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  1. Plus tôt aujourd'hui, était annoncé que le Conseil des Ministres s'était réuni hier et avait pris la décision de changer les règles entourant le Décret de croissance. D'après cet article, le Conseil avait abrogé la loi sur les salaires des footballeurs. Mais d'après Calcio e Finanza, ce n'est pas actuellement le cas. En fait, le décret de croissance reste valide pour le monde du football. Par exemple, l'Inter peut l'appliquer pour réduire ses dépenses de charges salariales totales pour le duo français Marcus Thuram et Benjamin Pavard. Cependant, cela ne veut pas dire que c'est sans risque. Au contraire, l'utilisation de cette loi a des opposants au sein même du football italien. Calcio e Finanza explique qu'il y aura une réunion de la Ligue de football italienne demain. Le but sera d'explorer les moyens d'arrêter les tentatives d'utilisation du décret de croissance dans le football. Pour l'instant, la loi est applicable aux athlètes professionnels. Par conséquent, des clubs de série A peuvent l'utiliser pour les dépenses de salaire des joueurs venant de l'étranger. Mais il y a une bataille en cours sur cette question. Et le monde du football italien est conscient que cela peut changer. Les opposants continuent de pousser pour changer les règles. ®Zanetti63 - Internazionale.fr
  2. En effet, c’est une information importante que nous relaye la Gazzetta Dello Sport : "A partir du 1er janvier, Addio Decreto Crescita!" "Dès 2024, et si le Gouvernement a imposé des réductions fiscales pour les travailleurs étrangers, il a surtout exclu les sportifs de ces avantages! Le couperet commence donc le 1er janvier et entraînera des conséquences non seulement pour ceux qui signeront lors du mercato hivernal, mais pour ceux qui signeront également au 1er juillet prochain." "Pour ne citer que quelques exemples, cette nouvelle mesure va viser automatiquement des grands noms : Par exemple, l'Inter a acquis Marcus Thuram et Benjamin Pavard, en comptant sur une réduction d'impôt de près de 50 % et cette considération peut-être être faite aussi pour le Milan, qui a signé cet été Loftus Cheeck, Reijnders, Pulisic, etc. Ou la Juve avec l'américain Weah." "A Naples, on se dirige vers un stop aux profits pour Lindstrom, Cajuste, Natan. La Roma devra également dépenser plus d'argent pour les signatures d'Aouar et de Ndicka, mais Romelu Lukaku ne tombera pas dans ce système car les joueurs qui ont eu droit à cet avantage les années précédentes ont le droit de le conserver." "La radiographie de cette situation est bien évidemment plus importante et l’impact économique sur les clubs sera important, notamment parce qu'il obligera les dirigeants à modifier leurs stratégies" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  3. Yann Sommer a signé et voici les chiffres. Yann Sommer a signé un accord de deux ans avec une option pour la troisième année d'une valeur de 2,5 millions net. Grâce aux concessions garanties par le décret de croissance, cela permettra au club une dépense brute inférieure par rapport à la fiscalité traditionnelle. Au niveau économique et sportif, on peut donc parler d'une belle opération menée par l'Inter qui, avec l'arrivée de Sommer (qui sera probablement rejoint par Emil Audero de la Sampdoria) sécurise le poste de gardien avec un élément de grande valeur et d'expérience, idéal donc pour les ambitions du club Nerazzurri. Traduction alex_j via FCInterNews.
  4. André Onana devrait partir pour Manchester United. Calcio e Finanza nous donne tous les chiffres. La fumée blanche entre l'Inter et Manchester United pour la vente d'Onana est attendue ce lundi selon Sky Sport. Les derniers détails du contrat du joueur avec le club anglais sont en cours de règlement. Il ne manque que le dernier "ok" d'Onana. Concernant les chiffres, Calcio e Finanza nous dit tout. Selon les chiffres diffusés ces derniers jours, le gardien devrait partir pour environ 50 ou 55 millions d'euros plus les bonus. Considérant que le coût brut d'Onana est égal à 1,9 millions euros, après une saison sa valeur nette au bilan est égale à un peu plus 1,55 million d'euros. De plus, le Camerounais étant arrivé à Milan en tant qu'agent libre donc sans frais, ses adieux rapporteraient une plus-value quasi totale au budget des Nerazzurri. S'il était vendu pour 50 millions, la plus-value serait égale à 48,45 millions d'euros, alors que s'il était vendu pour 55 millions, la plus-value passerait à 53,45 millions d'euros. C&F souligne également qu'en cas d'adieu, il y aurait un allégement de la masse salariale de 4,3 millions d'euros en 2023-2024, entre salaire brut et amortissements. Mais ce n'est pas tout. Malgré l'unique saison avec les Nerazzurri, l'Inter aurait quand même dû bénéficier des avantages fiscaux du Décret Croissance pour Onana. Considérant qu'il avait déjà effectué ses tests médicaux bien avant le 30 juin 2022 et qu'il était déjà certain d'arriver en Italie, il est probable qu'il a déménagé avant le 1er juillet (date limite pour être considéré comme résident fiscal pour l'année civile). De même, au-delà du 1er juillet, Onana est également considéré comme résident pour 2023, de manière à couvrir les deux années nécessaires aux concessions. Si tel devait être le cas, la plus-value totale que sa vente générerait serait comprise entre 52,7 et 57,7 millions d'euros. Traduction alex_j via FCInterNews.
  5. C’est la révélation de la Gazzetta Dello Sport, la négociation entre l’Inter et Chelsea pour Romelu Lukaku va rentrer officiellement dans le vif du sujet, après de très nombreux jours où les différentes presses nationales se sont fait plaisir de fantasmer : "L’avocat Sébastien Ledure aura droit à son premier appel officiel, ouvrant la négociation pour le retour du Belge à l’Inter." Des intentions aux fait, "l’Inter rentre en action aujourd’hui et cet après-midi un rendez-vous est fixé avec l’avocat du belge tout désigné pour faire évoluer la situation avec la bénédiction de l’Inter et de Chelsea." De plus, à la suite du déplacement de Piero Ausilio à Londres, il y a trois semaines, les différentes parties ont décidé d’éviter tout face à face mais de "travailler dans l’ombre et le contact entre Ledure et Chelsea aura lieu par téléphone." L’objectif initial est de faire sortir Chelsea de sa tanière en prenant officiellement connaissance de ses exigences: "Chelsea aurait volontiers vendu Lukaku à Al-Hilal pour 50 millions d’euros, mais Lukaku ne voit que l’Inter" et il n’a pas l’intention d’accepter l’offre saoudienne : Le belge a également gentiment refusé l’approche du Milan et n’a jamais eu de contact direct avec la Juventus. Aujourd’hui, Chelsea répètera la base de départ de la négociation : 45 millions d’euros. Dans le même temps, le club anglais prendra connaissance, par l’Avocat, des intentions proposées par l’Inter : Les Nerazzurri se sont convaincus d’aller au-delà du prêt avec obligation d’achat, en proposant une acquisition immédiate du joueur, le tout "fort de la volonté de Romelu qui ne se présentera pas à Cobham le 12 juillet pour le stage de présaison de Chelsea : Il continuera à travailler en Sardaigne." L’Inter compte sur les fonds de la vente d’André Onana qui devrait devenir, d’ici à mercredi, un joueur de Manchester United ; Les Nerazzurri voudrait ne pas aller outre les 35 millions d’euros bonus compris. De son côté, Lukaku est prêt à faire un nouveau pas en faveur de l’Inter en réduisant son salaire annuel d’un million d’euros, lui qui bénéficie encore du Décret Croissance : "Il percevrait à nouveau le salaire de sa première expérience sous Antonio Conte soit 7,5 millions d’euros hors-bonus, soit un de moins comparé à la saison qui vient de se terminerait, ce qui est considéré comme une passe décisive pour l’Inter." De son côté, l’Inter serait déjà active sur la durée de validité du contrat : Romelu dispose d’un accord avec Chelsea jusqu’au 30 juin 2026, l’Inter serait disposer à aller jusqu’au 30 juin 2027, ce faisant le coût d'amortissement annuel serait également plus faible puisque l'achat serait étalé sur une année supplémentaire. