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Le Vice-Président de l’Inter et Parrain d’Internazionale.fr, Javier Zanetti, s’est livré à Clarin, sur son arrivée dans l’anonymat en Italie dans les années 90 et sur sa carrière à en devenir de dirigeant. Meilleur souvenir historique "La plus grande satisfaction que j’ai connu dans ma carrière, c'était le premier salaire important que j’ai perçu à Banfield, j’avais dit à mes parents de penser à raccrocher. Vous ne saviez pas à quel point j’étais excité par ce premier contrat. A ce moment-là, je les ai vu si fier, nous nous sommes fait une accolade, ma mère s’était mise à pleurer, c’est quelque chose qui t’accompagne pour toujours, qui te marque." L’arrivée dans la Botte "Je me souviens que j’étais à l’aéroport entouré de pleins d’amis, tous en larmes, je leur avais dit : "Je ne pars pas pour toujours". Bon, on en est quasiment à 27 années maintenant, mais à l’époque je ne l’aurais jamais imaginé, et même si de temps en temps je rentre en Argentine, j’ai décidé de rester vivre en Italie." Pensiez-vous ne jamais y retourner ? "Non, j’étais jeune et j’avais peur, c’était un très grand saut dans le vide pour moi de passer de Banfield à l’Inter, mais je l’ai bien vécu car c’était ma première grande possibilité. A peine arrivé à l’Inter, je me suis dit: "Je dois faire mon possible, en premier, pour rester". A l’époque, nous ne pouvions avoir que trois joueurs étrangers et l’Inter avait déjà recruté Rambert, Paul Ince et Roberto Carlos, j’étais le quatrième. J’ai donc pensé qu’on allait me prêter mais je m’étais fixé l’objectif de rester au club." "J’ai commencé à m’entraîner et l’entraîneur a commencé à m’apprécier jusqu’au jour où il m’a convoqué dans les bureaux : "Regarde, dans une quinzaine de jours, nous ouvrirons le championnat face à Vincenza, tu joueras à droites et Roberto Carlos à gauche…." C’est là que tout a débuté, Ottavio Bianchi était l’entraineur de Diego au Napoli." Aviez-vous ressenti de la peur ? "Ma peur était de savoir si j’étais assez préparé pour faire le grand saut, c’était pour moi un saut de folie. La chose la plus normal est de passer de Banfield à une grande équipe d’Argentine pour ensuite faire le grand saut en Europe, mais je suis allé directement de Banfield à l’Inter, j’étais convaincu de mes capacités et je m’étais levé prêt à le prouver." Comment gère-t-on, dans la tête d’un enfant, le fait qu’un jour où l’autre, tout peut changer dans la vie de toute sa famille ? "Ce n’est pas facile, et c’est là qu’il faut faire usage de ce fameux mot : L’équilibre. Le dire est une chose, y faire face est compliqué, tout dépend de l’éducation que tu as reçu ta maison. J’ai été assez chanceux car j’ai reçu un soutien familial très important, cela m’a beaucoup aidé." Et si ce soutien n’est pas disponible ? "Les clubs et l’entraîneur doivent prendre le relais, il faut être attentif aux besoins des garçons, je l’ai toujours dit : L’Argentine est une grande ressource de matière première et nous devons y prendre soin : Le joueur argentin séduira toujours en Europe." Comment analysez-vous cette Argentine ? "C’est un noyau, un mix de joueur qui sont présents depuis très longtemps dans l’équipe et d’autres qui veulent y être avec l’objectif de durer dans le temps. Tout ce qu’elle a obtenu, elle se l’est méritée. Elle a repris des fondamentaux pour s’envoler, elle a gagné la Copa America. Je tiens aussi à noter qu’elle est déjà qualifiée pour la Coupe du Monde, ce qui prouve que lorsqu’elle va sur le terrain, face à des rivaux très difficiles comme le Chili, qui est toujours coriace à affronter que, ceux qui endossent le maillot vendent chèrement leur peau. C’est important d’avoir cette identité." A quel point ont pesé les frustrations de ces dernières années, sans titres, lorsque vous étiez sur le terrain ? "C’était une composante émotive très importante, cela te force à donner le meilleur de toi, mais à chaque fois, cela ne suffisait pas. Tant de sélections sont passées, la mienne comprise, mais lorsque nous étions à un pas de l’objectifs, nous n’y parvenions pas. Ces garçons ont insisté, même si rien ne leur a été épargné. Remporter la Copa America a été une libération qui leur permettra de travailler avec plus de sérénité pour le Qatar." Est-ce que le joueur argentin insiste plus que les autres ? "Je crois que oui, nous avons un grand engagement pour notre pays et cela n’est pas visible nulle part ailleurs. J’avais des équipiers de diverses nationalités et personne ne comprenait pourquoi nous faisions parfois 15.000km pour disputer