Incroyable, incroyable... 1114 matches officiels. Si vous regardez le top 10 des classements, j'apparais, ufff, dans le top 10 avec le plus de matches dans l'histoire du football mondial. Je n'arrive pas à croire ! Qu'ai-je fait ? La culture du travail, la passion et le fait d'avoir traversé tant de défaites. Les défaites sont ce qui vous améliore et vous font grandir. Celles qui vous mettent à l'épreuve pour voir ce que vous voulez faire." Vous avez remporté 17 titres en tant que footballeur et un autre en tant qu'étudiant : vous avez étudié le management du sport à Bocconi à Milan. "Quand j'ai arrêté de jouer, j'ai tout de suite compris que je devais me préparer, m'entraîner, étudier. Avec l'humilité de comprendre qu'une étape était terminée et qu'une autre commençait... continuer à étudier parce que le monde change tous les jours. Je ne veux pas être identifié uniquement comme un leader dans le football, dans le domaine exclusivement sportif. Je veux être utile pour le marketing, la finance, les relations publiques. Le club grandit dans d'autres domaines aussi, pour que le football soit durable, il y a d'autres domaines qui doivent se développer même dans un club." Quel match rejoueriez-vous ? "Deux. Un pour en profiter à nouveau et un autre pour changer le destin. Je rejouerais en finale de la Ligue des champions, en 2010, pour revivre cette nuit magique au Bernabéu. Et je donnerais tout pour rejouer et gagner le match contre la Suède, celui qu'il nous a mis dehors de la Coupe du monde au Japon." Avez-vous essayé de faire venir Bielsa à l'Inter ? "J'ai parlé à Marcelo pour voir s'il y avait une possibilité mais nous n'étions pas encore tout à fait clairs sur le type d'entraîneur que nous voulions. Il voulait savoir si nous pouvions le présenter comme une option et à ce moment-là j'ai dit oui." Vous avez une statue au Meazza, le numéro 4 est retiré et une tribune Talleres de Escalada porte votre nom. Quelle est la chose la plus excitante ? "Le respect des gens partout dans le monde; partout où je vais, des portes s'ouvrent pour moi, je ressens cette admiration. Et c'est au-dessus de tout trophée, de tout. Même les fans de Milan ne m'ont pas insulté... Ça m'arrive maintenant, je viens à travers les supporters de Milan et de la Juventus et ils me disent : 'Capitaine ici, Capitaine là-bas, je suis fan de Milan mais j'aurais aimé que tu joues pour mon club...' Et regarde, ils sont courageux là-bas." Traduction alex_j la Nacion via FCInterNews- 4 commentaires
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L'attaquant du Borussia Mönchengladbach, Marcus Thuram, a révélé qu'il n'avait pas l'intention de rejoindre l'Inter cet été. Ceci selon le journaliste italien Marco Barzaghi, qui rapporte dans un tweet que le joueur de 25 ans est sur le point de prendre une décision sur son avenir, et que son prochain club ne sera pas les Nerazzurri. Thuram devrait quitter Gladbach en transfert gratuit lorsque son contrat actuel avec le club de Bundesliga expirera à la fin de la saison. L'Inter a déjà proposé un contrat au Français , des informations suggérant qu'il serait l'une de leurs principales cibles en attaque pour la saison prochaine. La poursuite des Nerazzurri se poursuivait pendant la Coupe du monde, alors qu'ils tenaient des réunions avec ses représentants. Thuram avait déjà été sur le radar des Nerazzurri dans le passé, ayant semblé sur le point de rejoindre à l'été 2021 en remplacement de Romelu Lukaku après le déménagement du Belge à Chelsea. Cependant, les autres clubs n'ont pas manqué d'intérêt pour la signature de Thuram. Le joueur de 25 ans a été sur le radar des champions allemands du Bayern Munich et des clubs de Premier League ainsi que de la Liga et même du Paris Saint-Germain. Le fait qu'un joueur de la qualité de Thuram sera disponible sans frais de transfert lors du transfert estival a certainement été un facteur important dans l'intérêt suscité par la signature de l'ancien Guingampais. Il semble que cela pourrait être la raison pour laquelle l'Inter manquera son homme, car Thuram a eu le choix entre plusieurs clubs. Pour l'instant, on ne sait pas où Thuram ira quand il quittera Gladbach à la fin de la saison. Cependant, le journaliste italien Barzaghi s'attend à ce que ce ne soit certainement pas l'Inter, car le Français aurait clairement indiqué que les Nerazzurri n'étaient pas sa destination préférée. Il a tweeté que "Marcus Thuram a fait savoir qu'il révélerait bientôt où sera son avenir, et ce ne sera pas à l'Inter." Il était dans notre budget, vraiment dommage! Traduction Lindt1908 Via SempreInter
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Javier Zanetti était l'invité de Madero Sports et ce, pour parler de l'Argentine et de l'Inter. Extraits. La coupe du monde 2022. "J'étais au Qatar et je travaillais aussi pour la Fifa mais j'ai vécu le triomphe argentin en tant que fan et avec ma famille. C'était très émouvant. Tout le monde voulait que l'Argentine devienne championne et que Messi puisse soulever la Coupe. Nous avons souffert dans certains matches mais ça fait partie du football. J'espère que le match qui va maintenant se jouer en Argentine sera une fête pour tous ceux qui n'ont pas eu l'occasion d'être au Qatar. Être champion du monde aidera Scaloni mais l'Argentine a une histoire dont elle devra toujours être la protagoniste. J'espère que c'est le point de départ, comme on l'a aussi dit lors de la victoire de la Copa America. Espérons que nous continuerons à gagner." Revenons en 1998. Zanetti a marqué contre l'Angleterre lors de la Coupe du monde. "Personne n'aurait pu imaginer ce match préparé. Nous avions des tireurs de coups francs comme Veron. Passarella a beaucoup insisté sur ce match et je pense qu'il a réussi car cela n'était jamais arrivé depuis toutes ces années que nous le préparions. Cela nous a fourni un match nul et puis nous avons gagné aux tirs au but." "Messi ? Il a eu ce qu'il méritait. Quand il a été critiqué dans notre pays, je ne comprenais pas. Mais ne pas savoir attendre nous a conduit à ça, à critiquer le meilleur joueur au monde. Pour moi, il a été le meilleur au monde pendant un certain temps et cela l'aurait été même sans gagner une Coupe du monde ou une Copa América." De l'Argentine à l'Inter en passant par Lautaro Martinez. "Quand nous l'avons pris, l'idée était ce que nous voyons maintenant. Nous n'espérions pas un résultat immédiat mais y arriver dans 4-5 ans. C'était la vision. Il se révèle être une référence pour le club et en nationale. Il a beaucoup grandi, il a mûri. Nous sommes très heureux de sa croissance. Ce sentiment d'appartenance à l'Inter est reconnu par nous, par les gens. Vous pouvez voir qu'il est heureux." "Inter- Benfica ? C'est difficile mais il fallait prévoir que, dans ces circonstances, tu vas affronter une équipe forte. Il faut les respecter mais on a les armes pour faire deux grands matches et passer. On sait que ce n'est pas facile, la Ligue des Champions est une compétition qui se joue sur des détails mais je suis convaincu que nous pouvons mieux nous préparer ce défi et passer." Napoli ou Derby en demi de la C1 ? "Ça a été une année compliquée en championnat. Naples fait un tournoi extraordinaire, ils font très peu d'erreurs. Nous manquons de continuité. Nous avons mérité la Supercoppa, nous sommes en demi-finale de la Coppa et nous avons la chance d'atteindre les demi-finales de la Ligue des champions. Est-ce que j'aimerais un Derby ou le Napoli en demi-finale ? J'aimerais jouer, puis quand nous y serons, nous y penserons. Vaincre Benfica serait déjà être une grande chose." