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Nicolò Barella doit beaucoup à Dejan Stankovic
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Coupes d'Europe
A quelques heures de l'EuroDerby Della Madonnina, le milieu de terrain, Champion d’Europe en titre avec l’Italie,s’est livré dans une méga-interview à Uefa.com Saison 2022/2023 "C’était certainement une saison difficile et un peu étrange avec des hauts et des bas pour moi et pour l’équipe, mais je suis content d’avoir encore un peu d’énergie pour cette partie finale de la saison, qui est fondamentale: Cela peut sembler étrange, mais nous avons mieux travailler en équipe en Ligue des Champions qu’en Championnat et c’est aussi dû, peut-être, par le sentiment que te procures une telle ambiance : Ecouter cette musique te donne un coup de boost supplémentaire. Mais cela ne peut pas nous servir d’excuse, même s'il y a des matchs où inconsciemment tu te plonges dans le jeu avec la bonne énergie : Et c’est ceux de la Ligue des Champions." Porto "Oui, je pense que ce match nul face à Porto était pour les personnes ayant un cœur solide, mais cela a prouvé aussi que notre état d’esprit d’équipe était très fort, et nous avons la volonté de réaliser, ensemble, quelque chose d’extraordinaire: Nous montons tous sur le terrain comme un groupe de joueurs avec le même objectif et c’est la clé pour atteindre des objectifs que nous n’aurions jamais imaginé en début de saison : L’Inter n’était plus arrivé à ce niveau de la compétition depuis des années et elle a eu besoin de son état d’esprit d’équipe fort pour parvenir à surmonter ses limites." Benfica "Je cherche toujours à arriver devant le but, parfois il me faut aussi un peu d’instinct et c’était deux beaux buts, ils sont très différents de mes autres, mais la plus belle chose est qu’ils ont été cruciaux pour atteindre nos objectifs : Je suis venu en aide à l’équipe et c’est la chose la plus importante : Ils ont été important pour l’équipe et pour les Tifosi." Le Giuseppe Meazza "Lorsque tu entends le Meazza plein de Tifosi hurler "The Champions”, j’aime être là et penser : "Nous y sommes"! Ce sont des sensations fortes, j’en frisonne, et seul un Stade comme le Meazza, une compétition comme la Ligue des Champions et les Tifosi de l’Inter peuvent te les donner…A présent c’est le Derby et il faudra y mettre du cœur, du courage et de la volonté, tout en sachant que c’est une partie de football et que tout peut arriver et que de très nombreux détails peuvent s’avérer décisif : Le monde entier suivra ce match, nous serons tous heureux d’être sur le terrain à ce moment-là." Dejan Stankovic "Je me suis toujours inspiré de Stankovic, mais je n’ai pas autant de but. Le voir marquer avec cette facilité, jouer au football, voir sa grinta unique combiné à sa technique, il m’a toujours tapé dans l’œil et cela m’a poussé à regarder ses matchs et à étudier sa façon de jouer, comment il fait ses passes, il tire, comment il se comportait sur le terrain: Je lui dois énormément et j’aimerais inscrire aussi des buts aussi incroyables que les siens, même si ces derniers temps je m’améliore énormément en inscrivant de très beaux buts, mais il me manque encore ceux qui sont facile à mettre : Il a fait l’Histoire de l’Inter." Ligue des Champions et Triplé "Pour vous dire la vérité, nous n’en avons jamais parlé, même pas entre nous car entre le Championnat et la Coupe d’Italie, il y a tellement de compétitions et ce n’est pas facile de se concentrer sur une seule: Mais c’est beau de voir à Appiano ces photos ou même d’entendre les récits de ceux qui étaient là à ce moment-là, cela crée une sensation qui te remplit d’orgueil et qui te motive." Mets-nous une praline Nico ! ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 2 commentaires
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Vous l’avez très récemment découverte sur les réseaux sociaux entrain de chanter l’Hymne de l’Inter : Elle, c’est Romina Sorbelli qui est Interiste depuis la naissance. Ayant la chance de pouvoir travailler pour nos confrères d'Inter-News.it, celle-ci- s’est livrée à cœur ouvert pour Internazionale.fr A sa demande, vous retrouverez également à la fin de notre article, la version italienne intégrale de notre échange Bonjour Romina, peux-tu nous dire quelque chose à ton sujet ? Quelles sont tes passions dans la vie ? On suspecte un peu la musique... "Volontiers, j’ai 26 ans et je suis étudiante/aspirant journaliste, je suis diplômée en Communication et je termine mes études universitaires à la Faculté de l’Information, de l’Edition, et du Journalisme, j’en ai terminé avec mes examens et j’écris actuellement ma thèse." "Mes passions principales sont aux nombre de trois : Le football, la musique et la cuisine : Celle pour le football se transforme tout doucement en un travail : j’en suis à ma seconde année pour devenir journaliste indépendante, et mon rêve est de devenir une journaliste sportive. J’ai hérité de l’amour de la musique de ma famille, ils sont tous musicien (en plus d’être Interiste) : Je joue de la guitare, du ukulélé, et j’aime chanter et c’est devenu, à tous les effets, un hobby. J’aime aussi la cuisine et j’aime cuisiner, j’aime cuisiner pour tous les autres car je pense aussi qu’il s’agit d’une preuve d’affection." Pourquoi l’Inter ? Est-ce que tu fais partie d’une famille interiste ? Et pourquoi pas une autre équipe ? "Comme je vous l’ai dit auparavant, nous sommes tous interiste dans la Famille. Dans ma Commune, Sutri, il y a un Inter-Club, l’Inter-Club Peppino Prisco, auquel je suis membre depuis toute petite et je dois surement ma passion pour l’Inter à mon père qui est un grand Tifoso Interiste! Comme je l’ai toujours dit, j’ai choisi l’Inter en suivant les traces de mon père, mais j’ai ensuite décidé de moi-même de continuer sur cette voie en suivant par-dessus tout mon cœur, un cœur qui est entièrement Nerazzurro je dirais, il ne pouvait pas en être autrement." "A présent, d’une simple passion, cela se transforme en un travail et cette opportunité m’a été offerte par la Rédaction d’ Inter-News.it, rédaction que je remercierais toujours pour m’avoir fait confiance et m’avoir accueillir au sein de leur famille." Quel est le plus beau souvenir qui te lie à l’Inter ? "Sans aucun doute, la première fois que je suis allé à San Siro, j’avais seulement dix ans et je ne l’oublierai jamais, comme je n’oublierais jamais toutes les soirées passées à l’Inter-Club à voir les matchs, nos diners et nos célébrations pour les victoires. Je me rappelle en particulières d’une soirée organisée pour fêter le Centenaire de l’Inter en 2008 et à cette occasion, j’ai rencontré Recoba et Stankovic, deux de mes idoles. Mais plus que tout, je garderai toujours en moi ma rencontre avec Massimo Moratti, il y a quelques années : C’est une personne accueillante, un gentleman, c’était un honneur et un privilège pour moi de le rencontrer." Que penses-tu du Giuseppe Meazza qui pour nous est une Institution, qui fait partie de l’Histoire mondiale de notre Calcio ? Aimerais-tu qu’il reste encore notre stade ? "San Siro fait partie de nous tous, nous les Interistes, comme je l’ai dit avant, la première fois que j’y suis allé, je n’avais que dix ans et chaque fois que j’y retourne, c’est toujours comme la première fois : Je pense qu’il serait difficile qu’un autre stade parvienne à nous offrir, à nous les Tifosi, les mêmes émotions : San Siro te coupe le souffle." Quel est ton joueur préféré et pourquoi ? "Dans l’absolu, même si c’est forcément prévisible : Javier Zanetti pour ce qu’il représente et représentera toujours pour nous les Interistes : C’est une vrai Institution de l’Histoire Nerazzurra. Mon rêve est de l’interviewer et j’espère y parvenir un jour." "Dans l’actuel noyau de l’Inter, je dirai Nicolò Barella. Au-delà de son talent inégalable, il y a aussi une raison spécifique pour laquelle je me sens proche de ce joueur. Je revenais à San Siro après onze ans d’absence à l’occasion d’Inter-Verona et Barella marquait ce jour-là son premier but en Serie A sous le maillot de l’Inter, un but qui décidait de l’issue de la rencontre. A ce moment-là j’ai compris que cela allait faire la différence et la joie que cela m’a procurée était incroyable car après avoir passé 14h dans le car, j’avais peur de rentrer à la maison sans victoire." "Je pense qu’il doit encore un peu affiner son caractère sur le terrain car il est, de façon objective, très impulsif, mais je sais aussi m’identifier en partie à lui, c’est ce qui fait que je l’apprécie encore. Pour mon vingt-troisième anniversaire, mes amis m’ont offert son maillot que j’endosse à chaque fois que je vais au Stade. Lors du dernier Derby face au Milan, il a porté bonheur !" Que penses-tu de l’Inter cette saison : Vois-tu une explication suite à une telle saison ? "Je pense que l’Inter nous offre tellement de surprise aussi bien en positif qu’en négatif. Après la désillusion de la saison dernière en championnat, j’espérais que nous aurions fait mieux cette année et au contraire, il y a eu cette involution : Je crois que même l’équipe en elle-même n’est pas capable de vraiment l’expliquer, mais je suis habitué à voir le verre à moitié plein : Nous avons gagné des coupes qui nous manquaient depuis tant de temps. Nous devons prendre en considération ce qui nous fait plaisir et pas seulement ce qui nous fait souffrir." "Et ne pas se qualifier à la prochaine Ligue des Champions serait une humiliation bien plus qu’une désillusion, mais nous n’avons pas encore dit notre dernier mot et j’espère qu’en cette fin de saison, l’équipe pourra retrouver de la sécurité et de la concentration aussi en championnat." Qui est pour toi la révélation de l’année et qui, au contraire, t’as le plus déçu ? "Je débute par les désillusions et je pense principalement à deux noms, en écartant Skriniar sur qui nous parlerons ensuite : Romelu Lukaku et Marcelo Brozovic : Ils ont tous les deux été pénalisés par des blessures, mais ils ne se montrent objectivement pas sous leur meilleurs jours. Certains étaient méfiant du retour du belge et d’autres lui ont fait confiance : je fais personnellement partie de la seconde catégorie et, avec le recul, je crois que nous reverrons difficilement le Lukaku de Conte. Et si d’un côté, nous avons perdu notre référence en régie (Brozovic), mais nous faisons la connaissance d’un nouveau Çalhanoğlu qui est parmi les grandes révélations de cette année , lui qui est passé de son poste naturel de Mezz'ala à celui de pivot au milieu de terrain : C’est devenu totalement un nouveau joueur, et il est parmi les meilleurs selon moi." "L’autre grand protagoniste de cette années est Mkhitaryan qui, de réserviste est devenu un titulaire inamovible dans le onze d’Inzaghi et qui est toujours capable de faire la différence et il est surtout infatigable ! Je suis aussi très fier de la saison de Darmian et Dimarco." Comment juges-tu l’incident au Stadium de Turin avec Romelu ? "En un seul mot : Vergognoso (Honteux). Je sais qu’il y a eu une marche arrière et que la FIGC a