un match amical. Mais nous voulions y être, c’est la Selezione: Lorsque vous passez la porte de la propriété, c'est quelque chose de magnifique. Et vous le vivez à 100 %". Comment est perçue la Nazionale Argentine en Europe ? "Elle est toujours respecté, mais l’important est d’être en forme lors du mois de la Coupe du Monde. En 2002, nous avions survolés les qualifications, battus les plus grandes puissances européennes, mais il s’est passé ensuite ce que nous avions déjà connu. Mais j’ai très confiance en cette équipe, on y retrouve de l’engagement, une identité, le groupe est bon et tous ceux qui rejoignent la sélection y apporte une valeur ajourée, c’est l’essentiel." Comment passe-t-on du statut d’idole à celui de dirigeant ? "Pour être un dirigeant, tu dois te préparer, lorsque l’on m’a dit que j’allais devenir le Vice-Président de l’Inter, j’étais très fier, mais en même temps, j’avais conscience qu’il s’agissait d’une très grande responsabilité, j’ai tout repris à zéro, Zanetti le jouer est resté derrière moi. C’est pour cela que je me suis inscrit à l’université, j’ai repris les études." "Tu ne peux pas devenir un bon dirigeant sous prétexte que tu étais un grand joueur. Si tu veux être un dirigeant, tu dois avoir une vision à 360°. Je suis allé à l’Università Bocconi pour étudier le Sport Management pour me former en marketing, en finances, en relations internationales et en management sportif. Plus tu as de connaissances, plus tu peux être utile pour les différents structures du Club." Comment les egos sont-ils gérés dans ce changement de rôle ? "Il y a une clé qui est la même pour les deux domaines : il faut avoir une équipe engagée, ayant la même vision et que tous suivent le même chemin derrière pour atteindre les objectifs fixés." Comment parvenir à un accord sur l'entrée de capitaux extérieur au monde du football ? Comment rivaliser avec Manchester City, qui par exemple, peut à tout moment, avoir un portefeuille infini ? "C’est vrai que les armes sont différentes, mais tout le monde doit respecter l’Histoire du Club. Lorsque tu as un plan stratégique bien défini, tu te dois de le respecter et de le porter jusqu’au bout, c’est un beau défi. Le plus grand défi de tous les clubs du monde est de parvenir à la soutenabilité et nous travaillons tous pour cela." Ici en Argentine, on parle d’un manque de projet ayant une vision à long terme de la part des clubs. Pensez-vous pouvoir être capable d’entrainer un club argentin ? "La vérité est que je n’y ai jamais pensé, je vis avec conviction mon présent en Italie et je cherche quotidiennement à m’entraîner et à apprendre. Les réalités sont différentes et ont été accentué avec le Coronavirus. Aujourd’hui, en argentine, de nombreux clubs misent sur les jeunes, pas par conviction mais par nécessité, c'est ainsi qu’il leur est possible de survivre." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Alejandro Camano, l'agent d'Achraf Hakimi, s’est livré à CalcioNapoli24, à quelques heures de l’affiche de la 31ème journée qui mettra aux prises l’Inter au Napoli au Stade Diego Armando Maradona La carrière d’Achraf ? "Elle est à présent connu de tous , il a grandi à la Cantera du Real Madrid avant d’aller au Borussia Dortmund et ensuite à l’Inter, sur base de sa volonté de jouer en tant que titulaire." Le transfert manqué au Napoli ? "C’est vrai, Cristiano Giuntoli est un grand Directeur Sportif et déjà avant le transfert au Borussia Dortmund, il avait tout fait pour offrir aux Azzurri, Hakimi et Borja Mayoral. Dans le football, tout peut arriver, mais il n’y a pas eu d’accord même si le Napoli a tout fait pour qu’il intègre son noyau." "Finalement, Hakimi est allé au Borussia Dortmund et Borja Mayoral est ensuite arrivé en Italie, à la Roma. Mais pourquoi pas dans le futur." Napoli-Inter? "C’est dommage de ne pas avoir de public dans les tribunes du Stade Maradona, cela aurait été merveilleux. Mais ce sera un grand spectacle. Je me souhaite qu’Hakimi puisse se mettre en lumière et gagne le Scudetto." Avec le Napoli aussi qualifié en Ligue des Champions par la suite ? "Aussi"..... il rit. Depuis quand n’avez-vous plus été en contact avec le Napoli et son Directeur Sportif Giuntoli? "Je l’ai souvent en ligne, nous parlons de football." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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Diego Jr: "Diego savait qu'ils laisseraient la Juventus gagner contre l'Inter en 2018"
alex_j a posté un article dans Interviews