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Longue conversation de Walter Samuel, dit the Wall, avec ses collègues de la RSE. Il a évoqué la coupe du monde, le Triplété, Massimo Morrati et sa famille. Votre sentiment sur le fait d’voir gagné cette coupe du monde. "Peut-être, comme certains amis me l'ont dit, n'avons-nous pas encore réalisé ce que nous avons fait ? Les protagonistes sont les joueurs mais c'est aussi une source de fierté pour nous qui faisons partie du staff technique. Ceux qui ne sont pas argentins ont du mal à comprendre. C'est vrai, les problèmes du pays n'ont pas été résolus, mais ce succès a donné de la joie à ceux qui en avaient besoin." Vos souvenirs de l'époque romaine. "En tant que défenseur, je ne voulais pas encaisser de buts, j'avais une grande concentration. Ce n'était pas facile de s'installer. Balbo et Batistuta, les Argentins qui étaient en Italie depuis plus longtemps, m'ont aidé. Capello m'a mis au centre de la défense à 3, ça s'est bien passé parce que la première année on a gagné le Scudetto." Quel technicien a eu une influence particulière sur vous ? "A l'époque de l'Inter, José Mourinho a beaucoup changé, à commencer par sa façon de travailler avec le ballon. Il avait confiance en lui et a transmis sa volonté de gagner : c'est très important. Sur le plan technique, cependant, je dis Marcelo Bielsa parce qu’il m'a tellement fait grandir. Peut-être que je suis injuste envers les autres entraîneurs mais il m'a appris à surgir de la ligne défensive, à jouer le ballon entre les lignes, à ne pas perdre les duels avec la tête. C'était vraiment un loco." Avez-vous beaucoup de vrais amis dans le football ? "J'ai beaucoup d'amis dans mon pays, ceux que je connais depuis toujours. J'en ai aussi dans le foot, le problème c'est toujours la distance. Diego (Milito, ndlr) et Pupi (Zanetti, ndlr) je les vois souvent, tout comme Burdisso." L'expérience de Bâle, pourquoi avez-vous décidé d'y terminer votre carrière ? "J'ai vécu deux années spectaculaires en Suisse. La Sampdoria me voulait mais j'avais du mal à rester en Italie, alors j'ai répondu oui à la proposition d'un ami. Au final, j'ai parlé à l'entraîneur de l'époque, Paulo Sousa, et avec le président et ça a pris. Si mes genoux ne m’avaient pas trahi, j'aurais fait quelques années de plus." Quand dirigerez-vous une équipe en tant que manager ? "Je ne sais pas, le moment viendra. J'aimerais entraîner, je ne le cache pas. En Suisse ? J'ai passé un bon moment, je n'aurais aucun problème à entraîner là-bas." Le message de Moratti arrive : "Je voulais t'embrasser et te féliciter pour ce que tu as accompli avec l'Argentine. Tu mérites tout pour ton sérieux. Mon cycle de victoires commence quand je t'ai signé. Enfin, l'Inter a commencé à gagner, je suis particulièrement reconnaissant envers toi." "Moratti transmet la tranquillité, il était très proche de nous même sans être là. L'Inter est un milieu familial, où l'on se sent bien. Neuf ans dans un club, c'est long mais j'ai passé un bon moment et je ne peux pas m'en plaindre. Nous avions tout, ils nous ont très bien traités. Puis, heureusement, nous nous sommes toujours battus pour gagner. Au-delà des victoires, l'important est de se sentir bien dans un club." En 2010, le Triplete arrive. "C'était comme la Coupe du monde, nous aurions pu gagner les trois compétitions comme les perdre en deux semaines. L'équipe y croyait, pour beaucoup d'entre nous déjà vieux, c'était une opportunité unique. Nous avons essayé, heureusement, ça s'est bien passé. C'était quelque chose d'historique, qui restera à jamais. Même si d'autres équipes réussissent à le faire, nous resterons toujours premiers. C'est quelque chose qui vous rend fier rien que d'en parler." Quels souvenirs gardez-vous du Real Madrid ? Les célèbres galactics... "Sur le terrain j'ai beaucoup souffert parce qu'on a encaissé tellement de buts. En club c'est impressionnant, c'était comme aller au théâtre. Je me suis retrouvé avec des stars comme Figo, Ronaldo et Zidane, très simple et modeste." Humilité, sérieux et loyauté : sont-ce les trois caractéristiques dans lesquelles vous vous reconnaissez ? "Je me vois, je ne change pas ma façon d'être pour ce que j'ai fait dans le football. J'ai beaucoup gagné mais j'ai aussi eu de gros revers, l'année au Real a été dure, par exemple, puis je me suis cassé les deux genoux." Quel papa es-tu ? "Depuis que j'ai fini de jouer, j'ai toujours été impliqué dans le monde du football. L'équipe nationale me permet de passer plus de temps avec mes enfants. Ensuite, je suis peut-être absent de la maison pendant 1 à 2 mois. J'aime être un papa, je vais souvent chez ma fille à Madrid. Mes enfants étaient aussi importants au Qatar, quand j'ai regardé dans les tribunes et que je les ai vus, j'ai eu un fort sentiment." Comment Messi a-t-il vécu la Coupe du monde ? "Il le méritait plus que quiconque pour le joueur qu'il est, ses coéquipiers le disent aussi. C'est un garçon tranquille, un professionnel exemplaire et très compétitif. Il a endossé le rôle de leader, sur et en dehors du terrain. Nous pensons que nous, Argentins, nous avons de la chance que lui et Maradona soient Argentins." Traduction alex_j via FCInterNews.
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L'Inter a discuté avec Diego Simenone pendant le Mondial 2022
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Selon le site espagnol TodoFichajes, lors de la dernière Coupe du monde, l'Inter Milan a tenu une réunion informelle avec Simeone. Toujours selon le site, cette réunion aurait été provoquée pour évaluer la possibilité que Simeone prenne en charge l'Inter la saison prochaine. Malgré notre deuxième place en Serie A, nos performances sont irrégulières et notre direction sportive pense qu'un changement de cap s'imposerait. Diego Simeone n'a jamais caché son amour pour notre club qu'il a défendu par le passé en tant que joueur. Maintenant, il pourrait retourner dans la capitale lombarde en tant que manager de l'Inter. Avec un contrat en vigueur jusqu'en juin 2024 avec l'Atlético de Madrid, il est de plus en plus remis en cause et les premiers mécontentement, aussi bien de de la presse que des supporters, commencent à se faire entendre. L'Atletico occupe actuellement la 4e place de la Liga et ont déjà été éliminés en Ligue des champions. Ainsi, s'ils ne se qualifient pas pour la prochaine édition, le conseil d'administration n'aura d'autre choix que de consommer le licenciement. Cela ouvrirait pleinement les portes de l'Inter à Simeone. Traduction alex_j via Sempreinter.- 15 commentaires
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Javier Zanetti est l'invité spécial de Supertele, une émission DAZN animée par Pierluigi Pardo. La conversation avec le journaliste commence évidemment par le derby remporté par les Nerazzurri face à Milan puis évolue sur d'autres sujets. À quel point une victoire dans le derby change votre lundi ? "C'est un lundi différent, gagner un derby a une saveur particulière, surtout parce que nous l'avons gagné à juste titre." Y a-t-il un mystère à l'Inter ? Dans certains matchs, c'est très fort, mais pour d'autres, c'est faible. "Nous aurions certainement pu avoir quelques points de plus mais cela fait partie d'un chemin que cette équipe suit avec une certaine continuité. Un drop peut se produire avec autant de matches serrés. Je vois une équipe qui est protagoniste, qui veut toujours jouer le match et qui sait réagir. L'Inter, de la première année d'Antonio (Conte, ndlr), a toujours eu une continuité ces quatre dernières saisons. Je suis surpris quand je vois des critiques très exagérées envers une équipe qui fait les choses de la meilleure façon possible. Nous pouvons nous améliorer, nous en sommes conscients, par contre nous disons que Naples fait quelque chose d'extraordinaire." Vous pensez à Spalletti ? "Il y a beaucoup de Luciano dans ce Napoli. Il a fait un excellent travail à l'Inter, c'est un entraîneur qui laisse sa marque dans les équipes." Terminer deuxième vaut-il un Scudetto pour vous ? "Nous devons faire de notre mieux jusqu'à la fin. Nous avons la Ligue des champions, la demi-finale de la Coppa Italia contre la Juve, nous devrons faire de notre mieux." Qui choisirez-vous comme symbole de l'Inter cette