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  1. Via Twitter l'Inter a officiellement exprimé ses sincères coléances aux victimes de la tragédie de Malang. Au moins 174 personnes (bilan revu à la baisse, 125 morts, ndlr) sont mortes dans le drame qui a eu lieu Samedi soir dans la ville de Malang, à l'est de l'île de Java, en Indonésie. Les supporters de l'Arema FC sont entrés sur le terrain du stade Kanjuruhan de Malang City après la défaite 3-2 contre Persebaya Surabaya et ont provoqué la panique, avec des dizaines de personnes piétinées et tuées. À travers un tweet , l'Inter a exprimé ses condoléances pour ce qui s'est passé : "Nos plus sincères condoléances pour la tragédie du stade Kanjuruhan, Malan." Voici les détails relatés par Euronews L'Indonésie s'est réveillée dimanche endeuillée par l'une des pires tragédies jamais survenues dans un stade. 125 personnes sont mortes dans un mouvement de foule quand des milliers de fans ont envahi un terrain de football et ont été aspergés de gaz lacrymogène. Un précédent bilan des autorités faisait état de 174 personnes tuées. Le drame, qui s'est déroulé samedi soir dans la ville de Malang, à l'est de l'île de Java, a aussi fait plus d'une centaine de blessés dans cet archipel d'Asie du Sud-Est où les rivalités entre supporters virent souvent à la catastrophe. Des fans de l'équipe locale du Arema FC ont pénétré sur le terrain du stade Kanjuruhan, dans la ville de Malang, après la défaite de leur équipe 3 à 2 contre celle de Persebaya Surabaya. C'était la première fois en plus de vingt ans que l'Arema FC perdait face à sa grande rivale de la ville voisine de Surabaya. La police, qui a qualifié cet incident d'"émeutes", a tenté de persuader les fans de regagner les gradins et a tiré des gaz lacrymogènes après la mort de deux policiers. De nombreuses victimes ont été piétinées mortellement. Des survivants ont décrit des spectateurs pris de panique, bloqués par la foule, quand la police a lancé des gaz lacrymogènes. Des images capturées à l'intérieur du stade montrent une énorme quantité de gaz lacrymogène et des personnes s'agrippant aux barrières, tentant de s'échapper. D'autres portaient des spectateurs blessés, se frayant un chemin à travers le chaos. "Des policiers ont projeté du gaz lacrymogène, et les gens se sont aussitôt précipités pour sortir en se poussant les uns les autres et ça a provoqué beaucoup de victimes", a indiqué à l'AFP Doni, un spectateur de 43 ans, qui n'a pas voulu donner son nom de famille. "Il n'y avait rien, pas d'émeutes. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, il sont soudainement envoyé du gaz lacrymogène", a-t-il déclaré. "Ce qui m'a choqué c'est qu'ils ont pas pensé aux femmes et aux enfants ?" Interrogé par l'AFP, Sam Gilang, un survivant, qui a perdu trois amis, écrasés par la foule, a évoqué un incident "terrifiant, absolument choquant". "Les gens se poussaient (...) et beaucoup ont été piétinés en allant vers la sortie. Mes yeux brûlaient à cause des gaz lacrymogènes. Heureusement, j'ai réussi à grimper sur une clôture et j'ai survécu." Le président indonésien Joko Widodo a ordonné dimanche "une évaluation complète des matchs de football et des procédures de sécurité", après cet incident. Il a demandé à l'Association nationale du football de suspendre tous les matchs jusqu'à des "amélioration de la sécurité". "Je regrette profondément cette tragédie et espère que cette tragédie liée au football sera la dernière dans notre pas", a-t-il déclaré dans un discours télévisé. Le directeur d'un hôpital a indiqué sur une chaîne de télévision locale qu'une des victimes n'avait que cinq ans. Le stade contenait 42 000 personnes et était au complet selon les autorités. Quelque 3 000 d'entre eux ont envahi le terrain en signe de colère après le match. Un spectacle désolant devant le stade témoignait dimanche matin des agitations de la veille: des véhicules calcinés, dont un camion de police, jonchaient les rues. La police a fait été de 13 véhicules brûlés. Le gouvernement indonésien a présenté ses excuses pour cet incident. "Nous sommes désolés pour cet incident (...) C'est un incident regrettable qui blesse notre football à un moment où les supporters peuvent assister à un match dans un stade" après une longue interruption pendant la pandémie de Covid-19, a déclaré le ministre indonésien des Sports et de la Jeunesse Zainudin Amali à la chaîne Kompas. Mea culpa aussi du côté de l'Association de Football d'Indonésie (PSSI), qui a suspendu tous les matchs prévus cette semaine. "Nous sommes désolés et nous présentons