levé la suspension infligée à l’attaquant Belge. En Italie, on dit “ci hanno messo una pezza” que l’on peut littéralement traduire par "ils ont mis Un pansement sur une jambe de bois". Et c’est ce qu’il s’est passé littéralement : On s’est rendu compte de la très mauvaise image que cela provoquait au niveau mondial et tout a été fait pour y remédier. Toutefois, la décision prise initialement reste, je dirais même mieux, c’est le mauvais message qui a été envoyé qui restera marquant. La conscience demeure qu'une fois de plus il y a ceux qui ont préféré les slogans et les paroles aux actes en eux-mêmes et cela ne peut plus être toléré." Comment te prépares-tu à une rencontre ? Es-tu calme, stressée ? En Famille, au Stade ? "Je suis toujours très tendue avant un match car j’y tiens beaucoup. Lorsque je suivais l’Inter en tant que Tifoso j’allais voir les rencontres au Club et l’ambiance y était très chaude. Aujourd’hui, je vis à Rome, et je regarde les matchs seule et lorsque nous sommes dans les dernières minutes, je suis en direct avec la rédaction d’Inter-News.it (suivez-vous !) ." "Je dois donc me montrer sereine, calme et professionnelle, même si j'ai peut-être mille émotions en moi, mais je dois avouer que très souvent ma spontanéité m'amène à montrer quasiment toutes mes émotions." Penses-tu qu’Inzaghi soit toujours l’homme juste ou devrions-nous changer d’entraineur ? "Je m’en réfère au discours précédent : Je suis habitué à voir le verre à moitié plein : Je pense qu’Inzaghi a ses propres fautes et qui lui manque un peu cette poigne dans certaines situations, mais c’est aussi le premier entraineur depuis Mourinho à avoir remis l’Inter à un certain niveau européen, et à Milan, les titres manquaient depuis très longtemps . Il faut aussi se dire qu’il est à la tête d’une équipe qui manque de tellement de certitudes (je fais référence aussi bien à la situation sociétal qu’aux joueurs en particulier) ce n’est pas facile et nous tirerons le bilan à la fin de la saison. Peu importe comment cela ira, que cela soit positif ou négatif, tout lui retombera inévitablement dessus." Que penses-tu du départ de Skriniar ? "Je pense que nous nous sommes bercés d’illusions et qu’il nous a bercé d’illusions car nous pensions trouver en lui une nouvelle référence, mais il va sans dire qu’en ce moment, c’est très difficile qu’un joueur regarde autre chose que le profit. D’autre part, il n’y a qu’un seul Javier Zanetti." Qui remportera l’Euro Derby ? "On peut passer à la prochaine question ? Blague à part, le Milan et l’Inter traversent une situation similaire : Ils sont, ensemble, momentanément hors des quatre premières équipes en Italie et ils ne réalisent pas un championnat satisfaisant. Toutefois ils sont parvenu à se retrouver parmi les quatre meilleures équipes européennes en battant des adversaires très compétitifs : Ils ont tous les deux de l’expérience et un noyau valable : Celui qui l’emportera sera celui qui aura le moins peur." Que fais-tu si tu es abordée par un Milaniste ou un Juventino ? "Se uno juventino mi stringe la mano, conto le dita (cit!). Si c’est un Juventino, je me coupe les doigts), Plus sérieusement, j’ai beaucoup d’amis dans la vie qui sont des "ennemis" en tant que supporters, mais il y a du respect et chacun se nourrit de ses propres passions. Mais pour te dire la vérité, je suis aussi très compétitrice, il vaut donc mieux ne pas regarder les matchs ensemble !" Vu ton talent pour la musique, si l’on te demandait de produire un nouvel hymne pour le Club, de quoi parlerait-il ? "Je suis plus une interprète qu’une compositrice, mais ce serait surement une chanson qui me ressemblerait un peu : Pleine de passion et d’enthousiasme, une mélodie et un texte qui peuvent te donner cette motivation juste d’avant-match, qui serait adaptée pour célébrer les victoires et qui pourrait aussi te consoler après une défaite : Ce serait un Hymne qui raconterait notre Histoire, la nôtre, celle des tifosi : une histoire d’amour." Versione italiana L'avete scoperta di recente sui social network mentre cantava l'inno dell'Inter: è Romina Sorbelli, interista dalla nascita. Romina Sorbelli, ha la fortuna di lavorare per i nostri colleghi di Inter-News.it e che ha parlato apertamente con Internazionale.fr. Ciao Romina, puoi raccontarci qualcosa di te? Quali sono le tue passioni nella vita? Sospettiamo un po' la musica. 'Volentieri. Ho 26 anni e sono una studentessa/aspirante giornalista. Sono laureata in comunicazione e sto terminando gli studi universitari alla facoltà di Informazione, Editoria e Giornalismo. Ho terminato gli esami e sto scrivendo la tesi. Le mie passioni principali sono tre: il calcio, la musica e il cibo. Quella per il calcio si sta trasformando pian piano in un lavoro: sono al secondo anno di formazione per prendere il tesserino da giornalista pubblicista e sogno di diventare una giornalista sportiva. L'amore per la musica l'ho ereditato dalla mia famiglia, sono tutti musicisti (oltre che interisti). Io suono la chitarra, l'ukulele e adoro cantare ma adesso è diventato a tutti gli effetti solo un hobby. Infine, mi piace la cucina e amo il cibo; mi diverto a cucinare soprattutto per gli altri perché penso che sia una dimostrazione d'affetto." Perché l'Inter? Fai parte di una famiglia interista? E perché questa e non un'altra squadra? "Come accennavo prima, in famiglia siamo tutti interisti. Nel mio paese, Sutri, c'è un Inter Club (Inter Club Peppino Prisco) al quale sono iscritta fin da bambina. Sicuramente devo la mia passione per l'Inter a mio padre, grande tifoso interista! Come ho sempre detto, ho scelto l'Inter seguendo le orme di mio papà ma poi ho deciso di continuare su questa strada seguendo soprattutto il mio cuore. Un cuore interamente nerazzurro direi, e non potrebbe essere altrimenti." "Adesso da semplice passione si è trasformata in un lavoro e questa possibilità mi è stata concessa dalla redazione di Inter-News.it, che ringrazierò sempre per avermi dato fiducia e accolta nella loro famiglia." Qual è il tuo ricordo più bello legato all'Inter? "Sicuramente la prima volta che sono andata a San Siro. Avevo solo dieci anni e non lo dimenticherò mai. Così come non dimenticherò tutte le serate passate all'Inter Club a vedere le partite, le cene e i festeggiamenti per le vittorie. Ricordo in particolare una serata organizzata per festeggiare il centenario dell'Inter nel 2008: in quell'occasione ho incontrato Recoba e Stankovic, due dei miei idoli. E soprattutto porterò sempre con me l'incontro con Massimo Moratti di qualche anno fa. Una persona disponibile e un gentiluomo, è stato per me un onore e un privilegio conoscerlo." Cosa ne pensi dello stadio Meazza che per noi è un'istituzione, parte della storia mondiale del nostro calcio? Vorresti che fosse ancora il nostro stadio? "San Siro è parte di tutti noi interisti. Come ho detto, la prima volta che ci sono andata avevo solo dieci anni e ogni volta che ci torno è sempre come la prima. Penso che difficilmente un altro stadio riuscirebbe a regalare a noi tifosi le stesse emozioni. San Siro toglie il fiato." Chi è il tuo giocatore preferito e perché? "In assoluto (forse scontato) Javier Zanetti, per ciò che rappresenta e rappresenterà per sempre per noi interisti. Una vera istituzione della storia nerazzurra. Il mio sogno è intervistarlo e spero di riuscirci un giorno. Dell'attuale rosa dell'Inter dico Nicolò Barella. Al di là del suo talento innegabile c’è un motivo specifico per il quale mi sono avvicinata a questo giocatore: tornai a San Siro dopo undici anni di assenza nel 2019 in occasione di Inter-Verona. Barella segnò il suo primo gol in Serie A in maglia nerazzurra, decidendo la partita." "Da quel momento ho capito che avrebbe fatto la differenza e la gioia che mi ha regalato è indescrivibile, dopo 14 ore totali di pullman temevo di tornare a casa senza vittoria. Penso che debba affinare solo un po' il carattere in campo. È oggettivamente molto impulsivo ma in parte mi ci rispecchio e questo me lo fa apprezzare ancora di più. Per il mio ventitreesimo compleanno gli amici mi hanno regalato la sua maglietta, che ovviamente indosso ogni volta che vado allo stadio. All’ultimo derby contro il Milan ha portato fortuna!" Cosa ne pensi dell'Inter in questa stagione? Vedi una spiegazione per una stagione del genere? "Penso che l'Inter ci stia regalando tantissime sorprese sia in positivo che in negativo. Dopo la delusione della scorsa stagione in campionato ho sperato che quest'anno potessimo fare molto meglio e invece c'è stata un'involuzione. Credo che neanche la squadra sappia darsi una vera e propria spiegazione ma io sono abituata a guardare il bicchiere mezzo pieno: siamo tornati ad imporci sul palcoscenico europeo dopo anni e abbiamo vinto coppe che mancavano da tempo. Dobbiamo tenere in considerazione quello che ci fa gioire e non solo ciò che ci fa soffrire." "Sicuramente mancare la qualificazione alla prossima Champions League sarebbe un'umiliazione oltre che una delusione, ma non è ancora detta l'ultima parola e spero che in queste ultime giornate la squadra possa tornare a trovare la sicurezza e la concentrazione anche in campionato." Chi è per te la rivelazione dell’anno e chi invece ti ha deluso di più? "Parto dalle delusioni e penso principalmente a due nomi (tenendo fuori Skriniar di cui parleremo dopo): Romelu Lukaku e Marcelo Brozovic. Entrambi sono stati penalizzati dagli infortuni ma oggettivamente non stanno mostrando il loro lato migliore. C'è chi era diffidente sul ritorno del belga e chi invece gli dava fiducia, io faccio parte della seconda categoria ma col senno del poi credo che difficilmente rivedremo il "Lukaku di Conte". Se poi da un lato abbiamo perso il nostro riferimento in cabina di regia (Brozovic) dall'altro abbiamo scoperto un "nuovo" Çalhanoğlu, tra le grandi rivelazioni di quest'anno: spostandosi dal suo ruolo naturale di mezz'ala a perno di centrocampo è diventato totalmente un altro giocatore; tra i migliori a mio parere. Altra grande protagonista di quest'anno è Mkhitaryan che da riserva è ormai titolare inamovibile tra gli undici di Inzaghi e capace di fare sempre la differenza, soprattutto instancabile! Sono anche molto felice per la stagione di Darmian e Dimarco." Come giudica l'incidente allo stadio di Torino con Romelu? "Una sola parola: vergognoso. So che è stato fatto un passo indietro e che la FIGC ha rimosso la squalifica inflitta all’attaccante belga. In Italia si dice “ci hanno messo una pezza”. E a tutti gli effetti è stato così. Ci si è resi conto della pessima figura a livello mondiale e si è tentato in tutti i modi di risolvere. La decisione presa inizialmente comunque rimane, o meglio rimane il messaggio sbagliato che è stato mandato. Resta la consapevolezza che c’è chi per l’ennesima volta ha preferito slogan e parole ai fatti e questo non può più essere accettabile." "Sono sempre molto tesa prima di una partita perché ci tengo molto. Quando seguivo l'Inter (solo) da tifosa andavo a vedere le partite al club e l'atmosfera era molto