saison ? "Je vais demander à Darmian son maillot à mettre dans mon musée. C'est un joueur silencieux, toujours au service de l'équipe. Il donne toujours du sien, c'est un gars sérieux et professionnel. C'est quelqu'un qui fait la différence dans n'importe quel groupe." L'Inter vaut Naples, quelle est la raison de cet écart ? "C'est la continuité et il y a le regret d'avoir laissé des points en cours de route. Le championnat est compétitif, il y a beaucoup de matches. Naples, donc, ne s'est pas trompé, les battre a été très dur pour nous." Vous attendiez-vous à un Milan aussi prudent hier ? "J'ai entendu la nouvelle avant le match, puis ce changement s'est produit pendant le match. Mais il y a aussi les mérites de l'Inter qui a pu voir, dès la première minute, qu'elle pouvait gagner le match. Milan est toujours une équipe à respecter, puis il y a des moments. Je connais Pioli, Maldini, ils ont la personnalité pour s'en sortir." Lautaro peut-il être le vrai capitaine? "Honnêtement, je suis très content de sa carrière à l'Inter. Sa performance ne cesse de croître. Maintenant, c'est aussi une confirmation pour l'équipe nationale argentine. Il est important pour l'Inter, et il le montre à chaque fois qu'il entre sur le terrain. C'est un mec généreux, il ne va pas perdre. Hier il a dit que le derby milanais se vit comme en Argentine, il a raison car l'environnement est très chaud." La situation de Skriniar, aurait-elle pu être mieux gérée ? "Je ne sais pas. La chose est simple : nous avons proposé le renouvellement dans nos possibilités (économique, ndlr), il l'a évalué et a dit non. Ça va, nous devons accepter sa décision. Je pense que le plus important, c'était la réponse de tout le milieu. Il va falloir mettre le joueur dans la situation de donner le meilleur de lui-même. L'important c'est le bien du club, il a été le premier à le comprendre. L'inter va continuer, Skriniar va porter un autre maillot à partir de juillet et nous lui souhaitons le meilleur. Il est essentiel pour nous qu'il se comporte comme hier." Pourquoi avez-vous décidé de retirer le brassard à Skriniar ? "C'est un thème avant tout lié à l'avenir, Marotta a été clair. Nous en avons tous discuté et nous avons convenu que c'était le meilleur choix, un choix qu'il a compris de suite. L'Inter va de l'avant. Hier, le capitaine était Lautaro, qui est le présent et l'avenir." Quel est le joueur le plus intéressant de la Serie A ? "En regardant surtout Napoli, je dis qu'Osimhen se révèle être un grand attaquant, il est important pour son équipe." Souvenirs de la coupe du monde. "C'est impossible de rester sobre en tant que champion du monde (rires, ndlr). J'ai vécu la Coupe du monde avec de grands sentiments pour mon pays, pouvoir assister au tournoi avec ma famille m'a permis de célébrer chaque instant. Après la finale, je me suis senti heureux parce que nous attendions depuis 1986. Ceux qui aiment le football attendaient que Messi devienne champion du monde, c'est ce que j'ai entendu des fans au Qatar." Messi ou Maradona ? "Au-delà de ce qu'il a fait sur le terrain, Diego avait un charisme incroyable. On aime Messi parce que c'est comme ça qu'il se montre. En tant qu'Argentin, je suis ravi d'avoir eu Diego qui restera unique." L'histoire Messi-Inter était-elle vraie ? "En raison de la relation que nous entretenons, nous avons parlé quand il y avait cette possibilité. J'ai été surpris quand il a dit au revoir à Barcelone. Mais de manière réaliste, nous ne pouvons pas rivaliser avec des clubs comme le PSG ou les clubs anglais." Comment voyez-vous Mourinho à Rome ? "Êtes-vous surpris par ce Mourinho ? José arrive toujours à donner quelque chose d'important à ses garçons, il les stimule pour leur bien." Zaniolo va quitter la Serie A. "Je suis désolé parce que ce n'est pas bon pour lui de quitter l'Italie. Ce sont des choix qu'il faut respecter. Je ne sais pas ce qui s'est passé au niveau environnemental, mais il n'y a pas de sérénité autour de lui." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Notre légende Javier Zanetti a accordé une interview à Tuttosport dans laquelle il évoque sa fidélité au club qui l'a fait grandir. Javier, quand l'étincelle vous a-t-elle frappé pour le football ? "J'avais trois ans et ils m'ont donné un ballon que je n'ai jamais lâché. Dans le quartier Dock Sud à Avellaneda, à deux cents mètres de la maison, il y avait une place et un petit terrain et tout a commencé là. Nous vivions près du stade de l'Independiente et ma mère était une grande fan. En Argentine, le magasinier avertit la curva lors de l'entrée de l'équipe sur le terrain. Lorsqu'il a fait, tout a explosé. Je frissonnai et je me disais 'Je me demande si je ressentirai aussi cette émotion'. Je l'ai fait." Était-ce le coup de foudre avec l'Inter ? "Je suis arrivé à Cavalese, parmi les journalistes, avec un sac qui contenait mes chaussures. Ils m'ont pris de Banfield, une équipe inconnue, tandis que Rambert venait d'Independiente où il avait remporté le championnat en tant que meilleur buteur. De plus, Roberto Carlos et Paul Ince sont également arrivés cette année-là. J'étais le quatrième étranger et à l'époque seuls trois pouvaient entrer sur le terrain mais le destin voulait que je joue tout de suite. Un lien très fort est né. Ils m'ont fait me sentir comme chez moi ici." La rumeur avec le Real, en 2001, une aventure ? "J'avais parlé à Valdano, leur entraîneur: il me voulait à Madrid. Presque tout était fait mais j'ai décidé de rester et j'ai prévenu Moratti." Combien avaient-ils offert ? "Un contrat bien plus important que celui que j'avais à l'Inter. Cependant, en plus de l'argent, j'ai pensé à la famille, à la relation avec les fans et au fait que je voulais laisser ma marque à Milan. Et je me suis dit 'Si je vais au Real, je suis un parmi tant d'autres.' J'aurais certainement gagné quelque chose, mais je voulais le faire ici. C'était un choix fort, mais il y a plus..." Histoires. "Manchester United et Barcelone m'ont aussi "tenté". Je ne me souviens plus si c'était en 2001 ou 2002. J'étais avec Paula, ma femme, et j'ai trouvé Ferguson dans un aéroport et il m'a dit bonjour, m'a demandé quand mon contrat était terminé. Mais j'étais heureux à Milan, malgré ces années très compliquées pour l'Inter. Ailleurs j'aurais eu une carrière plus importante, mais je ne me serais pas retrouvé comme à l'Inter." Comment cela s'est-il terminé avec Barcelone ? "Que j'ai "lancé" Puyol ? Il me le dit toujours. Il était dans l'équipe jeune et avait également commencé à faire quelques apparitions dans l'équipe première. Un jour, Van Gaal l'a appelé et lui a dit: 'Je veux signer l'arrière droit le plus fort du monde qui est Zanetti. Si nous ne le signons pas, je te garderai avec moi'. Et Carlos me remercie chaque fois qu'il me voit…" Qu'y avait-il dans cette étreinte avec Messi à Lusail ? "Beaucoup : je l'ai vu débuter en équipe nationale et il méritait cette coupe. Je l'ai remercié car il a couronné le rêve de tous les Argentins. À Doha, à cette époque, il y avait une atmosphère particulière : tout le monde voulait que Leo soulève la coupe." Avez-vous un meilleur ami dans le football? "Avec Zamorano qui est le parrain de Sol et Cordoba qui est le parrain de "Nacho", ainsi que mon colocataire à l'Inter, la complicité va au-delà de ce qu'ont été nos carrières." Vous êtes-vous senti trahi par Hodgson et Lippi ? "J'ai fait une erreur avec Hodgson parce que je n'ai pas compris qu'il m'a remplacé en finale contre Schalke parce qu'il voulait que Berti tire le penalty. Cette querelle s'est arrêtée là et même maintenant, quand on se rencontre, on en rigole. Par contre, je n'ai pas aimé l'attitude de Lippi, quand ça va mal, il ne faut pas chercher des coupables, mais des solutions. Peut-être, avec le recul, l'a-t-il fait pour partir." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Lautaro Martinez : "Le brassard de capitaine ne pèse pas ! Je suis fier de le porter !"