nos excuses aux familles des victimes et à toutes les parties pour cet incident", a dit le président de PSSI, Mochamad Iriawan. La violence des supporters est un problème en Indonésie, où les rivalités de longue date se sont transformées en affrontements mortels. Certains matches - le plus important étant derby entre Persija Jakarta et Persib Bandung - sont si tendus que les joueurs des équipes de haut niveau doivent s'y rendre sous haute protection. Les fans de Persebaya Surabaya n'avaient pas été autorités à acheter des billets pour le match, de crainte d'incidents. Le secrétaire général de l'Association nationale de football PSSI, Yunus Yussi, a indiqué avoir communiqué avec la FIFA sur cet incident dramatique et espère éviter des sanctions de l'organe international. Il a expliqué que la police avait utilisé des gaz lacrymogènes à l'intérieur du stade car "elle devait prendre des mesures pour empêcher" les fans d'envahir le terrain au cours d'une conférence de presse. Le chef de la Confédération asiatique du football, a exprimé ses regrets face aux pertes humaines. "Je suis profondément choqué et attristé d'apprendre des nouvelles aussi tragiques venant d'Indonésie, un pays où l'on aime le football", a déclaré Salman bin Ebrahim Al Khalifa dans un communiqué. L'Indonésie doit accueillir l'an prochain la Coupe du Monde U-20 dans plusieurs stades du pays, mais celui de Malang n'en fait pas partie. En 1989, un mouvement de foule au stade de Hillsborough en Grande-Bretagne avait causé la mort de 97 fans de Liverpool et en 2012, le stade de Port Said en Egypte avait connu une autre tragédie avec 74 morts. In 1964, 320 personnes sont mortes et plus d'un millier a été blessé dans un mouvement de foule au stade national de Lima au cours d'un match de qualification entre le Pérou et l'Argentine. Traduction alex_j via FCInterNews, Euronews et AFP.
  2. Triste nouvelle, notre ancien capitaine de la Grande Inter Bruni Bolchi est décédé la 27 Septembre 2022 suite à une longue maladie. Né à Milan, Bolchi a fait ses débuts à l'âge de 18 ans avec l'Inter lors du match en Serie A contre le SSC Napoli le 18 mai 1958 à l'extérieur et perdu 1-0. Il a joué six saisons avec les nerazzurri effectuant 109 sélections et dix marquant buts. Il a gagné le surnom de Maciste par Gianni Brera pour sa ressemblance avec l'acteur Gordon Scott et donc à cause de son physique imposant, de sa force et de son style de jeu assez rugueux. Il a été capitaine de l'équipe entre 1961 et 1962 et a obtenu un bon succès lors de son passage chez nous. En effet, il a remporté le titre de Serie A en 1963 et la Coupe des champions en 1964. Bolchi était un personnage charismatique, loyal et généreux. Il détestait la règle des cinq changements et se souvenait du moment où il ne faisait pas un seul remplacement par match. Voici une de ses déclaration au Corriere : "A 11 contre 11, si un était blessé, tu restais à 10. Tu as commencé le match en sachant que tu aurais dû arriver au bout. Savoir doser l’énergie était une qualité." Il fut aussi le premier footballeur, en 1961, à figurer sur les stickers Panini. Ce jeune homme de 21 ans au visage de vieil oncle, les joueurs de l'époque semblaient n'avoir jamais été des garçons, n'arrivait pas à sourire. Il portait le maillot de l'Inter à larges rayures, avec un col rond, et son nom de famille était en bas, noir sur fond jaune. Sur la gauche, écrit verticalement, se trouvait "Inter". Minimalisme, voire graphique, pour inaugurer une époque qui n'a jamais pris fin. Il a ensuite joué pour l'équipe de Serie B de Vérone et est revenu jouer en Serie A pour l'Atalanta et le Torino où il a mis fin à sa carrière de joueur en 1970, remportant également la Coppa Italia avec ce dernier club en 1968. "Le président Luigi De Laurentiis et l'ensemble du SSC Bari se joignent à la douleur de la famille Bolchi pour la disparition de Bruno, l'homme de la double promotion jusqu'en Serie A et de la demi-finale de #CoppaItalia. Les plus sincères condoléances de tout le peuple rouge et blanc." Bolchi était le technicien qui a fait le miracle avec Bari en 1983. L’équipe a obtenu deux promotions consécutives sous sa direction accédant ainsi de la C1 à la Serie A. Notez que Bari avait sorti la Juve de Platini et Bionek. Plus tard, il dirigera une douzaine d’autres équipes, dont des équipes de Cesena, Lecce, Catanzaro, Genova et Reggina. Bolchi est décédé à Florence le 27 septembre 2022, à l'âge de 82 ans des suites d'une longue maladie. Traduction alex_j via FCInterNews, La Repubblica, Wikipédia et connaissances personnelles.