accesa, ora che vivo a Roma guardo le partite in solitaria e negli ultimi minuti sono in diretta con la redazione di Inter-News.it (seguiteci!), quindi devo mostrarmi calma e professionale, anche se magari dentro ho mille emozioni. C'è da dire però che molto spesso la mia spontaneità mi porta comunque a mostrarle quasi tutte." Pensi che Inzaghi sia l'uomo adatto o dovremmo cambiare allenatore? "Mi ricollego al discorso precedente. Sono abituata a guardare il bicchiere mezzo pieno. Penso che Inzaghi abbia le sue colpe e che gli manchi un po' il "pugno duro" in alcune situazioni. Ma è il primo allenatore dopo Mourinho ad aver riportato l'Inter a certi livelli in Europa e a Milano trofei che mancavano da tempo. C'è da dire anche che guidare una squadra a cui mancano tante certezze (mi riferisco sia alla situazione societaria che a quella dei singoli giocatori) non è facile. Le somme vanno tirate a fine stagione. Ma a prescindere da come andrà, sia meriti che colpe ricadranno inevitabilmente su di lui." Cosa ne pensi della partenza di Skriniar? "Penso che ci siamo illusi, e che ci abbia illuso, di poter trovare in lui un nuovo riferimento ma, sarà scontato dirlo, di questi tempi è molto difficile che un giocatore guardi oltre il guadagno. D'altronde, di Javier Zanetti ce n'è solo uno!" Chi vincerà l'Euro Derby? "Passiamo alla prossima domanda? A parte gli scherzi, Milan e Inter vengono da una situazione simile: entrambe sono momentaneamente fuori dalle prime quattro squadre in Italia e non stanno disputando un campionato soddisfacente, ma sono riuscite a rientrare tra le migliori quattro in Europa battendo avversari molto competitivi. Entrambe hanno esperienza e una rosa valida. Vincerà chi avrà meno paura!" Cosa fai se vieni avvicinata da un milanista o da uno juventino? "Se uno juventino mi stringe la mano, conto le dita (cit!). Scherzo ovviamente, ho molti amici nella vita che sono "nemici" di tifo ma c'è rispetto ed è giusto che ognuno coltivi le proprie passioni. Ma, dico la verità, sono anche molto competitiva quindi meglio non vedere insieme le partite!" Dato il tuo talento per la musica, se ti venisse chiesto di produrre un nuovo inno per il club di cosa parlerebbe? "Sono un'interprete più che una cantautrice ma sarebbe sicuramente una canzone un po' come me: carica di entusiasmo e di passione. Una melodia ed un testo che possano dare la giusta carica nel pre-partita, che siano adatti per festeggiare le vittorie e possano consolare dopo una sconfitta. Un inno che racconti la storia di tutti noi tifosi, una storia d'amore." Je tiens à remercier personnellement Romina, que je vous invite à suivre sur son Twitter Officiel et je tiens également à saluer l’équipe d’Inter-News.it : Suivez-la également via le lien suivant : https://www.inter-news.it/ Ringrazio personalmente Romina, che vi invito a seguire sul suo Twitter ufficiale e saluto anche il team di Inter-News.it: Seguitela anche al seguente link: https://www.inter-news.it/ ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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L’Inter gaspille une chance de prendre le large
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Serie A
En effet, en déplacement au Stade Luigi-Ferraris, l’Inter avait la possibilité, à une semaine de la reprise de la Ligue des Champions, de creuser l’écart sur ses poursuivants, mais notre Bien-Aimée est complètement Folle: En étant capable de détruire le Milan et de se vautrer face à l’avant-dernier de la compétition en l’espace d’une semaine... Si les occasions ont été nombreuses, la lucidité n’était pas de mise et malgré un nombre scandaleux de tentatives, l’Inter n’est pas parvenue à faire vibrer les filets défendu par Audero. Si pour l’Inter, l’écart passe à trois points sur ses nombreux poursuivants, pour Dejan Stankovic ce petit point pourrait booster le moral des siens. Et si l’Inter occupe la seconde place au classement et même si Francesco Acerbi a eu l’occasion la plus importante sur l’ensemble du match, la confrontation entre Nicolò Barella et Romelu Lukaku prouve que l’ambiance est loin d’être sereine du côté d’Appiano Gentile. Suffisant pour imploser selon vous ? Résumé Vidéo Tableau Récapitulatif Sampdoria 0-0 Inter Buteur(s): / Sampdoria: 1 Audero; 21 Murillo, 17 Nuytinck, 2 Amione; 59 Zanoli (85' 36 Paoletti), 80 Cuisance (58' 11 Sabiri), 20 Winks, 3 Augello; 7 Djuricic (72' 8 Rincon); 23 Gabbiadini (72' 29 Murru), 10 Lammers (85' 27 Quagliarella) Banc: 22 Turk, 30 Ravaglia, 26 Ilkhan, 28 Yepes, 31 Malagrida, 38 Ivanovic, 99 Jesé T1: Dejan Stankovic Inter: 24 Onana; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 15 Acerbi; 36 Darmian (66' 2 Dumfries), 23 Barella (66' 77 Brozovic), 20 Çalhanoğlu, 22 Mkhitaryan (90' 45 Carboni), 8 Gosens (46' 32 Dimarco); 90 Lukaku (66' 9 Dzeko), 10 Lautaro Martinez Banc: 1 Handanovic, 21 Cordaz, 5 Gagliardini, 12 Bellanova, 14 Asllani, 33 D'Ambrosio, 46 Zanotti, 95 Bastoni T1: Simone Inzaghi Arbitre: Maresca VAR: Doveri Averti(s): Nuytinck (S), Lautaro Martinez (I), Amione (S), Lammers (S) Expulsé(s) : / ®Antony Gilles – Internazionale.fr- 3 commentaires
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Le onze idéal de Marco Materazzi dévoilé par Sportweek !
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Il n'y a pas de place pour un non-Inter, ou presque, dans le top 11 Sportweek de Marco Materazzi qui dresse une line-up à trois quarts noire et bleue. Deux exceptions cependant. Deux champions du monde, deux coéquipiers nationaux de la chevauchée vers Berlin en 2006, Fabio Cannavaro et Francesco Totti. Voici la liste complète et les justifications de Matrix. "J'ai fait une équipe offensive parce que. Dans le football, il faut marquer des buts, même si quand je jouais, mon travail était de les éviter. Il y a beaucoup d'Interista, parce que j'ai tout gagné avec eux." Julio Cesar dans le but, protégé par Maicon, Cannavaro, Samuel et Chivu. Zanetti, Totti et Stankovic dans l'entrejeu, derrière un trident super offensif fait par Ronaldo le phénomène, Milito et Eto'o. José Mourinho entraîneur. "Quand il est arrivé à l'Inter, j'étais très proche de Toldo, mais j'ai encadré le Brésilien et nous sommes devenus amis. Maicon, un train sur l'aile droite. Je ne sais même pas comment il a réussi à faire des allers-retours tout au long du match." Arrière droit Maicon, Christian Chivu en face, ailier gauche. "Moi, lui et Stankovic, trois gitans. Avec Cristian, un coup d'œil suffisait pour se comprendre. Nous avons plaisanté sur les adversaires. Une fois, contre la Lazio, Pandev a rebondi entre lui et moi tout au long du match. 'Regarde ce que tu m'as fait !', me reprochait-il en fin de première mi-temps pour un coup de pied qu'il s'était pris. Il n'avait même pas remarqué que je ne le lui avais pas donné le coup, mais Chivu." Ensuite, Cannavaro et Samuel au centre. "J'aurais pu choisir Cordooba avec qui j'ai le plus gagné à l'Inter mais avec Fabio j'ai gagné une Coupe du monde et c'est peut-être celui aux côtés duquel j'ai concédé le moins de buts de toute ma carrière. En effet, entre nous, nous parions à chaque match de quitter le terrain avec une cage inviolée." Place aussi à l'incontournable mur, l'inoubliable The Wall pour les fans de l'Inter. "Il a fait honneur à son surnom, the Wall, en tant que joueur et en tant qu'homme, solide sur le terrain et silencieux en dehors. Un mur, en fait. , impénétrable. Il battait le terrain et si un attaquant allait contre lui face à face pour protester, il ne répondait même pas. Cela ne lui donnait pas satisfaction de répondre." Milieu de terrain à trois composé de deux grands capitaines et d'un "dragon", prochain adversaire de l'Inter en championnat en tant que manager de la Sampdoria. Zanetti, sur qui Materazzi avoue que "nous n'avons jamais été très proches, mais à chaque fois que j'avais besoin du capitaine, il était là." De capitaine à capitano, Francesco Totti, grand adversaire de l'Inter dans le triplété mais grand coéquipier en équipe nationale, "il me fait toujours sourire. Je ne sais pas s'il est plus fort ou plus sympathique." Avec Stankovic, "on a eu la même chambre pendant 5-6 ans. J'ai gagné tous mes trophées à l'Inter avec lui. Il ne savait même pas à quel point il était fort." Trois forts derrière trois très forts devant avec une ligne offensive que Materazzi confie à Ronie, Milito et Eto'o. "Maradona, Messi... Mama mia, je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi fort que lui. En termes d'explosivité et de talent naturel, un mélange entre Cristiano et Messi" dit-il à propos d'il Fenomeno rejoint par Diego Milito. "En marquant deux fois contre le Bayern en finale de la Ligue des champions 2010, Diego a permis à Materazzi de mettre la cerise sur le gâteau de sa carrière." Pour finir, Samuel Eto'o, "s'il n'était pas venu à l'Inter, on n'aurait jamais gagné la Ligue des champions. Avant lui, il y a eu Ibra qui a joué dans les clubs les plus forts et n'a jamais gagné une coupe. Il doit y avoir une raison." Sur le banc, inutile de le dire, l'équipe est confiée à José Mourinho. "Quand il est arrivé, quelqu'un avait dit que Materazzi allait partir. Il m'a arrêté le premier jour et m'a dit : 'Tu restes ici'." Traduction alex_j via FCInterNews.- 1 commentaire
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Une victoire confortable au Giuseppe Meazza grâce à des buts de de Vrij, Barella et Correa. Trois buts, trois points et de quoi applaudir. L'Inter a battu la Sampdoria 3-0 ce soir, enregistrant ainsi sa quatrième victoire consécutive en championnat, pour le plus grand plaisir des plus de 73.000 supporters présents au Giuseppe Meazza. De Vrij, Barella et Correa ont été les joueurs qui ont inscrit les buts, et ils ont tous bien fini leur travail. C'était une performance d'équipe fantastique contre une équipe de Samp qui n'a jamais été dans le jeu. La victoire d'aujourd'hui signifie que l'Inter compte désormais 24 points après douze journées, avant le déplacement de la semaine prochaine à la Juventus, avant lequel un voyage à Munich est prévu. Le retour de Dejan Stankovic a apporté un peu de nostalgie au Giuseppe Meazza, l'entraîneur des Blucerchiati saluant un public qui l'a vu combattre et gagner tant de fois sous les couleurs des Nerazzurri. Mais dès le coup d'envoi, il n'était question que de l'Inter contre la Sampdoria et de prendre trois points essentiels. Les Nerazzurri savaient qu'ils devraient être patients face à une équipe compacte qui ne voulait pas se découvrir. Les hommes d'Inzaghi cherchaient à travailler sur les flancs et à mettre en place les bons mouvements pour perturber l'équilibre de l'équipe adverse, qui se contentait de défendre. Les débuts n'étaient pas très spectaculaires, l'Inter cherchant à trouver un moyen d'ouvrir le score, mais ils y parvenaient à la 22ème minute. Calhanoglu jouait un corner pour de Vrij, qui se levait impérialement et envoyait une tête de balle qui trompait Audero. Le Néerlandais n'avait plus marqué de but en Serie A depuis 661 jours, et c'était aussi contre la