alex_j a posté un article dans Interviews
Buteur du derby milanais, Lautaro Martinez s'attarde auprès de Sportmediaset et Rai Sport pour analyser le match. Interview accordée à Sportmediaset Votre sensation après cette victoire. "Cette victoire est importante car c'était un match spécial, comme le sont tous les derbies. Pour nous, l'important est de marquer des points parce que nous en avons perdu beaucoup." "Je suis content parce que le but a donné trois points, l'important est que l'Inter gagne. Et aujourd'hui, nous l'avons encore fait." À un moment donné, à 1-0, il y avait le danger d'un autre vaudeville comme celui de l'année dernière, mais vous étiez plus mature. "Nous grandissons, nous jouons du bon football : l'Inter est une protagoniste! Nous devons continuer sur cette voie car nous travaillons pour cela." Quel est le poids du brassard de capitaine ? Vous sentez-vous plus comme un leader maintenant ? "Oui, oui, mais il ne pèse rien (rires, ndlr). Je suis fier et heureux de le porter, c'est grâce au travail que je fais au quotidien. J'essaie de donner un coup de main à mes coéquipiers, de faire ce que le le personnel me demande et de faire profiter les gens du stade." Le but est-il préparé ? "Il est préparé, nous essayons toujours d'occuper la zone proche du gardien. Le ballon est tombé et je n'ai eu qu'à marquer." Interview accordée à Rai Sport Votre avis général. "C'est certainement le meilleur moment de ma carrière, après le beau cadeau de la Coupe du Monde. Je suis enthousiaste à l'idée de continuer à gagner. Le capitanat peut être revu à chaque match. Aujourd'hui, je le porte parce qu'il n'y a pas d'autres joueurs, je suis fier et je dois continuer comme ça." Pourquoi tant de points de retard sur Naples ? "L'objectif est de récupérer des points, mais Naples doit aussi en perdre. Nous devons être dans le top 4, aujourd'hui nous sommes deuxièmes et nous jouons un bon football. L'écart existe parce que nous avons perdu des points importants. Maintenant la course est lancée et nous essayons de revenir." Qu'est-ce qui a changé après la Coupe du monde ? "Je ne sais pas mais le fait d'avoir gagné te donne beaucoup de confiance. Gagner la Coupe du monde n'est pas pour tout le monde, je suis l'un d'entre eux et je suis fier." Lukaku vous manque-t-il pour former le couple parfait ? "L'année où nous avons remporté le Scudetto, nous avons fait un excellent travail avec Romelu. Il est parti, il est revenu mais les blessures l'ont ralenti. Maintenant, il se remet en forme, nous nous retrouverons certainement lors des prochains matches. C'est important pour nous." Vous attendiez-vous à un Milan aussi faible ? "Ça s'est certainement passé comme ça parce que l'Inter l'a forcé à être comme ça. Nous sommes entrés sur le terrain avec le bon esprit et le bon cœur, commandant le match du début à la fin." Zanetti était là il y a peu de temps, y a-t-il en vous un rêve d'être un étendard de l'Inter ? "Je ne sais pas, je vais vous dire que je donne tout pour l'Inter. Porter le brassard est une source de fierté, je me donne toujours à 100% sur le terrain et les gens m'aiment tellement. Je montre que je tiens tellement à moi beaucoup à ce blason, à ce maillot et à tous les gens de l'Inter." Traduction alex_j via FCInterNews.- 6 commentaires
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Simone Inzaghi : "Je suis fier de voir les gars jouer comme ça"
alex_j a posté un article dans Interviews
Une victoire qui vaut de l'or, un succès face à la seule équipe encore invaincue dans les principaux championnats européens. Edin Dzeko marque et relance les chances de l'Inter qui est désormais à huit des Napolitains. Voici les commentaires de Simone Inzaghi à DAZN et InterTV. Interview à DAZN Quelle différence un joueur comme Dzeko peut-il encore faire ? "Il va très bien. Nous sommes ensemble depuis un an et demi, il a de la technique, de la force, beaucoup de caractéristiques. Il nous aide beaucoup dans cet élan. Aujourd'hui nous avons battu le Napoli qui était la seule équipe invaincue. Je suis fier de mes garçons qui se sont entraidés. Puis devant ce public formidable. Au début il y avait la curiosité de comprendre comment ça allait se passer mais j'étais serein parce qu'on s'entraînait de la meilleure façon." Vous avez été très doué pour lire le match, une forte agressivité pourrait-elle être la nouvelle clé pour l'Inter ? "Chaque match a sa propre histoire. En deuxième partie de première mi-temps, nous nous sommes descendus mais c'était 95-96 minutes de grande concentration. Nous aurions pu marquer en première mi-temps, puis à cause de nos erreurs et de leur gardien de but nous n'avons pas réussi. C'était un exploit, battre Naples doit nous donner une grande confiance en l'avenir." Ce match pourrait être le tournant pour revenir au jeux que vous aviez l'année dernière, quand vous avez joué un football fantastique. "Je suis d'accord. Nous avons remporté neuf de nos dix derniers matchs et avons très bien joué en Ligue des champions, nous avons bien progressé. En championnat, nous avons perdu des points au début, mais c'est un long chemin. Nous devons regarder de match en match en essayant de récupérer tous les joueurs disponibles. J'espère que Brozovic pourra revenir bientôt, jouer tous les deux jours et demi sera compliqué pour tout le monde." Avez-vous rouvert le discours du Scudetto ? "Il y a tellement de matchs à disputer. La trêve pour la Coupe du monde était quelque chose de nouveau pour tout le monde. On doit faire de mieux en mieux, personne ne s'arrête devant nous et dans deux jours et demi on sera de retour sur le terrain." Calhanoglu est maintenant devenu un joueur complet, aujourd'hui il a donné de belles réponses. "Absolument oui. Dans un match comme celui-ci, il est difficile de nommer des joueurs. Aujourd'hui même les remplaçants sont entrés de la meilleure façon possible. Calhanoglu s'est comporté de belle manière. Nous l'avons entraîné et il se débrouille très bien. Il a fait un excellent travail comme tous les autres milieux de terrain." Interview à InterTV "Je suis content pour Dzeko, il joue très bien. Il apporte de nombreuses caractéristiques importantes à l'équipe et nous aide beaucoup. Nous sommes à la chasse, nous devons remonter dans le classement, mais être la première équipe à battre Naples est un message important." "Je dois être honnête : c'était une joie de regarder ces joueurs ce soir. Je suis content de ce match, joué devant une foule incroyable. Pendant tout le mois de décembre, ce groupe de joueurs s'est entraîné de la meilleure façon possible, donc je m'attendais un peu à une telle performance. En seconde partie de première mi-temps, nous avons un peu reculé et cédé le ballon au Napoli, mais nous avons quand même maintenu notre intensité. L'équipe a montré le meilleur d'elle-même. tout le match." "Cette victoire devrait nous donner une grande confiance en l'avenir. Nous avons remporté neuf des dix derniers matchs, nous qualifiant pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions. Nous avons commencé par perdre quelques points en championnat, mais maintenant nous devons juste prendre un match à la fois. Pendant cette période, nous récupérons des joueurs; il n'y a que Brozovic, nous avons donc hâte de le récupérer car nous aurons besoin de tout le monde avec autant de matchs en si peu de temps." "La trève a été étrange pour tout le monde, mais toutes les équipes au sommet ont gagné donc nous avons très bien fait pour arrêter Naples. La saison est longue, tout le monde est encore en course." "C'est difficile de nommer des noms dans un soir comme ce soir, même ceux qui sont venus ont bien contribué. Calhanoglu a été superbe dans un rôle vraiment important; il a fait une belle performance, comme tous les gars l'ont fait." Traduction alex_j via FCInternews et le site officiel.- 13 commentaires