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  6. En effet, via la Gazzetta Dello Sport, le célèbre site économique s’est penché sur les coûts salariaux des Nerazzurri au terme de la fenêtre de ce mercato estival Une baisse confirmée Les joueurs qui composent le noyau représentent ensemble 74 millions d’euros net, ce qui se traduit par une masse salariale brut proche des 127 millions d’euros. D’une façon générale, le plafond salarial a diminué en comparaison à la saison dernière, session hivernale incluse, car celle-ci était de 137,3 millions d’euros. Il y a donc une différence d’une dizaine de millions d’euros. Pour établir ce classement, Calcio&Finanza s’est basé sur les statistiques salariales communiquées par la Gazzetta Dello Sport. L’analyse a ensuite intégré les salaires des nouveaux joueurs recrutés cet été, sur base des indiscrétions communiquées par la presse, le tout ajusté également par les chiffres des contrats renouvelés. Pour calculer le salaire brut, Calcio&Finanza a pris en compte l'allégement fiscal prévu via le Décret Croissance, pour tous les joueurs qui peuvent en bénéficier, c'est-à-dire pour les joueurs qui ont été résidents fiscaux hors d'Italie pendant au moins deux ans avant leur arrivée en Serie A (ceux-ci doivent maintenir leur résidence fiscale en Italie durant au moins deux ans après leur arrivée). Lukaku & Brozovic mènent la danse Le joueur le mieux payé du noyau est Romelu Lukaku qui perçoit 8,5 millions d’euros net, celui-ci est de retour après une saison passée à Chelsea. Il est suivi de Marcelo Brozovic et ses 6,5 millions d’euros, via un contrat qu’il a renouvelé au cours de la saison écoulée. Pour compléter le Podium, on retrouve plusieurs joueurs qui perçoivent 5 millions d’euros net, il s’agit d’Hakan Çalhanoğlu, d’Edin Dzeko et de Lautaro Martinez. Chez les "nouveaux" Henrik Mkhitaryan est le mieux payé, il est suivi par André Onana et Francesco Acerbi arrivé sur le gong. Parmi les joueurs qui ont quitté l’Inter, la masse salariale la plus importante dégagée est celle en provenance du duo chilien formé par Alexis Sanchez et Arturo Vidal, qui ont perçu, en contrepartie, une prime de départ à hauteur de 4,5 millions d’euros pour le premier et de 4 millions d’euros pour le second. Les départs les plus importants actés sont ceux d’Ivan Perisic, parti à Tottenham gratuitement et celui de Matias Vecino parti, sur la même base, à la Lazio. Validez-vous cette nouvelle grille salariale ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  7. En effet, si l’Inter continue de négocier pour le renouvellement de Milan Skriniar, son absence de réponse pose à présent question Révélation de la Gazzetta Dello Sport "Dans notre championnat, le joueur en fin de contrat le plus recherché au niveau européen est Skriniar. Le Psg a essayé de l'acheter à l'Inter l'été dernier et il tente maintenant de le sécuriser sans avoir à débourser un seul euro pour son transfert. Marotta et Ausilio ont proposé au Slovaque un contrat de quatre ou cinq ans avec une base fixe de 6 millions nets plus des bonus." Cela suffira-t-il à lui arracher un oui ? "Jusqu'à présent, il n'y a pas eu de fumée blanche, et c'est pourquoi un certain pessimisme commence à se répandre dans le Viale Della Liberazione. La prochaine réunion, prévue dans les deux semaines, permettra peut-être de clarifier la question...Et la question est également de mise pour son collègue, De Vrij, qui s’est également vu offrir un renouvellement de deux ans pour un contrat de 4 millions d'euros net, mais le Néerlandais est suivi par Tottenham et Feyenoord." L’avis de Sky Sport "A l'heure actuelle, c'est devenu un Tormentone. La vérité est que plus le temps passe, plus les choses deviennent difficiles. A présent, le défenseur peut signer un précontrat pour rejoindre un nouveau club en juin pour zéro euros et on peut voir la Tour Eiffel en arrière-plan. L'Inter, cependant, ne se sent pas encore complètement hors-jeu, mais l'optimisme d'il y a quelque temps a considérablement diminué, même si l'espoir existe toujours." "Marotta et Ausilio sont bien conscients d'avoir fait le maximum sur le plan financier. L'offre présentée à l'agent du joueur, Roberto Sistici, est considérée comme définitive : 6 millions par an plus des bonus, soit comme les meilleures joueurs de l'effectif à l'exception de Lukaku qui, en raison du Décret Croissance, reste un cas à part. Marcelo Brozovic, Lautaro Martinez et immédiatement Nicolò Barella présentent des salaires similaires." Est-ce une question de temps ? "Peut-être, mais à la Viale Della Liberazione, il devient impossible d’attendre indéfiniment et tous aimeraient savoir clairement si le moment est venu de tourner la page Skriniar. Dans un tel contexte, il reviendrait alors à Milan d'expliquer son choix qui, il faut le souligner, est légitime dans les deux cas. Car ce serait sensationnel positivement s'il acceptait en rejetant des offres plus riches, mais ce serait aussi compréhensible s'il venait à choisir la voie la moins romantique dans cette histoire." "La balle est dans son camp et il s'est toujours comporté impeccablement jusqu’à présent: Toujours en alerte et totalement concentré sur le présent, Skriniar a déjà porté le brassard de Capitaine à plusieurs reprises. Il a montré à maintes reprises, par le biais des médias sociaux et de ses déclarations, un sentiment d'appartenance... Mais à présent, place à l’épreuve la plus difficile qui allie le monde professionnel et le monde sentimental." Le Saviez-Vous ? "Les discussions devraient être reportées pour après le 18 janvier 2023. En effet, son agent pousse pour percevoir les 7 millions d’euros de base fixe + bonus. Et en l’absence de nouveauté, les deux parties devraient se retrouver après les rencontres face au Napoli mais surtout après la Super Coupe d'Italie qui se tiendra à Ryad face au Milan et qui aura lieu le 18 janvier...." "A voir également quelle sera la réponse apportée sur le terrain par Milan qui retrouvera le Napoli d’ Osimhen dans une défense qui devrait être composée par Bastoni et Acerbi". ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  8. Si l’idée de l’Inter est de parvenir à trouver une voie de sortie pour Joaquin Correa, les derniers échanges avec Marcus Thuram se sont avérés sains et positifs : "Thuram a fait comprendre à l'Inter que porter le maillot Nerazzurro était un souhait, un vœu qui ne s’est pas réalisé lorsqu’il s’est blessé et qui a forcé l’Inter à se diriger vers l’argentin." Comme nous le révèle nos confrères de Fcinter1908.it, l’Inter est également disposée a augmenter son offre salariale: "Un accord existait, et des courriels avec des échanges de documents avaient eu lieu, mais cette blessure, que Thuram n’a jamais digéré avait poussé définitivement à mettre un halte-là à la négociation. En ce qui concerne le contrat, l’Inter a également ses idées très claires. Il y a un facteur important qui joue en faveur des Nerazzurri, le Décret Croissance qui a également rendu possible l'opération Lukaku et qui s'appliquerait aussi, évidemment, à Marcus Thuram." "L'offre de la fumée blanche se situe entre 4,5 et 5 millions d'euros par saison, soit un salaire que l'Inter est prête à offrir au joueur aussi en vertu du fait qu'auparavant, elle aurait dû débourser 20 millions d’euros pour se l’offrir et qu’ici, l’opération pourrait être gratuite au mois de juin. L’Inter, par le biais de Piero Ausilio, donne tout pour Thuram, et le Directeur Sportif Italien fait tout pour avoir la signature du joueur d'ici au mois de février afin d'éviter les surenchères." "Des premiers signes positifs sont aussi arrivé par le joueur et une nouvelle rencontre est programmée après la Coupe du Monde" ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  9. Écarté du noyau par Simone Inzaghi pour la saison à venir, Alexis Sanchez semble avoir enfin compris le message. Si l’offre de l’Olympique de Marseille semble le séduire, son avenir ne sera plus lié au Monde Nerazzurro Confirmation de Gianluca Di Marzio Racheté à l’été 2020 à Manchester United, Alexis Sanchez représentait, selon Calcio&Finanza, un coût historique de 500.000€ avec un contrat qui arrivait à échéance au 30 juin 2023. Dans le budget 2020/21, l'amortissement s'élevait à 155.000 euros, pour passer à 172.000 euros pour la saison 2021/22 : Au 30 juin 2022, la valeur du joueur au bilan du chilien était donc d'environ 172 000 euros. Le salaire du joueur, selon les rumeurs, représentait approximativement 7 millions d'euros nets, soit environ 9,2 millions d'euros bruts grâce aux effets du Décret Croissance. Avec l’accord à l’amiable de la résiliation de son contrat, l’Inter devrait enregistrer une très faible moins-value vu la valeur du joueur sur ses comptes : Juillet décompté, il ne représentait plus que 160.000€. Toutefois, l’épargne la plus importante est relative à son salaire : En considérant le mois de juillet du point de vue salarial et de l'amortissement minimum, les économies par rapport à l'exercice budgétaire 2022/23, comparé à l'exercice budgétaire 2021/22, seraient d'environ 8,5 millions d'euros : 8,4 