Sampdoria, dont le plan de jeu n'a pas changé ce soir, même après avoir concédé un but. Une fois la pression retombée, l'Inter a continué à contrôler la possession du ballon à San Siro. Les hommes d'Inzaghi jouaient bien et avec beaucoup de conviction. Mkhitaryan, Dimarco et Bastoni menaçaient tous le but d'Audero, tandis que Dzeko tricotait le jeu avec quelques excellentes touches. Le deuxième but était l'œuvre d'une combinaison très bien travaillée, celle de Bastoni et Barella. Dans un remake de ce but stupéfiant de janvier 2021 contre la Juventus, les deux Italiens ont produit une œuvre d'art. En effet, Bastoni a envoyé une merveilleuse balle sur le dessus et Barella s'en est emparé, la contrôlant brillamment en plein vol et déclenchant une frappe spectaculaire qui s'est envolée dans le filet. C'était le troisième but de Nicolò dans trois matchs consécutifs de Serie A et son quatrième en cinq matchs toutes compétitions confondues. Magnifique! En seconde période, l'Inter a eu le luxe de pouvoir gérer le match avec un grand calme. L'équipe a continué à faire preuve d'un excellent caractère et d'une grande qualité technique, passant tout près d'un troisième but à plusieurs reprises. Lautaro a eu deux tentatives, mais Audero s'est interposé. Dzeko et Skriniar se procurent également des occasions, mais le score reste de 2-0. Jusqu'à ce que Correa entre en jeu et, comme la saison dernière, plante le dernier clou dans le cercueil des espoirs de la Sampdoria de revenir dans le match. L'Argentin, entré en jeu quatre minutes plus tôt, s'est élancé depuis le milieu de terrain, s'est heurté à la défense des Blucerchiati et a décoché une superbe frappe qui a fini dans la lucarne. Le match étant terminé, la Samp a fait de son mieux pour marquer un but de consolation dans les derniers instants, mais une solide défense de l'Inter et un excellent arrêt d'Onana l'en ont empêché. Une feuille propre et trois points importants! Résumé vidéo INTER 3-0 SAMPDORIA Buteurs : 21' De Vrij (I), 44' Barella (I), 73' Correa (I) Inter (3-5-2) : 24 Onana ; 37 Skriniar, 6 De Vrij, 95 Bastoni (15 Acerbi 68') ; 2 Dumfries (12 Bellanova 79'), 23 Barella, 20 Calhanoglu (14 Asllani 83'), 22 Mkhitaryan, 32 Dimarco ; 9 Dzeko (11 Correa 68'), 10 Lautaro (90 Lukaku 68'). Remplaçants : 1 Handanovic, 21 Cordaz, 5 Gagliardini, 8 Gosens, 33 D'Ambrosio, 36 Darmian. Entraîneur : Simone Inzaghi. Sampdoria (4-4-1-1) : 1 Audero ; 24 Bereszynski, 25 Ferrari, 15 Colley, 2 Amione ; 23 Gabbiadini (34 Montevago 78'), 4 Villar (5 Verre 53'), 28 Yepes (14 Vieira 46'), 37 Leris ; 7 Djuricic (8 Rincon 78') ; 10 Caputo (18 Pussetto 66'). Remplaçants : 22 Contini, 3 Augello, 11 Sabiri, 13 Conti, 21 Murillo, 29 Murru, 70 Trimboli. Entraîneur : Dejan Stankovic. Avertis : Yepes (S), Colley (S), Djuricic (S), Verre (S), Gabbiadini (S), Bastoni (I), Vieira (S). Arbitre : Massimi. Assistants : Galetto, Massara. Quatrième arbitre : Cosso. VAR : Nasca. Assistant VAR : Paganessi. ®Oxyred – Internazionale.fr
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DEJAN STANKOVIC Informations Générales : Nom : STANKOVIC Prénom : DEJAN Poste : Milieu Droit Date de naissance : 11 / 09 / 1978 Lieu de naissance : Beograd Pays : Serbie & Montenegro Taille : 181 cm Poids : 75 kilos Numero de maillot : 5 Au club depuis : 2004 Position sur le terrain : Biographie : Pas de biographie disponible. A voir sur le site : La Fiche de Stankovic La Carrière de Stankovic Les News concernant Stankovic Les Statistiques de Stankovic
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Massimo Moratti parle. Notre ancien président, en exclusivité pour Il Secolo XIX, a abordé diverses questions d'actualité concernant le football. "Thiago Motta contre Dejan Stankovic pour Bologne-Sampdoria ? C'est impressionnant, c'est merveilleux de voir qu'ils ont progressé et qu'ils entraînent aujourd'hui des clubs importants avec une grande tradition." Vous attendiez-vous à les voir sur le banc un jour ? "Ils ont deux caractères différents. Thiago est un peu plus renfermé, réfléchi, professionnel très sérieux. Dejan était un très bon garçon, bon enfant, plein de volonté. Ce sont des gens positifs, ils l'étaient sur le terrain et ils le sont comme entraîneurs." Dazn lui a dédié une série, "Sympathique", et à cette occasion vous avez dit que le plus sympathique de vôtre Inter était Stankovic. "Gentil d'un point de vue humain : il est fiable, tu sais qu'il est sincère, transparent, il t'a toujours tout donné. L'expérience avec le Red Star Belgrade a été très positive, j'espère qu'il sera utile à la Sampdoria qui en a besoin. J'espère vraiment pour lui et pour la Sampdoria que tout ira bien." Pourra-t-il faire comme Mihajlovic qui a sauvé la Sampdoria ? "Il y a l'origine serbe, le caractère fort, ils se sentent responsables de leur rôle et c'est très important. Je pense que Dejan lui ressemble de ce point de vue. Il faut être un peu patient, c'est la première fois comme entraîneur en Italie mais il a les qualités pour bien faire." Qu'est-ce qui vous a frappé chez Stankovic et Thiago en tant que footballeurs ? "J'ai aimé la passion qu'a mise Stankovic. Je me souviens de cet incroyable but contre le Genoa mais ce n'était pas le premier comme ça. Il avait la force de toujours savoir répondre correctement à chaque situation, grand combattant. Il a entraîné ses coéquipiers dans les moments difficiles. Mancini m'a conseillé, il était très fort. Motta était plus réfléchi, attentif à faire toutes les choses pragmatiquement parfaites au milieu de terrain pour être utile à l'équipe, c'était un joueur très intelligent." Stankovic a fait part d'un renouvellement signé avec une durée de 4 ans mais sans chiffres. "Oui, c'était mon insouciance... (rires) il nous a fait confiance et je pense qu'on a eu raison de lui faire confiance. Moi non plus je ne l'ai jamais regretté, je ne me souviens pas des chiffres mais des gars comme lui ont montré qu'ils méritaient ce qu'ils ont pris." Un footballeur de la Sampdoria que vous auriez aimé ? "Toute la Sampdoria du Scudetto (1991, ndlr). C'étaient des phénomènes merveilleux, fantastiques, ils reflétaient la sympathie d'un homme formidable comme Mantovani. Bien sûr, Mancini reste le meilleur exemple de classe et de talent dont il fait également preuve en tant qu'entraîneur. Et dans le passé j'aurais aimé prendre Quagliarella, mais je n'ai pas réussi." Un talent d'aujourd'hui qui vous enflamme ? "Je suis étonné de voir à quel point je vois des joueurs avec des noms très difficiles comme Kvaratskhelia du Napoli emmenés dans des endroits lointains. Il semble qu'il joue simple et il gère tout ce qu'il veut, très bien. Mais je dis Haaland! Branca me l'aurait fait acheter à 100 %, je le vois déjà dire 'président il est spécial' et je l'aurais amené à l'Inter." L'Inter qui a réagi en Ligue des champions. "Inzaghi a l'expérience pour sortir de cette situation. Maintenant il faut de la patience, la confiance est essentielle, que le club reste près de lui et le défende." Un favori pour le Scudetto ? "Napoli est devant... impressionnant comment ils jouent. Mais avec la Coupe du monde c'est une année étrange, il peut y avoir la surprise de ceux qui n'ont pas l'habitude de gagner." Qui allez-vous encourager entre Stankovic et Motta ? "Je les aime tous les deux. J'aimerais que Stankovic ait une satisfaction à ses débuts mais je suis content que Motta puisse encore prouver qu'il est bon. Je ne dis rien, je prévois de souffrir des deux côtés pendant le match." Traduction via FcInter1908.
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Lors d'une interview accordée à Inter-News.it, Massimo Moratti a discuté des Nerazzurri. M. Moratti, que pensez-vous du début de saison difficile de l'Inter avec trois défaites en sept matches ? "Les difficultés proviennent surtout du résultat négatif que l'équipe a obtenu lors du premier affrontement direct de cette saison contre la Lazio à l'Olimpico. C'est une équipe qui a des difficultés dans les affrontements directs. L'équipe a peut-être un peu perdu, pour le moment, de confiance. Et aussi l'absence de Romelu Lukaku est à prendre en considération. Tout cela, mis ensemble, semble impliquer que le manager est responsable, mais l'entraîneur n'est pas toujours responsable du manque de résultats." M. Moratti, pensez-vous que Simone Inzaghi pourrait être viré en cas de résultat négatif face à la Roma ? Et en cas d'adieu anticipé, qui pourrait être son remplaçant ? "Je pense que l'Inter a de la patience et du temps. En général elle pourrait prendre un risque mais je pense que l'Inter n'a pas l'intention de le licencier. Il y a du temps. Le remplaçant ? Ce n'est pas mon boulot de penser à un remplaçant (rires, ndlr)." Peut-être deux jeunes entraîneurs ? Mais avec de l'ADN Nerazzurri programmé dans leur cœur, comme Cristian Chivu ou Dejan Stankovic ? Qu'en penses-tu Moratti ? "Ce sont deux gars très bons et intelligents. Les appeler tout de suite à la tête de l'Inter ne semble pas être le cas. Ce sont encore de jeunes entraîneurs et ils n'ont pas beaucoup d'expérience mais ils peuvent progresser et s'améliorer beaucoup." M. Moratti, samedi à 18h, il y aura Inter-Roma au Meazza. Quel sera le match ? "Je vois un match difficile pour l'Inter. Et c'est quand même un beau match, car l'équipe d'Inzaghi est structurellement forte, tandis que la Roma de José Mourinho est surprenante. Alors il sera intéressant de voir laquelle des deux s'en sortira, en somme." Traduction alex_j via FCInter1908.
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Moment compliqué pour l'Inter avec 3 défaites sur les 7 premiers matchs. Une performance en demi-teinte qui pousse Simone Inzaghi à une relance rapide après la trêve internationale. Comme le rappelle La Gazzetta dello Sport, il existe cependant plusieurs poids lourds libres à ce jour. Thomas Tuchel a été limogé par Chelsea après un mauvais début de saison. L'Allemand a un contrat avec les Blues jusqu'en 2024. Mauricio Pochettino a été limogé par le PSG après le flop en Ligue des champions. Son contrat avec les Français expire en juin 2023. Zinedine Zidane n'a entraîné que le Real Madrid mais a tout gagné, trois Champions et deux Liga. En attente d'une nouvelle proposition. Lié à Everton jusqu'en 2024, Rafa Benitez, limogé en janvier, cherche une nouvelle équipe. Claudio Ranieri, également à la recherche d'une nouvelle proposition, est lié à Watford jusqu'en 2023. Paulo Sousa, ancien joueur de l'Inter et de la Juve entre autres, fait également partie des profils les plus intéressants. Dejan Stankovic qui a démissionné il y a un mois en tant qu'entraîneur du Red Star Belgrade. En 3 ans il a remporté 3 championnats. Marcelo Bielsa n'a pas entraîné Leeds depuis février et attend une nouvelle opportunité. Jorge Sampaoli, ancien sélectionneur du Chili et de l'Argentine, attend également. Joachim Low, ancien sélectionneur de l'Allemagne, Ole Gunnar Solskjaer, ancien de United, et Quique Setien complètent la liste des 12 meilleurs techniciens en attente d'un appel. Traduction alex_j via FCInter1908.