La défaite controversée de l'Inter face à la Juventus en 2018 a été regardée avec horreur par feu Diego Maradona, a révélé son fils, Diego Jr, sur Canale 8. Maradona était loin d'être impressionné par le mauvais arbitrage de Daniele Orsato qui n'a pas expulsé Miralem Pjanic après un tacle sévère sur Rafinha. De plus, il n'était pas du tout surpris de voir les Bianconeri obtenir une décision favorable dans un match décisif pour le titre. "J'ai vu ce match avec papa à Dubaï. La Juventus était surclassée, mais quand Pjanic est resté après son tacle sur Rafinha, il s'est tourné vers moi et m'a dit: 'Tu verras, maintenant ils vont trouver un moyen de les laisser gagner.' Et ce fut ainsi. Je ne pouvais pas y croire, Diego a vu des choses avant nous. Nous sommes des humains et il venait d'un autre monde." S'il est vrai que Diego Maradona venait d'une autre planète, nous pouvons également dire qu'il avait l'habitude de ce genre de décisions.- 7 commentaires
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Antonio Conte, Stefan De Vrij et Samir Handanovic se sont livrés après la débâcle de l’Inter, sur son terrain face au Real Madrid, dans le cadre de la 4ème journée de la Ligue des Champions. Antonio Conte Son interview à Inter TV "Nous n’avons pas été très chanceux face au Real. Au match aller, nous leur avions offert une série de cadeaux et aujourd’hui, c’est immédiatement un penalty. Malgré cela, ce qui nous a sportivement tué, c’est l’expulsion de Vidal : C’est déjà difficile de jouer le Real, mais cela devient extrêmement dur lorsque tu es réduit à 10 pour 60 minutes." "Il y avait deux équipes qui présentaient deux niveaux différent : Le Real est un multi-titré de cette compétition et il y a toujours été protagoniste : Nous nous sommes en formation, nous savons qu’il y a un très long chemin à parcourir avec une grande humilité, c’est notre troisième année. Nous devons travailler et chercher à réduire l’écart de niveau pour y être protagoniste." Une réaction ? "La façon d’aborder le match était la bonne, je remercie les garçons. Tu peux gagner ou tu peux perdre, mais l’important est de le faire comme des Hommes. Las garçons ont tout donné et ont cherché à s’opposer. Lorsque tu rencontres une équipe forte et qu’elle est aussi aidée, cela devient difficile pour tout le monde." Son interview à Sky Sport Diego Armando Maradona "Nous pleurons tous des larmes pour la disparition d’une personne qui a fait l’Histoire du football et qui l’aura marqué, pour toujours, de façon indélébile. J'ai le souvenir d’un joueur que j’ai eu le plaisir d’affronter et de marquer. J’ai vraiment du mal à croire qu’il n’est plus là, il était très jeune, je suis vraiment touché et très triste de son décès." Inter-Real "C’est déjà, à la base, difficile de faire face à des équipes importantes comme le Real. Ensuite, lorsque tu es mené et que tu te retrouves à dix, cela devient une montagne difficile à escalader : Je pense que l’on a vu la différence de niveau entre nous et eux." "On ne doit pas se laisser abattre, mais on doit comprendre qu’il y a un parcours à respecter et qu’il ne faut pas se laisser ensorceler par les sirènes que l’on entend à l’extérieur. L’unique route à emprunter est celle du travail et de la croissance, de la part de tous et à tout point de vue : Nous devons en avoir l’envie et faire preuve d’humilité." "Il ne faut pas croire que l’Inter n’est pas performante en attaque : Nous marquons énormément de buts, mais nous en encaissons quelques-uns de trop. Si la partie a toute de suite été compromise et il nous a été difficile de nous remettre en selle, c’est aussi dû à l’expulsion pour un excès de protestation." "Je prends acte de ce contexte : Nous avions mieux joué au match aller, nous étions plus agressif. C’est difficile de démarrer à 0-1 et de subir une expulsion qui a coupé les jambes de l’équipe. L’équipe a bien répondu au niveau de son attachement au match et de sa détermination: Il y avait une grande volonté. "Il ne faut pas oublier que l’on faisait face au Real Madrid qui n’était pas le dernier de la Classe." Son interview en conférence de presse "Je ne tiens, sincèrement pas, à parler de l’arbitrage. Même si tant de fois un arbitre se doit d’être intelligent pour ne pas bouleverser de la sorte une partie, sauf si Vidal a dit quelque chose de grave: Laisser une équipe à 10 après 30 minutes de jeu revient à la tuer. Mais je ne sais pas ce que lui a dit Vidal." "Aujourd’hui, il ne s’agissait pas de fureur, mais de comprendre le poids de certains matchs : Pour nous, c’était une partie pesante à tout point de vue : Lorsque tu joues autant face au Real tu ne peux pas te