millions de salaire brut et 160.000€ d’amortissements. Pour contrebalancer cela, il faut également tenir compte de la prime de départ dont bénéficiera Sanchez : Le Chilien aurait rejeté la première proposition de 4 millions nets (soit environ 5,2 millions d'euros bruts en considérant le Décret Croissance), également parce que l'enjeu serait une part du salaire de la saison 2019/20 étalée sur les années suivantes. En conclusion Pour que le départ de Sanchez soit positif budgétairement parlant, il faudrait que l'indemnité de départ soit inférieure à 6,5 millions d'euros nets (8,5 millions d'euros brut) car au-delà l'opération globale entraînera des coûts plus élevés pour l'Inter par rapport à la saison 2021/22. Comme le rapporte également La Gazzetta Dello Sport, l'agent Fernando Felicevich est attendu aujourd'hui au siège de l'Inter pour mettre sur papier l'accord de résiliation consensuelle et définir l'indemnité de départ de l'attaquant chilien. Qui va chercher la bouteille ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  10. L'information est tombée hier soir: Arturo Vidal a été remercié avec une indemnité de départ, ce qui permet à notre Beneamata de réduire ses coûts et de dire au revoir à l'une des recrues les plus lourdes financièrement parlant de l'équipe. Le communiqué officiel du club "Le FC Internazionale Milano annonce qu'un accord a été trouvé pour la résiliation consensuelle du contrat du milieu de terrain chilien Arturo Vidal. Le club tient à remercier Arturo pour ses deux années avec les Nerazzurri, couronnées par la victoire de trois trophées". Révélation de Calcio&Finanza "A partir de la saison 2022/23, l'Inter économisera le salaire du joueur, qui, selon les rumeurs de la presse, devait atteindre 9,5 millions d'euros nets l'année prochaine. L'économie en terme de brut, compte tenu de l'allègement fiscal prévu par le Décret Croissance sera proche de 12,45 millions d'euros sur le budget 2022/23." "Toujours selon la presse sportive, Vidal a perçu une indemnité de départ de 4 millions d'euros, suite à la rupture anticipée de son contrat de travail, une somme qui sera imputée au budget 2021/22 et qui se traduira en brut par 5,24 millions d'euros. Cette somme doit s'ajouter au salaire déjà perçu par le Chilien qui était de 6,5 millions nets (soit 8,52 millions bruts)." "À cela, il faut ajouter une dépréciation de 750 000 euros, soit ce que représentait Arturo Vidal sur le bilan du 30 juin 2022." Pour faire simple, Vidal aura coûté à l'Inter 14,49 millions d'euros en brut pour l'ensemble de la saison 2021/2022. Alors que pour la saison prochaine et pour le budget 2022/23, il y aura encore une économie de 12,45 millions d'euros sur le salaire brut total Arturo aura toutefois rendu service, lui qui part avec 1 Scudetto, 1 Coppa Italia et 1 Super Coppa Italie! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
  11. Gianluca Di Marzio s’est livré dans les studios de Sky Sport suite au retour de Romelu Lukaku à l’Inter "Accord trouvé, l’officialisation arrivera dans quelques jours. Tard cet après-midi, un accord a eu lieu : Prêt sec de 8 millions d’euros + 4 millions d’euros de bonus lié à la Victoire du Scudetto et non plus aux objectifs internationaux : Chelsea a obtenu que les bonus soient liés seulement au Titre en Italie qui est plus facile à remporter que la Ligue des Champions." "Le joueur réalisera sa traditionnelle visite médicale la semaine prochaine et percevra 8,5 millions d’euros net, avec le Décret Croissance, cela revient à un peu moins de 12 millions d’euros bruts, soit une réduction de 25-30%. En fin de saison, les parties ont convenue de se revoir et un nouveau prêt pour la saison 2023/2024 n’est pas à exclure. La somme pour racheter Lukaku sera sans l’ombre d’un doute bien plus basse." Vendu 115 millions d’euros, repris pour 8 millions d’euros + bonus, comment qualifier le travail réalisé par Giuseppe Marotta et Piero Ausilio ? Exprimez-vous! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  12. Au cours de son éditorial pour TMW, Tancredi Palmeri, s’est livré sur la double opération liant l’Inter au belge et à l'argentin: "Lukaku et Dybala peuvent facilement arriver à l'Inter sans que l'Inter ne vende Lautaro." "Si Lukaku arrive avec son demi-salaire, un geste jamais vu dans l'histoire du football pour un joueur de ce niveau, de cet âge, on pourra dire que cela équilibre le retournement de veste de la saison dernière, car il percevrait exactement ce que l'Inter aurait offert à Ivan Perisic en brut net du Décret Croissance. Toutefois, cela reste très difficile pour Lukaku, qui n'a toujours pas parlé à qui que ce soit à Chelsea, qui n'a écrit nulle part pour demander un prêt gratuit. Et si Romelu souhaite revenir, il devra le faire avant le 30 juin pour être dans les clous du Décret Croissance. Cette fois-ci, il négocie sans son agent Federico Pastorello." "Si Dybala arrive, la Joya percevra 25 % de moins que ce que percevait ensemble Arturo Vidal et Alexis Sanchez. Donc Lukaku et Dybala peuvent très bien rejoindre l'Inter sans que Lautaro Martinez soit vendu. Ce qui ne veut pas dire que Lautaro Martinez ne sera pas vendu : s'il part, ce ne sera pas pour faire de la place à un joueur, mais parce que l'Inter sera dans l’obligation de le vendre." "Reste à voir si Marotta parviendra à obtenir de Fabio Paratici les 70 millions d'euros nécessaires pour la cession de Bastoni. Celui-ci n’ayant aucune envie d’équilibrer les comptes de l'Inter, contrairement à ce qu'il a fait avec Kulusevski et Bentancur à la Juve". Le Saviez-Vous ? "Je sais que c'est une chose courante à dire, mais c'est l'une des décisions les plus difficiles que j'ai dû prendre dans ma carrière. Et j'ai décidé de réaliser mon rêve de jouer en Premier League, maintenant je suis prêt pour les Spurs." Perisic avait déjà son contrat avec Tottenham en main depuis fin avril. Même si l’Inter avait proposé une offre similaire, il ne serait pas resté. De son côté, la Juve a tout simplement perdu son temps ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  13. Un rêve fou, fou mais réaliste : Former le duo Dybala-Lukaku et l’Inter y pense très sérieusement pour la Gazzetta Dello Sport : "La Direction Nerazzurra tente d’évaluer comment mettre sur pied une opération qui s’annoncerait retentissante" Acte I : Vendre "La différence entre céder un ou deux Top Players passera aussi par l’éventuel trésor qui pourra être disponible en provenance des nombreux joueurs en prêt : Il ne faut pas oublier Stefano Sensi, Andrea Pinamonti, Sebastiano Esposito, en passant par Zinho Vanheusden, Dalbert, Valentino Lazaro , Eddie Salcedo, Lorenzo Pirola, et Michele Di Gregorio, il y a de la marge pour récolter une somme intéressante ou pour faire usage de ces derniers en les insérant pour obtenir des contreparties intéressantes." "Le sacrifice de l’un ou l’autre Top permettrait aussi de tailler sérieusement la massa salariale. Aussi bien Lautaro Martinez qui perçoit 6 millions d’euros net plus bonus et Stefan De Vrij qui perçoit à peine 4,2 sont les deux candidats pour être vendu, mais seulement en cas d’offres incongrue : Soit pas moins de 80 millions d’euros pour le Toro et 20 millions d'euros pour l’hollandais." Acte II – La Masse salariale "Pour faire place à ce duo, il est nécessaire aussi de tailler dans la masse salariale. Depuis le départ de Christian Eriksen, le plafond salarial sera allégé par les salaires insoutenables d'éléments qui ne font plus partie du projet: Le contrat de Matias Vecino qui perçoit 2,5 millions d’euros va expirer. Arturo Vidal, pour sa dernière année de son contrat aurait dû percevoir jusqu'à 9,5 millions d'euros, mais il existe une indemnité de départ de 4 millions d'euros qui permettra au club d'économiser considérablement sur son salaire brut." "Cette échappatoire n’existe en revanche pas pour Alexis Sanchez a qui il reste encore une année de contrat à hauteur de 7 millions d’euros, avec toutefois un salaire brut de 9 millions d’euros amorti va le Décret Croissance, il ne sera pas facile de le convaincre de faire un effort." Acte III – L’effort Paulo Dybala et Romelu Lukaku devraient aussi faire un effort : "Les 10 millions d’euros que Dybala demandait à la Juve sont inconcevables, mais s'il acceptait 7 millions d'euros, cela ouvrirait une fenêtre de tir. Avec Lukaku, en revanche, le saut mortel serait triplement plus important : Big Rom touche actuellement 12,5 millions d'euros par saison. S'il ne s'approche pas de son ancien salaire Interiste de 7,5 millions d’euros, aucune marge de négociation ne lui sera possible." Acte IV – Le Chef d’œuvre du Padrino selon Sport Mediaset Giuseppe Marotta et Piero Ausilio ont l’intention de recruter Paulo Dybala sans devoir toutefois sacrifier Lautaro Martinez, voici le plan stratégique mis en place par le duo Nerazzurro selon Marco Barzaghi, journaliste à Mediaset: "L’Inter veut éviter un sacrifice important : Stefan De Vrij sera probablement vendu s'il ne renouvelle pas son contrat. A la Viale Della Liberazione, ils essaieront de percevoir des sommes via les prêts en cours et des jeunes seront sacrifiés. Toutefois, l’Inter ne veut plus vivre le même été que la saison dernière." "Marotta et Ausilio ont l'intention d'arriver à Dybala sans sacrifier Lautaro : il y a eu de nouveaux contacts avec la Joya: L'Inter lui a demandé d'attendre, en proposant sur la table un investissement de plus de 100 millions sur 5 ans. Dybala, s’il attend l’Inter se verra récompensé par un salaire de 8 millions plus 2 millions de bonus. Même s’il y a un intermédiaire international bien connu qui propose Dybala autour de lui, celui-ci a déjà refusé plusieurs fois la Premier League." Croyez-vous la Beneamata capable de proposer une ligne d’attaque composé, à minima de Romelu Lukaku, Paulo Dybala, Edin Dzeko... ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  14. Récemment, la Gazzetta Dello Sport est revenue sur le futur d’Antonio Conte, parti avec fracas de l’Inter et recruté par les Spurs de Tottenham. Toutefois, et même si son contrat échu en juin 2023, l’ancien sélectionneur national pourrait déjà quitter la Premier League cet été Un Conte-bis à l'Inter pour la Rosea ? “Les rumeurs selon lesquelles Antonio voudrait revenir à la Maison sont d’actualité, par la Maison, il faut comprendre la Serie A. Cette suggestion porte à prendre en sérieuse considération un retour immédiat à la Base, soit l’Inter." "Le poste de Simone Inzaghi est mis en discussion et pour l’environnement interiste, la candidature de l’Homme-Scudetto ne ferait l’objet d’aucune remise en question. Cela étant dit, l’Inter devra programmer un programme futuriste équilibré d’un point de vue financier. C’est une chose de faire face au 4 millions d’euros de Simone Inzaghi, c’en est une autre de faire face au 12 millions d’euros de Conte." "De plus, un retour immédiat en Italie ne lui permettrait pas de disposer des privilèges accordé par le Décret Croissance. Il est donc trop tôt pour en tirer des conclusions mais la panoramique confirme toutefois que la candidature la plus plausible pour un retour de Conte dans notre championnat se retrouve à l’Inter…A moins que se présente pour lui une opportunité de premier plan à l’étranger comme celle du Paris-Saint-Germain." Lukaku, Conte, il reste plus qu’Achraf Hakimi et le compte est bon ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  15. Giuseppe Marotta est un expert en la matière, et celui-ci a parfaitement bien cerné le "point faible" de l’Inter cette saison : Son rempart offensif. Si Edin Dzeko répond plus que présent, les "autres" laissent à désirer Révélation de la Gazzetta Dello Sport "L’Inter veut continuer à grandir et à élever le niveau. Le duo Marotta-Ausilio pense à une rénovation de son attaque en été, qu’il considère comme le secteur le moins européen comparé à tous les autres: Il est logique de penser que le rempart offensif de l’Inter puisse changer de visages, au pluriel, car ils seront au moins au nombre de deux. En balance, on retrouve surtout Alexis Sanchez dont une décision sera prise plus tard dans le temps. Il faudra aussi et surtout raisonner sur Lautaro Martinez, surtout en cas d’offre vertigineuse de l’étranger." "Le premier nom sur la table des dirigeants est celui de Gianluca Scamacca, joueur de Sassuolo qui fera l’objet d’une observation particulière ce dimanche : Marotta et Ausilio l’ont défini comme l’objectif prioritaire de la prochaine saison. Avec Sassuolo, il y a des rencontres périodiques : Le joueur a déjà donné sa priorité aux Nerazzurri en refusant la cour du Borussia Dortmund en janvier. L’équipe Nerazzurra est dans une pole position indiscutable : Marotta et Ausilio avaient aussi songé à le recruter, durant une journée, immédiatement à Milan cet hiver, mais ils n’étaient pas parvenu à mettre en place la négociation." "Mais le fait est que Scamacca, à présent, ne suffit plus pour réaliser le saut de qualité européen : Il faudra plus que probablement recruter un autre attaquant qui évoluera aux côté du romain: La solution idéal serait Paulo Dybala dont il est inutile de s’exprimer. L’Inter est plus qu’attentive à la situation entourant l’argentin et la Juventus." "A la fin du mois, le club bianconero rencontrera son agent, Antun, de cette rencontre, beaucoup de choses en découleront. Marotta est prêt à intervenir dès que la fumée noire sera de sortie : Le salaire proposé serait celui octroyé à Alexis Sanchez, mais sans disposer des avantages du Décret Croissance dont bénéficie le chilien." "L’autre nom qui tient en haleine les Nerazzurri est celui du canadien évoluant à Lille : Jonathan David, né en 2000, il est l’héritier d’Osimhen dans le club français. Ce n’est pas une nouveauté qu’il est suivi par les scouts de l’Inter, il était déjà observé lorsqu’il évolué à Gand, club dans lequel l’Europe l’a remarqué. A présent son prix a changé : Il faudra débourser 50 millions d’euros dans une place connue pour être historiquement cher." "Sur le canadien, on retrouve la moitié de l’Europe dont le Fc Barcelone, l’Ac Milan, et la Premier League. Son agent Nick Mavramaras a d’ailleurs déclaré, il y a un mois : "Il va très certainement quitter Lille en fin de saison." Si l’investissement est onéreux, Jonathan David représente justement un profil qui manque dans l’organigramme offensif de Simone Inzaghi : A savoir un attaquant capable de d’attaquer la profondeur." Selon vous, mis à part Edin Dzeko, le rempart offensif Nerazzurro va-t-il intégralement changer ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  16. Giuseppe Marotta s’est livré à cœur ouvert sur le parcours de sa carrière et sur son avenir, avec et sans, l’Inter au Festival du Sport La victoire du Scudetto "Le 2 mai, nous l’avions mathématiquement remporté. Lorsque j’ai entrepris cette aventure, l’objectif était de ramener la Coupe à la maison. C’était une libération après tant de difficultés." Le moment clé du championnat remporté "Contre la Juve, nous avions compris que nous serions protagoniste : Nous étions le chasseur, puis le lièvre, et nous avions pris conscience que nous pourrions aller très loin." Le Championnat et la Ligue des Champions "La différence entre la Serie A et la Ligue des champions est que le second doit être un tournoi où tu es dans les meilleures conditions : Les victoires en Ligue des Champions ne sont pas toujours celles des équipes les plus forte, tandis qu’en Championnat, c’est l’équipe la plus forte qui le gagne. Le Giro n’est pas Milan-Sanremo. Le jour de notre élimination, il y avait tant d’amertume, mais nous l’avons concentré sur l’objectif Scudetto." Les difficultés financières et le départ d’Antonio Conte "La décision finale est le fruit des échanges des jours précédents. On n’entrevoyait plus un parcours commun, mais cela fait partie du sport et de la vie : Si une personne décide d’interrompre tout rapport, il est important de respecter sa décision et de regarder devant soi avec optimisme. Dirigeants, joueurs, entraîneurs passent, mais le club reste. Nous avions besoin d’aller de l’avant en ayant, ici, la conscience d’être un grand club et nos professionnels ont remporté le Scudetto avec un très grand mérite." Le choix de Simone Inzaghi "La décision de Conte n’était pas si prévisible, celle nous a un peu surpris et nous avions dû agir rapidement en définissant le meilleur profil . J’ai décidé de miser sur un entraîneur jeune qui avait déjà derrière lui un parcours important: Il était en pleine négociation avec la Lazio et l’opportunité s’est présentée : En lui soumettant notre projet et son sérieux, il nous a immédiatement suivi, et nous sommes reparti de là. Nous venions de recruter un entraîneur capable de se calquer sur le dispositif tactique de Conte, afin de ne pas devoir le modifier, même s’il y allait y avoir d'autres changements." Le malaise d’Eriksen "C’était un moment dramatique pour une personne que je connaissais et qui risquait de mourir, là aussi les informations nous sont parvenues rapidement. Le Professeur Volpi s’était mis immédiatement en contact avec les médecins qui étaient allé sur le terrain, pour avoir un premier diagnostic suite à ce qu’il s’était passé. Encore aujourd’hui, nous sommes dans une phase