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En effet, pour Simone Inzaghi l’heure de la révolte doit sonner, du moins au championnat car aligner trois défaites déjà maintenant au compteur fait tache, même si le Bayern de Munich est perçu comme bien trop fort Révélation de la Gazzetta Dello Sport "La Propriété s’attend à un changement de cap rapide, car elle est convaincue d’avoir mis à la disposition de l’entraineur le noyau qu’il souhaitait, en le contentant à chaque reprise comme le révèle la confirmation de Milan Skriniar malgré l’instance du Paris-Saint-Germain et à l’acquisition d’Acerbi en dernière minute." " Comment dire : Face au Torino, la révolte est chaudement conseillé!." Dans la ligne de mire pour La Repubblica "Inzaghi est dans l’œil du cyclone, comme cela se passe toujours lors de ce type de situations, ces deux dernières sorties n’ont convaincu personne, aussi bien au niveau des formations initiales que des remplacements en cours de match, sans oublier ses explications en conférence d’après match… L’équipe semble être en retard de préparation physiquement, très en retard même, et la défense est des plus friable, car elle craque dès les premières gouttes des attaques adverses, une situation qui est devenue une constante." La Position de la Direction Italienne Giuseppe Marotta a tenu à assurer ses arrières, l'entraîneur devient un bon alibi, même bien plus qu’une excuse pour les échecs liée leur cause, à la question "Inzaghi a-t-il encore la confiance du club ?" Il a répondu : "Bien sûr qu'il la conserve, il fait un excellent travail, il sait très bien gérer l'équipe." Ce n’est pas lui qui est donc remis en discussion, mais certains comportements : "Nous sommes l'Inter, nous voulons plus de prudence et de motivation de la part de tout le monde. Ce maillot doit être honoré de la meilleure façon possible, nous avons cette obligation envers les 60.000 personnes qui se présentent au Stadio Giuseppe Meazza : Nous devons y croire jusqu'au bout, la saison ne fait que commencer, la deuxième étoile est possible'' Redevenir une équipe pour la Rosea "Nous devons redevenir une équipe" telle était la phrase symbolique qui a surgit de la discussion, entre les joueurs, Simone Inzaghi et son Staff et la Direction, qui s'est tenue aujourd'hui.: "Toutes les thématiques ont été abordées : Les fractures mentales lors de l’apparition des première difficulté, la différence de performance globale par rapport à l'année dernière alors que le noyau est inchangé, les attitudes peu constructives de certains joueurs sur le terrain, la condition athlétique." Si la Direction s’est exprimée, plusieurs joueurs ont également pris la parole, dont le Capitaine Handanovic et Barella , qui sont parmi les plus expérimentés et qui ont fait leur mea culpa, reconnaissant qu'ils étaient coupables dans cette situation difficile "Ce que nous faisons n'est pas suffisant, nous devons en faire plus, y compris en matière d’entrainement." La confrontation a été décrite comme constructive par toutes les parties. Parmi les joueurs, par exemple, certains ont mentionné la condition athlétique, comme s'ils n'avaient pas l'impression que leurs jambes tournaient correctement. Mais les données exposées par le staff technique ont souligné que l'Inter, lors des deux derniers matchs, a couru pourtant bien plus que l'AC Milan et le Bayern: "Si l’Inter courent plus, elle court mais mal…" Une magie rompue le 22 mai 2022 pour Tuttosport "Quelque chose s'est brisé le 22 mai, le jour des larmes sous la Curva Nord pour un Scudetto jeté aux oubliettes. C'est là que la magie qui entourait la première saison de Simone Inzaghi à l'Inter a été brisée: L'idée qu'Inzaghi est le principal responsable de la perte du Scudetto est erronée et peu généreuse, mais, ce qui s'est passé lors des premiers matchs de la saison, avec ses mauvais changements à l'Olimpico et ses remplacements tardifs dans le Derby et même avec le Bayern, a fait gonfler la tête de ses détracteurs, en allant même jusqu’à faire chavirer sa propre base de soutien, car ce mercredi et pour la première fois elle n'a rien pardonné à son 'Inter".' Dejan Stankovic favori à la succession "Simone Inzaghi ne risque pas son poste mais, pour les trois matches à venir qui le sépare de la trêve internationale, il devra redresser le niveau de performance de l'équipe, et ce même si le calendrier est parsemé d'embûches avec la réception du Torino au Giuseppe Meazza, et deux déplacement à l’extérieur à Plzen et à Udine." "Simone est à la croisée des chemin dans un tournant de la saison qui est déjà important pour les ambitions du club en Serie A où il lui sera vital d’engranger un 6/6 pour rester attaché au "Wagon Scudetto" et pour assurer une place, à minima en Europa League, tout en gardant l’espoir de voir le Bayern Munich et Barcelone caler pour entretenir la flamme de la qualification pour les 16èmes de finale de la Ligue des champions." "Jusqu'à présent, LInter n'a jamais pensé à d'autres entraineur, également à cause des raisons que lui propose le marché : Mauricio Pochettino, en raison des coûts qu'il implique, est inatteignable, tandis que Roberto De Zerbi, qui est un entraîneur que Piero Ausilio a toujours apprécié, ne semble pas être l'entraîneur idéal pour prendre une équipe en cours de saison, entre-autre à cause du fait que l'Inter joue depuis des années avec le 3-5-2, un système de jeu très éloigné des idées tactiques de l'ancien dirigeant du Shakhtar Donetsk." "En cas de succession, il est bien plus facile pour l'Inter d'opter pour un entraîneur moins "dogmatique" et présentant un profil agréable à la vue de tous, une identité qui répond parfaitement à celle de Dejan Stankovic, qui a quitté l'Étoile Rouge de Belgrade après y avoir remporté trois championnats consécutifs ainsi que deux coupes de Serbie. Un grand "ex" qui, on peut le parier, répondrait par un grand oui, à l'appel du club avec lequel il a gagné le Triplé." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Les débuts de l'Inter en Ligue des champions approchant, lors du Nerazzurri Match Day, Nicolò Barella s'exprimait ainsi en vue du match. "Les personnes qui m'entourent sont très importantes car elles me donnent le bon coup de pouce, de la force : mes parents, ma femme et mes filles." Et si vous deviez choisir trois légendes Nerazzurri ? Partenaire au milieu : "Stankovic" Joueur à défier à l'entraînement : "Adriano, j'aurais aimé le voir s'entraîner" Colocataire : "Ronaldo, c'était le plus fort de tous" Chemin "Dans ma carrière, la détermination a été fondamentale, elle m'a permis de croire en moi, de progresser et de surmonter les obstacles. Le travail et surtout le sacrifice étaient les bases quotidiennes. Mes racines sont à Cagliari, c'est ma ville, où je suis né. À Côme, j'ai vécu ma première expérience loin de chez moi, loin de mes proches et cela m'a beaucoup aidé, tant sur le plan professionnel que privé, à grandir et à mûrir, tandis que Milan est le présent, c'est l'endroit où je voulais être et dans quoi je suis." Stankovic comme modèle "J'ai beaucoup de souvenirs de mon enfance, partagée entre le football, les amis et la famille. Des après-midi passés à jouer avec mes cousins à Torre delle Stelle, aux terrains de football mon endroit préféré. J'ai joué, je me suis amusé, j'ai appris. A 14, 15 ans j'ai réalisé que je pouvais avoir quelque chose de plus, de la détermination ou du talent. J'ai commencé à y croire et avec un peu de sacrifice je me suis retrouvé à faire ce dont j'ai toujours rêvé. J'ai toujours dit que Stankovic était le prototype du joueur que j'aimais, Daniele Conti a également influencé mon parcours avec son humilité, son exemple et son amour pour son Cagliari." Souvenirs "C'est difficile de choisir un but, le premier avec le maillot des Nerazzurri était contre le Slavia Prague mais je garde un merveilleux souvenir du second, celui contre Vérone car à sept minutes de la fin on était à 1-1 et ce but nous a permis de gagner. J'ai pris le ballon à De Vrij, revient pour un position plus centrale et l'ai mis sous la barre grâce à une frape enveloppée. Je me souviens du rugissement du stade bondé, de l'exultation, de l'étreinte de mes coéquipiers, je frissonne encore quand je pense à ça." Traduction alex_j via FCInter1908.
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MILAN - L'Inter se prépare à affronter le Genoa pour sa 110ème rencontre de Serie A. Avant ce match de la 27ème journée de championnat, nous vous présentons cinq faits sur les rencontres précédentes. Le coup de maître de Stankovic Il y a un match contre le Genoa dont les tifosi Nerazzurri se souviennent avec émotion, tant pour le score (0-5) que pour l'incroyable but inscrit par Dejan Stankovic. C'était en novembre de la saison du triplé, lorsque Deki a libéré toute sa puissance de feu depuis la ligne médiane, reprenant de volée un dégagement de Marco Amelia et l'envoyant directement au fond des filets. À bien des égards, cette volée est le précurseur de celle, similaire et sans doute encore plus célèbre, qu'il a inscrite contre Schalke 04 de Manuel Neuer. D'Ambrosio le dernier buteur au Ferraris La dernière fois que l'Inter a rendu visite au Genoa, des buts de Romelu Lukaku et de Danilo D'Ambrosio ont permis à l'équipe d'Antonio Conte de prendre trois points. Le défenseur a marqué deux buts contre le Genoa pour l'Inter - tous deux de la tête. L'autre était un but en fin de match lors de la victoire 1-0 au Meazza le 24 septembre 2017. Le premier de Nagatomo pour l'Inter C'est au Genoa que Yuto Nagatomo a fait ses débuts avec les Nerazzurri lors d'une victoire 5-2 à San Siro en mars 2011. Le latéral japonais, très apprécié, a récidivé la saison suivante au Ferraris, le 13 décembre. Nagatomo a également trouvé le chemin des filets contre les Rossoblu - un autre coup de tête - lors de la première journée de la saison 2013/14. Gagliardini contre le Genoa : débuts et doublés Roberto Gagliardini est le joueur actuel de l'Inter qui a le plus de buts en Serie A (cinq) contre le Genoa à son actif. Le milieu de terrain italien a inscrit ses deux doublés en première division contre l'équipe de Ligurie, en novembre 2018 et avril 2019, et il a également fait ses débuts en Serie A contre les mêmes adversaires en tant que joueur de l'Atalanta au Ferraris en mai 2016. Rencontres précédentes La plus grande victoire de l'Inter en déplacement au Genoa a été la déroute 5-0 du 17 octobre 2009. Esteban Cambiasso et Mario Balotelli ont ouvert le score avant que Dejan Stankovic n'inscrive une magnifique volée du pied droit depuis la ligne médiane pour donner trois buts d'avance aux visiteurs à la pause. Patrick Vieira et Maicon ont ajouté de l'éclat au score en seconde période au Ferraris. ®Oxyred – Internazionale.fr via Inter.it
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Le légendaire ancien milieu de terrain de l'Inter, Wesley Sneijder, est fier d'avoir été intronisé au Hall of Fame des Nerazzurri. Dans un entretien accordé au site officiel du club, le héros du triplé s'est exprimé sur le fait d'avoir été choisi par les fans pour être intronisé dans le Hall of Fame de cette année. Sneijder n'a passé que trois saisons et demie sous le maillot de l'Inter, mais il a laissé sa marque en jouant un rôle clé sur la voie d'un triplé européen historique lors de la saison 2009-10, sa première campagne avec le club. Le néerlandais est devenu l'une des figures emblématiques de l'une des plus grandes périodes de succès de l'histoire du club, et a été choisi pour rejoindre le Hall of Fame aux côtés de Marco Materazzi et Gianluca Pagliuca. Sneijder est très fier d'avoir gagné cette place dans le Hall of Fame, et fier de son temps passé avec les Nerazzurri. Voici l'article : MILAN - Wesley Sneijder est désormais membre du Hall of Fame de l'Inter. Le milieu de terrain néerlandais, né le 9 juin à Utrecht, est le troisième ancien joueur des Nerazzurri à être intronisé au Hall of Fame en 2021, après Gianluca Pagliuca et Marco Materazzi. Sneijder est le quatrième milieu de terrain à recevoir cette prestigieuse reconnaissance et se trouve en compagnie de Lothar Matthäus, Dejan Stankovic et Esteban Cambiasso. Après l'annonce du vainqueur dans la catégorie des milieux de terrain, la prochaine étape consistera à annoncer quel attaquant entrera au Hall of Fame en mars. Le vote pour l'entrée au panthéon des Nerazzurri a eu lieu en novembre dernier et quatre lauréats ont été annoncés chaque mois depuis lors. On peut dire que Wesley Sneijder a fait ses preuves en tant que joueur de l'Inter. Arrivé à Milan le 28 août 2009, le Néerlandais est entré sur le terrain le lendemain lors d'une victoire 4-0 contre le rival de l'Inter, enchantant les supporters dès son premier contact. C'est le début d'une saison exceptionnelle au cours de laquelle Sneijder joue un rôle clé dans le triplé des Nerazzurri, en marquant à huit reprises en 2009/10. Ses contributions ont été essentielles dans la campagne de l'Inter en Ligue des champions ; il a marqué contre le CSKA et le FC Barcelone en Ligue des champions et a offert des passes décisives à Samuel Eto'o à Chelsea en huitième de finale et à Diego Milito en finale à Madrid contre le Bayern Munich. Le Néerlandais n'a pas seulement connu une année exceptionnelle en club, il est sorti de la Coupe du monde 2010 en tant que meilleur buteur et avec une médaille de finaliste. Au total, Sneijder a représenté l'Inter pendant trois saisons et demie, faisant 116 apparitions et marquant 22 buts. Il entretenait une relation particulière avec les tifosi de San Siro, qui s'extasient encore aujourd'hui sur ses performances. "J'aimerais remercier tous les tifosi de l'Inter de m'avoir choisi pour le Hall of Fame de l'Inter", a-t-il déclaré, "c'est un grand honneur pour moi et je leur en suis vraiment reconnaissant." "Je n'oublierai jamais ce que j'ai vécu avec les Nerazzurri", a-t-il poursuivi, "cette période est une partie importante de ma vie. L'Inter est comme une famille pour moi et je suis honoré d'en faire partie." Il a rappelé qu'"en 2010, nous avons réécrit l'histoire en remportant le triplé : J'ai hâte de retourner à San Siro pour pouvoir revivre ces sensations incroyables que le stade vous procure." "Cela me manque d'être à Milan, dans notre stade, avec nos supporters", a-t-il poursuivi. "J'espère pouvoir célébrer cette reconnaissance que vous m'avez accordée avec vous tous. Forza Inter, pour toujours !" ®Oxyred – Internazionale.fr via Inter.it
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Dans une interview accordée à la Gazzetta dello Sport, Dejan a expliqué qu'il était content qu'autant de joueurs des Balkans jouent pour l'Inter, tout en tenant Bastoni en haute estime. Notre légende serbe de voir qu'un certain nombre de joueurs des pays des Balkans sont toujours représentés dans notre équipe. "Deux Croates, un Serbe, un Slovène et un Bosniaque, tous amis avec des racines balkaniques. Je suis très attaché à Kolarov, mais même Dzeko semble rajeuni et personne ne se souvient de la perte de Lukaku (ho, le tacle, ndlr). Perisic pousse toujours fort et Brozo est au cœur de tout, une vraie salle des machines. Handa aussi est toujours le héros de mon fils Filip, qui fait maintenant son chemin avec Volendam aux Pays-Bas. Je sais qu'Onana est à destination de l'Inter, mais prendre la place de Samir sera très difficile." Sur ce qu'il attend du derby de Milan. "L'année dernière, l'Inter était également dans cette forme, mais maintenant l'équipe est encore plus forte; ils avancent à toute vitesse, ils semblent heureux, jouant un match spectaculaire et le jeu organisé en toute confiance. Habituellement, dans le derby, il est difficile de dire qui est le favori.. mais cette fois…" À propos du travail effectué par Simone Inzaghi. "Il a dépassé toutes les attentes, mais je ne suis pas surpris car il sait s'épanouir dans des situations difficiles. Regardez ses premières saisons avec la Lazio, puis avec leur échec à embaucher Bielsa. Quand les choses deviennent difficiles, il se soutient et transmet la confiance. Il a également ajouté de la liberté et de la créativité avec Calha et Dzeko. Maintenant, cependant, c'est Bastoni qui est le vrai joyau - quel rôle joue-t-il même dans l'équipe ? Il semble être partout, il a une intelligence rare." En comparant les milieux de terrain. "Calha est plus un numéro dix moderne, avec un tir comme Sneijder. J'espère qu'il ne s'en offusquera pas, mais je sens que j'ai plus en commun avec Barella, détermination, cœur, jouer avec esprit à chaque match. Son absence contre Liverpool est un coup dur, mais cette équipe n'a pas de limite. En effet, les Anglais nous craignent plus que nous ne les craignons. Si vous sous-estimez cet Inter, vous vous en repentirez!" Traduction d'alex_j via sempreinter.