  3. L'ancien directeur sportif de l'Inter Giancarlo Beltrami est décédé à l'âge de 85 ans. Hommage. FCInter1908 rapporte que l'ancien dirigeant des Nerazzurri, qui avait été directeur sportif entre 1977 et 1993, est décédé hier à 14h45. Giancarlo Beltrami avait commencé sa carrière en tant que joueur, passant par l'académie du Milan avant de faire des apparitions pour Hellas Verona, Varese et Monza, puis après avoir raccroché les crampons, il s'est installé dans un rôle de réalisateur. En 1977, Beltrami a été nommé directeur sportif de l'Inter par le président de l'époque, Ivanoe Fraizzoli, rôle qu'il a occupé pendant les seize années suivantes. Beltrami a entretenu d'excellentes relations avec l'ancien attaquant légendaire des Nerazzurri Sandro Mazzola, et pendant son séjour au club, il a fait venir des joueurs légendaires tels que l'attaquant Alessandro Altobelli et le milieu de terrain Evaristo Beccalossi. L'ancien directeur sportif était également chargé de faire venir les entraîneurs Eugenio Bersellini et Giovanni Trappatoni, avec lesquels ils ont remporté le titre de Serie A lors des saisons 1979-80 et 1988-89 respectivement. N'oublions pas la coupe UEFA de 1991. Il y eut aussi des quasi-accidents comme Marco Tardelli et Carlo Ancelotti. Parmi eux aussi Falcao, repris par Beltrami mais non racheté par Fraizzoli pour ne pas contrarier Andreotti, puissant politicien et fan de la Roma. La Repubblica nous livre un hommage assez détaillé et émouvant de Giancarlo Beltrami. C'est lui qui a conçu / construit la dernière équipe entièrement italienne capable de remporter le Scudetto dans l'histoire de notre football. L'Inter de 1980, celle d'Altobelli et Beccalossi, Bordon et Beppe Baresi, Oriali et Pasinato, Canuti et Carlo Muraro, est née de l'intuition et de l'excellent réseau de Giancarlo Beltrami. Il était l'un des managers les plus habiles de cette période de transition, entre les années 70 et 80, à qui on reproche aujourd'hui l'accélération du football vers un avenir qui, jamais comme à l'époque, n'est arrivé pour tout le monde et si vite. Seize ans de son militantisme à l'Inter (1977-1993) à la pointe du marché des transferts, avec la joie d'un autre Scudetto lors de la saison record 1988-89, la première Coupe UEFA de l'histoire de l'Inter (1990-91). Dans sa vitrine, il y a aussi deux Coupes d'Italie (1978 et 1982), une Super Coupe d'Italie (1989) et un Mundialito per Club (1981). Son partenariat avec Sandro Mazzola et avec le président Ivanoe Fraizzoli nous ramène à un football où les clubs avaient des organigrammes allégés et les décisions, les responsabilités et les fautes étaient peu divisées. Cependant, elles suffisaient. Dans les lancements de l'agence Beltrami, il est paradoxalement rappelé pour la seule qui n'a pas aboutie. On parle de l'arrivée de Michel Platini à l'Inter. Mais ce serait vraiment peu généreux de s'arrêter à la chronique des faits. C'était en 1978 et Le Roi avait été optionné, sans lire en filigrane. Une vérité qui raconte que seulement deux ans plus tard, en 1980, les discussions ont été rouvertes et entre-temps le vent avait fait un mauvais tour et la Juve a pris le Français qu'en 1982. Il n'est donc pas vrai que L'Inter a rejeté Platini pour "problèmes physiques", Beltrami était simplement arrivé en avance sur son temps. Toujours élégant, veste, cravate, simple et libre, mais avec sa propre discipline de fer dans son travail : dans sa carrière, Beltrami a littéralement abordé le destin des meilleurs jeunes de la génération qui a grandi dans les années 80. Il conduit à Côme, l'entreprise avec laquelle il a commencé à travailler, les jeunes talents Vierchowod et Tardelli. Au fait, c'est Beltrami qui a mis au point la première vente (presque) milliardaire d'un footballeur italien, c'est arrivé quand en 1975 quand il a vendu Tardelli à la Juve pour 950 millions de lires (il y avait de la modestie, ils ne voulaient pas toucher au fatidique seuil du milliard). Peu de temps après, il découvre Altobelli et Beccalossi et a créé à l'Inter l'une des paires les plus efficaces de cette période historique. Il a fait signer un contrat à Paolo Rossi (plus tard sauté) et ce n'est que l'intervention de Giulio Andreotti qui lui a refusé le coup de la décennie : Falcao à l'Inter. L'accord avait été trouvé mais l'affaire est devenue politique et rien n'a été fait. Et des années plus tard, c'est toujours lui qui a amené à l'Inter un garçon qui allait devenir l'idole du Meazza : Nicolino Berti. Beltrami, et les employés qui travaillaient au centre Nerazzurri se souviennent bien de lui, est également célèbre pour ses expressions colorées et ses petites facilités grammaticales. Une fois, il a dit que "Bari était une équipe avec un B majuscule" et c'était un compliment; un autre, en polémique avec les trop nombreux concerts qui ont eu lieu à San Siro et qui ont ruiné le terrain, il a fait cette déclaration fabuleuse "La faute en revient à ceux qui étaient au concert de Brussprinter", était Bruce Springsteen, bien sûr. Au lieu de cela, il passe sur le territoire de la légende lorsque, après un match de Nancy, dans son français macaronique, il donne rendez-vous à Platini "après la gare", il fallait comprendre "après le match". Michel l'a fait et s'est présenté à la gare. Traduction alex_j via Sempreinter, FCInterNews et la Repubblica.
  4. Il a enchanté des générations entières, par son génie et sa classe. Mario Corso est décédé à l'âge de 78 ans. Voici le texte publié par le site officiel lui rendant un hommage. Il y a des gens destinés à rester dans la légende, d'éternels champions, des talents uniques dont il est impossible de ne pas tomber amoureux. Mario Corso a été ainsi ainsi et le sera toujours. Dans l'histoire du football personne n'a jamais été ou ne sera jamais comme lui. Ses tirs pied gauche en 'feuille morte' ont enchanté le monde entier. Tout le monde a essayé un tir à la Mario Corso. Un rêve transmis aux générations futures. Les chaussettes toujours enroulées en hommage à son idole Omar Sivori, son entrée sur la pelouse du Meazza était toujours précédée de trois touches avec son pied gauche sur la première marche du vestiaire. Et la magie commençait. Comme le 12 mai 1965, lorsque la demie finale de Champions League contre Liverpool a dû être renversée à Milan. Son splendide coup ouvrait la voie d'un des plus beaux comeback de l'histoire du club. Mario Corso est avant tout l'Inter. Il est entré dans le cœur des tifosi si profondément qu'il était en même temps "le pied gauche de Dieu" - comme l'avait renommé le sélectionneur d’Israël après un match contre l'Italie en 1961. Le 30 novembre 1958 avec son but contre Bologne, alors qu'il a 17 ans, 3 mois et 5 jours, il devient le plus jeune buteur nerazzurri. Il confirme ensuite en devenant un protagoniste incontournable de la Grande Inter. Sincère, direct et jamais banal, comme son football. Cet immense talent a joué 502 matchs avec 94 buts à la clé. Capitaine pendant trois saisons il a remporté 4 Scudetti, 2 Champions League et Coupes Intercontinentales avant de se lancer dans une très longue carrière de dirigeant nerazzurra, en tant que manager et observateur. Accompagné de ceux qui, grâce à lui, ont découvert une nouvelle façon de pratiquer le football, celle de Mario Corso, pour tous les tifosi nerazzurri et les fans de ce sport. Salut Mario, tu nous manqueras tous. ®gladis32 - internazionale.fr
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