d’hypothèse, mais la chose la plus belle est que le joueur avait donné des signes de réveils. La nouvelle la plus belle est qu’il continue à vivre, au-delà du vide laissé à l’intérieur du vestiaire, qui est d’une importance relative. En ce moment, c’est difficile d’émettre des hypothèses, nous attendons l’évolution de la situation. Nous évoluerons la situation au moment opportun." Lukaku "L’expérience me fait dire qu’il faut toujours se préparer aux imprévus. Lukaku a manifesté son intention d’être transféré à Chelsea. Devant une situation de ce type, tu ne peux qu’accéder à sa demande. Il y a eu, à ce moment-là un début de négociation avec le club qui le désirait aussi, c’est comme cela que nous avons agi. Nous avons établi notre prix et pensé aux alternatives. Ce sont des dynamiques qui peuvent arriver dans le football. Je ne me suis pas senti trahis ou contrarié, j’ai évalué l’opportunité comme celle de pouvoir injecter une somme importante pour les caisses du club. Nous avons fait valoir notre requête économique et nous avons réalisé une belle opération." L’option Vlahovic et le choix de Dzeko "Dzeko était un choix prioritaire, nous avions déjà tenté notre chance l’année dernière : Il disposait d’une promesse de la Roma pour être libre gratuitement en cas de demande. Notre demande est arrivée et le sérieux de nos entretiens a facilité la définition de la négociation." "Je considère Vlahovic comme un grand talent, il y a une différence entre talent et champions. Nous nous sommes retrouvé dans une situation de négociation engagée. Nous n’étions dans les conditions, même si j’avais imaginé miser sur deux attaquants : Le premier était Dzeko, le second Vlahovic. Un était prêt pour l’immédiat, l’autre pour le futur. Cela aurait été le mieux, et je suis content de ce qu’offre Dzeko." Les difficultés financières "La pandémie a accéléré le processus: L’Inter, le Milan et la Juventus ont perdu, globalement, un milliard d’euros: Cela signifie que le modèle actuel ne te donne plus de garantie sur la continuité." "Il faut trouver des remèdes, car je dois dire qu’il n’est pas juste de toujours dépendre des augmentation des capitaux en provenance des actionnaires. Le football romantique du mécénat est révolu, nous besoin d’arriver à un modèle différent. La Famille Zhang a injecté 700 millions d’euros environs et c’est normal de revoir, tôt ou tard les conditions économique." "Le travail du Management est celui de concilier les objectifs sportifs et l’équilibre financier. Par le biais de ces deux opérations nous sommes désormais chanceusement serein, nous pouvons donc poursuivre les objectifs préfixés déjà l’année dernière étant donné que l’ossature est restée et que ceux qui sont arrivés nous donnes satisfactions. Il faut savoir contenir les coûts et faire comprendre aux joueurs que nous traversons une période de grande difficultés : Revoir les salaires est fondamental pour parvenir à un équilibre." Y-aura-t ’il des ventes importantes à l’avenir ? "Je peux les exclure, je tiens à rassurer nos Tifosi : l’Inter existera dans le futur aussi, la compétitivité est garantie. Ce n’est pas celui qui dépense le plus qui l’emporte toujours, il existe un patrimoine de ressources humains connu de tous qui n’est pas mis en lumière, une équipe invisible qui se trouve derrière ceux qui sont sur le terrain le dimanche : Si cette équipe est forte, tu peux allez très loin, et cela va bien au-delà de ton nom et des joueurs." Est-ce possible de voir un nouveau partenaire arriver au Club ? "Ce sont des évaluations qui doivent être analysées par l’actionnaire. Par expérience, je dis toujours qu’un club doit rester dans les mains d’une famille, d’une entreprise. Le fait de devoir vendre une partie des actions des fins d’un actionnariat minoritaire existe, mais je ne pense pas que cela soit la meilleure façon pour résoudre les problèmes car l’impact d’un partenaire minoritaire ne te garantit pas le changement de modèle radical, ce ne serait qu’un bien-être momentané." "Il est nécessaire d’identifier un modèle de soutenabilité et de sécurité de référence, vous l’obtenez si vous disposez d’un projet. Nous sommes parvenus à reprendre notre projet et à le remettre sur les rails. Nous avions des choix difficiles devant nous car nous avions décidé d’engager Conte tout en continuant à rémunérer Spalletti qui avait encore deux ans de contrat, mais nous l’avons fait car la consigne de notre priorité était de gagner." "Tu construis une équipe conquérante si tu as une vision précise et si l’équipe a conscience de faire face à un objectif, qu’elle dispose d’une vision du futur. Nous avons construit nos victoires en nous basant sur la force de nos hommes et le mérite en revient principalement à Conte qui a transmis des valeurs qui représente un patrimoine. J’ai en tête Marchionne qui déclarait qu’un Manager avait deux grands droits: Le droit de choisir des valeurs et choisir des hommes. Si tu en disposes, l’aspect économique est relégué au second plan car tu traverses un moment de difficulté que tu sauras le surmonter en te basant sur les valeurs que tu portes avec toi. Et nous en avons connu des difficultés." Les contrats des joueurs "Les joueurs ne l’ont peut-être pas bien compris, car ils vivent dans un monde doré. Ils gagnent tellement qu’ils ne sont pas habitués à faire face aux problématique familiales qui sont vécu quotidiennement : Ce sont des garçons très jeunes qui doivent être éduqués. Les réponses ont été d’un côté positive, et d’un autre coté négative, à nous de les former, de leur donner cette culture." "Il y a eu une prise de conscience de la part des joueurs, mais le drame a davantage été vécu dans le contexte de préserver sa propre santé. Néanmoins, nous avons respecté les contrats des joueurs: nous les avons tous payés, nous n’avons pas obtenu un euro de ristourne, mais nous l’avons fait eu égard aux performances réalisées lors de la saison 2019/2020 et de cette dernière années. Nous avons décidé, après une discussion courtoise avec les joueurs de ne pas les pousser trop fort à faire quelque choses qu’ils ne se sentaient pas capable de faire." Un message d’Adriano Galliani est arrivé "Nous avons été victime ensemble du Covid, il était dans un état bien pire que le mien. Lorsque des choses de ce genre arrivent, tu apprécies encore plus les valeurs de la vie et tu apprécies le fait d’être là, c’est valable aussi pour lui qui a quelques années de plus. L’autre jour au Meazza, il m’avait raconté qu’il s’énervait toujours lorsqu’arrivait un résultat négatif. Dernièrement Monza avait perdu 3-0 à Lecce et il avait vécu une soirée en toute insouciances, c’est le revers de la médaille de ce que nous avons connu. Je peux aussi m’énerver mais j’affronte la vie avec une vision différente. Dans le football, il faut toujours donner le maximum, mais la culture de la défaite est utile. Au mieux tu la maîtrises, au mieux tu vis." Un message de Simone Inzaghi arrive aussi "C’était l’un de mes joueurs à la Sampdoria, je le remercie aussi lorsqu’il me dit que je suis très visionnaires. Je suis principalement amoureux de mon travail, je l’avais fait aussi par hobby et ensuite, c’est devenu mon travail depuis 45 ans. Je me suis toujours plus appliqué à rester humble et respectueux, tout en ayant l’ambition de toujours vouloir gagner." Un dernier message arrive en provenance de son frère Salvatore. "Cela me fait me rappeler de mon adolescence où j’’étais déjà malade du Calcio et où j’écoutais à la radio "Tutto il calcio minuto per minuto". J’aimais imiter les chroniqueurs." La prolongation de Barella "C’est l’un des cas qui de talent est devenu Champion. J’ai eu à faire à Cassano que je viens de rencontrer à l’Hôtel, je lui ai toujours dit qu’il n’était jamais devenu un Champion. Le talent est inné et fait partie de son ADN. Encore aujourd’hui je n’ai pas revu de joueurs potentiellement plus fort que lui, mais celles-ci n’ont jamais été accompagné de qualités humaines, d’un comportement sérieux, discipliné, d’une vision de la vie et de la professions. Il a la conscience d’être resté un joueur qui n’a pas atteint le top niveau." "Barella a confirmé déjà à Cagliari et à présent à l’Inter que je suis devant un champion et il est juste de le gratifier économiquement pour ce qu’il réalise. Ce n’est pas une prolongation mais une reconnaissance adaptée à un style de joueurs important qui font partie de l’Inter. Nous en reparlerons dans les prochaines semaines. Nous ne devons certainement pas le laisser s’enfuir et ce sera si beau qu’il devienne notre prochain Capitaine. C’est une qualification qui ne s’offre pas, tu dois