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Le but direct sur corner, si rare que ça? Pas à l'Inter!
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
A la quinzième minute de Roma VS Inter, 0-3, Hakan Calhanoglu a réussi un geste spécial: marquer directement sur un corner. C'était une belle frappe, un ballon impossible à défendre ou à capter. Rui Patricio a été mystifié. Mais est-ce si rare? Le Turc maintient sa forme : il a à la fois marqué et aidé lors de la rencontre hier soir, tout en maintenant les exigences très élevées qu'il s'est fixées ces dernières semaines. Il a maintenant réussi cinq buts cette saison, dont quatre lors des cinq derniers matchs ainsi que deux passes décisives. Depuis la saison 2017-2018 de Serie A, Calhanoglu est le troisième joueur joué à marquer directement sur un corner, reflétant les efforts de Jose Callejon et Erick Pulgar. Pas n'importe quel joueur peut marquer directement sur corner. Le terme donné à une telle frappe est "Olympic Goal", un terme inventé en 1924. La FIFA venait de donner son feu vert à un changement de règle permettant de marquer directement des buts depuis les corners lorsque l'argentin Cesareo Onzari a trouvé le filet directement après un corner lors d'un match amical entre l'Argentine et l'Uruguay. Étant donné que l'Uruguay était championne olympique en titre à l'époque, le but d'Onzari a reçu le titre de "Olympic Goal". À juste titre, Calhanoglu a marqué son "Olympic Goal" au Stadio Olimpico de Rome. Ce faisant, il rejoint la puissance de Christian Eriksen, Alvaro Recoba et Dejan Stankovic pour avoir réussi cet exploit. Christian Eriksen a inscrit son "Olympic Goal" en Coppa Italia contre Napoli : il a trompé David Ospina d'un coup franc en demi-finale de la compétition en juin 2020. Avant la frappe du Danois, Alvaro Recoba a également marqué un "Olympic Goal" pour le club, trouvant le filet contre Empoli lors d'une victoire 3-1 en 2007. C'était le dernier de ses 72 buts pour les Nerazzurri. C'était une beauté caractéristique du pied gauche de l'Uruguayen, qui a donné le coup d'envoi aux célébrations du titre de l'Inter pour cette saison scellant son quinzième Scudetto. Quelques années avant le but de Recoba, Dejan Stankovic a également trouvé le chemin des filets de cette manière en 2004. En fait, c'était le premier but du Serbe pour les Nerazzurri. De plus, ce but est arrivé dans le derby de Milan. Le coup franc du milieu de terrain n'a laissé aucune chance au gardien brésilien de Milan Dida alors que les Nerazzurri ont perdu 3-2. Traduction alex_j via le site officiel.- 7 commentaires
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En effet, à travers le profil officiel Instagram de l’Inter, Nicolò Barella a répondu aux demandes des tifosi Quel est ton plus beau but ? "Celui face à la Fiorentina, en Coupe d’Italie car il était le plus difficile vu la coordination à avoir, je suis content qu’il soit allé dans le coin." Bare où es-tu ? "Comme je le dis toujours à Brozo, je suis ici: Il ne me laisse jamais tranquille." Quel type de musique écoutes-tu ? "J’écoute un peu de rap, certains en italien et d’autres. Comme je suis aussi le père de trois enfants, des chansons pour enfants." Comment est né ton rapport avec Brozovic ? "C’est venu tout naturellement, nous sommes deux personnes directes, vraie: On aime bien être ensemble, rire, faire les cons et nous divertir." Ton film préféré ? "Plus qu’un film, ma série préférée est Vikings." Pourquoi le numéro 23 ? "J’ai toujours eu le 18, mais lorsque je suis arrivé à l’Inter, il appartenait à Asamoah. J’ai donc décidé d’opter pour un autre numéro et j’ai pris le 23 car c’est celui de mon idole Lebron." De quelle légende interiste t’inspires-tu ? "Une de mes idoles est Dejan Stankovic. Il m’a toujours plu comme joueur et j’ai toujours cherché à prendre le meilleur de lui, je cherche a faire aussi bien que lui, aussi bien que ce que lui a fait avec l’Inter." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Si Simone Inzaghi est à présent le nouvel entraineur de l’Inter, il y a lieu de constater que ce n’est pas la première fois que le club laziale "fournit" des recrues de qualités à la Beneamata En effet, Simone Inzaghi est le dernier homme d’une longue série de transferts de la Lazio vers l’Inter. Les plus récents sont les arrivées d’Antonio Candreva et d’Hernanes, qui ont eu lieu lors de l’ère Lotitio Si l’on remonte dans le passé, on retrouve le transfert de Christian Vieri, qui avait quitté le club romain pour gagner : Bobo est d’ailleurs l’un des attaquants les plus prolifiques de l’Histoire de l’Inter Quelques saisons auparavant, on retrouve également l’arrivée d’Aaron Winter et celle de Cesar, qui est loin d’être inoubliable, malgré les titres remportés. On retrouve également la trace d’Hernan Crespo qui avait comme but de remplacer Ronaldo. Il y également l’arrivée de Roberto Mancini et de Stefan De Vrij qui, ensemble, représente les départs les plus douloureux de la Lazio : Le Sélectionneur de la Lazio abandonnait une équipe en déroute financière économique après y avoir passé 7 saisons. Le néerlandais, quant à lui, ne s’est jamais vu pardonner la faute qui avait amené à un pénalty décisif lors de la confrontation directe entre la Lazio et l’Inter (2-3). L’Inter allant devenir son nouvel employeur Le seul transfert négatif a été celui de Mauro Zaraté lors de la saison 2011-2012 qui a été suivi de son retour dans la Capitale On retrouve au rayon des meilleurs coups l’expérimenté Dejan Stankovic qui a pris part au Triplé 2010, tout comme Goran Pandev, qui, en décembre 2009 quittait la Lazio après six mois de tensions avec Lotito. Pour conclure cette liste, on retrouve Sinisa Mihajlovic, qui est pressenti pour être le futur entraineur Biancoceleste, et Giuseppe Favalli, arrivé en 2004, lorsque la Lazio était également en grande difficulté financière Avec l’arrivée de Simone Inzaghi, la Lazio envoie à nouveau ‘un traitre’ à l’Inter, tandis que celle-ci espère avoir trouvé le digne hérité d’Antonio Conte Fallait tout simplement pas nous la faire à l’envers en mai 2002 les gars ! ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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Andrei Radu a salué notre légende Walter Zenga et a admis qu'il aimerait avoir le jeu de pieds de Ronaldo, le vrai. Le Roumain a été invité à choisir son Inter XI de tous les temps dans un long métrage pour Inter TV. "Pour le gardien, c'est un choix difficile, je devrais choisir entre Zenga et Julio Cesar. Je dirai que Zenga pour son record d'apparitions de tous les temps, il était consistent et constant." "Maicon est à l'arrière droit, Cristian Chivu et Marco Materazzi sont au centre et j'aurai Javier Zanetti à gauche. Je les choisis parce qu'ensemble, ils ont été la meilleure défense de l'Inter." "Esteban Cambiasso et Dejan Stankovic sont parfaits pour jouer devant la défense, non seulement parce qu'ils ont remporté le Triplete mais aussi parce qu'ils ont su comment faire les deux côtés du terrain avec brio." "Figo peut jouer à droite, Wesley Sneijder est le 10 et Samuel Eto'o ira à gauche; ils auraient été un trio exceptionnel ensemble." "Je choisirai le Brésilien (R9, ndlr) parce qu'il a remporté le Ballon d'Or." "Je choisirais définitivement voler le talent de Ronaldo, sa nonchalance était vraiment unique. Je pourrais jouer avec ses pieds talentueux, de cette façon je peux dribbler autour d'un attaquant quand ils s'approchent de moi."