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Un an après la fameuse interview qui a marqué le début de son rapprochement avec l'Inter, avec des excuses aux supporters et l'aveu de vouloir revenir à Milan tôt ou tard, Romelu Lukaku revient s'exprimer aux micros de Sky Sport. Big Rom a abordé de nombreux sujets. Voici la longue interview. Comment allez-vous? "Je vais très bien, nous avons fait un excellent travail avec l'équipe et l'entraîneur. L'équipe doit continuer à travailler et bien se préparer pour le match contre le Napoli." L'année dernière, à cette époque, vous aviez dit que vous vouliez revenir à l'Inter. "Il y a de la satisfaction d'être de retour, beaucoup. Je suis content d'être de retour, mais je ne veux pas trop parler en dehors du terrain. Je travaille dur avec les entraîneurs et avec l'équipe. Maintenant je dois répondre sur le terrain." Comment avez-vous vécu la période où la négociation devenait chaude ? Quand avez-vous su que vous reveniez à Milan ? "Quand j'étais en équipe nationale, quelques jours avant, j'ai parlé au propriétaire de Chelsea. Nous avons eu une bonne conversation et je lui ai tout raconté, ma relation avec le manager qui était à Chelsea à l'époque. Je lui ai dit que je voulais retourner à l'Inter et il m'a ouvert la porte. Ensuite, j'ai commencé à parler à l'Inter et à partir de là, la négociation s'est déroulée rapidement, puis mon avocat s'est occupé des détails." Vous souvenez-vous du moment de votre arrivée à Milan ? "J'étais fatigué, j'étais parti en vacances et je suis arrivé ici tout de suite. J'étais nerveux, mais au final je dois tout faire pour aider l'équipe. L'Inter m'a donné l'opportunité dont j'avais besoin dans ma carrière, maintenant je veux faire quelque chose d'important avec cette équipe." Votre relation avec Jay-Z ? "C'est la première personne qui m'a appelé après avoir gagné le Scudetto. On a passé du bon temps ensemble à New York, il a aussi beaucoup poussé pour que je revienne ici. Il aime beaucoup le football, il suit l'Inter, c'est quelqu'un de bien." Les personnes les plus importantes dans les moments difficiles ? "Ma mère et mon fils et bien sûr les membres de ROC Nations." Comment avez-vous trouvé le vestiaire ? "Très bien ! Maintenant je dois arriver au sommet d'un point de vue mental car les adversaires m'attaquent maintenant immédiatement. Le groupe est compétitif, nous sommes des amis très proches et c'est unique dans le football. Nous avons grandi ensemble et c'est une bonne chose." Le but contre Lecce ? "Je me suis dit 'Et un… maintenant je dois faire le second'. Je me souviens aussi du but de Denzel et de la façon dont nous avons tous applaudi ensemble, le but de Dumfries nous a amenés à gagner le match, nous sommes tous allés applaudir avec lui et vous pouvez voir que l'équipe est unie." Quelle a été l'émotion la plus forte après votre retour ? "Le retour à San Siro mais aussi quand je suis revenu en Ligue des champions contre Plzen, j'ai vu comment tout le monde a applaudi mon but. C'était vraiment un beau moment, j'ai vu l'amour des fans qui sont vraiment spéciaux, les meilleurs au monde. Même si nous avons des problèmes, ils nous soutiennent toujours. Je pensais qu'ils étaient toujours en colère contre moi. J'ai parlé aux managers, je leur ai dit la vérité sur les raisons de mon départ. J'espère aussi rester dans le futur, pour moi l'Inter vaut tout." Lorsque vous avez marqué contre le Viktoria Plzen, vous vous êtes excusé. "Avant, je marquais toujours beaucoup de buts mais il manquait cette pièce pour être un grand joueur, l'Inter m'a permis d'en devenir un, même si évidemment je ne suis pas encore au top. Les fans de l'Inter resteront toujours dans mon cœur. Mais l'histoire n'est pas encore terminée, espérons que nous gagnerons d'autres trophées dans ce club." La blessure? "C'était une blessure grave, bien plus que prévu, c'était au tendon fléchisseur. Je récupère rapidement en général, mais j'ai toujours eu ce sentiment que les choses n'allaient pas bien. Ma maison est comme un hôpital, j'ai tout pour récupérer rapidement. Cette fois, je n'ai pas réussi, j'ai disputé un match de Coupe du monde avec deux entraînements en quatre mois. Ensuite, je me suis reposé et à partir de là, j'ai recommencé de zéro. En ces dix jours ils m'ont justement massacré, maintenant j'ai vraiment envie de retrouver le terrain. Attendons et voyons." Que répondez-vous à ceux qui disent que vous n'êtes plus au top comme vous l'étiez ? "A bientôt sur le terrain." Henry? "A mon avis, il sera le prochain entraîneur de l'équipe nationale, c'est quelqu'un qui sait coacher, il sait ce qu'on a à faire. Pour moi, c'est le nouvel entraîneur de la Belgique. Alors je ne sais pas qui ils vont embaucher, mais je pense qu'il ne faut pas repartir de zéro. Nous n'avons pas gagné, mais nous devons continuer d'essayer de le faire. Il veut gagner ! Je ne pense pas que l'équipe nationale veuille engager quelqu'un qui veuille repartir de zéro. Pour moi, ça n'en vaut pas la peine." L'année dernière vous avez eu des mots sympas pour Inzaghi, maintenant que vous l’avez rencontré qu'en pensez-vous ? "Il sait stimuler les joueurs, il a trouvé le moyen de réveiller le lion en moi. Ça me provoque toujours et me déclenche une réaction, il y a un super feeling sur le plan personnel. Nous avons une excellente relation. Comme je lui ai dit, mon frère l'a eu pendant de nombreuses années à la Lazio et il s'est toujours très bien entendu avec lui. L'année dernière, nous avons beaucoup parlé, puis je suis parti. Mais ça vaut pour toute l'équipe, il n'y a pas que la relation entre Romelu et l'entraîneur. Il y a celui entre Inzaghi et tous les joueurs. Nous voulons bien faire pour ce club et pour les supporters. Nous voulons bien faire les choses au cours des six prochains mois et nous y travaillons." Quel est l'objectif de l'Inter ? "Tant qu'une équipe n'a pas soulevé le trophée, tout est possible dans le football, nous jouons pour cela. Voyons à la fin de la saison, celui qui soulève le trophée est champion. Nous sommes toujours là pour l'instant, le championnat se termine en juin et nous ne le verrons qu'à ce moment-là." Napoli? "Ils ont un entraîneur vraiment fort, ils font un excellent travail, ils ont beaucoup de joueurs du plus haut niveau. Ils sont dans un bon moment, ils ont Osimhen qui marque beaucoup de buts, Kvara qui est très fort." Qui est le plus fort entre toi et Osimhen ? "Il est vraiment fort, maintenant c'est le meilleur. Nous devons être honnêtes, il va très bien et Napoli est premier au classement. Nous avons du respect mais pas de la peur." La rencontre dans les vestiaires a-t-elle été le tournant ? "Je pense que oui, tout le monde là-bas a montré qu'il voulait bien faire pour l'équipe et pour lui-même, nous sommes à l'Inter pour gagner et faire de bonnes choses sur le terrain. Il n'y a pas d'alibi, il faut faire des choses pour l'équipe, faire de son mieux chaque jour. Je pense que depuis Barcelone, nous avons montré que nous sommes plus une équipe. Maintenant, tout le monde fait des choses pour l'équipe et nous devons continuer comme ça. Quand on a gagné il y a deux ans tout le monde courait, le foot c'est comme ça, on l'a aussi vu à la Coupe du monde. Je pense que nous sommes entraînés maintenant et nous sommes prêts pour n'importe quelle situation." Lautaro ? "Je l'ai vu et je l'ai serré dans mes bras, je l'ai entendu même après la finale et je suis très heureux pour lui qu'il ait remporté la Coupe du monde. Tous les joueurs rêvent de le gagner, j'espère que ce succès lui donnera plus d'énergie pour faire de bonnes choses pour nous. Maintenant, il aura plus d'énergie, je pense qu'il fera de très bonnes choses dans la deuxième partie du championnat." Dzéko ? "Nous avons toujours eu une excellente relation même lorsque nous étions tous les deux en Premier League, nous avons toujours parlé. Il aurait dû arriver à l'Inter plus tôt. Il aime beaucoup jouer à côté et il me donne la possibilité d'attaquer dans l'espace, puis on peut tout faire tous les deux dans la surface. On peut aussi jouer les trois ensemble avec Lautaro comme milieu de terrain offensif, puis Correa est de retour aussi. Nous allons tous bien et nous devons faire de notre mieux." Avec Dimarco ? "Fede est le premier joueur qui m'a aidé dans le vestiaire, le premier vrai ami. Quand je suis arrivé, il m'a appris beaucoup de choses sur l'Inter, il parle un peu le français, je comprenais l'italien mais il m'a beaucoup aidé. Quand il est allé à Vérone, la relation est toujours restée, maintenant nous sommes amis Playstation, nous jouons toujours ensemble la nuit." La rivalité avec Ibrahimovic ? "Je ne suis pas du genre à chercher de grands joueurs pendant longtemps, il y a toujours du respect pour ce qu'ils ont fait dans leur carrière. Il a fait de grandes choses, les gens veulent voir deux grands joueurs s'affronter. J'espère qu’il reviendra le plus tôt possible, puis nous verrons ce qui se passera sur le terrain." Vôtre futur? "Tout le monde sait ce que je veux, maintenant je dois tout faire pour que l'Inter gagne, puis à la fin on verra." Aimeriez-vous terminer votre carrière à l'Inter ? "Oui, bien sûr, même si j'aimerais jouer la dernière saison à Anderlecht. Je vais bien à l'Inter, le club a cette ambition de continuer à gagner et à grandir. Mon fils a maintenant commencé à jouer pour l'Inter Academy, nous voulons donc rester ici pour la famille aussi. On en reparlera en fin de saison et on espère trouver une solution." Un message aux fans. "J'espère que les six prochains mois seront merveilleux, vous avez été merveilleux avec moi et j'espère que vous passez de bonnes vacances." Traduction alex_j via FCInternews.