démontrer avoir des qualités de leader." "Piero Volpi, le médecin de notre Club a toujours été le Capitaine dans les équipes de football car c’est un Leader : Barella peut commencer à le devenir." Cassano et Gheddafi à la Sampdoria "Il n’y a pas de mots, c’était une expérience sympathique, très belle aussi, mais je devais toujours rester très attentif à ce qu’il se passait." Les objectifs de la saison "Les attentes de tous sont de nous voir comme celui à battre, un rôle que nous sommes heureux d’endosser : Nous sommes l’Inter et nous devons placer la barre très haut, mais vu que nous sommes dans un sport d’équipe, nous avons besoin aussi d’évaluer nos propres capacités tout comme celle des adversaires avec qui nous luttons." "Il peut arriver que certaines années tu investisses 100 millions, mais que les autres investissent 150 millions ou qu’ils parviennent à réaliser des opérations plus importantes et s’en retrouvent plus fort. Nous sommes dans une saison qui ne comprends pas qui est le plus fort: Le Sheriff a six point et il l’a emporté à Madrid. Dans le Championnat il y a les fameuses sept sœurs avec le Napoli comme équipe gagnante. Je crois qu’il est bien prématuré de procédé à une évaluation sur ce qui s’avèrera définit en mai. Je tiens toujours à la culture de la victoire." "Je prends toujours en considération ceux qui ont la culture de la victoire la plus forte, donc la Juventus et le Milan. Naples a clairement un grand mérite, mais gagner est toujours quelque chose de difficile et qui va au-delà de qu’une équipe propose et met en pratique : Il y a des valeurs qui s’acquièrent avec le temps, il n’y a pas que le seul choix de l’équipe." "Tu dois prendre en considération tous les aspects complémentaires, si tu réussi à améliorer la qualité des terrains, des médecins, tes physiothérapeute, de l’alimentation, tu l’emporteras certainement plus facilement." Osimhen "C’était une opération très onéreuse, et ce n’est pas un inconnu, les circonstances nous ont amené à suivre une route plutôt qu’une autre." Son arrivée à l’Inter, les cas Nainggolan et Icardi "Je ne tiens pas à critiquer celui qui a géré cela avant moi. Icardi était sincèrement un grand talent, il était devenu un joueur optimal en étant investi d’une responsabilité dont il n’était pas encore en capacité de recouvrir, je me réfère au brassard de capitaine. Lorsque je l’ai connu, il se comportait bien avec moi, mais il y a eu des évaluations qui différaient. Je dis toujours que la vision que vous devez avoir se doit d’être précise. L’entraineur et le club procèdent à des évaluations et il a été évalué qu’il devait y avoir une équipe avec des valeurs à respecter." "Conte les a d’ailleurs interpréter de la meilleur des façons.: Il nous a laissé quelque chose d’important, il a posé les fondations et c’est tout aussi vrai que nous avons recruté un entraîneur qui a de grandes qualités, certains aspects sont essentiels." L’arrivée à l'Inter en provenance de la Juventus "Je suis resté émerveillé par la rapidité dont tout cela s’est produit. Dès le lendemain de mon départ, Steven Zhang m’a écrit un message en m’invitant à une réunion avec lui. Je voulais forcément me reposer, mais j’ai saisi directement cette opportunité. Je laissais la Juve et je trouver l’Inter, nous étions à armes égales. Je me suis lancé dans ce métier avec des caractéristiques que j’ai en moi depuis plus que quarante ans et qui se sont toujours enrichie dans chaque club." "L’expérience est une autre caractéristique importante dans le vie de tous, surtout dans le milieu professionnel. A 24 ans, à Varese, j’ai perdu un championnat d’une façon retentissante, alors que si je reviens en arrière, ce tournois, nous l’aurions remporté avec 15 points d’avances." La conscience d’avoir tant gagné te permet d’affronter les difficultés avec une grande détermination. C’est ainsi que je me suis relancé en illustrant mon projet à l’Inter, un projet que le club a épousé, c’était un projet difficile car il consistait à laisser Spalletti à la maison et prendre Conte allait demander du courage." La méfiance initiale à l’égard de l’environnement "Le Derby d’Italie apporte avec lui une grande rivalité. Je n’ai jamais connu de grande difficulté car je suis toujours parvenu à m’accorder avec les personnes, j’ai rencontré un club préparé, composé de bonnes personnes qui avait besoin de nouvelles motivations." Ses débuts "J’ai terminé le Liceo Classico et j’ai commencé à Varese. Certains faits de la vie m’ont ouvert la voie à suivre, je suis devenu directement Directeur Sportif car le précédent avait été victime d’une blessure et le Président m’avait demandé si je me sentais capable d’occuper un tel poste." Le poster de Rivera lorsqu’il était jeune "Je m’identifie à lui, j’ai été footballeur durant une courte période, j’ai arrêté car je me rendais compte que j’avais quelques limites, je me considérais perdu. Mais j’ai joué jusqu’au niveau des Primavera et j’occupais le même poste que Rivera. Il y avait une émulation, je voulais l’imiter comme footballeur. Mon rêve, depuis ma plus tendre enfance était de devenir un dirigeant, ma première expérience fut un oratoire. C’était la première étape de ma profession de dirigeants, je commençais aussi à organiser des toujours à comprendre le sens de la compétition, de la victoire, C’est à partir de là que j’ai commencé mes activités et que j’ai rangé mon poster de Rivera." Son surnom: le “Jeune Kissinger" "Il m’a été attribué par Colantuoni, qui me disait de l’appeler Avocat car pour devenir Président, il fallait une signature et pour devenir avocat, il avait dû passer trois diplômes. Je considère la diplomatie comme une vertu qui ne cache pas derrière un aspect décisionnel très fort. Décider n’est pas simple. Tu peux également devenir un leader sans devoir imposer ton timbre de voix, mais en faisant ressortir ta force intérieure : Pirlo était un leader silencieux. Il avait une si grande valeur dans le vestiaire et cela venait de sa communication non-verbale." Pensez-vous pouvoir confirmer à nouveau la victoire du Scudetto ? "Absolument, notre objectif est la seconde étoile." Le prêt de Recoba au Venezia "Gagner à Venise était si beau, j’habitais dans la région de Carampagne, j’allais au siège et cela avait une valeur inestimable. En plus tu gagnes un championnat et tu te sauves en recrutant Recoba, et je vais vous dévoiler le comment : A l’époque j’étais plus conditionné qu’aujourd’hui. Avec Zamparini, j’avais songé à Orlandini, j’avais appelé Oriali qui était le Directeur Sportif et nous nous organisions pour le contrat." "Il m’avait appelé et il m’avait dit que Tanzi avait été échangé avec Giusti. A ce moment-là, Regalia qui était un grand Manager m’avais appelé et j’en avais profité pour lui parler. Il m’a dit qu’il avait observé Recoba la veille, j’avais rappelé Zamparini pour lui dire que je ne voulais plus viser Orlandini mais que je songeais à un objectif encore plus important : Recoba. J’ai négocié et conclu avec Mazzola, je ne l’avais vu qu’en coups de vent, mais il nous a littéralement porté au maintien." A quel point étiez-vous proche de l’Inter de Pellegrini ? "Je l’ai rencontré une fois, l’alternative était moi ou Dal Cin. Je me souviens toujours d’une particularité avec Pellegrini : Je me suis toujours dit que si j’étais arrivé déjà à l’Inter à ce moment-là, que je me serais brûlé les ailes, tu dois embarquer dans le train au moment opportun. Âgé de 25 ans, je me serais perdu à l’Inter, je n’avais pas la connaissance que j’ai actuellement. J’ai fait un parcours graduel: De la province aux grandes provinces, de la Juventus, à l’Inter, C’est un parcours chanceux." Un regret sur le mercato ? "Il y en a tellement, le dernier est que j’avais eu l’opportunité de prendre Haaland pour deux millions d’euros. Parfois, tu as besoin d’avoir la volonté de miser sur un budget supplémentaire : Si c’est un champion, tu as besoin de le recruter. C’est ici qu’intervient la créativité financière pour réaliser des opérations, nous aurions pu l’avoir pour rien, et il est actuellement l’un des joueurs parmi les plus important au monde. A présent, il ne peut plus venir en Italie." "En 2000, il y avait dans le top 10 des meilleurs chiffres d’affaires cinq équipes italiennes, aujourd’hui, il ne reste que la Juventus. Nous avons un grand retard sur la Premier League. Aujourd’hui, nous sommes devenu un championnat de transition: Regardez Lukaku, nous sommes dans une réalité qui te porte à gouîer aux Champions qui, une fois leur position renforcée, cherchent à obtenir de meilleurs salaires ailleurs." "Nous sommes obligé de faire