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Lorsque un observateur occasionnel jette un œil sur la brillante carrière du milieu de terrain portugais Luis Figo, son séjour de quatre ans à l'Inter, qui apporta une fin à sa carrière de joueur, peut ressembler à première vue à une note de bas de page. Il était à Barcelone, quand Figo prenait une notoriété mondiale, aidant les Catalans à remporter deux titres de Liga, le même nombre de succès en Copa del Rey et Coupe des vainqueurs de coupe. Ensuite, c'est avec le Real Madrid où, après l'un des plus controversés transferts, il a gagné le Ballon d'Or et sa seule Ligue des Champions en 2002. Après le "Calciopoli" en 2006 qui avait vu des concurrents de l'Inter relégués ou lourdement handicapés, la marche vers le Scudetto dans chacune des saisons participantes de Figo pouvait être interprétée comme un passe-temps serein de pré-retraite. Mais un examen de certains des événements notables qui ont marqué ces quatre saisons, du refus de se rendre sur le terrain dans un match à élimination directe de la Ligue des champions, à être accusé d'avoir délibérément écrasé un chat sur le terrain d'entraînement du club, révèle que c'est loin d'être le cas. "Il Paso Doble'' n'a peut-être pas passé son apogée au Giuseppe Meazza, mais la figure unique qu'il a représentée dans l'histoire du club milanais lui a assuré une place spéciale, bien que légèrement conflictuelle, dans notre cœur. Lorsque Figo est arrivé à l'Inter en provenance de Madrid en 2005, sa nouvelle équipe n'était pas les dominateurs de la Serie A qu'ils allaient bientôt devenir. Ayant terminé troisième la saison précédente, Massimo Moratti était à la tête d'un géant italien qui n'avait pas remporté de titre de champion depuis plus d'une décennie. Moratti avait courtisé publiquement les services de Figo depuis qu'il avait raté David Beckham en 2003, et était ravi de le transférer gratuitement après qu'il fut jugé "sur plus" par rapport aux besoins du Real. Apparemment, il s'agissait d'une acquisition plus alignée sur la politique de recrutement du Milan, un pro vieillissant, ne nécessitant pas de frais de transfert, qui contribuerait peut-être autant en termes d'image de marque que de prouesses sur le terrain. Connu pour un toucher habile, des compétences de dribbles dévastatrices et un penchant pour une situation de balle morte. La première saison de Figo sous notre maillot fut impressionnante. Il a ajouté de la verve et de la ruse sur l'aile, incitant le commentateur excentrique d'Inter Channel, Roberto Scarpini, à appeler le milieu de terrain "Il Paso Doble'' pour ses mouvements élégants. Mais ses efforts n'étaient pas suffisants au départ pour amener Il Biscione à un Scudetto, car ils ont terminé deuxièmes loin derrière la Juventus. Les événements de l'été suivant ont vu le Scudetto de la saison rétrospectivement remis à l'Inter par défaut, après que la Juventus ait été identifiée comme principale bénéficiaire d'un réseau de relations entre les officiels de l'équipe et les organisations arbitrales. Le scandale "Calciopoli'' devait avoir un effet marqué sur les années Figo, c'était une débâcle hors du terrain qui représentait sans doute son acte le plus significatif de la saison. Après un fougueux Derby D'Italia, Figo a affirmé avoir vu le directeur général de la Juve, Luciano Moggi, dans le vestiaire de l'arbitre : "J'ai été partout dans le monde, mais je n'ai jamais connu une personne comme Moggi. Il agit comme s'il était le grand maître du football." Le joueur avait une petite histoire avec son adversaire. En 1995, il a signé à la fois pour la Juventus de Moggi, puis pour Parme le même été, affirmant que son contrat avec la Juve était invalide. La conséquence dans cette affaire a été une interdiction de deux ans du football italien, ce qui a facilité son transfert à Barcelone, et il a été sans surprise condamné à une amende par les autorités italiennes du football pour ses accusations de vestiaires dix ans plus tard. Lorsque les enregistrements téléphoniques ont révélé que Moggi était le principal architecte derrière le "Calciopoli", Figo s'est retrouvé avec un sourire ironique sur le visage : "J'espère qu'ils me rendront mon argent." De retour sur le terrain. L'entraîneur Roberto Mancini a commencé à déployer Figo comme un meneur de jeu plus central dans ses dernières années, alors que l'Inter encaissait des Scudetti successifs à la suite de celui qui leur avait été remis par les tribunaux. L'intelligence de passe sous-estimée du n°7 faisait de lui un bon candidat pour ce rôle, car il était capable de devenir fournisseur pour Zlatan Ibrahimovic, Hernan Crespo et Adriano. La fluidité du milieu de terrain n'a cependant pas toujours été une caractéristique des équipes de Mancini. Bien qu'il ait été utilisé à bon escient contre les équipes les plus faibles, Figo a souvent été sacrifié pour le tenace Dejan Stankovic en position de milieu de terrain offensif. Cette décision n'a pas été particulièrement bien prise par l'ancien "galactico'' du Real Madrid, qui a exprimé sa frustration après avoir été remplacé à plusieurs reprises. La mesure dans laquelle la relation entre l'entraîneur et le joueur s'était détériorée n'est cependant pas devenue totalement évidente jusqu'à un match de Ligue des Champions contre Liverpool en 2008. Son équipe étant dans une position désespérée, ayant besoin de quatre buts pour se qualifier pour les quarts de finale avec vingt minutes restantes, Mancini a demandé à Figo de sortir du banc; Figo indigné a dit non, furieux d'être exclu du onze de départ. Une telle insubordination a divisé les fans de l'Inter qui, avec la persuasion de Moratti, avaient auparavant convaincu Figo d'annuler un transfert convenu à Al-Attihad avec des rugissements de "Figo resta a Milano!" (Figo, reste à Milan!). Quelques mois à peine après l'incident de Liverpool, sa réputation n'a pas aidé lorsque le journaliste Vittorio Felta a bizarrement accusé le joueur de heurter délibérément le chat noir, supposément malchanceux, qui résidait dans le complexe d'entraînement Appiano Gentile de l'Inter. Malgré ses dénégations catégoriques, les Interisti amis des animaux l'ont hué alors qu'il arrivait à l'entraînement, en portant des banderoles sur lesquelles on pouvait lire "Figo, honte pour l'Inter, justice pour le chat". L'homme qui s'était tellement aimé auprès de son public noir et bleu en tenant tête à leur ennemi juré Moggi perdait progressivement sa popularité. Cela semblait être la fin de la route pour le milieu de terrain maintenant âgé de 35 ans, mais sa carrière avec le club avait développé une durabilité obstinée, aidée de manière cruciale par l'affection immuable de Moratti. Figo a annoncé publiquement qu'il ne resterait pas au Meazza si cela signifiait continuer sous le régime de Mancini, mais le destin a dicté que c'est Mancini qui a cédé la place au compatriote portugais de Figo, José Mourinho, et une prolongation de contrat d'un an a rapidement suivi. Bien qu'interrompu par une blessure, sa dernière saison l'a vu fréquemment utilisé par Mourinho malgré son âge. Après avoir finalement annoncé sa retraite après qu'un autre titre de champion ait été décroché, il a reçu une haie d'honneur pour son dernier match, dans lequel le capitaine Zanetti lui a forcé le brassard dans ses mains protestataires. Figo a fait ses adieux à une Curva Nord en liesse, dont la jubilation lors d'une autre victoire en Serie A a suffi à mettre de côté tout sentiment de malaise. Et pourtant, il devait y avoir une dernière tournure dans cette relation passionnée entre Luis Figo et nous. En route vers le Triplete historique du club en 2009-2010, l'Inter a été tiré au sort contre Barcelone pour une demi-finale alléchante de la Ligue des champions. Dans un coup typiquement sournois conçu pour détourner la pression de ses joueurs, Mourinho a amené Figo sur le banc pour ses capacités "d'entraîneur" pour les deux matchs. Après avoir traversé la fracture Catalan-Madrid, il n'y a pas eu d'amour perdu entre Figo et le Barca (rappelons que les fans Blaugranales avaient même jeté une tête de cochon sur le Camp Nou lors du premier retour du Portugais avec le Real en 2002). Figo a joyeusement digéré la dérision des fans du Barca tandis que son ancienne équipe se battait pour une victoire totale de 3-2 pour atteindre la finale. Les livres d'histoire vous diront que l'Inter a finalement remporté sa deuxième Coupe d'Europe l'année après la retraite de Figo, mais il peut se vanter d'une petite contribution. Bien qu'il ne s'agisse pas d'un saint, le statut emblématique occupé par Luis Figo lui a valu un rôle d'ambassadeur à l'Inter après sa retraite, ce qui a largement contribué à aplanir sa réputation auprès des supporters du club. Sur le terrain, en attendant, il n'en reste pas moins, à l'exception du meneur de jeu inspirant du Triplete Wesley Sneijder, qu'aucun joueur de l'Inter du 21e siècle n'a surpassé "Il Paso Doble'' en établissant la connexion très importante entre le milieu de terrain et l'attaque. Alors que les Interisti regardent désespérément qu'une autre force de frappe talentueuse tente de récupérer le ballon d'un milieu de terrain créativement émoussé, ils se souviendront avec tendresse des années au cours desquelles un ancien vainqueur du Ballon D'Or pouvait être appelé pour faire la différence. Cet article est une traduction de "Il Paso Doble – The Story of Luis Figo at Inter" écrit par Tom Guerriero-Davies et publié sur gentlemanultra.com le 23 Février 2016.
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Les héros du Triplete toujours impliqués dans le football, sauf...
alex_j a posté un article dans F.C. Internazionale Milano
Tuttosport a souligné que chaque joueur de l'équipe 2009-2010 de Jose Mourinho est toujours impliqué dans le sport à ce jour... les exceptions étant Marco Materazzi et McDonald Mariga. Julio Cesar est devenu agent tandis qu'Ivan Cordoba est maintenant consultant avec l'équipe de Serie B Venezia. Lucio étudie pour devenir entraîneur, Cristian Chivu est en charge des U18 de l'Inter et Thiago Motta est à la recherche de son prochain poste après avoir dirigé Genoa en 2019. Dejan Stankovic entraîne l'Etoile Rouge de Belgrade et a remporté son premier titre le 29 Mai 2020, tandis que Walter Samuel travaille avec Lionel Scaloni pour l'équipe nationale argentine. Esteban Cambiasso a obtenu sa licence d'entraîneur bien qu'il travaille actuellement en Italie en tant que consultant sportif. Wesley Sneijder s'entraîne avec une équipe de cinquième division aux Pays-Bas, et Maicon a récemment rejoint le club de Serie D Sona. Goran Pandev (Genoa), Mario Balotelli (Monza) et Ricardo Quaresma (Vitoria Guimaraes) jouent toujours au football, tandis que Javier Zanetti reste notre vice-président. Marco Materazzi a entraîné brièvement en Inde avant de s'arrêter, tandis que Mac Donald Mariga a commencé une carrière en politique dans son Kenya natal.- 6 commentaires