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L'année 2022 s'achève et elle ne fut pas si mauvaise pour el Toro. Aujourd'hui se termine une année pleine de satisfactions sportives pour Lautaro Martinez qui dans la dernière partie de 2022 a couronné le rêve de tout footballeur en devenant champion du monde avec l'Argentine. Notons qu'il avait déjà remporté la finale de Wembley contre l'Italie en Juin avec l'Albicéleste. Avec l'Inter, el Toro a mis en vitrine tout autant de trophées, la Supercoupe d'Italie et la Coupe d'Italie, un butin suffisamment riche pour envoyer un petit remerciement à 2022 désormais terminé. "Gracias 2022", écrit notre attaquant sur Instagram en postant un montage qui le voit encourager l'équipe nationale et le club avec les différents trophées en main. Moralité: c'est sûr, en portant le maillot 22 de l'Albicéleste ça a dû aider pour 2022. Traduction alex_j via FCInternews.
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La Gazzetta et Olé ont soulevé une bien étrange curiosité. Révélation. Égaler Marco Materazzi, c'est l'objectif de Lautaro Martinez qui est le prochain à revenir à la disposition de Simone Inzaghi le 30 Décembre pour espérer être dans le onze de départ contre le Napoli ce 4 Janvier. L'attaquant, encore ivre d'enthousiasme après avoir remporté la Coupe du monde au Qatar avec l'Argentine, est prêt à défier les Napolitains et à entamer le retour pour remporter le Scudetto. Emporter ce Scudetto lui permettrait d'entrer dans l'histoire des Nerazzurri avec Materazzi. En effet, il est le seul capable de remporter le Scudetto après avoir remporté la coupe du monde, seul Materazzi ayant réussi cet exploit. Incroyable non? Ceci dit, Matrix avait marqué pendant la finale, lui. Traduction alex_j via FCInterNews.
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Alessandro Cavasinni : "Lautaro épuise ceux qui ne l'ont pas !"
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Rédacteur à FCInterNews, Alessandro Cavasinni donne une analyse assez pertinente sur les perfomances d'el Toro à la Coupe du Monde. Argentine championne du monde! Lautaro Martinez champion du monde! Et ce fait est peut-être allé de travers pour certains compte tenu de l'énorme flot de critiques qui a plu el Toro. D'un point de vue individuel, il n'est certainement pas le protagoniste d'un tournoi de tous les superlatifs. Mais il n'est pas aussi désastreux que certains veulent faire passer. Lautaro a toujours été l'avant-centre du onze de départ de la Seleccion sous la direction de Scaloni. L'ex du Racing s'est imposé comme la principale référence offensive, s'associant parfaitement à Messi ainsi qu'à tous les autres coéquipiers, de Di Maria à De Paul, de Gomez à Correa. Il avait été parmi les protagonistes incontestés de la victoire à la Coupe de l'America, le trophée qui a brisé le maléfice et redonné à l'Albiceleste la réelle conscience de pouvoir revenir sur le toit du monde. Mais la Coupe du monde, comme souvent, se nourrit d'histoires improvisées et inattendues. Elle vit d'instants, d'épisodes, de détails. Lautaro n'est pas arrivé à la compétition dans la meilleure forme en raison de problèmes à la cheville. En attendant, l'étoile d'Alvarez commençait à briller et l'entraîneur était perspicace pour saisir le moment. Vous souvenez-vous de Schillaci lors d'Italia 90 ? Eh bien, nous y sommes plus ou moins. Alvarez a un énorme potentiel et l'avenir sera certainement le sien, comme l'a confirmé le Qatar. Mais malheur à sous-estimer l'apport d'El Toro. Après des débuts catastrophiques face à l'Arabie saoudite, où le joueur de l'Inter a pourtant été parmi les moins négatifs (deux buts refusés à cause d'un millimètre), le match contre le Mexique a marqué les changements de Scaloni dans les hiérarchies. Lauti, cependant, n'a pas été démoralisé, il suffit de voir son pénalty décisif contre les Pays- Bas et son action sur le troisième but en finale contre la France. Buts ratés ? La tête à la 120e minute, sans aucun doute, mais Upamecano a été très bon sur les deux autres. Cependant, toute l'histoire doit être racontée et il faut dire honnêtement que l'Argentine a énormément profité de son entrée sur le terrain, reprenant du poids en attaque, comme le confirme le troisième but de Messi dans lequel l'Interista a d'abord été crucial pour donner le ballon et puis en tirant au but depuis une position très isolée, forçant Lloris à repousser mollement juste avant le tap-in de Messi. Pas un excellent, mais un bon Lautaro. Ce ne sera pas Messi, mais ce n'est un godillot. De toute évidence, el Toro épuise ceux qui ne l'ont pas! Traduction alex_j via FCInterNews.- 3 commentaires
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Javier Zanetti : "Un grand jour pour l'Argentine ! Léo Messi m'a dit..."
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Javier Zanetti a accordé une interview aux micros de la Repubblica après la victoire de l'Argentine à la Coupe du monde au Qatar. Voici ses mots. Zanetti, quelle est l'image qui vous reste de ce triomphe, de ce retour à la gloire de l'Argentine ? "Voir mes enfants en larmes, pleurer d'émotion. Nous étions tous ensemble, toute la famille ici à Doha. Ce fut un moment unique et inoubliable." Que signifie cette victoire pour l'Argentine ? "C'est un rêve. Un rêve que ces garçons ont donné à un peuple, à une nation, à quarante-cinq millions d'Argentins qui ne voulaient rien de plus que pouvoir célébrer cette coupe." Avez-vous parlé à Messi ? "Oui, je suis entré sur le terrain et allé vers lui. C'était un moment très émouvant : on s'est embrassés, on a ri. Je lui ai dit que j'étais heureuse, qu'il le méritait, que c'était son destin." Et a-t-il dit quelque chose ? "Juste une chose : enfin, enfin." Que représente ce succès pour Messi, pour sa carrière et son histoire sportive ? "Il méritait ce triomphe plus que quiconque. Le voir soulever la Coupe du monde était l'image, je pense, que le monde entier voulait voir, c'était juste que cela arrive à un garçon et à un joueur comme lui." Si c'est arrivé, c'est aussi grâce à Scaloni. Quels mérites a-t-il ? "Sa grandeur est celle d'être un entraîneur humble, un homme simple : mais grâce à ce don, il a montré dès le début qu'il avait quelque chose de spécial, qui pouvait nous donner ce but." Vous y avez cru dès le début de cette Coupe du monde, c'est vrai ? "Oui, j'y ai cru parce que j'ai compris qu'il y avait ce sentiment collectif de quelque chose de grand, cette illusion : tant de gens qui sentaient que le moment était peut-être venu. Avez-vous vu combien de personnes étaient venues d'Argentine ici à Doha ?" Selon vous, cet enthousiasme collectif a-t-il atteint l'équipe ? "Bien sûr, il a entraîné les joueurs dans des moments difficiles. Je vous assure qu'une équipe s'en aperçoit." Des moments difficiles qu'il y a eu surtout au début. "L'équipe a sorti ses tripes, ils ont vécu une Coupe du monde grandissante. Il a perdu au début, mais cette défaite lui a fait du bien, il a créé un lien. Un moteur, jusqu'à aujourd'hui, où tout s'est terminé comme il se doit. Nous attendions cette joie depuis trop, trop d'années." Que manquait-il jusqu'à aujourd'hui ? "Parfois la chance, d'autres fois peut-être avons-nous rencontré des équipes plus fortes que nous. Nous avions de grandes équipes, j'ai personnellement joué avec des joueurs incroyables. Mais parfois les épisodes nous ont été défavorables : le foot c'est comme ça. Mais aujourd'hui, nous célébrons." Continuez à dire "nous" : vous sentez vraiment que cette Coupe du monde est la vôtre, n'est-ce pas ? "Oui, mon en tant que fan. L'équipe a gagné sur le terrain, mais en dehors nous sommes quarante-cinq millions de champions du monde." Traduction alex_j via FCInter1908.- 4 commentaires
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Alors que l'Argentine a battu la France aux tirs aux buts, Lautaro Martinez a réçu des félicitation de Steven Zhang, l'Inter et la CN. A travers leurs réseaux sociaux, la Curva Nord des Nerazzurri a tenu à féliciter Lautaro Martinez qui a obtenu aujourd'hui le titre de Champion du Monde avec son Argentine en battant la France aux tirs au but. Voici le message: "La Curva Nord salue Lautaro Martinez, nouveau champion du monde avec son Argentine." "Courir sur le toit du monde." Avec la médaille d'or et une démonstration d'amour. C'est le court tweet avec lequel l'Inter félicite l'Argentine et Lautaro Martinez pour avoir remporté le titre mondial. Inter FR n'est pas en reste! A travers ses réseaux sociaux, le président de l'Inter Steven Zhang a tenu à féliciter l'Argentine et Lautaro Martinez, aujourd'hui victorieux en finale de la Coupe du monde face à la France : "Top of the world", (sur le toit du monde), écrit le magnat chinois en joignant une photo d'el Toro chevauchant un chameau. Voici les mots de l'intéressé à la Nacion: "Merci à tous, merci au peuple argentin, à ma famille, à ces 26 joueurs, à ceux qui ont été écartés du groupe, à ceux qui ont été appelés avant la Coupe du monde, à tout le staff technique… Merci, en plus de tous ceux que j'ai évoqués également à ma famille dans les tribunes. À ma mère qui m'a regardé depuis l'Argentine avec son cœur explosant de joie. A ma grand-mère qui ne traverse pas une période facile, j'espère que ce qui s'est passé ce soir pourra lui donner la force, à mon frère, à ma famille qui a parcouru le monde pour être à mes côtés. Et à ma fille Nina qui a changé ma vie." Moralité: notre Lauti, c'est un peu le Stéphane Givarc'h de l'Albicéleste. Traduction alex_j (super content) via FCInterNews, FCInter1908.