preuve d’ingéniosité, nous avons travaillé avec Ausilio sur cette vertu, cela va aussi de pair avec la Nazionale qui nous a offert de grande satisfactions. L’Italie met toujours en vitrine de grands entraîneurs et des grands joueurs. Nous avons besoin d’avoir la force les faire mûrir en équipe première, et ici doit entrer également la culture de la défaire. "Les joueurs qui se font siffler se font brûler les ailes et c’est quelque chose qui doit être combattu. L’Espagne a montré l’exemple avec ses jeunes sur le train. Aujourd’hui le Tifoso est plus ouvert et plus compréhensif vis-à-vis des difficultés du clubs. Dans notre cas, lorsque Conte et les joueurs sont parti, il y a eu un dialogue avec la Curva et nous leur avons fait comprendre que c’était pour le bien de l’Azienda. Ils l’ont compris et nous sommes toujours restés proche, ils nous sont toujours soutenu et c’est un très bel exemple de ce que doit être le rapport entre les Tifosi et le Club." Ronaldo à la Juve "J’avais fait part de mon évaluation, tout le monde aurait voulu s’offrir Ronaldo, je l’ai connu six mois avant mon départ. J’apprends toujours des champions, même comme dirigeants. Il a une culture du travail maximale, il est très soigneux sur sa propre condition physique et caractérielle. Toutefois, il devait être contextualisé et selon moi, cela passait aussi par des évaluations économico-financière : Mais j’entretiens encore aujourd’hui un grand rapport cordial avec la Juventus." Choisissez vos meilleurs acquisitions lors de votre carrière, poste par postes "J’avais recruté Rampulla de Pattese et je le conserve pour des raisons affectives. J’en ai trouvé un comme Buffon par exemple. J’ai vendu Taibi à United et c’était un flop, au final il n’était pas prêt. En défense, Bonucci fait preuve d’un très grand leadership, et il venait aussi du vivier interiste. Je le prends lui et Barzagli, à droite Hakimi et à gauche Alex Sandro." "Je dois vous dire qu’Evra était aussi très important dans l’économie du vestiaire : Il arrivait en provenance de United et il apportait avec lui des caractéristiques de champion dans le groupe. A la Juve, j’ai connu des champions, à l’Inter, je rencontrais des joueurs qui n’avaient plus gagné depuis tellement d’années et c’est pour cela qu’il était utile d’avoir un grand entraîneur." "A la Juve, j’ai connu des joueurs qui ont remporté la Coupe du Monde, des championnats: Khedira me disait qu’ils agissaient pareil au Real, j’en avais pris note et je l’ai retenu. Cela vaut aussi pour Evra ou Daniel Alves, tu apprends quelques choses des champions. Evra avait un certain âge mais en dehors du terrain, il avait tant à donner. C’est là que tu retrouves de la richesse et Conte a commencé à le faire , il l’avait transmis aux joueurs." "Nos joueurs à l’Inter n’avaient pas de palmarès et les difficultés étaient donc importantes. Aujourd’hui, ils ont une meilleure connaissance de ce qu’il faut avoir pour gagner. Au milieu du terrain, Barella représente une jeunesse devenue réalité. Je le choisi lui comme Pirlo et Pogba qui était arrivé gratuitement pour être revendu 110 millions d’euros. J’ai à mes côtés une équipe de travail qui me porte à faire des choix, mes décisions sont le fruit de ce travail : Pogba était quelqu’un de rare : pris gratuitement et rendu contre 110 millions d’euros. J’ajouterai Cuadrado comme ailier au milieu." "En attaque, j’en ai deux. Le plus difficile fut l’opération Dybala, je l’ai recruté grâce à mon rapport avec Zamparini qui était devenu le propriétaire de Palerme: Il m’avait contacté un jour pour me dire de me dépêcher car il était tout proche de signer avec Thohir. C’est grâce à notre amitié que j’ai su concrétiser cette opération. Je retire Ronaldo car c’est trop facile. L’autre personnalité avec qui je m’était lié d’affection était Recoba, mais j’aurais pu dire Pazzini ou Vieri. Même Lukaku mais cela aurait été trop facile : Peut-être que je dirais Higuain vu comment cela été devenu difficile." Une parenthèse sur Hakimi: Serait-il resté si Lukaku serait parti avant ? "Comme je l’ai dit, lorsque les joueurs sont intéressés par un salaire plus alléchant, il est très difficile de les garder." Pogba pourrait-il revenir en Italie ? "Je pense que ce serait difficile, même s’il y a aussi l’outil du Décret Croissance, qui s’il est boycotté, il nous a tout de même permis de réduire le coût du travail. Mais face à la valeur qu’il représente, je ne pense pas que quelqu’un puisse se permettre de l’engager." Dybala a l'Inter? "C’était possible lorsque l’on avait parlé d’une possible négociation entre lui et Icardi, mais je pense qu’il va signer avec la Juve pour prolonger." Lautaro Martinez est-il la pierre angulaire du futur ? "Il prouve qu’il est un joueur sur qui l’ont peut baser le présent et le futur, il est brave, professionnel, je souhaite que son futur soir à l’Inter, nous ferons tout. Très prochainement nous annoncerons sa prolongation car il est important: Je tiens à poser les bases pour un futur composé d’un juste équilibre entre des joueurs d’expérience et les plus jeunes." Quelle est votre évaluation sur la situation du club ? "L’Inter continuera à voyager haut avec une sécurité financière. Le modèle ne peut plus être celui qui existait auparavant, le tout doit retrouver une normalité. Mais nous ne pouvons pas nous imaginer que la famille Zhang, qui veut aller de l'avant et je peux le dire avec certitude, doivent toujours nous assainir. Nous voulons nous battre pour des objectifs de plus en plus ambitieux, mais nous voulons construire à partir de l'arrière, du secteur Giovanile, pour disposer d’une équipe qui pourra atteindre des objectifs importants." Votre meilleur entraîneur en carrière ? "Je prends Conte car il a gagné à Turin et à Milan et c’est statistiquement important. J’ai connu tant de très bons entraîneurs en carrière, et j’ai dû congédier des entraîneurs qui étaient humainement très bons mais qui n’étais pas des gagnants. Je pense qu’un entraîneur est bien plus souvent gagnant lorsqu’il est dans une situation des plus inconfortable. Ce rôle qui l’occupe doit être vécu comme une stimulation." "Je ne peux pas nier que Conte est un dur à cuire, mais il nous a prouvé qu’il était un gagneur. Il est très extrêmement exigeant avec une culture de la victoire comme peu en ont. Je dois vous dire qu’Inzaghi, vu comment j’apprends à le connaitre suit ce profil : Nous ne pouvions pas faire meilleur choix." Jusqu’à quand resterez-vous à l’Inter ? "Je me sens très bien ici, moi-même, tout comme l’équipe dirigeants avons parlé avec Steven Zhang. Lorsqu’il reviendra en Italie, je pense au mois de décembre, nous parlerons du futurs, les feux sont tous au vert, je dois vous dire également que j’ai plus une vision d’ensemble de la vie. Aujourd’hui c’est ce défi, puis il y en aura d’autre." "L’Inter sera mon dernier club, il n’y en aura plus de place pour un autre par la suite. Je me sens épanoui dans mon parcours et c’est bien que je puisse songer à des défis différentes, je me sens redevable envers le monde du ballon rond qui m’a enrichi en tant qu’homme, et cela va au-delà des récompenses." "A présent, ma capacité à faire face aux difficultés de la vie trouve son origine que je suis sûr de les surmonter grâce à ce que le sport m’a donné. Je veux y rester mais plus avec le stress d’aujourd’hui, et je pense également qu’il est juste de ralentir mes activités en songeant à ma santé." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  17. C’est une révélation de la Gazzetta Dello Sport: Suite à la sortie de piste d’Alexis Sanchez, la Rosea a mis en lumière une situation des plus surprenantes : La colonne vertébrale de l'Inter perçoit moins que le banc des remplaçants. Le Chili dans le viseur La polémique d’Alexis Sanchez sur les réseaux sociaux a fini par lasser la Direction Interiste qui songe en premier lieu à une résiliation de son contrat au mois de janvier. Pour Arturo Vidal, , le joueur a envoyé quelque signes de reprise, toujours en partant du banc. Certains avaient même suscité des applaudissements : comme les interventions agressives lors de la remontée en Émilie-Romagne. Toutefois, ses anciens démons ont refait surface : Dernièrement une vidéo du Chilien éméché, faisant d'étranges sauts périlleux dans sa Ferrari, a fait le tour du web et mis le club devant le traditionnel problème de gestion de son milieu de terrain. Lors du mois de janvier Giuseppe Marotta et Piero Ausilio vont donc se pencher sérieusement sur la situation d’Alexis Sanchez et quantifier sa prime de départ en cas de résiliation du contrat, sauf si du mercato des offres intéressantes sont présentées. Concernant Arturo Vidal, le milieu de terrain n’est pas tenté par un départ à la mi-saison, et parvenir à extraire le meilleur de lui sera le défi du Staff jusqu'en mai. Puis il s’agira d’un au revoir sans regrets. Le salaire des deux chiliens sont les plus importants après celui de Christian Eriksen. Actuellement, le salaire de l’international danois est en partie couvert par l’assurance de la FIFA suite à ce qu’il a connu à l’Euro. L'Inter profite du Décret Croissance pour les deux Chiliens Les 7 millions d’euros net d’Alexis Sanchez représente coûte 10,5 millions d’euros bruts. Les 6,5 millions d’euros net d'Arturo Vidal valent un peu plus de 9 millions d’euros. Pour la Rosea, "éliminer les deux salaires seraient une bonne chose pour le club, surtout qu’il ne s’agit pas de deux titulaires." De plus, le fait est que "la colonne vertébrale d'Inzaghi, composée de Bastoni-Brozovic-Barella-Lautaro, présente (pour l'instant) des revenus nets inférieurs à ceux des deux sud-américains. Cette situation est particulière, même s’il faut attendre les renouvellements des contrats." Voici un comparatif entre les joueurs du banc et les titulaires Banc: Alexis Sanchez (7M€), Arturo Vidal (6,5M€), Matias Vecino (2,5M€), Stefano Sensi (2M€), Roberto Gagliardini (1,5M€) Cœur de l’équipe Alessandro Bastoni (4 M€), Stefan de Vrij (3,8 M€), Marcelo Brozovic (3,5M€), Milan Skriniar (3M€), Nicolò Barella (2,5 M€), Lautaro Martinez (2,5 M€) Sur une masse salariale de 140 millions d’euros, les hommes du banc perçoivent 19,5 millions d’euros contre 19,3 millions d’euros pour les titulaires les plus importants de l’équipe ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  18. En effet, Alexis Sanchez s’est livré dans une sortie polémique sur Instagram, lors de la victoire de l’Inter face à Sassuolo Placé sur la liste des transferts Cette sortie "Tu peux valoir énormément, mais si tu te trouves au mauvais endroit, tu ne brillera jamais" est le message cryptique publié par le chilien, samedi. S’il ne se verra pas sanctionné, comme le souligne la Gazzetta Dello Sport, l’Inter ne sera pas contraire à s’en séparer en janvier. L’année dernière, le joueur était en passe de rejoindre la Roma lors d’un échange avec Edin Dzeko. Si la transaction n’a pas été jusqu’au bout, cette fois-ci, l’Inter est ouverte à un départ: "Sanchez gagne 7 millions d’euros net et, avec le Décret Croissance, il pèse pour 10,5 millions d’euros sur les caisses Nerazzurre. Marotta épargnerait volontiers une telle somme pour, peut-être, insérer un profil bien plus fonctionnel au jeu d’Inzaghi." Selon Calciomercato.com, l‘Olympique de Marseille (Ligue 1), West Ham (Premier League) mais surtout le Betis Séville et le Fc Séville (Liga) sont intéressés: "Si le Chilien devait faire ses adieux, il y aurait également de la place pour partir à la recherche d'une vraie première pointe, avec des caractéristiques similaires à celles de Dzeko." Comprenez-vous le comportement du chilien ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  19. En effet, selon la Gazzetta Dello Sport, d’ici à la fin de cette semaine, la situation relative à Romelu Lukaku se verra décantée : "Si nous ne sommes pas encore au dernier tour de piste, on peut considérer être dans la phase finale d'une course où l’issue finale ne devrait plus être mis en discussion. Il peut toujours arriver que la personne en tête de file casse soudainement le moteur et sorte de la route. Mais cela ne semble pas être le cas ici." La situation "Chelsea avait déjà proposé une offre de 90 millions de livre sterling, soit 105 millions d’euros, plus Marco Alonso évalué à 15 millions d’euros, soit un total de 120 millions d’euros. Le rejet du club a été net car la proposition est bien loin de la valeur actuelle octroyée au joueur." Mais quel est le prix adéquat ? "Aujourd’hui, Chelsea déposera une nouvelle offre. L’Inter exige une offre choc et elle ne cédera pas pour une somme inférieur à 130 millions d’euros. Si la nouvelle tentative s’approche de cette somme, l’affaire pourrait se terminer d’ici à la fin de la semaine. Dans cette négociation, Alonso pourrait y être inséré car il n’y a pas de fermeture totale de l’Inter." "Pour Lukaku, Chelsea est disposé à lui verser un salaire de 12-13 millions d’euros net qui, avec les bonus, peut atteindre les 15 millions d’euros net, soit quasiment le double de ce qu’il perçoit actuellement à l’Inter (8,5 millions d’euros cette saison)." L’ultime assaut "L’Inter jure de na pas vouloir vendre le joueur, de n’avoir jamais eu cette intention. Le Club de Zhang préférait se passer plus volontairement des services de Lautaro, mais mis-à-part l’offre d’échange proposé par Arsenal avec Lacazette, aucune offre n’est arrivée et aucune n’arrivera, étant donné que celles-ci doivent se rapprocher des exigences de Giuseppe Marotta et Piero Ausilio qui veulent 80 à 90 millions d’euros." "Romelu Lukaku n’a pas explicitement demandé à s’en aller, même si Chelsea est, avec le Real Madrid, quasiment la seule équipe pour laquelle Big Rom pourrait décider de quitter l’Inter." Délai "La négociation Lukaku-Chelsea ne pourra pas tirer en longueur car l’Inter se devrait de chercher un héritier. Le Belge a été payé pour 70 millions d’euros et il représente 39 millions d’euros sur le bilan." 'Lukaku a accumulé les droits du Décret Croissance. Il n’en a pas bénéficié en 2019, mais en 2020 et s’il vient à partir, à la fin du mois d’août, il pourra également cumuler sa seconde année sur le régime fiscal italien, de sorte qu’une économie d’impôt de 50% lui serait confirmé. Dans le cas contraire, le club viendrait à perdre également l’exemption tourne de l’année précédente, c’est certes un point mineur dans une négociation aussi importante, mais qui a du poids vu les circonstances." Le Saviez-Vous? Le Club de Steven Zhang avait déjà échangé avec Manchester City, à travers des intermédiaires, mais le belge avait refusé avec conviction cette destination car il ne désirait pas retourner vivre à Manchester. La situation est simple : Romelu doit prouver qu’il est réellement "A la Casa, à l’Inter"..... sinon, il s’agira d’un énième mercenaire qui n’est intéressé que par l’argent. ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  20. On ne parle, hélas pas de Jessica, mais de Jordi Alba : Selon Il Mundo Deportivo, des premiers contacts ont eu lieu entre l’Inter et la Direction catalane. Avec le départ de Young et, le départ plus que probable de Kolarov, l’Inter a l’obligation d’intervenir sur l’aile gauche. Les noms en lice de la Direction Nerazzurra sont ceux de Marcos Alonso et Emerson Palmieri. Mais selon il Mundo Deportivo, l'Inter est attentive à la situation entourant Jordi Alba. S’il est sous contrat jusqu’en 2024 avec Barcelone, et s’il reste un joueur indiscutable de l’équipe de Ronald Koeman. Il y a lieu de prendre en considération les déclarations du Président Joan Laporta, qui a décidé de diminuer la masse salariale pour offrir un second souffle au Club: Mis à part Lionel Messi et André Ter Stegen, personne n’est assuré de rester. Partant de ce constat, l’Inter a décidé de passer à l’offensive pour Jordi Alba, même s’il a récemment affirmé que son intention était de finir sa carrière en Catalogne. Mais s’il il souhaite concrétiser cet objectif, il devra renoncer à une partie de ses émoluments. L’Inter, forte du régime fiscal proposé via le Décret Croissance, pourrait tenter de séduire le joueur, en insérant également des contreparties techniques Fantasme journalistique selon vous ? ®Antony Gilles – Internazionale.fr
  21. La Gazzetta Dello Sport en est certaine, la transaction n’aura pas lieu. Dans les faits, chaque parties n’étaient pas contre la réalisation de ce transfert Toutefois, les salaires des joueurs s’avéraient problématique, surtout pour l’Inter qui voit le Décret Croissance alléger le coût du salaire d’Alexis Sanchez. Pour l’Inter, la Roma devait colmater ce manque à gagner, limite, elle aurait dû acquérir un autre joueur pour faire diminuer la masse salariale. Confirmation de Gianluca Di Marzio L’échange Dzeko-Sanchez n’aura pas lieu pour la Roma : "Les conditions relatives à l’opération : "Payer la différence sur le salaire ne sont pas acceptable : Si l’Inter ne propose pas une autre modalité, l’opération n’aura pas lieu. En effet, l'Inter proposait seulement une opération proposant un solde à 0€." Validez-vous le comportement de la Direction Interiste qui, à la base, n’avait rien demandé à personne ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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