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326 rencontres, quinze trophées et 42 buts sous le maillot : Dejan Stankovic, entraineur de l'Etoile Rouge de Belgrade affrontera demain l'AC Milan en Europa League. Il s'est entretenu au micro de la Gazzetta dello Sport. Comment abordez-vous cette confrontation ? "Nous sommes sur deux victoires de suite à l'extérieur. Je dirais que nous sommes en bonne condition grâce aux deux voyages à Chypre et en Turquie, qui nous ont permis de déconnecter et de se ressourcer pour la seconde partie de la saison." Quels sont les dangers du Milan, qui subit un peu ces derniers temps ? "Leur façon de jouer est directe et ils ont certaines individualités. Je pense à Leao, Rebic, Catillejo, Zlatan, Calhanoglu. Kessié qui est une machine de guerre mais surtout à Théo, aussi décisif que Maicon l'était avec nous dans la saison du triplé. C'est une longue route et il est normal de se tromper dans un match. Ils ont beaucoup joué et je ne suis pas présomptueux, nous allons faire face à une équipe coriace et de qualité, menée par un excellent coach. Pioli récolte les fruits d'un travail qui a commencé juste au moment où les dirigeants souhaitaient le remplacer." Surpris par Ibrahimovic ? "Le connaissant bien, pas du tout. C'est un professionnel exemplaire, qui est exalté quand le niveau monte. Par conséquent il élève celui de ses coéquipiers." N'est-ce pas mauvais signe pour la Serie A cependant ? "Les carrières s'allongent. Messi est toujours Messi à son âge. Ramos, bien qu'il soit défenseur, fait toujours la différence au Real Madrid. Quand la qualité est là les années ne comptent pas." Près de onze ans depuis le dernier titre de l'Inter : "Maintenant elle est maitre de son destin et l'absence de coupes est un avantage. J'espère que nous lui rendrons un Milan fatigué." Dans votre carrière vous avez travaillé avec de grands noms : "Jose, Mancio, Sinisa, Eriksson, Zaccheroni... Je tente de voler quelque chose à chacun mais les copier est impossible. Chacun doit avoir une identité précise. Je crée la mienne." Que pensez-vous de Conte ? "C'est un dur à cuire et il ne laisse rien au hasard. Je l'aime bien. Et je suis content aussi pour Eriksen, il avait peu de temps de jeu mais il peut faire la différence. Il a deux pieds merveilleux." A Milan les Stankovic ne manquent pas... "Je suis heureux pour Filip qui s'entraine en équipe première aux côtés d'Handanovic, son idole. Il apprend tous les jours. Et il y a aussi Aleksandar, 15 ans. Dans le football l'engagement personnel est nécessaire, les dons n'existent pas, il faut travailler. Mais ils doivent d'abord devenir de bonnes personnes." Un rêve à réaliser ? "Je suis un enfant de l'Etoile Rouge, l'entrainer est un privilège. Je vais tout donner. Je ne fais pas de pronostics mais retourner demain à la Lazio ou à l'Inter serait clôturer un magnifique cercle." ®gladis32 – internazionale.fr
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Adriano a fêté ce mercredi 17 février ses 39 ans. Pour l'occasion, le club lui a adressé un message qui mentionne en particulier ses buts inscrits lors du Derby en 2005 et 2009. "C'est comme si la scène se déroulait en ce moment: Nous regardions Juan Sebastian Veron s'apprêtant a frapper le corner, tous colère du but égalisateur marqué par Stam (2-2, 85'). Malgré cela, nous restions confiants. Le ballon est parti, fit une belle courbe avant de plonger en plein cœur de la surface de réparation." "A cet endroit précis les deux parties firent face: Burdisso s'élanca, Vieri coté adverse tenta de l'en empêcher. Mais à la surprise générale un seul y parviendra : notre numéro 10, Adriano. De part un saut vertigineux il partit à la conquête du ballon le frappant de sa tête et l'envoyant au fond des filets. Victoire. L'improbable s'était produit un soir de Décembre 2005, un soir d'Inter 3-2 Milan" "Aujourd’hui, le 17 février 2021, Adriano Leite Ribeiro fête ses 39 ans. Nous lui adressons nos meilleurs vœux ainsi que toute notre affection. C'est un évènement un peu spécial car il arrive à quelques jours du derby. Un défi face à l'AC Milan lequel Adriano en avait fait sa marque de fabrique : trois buts pour deux apparitions, statistique à ne pas oublier." "Autre derby marquant, celui du 15 Février 2009. Nouvelle personne sur le banc en la personne de Josè Mourinho, Adriano quant a lui est de retour cette saison-là après un prêt à Sao Paulo. L'entraineur choisit de l'associer d'entrée aux cotes d'Ibrahimovic. Le brésilien n'a au besoin qu'une demi-heure pour s'illustrer: sur un centre de Maicon coté droit il reprit le ballon de la tête, ce dernier touchant légèrement son bras avant de filer au but. S'en suit une célébration ou Adriano se dirige vers les bras de son entraineur, lui qui l'avait défini comme l'un de ses joueurs préférés." "Ce but aura une saveur symbolique étant le dernier marqué par le brésilien sous nos couleurs, le 74ème pour 177 matchs disputés. L'Inter prendra l'avantage dans ce match grâce au but de Dejan Stankovic" ®KarimGipuzcoa - Internazionale.fr
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A quelques heure de la confrontation entre l’Inter et le Torino, Nicolò Barella s’est livré sur la vie du Groupe à l’Inter et sur son idole : Dejan Stankovic Vie de famille "J’ai grandi dans une famille nombreuse, j’ai toujours désiré avoir des enfants. Lorsque j’ai trouvé la bonne personne, j’ai réalisé mon rêve. Mes parents ont toujours été mon exemple, l’Etoile Polaire de toute ma jeunesse. Ils m’ont toujours conseillé de donner le maximum, j’ai été très chanceux. Je les remercies car j’ai appris à vivre la vie comme un défi : Le Calcio en est un, l’un des plus grands." Idole "Mon père a toujours regardé des matchs, et aussi toutes ceux qui passaient à la télévision. J’étais avec lui et je les regardais, je m’imaginais, j’apprenais. Pour tout vous dire, je me rappelle dus buts de Stankovic, j’étais petit et j’étais impressionné par sa capacité à tirer, il m’a toujours fasciné et ses conclusions m'ont toujours marquées. Deux buts son inoubliables, celui lors du Derby hors de la surface de réparation et celui repris à la volée face à Schalke 04." Endurance "Je me suis toujours beaucoup entraîné, tellement que ma mère me pourchassait à la maison ! Il m'arrivait aussi parfois d'être fatigué, mais j’ai toujours eu la chance de faire preuve d’une grande endurance." "Peut être que d’autres sont des joueurs avec plus de technique, mais moi j’ai cette qualité. Ma célébration face à Vérone était une libération de tout ce que je ressentais en étant sur le terrain : Entendre le stade exploser de la sorte était fantastique, je joue pour ressentir ces émotions." "Ce n’était pas facile d’arriver jusqu’ici : Je suis jeune mais j’ai connu un parcours dur, des moments difficiles. J’ai même pensé que je n’étais pas capable d’atteindre certains objectifs, mais je suis arrivé ici, et j’en suis heureux." Groupe Nerazzurro "Celui de l’Inter est vraiment homogène, le lien avec les équipiers est optimal, nous allons tous dans la même direction avec l’objectif de faire toujours mieux." Qui sont ceux qui me donnent le plus de conseil ? "Handanovic et Borja Valero”. Lebron "On parle tellement de lui pour les titres, mais je l’estime comme personne. Ses équipiers le voient comme un point de référence. Je voudrais gagner autant, mais en même temps, mon objectif est de laisser un beau souvenir, laisser une trace à mes équipiers. Une trace de Barella dans le Calcio, comme personne et aussi comme sportif." ®Antony Gilles - Internazionale.fr
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L'entraîneur du Red Star Belgrade et ancien milieu de terrain de l'Inter, Dejan Stankovic, a répondu aux questions des fans concernant son passé et son présent lors d'une interview accordée à Sky Sports Italia. A propos de Covid-19 "Nous allons très bien, tout va bien. Traitons cette situation avec respect et intelligence en restant chez nous." Son but préféré entre Shalke 04, Gênes et Milan. "Bonne question. Le plus étrange, contre Schalke, dont c'est le neuvième anniversaire aujourd'hui, même si le match ne s'est pas bien passé. Celui de Gênes a été le plus difficile, celui contre l'AC Milan n'était pas unique en soi." La défaite contre le Null-Vier. "Très déçu, comme toute l'équipe. On a tout perdu en quelques jours, après ce match on a perdu le derby. Mais nous étions tendus, il y avait beaucoup de blessés. Nous n'avons pas eu de chance." Les progrès de sonf fils Filip (gardien de but). "Il est sur la bonne voie. Il va bien, il suit les conseils. Il a même passé un mois avec l'équipe première, le seul conseil que je peux lui donner est d'écouter et de travailler. Dans ce groupe, avec Antonio Conte, il y a beaucoup à apprendre. Je suis content car Filip à du mérite, il travaille depuis tout petit. Nous avions besoin d'un gardien de but et nous l'avons choisi." Pourquoi gardien ? "L'entraînement le fatiguait alors il a choisi de porter des gants." Entre l'Inter 2010 et la Lazio 2000. Laquelle était la meilleure ? "Ce sont deux équipes différentes, le football change chaque année. C'était deux équipes très coriaces, la Lazio a gagné grâce à sa force et sa solidité, nous aurions pu faire mieux en C1. Nous avons écrit l'histoire avec l'Inter. Au fil du temps, je me rend compte que nous avons fait quelque chose de vraiment incroyable. Un objectif difficile à atteindre, la Juve n'a pas encore réussi à reproduire quelque chose comme ça. Le Triplé reste dans l'histoire." La construction après le Triplé. "Nous avons essayé de reconstruire l'année suivante en changeant légèrement l'équipe. Je ne peux que remercier Massimo Moratti et sa famille pour ce qu'ils nous ont donné, puis les cycles commencent et se terminent. Mais nous avons tout donné." Il a parlé du moment où l'équipe a réalisé qu'elle ne serait pas aussi forte lors de la saison 2010-2011. "Nous travaillions, comme l'année précédente, nous avions gagné, mais il nous manquait encore un petit truc. La deuxième année de José Mourinho a été très importante, avec les choix de joueurs, les compos et la personnalité que nous avions. Nous voulions tout gagner. Je dirais que nous avons eu de la chance à Kiev, alors nous avons pensé pourquoi ne pas en profiter ? Nous avons battu Chelsea, puis au cours des 2 derniers mois, nous avons joué avec 13 ou 14 joueurs, ne récupérant que très peu. Il n'y avait rien d'autre à l'esprit que de gagner le 22 mai pour écrire l'histoire. La différence, outre Mourinho, a été faite par les hommes du vestiaire. Au cours des 45 derniers jours, nous étions cuits, mais Mourinho nous a donné un plus. Nous avons également grandi au niveau humain." Son derby favori ? "En 2004, lors de mon premier derby, j'ai marqué, nous avons joué une belle première mi-temps puis Milan nous a étouffé. Mon derby préféré est le derby du 4-0 avec Mourinho, nous aurions pu marquer plus. Nous étions spectaculaires." L'effet de jouer un derby milanais ? "Nos derby ont été engagés, mais nous nous respections. J'ai joué ce derby pendant neuf saisons ! Il y avait un grand respect, les joueurs respectaient leurs maillots et leurs fans. Je suis parti de Red Star vs Partizan (un des plus chauds derbys de Serbie, ndlr), où j'ai joué avec le maillot du Red Star et j'ai également gagné en tant que capitaine. Le derby de Milan est prestigieux et incomparable. Mais je garde aussi ceux de Belgrade et de Rome. Même si celui de Milan est un derby de gentleman." Le coach qui l'a plus inspiré ? "J'ai travaillé avec de grands entraîneurs. Je m'amuse à entraîner le Red Star, je prends ça très au sérieux. Ensuite, je suis allé d'Eriksson à Mourinho en passant par Mancini, avec tous les entraîneurs que j'ai eu en Serbie. Je prends tout ce dont j'ai besoin d'eux et je construis mon football. Je vois ce qui est important pour les joueurs, ne pas abandonner, avoir du respect... J'ai arrêté récemment donc je connais toujours bien les joueurs, je vais essayer de créer ma propre identité." Sur Roberto Mancini. "Tout le monde se moquait de moi parce que j'étais le « fils » de Mancio, mais je me sentais aussi protégé par lui en tant que coéquipier. Et quand il fut entraîneur, j'ai beaucoup appris de lui, il était déjà meneur sur le terrain. J'ai beaucoup grandi avec lui, il était comme une douleur au cul pour moi (dixit Stanko, ndlr), mais c'était vrai." Ce que doit faire l'Inter pour gagner le scudetto? "Je pense que l'écart s'est beaucoup réduit, ce qui était espéré avec Conte qui fait un excellent job avec les joueurs. Avec quelques top-achats, sans rien enlever à l'équipe actuelle, ils peuvent être candidats au Scudetto. Je ne sais pas si l'interruption sera bénéfique pour ceux qui se battent pour le scudetto, on verra quand ça recommencera. Mais l'Inter peut faire de grandes choses, il manque un petit truc et ce sera une belle Inter." Sur la Lazio. "Simone Inzaghi fait un excellent travail, il mérite un renouvellement de contrat. Maintenant, il est le modèle du jeune entraîneur dont vous pouvez apprendre beaucoup. J'aimerais que mon équipe joue comme la sienne. La Lazio peut encore se battre jusqu'à la fin, l'équipe joue ensemble depuis des années et cela peut être une surprise."
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Dejan Stankovic revient au club. D'abord joueur puis dans le staff de Mancini entre 2015/16, il travaillera désormais pour le secteur jeunesse. Outre Zanetti et Oriali, Deki rejoint son ami Chivu qui travaille aussi avec les jeunes en ce moment. Un ajout de poids donc, où il concentrera ses efforts sur les entrainements techniques individuels. "L'Inter a toujours été une seconde maison pour moi. Je suis fier de travailler pour le club auquel j'ai toujours tour donné !" ®gladis32 - internazionale.fr
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