planter, la fureur n’a pas manqué. Nous l’avons même un peu trop ressentie, seul le temps nous permettra de nous améliorer sur ce type de match et de mieux les gérer." Stefan De Vrij Son Interview à Inter TV "La première fois qu’ils nous se sont retrouvés devant notre but, il y eu directement le penalty et nous avons été mené au score d’un but. Nous nous sommes mis en difficulté, et nous avons dû faire face à d’autres difficultés." "Tout devient plus difficile lorsque tu es réduit à dix. Nous sommes ressortis du vestiaire, pour la seconde période, avec de bien meilleures intentions, mais cela n’a pas suffit." Était-ce la bonne réaction ? "Je ne veux pas y penser en ce moment: il y a tellement de déception pour le résultat de ce soir, pour la façon dont nous nous sommes mis dans le Groupe. Il reste deux matchs, nous chercherons à les emporter et à espérer." Y croyez-vous ? "Nous devons chercher à remporter les match, mais cela ne dépend plus que de nous, nous devrons chercher à les gagner." Samir Handanovic Son interview à Inter TV "La rencontre a immédiatement mal démarrée avec le penalty et ensuite l’expulsion. Nous avons tout donné en risquant quelque chose, mais nous étions sans un homme et cela est devenu bien plus difficile. Nous avons commis des erreurs et nous avons été punis pour ces erreurs : Aujourd’hui, le Real l’a emporté à la suite de nos propres erreurs. Une réaction ? "Nous avons toujours tenté de jouer, mais on ressent l’absence d’un homme. Les équipes qui savent gérer la possession du ballon te font dépenser énormément d’énergie, mais nous l’avons tenté. Il y a toujours de l’espoir, mais la situation n’est pas des plus meilleures." Son interview à Sky Sport "C’est une situation compliquée, mais l’espérance est l’ultime à mourir. Nous savions que nous étions dans un groupe difficile, et nous pouvons y rester, il faut à présent passer des actes au fait et c’est le terrain qui décide." L’expérience et l’habitude pour le Real ? "Lorsque nous nous sommes retrouvé en infériorité, le Real a su faire voyager le ballon et le gérer. Ces équipes sont moins habitué à défendre comparé à la circulation de balle. Ils ont des joueurs de qualités et cela devient toujours plus difficile." Le Saviez-Vous ? Selon Graziano Cesari, ancien arbitre italien, l’Inter a été lésée par l’arbitrage : "Il manque un penalty pour l’Inter à la 52’. L’arbitre et la Var ne se sont pas justifié : L’UEFA a demandé de clairement sanctionner ceux qui chercher à bloquer ou à faire tomber un adversaire qui souhaite jouer un ballon ou qui souhaite le reprendre de la tête." "Gagliardini, qui était au cœur de la surface de réparation a été immobilisé par Vázquez qui s’est aidé de son bras gauche. Le joueur du Real Madrid était désintéressé du ballon et le penalty aurait dû être sifflé. Pour des équipes qui sont menée 0-1, ce type de fait de jeu peut s’avérer déterminant pour le résultat en fin de match." Selon le Corriere Dello Sport, Arturo Vidal va être sanctionné disciplinairement: "Le club va lui infliger une amende salée: Le chilien n'a pas été à la hauteur de la situation. C'est un joueur décisif, mais il ne l'a pas encore été à l'Inter." ®Antony Gilles – Internazionale.fr
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mercato Kun Aguero, cible prioritaire "gratuite" de l’Eté 2021 ?
Victor "Antony" Newman a posté un article dans Mercato
Selon Alfredo Peddulà, pour le compte de la Gazzetta Dello Sport, si ce n’est pas la première fois que le nom de Sergio Aguero est lié à l’Inter, le fait est qu’un échange sérieux et déjà positif ait déjà eu lieu, pourrait changer la donne pour le prochain mercato estival.... En effet, Kun sera en fin de contrat avec Manchester City à l’été 2021. Suite aux rumeurs intenses d’un départ de Lautaro Martinez, une "discussion" eu lieu avec l’ancien Colchoneros en mai dernier : "En fin mai, l’Inter avait réalisé plus qu’un sondage approfondi : Elle avait obtenu un consentement d’une confiance maximale pour le futur. Le fait que Kun parle la même langue que Zanetti n’est pas à sous-estimer dans une telle opération." "Il est évident que les prétendants ne manqueraient pas, mais la motivation élémentaire est la suivante : Aguero fêtera ses 33 ans en juin prochain, il sera libre de tout contrat, et le recruter à paramètre zéro pourrait être similaire à un Coup d’Etat avec très peu de précédent." Valideriez-vous l’arrivée de l’ancien beau fils de Diego Armando Maradona à l’Inter ? ®Antony Gilles - Internazionale.fr- 12 commentaires
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