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S'exprimant lors d'une conférence de presse à Malte, Simone Inzaghi a donné son avis sur Romelu Lukaku et andré Onana ainsi que sur l'état de forme du reste de l'équipe. A propos de Romelu Lukaku. "Il était évidemment déçu. C'est la Coupe du monde et il se soucie beaucoup de son équipe nationale. Il a joué pendant 45 minutes, il a eu trois occasions que la Belgique n'a pas réussi à créer pendant tout le match. Quand ils y a encore des occasions, un attaquant doit rester calme." Concernant André Onana. "Sur la situation, il y a eu un malentendu dont il a payé le prix, mais j'ai parlé avec lui ça va bien. Je peux parler de la façon dont il s'est débrouillé à l'Inter, c'est un gars positif. Quand on lui a demandé d'être sur le banc, il s'est assis sur le banc et quand on lui a demandé de jouer, il a joué." Les retours attendus des joueurs toujours à la Coupe du monde. "Nous avons quatre joueurs qui ont atteint les quarts de finale. Lukaku et Onana sont absents, ils seront de retour entre vendredi et samedi et rejoindront le reste du groupe. Physiquement, les gars sont en forme et on attend leur retour." À propos de la retraite à Malte. "Nous nous entraînons bien, le match d'hier était exigeant, nous avons fait ce que nous devions faire contre une équipe maltaise de bonne qualité. Maintenant, nous devons continuer à travailler pour pouvoir nous rendre au match contre Naples le 4 Janvier de la meilleure façon possible. J'ai également obtenu une bonne réponse des joueurs de Primavera même si pour le moment, nous avons plusieurs joueurs manquants. Darmian, D'Ambrosio et Correa sont actuellement sur le terrain d'entraînement de l'équipe à Milan, je suis sûr que nous les retrouverons bientôt avec nous." La coupe du Monde et le Napoli. "C'est une trêve anormalement longue, nous devons travailler dur sur tous les détails et rester concentrés. Nous aurons un calendrier de Janvier très lourd. On a vu que sur les quinze premiers matches, on a fait dix victoires, ce qui n'a pas suffi. Le Napoli engrange des points à un rythme soutenu, nous devons être prêts pour eux, avec le rythme qu'ils ont établi, trente points ne nous ont pas suffi." Mercato de Janvier. "J'ai de la chance d'avoir un club derrière moi qui est toujours attentif à ce qui se passe sur le marché des transferts." Le titre de Serie A, un objectif ? "J'espère que nous le pourrons et c'est notre objectif. Napoli a fait un parcours incroyable jusqu'à présent, mais il reste encore 23 matches à disputer, il y aura de la place pour tout le monde pour revenir." Traduction alex_j via Sempreinter.
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Notre ancien entraîneur Ottavio Bianchi, qui a remporté une Coupe du monde avec Maradona, parle à Adnkronos des deux numéros 10 argentins ainsi que de Didier Deschamps. "De nos jours, il y a beaucoup de comparaisons entre Maradona et Messi, ayant vécu avec Diego, je suis partial. Je pense qu'ils sont tous les deux dans l'Olympe du football, des champions absolus pour lesquels il est impossible de faire des comparaisons. C'est comme se demander si c'est Mozart ou Beethoven le meilleur." Ce sont les premiers mots d'Ottavio Bianchi qui avec le "Pibe de oro" a remporté le premier championnat historique de Naples lors de la saison 1986-1987. "Comme analogies je vois, en plus du fait qu'ils sont tous les deux argentins, qu'ils sont tous les deux gauchers, pas avec un physique incroyable mais avec une grande classe et une intelligence footballistique. Dans le football médiocre d'aujourd'hui, les jeux individuels sont importants, il y a des matches dans lesquels on attend un coup de génie du champion pour sortir de l'ennui." Bianchi évoque également Didier Deschamps qui en cas de victoire en finale de Qatar 2022 contre l'Argentine égalerait la suprématie de Vittorio Pozzo qui a remporté deux Coupes du monde consécutives en 1934 et 1938. "C'était un excellent demi-arrière, excellent entraîneur de club, capitaine, entraîneur, calme et froid, un entraîneur de premier ordre. C'est un entraîneur peu médiatisé, qui travaille en silence, se plaint peu et respecte ses adversaires." Le jugement sur la Coupe du monde, dans son ensemble, est clair. "Cela a été un championnat du monde médiocre d'un point de vue technique et tactique, mais avec de nombreuses circonstances atténuantes compte tenu de la période de l'année à laquelle nous jouons. J'ai aimé la demi-finale France-Maroc, ce fut un vrai match, ils se sont battus sur le terrain mais au final tout le monde était content. Ils ne se sont pas désunis et ont continué à jouer. J'ai aimé le comportement correct et le respect dans les tribunes et sur le terrain dans cette édition de la coupe du monde." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Marco Materazzi : "Ce soir, je soutiens le Maroc et ensuite..."
alex_j a posté un article dans Interviews
Après la qualification de l'Argentine en finale, ce soir place à France-Maroc. Pour parler de la Coupe du monde, la Gazzetta dello Sport a interviewé Marco Materazzi. Marco, si tu devais affronter cette équipe de France quelle serait ta première pensée ? "Leur force. Ils ont tout : la technique et le physique, comme en 2006. Il faut donc essayer de les limiter, résister, allonger le match et peut-être profiter du moment où ils peuvent concéder quelque chose." On ne sait pas si Aguerd et Saiss pourront jouer. Quel serait l'impact sans les deux ou même un seul d'entre eux ? "Dans ces cas-là, le banc parvient toujours à donner le meilleur de lui-même. Mais Saiss est aussi le capitaine : son absence serait plus impactante, c'est lui le leader. En 2006, sans Cannavaro, cela aurait été encore plus difficile." Au lieu de cela, Nesta avait été blessée et tu as pris sa place. "Contre la République tchèque, je suis entré assez froid et j'étais aussi inquiet. Puis j'ai tout de suite fait un bon arrêt sur Nedved et je me suis calmé." Pourquoi les défenseurs-buteurs sont-ils si rares ? "Parce qu'il y a une tendance, notamment en Italie, à défendre par secteur et avec l'aide de milieux de terrain, dans la conviction que cela aide à gagner. Chez les jeunes, nous devrions faire plus de un-contre-un : ce serait utile pour les attaquants et les défenseurs." Tu supportes qui pour la Coupe du monde ? "Aujourd'hui pour le Maroc, mais je pense que c'est le moins fort des quatre. J'espère que l'Argentine gagnera, je serais content pour Messi : il a ravi le football pendant de nombreuses années, il le mérite." Traduction alex_j via FCInterNews.- 4 commentaires
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Brozo et Toro en demie de la coupe du monde !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Les deux premiers quarts ont été joués hier et la Croatie affrontera l'Argentine pour une place en finale. Lautaro Martinez qui n'a pas brillé jusqu'à présent, et ce malgré les explications d'un astrologue, a marqué le pénalty décisif pour envoyer l'Albicéleste en demie. Voici ses mots au micro de Gol Mundial. "Je pense que nous avons eu de la chance, mais nous ne méritions pas d'aller aux tirs au but. Nous avons été supérieurs pendant les quatre-vingt-dix minutes. On avait une grande personnalité et surtout un gardien redoutable. J'ai pris la responsabilité d'un penalty décisif, comme celui de la Copa América. Dans cette marche vers le point, j'étais très calme car j'ai confiance en mon travail. Quand j'ai attrapé le ballon, j'ai pensé à ma fille. Elle a changé ma vie. Je travaille la tête baissée, je méritais d'être ici." La Croatie n'en peut plus d'attendre et évidemment Marcelo Brozovic a hâte de se remettre sa joie d'avoir atteint la troisième demi-finale de l'histoire de la Croatie en Coupe du monde (1998, 2018 et 2022). La dernière ayant été obtenue contre le Brésil aux tirs au but. Sur son profil Instagram, Epic Brozo crie "Demi-finale" et poste une photo de tout le groupe en liesse. Traduction alex_j via FCInterNews.- 6 commentaires
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L'Argentine est arrivée en demi-finale de la Coupe du monde et Javier Zanetti exprime sa joie au micro de Rai Sport. Soirée incroyable, avez-vous pu dormir? "Non, assez peu, mais heureux! C'était une soirée de Coupe du monde. Cette Argentine est une équipe nationale compacte, après la première défaite contre l'Arabie saoudite, ces gars se sont encore plus unis. Beaucoup d'Argentins sont venus ici au Qatar parce que tout le monde a le même rêve de les joueurs." Quelle est l'importance du résultat de l'équipe nationale pour le pays ? "Beaucoup car nous sommes dans une période de grande crise sociale et éducative. Ce n'est pas facile de vivre en Argentine. Les gars veulent donner une grande joie au peuple argentin." À propos de Messi. "Il est beaucoup plus mature, un vrai leader. Tous les gars le suivent, il se rend compte que la Coupe du monde est spéciale et il donne tout." Êtes-vous déplacé? "Beaucoup, j'étais avec ma famille et mes amis. Après 2-2, mon fils pleurait, c'est pourquoi je voulais que l'Argentine passe." Sur le geste de Leo Perisic envers Neymar. "Seul le football vous donne ces émotions. Je comprends la déception de Neymar, eux aussi voulaient gagner la Coupe du monde. Je suis désolé pour lui, mais c'est bien que le fils de Perisic, qui a Neymar comme idole, soit allé le consoler." Traduction alex_j via FCInterNews.
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Ex Inter :Message d'Hakimi à MBappé "A bientôt mon ami"
alex_j a posté un article dans Coupes d'Europe
Après la qualification du Marco et de la France en demie, Hakimi a envoyé un message à MBappé. Mercredi 14, le Maroc partira à la recherche de son plus grand rêve. En effet, contre la France championne en titre, les Lions de l'Atlas ne joueront rien de moins qu'une participation en finale de la Coupe du monde. Un rendez-vous historique pour tout le pays maghrébin qui comptera également un match entre les deux coéquipiers du Paris Saint-Germain, Achraf Hakimi et Kylian Mbappé. L'ancien joueur de l'Inter donne rendez-vous à la star des Bleus : "A bientôt, mon ami." Notons que le Maroc avait été la première équipe d'Afrique à franchir les phases de pool en coupe du monde et c'était en 1986 après une victoire contre le Portugal. En 2022, 36 ans plus tard, le Maroc devient le premier pays africain à atteindre les demies après avoir battu... le Portugal. Traduction alex_j via FCInterNews-
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Coupe du monde : l'Inter Félicite la Croatie et Brozo !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Après sa qualification en demie finale de la Coupe du Monde, la Croatie et Brozovic ont été félicités par l'Inter. Marcelo Brozovic fut le premier joueur de l'Inter à atteindre les demi-finale du Qatar 2022, une qualification qui est également suivie par Lautaro Martinez qui rencontrera son coéquipier croate avec l'Argentine. Après l'excellent résultat de l'équipe au damier, les félicitations sont arrivées de l'Inter qui a adressé ses compliments à Brozo et à toute l'équipe nationale de Dalic. Hommage que la Croatie a apprécié et reposté sur les réseaux sociaux : "Merci" lit le retweet de l'équipe nationale croate. La Gazzetta dello Sport rend hommage à Marcelo Brozovic qui est l'un des piliers de la Croatie qui rêve d'une deuxième finale mondiale consécutive. Un pilier de son propre pays mais aussi de l'Inter. Un lien avec les nerazzurri qui est plus solide que jamais. Voici les mots de la Gazzetta. "Marcelo Brozovic est l'un des vétérans de l'Inter. Arrivé en janvier 2015, il est devenu au fil du temps un incontournable au milieu de terrain et l'idole des supporters Nerazzurri. Le lien entre Brozo et l'Inter est extrêmement solide : plusieurs fois le milieu de terrain a rejeté les offres des meilleurs clubs d'Europe et aujourd'hui, avec ses 243 apparitions, il est le Croate le plus présent de l'histoire de la Serie A." Traduction alex_j via FCInterNews et FCInter1908.- 1 commentaire
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Andre Onana répond aux rumeurs en citant Georges Orwell
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Andre Onana a répondu aux critiques et aux rumeurs entourant sa sortie de l'équipe camerounaise lors de la Coupe du monde au Qatar. Citant George Orwell dans un tweet, le joueur de 26 ans a dénoncé certaines spéculations qui ont circulé concernant les circonstances entre lui et l'équipe nationale camerounaise au Qatar. Il estime que beaucoup de fausses informations ont été répandu. Les articles décrivant la situation d'Onana qui avait été évincé de l'équipe du Cameroun puis temporairement suspendu par leur FA ont suggéré qu'il y avait des désaccords tactiques avec le staff managerial. Cependant, la nature précise du désaccord entre Onana, le staff et les membres de la FA est restée vague. Onana estime que les informations diffusées ne sont guère exactes. Il a répondu à la rumeur pour défendre sa réputation avec un post sur son compte Twitter. Il a tweeté en citant Orwell Traduction alex_j via Sempreinter.- 1 commentaire
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Ronaldo : "C'est à l'Inter que je suis devenu Il Fenomeno"
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Ronaldo, le vrai, est le protagoniste d'une interview avec DAZN dans laquelle, bien sûr, il parle également de sa relation avec l'Inter. Cependant, l'ancienne star brésilienne a d'abord été "choqué" par l'échec de l'Italie non qualifiée pour la Coupe du monde au Qatar. "J'étais triste parce que l'Italie est un grand symbole, une grande nation qui joue au football. Les Italiens sont amoureux du football. Le monde entier qui est passionné de football veut voir l'Italie à la Coupe du monde. Il y aura quelque chose qui ne va pas parce qu'ils n'ont pas participé à deux coupes consécutives. Il est certain qu'un travail spécifique doit être fait pour revenir sur le devant de la scène, peut-être en se concentrant sur les jeunes joueurs dans les années à venir." Quel est le défenseur italien qui vous a mis le plus en difficulté ? "Une pensée spéciale pour Paolo Maldini que j'ai affronté plusieurs fois. À mon avis, il était le plus dur, le plus intelligent. C'est celui qui m'a mis le plus en difficulté." À quel point êtes-vous encore lié à l'Inter ? "L'Inter a un grand rôle dans ma carrière. Ce furent cinq années merveilleuses à Milan. J'ai rencontré les fans les plus passionnés du monde et c'est ce qui a fait de moi Il Fenomeno : d' abord j'étais Ronaldo, puis en Italie avec l'Inter je suis devenu Il Fenomeno. Je Je dois tellement remercier l'Inter pour ce qu'ils m'ont donné." Traduction alex_j via FCInterNews.- 5 commentaires
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Interrogé par Tyc Sports, Gabriel Omar Batistuta a expliqué la raison du choix de Lionel Scaloni de mettre Julian Alvarez à la place de Lautaro Martinez lors du dernier match contre la Pologne. Ses explications sont plus rationnelles que celles de l'astrologue. "Si l'un joue plutôt qu'un autre, ce n'est pas un problème. Scaloni a décidé de déployer Julián car il s'associe mieux avec Messi, Di María et Mac Allister. Il sait comment lier le jeu et se déplacer sur les flancs et dans les zones. Scaloni cherchait ces caractéristiques et les a trouvées chez Julian. Lautaro est plus comme moi, il ne pense qu'à la façon de concrétiser l'action créée par ses coéquipiers. C'est un finisseur. Scaloni a pris cette décision et il me semble que ça ne s'est pas si mal passé." "Pour moi, les deux ne sont pas compatibles. Je pense qu'il n'y a pas de place pour les deux sur le terrain et nous n'en avons même pas besoin. Je ne vois pas la nécessité de jouer avec deux neuf, les deux peut marquer en jouant seul. C'est une qualité que toutes les équipes n'ont pas et c'est quelque chose qui me donne l'espoir que nous pourrons tenir la distance à la Coupe du monde. Je ne pense pas qu'ils puissent jouer ensemble, à moins que quelque chose de grave nous arrive et nous devons marquer trois ou quatre buts. En tout cas, je ne les vois pas ensemble." Traduction alex_j via FCInterNews.
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